LES PRESIDENTS NE VALSENT PAS... QUAND A EUX !!!!

aladin a écrit:

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:L’ABBÉ-DESCHAMPS SOUS TENSION
La défaite d’Auxerre contre Nancy
(1-3), hier dans un choc de mal classés,
a fait sortir de leurs gonds plusieurs
supporters de l’AJA. Le deuxième but
lorrain a provoqué la colère de
plusieurs fans qui ont envahi la tribune
principale, avant de taper sur le banc
de touche et de s’en prendre
verbalement aux joueurs. La démission
du président Gérard Bourgoin a été
réclamée, alors que les joueurs
auxerrois ont quitté la pelouse
protégés par les forces de l’ordre.

C'est quoi un président de club

qui ""preside"" pas obligé qu'il finnace

comble pour bourgoin qu'il ait eu besoin des poulets pour lui sauver la vie
lui qui a passé sa vie a en exterminer des millions

Bien trouver ma poule

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:L’ABBÉ-DESCHAMPS SOUS TENSION
La défaite d’Auxerre contre Nancy
(1-3), hier dans un choc de mal classés,
a fait sortir de leurs gonds plusieurs
supporters de l’AJA. Le deuxième but
lorrain a provoqué la colère de
plusieurs fans qui ont envahi la tribune
principale, avant de taper sur le banc
de touche et de s’en prendre
verbalement aux joueurs. La démission
du président Gérard Bourgoin a été
réclamée, alors que les joueurs
auxerrois ont quitté la pelouse
protégés par les forces de l’ordre.

C'est quoi un président de club

qui ""preside"" pas obligé qu'il finnace

comble pour bourgoin qu'il ait eu besoin des poulets pour lui sauver la vie
lui qui a passé sa vie a en exterminer des millions

Bien trouver ma poule

en plus de ses mises en examens et de ses corruptions il est toujours sur le devant de la scene

la france le plus beau pays au monde pour la gloire des maffias

aladin a écrit:

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:L’ABBÉ-DESCHAMPS SOUS TENSION
La défaite d’Auxerre contre Nancy
(1-3), hier dans un choc de mal classés,
a fait sortir de leurs gonds plusieurs
supporters de l’AJA. Le deuxième but
lorrain a provoqué la colère de
plusieurs fans qui ont envahi la tribune
principale, avant de taper sur le banc
de touche et de s’en prendre
verbalement aux joueurs. La démission
du président Gérard Bourgoin a été
réclamée, alors que les joueurs
auxerrois ont quitté la pelouse
protégés par les forces de l’ordre.

C'est quoi un président de club

qui ""preside"" pas obligé qu'il finnace

comble pour bourgoin qu'il ait eu besoin des poulets pour lui sauver la vie
lui qui a passé sa vie a en exterminer des millions

Bien trouver ma poule

en plus de ses mises en examens et de ses corruptions il est toujours sur le devant de la scene

la france le plus beau pays au monde pour la gloire des maffias

C'est pas lui qui s’était associé a Depardieu pour aller faire des forages pétrolifère a Cuba

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:

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aladin a écrit:

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La défaite d’Auxerre contre Nancy
(1-3), hier dans un choc de mal classés,
a fait sortir de leurs gonds plusieurs
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lorrain a provoqué la colère de
plusieurs fans qui ont envahi la tribune
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verbalement aux joueurs. La démission
du président Gérard Bourgoin a été
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auxerrois ont quitté la pelouse
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C'est quoi un président de club

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C'est pas lui qui s’était associé a Depardieu pour aller faire des forages pétrolifère a Cuba

oui je crois

mais il a eté" mis en examen pour des corruptions en france
si je cherche je trouverais car il a un casier pas vierge du tout
ex vice president de ta ligue cherie

aladin a écrit:

JUDAS a écrit:

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aladin a écrit:L’ABBÉ-DESCHAMPS SOUS TENSION
La défaite d’Auxerre contre Nancy
(1-3), hier dans un choc de mal classés,
a fait sortir de leurs gonds plusieurs
supporters de l’AJA. Le deuxième but
lorrain a provoqué la colère de
plusieurs fans qui ont envahi la tribune
principale, avant de taper sur le banc
de touche et de s’en prendre
verbalement aux joueurs. La démission
du président Gérard Bourgoin a été
réclamée, alors que les joueurs
auxerrois ont quitté la pelouse
protégés par les forces de l’ordre.

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oui je crois

mais il a eté" mis en examen pour des corruptions en france
si je cherche je trouverais car il a un casier pas vierge du tout
ex vice president de ta ligue cherie

POUAH !!!!
Il y a des jours ou je me mets a rêver qu'un Corse a été élu a la présidence de la Ligue .....avec bureau composé majoritairement de présidents dont les clubs ont pris plein la gueule depuis plus de 30 ans ......
Une revanche du pot de terre sur le pot de fer
Et que grâce a mes amitiés avec des membres influents de la diaspora ,je me retrouve bombarder grand manitou de la commission de discipline de la Lpf

Laisse moi te dire l'inquisition espagnole a coté de moi ressemblerait a Alice au pays des merveille et ange gardien Joséphine ...du pipi de chat

Et encore que moi a la différence des actuels régnants sans partage sur les magouilles de copains ... comme je ne suis pas malhonnête et rien qu'a suivant le règlement ,je leur ferais volontiers un 2eme trou du cul
Tout le monde aurait droit a la même impartialité ,aux mêmes sanctions et suspensions
Encore que là, je reste convaincu que certains ne le comprendraient pas n'aillant pas l'habitude d’être traiter comme ils traitent les autres

tu vois il etait meme president de la ligue je m'en rappelais plus je crois que vice president

Gérard Bourgoin mis en examen
(822 signes)

Gérard Bourgoin, empêtré dans l'affaire des faux passeports, voit s'amonceler les nuages au-dessus de sa tête. La justice vient de le mettre en examen pour "abus de pouvoir et abus de biens sociaux" en tant qu'ancien gestionnaire du groupe Bourgoin SA.

> La Lettre du Sport n° 168


Jeudi 18 janvier 2001
Le président de la Ligue Nationale de Football (LNF) Gérard Bourgoin, s'est vu notifier (ainsi que sa fille Corinne) sa mise en examen pour "abus de pouvoir et abus de biens sociaux" par le procureur

31/01/2012 - 10:28
AJA: Roux répond à Dujon
Mis en cause par Alain Dujon, l'ancien président d'Auxerre de juillet 2009 à mai 2011, qui l'accuse d'avoir "miné le terrain" pour Laurent Fournier, Guy Roux, invité lundi à réagir sur le plateau de l'émission Les Spécialistes sur Canal+, n'a pas souhaité rentrer dans la polémique: "Je ne répondrai pas à ce monsieur. J'en ai assez qu'on me fasse partager les aléas de l'AJ Auxerre. Je ne suis pas membre de la SAOS (société anonyme à objet sportif) professionnelle. Mon rôle se borne au centre de formation. (...) Gérard Bourgoin ne me dit jamais rien. Il ne dit rien à personne".

Seydoux ne s'est «pas trahi»
Le 01/02/2012 | Mis à jour le 01/02/2012 10:28:21


Rudi Garcia et son Michel Seydoux fonctionnent bien ensemble d'après le président du LOSC.
Le président du LOSC Michel Seydoux revient pour nous sur le mercato agité des Dogues. Un mercato qui s'inscrit, selon lui, dans la lignée de la politique menée jusqu'ici.

«Michel Seydoux, êtes-vous heureux que le mercato soit enfin terminé ? Personnellement, j'ai trouvé ce mercato plutôt simple même si certains considèrent qu'on en a été l'un des grands animateurs. J'ai vu d'autres mouvements tout aussi importants que les nôtres : l'arrivée d'Erding à Rennes, le départ de Lucho à Marseille... Ça non plus, ce n'est pas négligeable. Mais pour quelqu'un qui présente souvent ce mercato comme un marché de dépannage, reconnaissez que votre activité sur le front des transferts a pu surprendre... En général, il y a moins de mouvemenst l'hiver, mais c'est un mercato où l'on peut quand même préparer un certain nombre de choses en fonction des opportunités qui se présentent. On les a saisies. Vendre son meilleur attaquant (Moussa Sow) pour en prendre un autre prometteur, mais qui n'a pas encore réellement fait ses preuves (Nolan Roux), cela ressemble quand même à une forme de pari, non ? Non, ce n'est pas un pari. Ce qui compte, c'est le collectif. Et vous verrez qu'un joueur comme Nolan ne s'exprimera pas de la même façon chez nous qu'avec son précédent club. Personnellement, j'ai l'impression qu'on est resté dans la même ligne éditoriale. Je n'ai pas l'impression d'avoir trahi ma politique générale. Pourtant, la décision de vendre Sow aurait divisé en interne... Il n'y a pas deux vérités, il n'y en a qu'une et c'est celle d'un ensemble de personnes dont je suis très proche. Il n'y a pas d'un côté Fred Paquet (directeur général) /Rudi Garcia et de l'autre Jean-Michel Vandamme (directeur du centre de formation) / Michel Seydoux. Ces quatre personnes travaillent main dans la main.

«Je n'ai jamais parlé de Ligue des champions»
Ce qui ne vous a pas empêché de consulter certains joueurs cadres avant la vente de Sow... Ça, ce sont des choses qui se passent en interne. Mais c'est vrai que nous travaillons avec une immense clarté à l'intérieur du groupe. C'est quelque chose d'essentiel. Sow a déclaré qu'il ne voulait pas quitter le LOSC cet hiver. Pour moi, l'affaire est close, je ne rajoute pas d'huile sur le feu. On ne pensait pas une seule seconde que Moussa Sow allait partir, mais on a réagi. J'ai reçu un certain nombre d'éléments d'information qui m'ont poussé à prendre une décision. Depuis votre titre de champion de France, Gervinho, Rami, Cabaye et maintenant Sow et Obraniak sont partis. Ne craignez-vous pas de casser la dynamique de l'équipe ? Non, et je n'ai pas l'impression que ce soit le cas. Depuis le début de la saison, on n'a perdu que deux matches de L1 : un à Marseille, l'autre contre Montpellier. Ce n'est pas infamant. Après, évidemment, quand vous changez quelque chose dans un club, vous prenez un risque, mais c'est un risque évalué. Et puis, il y a aussi la prise de risque de ne rien faire... Pensez-vous toujours que l'objectif d'arriver dans le Grand Stade en disputant la C1 sera tenu ? L'objectif est toujours le même, mais je n'ai jamais parlé de Ligue des champions. J'ai toujours dit qu'il fallait être européen, et si possible, la C1. Le match contre Saint-Etienne (3-0) a été important, un peu charnière. La façon dont s'est comporté le LOSC, surtout en deuxième période, me fait dire qu'on a les mêmes atouts qu'en début de saison. L'équipe continue d'avoir ce savoir-faire, d'accélérer le jeu, elle a énormément de talents... Elle est parfaitement équilibrée pour les challenges qui nous sont proposés».

VA: Legrandménage...
RÉVOLUTION En devenant le propriétaire de Valenciennes, leNordistearéalisésonrêve. Et peu importele prix

Jean-Raymond Legrand s’est pris au jeu, et son côté autodidacte lui assure une certaine proximité
avec les fans. "C’est un président supporter", s’amusent les Nordistes




Son arrivée à la tête du Valenciennes Football
Club s’est transformée en grand nettoyage.
Président depuis le 28 juillet dernier,
Jean-Raymond Legrand fait partie de la révolution
nordiste sans l’avoir vraiment initiée. Avec un nouveau
stade, celui du Hainaut (25 172 places), un
nouvel entraîneur, en la personne de Daniel Sanchez,
et donc un nouveau patron.
La transition avec la présidence de Francis Decourrière
se voulait douce, elle s’est révélée bien
plus délicate que prévu.À tel point que l’ancien député
européen et figure politiqueduValenciennois
est désormais borduré dans une entité qu’il a dirigée
pendant 7ans. C’est pourtant lui qui a choisi
son successeur, l’a fait entrer au capital, moyennant
un investissement conséquent de 5M¤, et lui
adonné les clés. Atteint par la limite d’âge, Decourrière
a dû céder sa place après avoir oeuvré au sein
de VA comme un vrai président bâtisseur avec, à
son actif, les nouveaux centres de formation et
d’entraînement, sans oublier l’écrin du Hainaut.
Une fois le témoin passé, il devait conserver un rôle
de conseiller du président, mais ce derniera préféré
tourner la page, créant une mini-polémique à
l’automne dernier. Joint hier, Francis Decourrière
n’a pas souhaité en rajouter. "On s’était mis
d’accord pour que je l’accompagne, mais il m’a vite
fait comprendre que je lui faisais de l’ombre. Maintenant,
c’est lui le propriétaire, je respecte ses choix."
Legrand, qui fêtera ses 55ans le 22 février, adonc
été coopté à l’unanimité: actionnaire majoritaire
depuis octobre 2010, il a été nommé vice-président
la saison dernière, en charge de l’accueil des
présidents adverses. Le temps pour lui de se familiariser
avec le football, un milieu qu’il connaîtmal
en dépit d’un amour indéniable pour sa formation.
"C’est un passionné, et c’est ce que j’aime chez lui,
glisse Foued Kadir, le Martégal du VAFC. Il est toujours
là aux matches, que ce soit à domicile ou à
l’extérieur, il essaie de nous transmettre sa passion
pour le club et pour Valenciennes."
Le dirigeant hennuyer se plaît d’ailleurs à répéter
qu’il resquillait, plus jeune, pour pénétrer dans
l’enceinte de Nungesser et assister aux rencontres
de son club de coeur. "Il l’a dans les tripes et il vit à
fond pour VA, commente un salarié du club. En
plus, c’est quelqu’un du cru, un pur Valenciennois,
donc tout le monde l’apprécie."
Loulou Nicollin: "Un des raresàmettre
les sous sur la table"
Car l’histoire de Jean-Raymond Legrand tient,
au vrai, plus du conte de fées que du règlement de
comptes permanent. Coupeur de verre à 16ans, il
délaisse les bancs de l’école pour une formation en
apprentissage. Il finira au volant d’un camion benne
pour ramasser les ordures, comme l’un de ses
illustres confrères: Louis Nicollin, le roi des poubelles
devenu mécène de Montpellier. L’ascension est
alors fulgurante, puisqu’il gagne la confiance de
ses chefs et gravit un à un les échelons. En 1994, il
rachète sa première société, spécialisée dans le recyclage
de produits sidérurgiques. Mais il ne se cantonne
pas au retraitement des métaux, et n’hésite
pas à flairer les bonnes affaires (boulangeries, restaurants).
Avant de tout plaquer pour le VAFC.
"C’est un ami intime de Laurent, mon fils, explique
Loulou, qui juge le "garçon adorable". Et puis, c’est
quelqu’unqui met les sous sur la table... C’est à souligner,
car ils ne sont plus beaucoup dans le monde
du ballon!"
"Ce qui le caractérise, c’est sa faculté à vite intégrer
ce qu’il ne connaît pas ou peu. Il est très énergique,
il aime être dans l’action, note de son côté un
observateur de la vie nordiste. Son franc-parler
peut interpeller, mais il est respecté et craint car
c’est un vrai chef d’entreprise, à la différence de Decourrière.
D’ailleurs, il est prêt à tout pour être absolument
reconnu en tant que président."
Même à faire le grand ménage...

L'absence troublante de Leonardo
Le 24/04/2012 | Mis à jour le 24/04/2012 08:56:00

Face à l'ampleur de la victoire parisienne, dimanche contre Sochaux (6-1), un fait troublant a échappé aux yeux des observateurs : Leonardo était encore absent dans les tribunes du Parc des Princes. C'est la deuxième fois d'affilée que le directeur sportif du PSG ne prend pas place dans la corbeille présidentielle aux côtés de Nasser al-Khelaïfi. Car contre l'OM (2-1), le 8 avril, il avait préféré suivre la rencontre des vestiaires. Seulement dimanche, le Brésilien n'était même pas présent dans l'enceinte puisqu'il n'est pas venu saluer les joueurs à la fin de la rencontre, selon nos informations. Aperçu brièvement en fin de semaine au Camp des Loges, Leonardo se fait discret ces derniers temps. En Italie, il se murmure que l'Inter Milan souhaiterait le récupérer la saison prochaine. Selon le Corriere dello Sport, un poste au sein de l'organigramme intériste lui aurait même déjà été proposé

L1 - Dijon
Le président Gnecchi s'en va
Le 21/05/2012 | Mis à jour le 21/05/2012 13:47:32

Bernard Gnecchi (60 ans) a annoncé lundi, au lendemain de la défaite à Rennes (0-5) synonyme de retour en L2, sa décision de quitter la présidence du Dijon FCO, qu'il occupait depuis 1998, alors que le club évoluait en CFA. «Pendant quatorze ans, avec force, passion et détermination, j'ai eu l'obsession au quotidien de bâtir un club sain, un club vrai, au visage humain (...) Aujourd'hui, le temps d'une nouvelle ère est venu (...) Je vais pouvoir transmettre le flambeau d'un club sain, financièrement bénéficiaire, à des hommes et des femmes qui continueront d'écrire l'histoire de notre club, dont je resterai à jamais le premier supporter. Au revoir et merci», a déclaré Gnecchi via un communiqué.

Le DFCO a connu trois accessions sous sa présidence. Ces derniers jours, alors que le club traversait une sérieuse crise sportive et que les relations entre Bernard Gnecchi et Patrice Carteron s'étaient tendues depuis le mois de mars, des supporters avaient demandé sa démission. Selon le communiqué, le dirigeant dijonnais avait décidé de quitter son poste avant même le verdict de la dernière journée.

Le nom de son successeur devrait être connu rapidement. Selon nos informations, il devrait s'agir d'Olivier Delcourt, président de la Dijonnaise de Voies Ferrées, qui est avec Bernard Gnecchi le plus gros actionnaire du club. Sa nomination pourrait intervenir en début de semaine, à l'issue d'un conseil de surveillance.

22/05/2012 - 13:21
Caen: Fortin prêt à "foutre le camp"
Moins de 24 heures après la nouvelle relégation de Caen en Ligue 2, Jean-François Fortin, le président du club bas-normand, a laissé entendre lundi, à l'occasion d'un échange impromptu avec les supporters, qu'il pourrait démissionner lors du prochain conseil de surveillance, prévu à la fin du mois, rapporte le site tendanceouest.com. Visiblement amer face à "tout ce que j'entends pour expliquer pourquoi le Stade Malherbe vient de descendre en Ligue 2 et qu'il suffit de balancer Fortin et Dumas, ce couple infernal", le dirigeant, en poste depuis 2002, déclare: "Malgré ce qui a été raconté, que je m'en foutais plein les poches, je vais vous dire: le pognon que je dépense tous les ans, ce pognon-là, je vais le garder pour moi (...) Je vais sans doute vous donner une satisfaction totale: Fortin, il va foutre le camp. Après, celui qui va me remplacer fera de Dumas ce qu'il veut parce qu'il sera le président (...) Mais on ne règlera pas le problème du Stade Malherbe."

26/06/2012 - 14:25
Lens: Martel proche de la sortie ?
Arrivé à la tête du RC Lens en 1988, Gervais Martel cèdera-t-il son fauteuil de président cet été ? Le fondateur du Galibot, hebdomadaire gratuit de petites annonces, a quatre jours pour racheter les parts du Crédit Agricole Nord de France (CANF), actionnaire majoritaire du club artésien. Un délai trop court, croit savoir le quotidien L'Equipe. Résultat, le Racing pourrait lui échapper. En attendant, Martel et Michel Faroux, le représentant du CANF, ont rendez-vous ce mardi à 16 heures au siège de la Ligue professionnelle de football (LFP), à Paris, pour répondre à la convocation de la Direction nationale de contrôle et de gestion (DNCG) et présenter un plan financier cohérent. L'occasion peut-être d'en savoir plus sur les marges de manoeuvre du président lensois.

Sadran :«Des jalousies permanentes»
Le 29/07/2012 | Mis à jour le 29/07/2012 11:50:45


Olivier Sadran fait une grande confiance à son entraîneur Alain Casanova.Dans un long entretien le président du Toulouse FC Olivier Sadran se confie sans équivoque sur les transferts, les Bleus et la vision qu'il a de son club et de son job. Ça détonne. Extraits.

Alors qu'il a cédé Daniel Congré à Montpellier en échange de six millions d'euros, le président de Toulouse Olivier Sadran n'est pas du tout vendeur en ce qui concerne son défenseur central Aymen Abdennour, auteur d'une très bonne saison et très courtisé : « La question ne se pose pas », lâche-t-il ce dimanche dans L'Equipe. Pour Etienne Capoue en revanche, la porte est entrouverte. « S'il y a une offre qui me paraît cohérente pour le remplacer et pour faire vivre le club, il pourra partir.» Mais le dirigeant assure n'avoir reçu «aucune offre». «Beaucoup de grands clubs pensent que certains de nos très bons joueurs doivent encore mûrir.»


Sadran égratigne Blanc
Peu présent dans les médias - notamment parce qu'«il faut avoir des choses à dire» -, Sadran est un président qui n'a pas franchement goûté (lui aussi) la tournure des événements à l'Euro, même s'il dédouane un peu les joueurs de l'équipe de France : « Notre société aussi est de plus en plus individualiste, avec des jalousies permanentes, entre les riches et les pauvres, entre les communautés... Dans le foot, c'est pareil. On n'est même pas capables de s'unir pour un objectif commun. C'est facile de critiquer l'équipe de France mais, si on s'interroge un peu, on doit se dire une chose : c'est notre pays. Les joueurs ne sont pas les uniques responsables.»

Au passage, il n'épargne pas Laurent Blanc, l'ancien sélectionneur des Bleus, qu'il égratigne clairement sans jamais le nommer. « Où est la notion de travail quand on demande un staff de vingt-cinq personnes ? Quand on ne fait quasiment pas un entraînement ? C'est une honte de mettre les mains dans le cambouis quand on est patron de quelque chose ? Tout l e monde se prend pour ce qu'il n'est pas.»

Créé le 28/08/2012 - 19:45
PSG-Al-Khelaïfi: "Arrêtez avec votre nonchalance !"
Visiblement agacé après le nouveau match nul des siens dimanche dernier, face aux Girondins de Bordeaux (0-0), Nasser Al-Khelaïfi, le président du Paris Saint-Germain, s'est entretenu avec les joueurs du club de la capitale ce mardi, lors de l’entrainement. Et à en croire RMC, le Qatarien n'y serait pas allé par quatre chemins avec les troupes de Carlo Ancelotti. "Arrêtez avec votre nonchalance !", aurait-il ainsi lâché. Le prochain rendez-vous des Franciliens, et pas des moindres, est prévu au Grand Stade du Losc, dimanche prochain, pour le compte de la 4e journée de Ligue 1.

Urano remplacé ?
Le 05/09/2012 | Mis à jour le 05/09/2012 13:37:52

Actuellement 16e de Ligue 2, Sedan pourrait prochainement vivre une révolution interne. Le président Pascal Urano, qui occupe ce poste depuis dix-neuf ans, pourrait prochainement passer la main. «Ce n'est pas nouveau (...) Mais on est loin d'avoir trouvé quelqu'un. On réfléchit. Cela ne se fait pas comme ça...», a-t-il expliqué à L'Équipe. Un nom est toutefois évoqué, celui de Guy Cotret, l'ancien président du Paris Football Club, qui a confirmé que le contact avait été établi. «On est loin d'avoir conclu. On est même loin des premières modalités. Mais nous discutons, reconnaît-il. Pascal, ça fait dix-neuf ans qu'il est la tête de ce club. Je pense qu'il a envie de souffler.»

«Urano remplacé par Cotret ?»,

Bourgoin fragilisé ?

Vendredi, la cour d'appel de Paris a invalidé les deux ordonnances rendues l'an dernier par les tribunaux de Sens et d'Auxerre, qui avaient précipité l'éviction de l'ancien président de l'AJA Alain Dujon. La cour d'appel estime que les conditions dans lesquelles Dujon avait été contraint de convoquer le conseil d'administration, précipitant son remplacement par Gérard Bourgoin en juin 2011, étaient contraires aux statuts du club. Selon nos informations, Dujon réfléchirait à la suite à donner à cette décision de la cour d'appel de Paris et pourrait réclamer la tenue d'une nouvelle élection, sauf si Bourgoin se pourvoie en cassation

Brest: Des nouvelles rassurantes du président
Victime d'un malaise la semaine dernière, le président du Stade Brestois va mieux, selon un communiqué dévoilé jeudi par son club. Le dirigeant breton "a vu son état de santé s’améliorer et se stabiliser depuis. Il est actuellement à l’hôpital et y restera en observation encore trois semaines". Durant son absence, le manager général Michel Bucquet, soutenu par les deux actionnaires Yvon Kermarec et Jacques Jolivet, sera "son relais et son représentant".

Rousselot : «Assurer la pérennité du club»

Actuel lanterne rouge de Ligue 1, Nancy va devoir se séparer de «quatre ou cinq joueurs» lors du mercato d'hiver afin «d'assurer la pérennité du club», comme l'a annoncé Jacques Rousselot ce jeudi en conférence de presse.

«Nous avons décidé de céder quatre à cinq joueurs, ce qui peut nous permettre d'assurer l'équilibre, a ainsi expliqué le président lorrain, qui a par ailleurs assuré n'avoir reçu aucune demande de départ de la part de Jean Fernandez. Il existe encore un mince espoir (de se sauver, ndlr) et on doit s'y accrocher. Sept victoires et deux nuls pourraient être suffisants. Bien sûr, je suis conscient que nous partons avec un lourd handicap, mais nous devons essayer. Si on doit mourir, cela sera les armes à la main.»

Des investiseurs aux États-Unis, au Luxembourg et en Argentine

Rousselot a également précisé que chaque départ sera compenser «en la jouant malin avec des joueurs en difficulté en Allemagne, en Angleterre, en Espagne, en Italie voire en France». Avant de conclure en confirmant que des négociations sont bien entamées avec des investisseurs potentiels aux États-Unis, au Luxembourg et en Argentine : «Nous aimerions aller le plus vite possible pour profiter de cette augmentation de capital afin d'ajuster notre effectif durant ce mercato d'hiver. Cela pourrait donner du souffle à la trésorerie de l'ASNL.»

Brest :
Fin de règne pour Guyot

En poste depuis 2006, Michel Guyot n'est plus le président du Stade Brestois. Mis en minorité ce mardi soir lors de l'assemblée générale du club breton, il a démissionné. Toutefois, il reste dans le bureau puisqu'il conserve son poste d'administrateur, a expliqué le club sur son site internet dans la foulée. Son successeur, vraisemblablement le vice-président actuel et actionnaire Yvon Kermarec, ne sera connu que vendredi 31 mai, à l'issue de la réunion du conseil d'administration prévue à 10h00. Entre les deux hommes, le conflit est public depuis plusieurs mois, avec comme dernier désaccord le choix de Corentin Martins pour remplacer Landry Chauvin en cours de saison

Triaud rétorque à la pétition
Mis en cause par une pétition, le président bordelais réplique : «Je m'inscris en faux envers cette pétition qui ne propose, comme seule solution, que de virer Triaud».

Jean-Louis Triaud est à la tête du club depuis 1996. (L'Equipe)











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Jean-Louis Triaud, le président des Girondins, réagit dimanche dans Sud Ouest à la pétition en ligne lancée mardi par un supporter pour un «renouveau» du club. Dans ce texte qui avait recueilli dimanche midi plus de 3500 signatures, l'image du club, sa gestion sportive et sa direction sont tour à tour passées à la moulinette. Directement mis en cause, Triaud «ne conteste pas (aux supporters) le droit (...) de critiquer», mais il «conteste (...) que cette pétition ne fasse qu'un constat d'échec». «Je m’inscris en faux envers cette pétition qui ne propose, comme seule solution, que de virer Triaud», dit-il encore au quotidien régional. 

«Face à Paris et ses 400 millions d'euros de budget, que pouvons-nous faire avec nos 65 millions ?» Sur le bilan sportif, il rappelle notamment que «depuis (son titre de) 2009, (Bordeaux est) le seul club à avoir gagné les quatre compétitions (Championnat, Coupe de la Ligue, Coupe de France et Trophée des champions)». Il souligne aussi le fossé qui s'est creusé entre le duo Paris-Monaco et le reste de la Ligue 1 : «Face à Paris et ses 400 millions d'euros de budget, que pouvons-nous faire avec nos 65 millions ?» Sur la qualité des prestations offertes au public de Chaban-Delmas, il admet «regretter» lui aussi ce qu'il appelle «le jeu alternatif» des Girondins, mais il renvoie le ballon à l'entraîneur («je ne suis pas responsable du terrain») et aux joueurs qui «ont aussi une part de responsabilité».

«Nous avons 26 pros. C'est bien assez, surtout avec l'apport de nos jeunes» «Les prolongations de contrats à prix d'or», pointées par la pétition et qui empêcheraient le club de recruter un joueur de top niveau ? «Mais même sans ces salaires, je ne pourrais pas pour autant recruter Falcao ou Cavani, rétorque-t-il. On ne peut pas nous reprocher un jour de laisser partir nos meilleurs éléments et nous dire ensuite qu’il ne fallait pas les garder.» L'absence de renfort après les départs de Modeste, Trémoulinas et Plasil ? «Nous avons 26 pros. C’est bien assez, surtout avec l’apport de nos jeunes (...) Chaque fois que l’on va recruter quelqu’un, cela va enlever à nos jeunes la possibilité de s’exprimer. Il faut préparer l’avenir.» Le classement de Bordeaux ? «Après quatre matches, nous sommes 15e et je crains que ce ne soit pire après cinq... (Ndlr : vendredi, en ouverture de la journée, Bordeaux accueille le PSG). Mais on ne va pas faire le bilan d’une saison sur cinq parties.»

Legrand sur le départ ?
22/04 16h02 - Football, L1
Le président de Valenciennes, Jean-Raymond Legrand, a annoncé ce mardi en conférence de presse qu'il ne comblerait plus le déficit du club, menacé de relégation en L2, avec ses deniers personnels, évoquant même un éventuel départ.
«J'ai fait suffisamment pour Valenciennes. Il faut dire stop un jour, je ne peux pas me mettre sur la paille pour un club de foot. Avec les 13 millions que j'ai apportés au club, je dois être un des leaders des investisseurs en France, le deuxième après Nantes je crois. Il faut trouver des gens qui viennent aider le club. Il y a des administrations ou des départements qui peuvent le faire, ça s'est déjà vu», a-t-il déclaré avant d’ajouter : «Il y a de l'usure, de la fatigue, mais je ne jetterai pas l'éponge en abandonnant le club. Je l'ai sauvé plusieurs années de suite, je ne vais pas le laisser tomber comme ça, mais aujourd'hui les investisseurs doivent un peu se bouger le cul (Sic). Je suis ouvert à toute discussion, si le club de Valenciennes continue à bien vivre et à grandir. Et si un investisseur arrive, on discutera...».