QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

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Créé le 18/02/2014 - 23:00
PSG-Ibrahimovic: "Une grande équipe se mesure aux trophées remportés"

Grand artisan de la large victoire du PSG ce mardi soir à Leverkusen (4-0), à l'occasion des huitièmes de finale de la Ligue des champions, Zlatan Ibrahimovic était satisfait de la prestation de son équipe et espère aller très loin dans cette compétition. "On a bien joué, on a connu un bon début avec le but de Blaise, ça nous a ouvert les espaces, en seconde on a continué de jouer notre jeu, et inscrit un quatrième but. Je me sens très bien, je suis toujours à l’affût pour marquer des buts",a t-il confié après la rencontre au micro de Canal +. Avant d'ajouter: "J’ai joué dans des équipes fantastiques, mais une grande équipe se mesure aux trophées remportés. Je ne sais pas si nous pouvons l’emporter cette année, mais nous essaierons".

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Créé le 18/02/2014 - 22:36
Le PSG déroule à Leverkusen

Le PSG a déjà fait un grand pas vers les quarts de finale de la Ligue des champions. En déplacement à Leverkusen mardi soir en huitièmes de finale aller de la compétition, les Parisiens se sont largement imposés (0-4). Blaise Matuidi a ouvert le score dès la 3ème minute de jeu avant que Zlatan Ibrahimovic ne s’offre un doublé, avec un premier but sur penalty (39e) et un deuxième d’une lourde frappe du gauche en lucarne (42e). Yohan Cabaye, entré en jeu à la 67e, a clôturé la marque en inscrivant sa première réalisation sous ses nouvelles couleurs à la 88e minute de jeu. Le match retour aura lieu le 12 mars au Parc des Princes.

LESMATCHES DE CE SOIR
Arsenal-Bayern: unair de déjà-vu Arsenal, qui traverse un creux dans une saison
prometteuse, aimerait que l’histoire ne se finisse
pas comme en 2013 lors de ses retrouvailles ce soir
en 8e de finale aller de Ligue des champions contre
ce Bayern, tenant du titre surpuissant qui surfe de
victoire en victoire. En trois duels contre le Bayern,
les Gunners n’ont jamais remporté la double
confrontation. En 2005 et en 2013, Arsenal a été éliminé
en 8e par le Bayern, futur champion. Un scénario
qu’ils veulent éviter cette fois-ci. Malheureusement
pour l’actuel dauphin anglais, les Bavarois
sont encore plus impressionnants que l’an dernier.
Mêmeprivé de Ribéry opéré des fessiers, le Bayern,
qui reste sur trois victoires en Angleterre et trois finales
de C1 en quatre éditions, sera redoutable.
Les compositions probables des deux équipes:
Arsenal : Szczesny - Sagna, Koscielny, Mertesacker, Gibbs -
Flamini, Wilshere - Oxlade-Chamberlain, Özil,
Cazorla (ou Podolski) - Giroud.
Bayern: Neuer - Rafinha, Boateng, Dante, Alaba - Lahm -
Robben, Thiago, Kroos, Götze - Müller (ou Mandzukic).

BayArena. Mi-temps: 3-0.
Spectateurs : 29 412.
Arbitre : V. Kassai (HUN).
Buts : Matuidi (3),
Ibrahimovic (39 s.p., 42), Cabaye (88).
Avertissements - Bayer Leverkusen :
Hilbert (15), Spahic (38, 59),
Guardado (48), Castro (58).
PSG : Matuidi (4).
Expulsion - Bayer Leverkusen :
Spahic (59)
Bayer Leverkusen : Leno - Hilbert,
Spahic, Toprak, Guardado - L. Bender,
Rolfes (cap., Reinartz, 46), Castro -
Sam (Wollscheid, 62), Kiessling,
Son (Brandt, 46).
Entraîneur : Sami Hyypia.
PSG : Sirigu - van der Wiel, Alex,
Silva (cap), Maxwell - Verratti,
Thiago Motta, Matuidi (Cabaye, 67) -
Lucas, Ibrahimovic, Lavezzi (Pastore, 76).
Entraîneur : Laurent Blanc.

Paris endémonstration
et quasiment enquart
FOOT-LIGUE DES CHAMPIONS Porté par un Ibra géant, le PSGaétrillé Leverkusen

Deux buts et une présence de tous les instants pour Zlatan Ibrahimovic qui a presque éliminé
à lui seul les Allemands du Bayer Leverkusen. Le Paris SG, impressionnant
de maîtrise et de réalisme,
aquasiment assuré sa qualification
après sa victoire (4-0) à
Leverkusen, hier en 8e de finale
aller de la Ligue des champions,
grâce notamment à un doublé
de l’inévitable Ibrahimovic. Le
Suédois porte le PSG à bout de
bras, tel Atlas portant la terre.
Zlatan, auteur de deux buts,
dont un nouveau chef-d’oeuvre,
a une nouvelle fois présidé aux
destinées du PSG, qui, sauf improbable
retournement de situation
au match retour le 12 mars
au Parc des Princes, validera son
billet pour les quarts de finale.
Signe que Paris mûrit, il a
maintenu 90 minutes durant sa
performance majuscule, contrairement
à l’an passé où à pareille
époque Valence avait, sans
conséquence pour la suite, préservé
quelque espoir en réduisant
le score (2-1) en fin de
match. Les progrès parisiens sur
la scène continentale appelleront
donc confirmation au prochain
tour, mais la partition récitée
dans la BayArena, face à un
adversaire certes moribond actuellement
(5 défaites lors des 7
dernières journées de Bundesliga)
a forcément de quoi marquer
les esprits.
Les esprits, leBayer ne les a jam
a i s r e c o u v r é s a p r è s
l’ouverture du score de Matuidi,
qui illustrait à lui seul les intentions
parisiennes du début de
rencontre. Parisa géré son avantage
avant d’enfoncer le clou en
fin de première période.
"Ibra" a d’abord transformé
un penalty, avant d’inscrire son
10e but dans la compétition
(meilleur buteur devant Cristiano
Ronaldo), d’une frappe sans
contrôle à l’entrée de la surface.
Trois buts en quatre occasions
franches, Laurent Blanc pouvait
avoir le sourire. D’autant que Cabaye
allait donner un peu plus
d’ampleur à ce triomphe en toute
fin de match

Arsenal, un air de déjà-vu
Comme l'an dernier, Arsenal se retrouve en ballotage défavorable après la venue du Bayern (0-2) à l'Emirates, mercredi soir, en 8e de finale aller de la Ligue des champions. Réduits à dix suite à l'expulsion de Szczesny (37e), les Gunners ont craqué en deuxième période.

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La joie de Toni Kroos, le buteur. (Reuters)



Au moins, Arsenal connaît la marche à suivre… Plombés par l’expulsion de Szczeny (38e), les Gunners se retrouvent dans une situation quasiment identique à celle de l’an dernier lorsqu’ils s’étaient inclinés 1-3 face au Bayern au même stade de la compétition. Ils devront marquer au moins deux fois à l’Allianz Arena le 11 mars prochain pour arracher au minimum la prolongation. Une tâche compliquée, mais pas insurmontable. La saison passée, en Allemagne, les joueurs d’Arsène Wenger y étaient parvenus grâce à deux réalisations de Giroud et Koscielny. Il leur avait manqué un troisième but pour éliminer le futur champion d’Europe.

Le coaching gagnant de Guardiola. On ne pourra même pas accuser les Gunners de ne pas avoir retenu la leçon de 2013. Leur entame de match tonitruante a fait vaciller les joueurs de Pep Guardiola. En l’espace de dix minutes, ils se sont procuré trois occasions franches par Sanogo (7e) – titulaire surprise au détriment de Giroud -, Cazorla (7e), mais surtout Özil (8e). Suite à une faute de Boateng sur Wilshere, l’international allemand aurait pu concrétiser la domination de son équipe, mais son penalty a été stoppé par Neuer. Les Gunners ne le savaient pas encore, mais ils venaient de laisser passer leur chance. Certainement surpris par la détermination déployée d'emblée par Koscielny et ses équipiers, les Bavarois ont progressivement pris le contrôle des opérations.

Ils auraient pu ouvrir le score juste avant la pause suite à une faute de Szczeny sur Robben (38e), mais il semblait décidément écrit que ce match ne serait pas une histoire de penalties. Ou alors de penalties ratés. Alaba a expédié sa frappe sur le montant de Fabianski (40e). Et il a finalement fallu attendre la réorganisation tactique opérée par Guardiola à la pause pour voir le Bayern prendre enfin l’avantage. Repositionné milieu défensif à la pause, Philipp Lahm a délivré deux passes décisives. La première à Kroos, dont la frappe enroulée a trouvé la lucarne de Fabianski (54e). La seconde à Müller, entré à la 64e, et dont la tête à bout portant place son équipe en position idéale avant la manche retour (88e). Dans son malheur, Arsenal, qui a également perdu Gibbs sur blessure (30e), pourra toujours se consoler en se disant que l’addition aurait pu être encore plus salée

La prime aux visiteurs






Publié à 06h00

Le Bayern Munich, tenant du titre, a pris une grosse option sur la qualification en allant battre Arsenal (2-0) en 8e de finale aller de la Ligue des champions, hier à l'Emirates, tout comme l'Atletico Madrid qui a assommé l'AC Milan en fin de match à San Siro (1-0).
ARsenal - Bayern munich : 0-2 Le choc de la soirée a tenu toutes ses promesses et ce sont encore une fois les Munichois qui sont sortis maîtres des débats sur un missile délivré par Tony Kroos (54e) et une tête de Thomas Müller (88e). Les Gunners ont certes disputé près d'une heure à dix après l'exclusion du gardien Szczesny (37e) et auraient même pu ouvrir la marque rapidement sur un penalty sans la maladresse de Mesut Özil (7e). Mais le Bayern, qui a également manqué un penalty par David Alaba (39e), était trop fort et reste en course pour le doublé en C1, 24 ans après le dernier réussi par l'AC Milan.

AC Milan - Atletico Madrid : 0-1 L'attaquant Diego Costa était attendu et il a tenu son rang avec un but inscrit à la 83e minute en forme de coup de poignard pour les Rossoneri. Les Milanais peuvent se mordre les doigts après avoir eu plusieurs grosses opportunités de conclure. Kaka et Poli ont notamment trouvé le poteau, gâchant le baptême du feu du nouvel entraîneur Clarence Seedorf en Ligue des champions. Face à des Madrilènes qui tiennent la dragée haute au Barça et au Real en Liga, le résultat est logique pour le club de Silvio Berlusconi, qui végète à la 9e place de la Serie A. l
Hier soir
Arsenal - Bayern Munich : 0-2
Milan AC - Atletico Madrid : 0-1
Joués mardi. Bayer Leverkussen - Paris SG : 0-4
Manchester City - Barcelone : 0-2
La semaine prochaine
Mardi : Zenit Saint Petersbourg - Borussi Dortmund et Olympiakos - Manchester United.
Mercredi : Galatasaray - Chelsea et Schalke 04 - Real Madrid
0

Dja Djédjé:«Pas un OL bis»
19/02 16h22 - Football, L. Europa
Malgré le large turnover prévu par Rémi Garde, Franck Dja Djédjé s’attend à un match compliqué contre l’OL en 16es de finale aller de la Ligue Europa jeudi. «C’est une grande équipe que l’on voit à la  télé. Je n’ai pas grand-chose à apprendre au coach. L’équipe qui jouera jeudi n’est pas une équipe bis.  A l’OL, je connais particulièrement Yoann (Gourcuff) et Bafé (Gomis). Je connais aussi Henri (Bedimo). J’ai très souvent joué contre lui et à chaque fois, c’est quelque chose. On se verra surement au match retour.Si je marque, tant mieux pour l’équipe. Et je serais personnellement content de le faire contre une équipe française. Mais avant tout, jeudi, c’est la victoire qui nous intéresse. On sait qu’au match retour ce sera compliqué…», a commenté l’attaquant d’Odessa en conférence de presse mercredi.

Ligue Europa : Le groupe lyonnais pour Odessa


Jeudi, l'OL joue le seizième de finale aller de la Ligue Europa à Odessa (Ukraine) face au club de Tchernormorets. Comme annoncé, Rémi Garde va faire tourner son groupe à trois jours d'un match contre Lille, important pour la course au podium en Ligue 1. Un groupe très jeune a été appelé. A l'exception de Bisevac, la quasi-totalité des titulaires habituels sont ménagés et ne feront pas le déplacement.

Le groupe de Lyon : Bahlouli, Bisevac, Briand, Danic, Fekir, Ferri, Ghezzal, Gorgelin, B. Koné, Malbranque, Mvuemba, N'Gouma, N'Jie, Sarr, Tolisso, Tsimba, Vercoutre, Zeffane.

Algerino : «Ce PSG est plus fort que celui de Raï»

Publié le 20/02/2014 à 08:00

football

Algerino, en 1999, sous les couleurs du PSG./AFP.




Formé à Toulouse, sans y avoir joué au niveau professionnel, Jimmy Algerino, ancien latéral droit du Paris Saint-Germain, garde une attache particulière pour ses deux clubs de cœur. Il se confie.
Dimanche, le club de la Capitale se déplace au Capitole, qu’est ce que cela représente pour vous ?
C’est toujours un moment particulier, je prends énormément de plaisir à venir voir le PSG au Stadium. Ces deux clubs sont très importants pour moi. En tant que joueur j’ai toujours ressenti beaucoup d’émotions lors de ce déplacement. Un joueur comme Rabiot doit être heureux de rejouer devant des amis et un public qui l’accueillera bien.
Vous qui êtes Toulousain, vous n’avez jamais porté les couleurs de la ville rose, c’est un regret ?
Après être passé par les jeunes du TFC, les responsables n’ont pas souhaité me garder. J’ai fait mon parcours en ayant la chance de jouer dans des clubs qui, à l’époque, étaient au-dessus. Il y a tout de même un regret. Lors de la saison 2003-2004, j’étais en contact avancé avec Olivier Sadran pour terminer ma carrière ici. On s’acheminait vers un possible contrat de trois ou quatre ans. Mais au dernier moment, cela ne s’est pas fait. Le staff ne me considérait pas comme une solution. Je souhaitais terminer à Toulouse. C’est dommage.
Pensez-vous que ce PSG est plus fort que celui dans lequel vous jouiez ?
À mon époque avec Raï et Leonardo, nous avions une équipe de rêve. Cependant je pense que si Matuidi et consorts continuent de gagner cette année, ils vont nous surpasser. Mettre un 4-0 en huitième de finale de Champion’s League montre que Paris fait partie des cinq meilleures écuries européennes. Je les trouve plus impressionnants. À mon avis, ils sont en train de nous dépasser…
Et Toulouse, quel jugement portez-vous sur cette équipe ?
Je crois que ce que fait Alain Casanova est remarquable. Avec un peu plus de réussite, ce club pourrait être dans les cinq premiers. Pour moi, cela doit être leur objectif. Le recrutement est intelligent et le centre de formation très performant. Le seul problème ici, c’est l’engouement autour de l’équipe.
Que faudrait-il faire selon vous pour inverser cette tendance ?
Je pense qu’il manque trois choses à Toulouse. La première c’est l’arrivée d’un ou deux grands noms. La deuxième, c’est un bon parcours en coupe, et la dernière un nouveau stade. Les supporters se déplaceraient si le stade était neuf. Même s’il est historique, je pense que cela pourrait recréer un lien entre le public et le club.
Du coup vous êtes plutôt Toulouse ou Paris ?
C’est délicat, comme Toulouse n’a plus rien à jouer et que Paris doit engranger des points pour le titre je dirais le PSG. Paris est au-dessus, ils vont venir pour gagner et à mon avis ça va être très compliqué de les arrêter. C’est un choix difficile pour moi, si je choisis un des deux c’est vraiment parce que vous m’y obligez !

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Zlatan moins fort que Raï
En cinq saisons sous les couleurs parisiennes, Jimmy Algérino a joué avec les plus grands. Pour lui, Raï est encore meilleur qu’Ibrahimovic. «C’était un milieu incroyable, il marquait, savait faire des passes et avait du génie. Zlatan aussi est fantastique, mais Raï est champion du monde. Je pense que si Ibra avait gagné la Coupe du monde, il serait numéro 1 !»

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Un PSG programmé pour gagner !

Publié le 20/02/2014 à 03:52

LIGUE DES CHAMPIONS. 8e de finale aller. Contre Leverkusen (4-0), Paris s'est ouvert la voie des quarts.

Mardi soir, Cabaye a inscrit son premier but en Ligue des Champions et sous le maillot parisien./ Photo AFP




Mardi, à Leverkusen, le PSG a fait le plein de confiance avec 4 buts à l’extérieur (si important en C1) avant de se déplacer à Toulouse en Ligue 1 (dimanche, 14 heures, beIN SPORTS 1).
Oubliez le Paris émoussé du mois de janvier… celui qui s’est fait éliminer de la Coupe de France par Montpellier et qui n’a pu prendre qu’un seul point à Guingamp. Le grand prédateur d’automne a signalé son grand retour aux affaires en s’offrant une promenade de santé à Leverkusen (4-0). Assurant quasiment sa place en quarts de finale de C1.
Irrésistible d’octobre à décembre, le PSG a connu un début 2014 un peu plus délicat. Ceci, en raison d’un exigeant stage à Doha, visant à offrir une forme optimale aux joueurs d’ici avril et mai, les mois «où les titres se gagnent» selon les propos de Laurent Blanc.
«Ce qui me fait plaisir, outre le résultat, c’est qu’après avoir été un peu moins bien, on a démontré qu’on n’avait rien perdu de notre jeu. Individuellement et collectivement, on n’a pas dérogé à notre philosophie», s’est félicité l’entraîneur parisien après la démonstration de force de son équipe. Avant de saluer cette «volonté incessante de continuer à jouer de la même façon et de vouloir marquer des buts».
Un succès sans accroc
Force est de constater que la partition parisienne a parfaitement été récitée face à un Bayer, certes, moribond actuellement (5 revers sur les 7 derniers matches de championnat) et qui ne s’est jamais remis du but précoce de Matuidi. «On n’a rien concédé à cette équipe de Leverkusen», a apprécié Blanc qui a évidemment noté la solidité défensive de son équipe, jamais vraiment inquiétée par les attaquants adverses et qui enchaîne un 2e match de rang sans but encaissé, après une série de neuf buts pris en autant de rencontres.
La bataille du milieu n’a même pas eu lieu tant le trio Verratti-Motta-Matuidi a écrasé les débats. Le travail d’abattage de Matuidi, la sérénité du métronome Thiago Motta, la fougue technique de Verratti, parfois à la limite de l’excès mais tellement dévastatrice : quand ces joueurs sont à ce niveau, Paris semble difficilement prenable.
Et ce d’autant plus qu’il compte dans ses rangs un joueur hors-norme en la personne d’Ibrahimovic, buteur à deux reprises (un penalty et une frappe splendide du gauche sous la barre). Le Suédois a ainsi fait mentir les statistiques le montrant moins efficace lors de ces matches à élimination directe. Meilleur buteur de la C1 avec 10 buts, il en est déjà à 34 marqués en 35 matches avec le PSG cette saison. La recrue hivernale, Yohan Cabaye, a également apporté sa pierre à l’édifice en trouvant la lucarne d’une frappe limpide du droit.
Programmé pour gagner des titres, le PSG s’est donc réveillé à point nommé pour continuer sa route en C1, même si elle ne semble pas toute tracée pour Laurent Blanc. «On a encore une marge de progression dans tous

TCHERNOMORETS ODESSA - LYON
À 19h, stade Tchernomorets,à Odessa. Arbitre : M. Craig Thompson (Éco).
Odessa: Bezotosnyi - Kutas, Berger, Fontanello, Santana (ou Zubeiko) - Gai, Riera,
Arzhanov, Kovalchuk - F. Dja Djédjé - Antonov. Entraîneur : Roman Grygortchouk.
Lyon: Vercoutre - Zeffane, Bisevac, B. Koné, Tolisso - Malbranque, Ferri,
Mvuemba - Bahlouli, Briand, Danic. Entraîneur : Rémi Garde.

AnzhiMakhachkala (Rus) - Genk (Bel).................18h
Dniepropetrovsk (Rus) - Tottenham(Ang) .........19h
Juventus (Ita) - Trabzonspor (Tur) ............19h, BIS 2
Odessa (Ukr) - Lyon (Fra) ...............19h, BIS 1 etW9
Dynamo Kiev (Ukr) - Valence CF (Esp) ................19h
PAOK Salonique (Grè) - Benfica (Por) ................19h
Slovan Liberec (Tch) - AZ Alkmaar (Hol) .............19h
Esbjerg (Dan) - Fiorentina (Ita).............................19h
Betis Séville (Esp) - Rubin Kazan (Rus)............21h05
Swansea (Ang) - Naples (Ita) ................21h05, BIS 1
Maribor (Slo) - FC Séville (Esp)........................21h05
Viktoria Plzen (Tch) - Shakhtar Donetsk (Ukr) 21h05
Lazio Rome (Ita) - Ludogorets (Bul) ...............21h05
Ajax Amsterdam(Hol) - Salzbourg (Aut) .......21h05
Maccabi Tel-Aviv (Isr) - FC Bâle (Sui) ..............21h05
FC Porto (Por) - E. Francfort (All) ...........21h05, BIS 2
Matches retour le 27 février

L’OL sur sa réserve
en Ukraine Rémi Garde alignera une
équipe remaniée... si le
match a lieu L’Olympique Lyonnais, endéplacement
ce soir (19h) sur le
terrain du club ukrainien du
Tchernomorets Odessa avec
une équipe volontairement privée
de ses principaux titulaires,
cherchera d’abord à préserver
ses chances pour le retour,
dans huit joursàGerland.
Mais le contexte en Ukraine,
où règne unclimat de guerre civile,
ne pourra pas être mis de
côté. La rencontre ne serait,
pour l’heure, pas menacée selon
un porte-parole du club
malgré la situationdans la capitale,
Kiev, à 400 kilomètres au
nord d’Odessa, ville balnéaire
située au bord de la mer Noire.
"Dès l’instant que le jeu peut se
dérouler normalement, il n’y
aura pas de problème pour se
concentrer sur notre métier", a
déclaré Rémi Garde, interrogé
sur le sujet, en conférence de
presse.
Un appel de paix
auxmanifestants
Toutefois, les dirigeants du
Tchernomorets semblent craindre
que le stade ne soit utilisé
comme un lieu de manifestation
et ont appelé les supporteurs
à ne pas se servir de
l’image du club pour exprimer
une opinion, espérant que les
efforts des fans soient uniquement
tournés vers le soutien de
l’équipe.
Pour l’aspect purement sportif,
à quelques jours d’un autre
voyage très important, dimanche
à Lille, pour une rencontre
directe dans la lutte pour la
3eplace de la Ligue 1 où l’OL, 6e,
est revenu à cinq longueurs du
Losc après avoir accusé un retard
de 15 points, Lyon a géré
son effectif. Lamajorité des titulaires
restera en France pour
s’entraîner ou suivre des soins.
Rémi Garde avait suopérer ainsi
avec réussite lors des matches
de poules à Rijeka (Croatie,
1-1) et à Vitoria Guimaraes
(Portugal, victoire 2-1) avant le
derby à Saint-Étienne pour un
succès à l’extérieur (1-2) et la réception
de l’OM (2-2), en fin
d’automne. L’entraîneur de
l’OL réfute l’idée de privilégier
le championnat et de délaisser,
commebeaucoup de clubs français,
la C3. "C’est un faux procès
que l’on m’intente. Nous
n’avons perdu qu’un match en
Ligue Europe depuis deux ans.
Nous avons un rendez-vous important
dimanche pour le classement
en L1. J’essaie demener les
choses dans l’intérêt du club."

Avec Sarr et Tolisso

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Comme attendu, Rémi Garde a procédé à une large revue d'effectif pour le seizième de finale aller de Ligue Europa sur le terrain du Tchernomorets Odessa (coup d'envoi à 19h00). Naby Sarr est titulaire en défense, tout comme Corentin Tolisso sur l'aile droite. En face, l'attaquant franco-ivoirien Franck Dja Djedje débutera la partie.

Les équipes de départ
Odessa : Past - Zubeiko, Berger, Fontanello, A. Mineiro - Kovalchuk, Bobko - Leo Matos, Gai, Dja Djedje - Antonov.
Lyon : Vercoutre - Bisevac, Sarr, B.Koné, Zeffane - Ferri, Malbranque, Mvuemba - Tolisso, Briand, Danic.

Lyon n'hypothèque rien
Avec un onze bis, l'OL a obtenu le nul (0-0) sur la pelouse du Tchernomorets Odessa, jeudi, en 16e de finale aller de la Ligue Europa. Match retour le 27 février prochain à Gerland.

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L'OL de Jordan Ferri n'a pu faire mieux que 0-0 sur la pelouse du Tchernomorets Odessa en 16e de finale aller de la Ligue Europa. (L'Equipe)



Il faudra attendre le 27 février prochain et la venue du Tchernomorets Odessa à Gerland pour mieux mesurer la pertinence du choix de Rémi Garde de se priver de la majorité de ses titulaires. Mais à défaut de repartir d’Ukraine avec une victoire qui lui aurait ouvert la route des 8es de finale de la Ligue Europa, l’OL a au moins eu la bonne idée de ne pas perdre de plumes en chemin. Avec un onze très remanié et une nouvelle organisation en 3-5-2 (ou 5-3-2 en phase défensive), l’OL n’a pu faire mieux que 0-0 face aux équipiers de l’ancien Niçois Franck Dja Djedje. Un résultat logique au regard de la physionomie de la rencontre. Et même plutôt heureux si l’on se réfère à la tête de Didenko sur le montant de Vercourtre dans le temps additionnel (90e+1).

Lyon est toujours invaincu en Ligue Europa cette saison. L’OL n’a pas suffisamment maîtrisé son sujet pour nourrir éventuellement des regrets. Il aurait pu prendre l’avantage si Malbranque n’avait pas manqué son contrôle alors qu’il se présentait seul devant Past (27e) ou s’il avait mieux négocié certaines situations – notamment un 3 contre 3 conclu par… une passe manquée de Danic (44e) -. Mais avec une défense expérimentale - et inexpérimentée à l’exception de Bisevac et dans une moindre mesure Koné –, il a également souffert en fin de première période et en début de deuxième notamment : Sarr a manqué d’engagement et contraint Vercoutre à une belle parade sur un retourné d’Antonov (39e) ; Bobko a échappé à la vigilance de Koné, mais il a trop croisé sa frappe (47e). 

Comme à Riejka (1-1), le 7 novembre dernier, où Rémi Garde avait déjà opté pour un onze bis afin de préparer le derby face à Saint-Etienne, la "jeunesse" lyonnaise ne s’en est pas trop mal tirée. Aux titulaires habituels désormais de donner raison à leur entraîneur de les avoir ménagés dimanche sur la pelouse de Lille. Irrité par «le faux procès» qui lui était intenté de négliger la C3, Garde peut, lui, déjà se réjouir : son pari n'a pas altéré la dynamique lyonnaise. Son équipe est toujours invaincue en Ligue Europa cette saison.

Lyon préserve toutes ses chances
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Publié à 06h00

Lyon a préservé ses chances de qualification après avoir obtenu un résultat nul (0-0), hier sur le terrain du club ukrainien du Chornomorets Odessa en 16e de finale aller de l'Europa league dont le retour se disputera dans huit jours au stade de Gerland.

La rencontre s'est normalement disputée malgré le jour de deuil national décrété en raison des événements tragiques déplorés lors de l'insurrection dans la capitale ukrainienne, Kiev, située à 400 kilomètres d'Odessa, cité balnéaire au bord de la mer Noire. L'Olympique lyonnais, invaincu cette saison en phase de poules, avait choisi de préserver ses principaux titulaires afin de mieux préparer la rencontre très importante à Lille, dimanche, dans la lutte pour la 3e place en Ligue 1. Avec une disposition en 5-3-2, l'OL a toutefois été rarement dangereux offensivement et s'est parfois bien sorti de situations délicates en défense.l



principaux résultats

Juventus Turin - Trabzonspor : 2-0

PAOK Salonique - Benfica : 0-1

Dynamo Kiev - Valence : 0-2

Esbjerg - Fiorentina : 1-3

Dnipropetrovsk - Toottenham : 1-0

Ajax Amsterdam - Salzbourg : 0-3

Porto - Francfort : 2-2

Swansea - Naples : 0-0

Maribor - FC Séville : 2-2

Bétis Séville - Rubin Kazan : 1-1

Macabi Tel Aviv - Bâle : 0-0

Lazio Rome - Razgrad : 0-1

Viktoria Plzen - Chakhtior Donetsk : 1-1

Slovan Liberec - Alkmaar : 0-1

hier soir

Ligue Europa. Tous les résultats de la soirée
Europe - 20 Février

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  Paul Pogba (félicité ici par Carlos Tevez, de dos, et Andrea Pirlo, à droite) a marqué le second but turinois d'une superbe frappe. | AFP
  

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Les seizièmes de finale aller se sont déroulés jeudi soir.

Seizièmes de finale aller
Dniepropetrovsk (Russie) - Tottenham (Angleterre) : 1-0 ;
Juventus Turin (Italie) - Trabzonspor (Turquie) : 2-0 ;
Tchernomorets Odessa (Ukraine) - Lyon (France) : 0-0 ;
Esbjerg (Danemark) - Fiorentina (Italie) : 1-3 ;
Anzhi Makhachkala (Russie) - Genk (Belgique) : 0-0 ;
Dynamo Kiev (Ukraine) - Valence CF (Espagne) : 0-2 ;
PAOK Salonique (Grèce) - Benfica Lisbonne (Portugal) : 0-1 ;
Slovan Liberec (République Tchèque) - AZ Alkmaar (Pays-Bas) : 0-1 ;
Betis Séville (Espagne) - Rubin Kazan (Russie) : 1-1 ;
Swansea (Angleterre) - Naples (Italie) : 0-0 ;
Maribor (Slovénie) - FC Séville (Espagne) : 2-2 ;
Viktoria Plzen (République Tchèque) - Shakhtar Donetsk (Ukraine) : 1-1 ;
Lazio Rome (Italie) - Ludogorets (Bulgarie) : 0-1 ;
Ajax Amsterdam (Pays-Bas) - Salzbourg (Autriche) : 0-3 ;
Maccabi Tel-Aviv (Israël) - FC Bâle (Suisse) : 0-0 ;
FC Porto (Portugal) - Eintracht Francfort (Allemagne) : 2-2.

ÀOdessa, Centralnyi Stadion Tchernomorets. Spectateurs : 25000 environ.
Arbitre : C. Thomson (ÉCO).
Avertissement - Tchernomorets Odessa: Rebenok (73).
Tchernomorets Odessa: Past - Zubeyko, Berger, Fontanello, Anderson Santana - Leo
Matos (cap.) (Rebenok, 66), Kovalchuk, Gai (Didenko, 90), Bobko, F. Dja Djédjé (Okriashvili,
86) - Antonov.
Entraîneur : Roman Grigortchuk.
Lyon: Vercoutre - Bisevac (cap.), Koné, Sarr, Zeffane - Tolisso, Mvuemba, Ferri, Malbranque
- Briand (Fekir 84), Danic.
Entraîneur : Rémi Garde.

AnzhiMakhachkala (Rus) - Genk (Bel) ................0 - 0
Dniepropetrovsk (Rus) - Tottenham(Ang) ........1 - 0
Juventus (Ita) - Trabzonspor (Tur) .....................2 - 0
Odessa (Ukr) - Lyon (Fra) ...................................0 - 0
Dynamo Kiev (Ukr) - Valence CF (Esp) ...............0 - 2
PAOK Salonique (Grè) - Benfica (Por) ................0 - 1
Slovan Liberec (Tch) - AZ Alkmaar (Hol).............0 - 1
Esbjerg (Dan) - Fiorentina (Ita) ............................1 - 3
Betis Séville (Esp) - Rubin Kazan (Rus) ...............1 - 1
Swansea (Ang) - Naples (Ita) ..............................0 - 0
Maribor (Slo) - FC Séville (Esp) ...........................2 - 2
Viktoria Plzen (Tch) - Shakhtar Donetsk (Ukr) ...1 - 1
Lazio Rome (Ita) - Ludogorets (Bul) ...................0 - 1
Ajax Amsterdam(Hol) - Salzbourg (Aut) ..........0 - 3
Maccabi Tel-Aviv (Isr) - FC Bâle (Sui) .................0 - 0
FC Porto (Por) - E. Francfort (All) .........................2 - 2
Matches retour le 27 février

PSG: Al-Khelaïfi "fier de prolonger" Thiago Motta

Thiago Motta vient de prolonger son contrat au Paris Saint-Germain et devrait donc rester en France jusqu'en juin 2016. Taulier de l'entrejeu, le récupérateur international transalpin ne cache pas satisfaction. "Je suis très heureux de poursuivre mon rêve avec le Paris Saint-Germain, indique l'ancien joueur du FC Barcelone ou de l'Inter Milan sur le site officiel du club. Je souhaite continuer à aider le club à atteindre ses objectifs très ambitieux en France et en Europe". Nous sommes très fiers de prolonger Thiago Motta, un joueur exceptionnel sur le terrain et élégant en dehors, explique pour sa part le président Nasser Al-Khelaïfi. Il symbolise les grandes ambitions du Paris Saint-Germain".

Tout juste auréolé de sa performance
retentissante à Leverkusen (4-0) en Ligue
des champions, le PSG revient aux
affaires de la Ligue 1 avec un déplacement
à Toulouse où il devra impérativement
s’imposer pour conserver intacte
son avance en tête du classement.
S’il cherchait une motivation particulière
pour ce rendez-vous, le PSG l’aura
probablement trouvée vendredi sur les
coups de 22h20, lorsque son dauphin
Monaco est parvenu à arracher dans les
arrêts de jeu la victoire contre Reims
(3-2) pour opérer un rapproché à deux
points. "Les joueurs sont conscients de ce
qu’ils doivent faire à Toulouse, ils savent
ce qu’a fait Monaco, c’est probablement
un surplus de motivation pour eux", explique
Laurent Blanc, jugeant d’ailleurs
"préférable qu’une équipe nous mette
sous la pression du résultat. On se prépare
pour essayer de gagner à Toulouse."
Le tirage au sort des qualifications de
l’Euro2016, aujourd’hui à partir de 12h, à
l’Acropolis de Nice, constitue le premier
événement majeur du futur tournoi organisé
en France (10 juin-10 juillet 2016)
avec une grande nouveauté, la participation
des Bleus, pourtant qualifiés d’office.
Premier championnat d’Europe à
24 équipes, contre 16 auparavant, un groupe
éliminatoire composé du futur pays-hôte,
des rencontres étalées sur toute la semaine:
l’UEFA a innové pour sa compétition-
phare dont la phase qualificative (septembre
2014-octobre 2015) sera déterminée
lors d’une cérémonie d’une cinquantaine
de minutes présentée par deux illustres
anciens vainqueurs, Ruud Gullit
(1988) et Bixente Lizarazu (2000).
Le président de l’UEFA, Michel Platini, a
également convié 13 des plus grands gardiens
européens de l’histoire (Barthez,
Baia, Dasaev, Iribar, Jennings, Kopke,
Nikopolidis, Pfaff, Schmeichel, Tomaszewski,
Van Breukelen, Viktor, Zoff) afin
de procéder au tirage, qui doit permettre
de répartir 54 équipes en neuf groupes.
Des matches amicaux pour les Bleus
L’Espagne, double tenante du titre,
l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie,
l’Angleterre, le Portugal, la Grèce, la Russie
et la Bosnie-Herzégovine seront têtes
de série, selon le classement par coefficient
des équipes nationales établi par
l’instance européenne, en fonction des résultats
obtenus au Mondial 2010, à
l'Euro 2012 et au cours des éliminatoires
de la Coupe du monde 2014.
Si huit poules compteront six pays, la
neuvième n’en aura que cinq et sera complétée
par la France. Pour la première fois,
le pays hôte sera ainsi placé dans un groupe
qualificatif mais ses rencontres seront
amicales et ne seront pas comptabilisées.
"C’est une idée qui vient des services de
l’UEFA et qui n’a pas fait débat du tout. On
connaît la difficulté de trouver des adversaires
en matches amicaux, c’est la croix et la
bannière. Les adversaires n’auront pas le
choix, ils joueront en amical contre la France.
Mais la France jouera d’autres amicaux,
aux dates prévues pour les matches
amicaux", adéclaré Jacques Lambert, président
de la société organisatrice de l'Euro
2016.
Pour des raisons liées aux droits TV, désormais
centralisés par l’UEFA,
l’Angleterre, l’Allemagne, l’Italie,
l’Espagne et les Pays-Bas sont assurés de
figurer dans une poule de six et ne croiseront
donc pas la route des Bleus. Plus globalement,
il faut tout de même reconnaître
qu’avec 24 participants sur 54 états
membres, soit quasiment la moitié de la
confédération européenne, ces qualifications
perdent une partie de leur intérêt.
ALLEMAGNE
22e journée - Vendredi
Schalke 04 -Mayence ............................0 - 0
Hier
Fribourg - Augsburg ..............................2 - 4
Hambourg - Dortmund...........................3 - 0
VfB Stuttgart - Hertha Berlin .................1 - 2
M'Gladbach - Hoffenheim......................2 - 2
Nuremberg - Eintracht Brunswick ........2 - 1
Wolfsburg - B. Leverkusen.....................3 - 1
Aujourd’hui
Francfort -W. Brême...........................15h30
Hanovre - BayernMunich ..................17h30
PTS J G N P BP BC G
1. B. Munich 59 21 19 2 0 57 9 48
2.B. Leverkusen 43 22 14 1 7 39 25 14
3. Dortmund 42 22 13 3 6 51 27 24
4. Schalke 04 41 22 12 5 5 41 30 11
5. Wolfsburg 39 22 12 3 7 38 26 12
6. M’Gladbach 35 22 10 5 7 39 28 11
7. H. Berlin 34 22 10 4 8 34 27 7
8. Augsburg 34 22 10 4 8 34 2 2
9. Mayence 34 22 10 4 8 31 25 -4
10. Hoffenheim 26 22 6 8 8 46 46 0
11. Hanovre 24 21 7 3 11 29 37 -8
12. Nuremberg 23 22 4 11 7 27 37 -10
13. Francfort 21 21 5 6 10 24 38 -14
14. W. Brême 21 21 5 6 10 25 46 -21
15. VfB Stuttgart 19 22 5 4 13 35 47 -12
16. Hambourg 19 22 5 4 13 38 51 -13
17. Fribourg 18 22 4 6 12 22 44 -22
18. Brunswick 15 22 4 3 15 16 41 -25
TOULOUSE - PARIS SG
À 14h, au Stadium. Arbitre : N. Rainville.
Toulouse : Boucher - Veskovac, Spajic, Yago -
Aurier (cap.), Aguilar, Didot, Chantôme (ou Trejo),
Akpa Akpro - Ben Yedder, Braithwaite.
Entraîneur: Alain Casanova.
Paris SG: Sirigu - Van Der Wiel, Alex, Thiago
Silva, Maxwell - Verratti, Thiago Motta, Matuidi
(ou Cabaye) - Lucas, Ibrahimovic, Lavezzi
(ouPastore).
Entraîneur: Laurent Blanc.

Lilleet Lyonjouent gros
LIGUE1 Le Losc et l’OL, qui s’affrontent ce soir, sont des concurrents directsdel’OM
Gomis ira se frotter à Kjaer, Souaré et Basa sur la pelouse du stade Pierre-Mauroy.
À l’aller, le 28 septembre, les deux clubs s’étaient neutralisés (0-0).
Avec cinq longueurs d'avance
sur l’OL, le Losc a
l’opportunité de repousser
les Lyonnais à huit points en
cas de succès. Un scénario que
les Gones iront toutefois combattre
avec force dans le Nord. "On
peut parler d’un match à six
points, estime René Girard. D’où
l’importance de faire un résultat
positif. C’est un rendez-vous important.
Ce serait bien de se donner
de l’air, d’avoir une marge
par rapport à un concurrent direct."
Ce choc intervient alors que
les deux équipes sont dans des
dynamiques opposées. Lyon, actuellement
en forme, a engrangé
quinze points sur les six derniers
matches contre seulement cinq
pour les Nordistes. "Nous sommes
dans une belle série qui motive
les joueurs. L’idée est d’obtenir
le meilleur résultat possible. On
ne part pas pour un match nul",
prévient Rémi Garde. Après un
début d’année calamiteux (trois
défaites et un nul), le Lille OSC affiche
un meilleur visage depuis
deux rencontres (une victoire et
un nul) et a retrouvé la réussite
qui le fuyait en égalisant de manière
chanceuse dans le temps
additionnel sur le terrain
d’Évian TG (2-2) dimanche dernier.
"Prendre un point à la dernière
minute, c’est bon pour le
moral. Ça va mieux, on le ressent
dans le travail quotidien. Il n’y a
jamais eu de problème majeur
dans le groupe mais il manquait
un peu de réussite", explique le
coach lillois.
Ce renouveau reste toutefois
fragile au regard de la qualité de
jeu affichée et des deux derniers
adversaires (ETG et Sochaux)
des Lillois, qui ont besoin d’un
match référence face à un adversaire
direct pour se relancer. "On
va rencontrer une très bonne équipe
de Lyon qui se trouve actuellement
en pleine bourre, on devra
se méfier, lance Florent Blamont.
On a abordé les derniers rendez-
vous avec un meilleur état
d’esprit. À nous de continuer
dans cette voie et de bien gérer cette
affiche, en gommant notamment
nos petites erreurs."
L’OL, qui pointait à 16 longueurs
du Losc après la 16e journée
de L1, peut recoller à deux
points des Nordistes en cas de
succès.Les Olympiens, vainqueurs
hier de Lorient (1-0) au
stade Vel’, observeront tout cela
de loin. Sans oublier qu’un nul ferait
leurs affaires...

À 21h, stade Pierre-Mauroy. Arbitre : B. Millot.
Lille: Enyeama - Sidibé, Kjaer, Basa, Souaré - Balmont, Mavuba, Gueye - Roux
(ou Mendes), Kalou, Origi. Entraîneur : René Girard.
Lyon: A. Lopes - M. Lopes, B. Koné, Umtiti, Bedimo - Fofana, Gonalons, Grenier,
Malbranque - Lacazette, Gomis. Entraîneur : Rémi Garde

Pourquoi le Paris-SG 2013-2014 est si fort

Publié le 22/02/2014 à 08:32 | 1



Blaise Matuidi sait aussi marquer./ AFP




Trois petites défaites en matches officiels dont 1 seule en Championnat : la machine PSG, impressionnante cette semaine sur la scène continentale, est du même acabit que le Barça et le Bayern. D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si la troupe à Blanc possède la 3e meilleure possession de balle (64,1%) - au niveau européen - derrière, justement, l’équipe de Martino (68,5) et la formation de Guardiola (67,9), ancien mentor catalan au demeurant.
Certes posséder n’est pas forcément régner, mais au pays du ballon rond ça aide beaucoup : mieux vaut avoir l’objet sacré que courir après, c’est bien connu. Même si en L1, paradoxalement, les Parisiens n’affichent au compteur «que» 61%.
Pour info, le TFC se classe joliment 4e avec une moyenne de 53. Pas mal du tout.
«Ce n’est pas bien compliqué à expliquer, avance le technicien haut-garonnais Alain Casanova. Je pense que les champions de France en titre ont tout bonnement le meilleur milieu de terrain en Europe. Quand vous regardez le trio Verratti-Thiago Motta-Matuidi et qu’ensuite vous avez sur le banc Cabaye et Rabiot, il n’y a pas vraiment besoin de dessin ! »
«Après, continue Casa, si on entre dans les détails, je vois deux améliorations très nettes à la source de leur domination hexagonale et, maintenant également, sur le plan continental : laforce collective et l’esprit compétiteur.»
Carrière : «Dans les 5-6 secondes qui suivent la perte…»
«Primo, Laurent Blanc a réussi à ce que ses individualités soient vraiment au service de l’équipe - je trouve que c’était moins marqué l’année passée. Mieux, ça marche cette saison, j’irais même jusqu’à préciser, quand les Franciliens n’ont pas le ballon. C’est-à-dire dans les courses, les replacements à la perte de balle.» «Tout se joue, ajoute éric Carrière - que nous interrogions lundi la veille qu’il commente le match au Bayer Leverkusen sur Canal+ -, dans les 5-6 secondes qui suivent immédiatement la dépossession du ballon.»
Casanova : «Ils accélèrent quand ils veulent ! »
«Deuzio, poursuit l’entraîneur téféciste, le niveau mental du Paris - Saint-Germain impose le respect. Lorsqu’il faut frapper un grand coup, gagner une rencontre comme mardi ce fut donc le cas, revenir dans un match ou encore faire une différence à un moment donné, ils sont là ! Ils ont cette capacité en eux. Bref, ils peuvent mener à leur guise une partie. Décider du coup d’accélérateur salvateur.
Sacré défi pour nous, dimanche… »

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À guichets fermés
C’était annoncé, c’est officiel depuis hier soir : il n’y a plus de places ! La centaine de balcons qui restaient en vente ont disparu dans l’après-midi et, ainsi, les 21.887 billets trouvé preneur.

550.000 euros/mois pour T. Motta
22/02 11h55 - Football, L1
Le PSG annonçait vendredi la prolongation de contrat de Thiago Motta. Le Parisien révèle ce samedi que l’international italien touchera désormais 550.000 euros brut par mois, soit environ 300.000 net d’impôt. Hors primes. Toujours d’après le quotidien francilien, Motta, qui avait jusqu’à présent le sixième salaire du club derrière Ibrahimovic, Thiago Silva, Cavani, Lavezzi et Cabaye (330.000 euros bruts mensuels), passe en cinquième position.

Matuidi : «Difficile de venir nous chercher»

Après la belle victoire du PSG à Toulouse (4-2), le milieu de terrain parisien Blaise Matuidi a confié qu'il sera compliqué de rattraper le club de la capitale au classement.



Zlatan Ibrahimovic (attaquant du PSG) : «Ça a été un bon match. C'était difficile de jouer sur cette pelouse, qui était en très mauvais état (...) mais nous avons gagné le match et nous avons pris les trois points qui nous permettent d'avancer dans le championnat. Je me sens bien, très bien physiquement. Je ne sais pas jusqu'où nous allons aller mais j'espère que l'équipe va continuer sur le même rythme et en fonction, on verra ce qu'on gagnera.»

Nasser Al-Khelaïfi (président du PSG) : «Ce n'était pas facile aujourd'hui, après un match de Ligue des champions, surtout à 14h00. Ce qui est très important pour nous ce sont les trois points pour la course au titre. Nous, on ne regarde pas Monaco. On regarde contre qui on doit jouer et on essaye de gagner tous les matches jusqu'à la fin. (Le match contre Marseille ?) C'est toujours un match très spécial pour nous. Ce mois de mars est très important pour nous, un mois pour faire la différence en Ligue des champions mais aussi en championnat.»

Blaise Matuidi (milieu de terrain du PSG) : «Pour vous, c'est censé être facile tout le temps. Il faut qu'on gagne 4-0 tout le temps. Il n'y a pas de match facile. Aujourd'hui, c'était un match compliqué, avec une pelouse difficile, une bonne équipe de Toulouse aussi. Mais l'essentiel est là, on a fait ce qu'il fallait pour gagner. On prend deux buts mais on en met quatre quand même. Ça fait beaucoup en une semaine. Ça montre qu'on a le talent offensif et que ça va être difficile de venir nous chercher. Il fallait bien finir ; ce n'était pas facile après ce match en semaine à Leverkusen. On va pouvoir bien récupérer avant le choc contre Marseille.»




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Foot - L1 - 26e j. Merci qui ? Merci Zlatan




Blanc : «Très efficace»


Salvatore Sirigu (gardien de but du PSG) : « C'est une victoire importante après le résultat de Monaco. C'est aussi important car cela reste un match à l'extérieur. On a eu plus de difficulté que d'habitude, c'est vrai, mais gagner des matches comme celui-ci, ça compte. Il n'y a rien de surprenant avec ce genre d'adversaire. Il faut s'adapter à chaque match et on a réussi à le faire aujourd'hui. Notre efficacité a fait la différence. »

Maxwell (défenseur du PSG) : « L'avantage de 5 points au classement est très important pour nous. On n'a pas été parfaits à tous les niveaux, mais le principal c'est la victoire. C'est important de marquer les occasions qu'on a. Félicitation aux attaquants aujourd'hui. »

TFC: l'impossible Paris
Publié le 24/02/2014 à 03:51


TFC: l'impossible Paris


1 > Supporters. Malgré le soutien de leurs supporters, le TFC n’a pas pu réaliser l’exploit face à l’armada parisienne.

2 > Cherchez l’erreur. Au milieu des drapeaux violets, une tunique du PSG. Chacun ses goûts.

3 > Sourire. Pour cette jeune fille juchée sur les épaules de son papa, son écharpe du… PSG autour du cou.

4 > Joie. Ibrahimovic, Verratti, Lavezzi : la triplette de feu du PSG a frappé au Stadium.

5 > Sévère. 4 buts encaissés par Zacharie Boucher et sa défense. C’est cher payé au final. Photos DDM, Michel VIALA

banderole > «Nous n’avons pas besoin de titre…. pour aimer notre club». C’est le message déployé par le virage des Indians sur une banderole à destination… des supporteurs parisiens peut-être ?

précaution inutile > Ben Yedder portait deux maillots. Buteur hier après-midi, Wissam Ben Yedder avait bien préparé son coup puisqu’au moment de célébrer son but il enleva son maillot pour le jeter dans le virage des Indians. Ô surprise, le buteur toulousain en portait un autre en dessous, pensant sans doute échapper à une sanction de l’arbitre. Peine perdue, M. Rainville a attendu que WBY revienne vers le rond central pour lui adresser un avertissement.

accueil > Chaleureux pour les handballeurs. Conviés à donner le coup d’envoi de la rencontre, Jérôme Fernandez et Valentin Porte les deux joueurs du Fenix Toulouse sacrés champions d’Europe il y a un mois, ont été copieusement applaudis par le public du Stadium. Tous deux vêtus d’un maillot du TFC avec leurs numéros respectifs en équipe de France (le 2 pour Fernandez et le 28 pour Porte), ils ont choisi de donner le ballon à Wissam Ben Yedder sur le coup d’envoi.

retrouvailles > Chantôme a revu ses amis. Clément Chantôme, le milieu de terrain du TFC prêté par le PSG, son club formateur, pour cette saison à longuement discuté avec ses anciens coéquipiers et notamment Nicolas Douchez, l’ancien gardien de but du TFC. Les deux hommes avaient visiblement beaucoup de choses drôles à se raconter.