LES PRESIDENTS NE VALSENT PAS... QUAND A EUX !!!!

Et non c'est assez stable de ce côté là

la preuve

Les présidents des quatre clubs du Nord de L1 se sont rencontrés dans les locaux de France Football. Récit en coulisses. ILS NE VALSENT PAS ...ILS MANIENT L" HUMOUR CHAPEAU



Jacques Wattez aperçoit Francis Decourrière. Le président de Boulogne s'approche et pointe son homologue valenciennois du doigt.

« Oh toi, c'est pas joli ce que tu m'as fait. » Référence à la manière dont le patron du VAFC lui a subtilisé son entraîneur Philippe Montanier, quelques semaines plus tôt. Malaise ? Réponse dans la foulée. « Tu devrais être content.
Ça fait cinq ans que t'avais le même. Je t'en ai enfin débarrassé. »

Eclats de rires et accolades entre les deux hommes. Gervais Martel en rajoute même une couche. « J'ai lu dans la presse qu'il y avait des problèmes d'entraîneurs entres vous, c'est vrai ? » Rires encore. Martel, Seydoux, Decourrière et Wattez se claquent la bise, s'enlacent, heureux de se retrouver. Les quatre hommes passent devant l'objectif du photographe. « On n'est pas habitué à jouer les mannequins, s'amuse Seydoux. D'habitude le modèle, c'est Gervais. » Les quatre hommes déploient leurs écharpes et prennent la pose. Martel : « Elle tient mieux la route que ton stade ton écharpe, Jacques (Wattez).

» « T'as vu la tienne ! On sent que t'as les moyens à Lens. » Seydoux s'amuse avec l'objectif, place son écharpe sur la tête du président de Boulogne. Les quatre présidents se serrent, Seydoux ne s'arrête plus. « Oulà ! Pas trop quand même. Doucement. »

«Gervais me vole régulièrement»
Fin de la séance. Les présidents passent à table. Wattez s'assoit à côté de Decourrière. « C'est là et pas ailleurs que je voulais être. » Pendant plus d'une heure, ils débattent, parlent, rigolent. Tous les sujets y passent. Les stades (Martel : «On est des guignols en France») ; l'Euro 2016 (Seydoux : «On est très complémentaire avec Lens») ; les derbys (Martel : «Francis va venir en short chez nous»), la situation dans le Nord (Decourrière :

«C'est bon pour la région»). Les vannes fusent également. Decourrière à Martel : « Gervais, il me vole régulièrement. » Seydoux à Wattez : « Dès que t'es joueurs marquent, tu leur files des primes en poissons. La prime-thon. » Martel à Decourrière : « Je parlais déjà de mon stade, que t'étais encore en train de jouer au basket avec les filles. » Fin du débat deux heures plus tard. Dernières bises et prises de rendez-vous. Martel à ses compères : « On se voit bientôt pour une bouffe. » Jacques Wattez passera un nouveau coup de fil le lendemain. « C'était très sympa. Merci. »

attention dans ce train occitan VERS LA LIGUE 1
se cache UNE GRANDE GUEULE DE LA LIGUE 1 QUI VA TRAVERSER LA FRANCE DU SUD VERS LE NORD

INFOS POUR LES PRESIDENTS QUI SONT A L AFFUT

Si le mercato estival en Europe a officiellement fermé ses portes mardi à 18 heures, d’autres transactions pourraient tout de même avoir lieu au cours des prochains jours.
En effet, le Qatar peut recruter des joueurs jusqu’au samedi 12 septembre. Le championnat qatari, friand de joueurs étrangers, peut s’avérer une dernière porte de sortie pour les éléments souhaitant à tout prix quitter leur club. Certains joueurs de L1 en mal de temps de jeu rejoindront donc peut-être Juninho, Kim et consorts. À suivre.

LES PRESIDENTS NE VALSENT PAS ...MAIS ILS FONT VALSER LES PREPARATEURS PHYSIQUES ...C NOUVEAU

TLM PEUT SE FAIRE ECARTER DANS LE FOOT
COACH JOUEURS PRESIDENTS PREPARATEURS PHYSIQUES MANAGER GENERAL ...ET MEME LES DIRECTEURS

UN MONDE A PART


ON PEUT SE FAIRE RECONDUIRE

SI ON FERME SA GUEULE ET SI ON RESTE COMME UN BON TOUTOU
BIEN POLI....

La Provence, le conseil de surveillance de l'OM, qui s'est réuni aujourd'hui à Paris,
a reconduit le mandat d'Antoine Veyrat, le directeur général du club, pour les deux prochaines années
LUI IL A UNE BELLE TETE DE FAUX CUL
ALORS IL EST BON .A RECONDUIRE ...

LE TITRE C
LES PRESIDENTS NE VALSENT PAS ...QUAND A EUX

ET BIEN ICI CE POURRAIT ETRE LE CAS ..


Arrivé à Nantes en 2007, le président franco-polonais Waldemar Kita voit son club s'enfoncer au classement Dixième de Ligue 2 à quatre points seulement du premier relégable, le FCN peine à retrouver le statut qu'il avait il y a quelques années. Dans L'Equipe, Kita se livre sans langue de bois et se plaint de ne pas avoir les coudées franches : «Ce club va mal depuis dix ans. Je ne pensais pas quand je suis arrivé que le boulot n'avait pas été fait.»

«Furlan ? Six matches, un de gagné. C'est un constat»
Et quand le président s'emporte, tout le monde en prend pour son grade. Les adversaires d'abord : «Toutes les équipes nous attendent pour nous battre. Les autres viennent à la Beaujoire pour se faire remarquer et, plus tard, venir jouer pour Nantes.» Vient le tour des supporters, qui réclament son départ et se plaignent des résultats : «Les insultes, la bagarre, ce n'est pas comme ça que je vois le football. Les joueurs en ont marre de se faire insulter, ils peuvent être un peu perturbés.» Il s'en prend ensuite à l'entraîneur, Jean-Marc Furlan, arrivé en début d'année pour remplacer Gernot Rohr : «Six matches, un de gagné. C'est un constat. Je ne le connaissais pas, ce sont des gens autour qui m'ont... Il n'y a pas tant d'entraîneurs que ça.»

«Je ne suis pas le patron chez moi.»
Kita avoue : «On pense à tout. Et pas seulement vendre, carrément laisser tomber». Mais il dit aussi rester parce qu' «on ne quitte pas une société comme ça, on a une lourde responsabilité.» Ce qu'il déplore avant tout, c'est que son rôle de président ne lui permette pas de tout décider : «Moi, je suis déshabillé devant ces gens-là. Tu casques et tu fermes ta gueule. Laissez-nous maîtriser !» Et par là, il entend également avoir la maîtrise du secteur sportif : «Je ne suis pas le patron chez moi.» Et de conclure : «Il y a des jours où je regrette, d'autres où je suis content.»

aladin a écrit:LE TITRE C
LES PRESIDENTS NE VALSENT PAS ...QUAND A EUX

ET BIEN ICI CE POURRAIT ETRE LE CAS ..


Arrivé à Nantes en 2007, le président franco-polonais Waldemar Kita voit son club s'enfoncer au classement Dixième de Ligue 2 à quatre points seulement du premier relégable, le FCN peine à retrouver le statut qu'il avait il y a quelques années. Dans L'Equipe, Kita se livre sans langue de bois et se plaint de ne pas avoir les coudées franches : «Ce club va mal depuis dix ans. Je ne pensais pas quand je suis arrivé que le boulot n'avait pas été fait.»

«Furlan ? Six matches, un de gagné. C'est un constat»
Et quand le président s'emporte, tout le monde en prend pour son grade. Les adversaires d'abord : «Toutes les équipes nous attendent pour nous battre. Les autres viennent à la Beaujoire pour se faire remarquer et, plus tard, venir jouer pour Nantes.» Vient le tour des supporters, qui réclament son départ et se plaignent des résultats : «Les insultes, la bagarre, ce n'est pas comme ça que je vois le football. Les joueurs en ont marre de se faire insulter, ils peuvent être un peu perturbés.» Il s'en prend ensuite à l'entraîneur, Jean-Marc Furlan, arrivé en début d'année pour remplacer Gernot Rohr : «Six matches, un de gagné. C'est un constat. Je ne le connaissais pas, ce sont des gens autour qui m'ont... Il n'y a pas tant d'entraîneurs que ça.»

«Je ne suis pas le patron chez moi.»
Kita avoue : «On pense à tout. Et pas seulement vendre, carrément laisser tomber». Mais il dit aussi rester parce qu' «on ne quitte pas une société comme ça, on a une lourde responsabilité.» Ce qu'il déplore avant tout, c'est que son rôle de président ne lui permette pas de tout décider : «Moi, je suis déshabillé devant ces gens-là. Tu casques et tu fermes ta gueule. Laissez-nous maîtriser !» Et par là, il entend également avoir la maîtrise du secteur sportif : «Je ne suis pas le patron chez moi.» Et de conclure : «Il y a des jours où je regrette, d'autres où je suis content.»

DUBITATIF....

EN GUERRE CONTRE LA LIGUE ..NON PLUTOT CONTRE MOUSTACHE ..
ILS S" ORGANISENT

Dassier, Anigo et Dumas épinglés
Le Conseil national de l'éthique a condamné Jean-Claude Dassier, José Anigo et Franck Dumas pour leur attitude vis à vis du corps arbitral.

Le Conseil national de l'éthique a réalisé un tir groupé lundi en prononçant trois condamnations dont deux concernent l'Olympique de Marseille.


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A chaque fois, c'est l'attitude des dirigeants ou entraîneurs vis-à-vis des arbitres qui est épinglée. Le CNE a ainsi condamné Jean-Claude Dassier, président de Marseille, à 2000 euros d'amende, et son directeur sportif, José Anigo, à 2 matches de suspension avec sursis et 3000 euros d'amende, pour leurs propos sur l'arbitrage à la fin du match Auxerre-Marseille (1-1, 17e journée). Par ailleurs, Franck Dumas, entraîneur de Caen, a été condamné à 1 match de suspension avec sursis et 2000 euros d'amende pour des propos «excessifs» tenus à l'issue du match Caen-Lille en 8e de finale Coupe de la Ligue (1-4).


Dumas avait lancé au sujet des arbitres : «Heureusement que mon président m'a calmé. Sinon les petits poussins jaunes, je les aurais tués.»
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L1 - TFC
Sadran: «Si tous nos joueurs avaient le bac»

Pour Olivier Sadran, les footballeurs feraient bien de s'inspirer des nageurs. «Ce n'est pas deux heures d'entraînement par jour comme les footballeurs, mais six heures, a lâché le président toulousain jeudi, au cours d'une conférence de presse. Cela démarre souvent à 5 heures du matin et ça se finit à 22 heures. Et en même temps, ils arrivent à avoir le bac, c'est quand même extraordinaire.»

Olivier Sadran sait de quoi il parle : le TFC soutient économiquement le club de natation des Dauphins du TOEC, où sont notamment passées Laure Manaudou et Coralie Balmy. «Si tous nos joueurs avaient le bac -et ils sont capables de l'avoir- cela éviterait certaines dérives», insiste le président des Violets, qui déplore l'image du football véhiculée par l'équipe de France lors du Mondial 2010, en Afrique du Sud

BIENVENOU AVAIT CREE CETTE RUBRIQUE
LES PRESIDENTS NE VALSENT PAS QUAND A EUX ..........

ET SI
16/02/2011 à 10:38
Pacy-sur-Eure n'a toujours pas de président
Le sort s'acharne sur Pacy-sur-Eure (National), qui vient de perdre son deuxième président en deux mois.

Au début de l'année, l'ancien président Gilles Caoudal a quitté le club précipitamment
sans plus donner signe de vie, laissant le PVEF dans une situation financière délicate.
Heureusement pour le club, un repreneur, Philippe Legendre,
est arrivé rapidement pour redresser la barre.
Le comité directeur a approuvé son projet, et l'homme s'est présenté aux joueurs,
au staff et aux médias avec de grandes ambitions :
le lancement d'un partenariat avec le RC Lens et
la création d'une SASP à la place de l'association.

Mais au début de la semaine, nouveau coup de théâtre :
avant même que sa nomination à la tête du club ne soit entérinée,
Philippe Legendre a lui aussi jeté l'éponge.
Alors que la situation sportive n'est guère brillante (17e de National),
Pacy-sur-Eure est de nouveau confronté à de gros problèmes administratifs.
Sur son site, le comité exécutif du club promet :
«Nous ne baisserons pas les armes, nous allons agir pour survivre de ces maux».

ILS VALSENT AVE LES ¨PRIMES

MAIS LUI C'est son oseille

Foot - L1 - MHSC - Nicollin : «J'ai triplé la prime»

Le président de Montpellier, Louis Nicollin, a annoncé avoir triplé la prime de match pour ses joueurs après la belle victoire contre Lille (1-0).

C'était dans ma tête»
La prolongation de Rudi Garcia à Lille était dans l'air du temps. «Ol n'y a pas de meilleur projet en France».



La prolongation de deux ans de Rudi Garcia à Lille était dans l'air du temps. Pour ce dernier, «il n'y a pas de meilleur projet en France».

«On s'était serré la main il y a quelques semaines.» Le temps de se mettre autour d'une table et le règlement de quelques «détails» - notamment des primes d'objectif -, voilà ce qu'il manquait à Michel Seydoux et Rudi Garcia pour apposer leur signature sur une prolongation de deux saisons du contrat du technicien lillois, jusque 2014. Au LOSC depuis 2008, Garcia reste donc fidèle au Nord, tout comme ses adjoints, également prolongés. Il repousse donc l'idée d'un éventuel départ à l'étranger. «Avant cela, il faut déjà gagner en France», tranche-t-il. «Plusieurs fois!», sourit Seydoux.

A-t-il hésité à prolonger, lui qui aurait de toute façon honoré son contrat avec Lille en 2011-2012 ? «Non. C'était dans ma tête depuis longtemps. Le président le sait. Il n'y a pas de meilleur projet en France que celui du LOSC.» «Et s'il s'était agi d'une affaire financière, je n'aurais pas prolongé. Je serais même parti en fin de saison dernière. Le message du club a été fort avec les prolongations de joueurs très importants», a ajouté Rudi Garcia.

Son objectif est maintenant de bien négocier les dix derniers matches de la saison. «Plutôt une dernière ligne droite qu'un sprint final.» Avant l'entrée attendue dans le Grand Stade (50 186 places). «Cette échéance, on l'appréhende depuis un certain nombre d'années», explique Seydoux. En homme de cinéma, le président du LOSC attend aussi de son metteur en scène et des acteurs qu'ils continuent d'offrir du bon spectacle «L'une des composantes pour remplir le Grand Stade sera le jeu offert. Un an, ça peut paraître très long pour les supporters mais nous, les managers, devons être au rendez-vous. Et que ce rendez-vous soit bon !» - Olivier MAILLARD, à Luchin

"L’OM a du caractère"
GERVAIS MARTEL L’emblématique président du Racing Club de Lens est unhommeblessé,
alors que son équipe, 19e, se prépare à défier les Olympiens à Bollaert. Mais il croit
encore fermement au maintien. Foi de Ch’ti



"Il n’y a pas un joueur de l’OM
que je refuserais d’avoir
dans mon effectif."




❚ La trêve internationale a fait du
bienau Racing ?
Je n’en suis pas si sûr. Nous sommes
restés sur une probante victoire
à Montpellier (1-4), et
j’aurais préféré qu’on puisse enchaîner
là-dessus, histoire de
garder la dynamique. Mais,
d’un autre côté, nous avons
pu recharger les accus, même
si beaucoup de joueurs
étaient également concernés
par les sélections.
❚ Ce succès à Montpellier a
été suivi d’une petite polémique
(Louis Nicollin avait déclaré
"avoir offert" le match à Lens)...
Et je me demande ce que ça
aurait été si nous avions gagné
1-0 à la 92e ! Ça m’a plus emmerdé
que fait sourire, car mes joueurs
ont livré un super match et ils ont largement
mérité cette victoire. Loulou,
on le connaît, il a balancé ça à chaud,
c’est la réaction de quelqu’un de vexé.
C’est dommage que notre victoire soit minimisée,
reléguée au second plan.
❚ Elle ne vous a, de plus, pas permis de sortir
de la zone rouge.
De toute façon, on y est depuis presque le
début du championnat (depuis la 5e journée,
avec une 17e place au soir de la 18e journée,
ndlr). Comme j’aime à le dire, c’est à la fin du
bal qu’on paye les musiciens. Alors, si on s’en
sort, ce sera très bien. Il reste 30 points en jeu,
c’est énorme, et on a le potentiel pour aller
en chercher beaucoup. J’en suis persuadé.
❚ Parfois, vous semblez toutefois un peu résigné...
Il faut garder les pieds sur terre, simplement.
On fait partie des candidats pour la Ligue 2, ce
serait idiot, dans notre situation, de prétendre l’inverse.
Si on doit descendre, ce serait regrettable, mais
c’est la loi du sport. Personne n’est à l’abri, que ce soit
nous, Monaco ou Auxerre.
❚ Vous vous attendiez à une saison aussi compliquée ?
Oui. Quand on est remonté, on savait que les deux saisons
suivantes seraient difficiles. La descente, en 2009,
nous a été très préjudiciable. Un club comme Lens,
qui est relégué en L2, c’est une perte sèche de 40M¤
dans le budget, avec notamment les droits télé qui
sont divisés par six. Dans le même temps, on ne peut
pas baisser de plus de 30% les salaires des joueurs. Ils
étaient sous contrat, j’ai assumé et respecté mes engagements.
Le club a frôlé le dépôt de bilan, heureusement
que nous avions des fonds propres et un public
fidèle pour traverser la tempête. Mais ça laisse des traces.
On s’en est sorti l’an dernier. J’espère de tout
coeur qu’on en fera de même cette saison.
❚ Cette succession de déceptions ne vous donne pas
envie de passer la main?
Mais je suis fier d’être le président du Racing! Je ne
suis pas du genre à pleurnicher ou à vivre avec des regrets.
Je suis au club depuis que j’ai 4 ans, quand mon
père m’y emmenait. Alors oui, il existe un risque financier
quand on est président d’un club, ce qui freine
bon nombre d’investisseurs potentiels. Mais, avec
Aurier et Varane, le travail sur la formation commence
à porter ses fruits, il y a un projet intéressant concernant
le stade. Je travaille sur la pérennité du club; je ne
quitterai pas le navire, quoi qu’il arrive.
❚ L’OM qui se présente, c’estune source d’inquiétude?
Au contraire, je suis super content de jouer l’OM !
C’est le plus grand club français, et le stade va être
plein. Face à cette équipe, la remobilisation est naturelle.
Et puis je préfère jouer l’OM, où on ne sera pas
favori, qu’une autre formation mal classée...
❚ Surtout que l’OM ne réussit guère à Bollaert...
Pfff, les statistiques, vous savez, je n’y accorde aucune
importance. Après, on va à Lyon et je crois que ça doit
faire douze ans qu’on n’a pas pris un point là-bas !
Alors, si je m’attache aux stats... L’OM, c’est une formation
complète, de caractère, avec des meneurs d’hommes
comme Heinze ou Diawara, qui est suspendu, ce
qui n’est pas plus mal! Il n’y a pas un joueur de l’OM
que je refuserais d’avoir dans mon effectif.
❚ D’ailleurs, entre Rémy, Fanni et Hilton d’un côté, Runje,
Akalé et Maoulida de l’autre, les passerelles sont
nombreuses entre les deux clubs.
L’accent n’est pas le même, le soleil est différent chez
nous, je vous l’accorde, mais les clubs se ressemblent.
Tous deux sont vecteurs d’une passion phénoménale
auprès des supporters et dégagent des valeurs proches,
dans l’état d’esprit, dans l’amour du maillot.
❚ Comment voyez-vous la course pour le titre ?
Lille possède un avantage qui n’est pas négligeable.
Mais ce qui fait le charme de ce sport, c’est qu’il ressemble
à un bon film policier ; on ne connaît jamais
l’identité de l’assassin avant la fin. Tout peut encore
arriver, l’OM l’a prouvé la saison dernière.
❚ Voir Lille, votre grand rival, devant, ça doit être frustrant...
Je suis à 100% lensois mais il faut reconnaître qu’ils
ont bien bossé, au Losc. On doit s’inspirer de leur
exemple et revenir à leur niveau, notamment chez les
jeunes. Après, la vérité d’un jour n’est pas forcément
celle du lendemain. Actuellement, ils sont devant.
Mais mon ambition est de rendre à Lens le leadership
du Nord Pas-de-Calais, qu’il avait il n’y a encore pas si
longtemps.

APRES GERVAIS.. LOULOU

Un maillot de plus
pour Loulou !

Après avoir reçu la tunique dédicacée
de Lucho Gonzalez, la veille, à
l’occasion d’une rencontre avec
son homologue olympien
Jean-Claude Dassier, Louis Nicollin
a récupéré une pièce de plus
pour garnir sa riche collection. Le
président de Montpellier souhaitait
le maillot d’André-Pierre Gignac.
Il l’a eu, quand bien même
l’attaquant olympien a inscrit un
but à son équipe