NEWS DE L'OM

Cinq à la suite pour l'OM


Jack Wilshere, auteur d'un doublé pour une victoire qui ne permet pas encore aux Gunners d'assurer leur qualification pour les 8e de finale.

Par Yannick SAGORIN
Publié le 26 novembre 2013 à 22h30
Mis à jour le 27 novembre 2013 à 08h33

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Bien que débarrassée de toute pression, eu égard à son élimination déjà acquise, une équipe de Marseille largement remaniée a dû concéder ce mercredi une 5e défaite en 5 matches de Ligue des Champions cette saison sur la pelouse d’Arsenal (2-0). Et encore un excellent Steve Mandanda aura-t-il fait des miracles, arrêtant notamment un penalty. Un succès qui n’assure pas pour autant les Gunners de la qualification.
Jamais un club français n’a essuyé un zéro pointé après six matches de poule en Ligue des champions. Ce sera tout l’enjeu de la sixième et dernière journée de cette première phase, dans quinze jours, pour un OM qui recevra alors le Borussia Dortmund. Ce mardi à l’Emirates Stadium, les joueurs d’Elie Baup n’ont pu s’épargner une cinquième défaite attendue. Arsenal sur son terrain s’est révélé sans pitié, trouvant la faille dès la 33e seconde, par Wilshere, grand bénéficiaire des absences de l’arrière-garde phocéenne et auteur d’une jolie frappe enroulée imparable (1-0, 1e).
Imparable car Mandanda n’aura rien eu à se reprocher sur ce match encore. En première période les Gunners ont eu deux occasions au moins de corser l’addition: un tir à bout portant de Ramsey sur une offrande de Wilshere (7e) et surtout un penalty accordé à Özil pour une faute de Nkoulou sur Ramsey… en dehors de la surface (37e). Deux balles de but pour deux parades exceptionnelles du portier n°2 de l’équipe de France.  Après le repos, l’étreinte londonienne se resserrant davantage – témoin ce nouvel arrêt miraculeux devant Özil (56e) - le dernier rempart olympien ne pourra éviter une seconde réalisation signée Wilshere, à la conclusion d’un beau mouvement initié par Ramsey et relayé par Özil (2-0, 64e). Le coup de grâce pour des Marseillais pourtant plus à l’aise après les entrées en jeu de Valbuena et Thauvin peu avant l’heure de jeu.
C’est peu dire en effet que le 4-3-3 inauguré initialement par Elie Baup - avec les retours de Mendes et Morel en défense, les trois récupérateurs que sont Romao, Imbula et Lemina dans l’entre-jeu et un trident offensif composé de J. Ayew, Gignac et Khlifa - n’a pas eu l’impact escompté. Une heure durant, avant le remaniement, l’OM s’est littéralement fait croquer par son hôte, sevré de ballons la plupart du temps, si l’on excepte ce face-à-face précipité de Gignac avec Szczesny (21e). Avec Valbuena et surtout Thauvin sur le terrain, Marseille a davantage porté le cuir et tenté en seconde période, ce dernier ayant notamment mis le gardien adverse à contribution sur deux tentatives bien senties, coup sur coup, aux 74e et 77e minutes. Pas de quoi néanmoins sauver l’honneur. Face à un BvB vainqueur ce mardi de Naples (3-1) et qui jouera sa qualification dans deux semaines au Vélodrome, les Phocéens auront une nouvelle et dernière chance de ne pas finir fanny. Arsenal de son côté tâchera de valider en Italie sa qualification pour les huitièmes de finale aux dépens du Napoli. Un match nul suffira alors au bonheur des Gunners.

Florian THAUVIN:
"C’est vraiment frustrant. On fait un très bon
match et on encaisse un but dans le temps
additionnel, alors qu’on avait bien défendu et
qu’on s’était créé pas mal d’occasions
jusque-là. Mais on n’a pas réussi à les
concrétiser. Quand on perd des points contre
une équipe qui est devant nous au classement
et qui s’éloigne, c’est forcément compliqué.
Mais il reste beaucoup de matches, on n’est
pas encore à la trêve, on a les ressources
pour remonter."
Souleymane DIAWARA:
"C’est vraiment cruel vu la physionomie du
match. On méritait beaucoup mieux que la
défaite. Malheureusement, dans le football,
celui qui domine ne gagne pas tout le temps.
Il ne faut pas baisser la tête, retenir les
bonnes choses, et repartir parce qu’on a un
match important vendredi face à Nantes.
Enyeama est bon, tant mieux pour Lille, mais
c’est frustrant. Il a fait de vrais arrêts, on ne
peut que le féliciter. Mais nous, nous sommes
déçus... À la fin, on ne retient que le résultat."
SalomonKalou :
"Tout nous réussit en ce moment. Nous avons
un état d’esprit de soldats, on se bat
ensemble, on ne lâche rien. Il faut terminer
l’année sur cette lancée."

16h34 - Benarbia est « surpris »

Ali Benarbia ne s'attendait pas à l'annonce du limogeage d'Elie Baup ce samedi, à Marseille : « Moi je suis surpris, reconnait le membre de la Dream Team RMC Sport. C’est vrai qu’Elie Baup n’a pas eu un début de saison évident, même si l’OM ne reste pas loin des quatre premiers. Mais avec la saison qu’il a faite l’année dernière, sous prétexte que ça va un peu moins bien d’un coup, on remet tout en œuvre. J’entendais les dirigeants qui voulaient un travail sur du long terme mais si c’est pour changer d’entraineur… »

16h18 - Anigo jusqu'à la trêve
L'OM a confirmé l'information annoncée par RMC Sport : c'est bien José Anigo qui prend l'intérim. Il remplace Elie Baup au moins jusqu'à la trêve. « José Anigo a accepté de prendre la tête du staff technique jusqu’à la trêve hivernale, précise le club dans un communiqué. Il sera sur le banc dès mercredi soir contre Dortmund. »
16h09 - L'OM confirme le limogeage de Baup

L’Olympique de Marseille vient de confirmer l’information révélée par RMC Sport, annonçant le licenciement d’Elie Baup. Dans le communiqué du club, le dirigeant phocéen Vincent Labrune espère que cette décision servira d’électrochoc : « C’est la décision la plus difficile et douloureuse que j’ai eu à prendre depuis que je dirige le club (…) Elie Baup est unanimement apprécié  pour ses qualités humaines. Personne ne peut oublier le travail qu’il a accompli à l’Olympique de Marseille. Elie nous a permis d’arracher la deuxième place que personne ne nous promettait l’année dernière (…) Mais cette saison, il n’a pas obtenu les résultats attendus.  Un choc psychologique doit avoir lieu pour nous permettre de retrouver toutes nos ambitions. L’équipe n’affiche pas l’envie et la qualité qu’on est en droit d’attendre d’elle, surtout dans un club tel que l’Olympique de Marseille (…) Comme cela est malheureusement le cas dans ces circonstances, le coach paye pour les mauvaises performances, mais j’attends maintenant une réaction très rapide de mes joueurs.»

Promis, il va y avoir «un changement»
FOOT LIGUE DES CHAMPIONS
20H45

Successeur intérimaire d'Elie Baup, José Anigo attend de ses joueurs qu'ils «montrent un autre visage» contre Dortmund après trois défaites en quatre sorties. La qualification n'est plus un enjeu, mais il estime que ce match peut «déterminer la tendance des prochains.»

Reprise le 1er janvier pour les Olympiens
Marseille / Publié le Vendredi 13/12/2013 à 16H40

Les Olympiens ne devront pas trop fêter le passage à la nouvelle année. Après neuf jours de coupure liés à la trêve hivernale, ils reprendront le chemin de l'entraînement le mercredi 1er janvier dans l'après-midi. Ils auront donc quatre jours pour préparer leur premier match de l'année 2014, le 32e de finale de coupe de France face à Reims, au stade Vélodrome.


F.L.

Info exclu : apparemment les prometteurs Bill TUILOMA et Abderrahmane YOUSFI de la réserve se sont entrainés plusieurs jours avec les pros et devraient être du voyage pour Lyon ce dimanche !   

Tommy Allez l'O.M a écrit:Info exclu : apparemment les prometteurs Bill TUILOMA et Abderrahmane YOUSFI de la réserve se sont entrainés plusieurs jours avec les pros et devraient être du voyage pour Lyon ce dimanche !   

ben wouiiiiiiii ce serait excellent que un buteur vienne avec les pros

Oui, donnons la chance aux jeunes un peu !   

Par contre, j'espère qu'on aura un autre entraineur bientot parce que Anigo.. :/ lol

Tommy Allez l'O.M a écrit:Oui, donnons la chance aux jeunes un peu !   

Par contre, j'espère qu'on aura un autre entraineur bientot parce que Anigo.. :/ lol

ben il va vouloir leur donner une ame de guerriers
le seul probleme c'est que c'est qu' une equipe de football   
il faut d'autres arguments techniques tactiques etc.....

COUPE DE LA LIGUE GrâceàMendy et Gignac, les Olympiens ont disposé de Toulouse (2-1) hier, au stade Vélodrome, pour accéder aux
quarts de finale. "Je serai encore l’entraîneur à la reprise", a dit a france 3 José Anigo au terme de la rencontre

OM:unevictoirecomme
cadeaudeNoël?
Il faut absolument prendre les
trois points contre Bordeaux
cet après-midi. Si on ne gagne
pas, on va passer de mauvaises
fêtes de fin d’année!
L’OM (6e) reçoit les Girondins (4es), ce dimanche à 14 heures, au Vélodrome.

Bilan à mi-parcours
Corriger le tir

L’OM doit redresser la barre en championnat lors de la deuxième partie de saison, s’il entend se rapprocher du podium. Pour ce faire, il doit redevenir conquérant à domicile, retrouver sa solidité défensive et s’imposer face aux équipes de tête.
Reconquérir le Vélodrome
Avec quatre victoires, un nul et quatre défaites, l’OM pointe au quatorzième rang du classement des équipes à domicile. Les Olympiens n’ont glané que treize points sur les vingt-sept possibles au Vélodrome. Soit une moyenne de 1,44 points pris par match à la maison. Insuffisant pour nourrir des ambitions.
Il n’est d’ailleurs pas rare de constater que le classement à domicile reflète souvent à peu de choses près le classement général. Cette saison encore ne déroge pas à la règle. Paris (24), Lille (24) et Monaco (23) ont su engranger sur leurs terres, là où l’OM a laissé filer trop de points.
Si les défaites face à ces mêmes Monégasques (1-2) et Parisiens (1-2), deux prétendants au titre, sont toujours présentes dans les mémoires, celles face à Reims (2-3) et au promu nantais (0-1) ont encore du mal à passer. Au lendemain de la dernière citée, Elie Baup était d’ailleurs mis à l’écart. Le revers de trop.
Plus récemment, face à Bordeaux, les coéquipiers de Steve Mandanda ne sont pas passés loin du couperet. Fort heureusement, ils ont trouvé les ressources nécessaires pour s’éviter une cinquième défaite sur leur terrain, en remontant deux buts aux Girondins.
L’OM n’a d’autre possibilité que de redevenir maître à domicile s’il souhaite remonter au classement. Il doit reconquérir le Vélodrome.
Retrouver une assise défensive
Il est coutume de dire que les attaques permettent de gagner des matches, mais que les défenses permettent quant à elles de remporter des titres. Avec vingt buts encaissés depuis le début de la saison, soit un peu plus d’un but par match, les Olympiens sont là encore loin de leurs rivaux. En effet, l’OM pointe à la sixième position du classement des défenses avec ses vingt buts encaissés, loin derrière Lille (, Paris (13) et Monaco (13) qui trustent à nouveau les trois premières places du classement…
Vingt buts, c’est également le nombre de buts que Steve Mandanda avait encaissé la saison dernière à pareille époque. A cette précision près que dix d’entre eux l’avaient été en seulement trois matches, face à Valenciennes (4-1), Lyon (1-4) et Lorient (0-3). Par la suite, l’équipe avait su stopper l’hémorragie, remportant une grande majorité de matches sans encaisser de buts. Les fameuses  "victoires à la marseillaise".
Espérons qu’il en ira de même cette saison, car les Olympiens ont cette fâcheuse tendance à encaisser des buts de manière régulière. Pour preuve, en vingt-six rencontres, toutes compétitions confondues, l’OM n’a réalisé que cinq clean sheets.
A sa décharge, l’arrière-garde marseillaise n’a pas été épargnée par les blessures lors de cette première partie de saison. Lucas Mendes, Souleymane Diawara, Jérémy Morel, Rod Fanni ont effectué des séjours à l’infirmerie, obligeant leurs coaches à devoir remodeler la défense d’un match à l’autre.
La deuxième partie de saison doit être celle du renouveau. L’OM doit retrouver son assise défensive.
S’imposer face aux ténors de la Ligue 1
Si l’OM entend revenir à hauteur des équipes qui le précèdent, à commencer par le LOSC, il devra l’emporter dans les confrontations directes lors des matches retour. Ce qu’il n’a pas su faire lors de cette phase de matches aller.
La statistique est cruelle, mais les Olympiens n’ont battu que deux équipes situées dans la première partie de tableau : Saint-Etienne (2-1) et Lorient (0-2). Pour le reste, cela s’est soldé par des défaites face à Paris, Monaco, Lille, Nantes, Reims et deux résultats nuls face à Lyon et Bordeaux. Soit un bilan de huit points pris sur vingt-sept possibles face au top 10 de la Ligue 1. C’est faible. Trop faible pour espérer concurrencer ces équipes et occuper les premières places.
Dans un championnat aussi serré que l’est la Ligue 1, ces matches face à des adversaires directs sont souvent l’occasion de revenir à leur hauteur, voire de les distancer une bonne fois pour toutes. Des rencontres qui se jouent à peu de choses, à des détails. Pour preuve, l’OM ne s’est toujours incliné que par un petit but d’écart face à ces formations.
Aux hommes de José Anigo de hausser leur niveau de jeu lors de ces matches s’ils entendent s’imposer face aux actuels ténors de la Ligue 1.

Drogba : «Je ne suis jamais parti»
Didier Drogba a quitté sa résidence à Londres pour reprendre ses quartiers à Marseille. La recrue vedette de l'OM raconte son retour, dix ans après son transfert à Chelsea. Ce récit, vous avez rêvé de le lire ? L'Equipe vous le propose dans une édition spéciale.

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Après des passages à Chelsea et Galatasaray, Didier Drogba raconte son retour à Marseille. (L'Equipe)



«Une vague de chaleur enveloppe Londres, ce matin. Mes enfants s’amusent dans le vaste jardin derrière notre maison. Lalla, ma femme, empaquette mes dernières affaires. Un large sourire barre mon visage. Je jette un œil dans le salon où mon portrait, gueule déformée par une joie de buteur, s’affiche sur un mur. J’ai le maillot de l’OM sur le dos. Un maillot ? Non, pardon, une deuxième peau. Je l’ai toujours conservé à proximité comme le souvenir d’un passé scintillant. Pendant des années, je me passais des DVD de mes meilleures performances marseillaises. Ces buts en boucle transformaient mes instants de solitude en bonheur, chassaient mon blues, ce compagnon trop encombrant lors de mes débuts en Angleterre.

Il m’a fallu du temps avant d’accepter définitivement ce départ de l’OM, oublier cette ville magique qui m’a fait roi. Voilà, aurais-je imaginé après un si long voyage qui m’a mené de Londres à Istanbul, en passant par un séjour à Shanghai, revenir à la maison en signant pour deux saisons ? Franchement, je n’y ai jamais vraiment cru avant que José Anigo, mon ancien entraîneur et ami, ne réussisse à me convaincre de reconstituer le duo dissous. Avais-je peur d’égratigner mon image ? Peut-être un peu. Pourquoi briser les souvenirs d’une saison 2003-2004 irréelle par un retour raté ? L’argent ? Ce n’est pas un élément négligeable mais j’en ai gagné beaucoup et une partie de mes gains me sert à la construction d’un hôpital pour enfants défavorisés à Abidjan, le rêve de ma vie.

«Un sentiment d'angoisse surgit soudain»
J’ai finalement accepté le challenge et l’idée d’un come-back me plaît. Ma carrière est un défi à la logique, moi qui ne me suis pointé en Ligue 1 qu’à l’aube de mes vingt-quatre ans. En embarquant dans l’avion privé, des éclairs rejaillissent. Je n’ai demandé qu’une faveur aux dirigeants : je voulais que ma première conférence de presse se déroule au Vélodrome. Un caprice de star ? Certainement pas. Il s’agit plutôt d’une boucle bouclée. Dans mes moments de nostalgie, je revois toujours mon clap de fin à l’OM. J’avais alors demandé à fouler la pelouse, seul. J’avais regardé ces tribunes vidées de leur sève et éclaté en sanglots. Depuis, j’y suis retourné avec Chelsea, en Ligue des champions (OM-Chelsea 1-0, le 8 décembre 2010), le stade a été reconstruit mais je m’accroche à ces vieilles photos patinées par le temps.

Atterrissage dans quelques minutes. Je regarde Thierno Seydi, mon grand frère plus que mon agent, mon complice depuis mes débuts au Mans. On sait tout l’un de l’autre. Entre nous, les mots n’ont aucune importance. Je sais, Thierno, tu dois te dire : "T’y retournes enfin !" La veille de rejoindre Chelsea, en 2004, il dormait sur un canapé dans mon salon, je m’étais réveillé en pleine nuit. "Thierno, je ne pars pas à Londres, je reste à l’OM." Il m’avait renvoyé au lit illico, avait trouvé les mots de réconfort. Tout ça, c’est du passé aujourd’hui…

Un sentiment d’angoisse surgit soudain : et si je m’étais planté en paraphant ce contrat dans le club de mon cœur ? On embellit souvent ses amours de jeunesse. Je ne peux plus reculer, je me redresse sur mon siège. En sortant de la carlingue, je vois les membres de l’OM au pied de l’avion, la voiture sur le tarmac qui m’attend… Des flashs crépitent, des journalistes m’appellent, la passion marseillaise affleure. Je souris. José m’embrasse. Puis m’étreint. “Bienvenue à la maison, Didier.” J’essuie les gouttes d’eau qui humidifient mes pupilles. Ma solide carcasse cache une sensibilité à fleur de peau que je n’ai jamais vraiment pu dompter. Mes émotions ont parfois pris le dessus, même en match, sur la froideur attendue d’un professionnel aguerri. Près du Vélodrome, des supporters me guettent, me saluent. Je m’enfonce dans les couloirs du stade, je ne reconnais plus grand chose. Ça ne me trouble pas, il est toujours sublime. Je me plante dans le rond central, je balaie du regard cet écrin magique. Des larmes coulent. Finalement, rien n’a changé. Je ne suis jamais parti…»
Didier DROGBA [propos imaginés par Hervé PENOT]