QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
LIGUE 1 25e JOURNÉE
Le PSG sur le gril 20h30, au Parc des Princes.
Arbitre: Sébastien Desiage.
Paris SG : Sirigu - Van der Wiel, Thiago
Silva, Marquinhos (ou Alex), Digne - Cabaye,
Thiago Motta ( ou Verratti), Matuidi
- Lucas, Ibrahimovic, Pastore.
Entraîneur: Laurent Blanc.
Valenciennes: Penneteau - Medjani, Kagelmacher,
Ciss - Mater, Ducourtioux,
Doumbia, Enza-Yamissi, Masuaku - Melikson,
Waris.
Entraîneur: Ariel Jacobs. Le PSG ouvre ce soir faceàValenciennes
la 25e journée de L1,
avec l’objectif de décrocher
une victoire qui lui assurerait
de voyager l’esprit tranquille à
Leverkusen, où il jouera mardi
en 8es de finale aller de la Ligue
des Champions.
Le match nul ramené dimanche
de Monaco (1-1) a permis
aux hommes de Laurent Blanc
de conserver cinq points de
marge sur l’ASMen tête de la L1
et il n’est pas questionpour eux
de voir cet écart se réduire un
soir où ils reçoivent un relégable
(18e). Toujours sans Cavani,
les Parisiens se méfieront tout
demêmed’une équipe de VA regonflée
par son succès face à Nice
(2-1).
Le PSG sur le gril 20h30, au Parc des Princes.
Arbitre: Sébastien Desiage.
Paris SG : Sirigu - Van der Wiel, Thiago
Silva, Marquinhos (ou Alex), Digne - Cabaye,
Thiago Motta ( ou Verratti), Matuidi
- Lucas, Ibrahimovic, Pastore.
Entraîneur: Laurent Blanc.
Valenciennes: Penneteau - Medjani, Kagelmacher,
Ciss - Mater, Ducourtioux,
Doumbia, Enza-Yamissi, Masuaku - Melikson,
Waris.
Entraîneur: Ariel Jacobs. Le PSG ouvre ce soir faceàValenciennes
la 25e journée de L1,
avec l’objectif de décrocher
une victoire qui lui assurerait
de voyager l’esprit tranquille à
Leverkusen, où il jouera mardi
en 8es de finale aller de la Ligue
des Champions.
Le match nul ramené dimanche
de Monaco (1-1) a permis
aux hommes de Laurent Blanc
de conserver cinq points de
marge sur l’ASMen tête de la L1
et il n’est pas questionpour eux
de voir cet écart se réduire un
soir où ils reçoivent un relégable
(18e). Toujours sans Cavani,
les Parisiens se méfieront tout
demêmed’une équipe de VA regonflée
par son succès face à Nice
(2-1).
aladin- Messages : 115038
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Le PSG a bien préparé Leverkusen
Football, Ligue 1 Réagir
Avant de retrouver la Ligue des Champions, le Paris SG a facilement disposé de Valenciennes (3-0). Monaco, en déplacement samedi à Bastia, est provisoirement relégué à huit points des Parisiens.
aladin- Messages : 115038
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Ibra : «Leverkusen sera différent»
14/02 23h34 - Football, L1
Auteur d’un nouveau but face à Valenciennes (3-0) en championnat, Zlatan Ibrahimovic s’attend à une toute autre opposition face à Leverkusen en Ligue des Champions mardi soir : «C'était important de gagner, on a fait ce qu'il fallait pour s'imposer. Le prochain match en Ligue des champions sera totalement différent. On a quelques jours pour récupérer. (sur son dos douloureux) je me sens comme ci comme ça. Physiquement, ce sera un autre match qui nous attend à Leverkusen, il faudra qu'on se souvienne qu'on joue à l'extérieur, être concentrés à 100% et jouer notre jeu.»
14/02 23h34 - Football, L1
Auteur d’un nouveau but face à Valenciennes (3-0) en championnat, Zlatan Ibrahimovic s’attend à une toute autre opposition face à Leverkusen en Ligue des Champions mardi soir : «C'était important de gagner, on a fait ce qu'il fallait pour s'imposer. Le prochain match en Ligue des champions sera totalement différent. On a quelques jours pour récupérer. (sur son dos douloureux) je me sens comme ci comme ça. Physiquement, ce sera un autre match qui nous attend à Leverkusen, il faudra qu'on se souvienne qu'on joue à l'extérieur, être concentrés à 100% et jouer notre jeu.»
aladin- Messages : 115038
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
PSG-Pastore: "La confiance ? C'est la clef"
Vendredi soir, en ouverture de la 25e journée de Ligue 1, le Paris Saint-Germain a aisément fait mordre la poussière à Valenciennes (3-0) avant de retrouver le Bayer Leverkusen en Ligue des champions. Javier Pastore a participé à la fête, lui qui semble renaître en 2014. "Je suis content d'avoir réussi à jouer deux ou trois matches consécutifs. J'ai du temps de jeu, je gagne en confiance, a commenté l'Argentin au terme de la rencontre. Mais rien n'a changé pour moi. Je suis juste plus tranquille maintenant, j'ai cette confiance et c'est la clef pour changer le jeu d'un joueur".
[*]
Créé le 15/02/2014 - 07:20
Vendredi soir, en ouverture de la 25e journée de Ligue 1, le Paris Saint-Germain a aisément fait mordre la poussière à Valenciennes (3-0) avant de retrouver le Bayer Leverkusen en Ligue des champions. Javier Pastore a participé à la fête, lui qui semble renaître en 2014. "Je suis content d'avoir réussi à jouer deux ou trois matches consécutifs. J'ai du temps de jeu, je gagne en confiance, a commenté l'Argentin au terme de la rencontre. Mais rien n'a changé pour moi. Je suis juste plus tranquille maintenant, j'ai cette confiance et c'est la clef pour changer le jeu d'un joueur".
[*]
Créé le 15/02/2014 - 07:20
aladin- Messages : 115038
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
VAFC-Ducourtioux: ''On a été puni''
La mine des mauvais jours, David Ducourtioux l'avait après la leçon subie par Valenciennes sur la pelouse du Parc des Princes du PSG (3-0) en ouverture de la 25e journée de Ligue 1. Devant nos confrères de BeIN Sports, le milieu de terrain n'a pu cacher sa déception. "On les a laissés faire, surtout en première on les a trop respectés, et voilà", a indiqué le Valenciennois après la rencontre. Et d'expliquer enfin, lucide : "On a manqué d’agressivité, et forcément avec leur qualité technique on a été puni." Dix-huitième avant cette levée, le VAFC reste donc dans la zone rouge et compte toujours 2 points de retard sur Evian, 17e et premier non-relégable.
[*]
Créé le 14/02/2014 - 23:36
PSG-Sirigu: "Du bon boulot"
Victorieux de Valenciennes (3-0), au Parc des Princes, pour le compte de la 25e journée de Ligue 1, le PSG a parfaitement préparé son futur rendez-vous européen, mardi prochain, en 8e de finale aller de la Ligue des champions contre le Bayer Leverkusen. Un avis partagé par Salvatore Sirigu, le portier des champions de France, devant les caméras de BeIN SPORTS après l'opposition. "C’est du bon boulot", a-t-il d'abord expliqué. "Après le match contre Monaco, on devait retrouver la concrétisation. On est arrivé à marquer tout de suite, on a su creuser l’écart en seconde. On a fait ce que voulait le coach, on a fait ce qu’on sait faire", a-t-il ensuite ajouté. Et de préciser avant de négocier le Bayer : "Ce résultat nous donne de la confiance. Je pense qu’avec le temps on prend davantage de confiance. On a créé un groupe solide depuis quelque temps déjà. Il ne faut pas oublier qu’il n’y a pas que les matches. On travaille tous les jours pour améliorer cette équipe. On a fait tourner, c’est important pour la Ligue des champions d’avoir un effectif qui travaille ensemble pour progresser. On va jouer contre une équipe allemande très difficile, peut-être qu’on nous donne favoris, mais dans le foot on sait qu’il faut préparer les choses, pour que tout se passe bien sur le terrain. C’est ce qui va se passer mardi, et au match retour." Leader du championnat de France avec 8 longueurs d'avance sur Monaco avant le voyage du club de la Principauté sur la pelouse de Bastia, samedi à 17 heures, le Paris Saint-Germain peut effectivement s'attaquer sereinement à cette prochaine échéance...
La mine des mauvais jours, David Ducourtioux l'avait après la leçon subie par Valenciennes sur la pelouse du Parc des Princes du PSG (3-0) en ouverture de la 25e journée de Ligue 1. Devant nos confrères de BeIN Sports, le milieu de terrain n'a pu cacher sa déception. "On les a laissés faire, surtout en première on les a trop respectés, et voilà", a indiqué le Valenciennois après la rencontre. Et d'expliquer enfin, lucide : "On a manqué d’agressivité, et forcément avec leur qualité technique on a été puni." Dix-huitième avant cette levée, le VAFC reste donc dans la zone rouge et compte toujours 2 points de retard sur Evian, 17e et premier non-relégable.
[*]
Créé le 14/02/2014 - 23:36
PSG-Sirigu: "Du bon boulot"
Victorieux de Valenciennes (3-0), au Parc des Princes, pour le compte de la 25e journée de Ligue 1, le PSG a parfaitement préparé son futur rendez-vous européen, mardi prochain, en 8e de finale aller de la Ligue des champions contre le Bayer Leverkusen. Un avis partagé par Salvatore Sirigu, le portier des champions de France, devant les caméras de BeIN SPORTS après l'opposition. "C’est du bon boulot", a-t-il d'abord expliqué. "Après le match contre Monaco, on devait retrouver la concrétisation. On est arrivé à marquer tout de suite, on a su creuser l’écart en seconde. On a fait ce que voulait le coach, on a fait ce qu’on sait faire", a-t-il ensuite ajouté. Et de préciser avant de négocier le Bayer : "Ce résultat nous donne de la confiance. Je pense qu’avec le temps on prend davantage de confiance. On a créé un groupe solide depuis quelque temps déjà. Il ne faut pas oublier qu’il n’y a pas que les matches. On travaille tous les jours pour améliorer cette équipe. On a fait tourner, c’est important pour la Ligue des champions d’avoir un effectif qui travaille ensemble pour progresser. On va jouer contre une équipe allemande très difficile, peut-être qu’on nous donne favoris, mais dans le foot on sait qu’il faut préparer les choses, pour que tout se passe bien sur le terrain. C’est ce qui va se passer mardi, et au match retour." Leader du championnat de France avec 8 longueurs d'avance sur Monaco avant le voyage du club de la Principauté sur la pelouse de Bastia, samedi à 17 heures, le Paris Saint-Germain peut effectivement s'attaquer sereinement à cette prochaine échéance...
aladin- Messages : 115038
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Age : 38
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Aller le mardi 18 février 2014, Retour le mardi 11 mars 2014
7 bars diffusent ce match à Toulouse
Bayer Leverkusen
mar.18
20:45
mer.12
20:45
Paris-SG
Manchester City
mar.18
20:45
mer.12
20:45
FC Barcelone
6 bars diffusent ce match à Toulouse
Arsenal
mer.19
20:45
mar.11
20:45
Bayern Munich
1 bars diffusent ce match à Toulouse
AC Milan
mer.19
20:45
mar.11
20:45
Atletico Madrid
2 bars diffusent ce match à Toulouse
Zénith St-Petersbourg
mar.25
20:45
mer.19
20:45
Borussia Dortmund
4 bars diffusent ce match à Toulouse
Olympiakos
mar.25
20:45
mer.19
20:45
Manchester United
4 bars diffusent ce match à Toulouse
Galatasaray
mer.26
20:45
mar.18
20:45
Chelsea
1 bars diffusent ce match à Toulouse
Schalke 04
mer.26
20:45
mar.18
20:45
Real Madrid
7 bars diffusent ce match à Toulouse
Bayer Leverkusen
mar.18
20:45
mer.12
20:45
Paris-SG
Manchester City
mar.18
20:45
mer.12
20:45
FC Barcelone
6 bars diffusent ce match à Toulouse
Arsenal
mer.19
20:45
mar.11
20:45
Bayern Munich
1 bars diffusent ce match à Toulouse
AC Milan
mer.19
20:45
mar.11
20:45
Atletico Madrid
2 bars diffusent ce match à Toulouse
Zénith St-Petersbourg
mar.25
20:45
mer.19
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Borussia Dortmund
4 bars diffusent ce match à Toulouse
Olympiakos
mar.25
20:45
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Manchester United
4 bars diffusent ce match à Toulouse
Galatasaray
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Chelsea
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mar.18
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Real Madrid
internet34- Messages : 5458
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Pour le PSG, c'est le début de l'aventure
Publié le 18/02/2014 à 03:51
Tête haute, regard vers l'horizon : Zlatan Ibrahimovic veut aller loin dans une compétition qu'il n'a jamais remportée./ Photo AFP
leur pelouse. Alors…
La saison du Paris - Saint-Germain démarre réellement, ce soir, avec un déplacement à Leverkusen chez les Allemands du Bayer. Qui viennent de s’incliner 2 fois en 4 jours sur
R endez-vous «capital». Avant même le début de la saison, Laurent Blanc et les dirigeants qataris avaient coché la date sur leur calendrier. Huitième de finale de la C1 ou, formulé autrement, premier tour éliminatoire de la prestigieuse Coupe aux Grandes-Oreilles - dont le club francilien s’est fait un objectif à plus ou moins court terme, est-il utile de rappeler. Bref, le passeport pour les hautes sphères du foot continental est à composter entre aujourd’hui et la manche retour dans 3 semaines. Et nulle autre issue que la qualification serait ressentie comme un cuisant échec. Pour deux (bonnes) raisons : primo, le Paris-SG -pour continuer à progresser - ne peut légitimement faire moins bien que l’année dernière (quart de finale) ; deuzio, d’autant plus eu égard à son tirage que l’on taxera, en étant gentils encore, de clément.
On y est et la troupe à Blanc ne devra donc pas se rater, tout à l’heure, dans le repaire de la Ruhr… Elle est attendue au tournant, on l’a répété ; elle est largement donnée favorite, on l’a dit également. Sur le papier, pour la forme du moment plus dans l’ordre des rencontres puisque, 1re de poule, elle recevra au retour.
Quand on regarde l’effectif de Sami Hyypiä, en effet, il n’y a pas vraiment de quoi se relever la nuit. Allez, on citera Stefan Kiessling, meilleur canonnier de Bundesliga en 2012-2013, 10 buts en 21 matches de championnat cette année mais seulement 2 en phase de groupe. Au niveau quantitatif, le coach et ancien libero de Liverpool résume : «Paris a un ou deux internationaux pour chaque poste.»
Deuxième critère, le contexte. Pas besoin de dessin non plus. Tandis que dès vendredi (un jour de préparation en plus côté français, au passage) le PSG se baladait face à Valenciennes (3-0), le lendemain le Bayer perdait devant Shalke 04 (1-2). Si on parle chiffres, cela donne : Paris leader avec 5 points d’avance sur son dauphin monégasque ; Leverkusen 2e avec 16pts de retard sur le Bayern Munich. Ce qui se traduit par une certaine liberté d’esprit…
Enfin, les protégés de Laurent Blanc ont l’étoffe pour s’imposer n’importe où : succès 4-1 à l’Olympiakos et 5-0 à Anderlecht contre un seul revers 1-2 à Benfica cependant que le groupe était déjà ficelé. Quid des gars d’Hyypiä à domicile, inversement ? Deux victoires (face à la Real Sociedad 2-1 et le Shakhtar Donetsk 4-0) mais une débâcle 0-5 face aux Red Devils de Manchester United.
Le mot de la fin (faim ?) signé du roi «Ibra» : «Jouer notre jeu.»
Pas compliqué, finalement.
Publié le 18/02/2014 à 03:51
Tête haute, regard vers l'horizon : Zlatan Ibrahimovic veut aller loin dans une compétition qu'il n'a jamais remportée./ Photo AFP
leur pelouse. Alors…
La saison du Paris - Saint-Germain démarre réellement, ce soir, avec un déplacement à Leverkusen chez les Allemands du Bayer. Qui viennent de s’incliner 2 fois en 4 jours sur
R endez-vous «capital». Avant même le début de la saison, Laurent Blanc et les dirigeants qataris avaient coché la date sur leur calendrier. Huitième de finale de la C1 ou, formulé autrement, premier tour éliminatoire de la prestigieuse Coupe aux Grandes-Oreilles - dont le club francilien s’est fait un objectif à plus ou moins court terme, est-il utile de rappeler. Bref, le passeport pour les hautes sphères du foot continental est à composter entre aujourd’hui et la manche retour dans 3 semaines. Et nulle autre issue que la qualification serait ressentie comme un cuisant échec. Pour deux (bonnes) raisons : primo, le Paris-SG -pour continuer à progresser - ne peut légitimement faire moins bien que l’année dernière (quart de finale) ; deuzio, d’autant plus eu égard à son tirage que l’on taxera, en étant gentils encore, de clément.
On y est et la troupe à Blanc ne devra donc pas se rater, tout à l’heure, dans le repaire de la Ruhr… Elle est attendue au tournant, on l’a répété ; elle est largement donnée favorite, on l’a dit également. Sur le papier, pour la forme du moment plus dans l’ordre des rencontres puisque, 1re de poule, elle recevra au retour.
Quand on regarde l’effectif de Sami Hyypiä, en effet, il n’y a pas vraiment de quoi se relever la nuit. Allez, on citera Stefan Kiessling, meilleur canonnier de Bundesliga en 2012-2013, 10 buts en 21 matches de championnat cette année mais seulement 2 en phase de groupe. Au niveau quantitatif, le coach et ancien libero de Liverpool résume : «Paris a un ou deux internationaux pour chaque poste.»
Deuxième critère, le contexte. Pas besoin de dessin non plus. Tandis que dès vendredi (un jour de préparation en plus côté français, au passage) le PSG se baladait face à Valenciennes (3-0), le lendemain le Bayer perdait devant Shalke 04 (1-2). Si on parle chiffres, cela donne : Paris leader avec 5 points d’avance sur son dauphin monégasque ; Leverkusen 2e avec 16pts de retard sur le Bayern Munich. Ce qui se traduit par une certaine liberté d’esprit…
Enfin, les protégés de Laurent Blanc ont l’étoffe pour s’imposer n’importe où : succès 4-1 à l’Olympiakos et 5-0 à Anderlecht contre un seul revers 1-2 à Benfica cependant que le groupe était déjà ficelé. Quid des gars d’Hyypiä à domicile, inversement ? Deux victoires (face à la Real Sociedad 2-1 et le Shakhtar Donetsk 4-0) mais une débâcle 0-5 face aux Red Devils de Manchester United.
Le mot de la fin (faim ?) signé du roi «Ibra» : «Jouer notre jeu.»
Pas compliqué, finalement.
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Ligue Europe. Pourquoi pas Lyon ?
Publié le 17/02/2014 à 09:07
Ligue Europe. Pourquoi pas Lyon ?
Le chemin est très long encore, semé d’autant d’embûches que de déplacements en terres inconnues (comme cette balade à Odessa pour y affronter le Tchernomorets… en Ukraine et sur W9 & beIN 1). N’empêche : l’Olympique Lyonnais a une belle tête de vainqueur. En clair, la bande de Garde est taillée pour décrocher la petite Coupe d’Europe. Elle s’est remise sur les bons rails, a réintégré ses éléments moteur, recouvré par là-même un fonds de jeu en adoptant définitivement un 4-4-2 en losange qui lui sied, apparemment, au poil. Avec sa 4G : Gonalons, Gourcuff, Grenier, Gomis.
LE programme des 16es
Jeudi.-à 19h00 : Dniepropetrovsk (RUS) - Tottenham (ANG), Juventus (ITA) - Trabzonspor (TUR), Tchernomorets Odessa (UKR) - Lyon, Esbjerg (DAN) - Fiorentina (ITA), Anji Makhatchkala (RUS) - Genk (BEL), Dynamo Kiev (UKR) - Valence CF (ESP), PAOK Salonique (GRè) - Benfica (POR), Slovan Liberec (TCH) - AZ Alkmaar (HOL) ; à 21h05 : Betis Séville (ESP) - Rubin Kazan (RUS), Swansea (ANG) - Naples (ITA), Maribor (SLO) - FC Séville (ESP), Viktoria Plzen (TCH) - Shakhtar Donetsk (UKR), Lazio Rome (ITA) - Ludogorets (BUL), Ajax Amsterdam (HOL) - Salzbourg (AUT), Maccabi Tel-Aviv (ISR) - FC Bâle (SUI), FC Porto (POR) - Eintracht Francfort (ALL).
Matches retour le 27 février.
Publié le 17/02/2014 à 09:07
Ligue Europe. Pourquoi pas Lyon ?
Le chemin est très long encore, semé d’autant d’embûches que de déplacements en terres inconnues (comme cette balade à Odessa pour y affronter le Tchernomorets… en Ukraine et sur W9 & beIN 1). N’empêche : l’Olympique Lyonnais a une belle tête de vainqueur. En clair, la bande de Garde est taillée pour décrocher la petite Coupe d’Europe. Elle s’est remise sur les bons rails, a réintégré ses éléments moteur, recouvré par là-même un fonds de jeu en adoptant définitivement un 4-4-2 en losange qui lui sied, apparemment, au poil. Avec sa 4G : Gonalons, Gourcuff, Grenier, Gomis.
LE programme des 16es
Jeudi.-à 19h00 : Dniepropetrovsk (RUS) - Tottenham (ANG), Juventus (ITA) - Trabzonspor (TUR), Tchernomorets Odessa (UKR) - Lyon, Esbjerg (DAN) - Fiorentina (ITA), Anji Makhatchkala (RUS) - Genk (BEL), Dynamo Kiev (UKR) - Valence CF (ESP), PAOK Salonique (GRè) - Benfica (POR), Slovan Liberec (TCH) - AZ Alkmaar (HOL) ; à 21h05 : Betis Séville (ESP) - Rubin Kazan (RUS), Swansea (ANG) - Naples (ITA), Maribor (SLO) - FC Séville (ESP), Viktoria Plzen (TCH) - Shakhtar Donetsk (UKR), Lazio Rome (ITA) - Ludogorets (BUL), Ajax Amsterdam (HOL) - Salzbourg (AUT), Maccabi Tel-Aviv (ISR) - FC Bâle (SUI), FC Porto (POR) - Eintracht Francfort (ALL).
Matches retour le 27 février.
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Ligue de Champions. Les pronostics d'Éric Carrière
Publié le 17/02/2014 à 03:50, Mis à jour le 17/02/2014 à 09:06
Interview. Éric Carrière, 40 ans, consultant Canal+ (il sera aux commentaires demain, en Allemagne).
Éric Carrière.
Fin et élégant. Celui qui débuta sa carrière, chez nous, à Muret (D3), n’a pas changé en passant de l’autre côté de la barrière - micro en main. Depuis 2010, il régale les téléspectateurs par la justesse de ses analyses. Entre son restaurant à Dijon et ses vignes en Côte-d’Or. Pour La Dépêche, cet homme de bonne chère s’est jeté… à l’eau.
Bayer Leverkusen 30% - Paris-SG 70% : «Paris est le grand favori, sans souci. Après, prendre cette équipe du Bayer à la légère serait une grossière erreur. N’oublions pas qu’elle est 2e en Bundesliga, derrière le Bayern qui survole tout mais devant le Borussia. Soit les deux derniers finalistes de l’épreuve ! De quoi avoir une idée du niveau… Ce n’est pas un épouvantail, c’est allemand. Donc très discipliné, rigoureux, costaud. Le PSG qui peut s’imposer n’importe où, a les moyens de poser ses jalons dès ce match aller.»
Manchester City 50% - FC Barcelone 50% : «L’affiche attendue. Les Citizens effrayaient pas mal de monde au moment du tirage. Deux mois plus tard, le sentiment est le même : la formation de Pellegrini paraît toujours autant redoutable avec un potentiel offensif hors-normes. Cependant que le Barça s’est refait la cerise. (Son) Messi est de retour, Neymar également. Alors…»
AC Milan 50% - Atlético Madrid 50% : «Ici aussi, c’est un peu la bouteille à la mer… Les Rossoneri ont l’expérience pour eux, les «Colchoneros» sont la révélation de la saison en Liga.»
Arsenal 20% - Bayern Munich 80% : «Je ne me pose même pas la question, tant l’équipe de Franck Ribéry est une machine. En plus, ce qui me frappe chez les Gunners, c’est leur incapacité à changer de rythme. Ils me semblent trop poussifs, quoi.»
Zénith St-Pétersbourg 30% - Borussia Dortmund 70% : «Encore, à mon sens, un 8e fort déséquilibré. Les Russes sont en pleine trêve, de surcroît - ce qui ne va nullement arranger leurs affaires. Je pense qu’ils sont déjà contents d’être là ; tandis que les Jaune et Noir, même distancés en championnat, continuent de
présenter une sacrée armada aux avant-postes.»
Olympiakos/Le Pirée 20% - Manchester United 80% : «Même s’il n’est plus le joueur d’il y a quelques années, Rooney reste Rooney. Son impact sur ses coéquipiers tout autant. Puis les Red Devils n’ont plus que l’Europe pour sauver leur saison… »
Galasaray Istanbul 15% - Chelsea 85% : «Drôle de partie pour Drogba, qui remporta presque à lui tout seul l’édition 2012 avec les Blues. Où Hazard, aujourd’hui, s’affirme comme l’attaquant N°3 au monde derrière Messi et Ronaldo. Ah... José Mourinho, on n’aime ou on n’aime pas ; mais le «Special One» n’a pas son pareil pour tirer la substantifique moelle d’un groupe. Les Anglais m’ont l’air intouchables en ce moment, surtout sur 2 matches.»
Schalke 04 20% - Real Madrid 80% : «Les Allemands, 2es de poule, n’ont aucune chance. La troupe d’Ancelotti traverse une période faste : distancée à un moment par le duo Barça-Atlético, elle a refait son retard à la vitesse de la lumière. Impressionnant.»
Publié le 17/02/2014 à 03:50, Mis à jour le 17/02/2014 à 09:06
Interview. Éric Carrière, 40 ans, consultant Canal+ (il sera aux commentaires demain, en Allemagne).
Éric Carrière.
Fin et élégant. Celui qui débuta sa carrière, chez nous, à Muret (D3), n’a pas changé en passant de l’autre côté de la barrière - micro en main. Depuis 2010, il régale les téléspectateurs par la justesse de ses analyses. Entre son restaurant à Dijon et ses vignes en Côte-d’Or. Pour La Dépêche, cet homme de bonne chère s’est jeté… à l’eau.
Bayer Leverkusen 30% - Paris-SG 70% : «Paris est le grand favori, sans souci. Après, prendre cette équipe du Bayer à la légère serait une grossière erreur. N’oublions pas qu’elle est 2e en Bundesliga, derrière le Bayern qui survole tout mais devant le Borussia. Soit les deux derniers finalistes de l’épreuve ! De quoi avoir une idée du niveau… Ce n’est pas un épouvantail, c’est allemand. Donc très discipliné, rigoureux, costaud. Le PSG qui peut s’imposer n’importe où, a les moyens de poser ses jalons dès ce match aller.»
Manchester City 50% - FC Barcelone 50% : «L’affiche attendue. Les Citizens effrayaient pas mal de monde au moment du tirage. Deux mois plus tard, le sentiment est le même : la formation de Pellegrini paraît toujours autant redoutable avec un potentiel offensif hors-normes. Cependant que le Barça s’est refait la cerise. (Son) Messi est de retour, Neymar également. Alors…»
AC Milan 50% - Atlético Madrid 50% : «Ici aussi, c’est un peu la bouteille à la mer… Les Rossoneri ont l’expérience pour eux, les «Colchoneros» sont la révélation de la saison en Liga.»
Arsenal 20% - Bayern Munich 80% : «Je ne me pose même pas la question, tant l’équipe de Franck Ribéry est une machine. En plus, ce qui me frappe chez les Gunners, c’est leur incapacité à changer de rythme. Ils me semblent trop poussifs, quoi.»
Zénith St-Pétersbourg 30% - Borussia Dortmund 70% : «Encore, à mon sens, un 8e fort déséquilibré. Les Russes sont en pleine trêve, de surcroît - ce qui ne va nullement arranger leurs affaires. Je pense qu’ils sont déjà contents d’être là ; tandis que les Jaune et Noir, même distancés en championnat, continuent de
présenter une sacrée armada aux avant-postes.»
Olympiakos/Le Pirée 20% - Manchester United 80% : «Même s’il n’est plus le joueur d’il y a quelques années, Rooney reste Rooney. Son impact sur ses coéquipiers tout autant. Puis les Red Devils n’ont plus que l’Europe pour sauver leur saison… »
Galasaray Istanbul 15% - Chelsea 85% : «Drôle de partie pour Drogba, qui remporta presque à lui tout seul l’édition 2012 avec les Blues. Où Hazard, aujourd’hui, s’affirme comme l’attaquant N°3 au monde derrière Messi et Ronaldo. Ah... José Mourinho, on n’aime ou on n’aime pas ; mais le «Special One» n’a pas son pareil pour tirer la substantifique moelle d’un groupe. Les Anglais m’ont l’air intouchables en ce moment, surtout sur 2 matches.»
Schalke 04 20% - Real Madrid 80% : «Les Allemands, 2es de poule, n’ont aucune chance. La troupe d’Ancelotti traverse une période faste : distancée à un moment par le duo Barça-Atlético, elle a refait son retard à la vitesse de la lumière. Impressionnant.»
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Leverkusen - PSG : une formalité pour les Parisiens ?
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Publié le 18/02/2014 à 06h00 , modifié le 18/02/2014 à 07h17
Les Parisiens partent largement favori devant le club allemand, pourtant deuxième de la Bundesliga. Mais ce retour sur la scène européenne sera un test compliqué.
Laurent Blanc, hier à Leverkusen. Le PSG est concentré et décidé à imposer son jeu. © Photo
photo afp
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Paris voit loin dans cette édition de la Ligue des Champions, et rêve légitimement de la finale du 24 mai à Lisbonne. Au point que le 8e de finale contre le Bayer Leverkusen pourrait apparaître comme une formalité.
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Laurent Blanc et ses joueurs ne commettront sans doute pas l'erreur de prendre à la légère leur adversaire, quand bien même le Bayer connaît une mauvaise passe sur le plan des résultats (lire ci-contre), et sort d'une semaine éprouvante. L'équipe a disputé et perdu une prolongation mardi dernier, livré un gros match contre le 4e samedi, alors que le PSG s'est promené vendredi contre Valenciennes (3-0).
Mais Laurent Blanc rassurait hier sur la mobilisation de ses troupes. « Cette rencontre, on l'attend depuis longtemps. Après Valenciennes, on a ressenti un regain de concentration à l'entraînement. C'est l'odeur des grands matches. »
Leverkusen sera moins handicapé que prévu puisque Spahic, défenseur central, un temps incertain, devrait être sur le terrain face à Ibrahimovic. Manqueront le milieu Can et l'attaquant Suisse Derdiyok. à Paris, Cavani et Jallet sont indisponibles.
Dans leurs déclarations d'hier, les entraîneurs ont livré une analyse comparable du match. « Il faudra avoir le ballon, assurait Blanc. Le fait d'avoir le ballon permet d'imposer son jeu à l'adversaire. Le Bayer joue assez bas et part en contre-attaque très rapidement. Je ne serais pas étonné qu'on ait une grosse possession de ballon, que le Bayer accepte de nous le laisser pour mieux tenter de nous contrer. Mais on ne va pas changer notre façon de jouer. Ce qu'il faudra surtout, c'est être dangereux et efficace, là, ce sera encore mieux. Avant d'imposer son combat physique, son combat tactique, il faut avoir le ballon. »
Sami Hyypia, l'entraîneur finlandais du Bayer, a souhaité, lui, une réponse collective de son équipe pour « faire en sorte que Zlatan hérite du moins de ballons possibles. Essayons de le tenir loin du but, on verra alors s'il pourra marquer », mais en insistant sur la qualité collective du PSG.
« Zlatan reste notre meilleur atout pour marquer. C'est le joueur sur lequel le Bayer va se focaliser », estimait Blanc. Il répondra présent, c'est un compétiteur hors norme. Ce type de match le motive plus que ceux de championnat. »
L'entraîneur parisien a expliqué en détail en quoi il se méfiait de Leverkusen, qui marque beaucoup sur coups de pieds arrêtés, « une des clés du match oui, mais pas la seule. C'est une équipe athlétique, donc forcément dans les airs, on est en déficit par rapport à eux. Paradoxalement, ils prennent des buts eux aussi sur coups de pieds arrêtés. Ils sont meilleurs offensivement que défensivement. Le fait est qu'on ne pourra pas lutter, car on ne prendra pas 10 cm en une nuit. Et ça tombe bien car ce n'est pas notre philosophie de jeu. Si demain on n'impose pas notre jeu, si le Bayer impose ses contres et s'il y a beaucoup de coups de pieds arrêtés, on va souffrir. »
Blanc a dit aussi tout le bien qu'il pensait de Kiessling, l'avant-centre allemand. « C'est un buteur. On peut le comparer à Zlatan, il est très présent sur le front de l'attaque, il a un potentiel physique assez important. Il aime aussi les espaces. C'est pour ça qu'il marque beaucoup. C'est un excellent joueur. »
Même si Kiessling reste scotché à 10 buts, dont 9 marqués lors des 14 premières journées, l'avertissement n'est pas exagéré. Le joueur méconnu était meilleur buteur l'an passé devant Lewandowski (Dortmund) et Mandzukic (Bayern). Et Leverkusen, bien que battu samedi par Schalke 04, a accumulé les occasions. Attention au réveil possible…
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Publié le 18/02/2014 à 06h00 , modifié le 18/02/2014 à 07h17
Les Parisiens partent largement favori devant le club allemand, pourtant deuxième de la Bundesliga. Mais ce retour sur la scène européenne sera un test compliqué.
Laurent Blanc, hier à Leverkusen. Le PSG est concentré et décidé à imposer son jeu. © Photo
photo afp
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Paris voit loin dans cette édition de la Ligue des Champions, et rêve légitimement de la finale du 24 mai à Lisbonne. Au point que le 8e de finale contre le Bayer Leverkusen pourrait apparaître comme une formalité.
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Laurent Blanc et ses joueurs ne commettront sans doute pas l'erreur de prendre à la légère leur adversaire, quand bien même le Bayer connaît une mauvaise passe sur le plan des résultats (lire ci-contre), et sort d'une semaine éprouvante. L'équipe a disputé et perdu une prolongation mardi dernier, livré un gros match contre le 4e samedi, alors que le PSG s'est promené vendredi contre Valenciennes (3-0).
Mais Laurent Blanc rassurait hier sur la mobilisation de ses troupes. « Cette rencontre, on l'attend depuis longtemps. Après Valenciennes, on a ressenti un regain de concentration à l'entraînement. C'est l'odeur des grands matches. »
Leverkusen sera moins handicapé que prévu puisque Spahic, défenseur central, un temps incertain, devrait être sur le terrain face à Ibrahimovic. Manqueront le milieu Can et l'attaquant Suisse Derdiyok. à Paris, Cavani et Jallet sont indisponibles.
Dans leurs déclarations d'hier, les entraîneurs ont livré une analyse comparable du match. « Il faudra avoir le ballon, assurait Blanc. Le fait d'avoir le ballon permet d'imposer son jeu à l'adversaire. Le Bayer joue assez bas et part en contre-attaque très rapidement. Je ne serais pas étonné qu'on ait une grosse possession de ballon, que le Bayer accepte de nous le laisser pour mieux tenter de nous contrer. Mais on ne va pas changer notre façon de jouer. Ce qu'il faudra surtout, c'est être dangereux et efficace, là, ce sera encore mieux. Avant d'imposer son combat physique, son combat tactique, il faut avoir le ballon. »
Sami Hyypia, l'entraîneur finlandais du Bayer, a souhaité, lui, une réponse collective de son équipe pour « faire en sorte que Zlatan hérite du moins de ballons possibles. Essayons de le tenir loin du but, on verra alors s'il pourra marquer », mais en insistant sur la qualité collective du PSG.
« Zlatan reste notre meilleur atout pour marquer. C'est le joueur sur lequel le Bayer va se focaliser », estimait Blanc. Il répondra présent, c'est un compétiteur hors norme. Ce type de match le motive plus que ceux de championnat. »
L'entraîneur parisien a expliqué en détail en quoi il se méfiait de Leverkusen, qui marque beaucoup sur coups de pieds arrêtés, « une des clés du match oui, mais pas la seule. C'est une équipe athlétique, donc forcément dans les airs, on est en déficit par rapport à eux. Paradoxalement, ils prennent des buts eux aussi sur coups de pieds arrêtés. Ils sont meilleurs offensivement que défensivement. Le fait est qu'on ne pourra pas lutter, car on ne prendra pas 10 cm en une nuit. Et ça tombe bien car ce n'est pas notre philosophie de jeu. Si demain on n'impose pas notre jeu, si le Bayer impose ses contres et s'il y a beaucoup de coups de pieds arrêtés, on va souffrir. »
Blanc a dit aussi tout le bien qu'il pensait de Kiessling, l'avant-centre allemand. « C'est un buteur. On peut le comparer à Zlatan, il est très présent sur le front de l'attaque, il a un potentiel physique assez important. Il aime aussi les espaces. C'est pour ça qu'il marque beaucoup. C'est un excellent joueur. »
Même si Kiessling reste scotché à 10 buts, dont 9 marqués lors des 14 premières journées, l'avertissement n'est pas exagéré. Le joueur méconnu était meilleur buteur l'an passé devant Lewandowski (Dortmund) et Mandzukic (Bayern). Et Leverkusen, bien que battu samedi par Schalke 04, a accumulé les occasions. Attention au réveil possible…
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Mon meilleur souvenir »
Allez répondre, comme ça, presque sans réfléchir, à la question : « si vous ne deviez en retenir qu’un, quel serait votre meilleur souvenir de Ligue des Champions ». Nous avons profité d’un point presse organisé pour nous rappeler son dispositif Coupe d’Europe qui débutent demain (7 matchs sur 8 en direct) et de la présence d’une majorité de son équipe de journalistes et consultants pour le leur demander. Tous ont répondu au pied du prestigieux trophée que la chaîne a réussi à faire venir dans ses locaux pour l’exposer à l’antenne toute la semaine. Vous serez surpris de certaines réponses. Et tous nous ont donné leur avis sur le PSG. Mais ça, c’est pour demain !
Christophe Josse
« La finale Barcelone – Manchester United (3-1) à Wembley en mai 2011. D’abord parce qu’elle était à Wembley, le nouveau Wembley, un cadre féérique, le terrain magnifique, une ambiance extraordinaire. Une qualité de football exceptionnelle avec Barcelone dans sa plénitude absolue, au sommet de son art. Cette finale, dans ce lieu, réunissait tout ce qu’on peut rêver de la beauté du football, d’une finale de cette compétition. Ce match restera gravé parce qu’il y avait tout de réuni, il symbolise tout le faste du football de haut niveau, moderne. Et les joueurs avaient compris ça, s’étaient sublimés, même si Barcelone était nettement supérieure. »
Omar Da Fonseca
« Un quart de finale entre Manchester United et Real Madrid en 2003, à Old Trafford avec ce score incroyable de 4-3, un triplé de Ronaldo, ça c’était un match incroyable. Dortmund contre Malaga aussi, mais Patrice Ferri et Julien Brun vous en ont parlé (rires).
Et puis, bien sûr, les matchs du FC Barcelone, les buts de Messi, la finale contre Manchester United à Wembley en 2011 (Barcelone l’emporte 3-1), où Manchester n’avait pas vu le jour, c’était un festival total (il s’emballe, tout comme son accent !), les espagnols ont confisqué le ballon, les joueurs Anglais ont dû appeler le kiné à la fin du match tellement ils avaient été baladés…(rires).
Et la « remuntada », Barcelone – Milan, l’an dernier. Barcelone avait perdu 2-0 à Milan. Ils leur collent un 4-0 au Camp Nou avec une fusée de Messi dès la 5e minute ! (ça y est Omar est chaud, il se met à mimer !) : le petit (Messi, ndlr) il a pris le ballon et il a fait « bim », il a sorti une espèce de jet, de truc… La balle est partie tellement vite qu’on ne l’a pas vue (rires).
Sans minimiser les championnats nationaux, la Ligue des Champions c’est un cran au-dessus, les joueurs, inconsciemment, se subliment pour ces matchs de coupe d’Europe, ça va plus vite, plus technique, c’est plus beau, plus fort, c’est le haut de la pyramide ! A mon époque, on jouait sur des pelouses médiocres, il n’y avait pas autant de médiatisation, ni autant de stars et de business autour de la compétition. J’aurais aimé jouer cette compétition aujourd’hui (d’un air rêveur) »
Patrice Ferri
« Un match seulement ? C’est dur ! (rires). Allez, comme ça, le quart de finale retour, l’an dernier, entre Dortmund et Malaga (3-2) avec ce final complètement fou et deux buts allemands dans le temps additionnel qui qualifient Dortmund en demi. Il n’y avait pas un spectateur parti du stade. L’ambiance était ahurissante, complètement folle, magique. J’étais aux commentaires, on était debout en tribune presse (rires). J’ai bien mis deux heures pour redescendre de cette excitation.
Le foot allemand a toujours été mal vendu alors qu’il y a une qualité de jeu, une maturité des équipes qu’on trouve assez rarement ailleurs, de vrais talents, une vraie discipline de jeu, les stades sont parfaits. Il gagne à être connu. D’ailleurs de plus en plus de français y évoluent, à commencer par Ribéry que l’on voyait aller à Barcelone ou un grand club anglais ou italien et qui a préféré le Bayern Munich à un moment où le Bayern débutait un nouveau cycle, donc sans garanties. Et on a vu ce que ça a donné ensuite. Je suis ravi car je vais commenter Arsenal – Bayern et je fais encore des Allemands mes favoris pour le titre. »
Luis Fernandez
« C’est en tant qu’entraîneur du PSG, en avril 1995, en demi-finale aller contre le Milan AC au Parc des Princes. Et pas un petit Milan AC ou celui d’aujourd’hui que j’aurais préféré rencontré à l’époque. Là, il y avait la grosse équipe de Capello, avec Desailly, Maldini, Baresi, Simone, etc. On perd 1-0 à la 90e minute. On s’est fait exploser au retour (2-0). J’ai été fier de ce match tout comme je n’oublierai jamais le quart de finale retour, toujours en 1995, contre le Barcelone de Cruyff, qui était mon idole comme joueur et entraîneur et que l’on bat 2-1 (Raï et Guérin), toujours au Parc après avoir fait le nul 1-1 chez eux à l’aller. »
Bruno Cheyrou :
« Pour moi ça reste la finale de l’OM contre le Milan en 1993 et la victoire de Marseille avec cette tête de Boli. C’est ce qui a fait que l’OM est devenu un club aussi populaire et d’entraîner derrière cette équipe toute une génération comme la mienne. J’avais 15 ans. Ce sont mes premiers grands souvenirs de télé, mes premiers souvenirs de victoires françaises. Je me souviens encore où j’étais, chez moi, à Colombes. Ca restera ancré tout le temps. Et puis ce match m’a donné envie encore plus de devenir joueur professionnel. Après, j’ai eu la chance de la jouer et d’avoir d’autres émotions. Et maintenant, j’ai à nouveau une place privilégiée de pouvoir continuer à vivre ces émotions, en tant que consultant. »
Julien Brun
« Personnellement, c’est le Dortmund – Malaga, comme Patrice Ferri. Franchement, ce match réunissait tout ce que tu imagines de la Ligue des Champions. C’est la compétition que je préfère par-dessus toutes et, ce soir-là, il y avait tout : Un stade merveilleux, une pelouse parfaite, le jeu, l’émotion, l’ambiance de folie dans le mur des supporters de Dortmund avec des tifos exceptionnels, un match à rebondissements, deux buts dans le temps additionnel, un scénario qui fait passer par toutes les émotions, toutes les couleurs. En France, il n’a peut-être pas eu le retentissement que ça méritait, mais c’était un match de dingue ! Et pourtant, je n’étais pas partie prenante. Mais sur le moment, j’ai eu l’impression de vivre quelque chose d’extra-ordinaire en commun non seulement avec les spectateurs, mais aussi avec les journalistes étrangers en tribune de presse. J’avais des confrères danois qui commentaient le match à côté de moi, on se regardait, on sautait ensembles, on se tapait dans la main tellement on était heureux et privilégiés de vivre ces grands moments-là. Ca dure cinq-dix minutes mais c’est un moment de partage rare.
Ensuite, en tant que téléspectateur, dans mon canapé, la finale entre Liverpool et Milan de 2005 avec là aussi un scénario incroyable (3-3) reste inoubliable. »
Alexandre Ruiz
« Pour moi c’est le match Galatasaray – Real Madrid parce qu’il illustre parfaitement ce qu’on essaye de faire à beIN Sports depuis notre création. Il était encore assez tôt avant le match. Nous étions dans ce stade qui est juste une fournaise. En plateau, au bord de la pelouse, Jean-Pierre Papin avait un peu faim et s’est mis à manger un kebab turc. Derrière nous l’échauffement des équuipes commençait. Et Didier Drogba voit Jean-Pierre et Sonny (Anderson). Il arrête son échauffement et vient leur taper la bise !
Ce moment, c’est celui que j’aurais envie de voir si j’étais devant ma télé. C’est ce que nous voulons procurer à nos abonnés. Cette grandeur de la Ligue des Champions avec d’énormes joueurs, mais aussi d’anciennes stars aux postes de consultants. »
Florent Houzot (directeur de la rédaction)
« J’ai une image qui me vient immédiatement à l’esprit, celle de José Mourinho, qui à un quart d’heure du coup d’envoi d’un match décisif, vient au bord de la pelouse saluer nos consultants Sonny Anderson, Jean-Pierre Papin, Patrick Vieira, Robert Pires. Là je suis à la fois fier d’avoir un plateau au bord de la pelouse et de me dire que nos consultants représentent quelque chose pour des hommes aussi prestigieux dans le monde du foot que Mourinho. Ils prennent le temps de venir voir des consultants qui ont marqué cette compétition. C’est que notre casting est le bon, c’est que nous sommes crédibles dans notre offre.
Personnellement, je retiendrai peut-être la finale en 2012, entre Chelsea et le Bayern de Munich, avec le but égalisateur de Drogba et ce final aux tirs aux buts. La première victoire en Ligue des Champions de Chelsea. Elle symbolise le suspense, le spectacle, l’incertitude du sport, l’émotion, qu’une telle compétition peut réserver. C’est la plus belle compétition de foot, tous les ans »
Allez répondre, comme ça, presque sans réfléchir, à la question : « si vous ne deviez en retenir qu’un, quel serait votre meilleur souvenir de Ligue des Champions ». Nous avons profité d’un point presse organisé pour nous rappeler son dispositif Coupe d’Europe qui débutent demain (7 matchs sur 8 en direct) et de la présence d’une majorité de son équipe de journalistes et consultants pour le leur demander. Tous ont répondu au pied du prestigieux trophée que la chaîne a réussi à faire venir dans ses locaux pour l’exposer à l’antenne toute la semaine. Vous serez surpris de certaines réponses. Et tous nous ont donné leur avis sur le PSG. Mais ça, c’est pour demain !
Christophe Josse
« La finale Barcelone – Manchester United (3-1) à Wembley en mai 2011. D’abord parce qu’elle était à Wembley, le nouveau Wembley, un cadre féérique, le terrain magnifique, une ambiance extraordinaire. Une qualité de football exceptionnelle avec Barcelone dans sa plénitude absolue, au sommet de son art. Cette finale, dans ce lieu, réunissait tout ce qu’on peut rêver de la beauté du football, d’une finale de cette compétition. Ce match restera gravé parce qu’il y avait tout de réuni, il symbolise tout le faste du football de haut niveau, moderne. Et les joueurs avaient compris ça, s’étaient sublimés, même si Barcelone était nettement supérieure. »
Omar Da Fonseca
« Un quart de finale entre Manchester United et Real Madrid en 2003, à Old Trafford avec ce score incroyable de 4-3, un triplé de Ronaldo, ça c’était un match incroyable. Dortmund contre Malaga aussi, mais Patrice Ferri et Julien Brun vous en ont parlé (rires).
Et puis, bien sûr, les matchs du FC Barcelone, les buts de Messi, la finale contre Manchester United à Wembley en 2011 (Barcelone l’emporte 3-1), où Manchester n’avait pas vu le jour, c’était un festival total (il s’emballe, tout comme son accent !), les espagnols ont confisqué le ballon, les joueurs Anglais ont dû appeler le kiné à la fin du match tellement ils avaient été baladés…(rires).
Et la « remuntada », Barcelone – Milan, l’an dernier. Barcelone avait perdu 2-0 à Milan. Ils leur collent un 4-0 au Camp Nou avec une fusée de Messi dès la 5e minute ! (ça y est Omar est chaud, il se met à mimer !) : le petit (Messi, ndlr) il a pris le ballon et il a fait « bim », il a sorti une espèce de jet, de truc… La balle est partie tellement vite qu’on ne l’a pas vue (rires).
Sans minimiser les championnats nationaux, la Ligue des Champions c’est un cran au-dessus, les joueurs, inconsciemment, se subliment pour ces matchs de coupe d’Europe, ça va plus vite, plus technique, c’est plus beau, plus fort, c’est le haut de la pyramide ! A mon époque, on jouait sur des pelouses médiocres, il n’y avait pas autant de médiatisation, ni autant de stars et de business autour de la compétition. J’aurais aimé jouer cette compétition aujourd’hui (d’un air rêveur) »
Patrice Ferri
« Un match seulement ? C’est dur ! (rires). Allez, comme ça, le quart de finale retour, l’an dernier, entre Dortmund et Malaga (3-2) avec ce final complètement fou et deux buts allemands dans le temps additionnel qui qualifient Dortmund en demi. Il n’y avait pas un spectateur parti du stade. L’ambiance était ahurissante, complètement folle, magique. J’étais aux commentaires, on était debout en tribune presse (rires). J’ai bien mis deux heures pour redescendre de cette excitation.
Le foot allemand a toujours été mal vendu alors qu’il y a une qualité de jeu, une maturité des équipes qu’on trouve assez rarement ailleurs, de vrais talents, une vraie discipline de jeu, les stades sont parfaits. Il gagne à être connu. D’ailleurs de plus en plus de français y évoluent, à commencer par Ribéry que l’on voyait aller à Barcelone ou un grand club anglais ou italien et qui a préféré le Bayern Munich à un moment où le Bayern débutait un nouveau cycle, donc sans garanties. Et on a vu ce que ça a donné ensuite. Je suis ravi car je vais commenter Arsenal – Bayern et je fais encore des Allemands mes favoris pour le titre. »
Luis Fernandez
« C’est en tant qu’entraîneur du PSG, en avril 1995, en demi-finale aller contre le Milan AC au Parc des Princes. Et pas un petit Milan AC ou celui d’aujourd’hui que j’aurais préféré rencontré à l’époque. Là, il y avait la grosse équipe de Capello, avec Desailly, Maldini, Baresi, Simone, etc. On perd 1-0 à la 90e minute. On s’est fait exploser au retour (2-0). J’ai été fier de ce match tout comme je n’oublierai jamais le quart de finale retour, toujours en 1995, contre le Barcelone de Cruyff, qui était mon idole comme joueur et entraîneur et que l’on bat 2-1 (Raï et Guérin), toujours au Parc après avoir fait le nul 1-1 chez eux à l’aller. »
Bruno Cheyrou :
« Pour moi ça reste la finale de l’OM contre le Milan en 1993 et la victoire de Marseille avec cette tête de Boli. C’est ce qui a fait que l’OM est devenu un club aussi populaire et d’entraîner derrière cette équipe toute une génération comme la mienne. J’avais 15 ans. Ce sont mes premiers grands souvenirs de télé, mes premiers souvenirs de victoires françaises. Je me souviens encore où j’étais, chez moi, à Colombes. Ca restera ancré tout le temps. Et puis ce match m’a donné envie encore plus de devenir joueur professionnel. Après, j’ai eu la chance de la jouer et d’avoir d’autres émotions. Et maintenant, j’ai à nouveau une place privilégiée de pouvoir continuer à vivre ces émotions, en tant que consultant. »
Julien Brun
« Personnellement, c’est le Dortmund – Malaga, comme Patrice Ferri. Franchement, ce match réunissait tout ce que tu imagines de la Ligue des Champions. C’est la compétition que je préfère par-dessus toutes et, ce soir-là, il y avait tout : Un stade merveilleux, une pelouse parfaite, le jeu, l’émotion, l’ambiance de folie dans le mur des supporters de Dortmund avec des tifos exceptionnels, un match à rebondissements, deux buts dans le temps additionnel, un scénario qui fait passer par toutes les émotions, toutes les couleurs. En France, il n’a peut-être pas eu le retentissement que ça méritait, mais c’était un match de dingue ! Et pourtant, je n’étais pas partie prenante. Mais sur le moment, j’ai eu l’impression de vivre quelque chose d’extra-ordinaire en commun non seulement avec les spectateurs, mais aussi avec les journalistes étrangers en tribune de presse. J’avais des confrères danois qui commentaient le match à côté de moi, on se regardait, on sautait ensembles, on se tapait dans la main tellement on était heureux et privilégiés de vivre ces grands moments-là. Ca dure cinq-dix minutes mais c’est un moment de partage rare.
Ensuite, en tant que téléspectateur, dans mon canapé, la finale entre Liverpool et Milan de 2005 avec là aussi un scénario incroyable (3-3) reste inoubliable. »
Alexandre Ruiz
« Pour moi c’est le match Galatasaray – Real Madrid parce qu’il illustre parfaitement ce qu’on essaye de faire à beIN Sports depuis notre création. Il était encore assez tôt avant le match. Nous étions dans ce stade qui est juste une fournaise. En plateau, au bord de la pelouse, Jean-Pierre Papin avait un peu faim et s’est mis à manger un kebab turc. Derrière nous l’échauffement des équuipes commençait. Et Didier Drogba voit Jean-Pierre et Sonny (Anderson). Il arrête son échauffement et vient leur taper la bise !
Ce moment, c’est celui que j’aurais envie de voir si j’étais devant ma télé. C’est ce que nous voulons procurer à nos abonnés. Cette grandeur de la Ligue des Champions avec d’énormes joueurs, mais aussi d’anciennes stars aux postes de consultants. »
Florent Houzot (directeur de la rédaction)
« J’ai une image qui me vient immédiatement à l’esprit, celle de José Mourinho, qui à un quart d’heure du coup d’envoi d’un match décisif, vient au bord de la pelouse saluer nos consultants Sonny Anderson, Jean-Pierre Papin, Patrick Vieira, Robert Pires. Là je suis à la fois fier d’avoir un plateau au bord de la pelouse et de me dire que nos consultants représentent quelque chose pour des hommes aussi prestigieux dans le monde du foot que Mourinho. Ils prennent le temps de venir voir des consultants qui ont marqué cette compétition. C’est que notre casting est le bon, c’est que nous sommes crédibles dans notre offre.
Personnellement, je retiendrai peut-être la finale en 2012, entre Chelsea et le Bayern de Munich, avec le but égalisateur de Drogba et ce final aux tirs aux buts. La première victoire en Ligue des Champions de Chelsea. Elle symbolise le suspense, le spectacle, l’incertitude du sport, l’émotion, qu’une telle compétition peut réserver. C’est la plus belle compétition de foot, tous les ans »
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Sirigu : «L’Europe a plus de respect pour le PSG»
Par Romain Schneider, 17-02-2014
Salvatore Sirigu se plait à Paris -
Rencontre avec le gardien parisien avant le 8e de finale de la Ligue des champions, mardi, à Leverkusen.
Arrivé en 2011 à Paris dans un certain anonymat, Salvatore Sirigu s’est imposé comme le dernier rempart incontournable du PSG. Dans un français impeccable, le Sarde, détendu et souriant, s’est longuement confié au Figaro avant les 8es de finale de la Ligue des champions.
Le Figaro: À quel genre de match vous attendez-vous à Leverkusen ?
Salvatore Sirigu : Il faut avoir un maximum de respect pour cet adversaire, car il ne va pas nous rendre la vie facile. Je ne m’attends pas à voir une équipe de Leverkusen défensive. Elle va essayer d’imprimer beaucoup de rythme. Mais on va tenter d’imposer notre jeu. À nous d’inscrire le but important à l’extérieur pour bien aborder le match retour au Parc des Princes (le 12 mars).
Le Paris SG peut-il remporter la Ligue des champions dès cette année ?
Ce sera très difficile, mais pas impossible. Il y a pas mal de clubs qui ont attendu longtemps avant de décrocher un titre de champion d’Europe. Nous, on a grandi très vite, avec une équipe aujourd’hui très solide sur le terrain. L’année passée, on découvrait la compétition. Désormais, l’Europe a plus de respect pour le PSG. Mais on ne se monte pas la tête, on n’est qu’en 8es de finale. Il ne faut pas se projeter sur une éventuelle finale.
Paris semble tout de même avoir franchi un cap…
On peut avoir l’impression que l’on joue mieux parce qu’il y a une ossature et que l’on évolue ensemble depuis pas mal de temps. La saison dernière, c’était une autre façon de jouer, avec un autre système. Cette année, on s’est amélioré dans la possession de balle. On ne veut lâcher aucune compétition. C’est ce qui nous fait grandir aussi. Cette envie de toujours gagner les matches.
(sourires) Parfois oui, il arrive que tu ne sois pas en danger pendant toute une rencontre, et tu ne sais pas si tu es bien entré dedans car tu n’as pas grand-chose à faire. C’est parfois difficile de rester concentré, c’est vrai. Lors de la première année, j’avais plus de parades à faire… Aujourd’hui, j’aborde différemment les rencontres. J’ai progressé dans mon approche mentale des rencontres.
Vous considérez-vous désormais comme un leader ?
Non, non, non (ferme)... Je cherche toujours à être performant pour aider mes coéquipiers. Leader ou pas leader, je m’en fiche. Ce qui compte, c’est d’être le plus efficace pour l’équipe. Je suis bien dans ce groupe, pour moi c’est suffisant. La force de cette équipe, c’est son collectif, sur le terrain et en dehors. On cherche toujours à progresser ensemble, même si, bien sûr, il y a de fortes individualités.
Notamment celle de Zlatan Ibrahimovic…
Zlatan a toujours été bien intégré dans le groupe. C’est un garçon normal dans le vestiaire. Nous, on a une image différente de celle qu’il renvoie à l’extérieur. Il a fait progresser cette équipe depuis son arrivée, d’une manière positive.
Javier Pastore, avec qui vous jouiez à Palerme, peut-il encore s’imposer à Paris ?
J’ai l’impression que les médias ne se rendent pas compte qu’il a changé de poste depuis son arrivée. Avant, il était quasiment attaquant, maintenant, c’est un milieu de terrain. Il s’est mis au service de l’équipe et reste positif malgré les critiques. Je l’admire pour cela. C’est un joueur important qui est de nouveau performant.
Qu’est-ce qui vous plaît à Paris ?
C’est difficile de ne pas aimer Paris ! J’ai trouvé mes endroits, je commence à bien connaître la ville, il y a toujours des choses à faire. J’aime bien visiter des musées pour débrancher complètement du foot. Quand je suis à l’entraînement, je suis à 100%. Quand je suis dehors, je ne veux pas toujours parler de foot… Comprendre la langue m’a beaucoup aidé. C’était important pour moi de l’apprendre vite pour bien m’adapter.
Une majorité de vos coéquipiers étrangers ont plus de mal que vous avec notre langue…
Mes coéquipiers, c’est différent. Ils ont aussi une famille, des enfants… Ils n’ont pas toujours la possibilité de se consacrer à l’apprentissage de la langue. Mais dans le vestiaire, la plupart parlent bien français. Maxwell et Thiago Motta, notamment. Thiago Silva comprend et s’améliore. Même Marquinhos se débrouille déjà bien. C’est juste qu’ils n’osent pas encore donner d’interviews de peur que leurs propos soient mal interprétés.
Votre contrat se termine en 2015. Allez-vous prolonger ?
Aujourd’hui, j’ai envie de continuer, mais on se retrouvera avec le club au bon moment pour parler tranquillement de tout cela…
Par Romain Schneider, 17-02-2014
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Salvatore Sirigu se plait à Paris -
Rencontre avec le gardien parisien avant le 8e de finale de la Ligue des champions, mardi, à Leverkusen.
Arrivé en 2011 à Paris dans un certain anonymat, Salvatore Sirigu s’est imposé comme le dernier rempart incontournable du PSG. Dans un français impeccable, le Sarde, détendu et souriant, s’est longuement confié au Figaro avant les 8es de finale de la Ligue des champions.
Le Figaro: À quel genre de match vous attendez-vous à Leverkusen ?
Salvatore Sirigu : Il faut avoir un maximum de respect pour cet adversaire, car il ne va pas nous rendre la vie facile. Je ne m’attends pas à voir une équipe de Leverkusen défensive. Elle va essayer d’imprimer beaucoup de rythme. Mais on va tenter d’imposer notre jeu. À nous d’inscrire le but important à l’extérieur pour bien aborder le match retour au Parc des Princes (le 12 mars).
Le Paris SG peut-il remporter la Ligue des champions dès cette année ?
Ce sera très difficile, mais pas impossible. Il y a pas mal de clubs qui ont attendu longtemps avant de décrocher un titre de champion d’Europe. Nous, on a grandi très vite, avec une équipe aujourd’hui très solide sur le terrain. L’année passée, on découvrait la compétition. Désormais, l’Europe a plus de respect pour le PSG. Mais on ne se monte pas la tête, on n’est qu’en 8es de finale. Il ne faut pas se projeter sur une éventuelle finale.
Paris semble tout de même avoir franchi un cap…
On peut avoir l’impression que l’on joue mieux parce qu’il y a une ossature et que l’on évolue ensemble depuis pas mal de temps. La saison dernière, c’était une autre façon de jouer, avec un autre système. Cette année, on s’est amélioré dans la possession de balle. On ne veut lâcher aucune compétition. C’est ce qui nous fait grandir aussi. Cette envie de toujours gagner les matches.
Quand Paris domine trop son sujet, cela doit être frustrant pour vous de ne pas effectuer beaucoup d’arrêts…La force de cette équipe, c’est son collectif, sur le terrain et en dehors
—
(sourires) Parfois oui, il arrive que tu ne sois pas en danger pendant toute une rencontre, et tu ne sais pas si tu es bien entré dedans car tu n’as pas grand-chose à faire. C’est parfois difficile de rester concentré, c’est vrai. Lors de la première année, j’avais plus de parades à faire… Aujourd’hui, j’aborde différemment les rencontres. J’ai progressé dans mon approche mentale des rencontres.
Vous considérez-vous désormais comme un leader ?
Non, non, non (ferme)... Je cherche toujours à être performant pour aider mes coéquipiers. Leader ou pas leader, je m’en fiche. Ce qui compte, c’est d’être le plus efficace pour l’équipe. Je suis bien dans ce groupe, pour moi c’est suffisant. La force de cette équipe, c’est son collectif, sur le terrain et en dehors. On cherche toujours à progresser ensemble, même si, bien sûr, il y a de fortes individualités.
Notamment celle de Zlatan Ibrahimovic…
Zlatan a toujours été bien intégré dans le groupe. C’est un garçon normal dans le vestiaire. Nous, on a une image différente de celle qu’il renvoie à l’extérieur. Il a fait progresser cette équipe depuis son arrivée, d’une manière positive.
Javier Pastore, avec qui vous jouiez à Palerme, peut-il encore s’imposer à Paris ?
J’ai l’impression que les médias ne se rendent pas compte qu’il a changé de poste depuis son arrivée. Avant, il était quasiment attaquant, maintenant, c’est un milieu de terrain. Il s’est mis au service de l’équipe et reste positif malgré les critiques. Je l’admire pour cela. C’est un joueur important qui est de nouveau performant.
Qu’est-ce qui vous plaît à Paris ?
C’est difficile de ne pas aimer Paris ! J’ai trouvé mes endroits, je commence à bien connaître la ville, il y a toujours des choses à faire. J’aime bien visiter des musées pour débrancher complètement du foot. Quand je suis à l’entraînement, je suis à 100%. Quand je suis dehors, je ne veux pas toujours parler de foot… Comprendre la langue m’a beaucoup aidé. C’était important pour moi de l’apprendre vite pour bien m’adapter.
Une majorité de vos coéquipiers étrangers ont plus de mal que vous avec notre langue…
Mes coéquipiers, c’est différent. Ils ont aussi une famille, des enfants… Ils n’ont pas toujours la possibilité de se consacrer à l’apprentissage de la langue. Mais dans le vestiaire, la plupart parlent bien français. Maxwell et Thiago Motta, notamment. Thiago Silva comprend et s’améliore. Même Marquinhos se débrouille déjà bien. C’est juste qu’ils n’osent pas encore donner d’interviews de peur que leurs propos soient mal interprétés.
Votre contrat se termine en 2015. Allez-vous prolonger ?
Aujourd’hui, j’ai envie de continuer, mais on se retrouvera avec le club au bon moment pour parler tranquillement de tout cela…
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Ligue des champions. En images : les duels des huitièmes de finale
Europe - 17 Février
[url=http://www.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/image-galerie-detail/public/2014/02/17/En images %3A les duels des huiti%C3%A8mes de finale_4.jpg][/url][url=http://www.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/image-galerie-detail/public/2014/02/17/En images %3A les duels des huiti%C3%A8mes de finale_1.jpg][/url][url=http://www.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/image-galerie-detail/public/2014/02/17/En images %3A les duels des huiti%C3%A8mes de finale.jpg][/url][url=http://www.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/image-galerie-detail/public/2014/02/17/En images %3A les duels des huiti%C3%A8mes de finale_6.jpg][/url][url=http://www.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/image-galerie-detail/public/2014/02/17/En images %3A les duels des huiti%C3%A8mes de finale_2.jpg][/url][url=http://www.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/image-galerie-detail/public/2014/02/17/En images %3A les duels des huiti%C3%A8mes de finale_5.jpg][/url][url=http://www.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/image-galerie-detail/public/2014/02/17/En images %3A les duels des huiti%C3%A8mes de finale_7.jpg][/url][url=http://www.ouest-france.fr/sites/default/files/styles/image-galerie-detail/public/2014/02/17/En images %3A les duels des huiti%C3%A8mes de finale_8.jpg][/url]
Manchester City - FC Barcelone. Récemment détrôné de son statut de meilleur joueur du monde par Cristiano Ronaldo, Lionel Messi repart en mission pour décrocher une troisième Ligue des champions et, pourquoi pas, battre le record de buts dans cette compétition de Raul (71 réalisations contre 65 à l'Argentin). Face à lui, un autre sérieux candidat en la personne de Yaya Touré et de sa formation de City. Assurément, LE choc de ces 8es.
Photos : AFP
1 / 8
Touré - Messi, Ronaldo - Huntelaar ou encore Ibrahimovic - Kiessling : les 8es de finale annoncent quelques face-à-face de haute volée.
Europe - 17 Février
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Manchester City - FC Barcelone. Récemment détrôné de son statut de meilleur joueur du monde par Cristiano Ronaldo, Lionel Messi repart en mission pour décrocher une troisième Ligue des champions et, pourquoi pas, battre le record de buts dans cette compétition de Raul (71 réalisations contre 65 à l'Argentin). Face à lui, un autre sérieux candidat en la personne de Yaya Touré et de sa formation de City. Assurément, LE choc de ces 8es.
Photos : AFP
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Touré - Messi, Ronaldo - Huntelaar ou encore Ibrahimovic - Kiessling : les 8es de finale annoncent quelques face-à-face de haute volée.
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
LE PROGRAMME DES 8ES DE FINALE
Ce soir
B. Leverkusen-Paris ...20h45, Canal +
Manchester City - Barça .20h45, BIS1
Demain
Arsenal - Bayern Munich 20h45, BIS1
AC Milan - Atl. Madrid ...20h45, BIS2
Mardi 25 février
St-Pétersbourg - Dortmund .18h BIS1
Olympiakos - Man Utd 20h45 Eurosport
Mercredi 26 février
Galatasaray - Chelsea......20h45 BIS1
Schalke - Real Madrid ....20h45 BIS2
Les matches retour auront lieu
les 1er et2mars pour
les rencontres de ce soir
et de demain, les 8 et 9 mars
pour les rencontres prévues
la semaine prochaine.
Ce soir
B. Leverkusen-Paris ...20h45, Canal +
Manchester City - Barça .20h45, BIS1
Demain
Arsenal - Bayern Munich 20h45, BIS1
AC Milan - Atl. Madrid ...20h45, BIS2
Mardi 25 février
St-Pétersbourg - Dortmund .18h BIS1
Olympiakos - Man Utd 20h45 Eurosport
Mercredi 26 février
Galatasaray - Chelsea......20h45 BIS1
Schalke - Real Madrid ....20h45 BIS2
Les matches retour auront lieu
les 1er et2mars pour
les rencontres de ce soir
et de demain, les 8 et 9 mars
pour les rencontres prévues
la semaine prochaine.
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Paris avale Leverkusen
Publié à 06h00
La joie légitime des Parisiens après le troisième but inscrit par l'incontournable Zlatan Ibrahimovic. (AFP)
Bayer Leverkusen 0
Ont joué : Leno - Hilbert, Spahic, Toprak, Guardado - L. Bender, Rolfes (cap) (Reinartz 46e), Castro - Sam (Wollscheid 62e), Kiessling, Son (Brandt 46e)
Entraîneur: Sami Hyypia
Paris SG 4
Ont joué : Sirigu - van der Wiel, Alex, Silva (cap), Maxwell - Verratti, Thiago Motta, Matuidi (Cabaye 67e) - Lucas, Ibrahimovic, Lavezzi (Pastore 76e)
Entraîneur: Laurent Blanc
A Leverkusen (BayArena): mi-temps 3-0. Spectateurs: 29.412; Arbitre: V. Kassai (HON)
Buts: Matuidi (3e), Ibrahimovic (39e s.p., 42e), Cabaye (88e)
Avertissements: Bayer Leverkusen: Hilbert (15e), Spahic (38e), Guardado (48e), Castro (58e) ; Paris SG: Matuidi (4e)
Exclusion: Bayer Leverkusen: Spahic (59e, 2e avertissement)
Il porte le PSG à bout de bras, tel Atlas portant la terre. Zlatan, auteur de deux buts, dont un nouveau chef d'oeuvre, a une nouvelle fois présidé aux destinées du PSG, qui, sauf improbable retournement de situation au match retour le 12 mars au Parc des Princes, validera son billet pour les quarts de finale.
Signe que Paris murit, il a maintenu 90 minutes durant sa performance majuscule, contrairement à l'an passé où à pareille époque Valence avait, sans conséquence pour la suite, préservé quelque espoir en réduisant le score (2-1) en fin de match tandis que Zlatan se faisait exclure.
Les progrès parisiens sur la scène continentale appelleront donc confirmation au prochain tour, mais la partition récitée dans la BayArena, face à un adversaire certes moribond actuellement (5 défaites lors des 7 dernières journées de Bundesliga) a forcément de quoi marquer les esprits.
Les esprits, le Bayer ne les a jamais recouvrés après l'ouverture du score de Matuidi.
Paris a géré son avantage avant d'enfoncer le clou. "Ibra" a d'abord transformé un penalty sifflé pour une faute de Spahic sur Lavezzi (39e), avant d'inscrire son 10e but dans la compétition (meilleur buteur devant Cristiano Ronaldo), d'une frappe sans contrôle à l'entrée de la surface, du pied gauche (son "mauvais" pied), qui s'est logée sous la barre du gardien (42e).
Trois buts en quatre occasions franches, Laurent Blanc pouvait avoir le sourire. Les Parisiens, qui se sont vus refuser un but de Matuidi pour hors-jeu (66e), ont tranquillement géré leur avantage. Ce qui n'a pas empêché Yohan Cabaye d'inscrire le 4e but d'une belle frappe sous la barreù il peut aller.
LE BARçA CONTRôLE Dans l'autre match de la soirée, Barcelone s'impose 2-0 (buts de Messi, 54e, et ALves, 90e) contre une équipe de Manchester City réduite à dix et fait un grand pas vers les quarts de finale. l
Hier soir
Manchester City - Barcelone
Bayer Leverkusen - Paris SG
Ce soir
Arsenal - Bayern Munich
Atletico Madrid - Milan AC
La semaine prochaine
Olympiakos-Manchester United
Zenith Saint-Pétersbourg-Borussia Dortmund
Galatasaray-Chelsea
Schalke 04-Real Madrid
Le point
Ce soir : Arsenal veut tourner la page
Arsenal, qui traverse un creux dans une saison prometteuse, aimerait que l'histoire ne se finisse pas comme en 2013 lors de ses retrouvailles avec le Bayern, tenant du titre qui surfe de victoire en victoire. En trois duels contre le Bayern, les Gunners n'ont jamais remporté la double confrontation. L'affrontement a comme un air de déjà-vu: en 2005 et en 2013, Arsenal a été éliminé en 8e par le Bayern, futur champion. Un scénario qu'ils veulent éviter cette fois-ci. Malheureusement pour l'actuel dauphin anglais, les Bavarois, sont nettement plus impressionnants que l'année dernière à la même époque.
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Publié à 06h00
La joie légitime des Parisiens après le troisième but inscrit par l'incontournable Zlatan Ibrahimovic. (AFP)
Bayer Leverkusen 0
Ont joué : Leno - Hilbert, Spahic, Toprak, Guardado - L. Bender, Rolfes (cap) (Reinartz 46e), Castro - Sam (Wollscheid 62e), Kiessling, Son (Brandt 46e)
Entraîneur: Sami Hyypia
Paris SG 4
Ont joué : Sirigu - van der Wiel, Alex, Silva (cap), Maxwell - Verratti, Thiago Motta, Matuidi (Cabaye 67e) - Lucas, Ibrahimovic, Lavezzi (Pastore 76e)
Entraîneur: Laurent Blanc
A Leverkusen (BayArena): mi-temps 3-0. Spectateurs: 29.412; Arbitre: V. Kassai (HON)
Buts: Matuidi (3e), Ibrahimovic (39e s.p., 42e), Cabaye (88e)
Avertissements: Bayer Leverkusen: Hilbert (15e), Spahic (38e), Guardado (48e), Castro (58e) ; Paris SG: Matuidi (4e)
Exclusion: Bayer Leverkusen: Spahic (59e, 2e avertissement)
Il porte le PSG à bout de bras, tel Atlas portant la terre. Zlatan, auteur de deux buts, dont un nouveau chef d'oeuvre, a une nouvelle fois présidé aux destinées du PSG, qui, sauf improbable retournement de situation au match retour le 12 mars au Parc des Princes, validera son billet pour les quarts de finale.
Signe que Paris murit, il a maintenu 90 minutes durant sa performance majuscule, contrairement à l'an passé où à pareille époque Valence avait, sans conséquence pour la suite, préservé quelque espoir en réduisant le score (2-1) en fin de match tandis que Zlatan se faisait exclure.
Les progrès parisiens sur la scène continentale appelleront donc confirmation au prochain tour, mais la partition récitée dans la BayArena, face à un adversaire certes moribond actuellement (5 défaites lors des 7 dernières journées de Bundesliga) a forcément de quoi marquer les esprits.
Les esprits, le Bayer ne les a jamais recouvrés après l'ouverture du score de Matuidi.
Paris a géré son avantage avant d'enfoncer le clou. "Ibra" a d'abord transformé un penalty sifflé pour une faute de Spahic sur Lavezzi (39e), avant d'inscrire son 10e but dans la compétition (meilleur buteur devant Cristiano Ronaldo), d'une frappe sans contrôle à l'entrée de la surface, du pied gauche (son "mauvais" pied), qui s'est logée sous la barre du gardien (42e).
Trois buts en quatre occasions franches, Laurent Blanc pouvait avoir le sourire. Les Parisiens, qui se sont vus refuser un but de Matuidi pour hors-jeu (66e), ont tranquillement géré leur avantage. Ce qui n'a pas empêché Yohan Cabaye d'inscrire le 4e but d'une belle frappe sous la barreù il peut aller.
LE BARçA CONTRôLE Dans l'autre match de la soirée, Barcelone s'impose 2-0 (buts de Messi, 54e, et ALves, 90e) contre une équipe de Manchester City réduite à dix et fait un grand pas vers les quarts de finale. l
Hier soir
Manchester City - Barcelone
Bayer Leverkusen - Paris SG
Ce soir
Arsenal - Bayern Munich
Atletico Madrid - Milan AC
La semaine prochaine
Olympiakos-Manchester United
Zenith Saint-Pétersbourg-Borussia Dortmund
Galatasaray-Chelsea
Schalke 04-Real Madrid
Le point
Ce soir : Arsenal veut tourner la page
Arsenal, qui traverse un creux dans une saison prometteuse, aimerait que l'histoire ne se finisse pas comme en 2013 lors de ses retrouvailles avec le Bayern, tenant du titre qui surfe de victoire en victoire. En trois duels contre le Bayern, les Gunners n'ont jamais remporté la double confrontation. L'affrontement a comme un air de déjà-vu: en 2005 et en 2013, Arsenal a été éliminé en 8e par le Bayern, futur champion. Un scénario qu'ils veulent éviter cette fois-ci. Malheureusement pour l'actuel dauphin anglais, les Bavarois, sont nettement plus impressionnants que l'année dernière à la même époque.
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Ligue des Champions : le PSG impressionne à Leverkusen (0-4)
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Publié le 19/02/2014 à 06h00 , modifié le 19/02/2014 à 07h39
Emmené par Ibrahimovic (doublé), Paris n’a fait qu’une bouchée des Allemands. Les quarts sont en vue.
Zlatan Ibrahimovic est désormais le meilleur buteur de la Ligue des Champions (10 buts). Thiago Silva semble apprécier. © Photo
afp
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C'est comme si c'était fait. On se demandait un peu comment le PSG négocierait son premier vrai rendez-vous décisif en Ligue des Champions cette saison. Maintenant, on sait. Paris, impressionnant de maîtrise, s'est promené hier dans la BayArena et a déjà pris date pour les quarts de finale tant on n'imagine pas une seconde un retournement de situation le 12 mars prochain au Parc des Princes, lors du huitième de finale retour.
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Le Bayer Leverkusen était donc bel et bien un tirage facile pour ce Paris-là. Il ne s'agit pas de manquer de respect au dauphin du Bayern Munich dans le championnat d'Allemagne. Simplement, un fossé sépare ces deux équipes. Et Paris, hier, a montré qu'il avait vraisemblablement les armes pour rivaliser avec les plus grosses cylindrées de cette Ligue des Champions. Des armes ? Une en particulier, que tout le monde connaît. Il s'appelle Zlatan Ibrahimovic et avait la réputation, en début de saison, d'être un peu moins déterminant en Ligue des Champions. Ce matin, avec 10 buts, il est tout simplement le meilleur buteur de la compétition, devant Cristiano Ronaldo (9 buts) et Leo Messi (7 buts). Si d'aventure le PSG remportait la Coupe d'Europe, on pourrait d'ailleurs parler de Ballon d'or en France…
Vivement le quart de finale
Hier en effet, le géant suédois a fait ce qu'il a voulu, comme il l'a voulu. Dès la troisième minute, c'est lui qui a offert l'ouverture du score à Blaise Matuidi. C'est encore lui qui, peu avant la mi-temps (39e), s'est chargé de transformer le penalty consécutif à un tirage de maillot de Spahic sur Lavezzi. Et bien sûr, personne d'autre que lui ne pouvait décocher cette frappe tendue, du gauche, en pleine lucarne, pour assommer les Allemands (42e) dans la foulée. Dans ces conditions, évidemment, la deuxième période a baissé d'un ton.
Paris a pu gérer son petit matelas d'autant plus sereinement que Spahic, décidément dans une sale soirée, a laissé les Allemands à 10 après un deuxième carton jaune. Pour Paris, le plan se déroule toujours sans accroc. Si bien que Yohan Cabaye, pour ses débuts en Ligue des Champions avec le PSG, s'est offert un but splendide pour couronner la soirée.
Le match retour se présente déjà comme une formalité. Vivement qu'un adversaire d'une autre envergure se présente, histoire de se poser une fois de plus la question. Que vaut vraiment ce PSG ? Peut-être bien de l'or.
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Publié le 19/02/2014 à 06h00 , modifié le 19/02/2014 à 07h39
Emmené par Ibrahimovic (doublé), Paris n’a fait qu’une bouchée des Allemands. Les quarts sont en vue.
Zlatan Ibrahimovic est désormais le meilleur buteur de la Ligue des Champions (10 buts). Thiago Silva semble apprécier. © Photo
afp
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C'est comme si c'était fait. On se demandait un peu comment le PSG négocierait son premier vrai rendez-vous décisif en Ligue des Champions cette saison. Maintenant, on sait. Paris, impressionnant de maîtrise, s'est promené hier dans la BayArena et a déjà pris date pour les quarts de finale tant on n'imagine pas une seconde un retournement de situation le 12 mars prochain au Parc des Princes, lors du huitième de finale retour.
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Le Bayer Leverkusen était donc bel et bien un tirage facile pour ce Paris-là. Il ne s'agit pas de manquer de respect au dauphin du Bayern Munich dans le championnat d'Allemagne. Simplement, un fossé sépare ces deux équipes. Et Paris, hier, a montré qu'il avait vraisemblablement les armes pour rivaliser avec les plus grosses cylindrées de cette Ligue des Champions. Des armes ? Une en particulier, que tout le monde connaît. Il s'appelle Zlatan Ibrahimovic et avait la réputation, en début de saison, d'être un peu moins déterminant en Ligue des Champions. Ce matin, avec 10 buts, il est tout simplement le meilleur buteur de la compétition, devant Cristiano Ronaldo (9 buts) et Leo Messi (7 buts). Si d'aventure le PSG remportait la Coupe d'Europe, on pourrait d'ailleurs parler de Ballon d'or en France…
Vivement le quart de finale
Hier en effet, le géant suédois a fait ce qu'il a voulu, comme il l'a voulu. Dès la troisième minute, c'est lui qui a offert l'ouverture du score à Blaise Matuidi. C'est encore lui qui, peu avant la mi-temps (39e), s'est chargé de transformer le penalty consécutif à un tirage de maillot de Spahic sur Lavezzi. Et bien sûr, personne d'autre que lui ne pouvait décocher cette frappe tendue, du gauche, en pleine lucarne, pour assommer les Allemands (42e) dans la foulée. Dans ces conditions, évidemment, la deuxième période a baissé d'un ton.
Paris a pu gérer son petit matelas d'autant plus sereinement que Spahic, décidément dans une sale soirée, a laissé les Allemands à 10 après un deuxième carton jaune. Pour Paris, le plan se déroule toujours sans accroc. Si bien que Yohan Cabaye, pour ses débuts en Ligue des Champions avec le PSG, s'est offert un but splendide pour couronner la soirée.
Le match retour se présente déjà comme une formalité. Vivement qu'un adversaire d'une autre envergure se présente, histoire de se poser une fois de plus la question. Que vaut vraiment ce PSG ? Peut-être bien de l'or.
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Football/C1: PSG (4-0 à Leverkusen) et le Barça (2-0 à Manchester City) en route pour les quarts (VIDEO)
Le 18 février à 19h38 | Mis à jour il y a 8 heures
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Ligue des champions - 8e de finale : FC Barcelone bat Manchester City 2 à 0 A Manchester, FC Barcelone bat Manchester City 2 à 0.
Buts: FC Barcelone: Messi (54 s.p.), Dani Alves (90)
Ligue des champions de football 8e de finale aller A Manchester (Etihad Stadium): FC Barcelone bat Manchester City 2 à 0 (0-0)
Spectateurs: 40.000
Arbitre: J. Eriksson (SWE)
Buts: FC Barcelone: Messi (54 s.p.), Dani Alves (90)
Avertissements: Manchester City: Negredo (28), Kolarov (37) FC Barcelone: Dani Alves (23), Mascherano (76)
Exclusion: Manchester City: Demichelis (53)
Le 18 février à 19h38 | Mis à jour il y a 8 heures
Messi et Neymar feront face au compliqué déplacement à Manchester City.(Photo par AFP JOSEP LAGO)
Place à la C1 pour "Ibra" et le PSG.(Photo par AFP PATRIK STOLLARZ)
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1 / 2 Messi et Neymar feront face au compliqué déplacement à Manchester City. (AFP JOSEP LAGO)
2 / 2 Place à la C1 pour "Ibra" et le PSG. (AFP PATRIK STOLLARZ)
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Ligue des champions - 8e de finale : FC Barcelone bat Manchester City 2 à 0 A Manchester, FC Barcelone bat Manchester City 2 à 0.
Buts: FC Barcelone: Messi (54 s.p.), Dani Alves (90)
Ligue des champions de football 8e de finale aller A Manchester (Etihad Stadium): FC Barcelone bat Manchester City 2 à 0 (0-0)
Spectateurs: 40.000
Arbitre: J. Eriksson (SWE)
Buts: FC Barcelone: Messi (54 s.p.), Dani Alves (90)
Avertissements: Manchester City: Negredo (28), Kolarov (37) FC Barcelone: Dani Alves (23), Mascherano (76)
Exclusion: Manchester City: Demichelis (53)
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Football / C1 : le PSG a un pied et demi en quarts de finale
4-0 au coup de sifflet final le PSG a déjà composté son billet pour le tour suivant. (AFP SASCHA SCHUERMANN)
Le Paris SG, avec Ibrahimovic une nouvelle fois brillant, a quasiment assuré sa qualification pour les quarts de finale de la Ligue des champions en s'imposant 4-0 à Leverkusen.
Le PSG a tué tout suspense contre le Bayer. 1-0 au bout de trois minutes. 3-0 à la pause. 4-0 au coup de sifflet final. Autant dire que la messe est dite pour les Allemands et que le PSG a déjà composté son billet pour le tour suivant. Blaise Matuidi a ouvert le score dès la 3e minute en allant chiper un ballon dans les 30 m et en s'appuyant sur Verratti, préféré à Pastore, pour tromper Leno. Juste avant la pause, ce duo s'est démené pour mettre en valeur Ibrahimovic. Verratti en obtenant un penalty transformé par Zlatan et Matuidi en glissant le ballon en retrait pour un coup de canon imparable du Suédois. L'absence de Cavani sera finalement passée inaperçu alors que Cabaye a terminé un beau travail collectif pour son premier but parisien (88e). Le PSG peut voir plus loin.
Le choc Manchester City-Barcelone a été décevant avec une victoire capitale mais peu enthousiasmante pour le Barça (2-0).
4-0 au coup de sifflet final le PSG a déjà composté son billet pour le tour suivant. (AFP SASCHA SCHUERMANN)
Le Paris SG, avec Ibrahimovic une nouvelle fois brillant, a quasiment assuré sa qualification pour les quarts de finale de la Ligue des champions en s'imposant 4-0 à Leverkusen.
Le PSG a tué tout suspense contre le Bayer. 1-0 au bout de trois minutes. 3-0 à la pause. 4-0 au coup de sifflet final. Autant dire que la messe est dite pour les Allemands et que le PSG a déjà composté son billet pour le tour suivant. Blaise Matuidi a ouvert le score dès la 3e minute en allant chiper un ballon dans les 30 m et en s'appuyant sur Verratti, préféré à Pastore, pour tromper Leno. Juste avant la pause, ce duo s'est démené pour mettre en valeur Ibrahimovic. Verratti en obtenant un penalty transformé par Zlatan et Matuidi en glissant le ballon en retrait pour un coup de canon imparable du Suédois. L'absence de Cavani sera finalement passée inaperçu alors que Cabaye a terminé un beau travail collectif pour son premier but parisien (88e). Le PSG peut voir plus loin.
Le choc Manchester City-Barcelone a été décevant avec une victoire capitale mais peu enthousiasmante pour le Barça (2-0).
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Date d'inscription : 30/07/2009
Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Ligue des champions. Le PSG s'impose 4-0 à Leverkusen
Allemagne - 07h10
Les Parisiens ont volé au-dessus de la BayArena pour s'imposer et assurer leur qualification au prochain tour (4-0).
Le PSG a tué tout suspense contre le Bayer. 1-0 au bout de trois minutes. 3-0 à la pause. 4-0 au coup de sifflet final Autant dire que la messe est dite pour les Allemands et que le PSG a déjà composté son billet pour le tour suivant.
Blaise Matuidi a ouvert le score dès la 3e minute en allant chiper un ballon dans les 30 m et en s'appuyant sur Verratti, préféré à Pastore, pour tromper Leno.
Juste avant la pause, ce duo s'est démené pour mettre en valeur Ibrahimovic. Verratti en obtenant un penalty transformé par Zlatan et Matuidi en glissant le ballon en retrait pour un coup de canon imparable du Suédois.
L'absence de Cavani sera finalement passée inaperçu alors que Cabaye a terminé un beau travail collectif pour son premier but parisien (88'). Le PSG peut voir plus loin.
« On a fait une bonne première mi-temps et puis on a continué en deuxième sur le même rythme, analyse Zlatan Ibrahimovic. Je me sens bien quand l'équipe se sent bien. C'est plus facile de bien jouer quand on est dans une équipe qui tourne bien. On se sait pas si on peut gagner le trophée cette année. C'est difficile à dire. Vous pouvez être dans une grande équipe et ne pas gagner le trophée. C'est quand vous gagnez un trophée que l'on peut en déduire que vous êtes une grande équipe. »
LEVERKUSEN - PSG : 0-4 (0-3).
BUTS. Matuidi (3’), Ibrahimovic (39’sp, 42’), Cabaye (. ARBITRE. M. Kassai (Hon).
AVERTISSEMENTS. Leverkusen : Hilbert (15’), Spahic (38’, 58’), Guardado (48’), Catro (58’) ; Paris : Matuidi (4’). Expulsion : Spahic (58’).
LEVERKUSEN : Leno - Hilbert, Spahic, Ömer Toprak, Guardado - Bender, Rolfes (Reinartz, 46’), Castro - Sam (Wollscheid, 62’), Kiessling, Son (Brandt, 46’). Entraîneur : Hyypiä.
PARIS : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Thiago Silva, Maxwell - Verratti, Thiago Motta, Matuidi (Cabaye, 67’) - Lucas, Ibrahimovic, Lavezzi (Pastore, 76’). Entraîneur : Blanc.
Allemagne - 07h10
Blaise Matuidi a ouvert le score dès la 3e minute de jeu face à Leverkusen. | Photo : AFP
Suivez en direct la rencontre Leverkusen - PSG. | Photo : AFP
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Les Parisiens ont volé au-dessus de la BayArena pour s'imposer et assurer leur qualification au prochain tour (4-0).
Le PSG a tué tout suspense contre le Bayer. 1-0 au bout de trois minutes. 3-0 à la pause. 4-0 au coup de sifflet final Autant dire que la messe est dite pour les Allemands et que le PSG a déjà composté son billet pour le tour suivant.
Blaise Matuidi a ouvert le score dès la 3e minute en allant chiper un ballon dans les 30 m et en s'appuyant sur Verratti, préféré à Pastore, pour tromper Leno.
Juste avant la pause, ce duo s'est démené pour mettre en valeur Ibrahimovic. Verratti en obtenant un penalty transformé par Zlatan et Matuidi en glissant le ballon en retrait pour un coup de canon imparable du Suédois.
L'absence de Cavani sera finalement passée inaperçu alors que Cabaye a terminé un beau travail collectif pour son premier but parisien (88'). Le PSG peut voir plus loin.
« On a fait une bonne première mi-temps et puis on a continué en deuxième sur le même rythme, analyse Zlatan Ibrahimovic. Je me sens bien quand l'équipe se sent bien. C'est plus facile de bien jouer quand on est dans une équipe qui tourne bien. On se sait pas si on peut gagner le trophée cette année. C'est difficile à dire. Vous pouvez être dans une grande équipe et ne pas gagner le trophée. C'est quand vous gagnez un trophée que l'on peut en déduire que vous êtes une grande équipe. »
LEVERKUSEN - PSG : 0-4 (0-3).
BUTS. Matuidi (3’), Ibrahimovic (39’sp, 42’), Cabaye (. ARBITRE. M. Kassai (Hon).
AVERTISSEMENTS. Leverkusen : Hilbert (15’), Spahic (38’, 58’), Guardado (48’), Catro (58’) ; Paris : Matuidi (4’). Expulsion : Spahic (58’).
LEVERKUSEN : Leno - Hilbert, Spahic, Ömer Toprak, Guardado - Bender, Rolfes (Reinartz, 46’), Castro - Sam (Wollscheid, 62’), Kiessling, Son (Brandt, 46’). Entraîneur : Hyypiä.
PARIS : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Thiago Silva, Maxwell - Verratti, Thiago Motta, Matuidi (Cabaye, 67’) - Lucas, Ibrahimovic, Lavezzi (Pastore, 76’). Entraîneur : Blanc.
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Ligue Europa : Lyon va faire tourner
l'Olympique lyonnais va connaître une semaine chargée avec deux déplacements Le premier aura lieu jeudi à Odessa face au Tchernormorets. Le second est un match à Lille décisif pour le podium.
Rémi Garde a décidé de faire tourner son effectif et devrait faire la part belle aux jeunes pour ce 16e de finale aller
Comme en novembre dernier avant un match contre Saint-Etienne, l'OL devrait aligner une équipe largement remaniée en Coupe d'Europe. Le groupe qui fera le déplacement en Ukraine a été communiqué. Gourcuff, blessé, est absent mais il n'est pas seul : Grenier, Gonalons, Umtiti, Gomis, Lacazette, Bedimo, Anthony Lopes, Miguel Lopes et Fofana ne feront pas le déplacement!
l'Olympique lyonnais va connaître une semaine chargée avec deux déplacements Le premier aura lieu jeudi à Odessa face au Tchernormorets. Le second est un match à Lille décisif pour le podium.
Rémi Garde a décidé de faire tourner son effectif et devrait faire la part belle aux jeunes pour ce 16e de finale aller
Comme en novembre dernier avant un match contre Saint-Etienne, l'OL devrait aligner une équipe largement remaniée en Coupe d'Europe. Le groupe qui fera le déplacement en Ukraine a été communiqué. Gourcuff, blessé, est absent mais il n'est pas seul : Grenier, Gonalons, Umtiti, Gomis, Lacazette, Bedimo, Anthony Lopes, Miguel Lopes et Fofana ne feront pas le déplacement!
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Ligue des Champions. Paris et «Ibra» écœurent Leverkusen
Publié le 19/02/2014 à 03:51, Mis à jour le 19/02/2014 à 07:31
8e de finale aller. En battant Leverkusen (4-0), le PSG est en route vers la qualification.
Hier, Ibrahimovic est devenu le meilleur buteur de C1 (10 réalisations) devant Cristiano Ronaldo (9)./ Photo AFP
Comme sur des roulettes. Hier soir, dans la BayArena, le petit écrin du Bayer Leverkusen, le PSG s’est illustré dans la cour des grands. Sa cour… qu’Ibrahimovic et ses coéquipiers ont transformée en véritable récréation en à peine trois minutes. En exerçant un énorme pressing sur la défense allemande d’entrée de jeu, les hommes de Laurent Blanc ont mis toutes les chances de leur côté pour faire de la qualification en quarts de finale une simple formalité.
Le premier but de Paris est à mettre à l’actif de Blaise Matuidi qui récupère le ballon dans les pieds des défenseurs du Bayer avant de combiner avec Verratti pour tromper Leno du gauche (3e, 1-0).
Malgré la supériorité écrasante du collectif parisien, quelques individualités émergent du côté de Leverkusen. À l’instar de Kiessling, seul véritable «danger», dont les embardées sont stoppées par Alex ou Maxwell.
Une affaire classée
Trop simple ? Des mots qui peuvent peut-être faire hérisser les poils de Laurent Blanc mais c’est pourtant ce qu’on fait ressentir les Parisiens. Comme Verratti qui se permet de dribbler dans sa propre surface pour se dégager du (petit) danger allemand (30).
Puis Ibrahimovic met fin aux derniers espoirs des joueurs de Sami Hyypiä de revenir dans la rencontre. La faute à Spahic qui tire sur le maillot de Lavezzi dans la surface et permet à «Zlatan» d’inscrire son 9e but en Ligue des Champions sur penalty (39e, 2-0). Avant d’entériner le score d’un missile flashé à 103 km/h en pleine lucarne, du gauche (42e, 3-0). Et de 10 !
À la mi-temps, les statistiques sont sans appel. Avec 90 % de passes réussies et 70 % de possession du ballon, les Parisiens se sont grandement facilités la tache. Ensuite aidés par Spahic, qui se rend coupable d’une faute sur Lucas et écope d’un carton rouge (59).
À 11 contre 10, la supériorité du PSG est identique et les trois changements du Bayer n’y peuvent rien. Sauf peut-être la seule action dangereuse du match avec cette tête de Reinartz bien captée par Sirigu (76). Deuxième tir du match pour les locaux. Premier tir cadré. Laurent Blanc décide ensuite de faire tourner son effectif et fait rentrer Yohan Cabaye. Sa recrue. Coaching gagnant pour le «président» puisque l’international français inscrit le 4e et dernier but parisien sur une passe décisive de Lucas (88e, 4-0).
Avec ce résultat, le PSG devient l’équipe la plus prolifique en C1, à l’extérieur (14 buts en 4 déplacements). Le retour au Parc des Princes devrait être une promenade de santé.
BAYER LEVERKUSEN 0 PARIS-SG 4
M-T : 0-3. BayArena, spectateurs : 29.412. Arbitre : Viktor KASSAI.
Pour Paris : Matuidi (3), Ibrahimovic (39 sp, 42), Cabaye (88).
BAYER LEVERKUSEN : Leno - Hilbert, Spahic, Toprak, Guardado - Bender, Rolfes (cap.) (Reinartz, 46), Castro - Sam (Wollscheid, 62), Kiessling, Son (Brandt, 46).
Entraîneur : Sami Hyypiä.
Avertissements : Hilbert (15), Spahic (38), Guardado (48), Castro (58).
Exclusion : Spahic (59, 2e jaune).
PARIS : Sirigu - Van Der Wiel, Alex, Thiago Silva (cap.), Maxwell - Verratti, Motta, Matuidi (Cabaye, 67) - Lucas, Ibrahimovic, Lavezzi (Pastore, 76).
Entraîneur : Laurent Blanc.
Avertissement : Matuidi (5).
Publié le 19/02/2014 à 03:51, Mis à jour le 19/02/2014 à 07:31
8e de finale aller. En battant Leverkusen (4-0), le PSG est en route vers la qualification.
Hier, Ibrahimovic est devenu le meilleur buteur de C1 (10 réalisations) devant Cristiano Ronaldo (9)./ Photo AFP
Comme sur des roulettes. Hier soir, dans la BayArena, le petit écrin du Bayer Leverkusen, le PSG s’est illustré dans la cour des grands. Sa cour… qu’Ibrahimovic et ses coéquipiers ont transformée en véritable récréation en à peine trois minutes. En exerçant un énorme pressing sur la défense allemande d’entrée de jeu, les hommes de Laurent Blanc ont mis toutes les chances de leur côté pour faire de la qualification en quarts de finale une simple formalité.
Le premier but de Paris est à mettre à l’actif de Blaise Matuidi qui récupère le ballon dans les pieds des défenseurs du Bayer avant de combiner avec Verratti pour tromper Leno du gauche (3e, 1-0).
Malgré la supériorité écrasante du collectif parisien, quelques individualités émergent du côté de Leverkusen. À l’instar de Kiessling, seul véritable «danger», dont les embardées sont stoppées par Alex ou Maxwell.
Une affaire classée
Trop simple ? Des mots qui peuvent peut-être faire hérisser les poils de Laurent Blanc mais c’est pourtant ce qu’on fait ressentir les Parisiens. Comme Verratti qui se permet de dribbler dans sa propre surface pour se dégager du (petit) danger allemand (30).
Puis Ibrahimovic met fin aux derniers espoirs des joueurs de Sami Hyypiä de revenir dans la rencontre. La faute à Spahic qui tire sur le maillot de Lavezzi dans la surface et permet à «Zlatan» d’inscrire son 9e but en Ligue des Champions sur penalty (39e, 2-0). Avant d’entériner le score d’un missile flashé à 103 km/h en pleine lucarne, du gauche (42e, 3-0). Et de 10 !
À la mi-temps, les statistiques sont sans appel. Avec 90 % de passes réussies et 70 % de possession du ballon, les Parisiens se sont grandement facilités la tache. Ensuite aidés par Spahic, qui se rend coupable d’une faute sur Lucas et écope d’un carton rouge (59).
À 11 contre 10, la supériorité du PSG est identique et les trois changements du Bayer n’y peuvent rien. Sauf peut-être la seule action dangereuse du match avec cette tête de Reinartz bien captée par Sirigu (76). Deuxième tir du match pour les locaux. Premier tir cadré. Laurent Blanc décide ensuite de faire tourner son effectif et fait rentrer Yohan Cabaye. Sa recrue. Coaching gagnant pour le «président» puisque l’international français inscrit le 4e et dernier but parisien sur une passe décisive de Lucas (88e, 4-0).
Avec ce résultat, le PSG devient l’équipe la plus prolifique en C1, à l’extérieur (14 buts en 4 déplacements). Le retour au Parc des Princes devrait être une promenade de santé.
BAYER LEVERKUSEN 0 PARIS-SG 4
M-T : 0-3. BayArena, spectateurs : 29.412. Arbitre : Viktor KASSAI.
Pour Paris : Matuidi (3), Ibrahimovic (39 sp, 42), Cabaye (88).
BAYER LEVERKUSEN : Leno - Hilbert, Spahic, Toprak, Guardado - Bender, Rolfes (cap.) (Reinartz, 46), Castro - Sam (Wollscheid, 62), Kiessling, Son (Brandt, 46).
Entraîneur : Sami Hyypiä.
Avertissements : Hilbert (15), Spahic (38), Guardado (48), Castro (58).
Exclusion : Spahic (59, 2e jaune).
PARIS : Sirigu - Van Der Wiel, Alex, Thiago Silva (cap.), Maxwell - Verratti, Motta, Matuidi (Cabaye, 67) - Lucas, Ibrahimovic, Lavezzi (Pastore, 76).
Entraîneur : Laurent Blanc.
Avertissement : Matuidi (5).
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Re: QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????
Ligue des Champions. Un Arsenal de guerre attend le Bayern Munich
Publié le 19/02/2014 à 03:52, Mis à jour le 19/02/2014 à 07:32
..Ce soir, Arsenal entend prendre sa revanche sur le Bayern.
Mesut Özil peut-il être l'homme de la situation ?/ Photo AFP
Un air de déjà-vu… Ce soir, à 20h45 (beIN SPORTS 1), Arsenal reçoit le grand Bayern Munich et espère bien ne pas réitérer les résultats de 2005 et 2013. Les Gunners avaient en effet été éliminés à ce stade de la compétition par le bourreau bavarois (et champion d’Europe en titre).
Le club londonien traverse actuellement un creux en championnat tandis que le Bayern Munich de Pep Guardiola pète la forme (16 points d’avance en Bundesliga).
Une lueur d’espoir brille tout de même à l’horizon pour le dauphin anglais. Si le Bayern reste sur neuf victoires d’affilée avec seulement deux buts encaissés, il a perdu son dernier match en C1 et devra faire (à l’aller) sans Ribéry, récemment opéré des fessiers, ni Shaqiri, blessé contre Fribourg samedi après avoir inscrit un doublé (4-0).
Pour mettre toutes les chances de son côté, Arsène Wenger devrait aligner d’entrée ses deux Allemands stars, à savoir Mertesacker et Özil. La rencontre s’annonce de haute voltige !
Balotelli attend Costa
Autre duel de prestige ce soir, celui opposant le Milan AC de Mario Balotelli et l’Atletico Madrid de Diego Costa. Les deux buteurs stars (et accessoirement fortes têtes) reviennent à un très haut niveau au meilleur moment et les deux collectifs émoussés comptent sur eux pour les guider.
Avantage au club madrilène puisque toujours aux prises avec le Real et le Barça pour la tête de la Liga alors qu’en Serie A, le Milan AC est complètement largué (à 31 points de la Juve).
Publié le 19/02/2014 à 03:52, Mis à jour le 19/02/2014 à 07:32
..Ce soir, Arsenal entend prendre sa revanche sur le Bayern.
Mesut Özil peut-il être l'homme de la situation ?/ Photo AFP
Un air de déjà-vu… Ce soir, à 20h45 (beIN SPORTS 1), Arsenal reçoit le grand Bayern Munich et espère bien ne pas réitérer les résultats de 2005 et 2013. Les Gunners avaient en effet été éliminés à ce stade de la compétition par le bourreau bavarois (et champion d’Europe en titre).
Le club londonien traverse actuellement un creux en championnat tandis que le Bayern Munich de Pep Guardiola pète la forme (16 points d’avance en Bundesliga).
Une lueur d’espoir brille tout de même à l’horizon pour le dauphin anglais. Si le Bayern reste sur neuf victoires d’affilée avec seulement deux buts encaissés, il a perdu son dernier match en C1 et devra faire (à l’aller) sans Ribéry, récemment opéré des fessiers, ni Shaqiri, blessé contre Fribourg samedi après avoir inscrit un doublé (4-0).
Pour mettre toutes les chances de son côté, Arsène Wenger devrait aligner d’entrée ses deux Allemands stars, à savoir Mertesacker et Özil. La rencontre s’annonce de haute voltige !
Balotelli attend Costa
Autre duel de prestige ce soir, celui opposant le Milan AC de Mario Balotelli et l’Atletico Madrid de Diego Costa. Les deux buteurs stars (et accessoirement fortes têtes) reviennent à un très haut niveau au meilleur moment et les deux collectifs émoussés comptent sur eux pour les guider.
Avantage au club madrilène puisque toujours aux prises avec le Real et le Barça pour la tête de la Liga alors qu’en Serie A, le Milan AC est complètement largué (à 31 points de la Juve).
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