QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

Football Match amical - Paris SG-Real Madrid 0-1
Midilibre.fr
02/01/2014, 20 h 36 | Mis à jour le 02/01/2014, 20 h 42



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Le PSG a manqué de réalisme face au Real Madrid et a été battu (1-0). (AFP KARIM JAAFAR)
 Le PSG a manqué de réalisme face au  Real Madrid et a été battu à Doha  (1-0), malgré de nombreuses occasions.
Malgré de nombreuses occasions, le PSG a manqué de réalisme face au  Real Madrid  et a été battu  (1-0). Match amical A Doha (Khalifa Stadium ) : Real Madrid bat Paris SG 1 à 0 (1-0)
Spectateurs : 39 710
Arbitre : A. Al Jassim (QAT)
Temps : pluvieux But Real Madrid: Jese (20)
Les équipes :

Paris SG : Sirigu - Van der Wiel (Camara, 72), Alex (Marquinhos, 46), Silva (cap), Digne (Maxwell, 46) - Verratti (Pastore, 62), Thiago Motta (Rabiot, 62), Matuidi (Ongenda, 72) - Cavani (Ménez, 62), Ibrahimovic (Coman, 72), Lavezzi (Lucas, 46) Entraîneur: Laurent Blanc

Real Madrid : Lopez (Fernandez, 46) - Arbeloa (Carvajal, 46), Nacho (Llorente, 46), Ramos (cap) (Pepe, 46), Casado (Marcelo, 46) - José Rodriguez (Casemiro, 46), Xabi Alonso (Modric, 46), Illarra (Isco, 46) - Jese (Di Maria, 46), Morata (Benzema, 46), Ronaldo (Romero, 46) Entraîneur: Carlo Ancelotti

Football : le Parisien Thiago Silva, Samba d'or 2013
AFP
02/01/2014, 14 h 26 | Mis à jour le 02/01/2014, 14 h 30



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Le Parisien Thiago Silva remporte son troisième Samba d'or consécutif. (KARIM JAAFAR / AFP)
Le Samba d'or 2013 a rendu son verdict. Près de 100 000 internautes, onze journalistes européens et brésiliens ainsi qu'une équipe d'anciens joueurs de la Seleção ont participé à la sixième édition du trophée du meilleur joueur brésilien de l'année en Europe.
Le défenseur brésilien du PSG Thiago Silva (29 ans) a remporté pour la troisième année consécutive le trophée Samba d'or, qui récompense le meilleur joueur brésilien évoluant en Europe. Avec 24 % des voix, le capitaine de la Seleçao devance largement un autre défenseur, Dante (Bayern Munich, 15 %), et le milieu offensif de Chelsea Oscar (8 %).
Près de 100 000 internautes



Organisée par le site sambafoot.com, consacré au football brésilien, cette élection a vu la participation de près de 100 000 internautes et d'anciennes gloires brésiliennes comme Tostão ou Marcio Amoroso.

Coupe de la ligue : Les Girondins ne croient pas à une équipe B du PSG
10 commentaires
Publié le 10/01/2014 à 07h00 , modifié le 10/01/2014 à 07h12 par
Frédéric Laharie


VIDEO - L'entraîneur parisien Laurent Blanc a émis l'idée d'une "classification" des priorités. Mais les Bordelais ne croient pas à un PSG au rabais mardi en quart-de-finale de Coupe de la Ligue.
Les Bordelais ne croient pas à une équipe B du PSG mardi en Coupe de la Ligue © Photo
Thierry David








 
hampionnat, Ligue des Champions (en 8e de finale contre le Bayer Leverkusen), Coupe de France (contre Montpellier en 16e) et quart-de-finale de Coupe de la Ligue mardi soir (21 heures) à Bordeaux : les objectifs et les compétitions s'accumulent pour le Paris Saint-Germain. problème de (très) riche ? Certes mais aussi un calendrier surchargé à gérer pour Laurent Blanc.

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Peut-être instruit par son expérience bordelaise du printemps 2010 quand les Girondins avaient tout perdu à vouloir courir tous les lièvres à la fois, l'entraîneur parisien a émis l'idée mercredi soir, après la qualification en Coupe de France à Brest (5-2), de "classifier les objectifs même si Paris veut jouer toutes les compétitions", Sous-entendu la Coupe de la Ligue passerait au quatrième plan derrière, dans l'ordre, la Ligue 1, la Ligue des Champions et la Coupe de France.
L'écho de cette hypothèse a été entendu au centre d'entraînement des Girondins au Haillan, ce jeudi matin. Mais personne n'a pris l'ancien entraîneur bordelais (de 2007 à 2010) au mot : "Pour bien le connaître, ainsi que son staff (son adjoint Jean-Louis Gasset déjà avec lui à Bordeaux NDLR), cela m'étonnerait qu'il vienne simplement pour faire un petit tour à Bordeaux, face à un club qu'il a entraîné et qu'il respecte", en a souri le capitaine Cédric Carrasso.
"Il ne fera pas d'impasse ici", appuie Grégory Sertic qui a été lancé dans la carrière professionnelle par le champion du Monde 1998. "Et il a de toute façon le groupe pour jouer sur tous les tableaux".
C'est aussi l'avis Francis Gillot qui ne croit pas une seconde à voir se présenter une équipe parisienne les mains en haut du guidon mardi soir. "Même le troisième joueur au poste est plus fort que le titulaire dans les trois quarts des équipes de Ligue 1".
Un entraîneur bordelais impressionné par la cadence à laquelle avancent Ibrahimovic et ses coéquipiers. "Contre Brest, il a encore marqué des buts exceptionnels mais il a placé la barre tellement haut que cela devient presque banal pour lui".

La tentation parisienne d'Hazard


Eden Hazard.

Par la rubrique Football
Publié le 10 janvier 2014 à 08h19
Mis à jour le 10 janvier 2014 à 08h23

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Eden Hazard aurait confirmé selon Le Parisien les contacts existants avec le PSG. Le club de la capitale espèrerait boucler son arrivée l'été prochain. Mais Chelsea veille sur son protégé.
Eden Hazard et le PSG, c’était jusque-là un rendez-vous manqué, une romance éconduite à l’été 2012. Alors désireux de frapper fort sur le marché des transferts, le vice-champion de France (derrière Montpellier) entendait bien boucler l’arrivée du Lillois, tout juste élu meilleur joueur de Ligue 1. Peine perdue, le Belge allait préférer l’appel de la Premier League et l’offre de Chelsea.
Près de deux ans plus tard, le PSG revient à la charge. Selon Le Parisien, Nasser Al-Khelaifi et les dirigeants du club auraient renoué des contacts dès l’automne avec l’ailier des Blues. Celui-ci ne serait pas insensible à la cour de QSI et aurait déjà confié ses intentions à l’un de ses coéquipiers à Londres. "Je vais certainement rejoindre Paris l’été prochain", aurait-il même soufflé.

Chelsea peut-il le bloquer ?
Le dossier s’annonce toutefois complexe à boucler. A Chelsea, le Belge a réussi à s’imposer comme un membre du onze de départ de José Mourinho après avoir déjà séduit André Villas-Boas puis Rafael Benitez la saison dernière. Il est même l’un des plus jolis coups des Blues sur le marché des transferts ces dernières saisons en dépit d’un coût important puisqu’il avait fallu que Roman Abramovitch débourse 40 millions d’euros pour l’enrôler. En Angleterre, Hazard a surpris par son intégration rapide et figure parmi l'un des talents les plus prometteurs et appréciés du royaume. Mourinho, qui l’utilise en tant qu’ailier mais aussi en meneur de jeu axial, ne serait d'ailleurs pas franchement enclin à le laisser filer. Ses dirigeants de Chelsea ne seraient pas disposés à ouvrir la porte à un départ selon des indiscrétions glissées au Parisien.
Les performances d’Hazard lors de sa première Coupe du monde en juin pourraient un peu plus faire grimper sa cote. Mais le PSG a déjà su montrer dans le passé que l’argent n’était pas un frein à ses ambitions. Or, les champions de France ont fait du dossier d’un troisième attaquant de classe mondiale, capable d’évoluer sur un côté, une priorité pour renforcer leur formation et épauler leurs deux pépites Ibrahimovic et Cavani. C'est en ce sens qu'ils étudient plusieurs pistes dont celles menant à Griezmann et donc Hazard...

Rabiot blessé, Laurent Blanc inquiet, mercato en panne : ce si fragile PSG ?
Par Un seul Rabiot manque, et le PSG est dépeuplé. D'un coup, le roi est nu. Rabiot blessé. Verratti déjà touché, et voilà le centre de gravité du PSG qui vacille, menaçant de faire chuter l'édifice. Et puis ces rumeurs, déjà, sur un départ de Cavani à l'été. Et puis ces supputations, encore, autour des arrivées de Pogba ou de Cabaye, à moins que Mata... Et puis ce bilan financier, à la une du quotidien sportif français, ces joueurs qui ne seraient pas aussi chers qu'ils en ont l'air, moins que ceux d'Arsenal même... Et le match contre Nantes, ce sommet retrouvé...

Le PSG, roi de France mais si petit encore... Si juvénile... Si sensible... Rabiot se blesse, et le colosse que l'on croyait de Rhodes se révèle un Achille au talon fragile comme l'exige la légende... En tout cas, c'est ce que l'on peut lire, ici ou là. Et Laurent Blanc qui finalement s'inquiète... Et qui se demande s'il aura un milieu supplémentaire à la fin du mercato (lire ici)... Et le PSG qui ne cherchait plus à recruter et qui se demanderait si finalement, il ne serait pas plus sage de... Et de reparler de Pogba, de Cabaye... Et Thiago Motta de donner son avis sur Pogba, "Un bon joueur, mais 60 millions, c'est beaucoup ?" Et d'ajouter qu'il lui préfère Vidal...

Le PSG, ce roman national, ce héros tantôt redouté et célébré, tantôt décrié et démonté. Le PSG, ce club dont on ne sait en France, s'il faut en dire du mal ou du bien, s'il convient d'en saluer les exploits ou de requérir contre les échecs. Même l'ère nouvelle, ouverte en 2011, n'a pas permis de trancher la question du mystère PSG...

Ce PSG 2014 ne serait-il pas plus fragile qu'on ne le dit ?

Revenons-en au concret. On a déjà écrit, sur ce modeste blog, que le PSG, désireux de tout gagner, même la Ligue des champions, n'était pas encore équipé au point d'ambitionner si haut. Parce que le club parisien n'est pas encore capable d'aligner deux équipes du même niveau, façon Barcelone ou Real. Parce que certains remplaçants ne sont pas assez constants (Menez, Pastore...). Parce que dans ce contexte, le PSG n'a pas de joker en nombre suffisant, donc pas de droit à l'erreur...

La blessure de Rabiot relève de l'effet Papillon. D'un coup, elle met à nu les faiblesses du PSG. Et c'est comme si l'on ne voyait plus que cela... Et le balancier médiatique, sans attendre, de repartir en sens inverse. Avant, le PSG était en route pour un quadruplé historique. Après, c'est un club qui finalement ne vaut pas autant qu'on le dit, et bien plus fragile qu'il n'y parait...

Si l'on veut bien s'efforcer, l'espace d'un instant, d'adopter l'esprit de mesure, la situation du PSG apparait de manière raisonnable et raisonnée. Le PSG d'Ibrahimovic sera champion, cela ne fait guère de doute. Il peut remporter une Coupe nationale, pourquoi pas ? Il peut viser la Ligue des champions, mais sans aucun droit à l'erreur, et à condition d'avoir de la chance quand il le faut, là où il faut.

Le PSG peut tout. Le PSG ne peut rien.

Le PSG n'est pas une vérité, mais une potentialité.

Lyon ne s'arrête plus






L'OL poursuit sa belle série en s'imposant tranquillement à Reims et se rapproche ainsi des places européennes. Ce succès, le 4econsécutif en 2014 (après celui remporté contre l'OM en coupe de la Ligue mercredi) et le 7e lors de ses dix dernières rencontres, toutes compétitions confondues, permet aux Gones de se remettre à espérer en Ligue 1. "C'est une belle victoire, collectivement l'équipe a été performante, on a fait un très bon match sur pas mal de plans, s'est félicité Rémi Garde. Ce succès nous donne des repères, mais on va attendre avant de parler d'un retour du grand Lyon."

Ligue 1. Nantes humilié au Parc
Nantes - 19 Janvier - 0

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  Les Nantais ont semblé impuissants face à l'armada parisienne. | Photo : Franck Dubray / Ouest-France
  
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  Les Parisiens félicitent Zlatan Ibrahimovic, auteur du deuxième but.  | Photo : Franck Dubray / Ouest-France
  
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  Thiago Silva a ouvert le score tel un renard des surfaces. | Photo : Franck Dubray / Ouest-France
  
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  Veretout, ici à la lutte avec Verrati et Cavani, a été contraint de laisser sa place à la 22e minute.  | Photo : Franck Dubray / Ouest-France
  
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  Zlatan Ibrahimovic n'a pas tremblé au moment de tirer son penalty.  | Photo : Franck Dubray / Ouest-France
  
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  La sortie de Veretout. | Photo : Franck Dubray / Ouest-France
  

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Dans un match à sens unique, les Nantais n'ont rien pu faire face à la force de frappe parisienne. Ils repartent avec une lourde défaite (5-0).

Dès le début de match, l'ogre parisien décide de mettre la pression sur les Nantais. À la 7e minute, le PSG compte près de 73 % de possession. Sur un corner venu de la droite parfaitement tiré par Lavezzi, Cavani coupe au premier poteau. Le portier nantais repousse comme il peut mais Thiago Silva a bien suivi et envoi le cuir dans les filets (1-0, 10'). Les Parisiens n'ont pas eu le temps de trembler. 
Coup dur pour les Canaris
La mauvaise soirée continue pour les coéquipiers de Jordan Veretout quand celui-ci est obligé de sortir sur blessure à la suite d'un choc avec Thiago Silva (27'). Moins de dix minutes plus tard, Verratti est bousculé par Aladhur dans la surface de réparation. Monsieur Delerue n'hésite pas et accorde un penalty aux Parisiens. Le meilleur buteur du championnat, Zlatan Ibrahimovic ne se fait pas prier et trompe Riou d'un contre-pied parfait. Paris fait le break (2-0, 36').
Avant la pause, les Nantais sont décidés à réduire la marque. Mais ni Lucas Deaux, qui trouve le petit filer (40'), ni Gakpé, sur coup franc (41') n'y parviendront. 
Lucas, entrée décisive
Au retour des vestiaires, Laurent Blanc choisi de lancer Lucas en remplacement de Lavezzi. Choix payant dès la reprise puisque sur un centre du brésilien, Matuidi s'élève pour remettre astucieusement à Motta, seul dans l'axe, qui n'a plus qu'à pousser le cuir dans les filets (3-0, 51').
Dans la foulée, Verratti vient presser Alhadur, le ballon arrive dans les pieds d'Ibrahimovic qui se présente devant Riou. L'attaquant suédois fait le bon choix et glisse le ballon en retrait pour Cavani qui marque (4-0, 58'). Le public parisien se régale, au point d'ovationner la rentrée de... Fabrice Pancrate. 
Lourde défaite
Paris ne compte pas s'arrêter là... Sur un beau mouvement collectif entre Matuidi, Pastore et Zlatan, l'ex-milanais s'offre un doublé d'une frappe du gauche (5-0, 64'). Les joueurs de Laurent Blanc se contentent de gérer la fin de match. Avec ce succès, le plus large de la saison (avec Sochaux, le 07 décembre), le Paris SG relègue Monaco à 5 points. 
PARIS SG - NANTES : 5-0 (2-0). 
Arbitre : M. Delerue.
BUTS. Paris SG : Thiago Silva (10'), Ibrahimovic (36', 64'), Thiago Motta (50'), Cavani (58'). 
PARIS SG : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Thiago Silva, Maxwell - Verratti (Pastore, 63'), Matuidi, Thiago Motta (Marquinhos, 69') - Cavani, Lavezzi (Lucas, 45'), Ibrahimovic. Entraîneur : Laurent Blanc.
NANTES : Riou - Cissokho, Vizcarrondo, Djilobodji, Aladhur - Deaux, Touré (Pancrate, 75') - Veretout (Bedoya, 29'), Gakpé, Trebel (Bangoura, 51') - Djordjevic. Entraîneur : Michel der Zakarian.
Les notes de nos envoyés spéciaux : 
Riou (3,5), Cissokho (3), Vizcarrondo (3), Djilobodji (4), Alhadhur (4,5) - Touré (3), Deaux (4), Trebel (3), Bedoya (2,5), Gakpé (4) - Djordjevic (4,5).

Ligue 1 : Lyon se rapproche de l’Europe
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Publié le 20/01/2014 à 06h00 , modifié le 20/01/2014 à 09h22

Les Lyonnais ont confirmé leur belle forme du moment en s’imposant hier à Reims (0-2).
Ligue 1 : Lyon se rapproche de l’Europe
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Publié le 20/01/2014 à 06h00 , modifié le 20/01/2014 à 09h22

Les Lyonnais ont confirmé leur belle forme du moment en s’imposant hier à Reims (0-2).
Gourcuff et les Lyonnais pointent à neuf points de Lille © Photo
photo AFP









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L
yon a poursuivi sa belle série et s'est rapproché des places européennes, en s'imposant (2-0) sur la pelouse de Reims, hier après-midi. Ce succès, le quatrième consécutif en 2014 et le septième lors de ses dix dernières rencontres, toutes compétitions confondues, permet à l'OL de remonter à la huitième place avec 31 points. Les joueurs de Rémi Garde, qui à la trêve pointaient à 15 longueurs de Lille et de la troisième place, synonyme de tour préliminaire de la Ligue des champions, sont revenus à 9 points du Losc et peuvent se remettre à rêver de C1.

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« C'est une belle victoire, collectivement l'équipe a été performante, on a fait un très bon match sur pas mal de plans, s'est félicité le technicien lyonnais. Ce succès nous donne des repères […] mais on va attendre avant de parler d'un retour du grand Lyon. »
L'OL, battu en championnat par les Rémois à Delaune en mars et à Gerland en août, a cette fois réussi à faire plier l'équipe d'Hubert Fournier, qui reste septième, grâce à des buts de Lacazette et Fofana. C'est pourtant Reims, qui avait débuté le mieux la rencontre. Deux occasions d'Ayité (4e et 6e) avaient le don de réveiller des Lyonnais qui reprenaient le contrôle des opérations.
Gourcuff, moins en jambes que lors de ses précédentes prestations, se procurait la première occasion lyonnaise mais butait sur Agassa (8e). Puis, Bedimo s'infiltrait dans la surface et plaçait une frappe puissante dans un angle fermé. Le ballon s'écrasait sur le poteau (17e).
Lacazette encore buteur
L'OL obtenait alors une ouverture du score méritée. Bedimo fixait la défense rémoise et servait Lacazette à l'entrée de la surface. Après un crochet, l'attaquant décochait une frappe du gauche hors de portée d'Agassa et inscrivait son 10e but de la saison en L1 (0-1, 25e).
Les Rémois repartaient à l'attaque et se montraient dangereux. De Préville envoyait une frappe en pivot au-dessus (39e), avant que Weber, sur corner, ne trouve la barre transversale d'une tête piquée (43e).
Après une première période de toute beauté, le rythme et la qualité de jeu baissaient sensiblement en seconde. Lyon contrôlait la rencontre et Reims n'obtenait qu'une occasion par De Préville, dont la reprise de la tête frôlait la lucarne de Lopes (72e).
« On est tombés sur meilleur que nous. On a fait un match honorable mais on aurait voulu peser plus offensivement. On n'a pas manqué d'ambition mais peut-être un peu de talent », a reconnu Hubert Fournier.
Après avoir failli creuser l'écart par Gourcuff (46e) et Gomis (83e), Lyon y parvenait finalement grâce à Fofana. Servi côté droit, le milieu repiquait dans l'axe et envoyait une frappe dans la lucarne d'Agassa pour assurer le succès de l'OL (0-2, 84e).
Lyon, qui n'a perdu qu'un seul de ses 16 derniers matches (contre le Paris SG), a confirmé qu'il était bel et bien de retour.

L1. Le PSG a la gueule de bois

Publié le 26/01/2014 à 07:57 | 1

22e journée. Hier après-midi, Paris s'est fait peur à Guingamp en ne revenant qu'avec le nul.

Auteur d'un doublé contre Nantes, Ibrahimovic n'a pas fait mouche hier./ Photo AFP



Que ce fut compliqué pour les Parisiens !
Après le revers mercredi au Parc des Princes face à Montpellier lors des 16es de finale de Coupe de France (défaite 1-2), le club de la capitale s’est fait accrocher, hier, sur la pelouse de Guingamp (1-1). Ce sont d’ailleurs les Bretons qui ont ouvert la marque par Yatabaré, sur un corner d’Alioui (84). Montrant les difficultés actuelles des hommes de Laurent Blanc dans le domaine aérien, en défense. Mais le rêve guingampais, n’a pas fait long feu. Trois minutes auront suffi à Alex pour répliquer de la tête… sur un corner bien frappé par Lucas (87). Le premier but de la saison pour le défenseur brésilien.
Laborieusement vainqueurs à Ajaccio lors de leur dernier déplacement en championnat (2-1), les Parisiens ont une fois de plus évité le pire avec cette égalisation.
Paris a péché dans la finition
Au cours de ce match fermé, le PSG a pourtant eu l’avantage de la possession (69 %) et même du nombre d’occasions (14 tirs pour 6 cadrés contre 10 pour 3 du côté breton). Mais la première occasion dangereuse est à mettre au compte des Guingampais sur un coup franc d’Alioui péniblement repoussé du pied par Sirigu sur sa barre. Sur la même action, Paris n’est d’ailleurs pas passé loin d’un penalty avec un accrochage de Marquinhos sur Yatabaré. Bien qu’un peu plus tôt, Saïd Ennjimi aurait peut-être pu en accorder un à l’avantage du PSG pour une main de Sorbon suite à une frappe de Cavani (22). Avec Pastore titulaire à la place de Lavezzi (blessé) et Thiago Silva en tribunes car trop gêné par sa cheville, les Parisiens pourront peut-être invoquer l’état médiocre de la pelouse, mais ils ont surtout été stériles, malgré leur domination du terrain. À l’image d’Ibrahimovic, muet, et auteur de plusieurs frappes sans danger.
Au final, les Guingampais se satisferont de ce point chèrement acquis grâce à leur premier but depuis quatre matches. Ils restent 14es mais ils ne sont pas pour autant à l’abri d’un retour du premier relégable, Valenciennes, sept points derrière avec deux matches en moins. Paris compte désormais six points d’avance sur Monaco.
Fiche
GUINGAMP 1 PARIS-SG 1
M-T : 0-0.Stade-du -Roudourou, spectateurs : 14.000 ; arbitre : M. Saïd Ennjimi.
Pour Guingamp : Yatabaré (84).
Pour Paris : Alex (87).
GUINGAMP : Ndy Assembé - Pereira, Kerbrat, Sorbon, Dos Santos - Atik (Beauvue, 83), Mathis (cap.), Diallo, Giresse (Dembélé, 79) - Yatabaré, Alioui (Cerdan, 90).
Entraîneur : Jocelyn Gourvennec.
Avertissements : Yatabaré (32), Diallo (48).
PARIS : Sirigu - Van Der Wiel, Alex, Marquinhos, Maxwell - Verratti, Thiago Motta, Matuidi - Cavani, Pastore (Lucas, 70), Ibrahimovic (cap.).
Entraîneur : Laurent Blanc.
Avertissement : Verratti (40).

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PSG - Bordeaux : « Ce sont les plus forts, point barre »
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Publié le 30/01/2014 à 06h00 , modifié le 30/01/2014 à 07h30 par
frédéric laharie


En plus d’être hors norme financièrement, le PSG est quasiment intouchable dans le jeu cette saison. Les Girondins, qui vont le jouer pour la 4e fois demain, témoignent.
Maurice-Belay, ici face à Marquinhos et Pastore, est impressionné par le jeu développé par le PSG. © Photo
photo fabien cottereau









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U
n autre monde. À peine un an après son départ en Chine, Guillaume Hoarau a pu mesurer le changement d'échelle opéré par son ancien club, le Paris Saint-Germain, qu'il espère retrouver demain soir (20 h 30). « Avant de venir à Bordeaux, j'ai pu m'entraîner deux ou trois fois avec eux et aller les voir jouer au Parc. Et là, je me suis dit : ‘‘ Waouh, ça a vraiment changé''. Ils sont impressionnants, c'est une grosse machine ».

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Depuis qu'il a été racheté par les Qataris, le PSG suscite les superlatifs. Budget (350 m€ au bas mot) qui en fait l'un des cinq clubs les plus riches au monde selon une récente étude, recrutement haut de gamme, médiatisation, etc. : Paris est entré dans une autre dimension, le renfort de Yohan Cabaye, hier, l'a encore prouvé : « Ça ne leur pose aucun problème d'acheter un joueur à 20-25 millions d'euros. À part Monaco, on n'est plus dans la même catégorie mais on le savait », résume l'entraîneur bordelais Francis Gillot.

• Un match à 1 000 passes
  

La nouveauté, c'est que ces moyens hors norme se retrouvent maintenant dans le jeu. Sur le terrain aussi, le PSG aligne les records en tous genres. Collectifs en étant par exemple la première équipe à dépasser les 1 000 passes dans un match depuis la mise en statistiques de la Ligue 1 (1 048 dont 861 réussies contre Nantes). Ou individuels pour Thiago Motta, le joueur de notre championnat ayant joué le plus de ballons (141) et effectué le plus de passes (127) devant son coéquipier Marco Verratti. Et on en passe.
Bref, pour leurs « collègues » de Ligue 1, affronter le Paris de Laurent Blanc est forcément un moment à part dans la saison. Hoarau n'hésite pas à dire qu'ils doivent « prendre exemple sur ces grands joueurs. Ils ont pour la plupart connu les plus grands clubs et on se rend compte de leur investissement. Ils sont à fond dans leur métier ».
Sans être supporter, Nicolas Maurice-Belay, comme beaucoup, aime voir jouer ce PSG-là. Et lui a eu le « privilège » de les jouer trois fois cette saison, au Gabon au Trophée des champions (1-2), en championnat (0-2) et en Coupe de la Ligue (1-3) à Chaban-Delmas.
Trois défaites différentes, parfois l'impression de ne pas être très loin mais un même constat, dans le jeu : « Ce sont les plus forts, point barre. Techniquement, sur chaque possession, ils ne balancent jamais le ballon, ils sont toujours à la recherche du jeu. Si tactiquement tu n'es pas en place, ils te le font payer parce qu'ils voient chaque faille de l'adversaire. Et si tu presses, ils n'ont pas peur comme s'ils te disaient : « Viens et tu vas voir ce qui va t'arriver (rire) ».

• Comme le Barça
  

Dans ce sens, une action a « choqué » l'ailier gauche bordelais lors du quart de finale de Coupe de la Ligue du 14 janvier. « Quand Rabiot perd le ballon (qui provoque l'égalisation de Poko NDLR), on aurait pu penser qu'à son âge (18 ans), il se serait un peu caché. Au contraire, il n'a pas hésité à le redemander. Ils assument de monopoliser le ballon et d'être supérieur, à l'image des grands clubs ».
La comparaison avec le Barça n'est pas exagérée pour « NMB » : « C'est usant de jouer contre eux. Quand on récupère le ballon, c'est souvent en position défensive et ils pressent tout de suite comme Barcelone. Si on n'arrive pas à sortir le ballon en deux ou trois passes, on sera mort ! »
Quelle que soit l'organisation tactique, Bordeaux sait qu'il devra tenir un minimum le ballon pour ne pas finir par craquer, comme un boxeur qui finirait par aller au tapis sous l'accumulation des coups. « Les sorties de balle seront importantes, à l'image de notre premier but contre Saint-Etienne. On doit progresser dans ce domaine si on veut jouer les premières places », souligne encore Maurice-Belay.
À ce niveau, ils ne pourront pas passer meilleur test demain soir au Parc des Princes.

Al-Khelaifi dresse des barbelés
29/01 09h12 - Football, L1
Nasser Al-Khelaifi n’a pas l’intention de laisser filer ses meilleurs éléments. Il s’en est expliqué ce mercredi dans les colonnes de L’Equipe, en réponse à une question portant sur l’intérêt supposé de Manchester City pour Blaise Matuidi, libre à la fin de la saison en cours : «Si je crains la concurrence des Citizens ? Non. Parce qu’ils savent que s’ils touchent à un seul de nos joueurs, nous allons entrer en opposition avec eux. Et nous irons nous aussi contacter leurs joueurs. Nous respectons tous les clubs. Mais si un club tente de venir recruter un de nos joueurs, il devra en assumer les conséquences. Et ce que je dis ne vise pas seulement Manchester City qui, d’après ce que je sais, n’a pas contacté Matuidi», a indiqué le président du PSG. A bon entendeur…

« Ils étaient 20 sur le terrain »
Défait à Paris vendredi soir (0-2), Bordeaux est tombé sur plus fort et n'a pu que reconnaître la supériorité parisienne. « Ce sont des vagues qui déferlent et, au bout d'un moment, on finit par craquer », a analysé Henri Saivet.

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Henri Saivet à la lutte avec Thiago Silva, ce vendredi soir au Parc des Princes. (L'Equipe)



C’est un constat d’impuissance. Bien en place pendant une grande partie de la rencontre, Bordeaux a finalement cédé par deux fois pour concéder une défaite vendredi soir au Parc des Princes (0-2). « C’est difficile pour tout le monde contre eux, on le sait. Il n’y a pas de honte à perdre face au PSG, a réagi Nicolas Maurice-Belay après la rencontre. Les trois quarts des équipes qui vont les affronter quatre fois dans une saison vont perdre à chaque fois. » Les Girondins ont tenu une heure avant de céder sur un but entaché d’un hors-jeu. « Je n’ai pas vu les images mais c’est rageant si c’est le cas, a expliqué Henri Saivet. Ce sont des erreurs d’arbitrage, ça arrivera encore et on ne peut rien y faire. » L’attaquant bordelais ne se cache malgré tout pas derrière cela pour analyser la défaite des siens : « En première mi-temps, on était sereins, on courait et défendait ensemble, mais après la pause, ils sont rentrés avec plus d’envie et ils étaient au-dessus de nous dans la détermination. Quiconque joue contre Paris subit, c’est connu. On a joué avec nos armes mais on était souvent acculés sur notre but. On est moins bien sur la deuxième mi-temps et on le paye cash. »

« Si Paris joue à son niveau, personne ne peut les arrêter. » (Saivet) Pour Maurice-Belay, il est impossible de tenir face à une telle équipe quand elle vous prend à la gorge : « C’est très difficile car ils monopolisent le ballon et nous on l’a perdu souvent et trop rapidement. On avait l’impression qu’ils étaient vingt sur le terrain. Si on les a contenus en première période ? Oui et non, on avait toujours un pied ou une tête pour nous sauver. Mais si on n’arrive pas à faire deux ou trois passes, on se fatigue rapidement. » Vainqueur de Saint-Etienne (2-0) le week-end dernier après une mauvaise série, Bordeaux est-il retombé dans ses travers ? « Sur le premier but, il y a un manque de communication entre les défenseurs, explique Saivet. Pour le deuxième c’est aussi le cas parce qu’on prend un but sur un corner qui n’est pas très bien tiré. »


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Paris remet la marche avant




Comme il y a deux semaines en quarts de finale de la Coupe de la Ligue (1-3), Bordeaux aurait pu saisir sa chance. Mais là encore, les Girondins ont cédé face aux assauts parisiens. « On est revenus avec moins d’envie et de détermination en deuxième mi-temps. Face à Paris, ce sont des vagues qui déferlent, poursuit Saivet. En deuxième, on s’est affolés un peu plus et au bout d’un moment, avec les efforts multipliés, on craque. On est près de les battre à chaque fois mais ça bascule toujours dans leur sens. Si Paris joue à son niveau, personne ne peut les arrêter. » Un constat d’impuissance devenu constat d’échec pour les Girondins, battus quatre fois en quatre rencontres par le PSG cette saison.

Ronaldo évoque la France, le PSG
2/02 11h30 - Football

Cristiano Ronaldo a rappelé à quel point il se sent bien au Real Madrid ce dimanche, dans le cadre d’une interview accordée à nos confrères de Téléfoot. Il en a également profité pour dire tout l’amour qu’il porte à la France : «Ma mère a travaillé en France. C’est un pays que j’adore et j’y vais parfois en vacances». Le PSG ? «Paris est une équipe très forte, a indiqué le Ballon d’Or. Pour moi, c’est l’un des favoris pour gagner la Ligue des champions cette année.»

Nantes - Paris SG : D'abord éviter une nouvelle correction
Le 19 janvier dernier, pour le compte de la 21ème journée de Ligue 1, le FC Nantes a enregistré sa plus grosse défaite de la saison du côté du Paris Saint-Germain (5-0). Face à des Parisiens assez nettement supérieurs, les Canaris n'ont pas vu le jour au Parc des Princes. Ce mardi, en demi-finale de la Coupe de la Ligue, ils voudront éviter la même correction... et pourquoi pas rêver d'un authentique exploit pour disputer la finale au stade de France d'ici quelques semaines ?

Le PSG va-t-il encore surprendre ?


Lors de ses dernières prestations, le Paris Saint-Germain, lui, a clairement soufflé le chaud et le froid. Eliminés à domicile de la Coupe de France, guère plus inspirés à Guingamp dans la foulée, les hommes de Laurent Blanc ont néanmoins repris leur marche en avant vendredi dernier contre Bordeaux (2-0). Et alors qu'ils ne peuvent plus remporter qu'une seule coupe nationale cette saison, les Parisiens devraient tout faire pour éviter le piège à la Beaujoire. Alors, logique respectée ?

Ligue 1 : Cavani absent contre Monaco
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Publié le 03/02/2014 à 06h00 , modifié le 03/02/2014 à 08h41

Blessé face à Bordeaux vendredi, l’attaquant uruguayen du PSG sera absent au moins trois semaines
Cavani est sorti sur blessure vendredi face à Bordeaux. © Photo
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'est un vrai coup dur pour les Parisiens. Vainqueurs 2-0 à domicile contre Bordeaux vendredi, les hommes de Laurent Blanc qui préparent le choc face à Monaco doivent faire avec la blessure de l'Uruguayen Edinson Cavani.

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Victime d'une lésion aux ischio-jambiers droits, il sera absent au minimum trois semaines, a-t-on appris hier auprès du club. Une blessure qui tombe mal à six jours du choc au sommet entre le leader parisien et son dauphin monégasque.
Outre la rencontre contre Monaco, il manquera quoi qu'il arrive la demi-finale de la Coupe de la Ligue à Nantes, demain, et la venue de Valenciennes, le 14 février (25e journée de Ligue 1).
L'attaquant du PSG a ressenti une douleur à l'arrière de la cuisse droite vendredi face à Bordeaux (2-0) et a dû céder sa place à la 76e minute à l'Argentin Ezequiel Lavezzi.
L'absence du « Matador », auteur de 13 buts en Ligue 1, est un gros coup dur pour le PSG. L'ancien joueur de Naples, plus gros transfert de l'histoire en France (64 millions d'euros) l'été dernier, avait réussi une très belle première partie de saison sous ses nouvelles couleurs, et son association avec Zlatan Ibrahimovic (meilleur buteur avec 18 réalisations) constituait jusqu'ici l'atout offensif majeur du club de la capitale.
Pour l'entraîneur Laurent Blanc, la difficulté va être de trouver des solutions de rechange crédibles, alors qu'aucun des autres attaquants disponibles (Lavezzi, Lucas, Ménez) ne s'est réellement imposé derrière la doublette Ibra-Cavani.

Vendre le Parc ? «De la folie !»Le groupe «Paris libéré» a publié un communiqué ce mercredi dénonçant la possibilité (évoquée par Nathalie Kosciusko-Morizet et Anne Hidalgo) de vendre le Parc des Princes à plus ou moins long terme.173
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RSS La possibilité de voir la ville de Paris vendre le Parc des Princes ne plaît pas à certains responsables politiques. (L'Equipe)
La possibilité évoquée lundi dans nos colonnes par deux candidates à la mairie de Paris, Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet, de vendre le Parc des Princes à QSI (propriétaire du PSG) fait jaser. Ainsi, le groupe «Paris libéré» a publié un communiqué hostile à la cession de l'enceinte du 16e arrondissement. «Qu’une ville vende son stade, c’est du jamais vu !», peste ainsi Charles Beigbeder, lui aussi candidat à la mairie de Paris.

De son côté, David Alphant, candidat à la mairie du 16e arrondissement, estime que «vendre le Parc des Princes, c’est de la folie ! Pourquoi pas Roland Garros et la Tour Eiffel ensuite ? Dans un quartier déjà profondément meurtri par le projet Roland Garros, il faut au contraire dire STOP au sport business.»

«Pour moi, ce n’est pas du tout un sujet tabou. C’est une question qui peut se discuter», avait déclaré Anne Hidalgo lundi dans L'Equipe au sujet d'une éventuelle vente du Parc des Princes. «Pour moi, le Parc des Princes est intimement associé au PSG. Donc pourquoi ne pas aller plus loin ?», s'interrogeait pour sa part NKM.

PSG: Une offre du Milan pour Alex ?

En fin de contrat au mois de juin prochain, Alex n'a toujours pas prolongé avec le PSG et ne semble pas avoir entamé des discussions pour le faire. Désireux de recruter à moindre coût, l'AC Milan a flairé le bon coup, selon Sportmediaset. Le média italien affirme que le club milanais a fait une offre au défenseur brésilien de 32 ans, lui proposant 2,8 millions d'euros, sur deux ans, avec une troisième année en option. L'ancien joueur du PSV et de Chelsea notamment souhaite rester dans la capitale française mais son statut de joueur extra-communautaire pose problème aux dirigeants parisiens, qui ne souhaitent pas bloquer cette place pour le Brésilien.

Thiago Silva :"Le PSG va se montrer de plus en plus puissant"
dimanche 9 février 2014
Jérôme Touboul

" Je suis un grand passionné de foot. À la maison, je me mets même parfois devant des matches de Serie B et de votre Ligue 2 ! ", raconte Thiago Silva, le défenseur du PSG. (Photo Sébastien Boué/L'Équipe)









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THIAGO SILVA, le capitaine du PSG, ne doute pas de la capacité de son équipe à retrouver son autorité dans le money time de la saison.

E n le voyant s'installer dans un fauteuil du Camp des Loges, près de deux heures après la fin de l'entraînement, il est difficile de ne pas penser au débat ouvert par Carlo Ancelotti sur le professionnalisme inégal des joueurs du PSG (1). Thiago Silva (29 ans), lui, est ce « Monstre » dont la réputation de meilleur défenseur du monde puise ses ressorts dans une préparation quotidienne hautement méticuleuse. Le capitaine de Paris et de la Seleçao décrit un leader « serein » avant le choc à Monaco, ce soir. Et il souffle : « Une victoire nous...

Ligue 1: le PSG et Monaco se neutralisent, il reste du suspense

Publié le Dimanche 09/02/2014 à 23H19

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  Le choc entre les deux géants de la Ligue 1, Monaco et le Paris SG, s'est conclu dimanche au stade Louis II par un match nul 1-1 qui laisse au club parisien cinq points d'avance en tête de classement, mais qui maintient aussi un peu de suspense dans la course au titre
  Photo - AFP -
  
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  Le choc entre les deux géants de la Ligue 1, Monaco et le Paris SG, s'est conclu dimanche au stade Louis II par un match nul 1-1 qui laisse au club parisien cinq points d'avance en tête de classement, mais qui maintient aussi un peu de suspense dans la course au titre Photo - AFP -
  
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  L'attaquant Alexandre Lacazette (C) félicité par ses coéquipiers après avoir marqué un but pour Lyon contre Nantes au stade de la Beaujoire, le 9 février 2014
  Photo - AFP - FRANK PERRY
  
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  L'attaquant Alexandre Lacazette (C) félicité par ses coéquipiers après avoir marqué un but pour Lyon contre Nantes au stade de la Beaujoire, le 9 février 2014 Photo - AFP - FRANK PERRY
  

Prec. Pause Suiv.
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Paris (AFP) - Le choc entre les deux géants de la Ligue 1, Monaco et le Paris SG, s'est conclu dimanche au stade Louis II par un match nul 1-1 qui laisse au club parisien cinq points d'avance en tête de classement, mais qui maintient aussi un peu de suspense dans la course au titre.
Comme au match aller au Parc des Princes (1-1), Monaco a donc réussi à tenir tête au Paris SG, qui reste néanmoins le grand favori pour le titre de champion.
C'est d'ailleurs une curiosité du parcours du PSG: il n'a pas encore réussi cette saison à battre les trois équipes qui le suivent, Lille (3e) ayant ramené un nul 2-2 du Parc et Saint-Etienne (4e) ayant pris un point à Geoffroy-Guichard (2-2).
Le PSG était pourtant parfaitement entré dans le match avec un but de Pastore, son premier cette saison, dès la 8e minute. Au deuxième poteau, l'Argentin reprenait de la tête un corner de Motta, dévié par Alex et Carvalho.
Au cours d'une première période rythmée et engagée, les Parisiens ont semblé supérieurs mais ont parfois été bougés par les joueurs de Claudio Ranieri.
La deuxième période a été moins bonne et c'est au moment où ils semblaient contrôler la situation que les Parisiens ont été surpris, Thiago Silva marquant contre son camp sur un très bon centre de Fabinho (74e).
En fin de partie, les deux équipes auraient pu l'emporter, Sirigu et Subasic sortant deux beaux arrêts devant Fabinho (88) et Ibrahimovic (90).
Cette fois-ci, Ibrahimovic n'a donc pas fait de miracle, le Suédois restant très discret en dehors de quelques coups francs bien frappés. L'entrée en jeu de Berbatov côté monégasque a également été sans effet.

Lille et Marseille s'accrochent

A 10 jours de leur 8e de finale aller de Ligue des Champions à Leverkusen, les Parisiens ont confirmé qu'ils étaient un tout petit peu moins bien en ce moment, mais ils gardent la main sur la L1.
Un peu plus tôt, Lyon était allé gagner 2-1 à Nantes et était ainsi resté accroché au wagon de tête, sixième à sept points du podium.
Lille (3e) et Marseille (5e) s'étant imposés samedi, les Lyonnais devaient absolument gagner à la Beaujoire pour suivre le rythme des candidats à l'Europe.
Ils l'ont fait, d'abord grâce à un but de Lacazette (40e), qui avec sa 13e réalisation de la saison rejoint le Parisien Cavani à la deuxième place du classement des buteurs.
Le jeune international français, en grande forme, a ensuite obtenu un penalty, transformé par Gomis (76e). En fin de match, Djordjevic a ramené le score à 2-1 (84e), quelques secondes avant de se faire expulser.
Battus la semaine dernière à Rennes (2-0), les joueurs de Rémi Garde ont donc bien réagi, même s'ils ont été parfois bousculés par une bonne équipe nantaise (9e).
Samedi, Lille avait donc battu Sochaux (2-0), alors que l'OM, séduisant, avait nettement pris le meilleur sur Bastia (3-0). Vendredi, Saint-Etienne (4e) avait en revanche été freiné à Toulouse (0-0).
Bordeaux-Lorient, qui devait se tenir ce dimanche à 17h, a été reporté à cause des intempéries qui ont rendu la pelouse bordelaise impraticable.
Résultats de la 24e journée:
Vendredi:
Toulouse - Saint-Etienne 0 - 0

Samedi:
Marseille - Bastia 3 - 0
Ajaccio - Rennes 3 - 1
Guingamp - Reims 1 - 2
Lille - Sochaux 2 - 0
Montpellier - Evian/Thonon 1 - 1
Valenciennes - Nice 2 - 1

Dimanche:
Nantes - Lyon 1 - 2
Monaco - Paris SG 1 - 1

Reporté:
Bordeaux - Lorient

Football - Ligue 1 : Monaco et le PSG se neutralisent
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Publié le 09/02/2014 à 19h00 , modifié le 09/02/2014 à 23h07
Pas de vainqueur dans le choc entre les deux clubs les plus riches de Ligue 1, en clôture de la 24e journée (1-1)


Monaco

Paris SG
Tirs au but - 1-1 Mi-temps
0 - 1
1er
55 pts
2e
50 pts
74'Thiago Silva[ 1 - 1 ] 8'Pastore[ 0 - 1 ] Arbitre : Stéphane Lannoy Stade : Louis II (Monaco, France) 16384 spectateurs (88%

83'Paris ne l'a pas emporté cette saison contre les autres équipes du Top 4, concédant à chaque fois le nul face à Monaco, Lille et Saint-Etienne.
81'Dernier changement côté parisien avec la sortie de Lucas Moura, talentueux mais trop irrégulier, remplacé par "El Pocho" Lavezzi.
Voir la fiche de Paris SG 80'Paris et Monaco sont les équipes les plus joueuses de la Ligue 1, en tête dans le classement des passes (12 843 et 9 435), ainsi que dans celui des tirs (373 et 343).
77'Seules deux équipes sont parvenues à repartir avec des points après une ouverture du score du PSG cette saison. Lille et... Monaco lors du match aller.
83'Paris ne l'a pas emporté cette saison contre les autres équipes du Top 4, concédant à chaque fois le nul face à Monaco, Lille et Saint-Etienne.
81'Dernier changement côté parisien avec la sortie de Lucas Moura, talentueux mais trop irrégulier, remplacé par "El Pocho" Lavezzi.
Voir la fiche de Paris SG 80'Paris et Monaco sont les équipes les plus joueuses de la Ligue 1, en tête dans le classement des passes (12 843 et 9 435), ainsi que dans celui des tirs (373 et 343).
77'Seules deux équipes sont parvenues à repartir avec des points après une ouverture du score du PSG cette saison. Lille et... Monaco lors du match aller.
FtMonaco et Paris se quittent sur un score de parité qui laisse la donne inchangée en tête du championnat, au terme d'une rencontre à deux visages. Si la première période fut intense et rythmée, la seconde s'est avérée plutôt décevante. A l'ouverture du score de Pastore, Monaco a répondu grâce à une réalisation contre son camp de Thiago Silva. Paris conserve donc cinq points d'avance sur son dauphin.
90'Occasion pour Paris SG
Quelle occasion pour Paris ! Sur un centre longue distance de Cabaye, Ibrahimovic réalise un contrôle étonnant et enchaîne avec la frappe en force à 5 mètres. Subasic se couche et réalise LA parade du match. Abidal se retrouve avec le ballon dans les pieds mais est tout près de tromper son propre gardien avant de dégager en catastrophe.
Voir la fiche de Paris SG 89'Occasion pour Monaco
Au terme d'un bon travail collectif initié par Berbatov, Ferreira-Carrasco offre une merveille de passe dans l'intervalle pour Fabinho. Le latéral rate un peu son contrôle mais parvient tout de même à frapper du bout du pied. Sirigu se détend et sort le cuir qui filait sous sa barre.

Paris cale face aux cadors


Javier Pastore avait mis les Parisiens sur la bonne voie. (Reuters)

Par François Kulawik
Publié le 11 février 2014 à 08h08
Mis à jour le 11 février 2014 à 08h13

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Confortablement installé en tête de la Ligue 1, le PSG reste néanmoins sous la menace de Monaco, toujours pointé à cinq longueurs après le match nul de dimanche (1-1). Un match nul en forme de rappel pour les hommes de Laurent Blanc.
Fort de ses 55 points après 24 journées, le PSG est toujours dans les temps d’un nouveau record: celui du nombre de points inscrits en Ligue 1. Jamais depuis l’introduction de la victoire à trois points, une équipe n’avait affiché un tel total de points à ce stade de la saison. Même le grand Lyon des années 2000, si dominateur en championnat, n’a jamais fait mieux, les troupes de Jean-Michel Aulas ayant ainsi dû se contenter de 54 points lorsque Gérard Houiller officiait sur le ban rhodanien. Pourtant, Monaco n’est toujours qu’à cinq points et le suspense n’est pas mort à l’issue du choc au sommet disputé dimanche en Principauté.
La faute au match nul concédé (1-1) sur le tard par les hommes de Laurent Blanc à Louis II, les champions de France manquant-là ce qui ressemblait fort à une balle de match. Un partage des points en forme de symbole puisque les Parisiens semblent pour l’heure incapables de dominer les autres cadors de la Ligue 1. Si en dépit de sa sortie de route, début décembre, contre Evian-Thonon-Gaillard (2-0), le PSG a fait le plein ou presque face au tout venant, le club de la capitale n’a toujours pas battu ses premiers poursuivants.

Le PSG programmé pour février ?
A l’aller déjà, le PSG avait ainsi dû se satisfaire d’un match nul face à Monaco (1-1), les pensionnaires du Parc des Princes se faisant rattraper après avoir, là encore, ouvert le score. Face à Lille (2-2), et surtout à Saint-Etienne (2-2), Zlatan Ibrahimovic s’en étaient a contrario bien tirés, Blaise Matuidi égalisant notamment dans les arrêts de jeu à Geoffroy-Guichard. Des difficultés qui tranchent avec le réalisme du PSG version Ancelotti, trois victoires et un nul face à Marseille et Lyon, ses deux premiers poursuivants. Et qui peuvent inquiéter alors que se profilent les huitièmes de finale de la Ligue des Champions face au Bayer Leverkusen et que les Parisiens semblent éprouver des difficultés à tuer leurs matches.
Mais à en croire Laurent Blanc, les difficultés des Parisiens sont avant tout d’ordre physique. "Les joueurs sont assez fatigués. On espère avoir fait une bonne préparation à Doha en janvier pour être en forme en février. On sait qu'on a des échéances importantes auxquelles il faudra répondre. Actuellement, on est un peu moins bien physiquement. Janvier a été compliqué. On ne s'en est pas trop mal sorti. Maintenant, on salive de revenir en Ligue des champions bientôt. D'ici-là, je pense qu'on sera mieux sur le plan physique. C'est programmé pour", a ainsi certifié Laurent Blanc. Réponse dans une semaine

PSG : dernière répétition avant la Ligue des champions

Publié le 14/02/2014 à 03:51

ligue 1. 25e journée. En recevant Valenciennes, le Paris-SG a l'occasion de procéder aux ultimes réglages en vue de Leverkusen.

Le renfort hivernal Yohan Cabaye, qui tacle ici le Girondin Lucas Orban, aura-t-il du temps de jeu ? Sûrement et titulaire même !/ Photo AFP




L’entrée avant le dessert…
Ce soir, le Paris - Saint-Germain ouvre dans son jardin du Parc-des-Princes face au mal-classé Valenciennes avec, en tête, son 8e de finale aller de C1 à la BayArena contre les Allemands du Bayer Leverkusen mardi prochain (20h45, Canal+). D’où l’interrogation légitime : les Parisiens ne risquent-ils pas déjouer ?
Hier après-midi, le coach francilien Laurent Blanc n’a pas tardé à balayer l’idée : «On a des objectifs pour la 2e partie de saison, oui, mais pas que pour la coupe d’Europe ! Mes joueurs sont concentrés dessus, car c’est un match de Ligue des champions. Mais la rencontre de demain (ce soir, ndlr), c’est en Championnat et il faut la gagner. Ce sont deux compétitions différentes, puis on a besoin de 3 points pour valider le nul ramené de Monaco (1-1, dimanche). Ce qui me préoccupe, aujourd’hui, c’est qu’on fasse tout pour gagner face à une équipe qui nous avait posé des problèmes à l’aller (victoire 1-0 / 7eJ, 25 septembre). J’espère qu’on va se procurer des occasions, les concrétiser. Dans une telle configuration, l’on sait qu’il faut marquer rapidement, car sinon, c’est sûr, il peut y avoir de l’énervement.»
Lavezzi endeuillé
Le décor est planté. Reste les acteurs. Du côté des champions de France en titre, manqueront à l’appel les 3 blessés depuis plusieurs semaines, que sont : Cavani (étirement musculaire ischios droits), Jallet (dos bloqué) et Z. Camara (élongation mollet gauche) - le latéral droit étant le plus près de réintégrer le groupe. Un doute subsiste sur la participation de Lavezzi, qui fait face à un drame familial après le décès de son oncle tué par une balle dans la tête en Argentine. «Il s’est entraîné normalement mais j’en discuterai avec lui. Car il est bien entendu affecté» a précisé Blanc.
à VA, le défenseur M. Traoré (cheville) et l’attaquant Nguette (genou) demeurent incertains. Sans oublier le stoppeur Rose (rééducation) et l’avant-centre Le Tallec (reprise), toujours indisponibles.
->20h30

Football Ligue 1 25e journée Paris-SG-Valenciennes, 20h30   Le PSG veut garder ses stars
vendredi 14 février 2014
DAMIEN DEGORRE

Mino Raiola, l'agent d'Ibrahimovic, a pu discuter de la situation de Maxwell, un autre de ses clients parisiens, en fin de contrat en 2015 et qui aimerait aussi prolonger avant le mois de juin avec le club de la capitale. (Photo Alex Martin/L'Équipe)










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Pour soulager des joueurs qui vivent mal le flou autour de leur avenir, le PSG, opposé ce soir à VA, devrait rapidement officialiser des prolongations de contrat. Mais le timing et les conditions varient selon les cas.

À DES DEGRÉS différents, les intéressés commencent à en prendre ombrage. D'Alex à Blaise Matuidi en passant par Maxwell, Salvatore Sirigu ou Nicolas Douchez, ils aimeraient savoir si le PSG compte sur eux. Ce climat d'incertitude pèse sur l'état psychologique et peut avoir des incidences sur la qualité des prestations individuelles, comme en convenait Laurent Blanc, leur entraîneur, hier

PSG: Cavani de retour contre l'OM ?
Sur le flanc depuis la fin janvier, en raison d'une lésion à la cuisse droite, Edinson Cavani doit, selon L'Equipe, passer un examen de contrôle ce vendredi. L'attaquant uruguayen pourrait, en fonction des résultats, reprendre la course dans les prochains jours. Son retour en Ligue 1 pourrait intervenir début mars, éventuellement dès le 2 du mois prochain lors de la venue de l'Olympique de Marseille.