ALLEZ L"OM EN AVANT ....

Quelle
agréable
sensation!
Ils viennent, ils gagnent et ils
s’en vont. Comme si de rien
n’était. Comme si l’adversité
n’était que formalité. Comme si
cette équipe n’avait jamais connu
le doute. Comme si, simplement,
cet OM-là n’avait pas le moindre
concurrent à sa hauteur.
Et on a beau refuser de
s’enflammer, de tomber dans un
optimisme b é a t , à force
d’accumuler l e s s u c c è s ,
d’enchaîner les buts, ce Marseille
version Bielsa finit par ébranler
notre raison. Alors, on ne peut
s’empêcher d’imaginer la suite
de ce scénario extraordinaire,
fait de larges succès, de démonstrations
répétées, d’ambitions assumées.
On se met à rêver d’un
OM, irrésistible machine à marquer,
venir renverser de son piédestal
l’armada parisienne. Nos
songes nous emportent ainsi
jusqu’aux sommets hexagonaux.
C’est donc ça, l’effet magique
de ce début de saison inespéré
où les garçons empruntés d’hier
se sont transformés en soldats
inspirés, impliqués et disciplinés.
Faisant de chaque succès, une explosion
de buts qui fausse probablement
notre jugement et altère
notre lucidité.
Mais avouons-le, la sensation
est terriblement agréable.
Qu’importe la suite…

On n'arrête plus l'OM

Publié le 24/09/2014 à 03:52, Mis à jour le 24/09/2014 à 10:37

Hier aussi

Les joueurs de Marseille se congratulent après l'un des deux buts d'Andre Ayew, à Reims François Nascimbeni  /  AFP


Cinquième victoire consécutive pour l'OM! Impressionnants de maîtrise collective, les Marseillais ont une nouvelle fois pu compter sur un très bon Gignac, meilleur buteur de L1 (8, soit 3 d'avance sur sa majesté Ibrahimovic) auteur d'un doublé (8e, 20e), après un pénalty stoppé par le gardien rémois. Les joueurs de Marcelo Bielsa, quasiment jamais inquiétés par des Rémois dépassés et désormais aux portes de la zone rouge (17e, 7 points) ont dominé avec une facilité déconcertante et auraient même pu inscrire davantage de buts.

Pour Marcelo Bielsa, le controversé entraîneur de Marseille : «Nous avons joué avec beaucoup de sérieux, de sens du sacrifice... Les larges victoires de ce genre peuvent générer de l'excès de confiance, mais nous allons essayer de nous en garder.»

L'OM va-t-il s'arrêter en si bon chemin ?

Publié le 25/09/2014 à 03:50

Leadership

Ayew a réalisé le coup du foulard pour son 2 e but à Reims./ Photo AFP


Avec 5 victoires en 7 matches et une place de leader bien accrochée, les Marseillais impressionnent en ce début de saison et se posent en rival sérieux du PSG. Avec 19 buts, l'OM est parti sur des bases très élevées grâce à son homme providentiel : Gignac, actuel meilleur buteur de L1 avec 8 buts, 3 longueurs devant Ibrahimovic forfait à Caen. Avec un Payet en forme, un Thauvin encore irrégulier et un Ayew auteur comme Gignac d'un doublé à Reims (5-0), Bielsa peut voir venir, d'autant qu'Alessandrini a laissé entrevoir son talent contre Rennes.

Un calendrier dégagé

Contrairement à ses principaux rivaux, Marseille n'est engagé dans aucune compétition européenne et pourra se concentrer entièrement au championnat. Avec ce calendrier allégé, qui ne lui a pas encore offert de grosses cylindrées, l'OM peut donc souvent aligner le même onze de départ. «Je ne changerai qu'en cas de blessures ou de méforme», a annoncé Bielsa. Il devra probablement le faire dimanche en raison de la blessure de Romao (adducteurs).
Grâce à ce très bon départ, l'OM ne peut plus se cacher – même si personne ne veut parler de titre – et se pose clairement en rival du PSG. «Les larges victoires peuvent générer de l'excès de confiance. Nous allons essayer de nous en garder» a tempéré le technicien argentin.

Un choc? Quel choc? La France du
foot attend avec impatience la venue
de Saint-Étienne au stade Vélodrome
pour enfin pouvoir jauger de la véritable
valeur de l’OM cette saison. Guingamp,
Nice, Évian, Rennes, Reims; les adversaires
dominés, pour ne pas dire surclassés,
par la troupe de Marcelo Bielsa
ces dernières semaines n’ont en effet pas
le profil de foudres de guerre. Ce sont
pourtant des équipes qui ont causé bien
des tourments à la formation olympienne
la saison dernière. Et qui ont rarement été
autant dominées depuis l’ouverture du
championnat qu’elles le furent face aux
Marseillais. D’ailleurs, l’OGC Nice est
bien allé dicter sa loi hier après-midiàMonaco,
et le PSG s’est cassé les dents à Toulouse,
qui n’a rien d’un grand club en Ligue
1 non plus...
Dans les rangs olympiens, la venue des
Verts au Vélodrome ne soulève pas davantage
une vague d’inquiétude. "C’est une
très bonne équipe de notre championnat,
mais ça reste un match de Ligue 1, note
Benjamin Mendy. Cette année c’est différent;
pour l’instant, on avance, on gagne,
et c’est tant mieux". Et il ne faut surtout
pas compter sur Marcelo Bielsa pour se
faire un monde de cette rencontre. "Sincèrement,
je ne me suis pas penché sur
l’histoire du foot français. Je me fais une
idée de ce que représentent les clubs en lisant
les journaux. L’un des liens que j’ai
établi avec le foot français, c’était avec le
Saint-Étienne de Oswaldo Piazza et Angel
MarcosàNantes..."
Ni, d’ailleurs, pour prononcer le mot
"crainte". "Jamais je ne dirai que nous
avons peur d’un adversaire; et si on ressent
ça, il n’est pas convenable de le rendre public.
Saint-Étienne est l’une des grandes
équipes du championnat et on attend ce
match avec beaucoup d’espoirs. C’est un rival
qui ne doit pas être craint, mais respecté,
par rapport à ses qualités."
Aujourd’hui, ce sont surtout les Stéphanois
qui se présenteront sur la pelouse du
nouveau stade Vélodrome sans savoir à
quelle sauce ils vont être dévorés. Car
l’OM effraie toute la Ligue 1. Les dernières
démonstrations offensives ont été clairement
reçues. Et s’il est encore bien trop
tôt pour définir des objectifs, cette équipe
peut légitimement viser haut.
"J’espère simplement que l’équipe va
continuer à évoluer au même niveau", se
contente de souffler l’Argentin. Un jeu qui
suffit déjà au bonheur des supporters,
pressés de retrouver leur équipe pour vibrer
90 minutes durant. Un état d’esprit
basé sur l’offensive et animé par un pressing
constant qui détonne dans la Ligue 1
et ouvre d’inattendues perspectives aux
Olympiens cette saison. Ce soir, face à
l’AS Saint-Étienne, l’OM peut frapper fort.
Et, enfin, lever les (derniers) doutes qui
planent sur son véritable niveau. Surtout,
Gignac et ses coéquipiers peuvent continuer
à régaler leurs supporters. Au final,
c’est sans doute ça, le plus important...

[size=30]'OM, UNE ENTAME DE FEU (DIRECT)[/size]
FOOTLIGUE 18E JOURNÉE


SAINT-ETIENNE

Marseille a parfaitement débuté son premier gros test de la saison, au Vélodrome : en moins d'une demi-heure, l'OM a ouvert le score et fait le break face à Saint-Etienne (2-0). De quoi conforter sa place de leader du Championnat, pour le moment.

Ligue 1 : Marseille toujours sur sa lancée face à Saint-Étienne
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Publié le 28/09/2014 à 23h22 , modifié le 28/09/2014 à 23h30

L'OM a fait la différence en première période et l'emporte finalement 2-1 face à un concurrent pour le podium. Un succès qui lui permet de conserver sa première place

Marcelo Bielsa est calme, mais son équipe a empoché une sixième victoire consécutive en L1 © Photo
AFP BERTRAND LANGLOIS









A
vec une 6e victoire en huit journées, cette fois aux dépens de Saint-Etienne (2-1), un rival pour le podium, Marseille a conforté sa place de leader de Ligue 1 dimanche et peut nourrir de solides ambitions.


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Grâce à cette victoire, l'OM a pris deux points d'avance sur son dauphin Bordeaux, quatre sur Lille et cinq sur le Paris SG, qui fait du surplace. Mais surtout, les Olympiens, qui tournent à la moyenne de 2,6 buts par match, ont montré qu'il allait falloir compter sur eux cette saison. Car si l'OM avait battu jusque là des adversaires de seconde moitié de tableau (Guingamp, Nice, Evian-Thonon, Rennes, Reims), c'est une équipe d'un autre calibre qui s'est inclinée dimanche.

Presque parfait

S'il avait fallu huit minutes à Gignac pour ouvrir le score mardi à Reims, sept ont suffi cette fois à Imbula : l'international Espoirs, aux 20 mètres, prenait le temps de contrôler et armait un tir enroulé du gauche qui trompait Ruffier (1-0, 7e).

Trois minutes plus tard, Ayew récupérait une balle dans les pieds de Clerc sur l'aile gauche et centrait en retrait pour Payet, qui trompait Ruffier et mettait un peu plus la tête sous l'eau à ses anciens partenaires (2-0, 28e).

Avec deux buts d'avance à la demi-heure de jeu et face à une équipe jamais encore en position d'inquiéter Mandanda, la copie des Marseillais était une fois de plus assez proche de la perfection, avec un impact physique étonnant, une fluidité dans le jeu remarquable et une efficacité offensive redoutable.

Bientôt deux tests

S'endormant un peu sur leurs lauriers, les Olympiens laissaient les Verts s'enhardir en début de seconde période et Brison jetait un froid en réduisant le score à la reprise d'un centre de Saint-Maximin (2-1, 53e). Mais l'OM, où Alessandrini et Lemina apportaient du sang neuf à l'heure de jeu, reprenait le dessus et conservait son avance.
Actuellement inarrêtable, l'équipe de Bielsa se déplace dans une semaine chez le 13e, Caen avant de passer deux nouveaux tests face à Lyon (le 26 octobre) et au Paris SG (le 9 novembre).

Ligue 1. Marseille prolonge sa série face aux Verts
Marseille - 28 Septembre
écouter

• Giannelli Imbula a ouvert le score. | Photo : AFP
  

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Marseille a signé sa sixième victoire consécutive, contre Saint-Etienne (2-1), premier gros adversaire de sa saison, confortant sa place de leader devant Bordeaux.

L'OM de Marcelo "El Loco" Bielsa a donc surmonté dimanche tous les obstacles sur son chemin. D'abord l'adversaire, Saint-Etienne, le plus sérieux proposé cette saison et qui aura été étouffé par le pressing tout terrain des Marseillais en première période (l'OM a ensuite un peu baissé le pied).
Giannelli Imbula a ouvert le score dès la 7e minute avant que Dimitri Payet n'aggrave la marque (28e). Les Verts n'ont pu que réduire l'écart par Jonathan Brison (53e), sur une passe décisive du jeune Allan Saint-Maximin (17 ans, 2e titularisation en L1).

Marseille prend de l'avance

Ensuite, l'OM a fait abstraction du fait que Bordeaux lui avait subtilisé provisoirement dimanche après-midi sa place de leader après son succès contre Rennes (2-1). Pas de place au doute dans ce Marseille-là.
Bien sûr, les Verts pourront toujours dire qu'ils avaient joué jeudi soir alors que Marseille avait joué mardi soir et dénoncer un manque d'équité au niveau des temps de récupération. Mais, en première période, il y avait vraiment une classe de différence entre les deux équipes. Il y avait 2 points d'écart entre Stéphanois et Marseillais à l'issue de la 7e journée, il y en a maintenant 5. Et l'ASSE est 6e après ce revers au Vélodrome.
MARSEILLE - SAINT-ETIENNE : 2-1
Spectateurs: 55.367 
Arbitre: F. Fautrel 
AVERTISSEMENTS. Marseille : Nkoulou (85'). Saint-Etienne : Mollo (51'), Diomande (79').
BUTS. Marseille : Imbula (7'), Payet (28'). Saint-Etienne : Brison (53').
MARSEILLE : Mandanda (cap) - Dja Djédjé, Nkoulou, Morel, Mendy - Romao, Imbula (Lemina 64') - Thauvin (Alessandrini 57'), Payet (Barrada 83'), Ayew - Gignac. Entraîneur : Marcelo Bielsa.
SAINT-ETIENNE : Ruffier - Clerc (cap), Sall, Pogba, Brison - Saint-Maximin (Gradel 73'), Diomandé, Cohade - Mollo (Van Wolfswinkel 65'), Erding (Lemoine 46'), Monnet-Paquet. Entraîneur : Christophe Galtier.

[size=30]Rien n'arrête les Marseillais[/size]
29/09/2014 05:38
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En ouvrant le score, Imbula a pris une part déterminante dans le succès de Marseille. - (AFP)
L’OM a dominé Saint-Étienne hier soir, et conserve la tête. Les Bordelais confirment leur bon début de saison. Nantes et Lyon se quittent dos à dos.

Face à Rennes, encore un bon coup de Bordeaux

[size]
Le choc de la journée entre les deux clubs les plus titrés de la Ligue 1 a tourné à l'avantage de Marseille. Les Verts ont payé le prix d'une première période trop timorée, où les Marseillais ont largement dominé les débats. L'illustration au tableau d'affichage grâce à Imbula et Payet, qui redonnaient des ailes à une équipe phocéenne solide en tête du classement.
Le but stéphanois de Brison en seconde période ne remettait pas en cause l'essentiel : hier soir au Vélodrome, Marseille s'est fait logiquement respecter. En considérant le début de saison calamiteux de Monaco et celui laborieux de Paris, il va falloir compter avec ces Marseillais comme de sérieux prétendants, et pas seulement au rôle de trouble-fête.
Bordeaux qui rit. La belle série continue pour les Girondins de Willy Sagnol. Le jeune entraîneur ne fait pas mystère de sa satisfaction, en considérant la performance de ses joueurs depuis le début de saison : « Ils méritent ce qui leur arrive. On a dix-sept points mérités parce que l'état d'esprit est là, parce que personne ne triche ».
Nantes et Lyon qui piétinent. Nantais et Lyonnais pouvaient nourrir hier l'ambition de s'installer dans le premier tiers du classement en cas de victoire. Las, à la Beaujoire, les deux équipes se sont neutralisées. Plus entreprenants en première période, les Nantais n'ont fait que « secouer » leur hôte, respectant la consigne de leur entraîneur Michel Der Zakarian, mais n'ont pas marqué. Réalistes en seconde mi-temps, les Lyonnais ont assuré le service minimum avant l'égalisation de Nantes. Un résultat qui n'arrange personne, les deux formations restant pour l'heure dans l'anonymat du milieu de tableau.
Lens et Caen qui s'inquiètent. Les Nordistes et les Normands restent englués, eux, dans la zone dangereuse après un match nul qui, là encore, ne fait les affaires d'aucune des deux formations. Au terme d'une rencontre insipide dans l'ensemble, les Lensois n'ont pas soldé leurs doutes nés de la piètre prestation à Évian en début de semaine. Il reste du chemin à parcourir, pour Lens comme pour Caen, avant de retrouver tout à fait le niveau de la Ligue 1.
Lille qui se reprend. Après un nul et une défaite, les Lillois ont retrouvé le chemin de la victoire. Rien de très glorieux, et un match plutôt décevant dans l'ensemble, mais qui permet aux Dogues de renouer avec le Top 5 et une position favorable avant un délicat déplacement à Lyon, dimanche prochain.
Guingamp qui s'enfonce. Rien ne va plus pour les détenteurs de la Coupe de France. Battus à Montpellier, les Guingampais héritent de la lanterne rouge, faisant les frais du réveil d'Évian. Les Bretons enchaînent les déceptions. En recevant Nantes dimanche prochain, les Bretons n'ont déjà plus de droit à l'erreur…

La prochaine journée
Vendredi 3 octobre 
20 h 30 : Reims - Bordeaux.
Samedi 4 octobre
17 h : Caen - Marseille.
20 h : Bastia - Lorient, Évian - Metz, Nice - Montpellier, Rennes - Lens.
Dimanche 5 octobre
14 h : Saint-Étienne - Toulouse.
17 h : Guingamp - Nantes, Lyon - Lille.
21 h : PSG - Monaco.
Les buteurs
> 8 buts : Gignac (Marseille) 
> 5 buts : Ben Yedder (Toulouse), Ibrahimovic (Paris SG).
> 4 buts : Falcón (Metz), Lacazette (Lyon), Rolan (Bordeaux).
> 3 buts : Bosetti (Nice), Cavani (Paris SG), Diabaté (Bordeaux), Erding (Saint-Etienne), Fekir (Lyon), Khazri (Bordeaux), Lavigne (Lorient), Origi (Lille), Toivonen (Rennes), Wass (Evian/Thonon), Payet (Marseille).
> 2 buts : A. Ayew (Marseille), Berbatov (Monaco), S. Camara (Montpellier), Chavarria (Lens), Courtet (Reims), Cvitanich (Nice), Duhamel (Caen), Falcao (Monaco), Junior Tallo (Bastia), Kante (Caen), Lucas (Paris SG), Maboulou (Bastia), Mexer (Rennes), N'Gbakoto (Metz), Ntep (Rennes), Regattin (Toulouse), Thauvin (Marseille), Touzghar (Lens), Imbula (Marseille).
la phrase
« Cela fait plusieurs années que l'on est ensemble. Aujourd'hui, comme dans les années Pirès que je voyais à la télé, on sent qu'on a une ville, un peuple grenat derrière nous. »
Jérémy Choplin vit un rêve éveillé. Le défenseur messin a été l'un des artisans du troisième succès consécutif de son équipe, qui se hisse désormais dans le premier quart du tableau de la Ligue 1. Le FC Metz est, assurément, la bonne surprise de ce début de saison. Certes, il est encore trop tôt pour comparer cette équipe à ses illustres devancières, notamment celle de 1998 qui, sous la houlette d'un certain Robert Pirès, futur champion du monde, avait terminé deuxième, à un souffle du titre de champion de France. Mais déjà, le promu a fière allure et a régalé son public, samedi soir face à Reims. A confirmer samedi prochain, à Évian…
en hausse
Évian TG
Deuxième victoire en deux matchs pour les Haut-Savoyards. La semaine est à marquer d'une pierre blanche pour Évian-Thonon-Gaillard, qui abandonne du même coup la lanterne rouge. Dans le prolongement du succès face à Lens (2-1), Évian a remporté samedi une précieuse victoire au Moustoir, face à Lorient. Après avoir sauvé sa tête en Ligue 1 lors de la dernière journée au détriment de Sochaux, Évian est décidément l'équipe des sursauts spectaculaires ![/size]

L'OM pour la passe de 7

Publié le 04/10/2014 à 03:54

Football - Amateurs - au menu du jour

En attendant le choc Paris-SG - AS Monaco qui clôturera le week-end, 5 autres matches sont à l'affiche aujourd'hui. Dont émerge le voyage en Normandie de l'Olympique de Marseille, irrésistible depuis 6 matches.

>

Caen-Marseille

:Qui ou quoi peut enrayer la belle machine OM ? Suiveurs phocéens comme observateurs avisés se le demandent. Sans obligatoirement, d'ailleurs, chercher de réponse. Car cette équipe qui fait plaisir aux amoureux du foot, n'a plus aussi bien porté sa devise «Droit au but» depuis belle lurette. Pensez donc : si jamais ça sourit de nouveau pour la bande à Bielsa, en fin d'après-midi, sur la pelouse Michel-d'Ornano, les Marseillais en seront à 7 succès d'affilée ! Auréolés auparavant d'un goal-average qui se passe de commentaire : +16. Certes, le record en la matière des Girondins (11 victoires consécutives en 2008-09, année du titre bordelais) est encore loin, n'empêche que l'oiseau fait vite son nid sur la Canebière. Le technicien argentin a prévenu qu'il reconduirait le même XI que devant Saint-étienne (2-1). Alors que son hôte, le SM Caen, sera encore privé de Privat (adducteurs) et devra patienter 1 bon mois avant de pouvoir aligner sa recrue, le défenseur Yahia.

OM : des raisons de douter ?
Par Aurélien Billot, 03-10-2014

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- Panoramic
Encensé de toutes parts, l’OM peut-il tenir sa cadence infernale jusqu’à la fin de la saison et concurrencer le PSG dans la lutte pour le titre ? Décryptage avant le déplacement à Caen samedi.

Les derniers adversaires de l’OM sont restés bouche bée. Reims et son président Jean-Pierre Caillot («Si Marseille continue à jouer comme ça et que le PSG ne se réveille pas, je pense que l’OM ne sera pas loin du titre cette année.»), balayés 5-0 sur leurs terres ou encore Saint-Etienne et son entraîneur Christophe Galtier («Quand des joueurs de ce niveau sont affûtés et disciplinés, ça fait mal. Marseille sera un postulant au titre.»), étouffés pendant une mi-temps dimanche dernier (2-1).

Les futurs sont tout aussi laudatifs, à l'image du Lyonnais Hubert Fournier («Cette équipe fait un excellent début de saison. Il y a de la jeunesse et de l’expérience. Un des plus beaux effectifs du championnat. Si elle garde cette dynamique, elle sera un concurrent pour le PSG.») Remasterisé à la sauce Bielsa, l'OM est le tube de ce début de championnat. Un rouleau compresseur que personne, depuis Montpellier au cœur de l'été (0-2, 2e journée), ne parvient à stopper. Et cette question qui revient un peu partout ces derniers temps : cet OM peut-il tenir le rythme ? Et si oui, jusqu'où cela peut-il l'emmener ? Sur le podium ? Au titre ? Les scénarios les plus optimistes fleurissent. Mais à y regarder de plus près, il y a peut-être quelques raisons, sinon de s'inquiéter, du moins d'appeler à la méfiance côté phocéen. 

Un calendrier à double tranchant
Non qualifié pour la Coupe d'Europe, l'OM ne jouera, la plupart du temps, qu'un match par semaine. L'argument plaide en sa faveur. Indéniablement. L'équipe a également franchi avec succès son premier test de la saison, le week-end dernier, contre l'ASSE. Deuxième bon point. Mais après une première période de très haute volée, les Marseillais ont souffert. Inquiétant ? Jusqu'ici abordable, le calendrier de l'OM va en tout cas sérieusement se corser d'ici à la trêve avec Lyon, le PSG, Bordeaux, Monaco et Lille au programme en moins de dix journées ! La phase retour s'annonce aussi périlleuse pour des Olympiens qui risquent de se retrouver déplumés par la Coupe d'Afrique des Nations (du 17 janvier au 8 février), qui pourrait concerner pas moins de six joueurs (Nkoulou, Dja Djedje, Romao, Ayew, Barrada, Samba)...



Des adversaires à l'affût
Aussi impressionnante soit-elle, la série de six victoires d'affilée n'a pas permis à l'OM de s'envoler au classement (1er, 19 points). Hormis Lyon (10e, 11 pts) et Monaco (12e, 10 pts), tous ses concurrents pour le podium ne sont pas très loin. Et même d'autres que l'on n'attendait pas, comme le Bordeaux de Willy Sagnol, qui n'est qu'à deux petits points derrière (2e, 17 pts) et qui n'aura, lui non plus, pas de Coupe d'Europe à jouer. Toujours aussi solide, Lille pointe à la 3e place (15 pts), juste devant un Paris Saint-Germain qui semble enfin lancé (4e, 14 pts) et une équipe de Saint-Etienne (6e, 14 pts) en constante progression ces dernières saisons. Il faudra donc être costaud sur la durée pour résister à cette «meute», qui pourrait en plus s'agrandir si l'OL et l'ASM parviennent enfin à enchaîner.

Un groupe en questions
Après un démarrage en douceur, la méthode Bielsa, hyper exigeante physiquement (pressing constant sur l'adversaire, entraînements harassants) fonctionne désormais à plein régime. Mais à la longue, que donnera-t-elle ? Même avec une rencontre par semaine, les organismes ne vont-ils pas finir par lâcher ? En un mot, l'OM est-il en surrégime ? La question se pose d'autant plus que le technicien argentin n'est pas du genre à user du turnover. «Il a une méthode forcément très particulière, qui amène toujours des résultats immédiats mais qui ne durent jamais, a récemment pointé du doigt Willy Sagnol. Au bout d'un moment, lorsqu'on considère les joueurs comme des machines, on se heurte à l'homme et ça devient difficile.» Les heurts pourraient aussi venir des remplaçants (Alessandrini, Barrada, Doria, Lemina, Fanni, Batsuayi), qui, à ce rythme, risquent de trouver le temps long sur le banc...

[size=32]L'OM au septième ciel[/size]
OM

L'OM est allé chercher dans les ultimes secondes une victoire précieuse sur le terrain de Caen (2-1). Les Olympiens signent une septième victoire de rang ! 
PHOTO DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL À CAEN THIERRY GARRO

• Le film de la rencontre
  
• La réaction de Gignac
  
• Notez les joueurs
  
• Le match en images
  
  

[size=32]L'OM au septième ciel[/size]

PUBLIÉ LE SAMEDI 04/10/2014 À 19H54

L'OM est allé chercher dans les ultimes secondes une victoire précieuse sur le terrain de Caen (2-1). Les Olympiens signent une septième victoire de rang !

Gignac et Romao ne peuvent contenir leur joie après le but victorieux dans les derniers instants.
PHOTO DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL À CAEN THIERRY GARRO


Pour comprendre l'importance du succès de l'OM face à Caen, il faut juste regarder la réaction de Marcelo Bielsa dans les ultimes secondes du match. Habituellement peu expressif sur les buts olympiens, "El Loco" a laissé exploser sa joie lorsque Gignac a donné la victoire aux siens dans le temps additionnel (90+3').
Ce succès a pourtant mis du temps à se dessiner. Longtemps, les Olympiens auront buté sur un Vercoutre qu'on n'aura rarement vu aussi efficace sur sa ligne. Le portier de Caen a notamment annihilé les nombreuses tentatives de Thauvin. L'ancien Bastiais aura tout essayé pour faire trembler les filets. En face-à-face, tout d'abord (6'), sur une tête (15') puis sur un coup franc bien botté (36'). A chaque fois, le gardien de Caen s'est interposé tout comme devant la puissante reprise d'Imbula (33').
Moins souverain dans le jeu qu'à l'accoutumée, l'OM aurait pu se faire surprendre également en première mi-temps. La magnifique inspiration de Duhamel n'a pas trouvé le cadre (16') tandis que Mandanda est intervenu à temps pour sauver...une passe en retrait de Dja Djédjé qui allait finir sa course dans les buts olympiens (34') !

L'OM y a cru jusqu'au bout

En seconde mi-temps, l'équipe de Marcelo Bielsa tente d'emblée de mettre du rythme. Le centre millimétré de Payet trouve Thauvin qui reprend de la tête. Vercoutre est enfin battu mais... un défenseur caennais dévie le ballon en corner (47') ! Quelques instants plus tard, Ayew effectue un festival mais choisit l'option personnel pour conclure son action, sans réussite (59'). 
Face à des Caennais disciplinés, l'OM va finalement trouver la solution. Alessandrini, entré en jeu, dépose un corner sur la tête de Romao qui catapulte le cuir au fond des filets (74'). Piquée au vif, la formation normande réagit instantanément. Si le but de Da Silva est refusé pour hors-jeu (76'), celui de Musavu-King ne le sera pas. Sur un coup franc, le défenseur caennais saute plus haut que Morel et décoche une tête croisée imparable (84').
A ce moment-là, on croyait que la série olympienne allait se terminer. D'autant plus que Vercoutre effectuait une nouvelle parade magistrale sur une tête d'Alessandrini (90+1). C'était sans compter sur Gignac qui décide alors de surgir au bout du suspense pour inscrire son neuvième but de la saison en Ligue 1. Une réalisation qui permet à "APG" de soigner ses statistiques et qui permet, surtout, à l'OM de creuser l'écart en tête du championnat. De quoi passer la trêve internationale en toute tranquillité.

- RÉSULTAT : 9e journée
L'OM LEADER A GAGNE
LE 2EME A PERDU LE 3 EME A PERDU LE 5 EME A PERDU ET LE LE 6 EME A AUSSI PERDU
L'IDEAL CE SOIR
CE SERAIT QUE LE 12 EME MONACO GAGNE CHEZ LE 4 EME PARISQATARI

QUI EST POUR DANS LA SALLE LEVEZ LA MAIN LOL ???

Reims (19) 1-0Bordeaux (2)
Caen (13) 1-2 Marseille (1)
Evian-TG (18) 3-0 Metz (5)
Saint-Etienne (6) 0-1Toulouse (11)
Lyon (10) 3-0Lille (3)

Paris-SG (4) A 21h00 Monaco (12)

La cadence est infernale. En enchaînant
à Caen un septième succès de
rang, l’OM réalise une performance
rare dans l’historique de la Ligue 1. La
dernière fois que le club marseillais avait
connu pareille série, c’était lors de la période
mars-avril 2010. Un mois plus tard,
l’équipe de Didier Deschamps était sacrée
championne de France...! Encore
loin malgré tout du record en la matière
établi par les Girondins de Bordeaux - 14
victoires, à cheval entre la fin de saison
2008/2009 qui prive l’OM du titre et les
trois premières journées de l’exercice
2009/2010 - cetOMs’envole pourtant en
tête de la Ligue 1. Bordeaux, justement, a
montré ses limites à Reims vendredi.
Tout comme Saint-Étienne, épuisé par
l’enchaînement des matches, qui a calé
hier contre Toulouse, Lille en faisant
autant à Lyon. Dur de suivre le rythme
imposé par Bielsa et ses muchachos...
La découverte du calendrier laissait
présager une fin d’été prometteuse pour
l’OM. Mais pas de là à imaginer cette
équipe, quasiment inchangée par rapport
à sa devancière, encore en tête à la
moitié du mois d’octobre. Pourtant, le
trou est fait. Ce matin, le club dirigé par
Vincent Labrune compte cinq points
d’avance sur ses premiers poursuivants.
Un gouffre au bout de seulement neuf
journées qui n’avait plus existé en Ligue
1 entre une équipe et le reste de la meute
depuis la saison 2006/2007 et le grand
OL (25 points), qui caracolait déjà en tête
devant l’OM (20 points).
Plus personne ne reverrait cette année-
là Juninho, Fred and Co. Qu’en sera-
t-il pour la bande à Gignac?
La donne est forcément différente. À
l’époque, Lyon régnait en maître absolu
sur le championnat de France alors que
l’OM doit composer avec le PSG, surpuissance
financière sans égal. Et les Olympiens
ne se privent pas, d’ailleurs, pour
le rappeler: "Quand le PSG se mettra en
route, ça deviendra difficile", clament en
choeur les Olympiens, qui refusent de se
projeter au-delà du match d’après. Oui,
mais Paris va devoir sacrément accélérer.
Obnubilée par la Ligue des champions,
la formation dirigée par Laurent
Blanc a souvent fait preuve de suffisance
lors des joutes nationales, gaspillant des
points. Une tendance qui s'est confirmée
hier soir avecun nouveau nul concédé
face à Monaco (1-1, page 2) qui relègue
le double champion en titre à
7points de son rival historique.
Profitant pleinement d’un calendrier
favorable - pour lequel les requêtes émises
par la direction du club, comme le
permet la LFP, ne sont pas étrangères -
l’OM emmagasine un maximum de
confiance. Marcelo Bielsa a ainsi pu valider
son plan de travail au gré des résultats
et obtenir l’adhésion totale de son
groupe, quand bien même certains
voient leur temps de jeu réduit à sa plus
simple expression. Pour l’instant, chacun
accepte les règles du jeu sans piper
mot.
ÀCaen, le onze de départ qui a fait des
étincelles depuis la réception de Rennes
(3-0) est sans doute allé au bout de son
cycle. Romain Alessandrini mérite incontestablement
mieux qu’un statut de joker
de luxe. Abdelaziz Barrada a laissé entrevoir
un réel potentiel lors des quelques
minutes qu’il a pu semettre sous la
dent. Doria a une élogieuse réputation à
justifier. Rod Fanni n’a jamais déçu. Et
Michy Batshuayi, dans l’ombre d’un Gignac
stratosphérique, attend désespérément
sa chance...
Caen, après Saint-Étienne, a montré
que l’adversaire était désormais capable
de rivaliser en analysant en profondeur
le jeu olympien. Il sera sans doute temps
d’apporter un peu de fraîcheur et
d’inattendu après la trêve internationale.
Pour l’heure, l’OM peut savourer sa
belle échappée. Et envisager la suite des
événements en toute sérénité

[size=35]ootball : pour affronter Nîmes, même en amical, l'OM ne fera pas de cadeau[/size]
 il y a 18 heures  3 MIDI LIBRE
 Barrillon, Cordoval, Elie et les Nîmois, ici face à Laval, joueront un match amical de solidarité, vendredi aux Costières, face à Marseille qui a des exigences.
WILLIAM TRUFFY

[size=20][size=62]L'OM réclame 40 % de la recette et le remboursement des frais de bus et d'hôtel alors que le match amical, vendredi soir aux Costières, est censé récolter des fonds au profit des sinistrés gardois des dernières inondations. [/size]

Le championnat faisant relâche le week-end prochain, Nîmes Olympique a conclu un match amical contre l'Olympique de Marseille. Il aura lieu vendredi 10 octobre, à 18 h 30 au stade des Costières. Quelques jours après les inondations qui ont touché une partie du Gard, le club croco a souhaité placer cette soirée sous le signe de la solidarité en faisant un don aux sinistrés. Sauf que le chèque risque d'être un peu mince compte tenu des exigences de l'OM qui n'a manifestement pas le mot solidarité dans son vocabulaire.

Le club phocéen, qui viendra sans ses internationaux, dont Gignac, Payet et Mandanda, retenus en équipe de France, réclame, au titre de sa venue, 40 % sur la recette. Comme si cela ne suffisait pas, les frais de bus et d'hôtel de l'équipe (environ 5 000 €) seront aussi à la charge du club nîmois.
Location sur nimes-olympique.com, à la boutique nîmoise du club, boulevard Victor-Hugo, à partir de mardi et aux Costières le jour du match, dès 9 heures. Tarifs : 5 €, 10 € et 15 €. Demi-tarif pour les abonnés.[/size]