SC BASTIA // LIGUE 1 // JOUEURS ET COACHS

ET OUI 2 BUTS A L EXTERIEUR SANS PERDRE C'EST TRES BIEN

CORSICABREIZH a écrit:

CORSICABREIZH a écrit:

merci sebastien
on se rend compte que le sporting communique plus en LIGUE 1 qu'en LIGUE 2
les attentes sont fortes de videos et d'interviews

Face à Troyes, samedi, Ilan pourra marquer son retour. ENFIN

CORSICABREIZH a écrit:
Face à Troyes, samedi, Ilan pourra marquer son retour. ENFIN

il pourrait marquer ... tout court ce serait encore mieux

LE petit fils dans le meme club de son grand pere un autre symbole d'attachement

CORSICABREIZH a écrit:

Si les bastiais vont nettement mieux depuis la claque face au PSG, ils doivent définitivement repartir de l’avant en l’emportant face à Troyes, la lanterne rouge de ce championnat de Ligue 1. Mais méfiance, les joueurs de Jean-Marc Furlan se déplacent à Armand Cesari avec la ferme intention de contrarier les plans bastiais…

A l’issue de l’entrainement de vendredi matin, Frédéric Hantz a convoqué un groupe de dix-sept éléments pour la réception de Troyes.

Les joueurs retenus : Magno Macedo Novaes, Landry Bonnefoi, Julian Palmieri, Gaël Angoula, Sylvain Marchal, Matthieu Sans, Féthi Harek, Jérémy Choplin, Wahbi Khazri, Florian Thauvin, Jérôme Rothen, Sambou Yatabaré, Christophe Vincent, Toifilou Maoulida, Anthony Modeste, Gaëtan Varenne, Joseph Barbato.

Suspendu : Yannick Cahuzac.
Blessés : Salim Moizini (reprise), Yassin El-Azzouzi (reprise), Ilan (adducteurs).
Non-retenus : Olivier Vannucci, François Marque, Maka Mary, Dumè Agostini, Gilles Cioni.

ilan le retour et ben non

veritable bataille pour le maintien il faudra pas laisser un seul point à troyes
ton adversaire est en train de se noyer tu lui envoies pas de bouée

CORSICABREIZH a écrit:Si les bastiais vont nettement mieux depuis la claque face au PSG, ils doivent définitivement repartir de l’avant en l’emportant face à Troyes, la lanterne rouge de ce championnat de Ligue 1. Mais méfiance, les joueurs de Jean-Marc Furlan se déplacent à Armand Cesari avec la ferme intention de contrarier les plans bastiais…

A l’issue de l’entrainement de vendredi matin, Frédéric Hantz a convoqué un groupe de dix-sept éléments pour la réception de Troyes.

Les joueurs retenus : Magno Macedo Novaes, Landry Bonnefoi, Julian Palmieri, Gaël Angoula, Sylvain Marchal, Matthieu Sans, Féthi Harek, Jérémy Choplin, Wahbi Khazri, Florian Thauvin, Jérôme Rothen, Sambou Yatabaré, Christophe Vincent, Toifilou Maoulida, Anthony Modeste, Gaëtan Varenne, Joseph Barbato.

Suspendu : Yannick Cahuzac.
Blessés : Salim Moizini (reprise), Yassin El-Azzouzi (reprise), Ilan (adducteurs).
Non-retenus : Olivier Vannucci, François Marque, Maka Mary, Dumè Agostini, Gilles Cioni.

st priest l'ile rousse puis rodez j'ai du le voir jouer plussieurs fois en cfa ou national de 2002 à 2007

CORSICABREIZH a écrit:

Frédéric Hantz : Face à Troyes," il faut ca-pi-ta-liser !"
Football · SCB · 10-2012

Frédéric Hantz réfute l'étiquette de favori pour son équipe avant la venue de Troyes, la lanterne rouge du championnat de France de Ligue 1, samedi à 20 heures à Furiani. Face à un adversaire qui a plus besoin de points que le SCB, l'entraîneur corse préfère plutôt focaliser sur les moyens à mettre en œuvre pour l'emporter que sur la position de Troyes au classement…
"Favoris? Non ". Frédéric Hantz ne l'entend pas de cette oreille. Certes les rencontres face à Metz et surtout contre Nice ont permis au Sporting de se rassérener après une période plutôt difficile mais si une victoire en coupe de la Ligue, face à l'une des meilleures équipes du National, et un partage des points, obtenu dans les conditions que l'on sait de l'autre côté de la Méditerranée, ont suffi a requinquer un groupe qui n'avait plus été habitué à être fragilisé de la sorte, Hantz ne veut pas pour autant croire que c'est arrivé.
"A Nice nous avons disputé un très bon match dans l'implication. Il nous a peut-etre manqué un peu de fluidité offensive, mais d'une façon générale la rencontre nous a permis de parfaitement repérer ce que l'on doit mettre en œuvre pour l'emporter".
Et Hantz aimerait bien que son équipe mette en pratique ce que le match de Metz mais surtout celui de Nice lui a apporté.
C'est Fethi Harek qui vendredi matin disait que le Sporting commençait à retenir les leçons de la Ligue 1.
Face à Troyes il faudra commencer à les réciter en allaint, ainsi que le préconise Hantz, la vigilance défensive aux moyens que son équipe se donnera au plan offensif.
Le groupe du Sporting :
Novaes, Bonnefoi, Angoula, Marchal, Choplin, Sans, Harek, Rothen, Yatabaré, Vincent, Thauvin; Khazri, Palmieri, Modeste, Maoulida, Varenne, Barbato.
A noter que Ilan, toujours en délicatesse avec ses adducteurs, se rendra en soins à Clairefontaine et que Gilles Cioni , qui a besoin de temps de jeu, a été laissé une fois encore à la disposition de l'équipe de CFA 2.

Créé le 07/10/2012 - 22:26
Bastia: Sablé va s’engager
Julien Sablé se rendra mardi à Bastia pour passer sa visite médicale, annonce le site du club corse. L’ancien Stéphanois, libre de tout contrat, s’est mis d’accord pour un contrat de neuf mois avec l’actuel 13e de Ligue 1.

FOOT/ Estac/ Rien ne leur sera épargné
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Publié le dimanche 07 octobre 2012 à 09H00 - Vu 801 fois


Le déplacement en Corse a tourné au cauchemar pour les Troyens de Julien Faussurier. Injustement réduits à neuf contre onze, ils ont craqué en toute fin de match


LIGUE 1 (8e journée) BASTIA 3-2 ESTAC Revenue deux fois au score à Furiani, réduite à neuf en seconde période, l'Estac a cédé dans les toutes dernières minutes. Cruel...

L'Estac termine ses deux premiers mois de compétition complètement éreintée. Elle est ce matin lanterne rouge décrochée (six unités de retard sur le premier non relégable) et peut se demander ce qu'elle doit faire pour prendre des points. Elle avait des blessés en pagaille en défense, elle a terminé à neuf (ce n'est pas loin d'être un scandale). Et c'est le serpent qui se mord la queue car parce qu'elle devra de nouveau tout remodeler pour la venue de Marseille dans deux semaines. Personne ne voit la sortie de ce long tunnel. La trêve internationale va permettre au moins de tout poser sur la table pour essayer de trouver des solutions et prendre un autre départ. Pour cela, il ne faudra pas trop regarder le calendrier à venir (OM, Reims, Montpellier, Saint-Etienne)…
Hier soir, elle de nouveau vécu un match au scénario incroyable, avec l'arbitre en rôle central de la partie.
Ça n'exonère pas l'équipe troyenne de ses propres erreurs bien sûr. « Zéro faute directe », avait martelé Furlan. Raté. Elle s'est une nouvelle fois mise dans le pétrin toute seule en offrant deux nouveaux cadeaux à l'adversaire (17e, 37e). Rincon en est déjà à deux buts contre son camp en huit matches, comme un symbole de toute la détresse troyenne en ce début de saison maudit. Les absences en charnière centrale ont contraint l'entraîneur troyen à bricoler, et le bricolage s'est vite fissuré. Dommage car, à côté de cela, l'Estac a montré une grande qualité de cœur, mais aussi de lucidité pour revenir. Un doublé pour Marcos (25e, 48e), dans la ferveur de Furiani, ce n'est pas rien.


Compensation


Mais c'est tout de même insensé que l'Estac termine cette rencontre à neuf. L'arbitre a sifflé deux penaltys qui n'y étaient pas, Bastia a manqué le sien, ok, mais ce sont les Troyens qui se sont retrouvés à neuf dès la 68e. La compensation pour le penalty de l'égalisation a commencé par l'expulsion de N'Sakala puis ce fut double faute sur celle de Thiago ; ça fait beaucoup. Malgré cela, on a vraiment cru un moment que l'Estac allait tenir ce 2-2 car les Bastiais se précipitaient pour marquer, et l'équipe troyenne ne lâchait pas un pouce de terrain. Mais 25 minutes à neuf contre onze, c'est long, très long. Et les Corses, tout aussi généreux dans l'effort, ont fini par trouver la faille sur un énième centre. Maoulida a crucifié Thuram à la 88e minute. Et on s'est dit que l'Estac avait à peu près connu tous les malheurs possibles en seulement huit matches.


Le film du match

Au stade Armand-Cesari. Estac-Bastia : 3-2 (2-1). Arbitre : M. Lesage. 15 000 spectateurs Avertissements : Angoula (33e), Choplin (47e) à Bastia. Expulsions : N'Sakala (52e), Thiago (68e) à l'Estac. Buts : Rincon (18e, csc), Modeste (38e), Maoulida (88e) pour Bastia. Marcos (26e, 48e sp.) pour l'Estac
Bastia : Novaes - Angoula, Marchal, Choplin, Harek (cap.) (Barbato 78e) - Khazri, Rothen, Palmieri, Maoulida (Sans 92e) - Yatabaré (Thauvin 46e), Modeste. Entraîneur : Frédéric Hantz
Estac : Thuram-Ulien - Faussurier, Rincon, Colin, N'Sakala - Thiago, N'Goyi - Bahebeck (Camus 75e), Yattara, Marcos (cap.) (Jarjat 85e) - Grax (Othon 58e). Entraîneur : Jean-Marc Furlan
5e : Sur sa ligne, Marcos repousse (le bras collé au corps) une reprise de Yatabaré.
9e : Marchal place un coup de tête sur un ballon boxé par Thuram-Ulien. Qui est là pour sauver sur sa ligne ? Marcos…
15e : l'inévitable Marcos dégage, devant Thuram-Ulien, un tir de Marchal
18e : mauvais renvoi de Colin. Yatabaré en profite pour adresser, de la droite, un centre à ras de terre que Rincon dévie dans ses propres filets (0-1)
26e : Bahebeck centre de la droite vers Thiago. Libre de tout marquage, il adresse une tête que Novaes repousse difficilement. Marcos est à l'affût pour tacler le ballon qui heurte le poteau rentrant (1-1)
36e : festival de dribbles de Bahebeck qui cafouille au moment de frapper
37e : centre de Khazri. Colin laisse échapper le ballon et Modeste conclut (2-1)
48e : Bahebeck tombe dans la surface sans avoir été déséquilibré. Le penalty sifflé par l'arbitre est transformé à contre-pied par Marcos (2-2)
52e : N'Sakala est expulsé pour une simple obstruction, l'arbitre le jugeant dernier défenseur.
68e : penalty imaginaire sifflé contre Thiago alors que le ballon est venu lui heurter la poitrine. Le Brésilien est exclu, mais Thuram-Ulien repousse le penalty de Modeste
88e : réduite à neuf, l'équipe troyenne fait bloc jusqu'à ce coup de tête plongeante de Maoulida qui trompe Thuram (3-2)

l'arbitre aurait sa grand mere corse que ca m'etonnerait pas

CORSICABREIZH a écrit:FOOT/ Estac/ Rien ne leur sera épargné
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Publié le dimanche 07 octobre 2012 à 09H00 - Vu 801 fois


Le déplacement en Corse a tourné au cauchemar pour les Troyens de Julien Faussurier. Injustement réduits à neuf contre onze, ils ont craqué en toute fin de match


LIGUE 1 (8e journée) BASTIA 3-2 ESTAC Revenue deux fois au score à Furiani, réduite à neuf en seconde période, l'Estac a cédé dans les toutes dernières minutes. Cruel...

L'Estac termine ses deux premiers mois de compétition complètement éreintée. Elle est ce matin lanterne rouge décrochée (six unités de retard sur le premier non relégable) et peut se demander ce qu'elle doit faire pour prendre des points. Elle avait des blessés en pagaille en défense, elle a terminé à neuf (ce n'est pas loin d'être un scandale). Et c'est le serpent qui se mord la queue car parce qu'elle devra de nouveau tout remodeler pour la venue de Marseille dans deux semaines. Personne ne voit la sortie de ce long tunnel. La trêve internationale va permettre au moins de tout poser sur la table pour essayer de trouver des solutions et prendre un autre départ. Pour cela, il ne faudra pas trop regarder le calendrier à venir (OM, Reims, Montpellier, Saint-Etienne)…
Hier soir, elle de nouveau vécu un match au scénario incroyable, avec l'arbitre en rôle central de la partie.
Ça n'exonère pas l'équipe troyenne de ses propres erreurs bien sûr. « Zéro faute directe », avait martelé Furlan. Raté. Elle s'est une nouvelle fois mise dans le pétrin toute seule en offrant deux nouveaux cadeaux à l'adversaire (17e, 37e). Rincon en est déjà à deux buts contre son camp en huit matches, comme un symbole de toute la détresse troyenne en ce début de saison maudit. Les absences en charnière centrale ont contraint l'entraîneur troyen à bricoler, et le bricolage s'est vite fissuré. Dommage car, à côté de cela, l'Estac a montré une grande qualité de cœur, mais aussi de lucidité pour revenir. Un doublé pour Marcos (25e, 48e), dans la ferveur de Furiani, ce n'est pas rien.


Compensation


Mais c'est tout de même insensé que l'Estac termine cette rencontre à neuf. L'arbitre a sifflé deux penaltys qui n'y étaient pas, Bastia a manqué le sien, ok, mais ce sont les Troyens qui se sont retrouvés à neuf dès la 68e. La compensation pour le penalty de l'égalisation a commencé par l'expulsion de N'Sakala puis ce fut double faute sur celle de Thiago ; ça fait beaucoup. Malgré cela, on a vraiment cru un moment que l'Estac allait tenir ce 2-2 car les Bastiais se précipitaient pour marquer, et l'équipe troyenne ne lâchait pas un pouce de terrain. Mais 25 minutes à neuf contre onze, c'est long, très long. Et les Corses, tout aussi généreux dans l'effort, ont fini par trouver la faille sur un énième centre. Maoulida a crucifié Thuram à la 88e minute. Et on s'est dit que l'Estac avait à peu près connu tous les malheurs possibles en seulement huit matches.


Le film du match

Au stade Armand-Cesari. Estac-Bastia : 3-2 (2-1). Arbitre : M. Lesage. 15 000 spectateurs Avertissements : Angoula (33e), Choplin (47e) à Bastia. Expulsions : N'Sakala (52e), Thiago (68e) à l'Estac. Buts : Rincon (18e, csc), Modeste (38e), Maoulida (88e) pour Bastia. Marcos (26e, 48e sp.) pour l'Estac
Bastia : Novaes - Angoula, Marchal, Choplin, Harek (cap.) (Barbato 78e) - Khazri, Rothen, Palmieri, Maoulida (Sans 92e) - Yatabaré (Thauvin 46e), Modeste. Entraîneur : Frédéric Hantz
Estac : Thuram-Ulien - Faussurier, Rincon, Colin, N'Sakala - Thiago, N'Goyi - Bahebeck (Camus 75e), Yattara, Marcos (cap.) (Jarjat 85e) - Grax (Othon 58e). Entraîneur : Jean-Marc Furlan
5e : Sur sa ligne, Marcos repousse (le bras collé au corps) une reprise de Yatabaré.
9e : Marchal place un coup de tête sur un ballon boxé par Thuram-Ulien. Qui est là pour sauver sur sa ligne ? Marcos…
15e : l'inévitable Marcos dégage, devant Thuram-Ulien, un tir de Marchal
18e : mauvais renvoi de Colin. Yatabaré en profite pour adresser, de la droite, un centre à ras de terre que Rincon dévie dans ses propres filets (0-1)
26e : Bahebeck centre de la droite vers Thiago. Libre de tout marquage, il adresse une tête que Novaes repousse difficilement. Marcos est à l'affût pour tacler le ballon qui heurte le poteau rentrant (1-1)
36e : festival de dribbles de Bahebeck qui cafouille au moment de frapper
37e : centre de Khazri. Colin laisse échapper le ballon et Modeste conclut (2-1)
48e : Bahebeck tombe dans la surface sans avoir été déséquilibré. Le penalty sifflé par l'arbitre est transformé à contre-pied par Marcos (2-2)
52e : N'Sakala est expulsé pour une simple obstruction, l'arbitre le jugeant dernier défenseur.
68e : penalty imaginaire sifflé contre Thiago alors que le ballon est venu lui heurter la poitrine. Le Brésilien est exclu, mais Thuram-Ulien repousse le penalty de Modeste
88e : réduite à neuf, l'équipe troyenne fait bloc jusqu'à ce coup de tête plongeante de Maoulida qui trompe Thuram (3-2)

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LE FILOU DE MAYOTTE IL EST ENOOOOORME
ON ADORE

CORSICABREIZH a écrit:[img][/img]

Julien Sablé : « L’opportunité qui me fera vibrer »
U 9 oct 2012 da CC in Actualité, Actualité, Attualità

Julien Sablé, présent au stade Armand Cesari ce matin, a passé la visite médicale avec succès. Il portera le numéro 4 jusqu’à la fin de saison en tentera d’apporter toute son expérience à l’effectif bastiais. Retrouvez sa présentation ainsi que ses premières impressions en vidéo.

L'ancien niçois Julien Sablé qui était sans club depuis le mois de Juin dernier vient d'être engagé par le Sporting ciub. Avant d'apposer sa signature au bas du contrat que lui propose le club corse, il nous parle des sentiments par lesquels il est placé au cours de cette longue période d'inaction au cours de laquelle il s'est malgré tout préparé entre Saint-Raphaël et Saint-Etienne où il a évolué pendant 10 ans.

Palmieri, une addition corséeAujourd'hui l'un des Bastiais les plus en vue, le milieu de terrain Julian Palmieri a connu pas mal de galères avant de découvrir enfin la Ligue 1. Portrait.
Julian Palmieri croque la Ligue 1 à pleines dents. (L'Equipe)




Envoyer à un ami
On peut dire de ce garçon qu'il est revenu de nulle part, mais qu'il a toujours très bien su où il voulait aller. Nulle part, c'est par exemple les quais de chargement à Lyon où Julian Palmieri s'est retrouvé, six mois durant, à remplir des cuves d'essence. Là où ce natif d'Omessa voulait aller, c'était Bastia, rien que Bastia, et la Ligue 1, un jour, en point d'horizon. Aujourd'hui, le jeune milieu offensif (25 ans) y est, et il y est même très bien, puisqu'on voit en lui l'un - si ce n'est le - des meilleurs Bastiais depuis le début de saison. «Globalement, je suis content mais si je commence à gamberger au bout de huit matches, je me relâche et c'est mort, dit l'intéressé. J'ai tout à prouver en Ligue 1. J'ai les dents qui rayent le parquet, je suis un mort de faim. Maintenant que j'y suis, je ne veux pas lâcher.» On le serait à moins, vu son parcours. «J'ai déjà pas mal bourlingué, ça change un peu des footballeurs d'aujourd'hui, dit-il volontiers. Ceci dit, un parcours un peu plus simple, ça aurait été moralement plus sympathique car je suis passé par des moments peu glorieux.»
«Je savais au fond de moi que j'allais rejouer au football parce que je ne voulais faire que ça, j'aimais ce sport plus que tout et j'espérais qu'un jour il me le rendrait.»Dans cette colonne, évidemment, ses huit mois de suspension après son passage à Crotone (Serie B italienne), parce qu'il ne respecte pas sa deuxième année de contrat. Les cuves d'essence, c'est là. «J'avais pris des kilos, je buvais, mes proches me disaient que j'étais tombé dans une sale vie, à 19 ans. Mais je savais au fond de moi que j'allais rejouer au football parce que je ne voulais faire que ça, j'aimais ce sport plus que tout et j'espérais qu'un jour il me le rendrait. Je n'avais qu'une idée : finir mes 8 mois, et montrer au foot français que je pouvais revenir au plus haut niveau.» Dans cette colonne aussi, pour ce joueur pré-formé à l'OL et formé à Bastia, le souvenir de ne pas y avoir signé pro en 2006, sous la baguette d'un certain Bernard Casoni. «Il était hors de question que je revienne tant qu'il était là. Il m'avait vraiment fait du mal, et par la suite, j'ai fait le tour de la France pour me dégoter un club. Au final, je me suis retrouvé en Calabre. Oui, j'ai ressenti de la fierté, comme si je disais : "tu vois, tu m'as rejeté en Ligue 2, me revoilà en Ligue 1. Et toi tu n'y es plus, et moi j'y suis."»
Il n'a pas hésité non plus à y revenir quand il a vu que sur son flanc gauche, un certain Wahbi Khazri flambait : «Le mec à ta place, ton but, c'est de le déloger. En plus, Wahbi est un mec super et un bosseur. Je souhaite qu'il y arrive mais on peut jouer à deux aussi, comme contre Troyes. Ceci dit, je n'accepterai pas d'être son faire-valoir ou seulement celui qui le remplacera quand il est suspendu...» La galère nourrit l'appétit, forcément, de ce garçon qui «aimerait faire toute [s]a carrière au Sporting». «Mais c'est sûr que si un club de haut de tableau t'appelle et te double ton salaire... En France ça resterait Lyon, là où j'ai suivi ma pré-formation. J'ai fait Lyon, Bastia, Istres, puis Istres, Bastia... Donc qui sait, un jour je reviendrai peut-être à Lyon. Mais avant ça, je vous le dis, il reste pas mal de boulot». Tellement évident qu'on rechigne à l'écrire : ce n'est pas ça qui lui fait peur.

moi je l'avais vu avec istres et je le trouvais tres battant

mais j'avais lu des com de supporters qui le detestaient

en fait ils se sont trompé car il a un sacré temperament moi j'aime bien

CORSICABREIZH a écrit:Palmieri, une addition corséeAujourd'hui l'un des Bastiais les plus en vue, le milieu de terrain Julian Palmieri a connu pas mal de galères avant de découvrir enfin la Ligue 1. Portrait.
Julian Palmieri croque la Ligue 1 à pleines dents. (L'Equipe)




Envoyer à un ami
On peut dire de ce garçon qu'il est revenu de nulle part, mais qu'il a toujours très bien su où il voulait aller. Nulle part, c'est par exemple les quais de chargement à Lyon où Julian Palmieri s'est retrouvé, six mois durant, à remplir des cuves d'essence. Là où ce natif d'Omessa voulait aller, c'était Bastia, rien que Bastia, et la Ligue 1, un jour, en point d'horizon. Aujourd'hui, le jeune milieu offensif (25 ans) y est, et il y est même très bien, puisqu'on voit en lui l'un - si ce n'est le - des meilleurs Bastiais depuis le début de saison. «Globalement, je suis content mais si je commence à gamberger au bout de huit matches, je me relâche et c'est mort, dit l'intéressé. J'ai tout à prouver en Ligue 1. J'ai les dents qui rayent le parquet, je suis un mort de faim. Maintenant que j'y suis, je ne veux pas lâcher.» On le serait à moins, vu son parcours. «J'ai déjà pas mal bourlingué, ça change un peu des footballeurs d'aujourd'hui, dit-il volontiers. Ceci dit, un parcours un peu plus simple, ça aurait été moralement plus sympathique car je suis passé par des moments peu glorieux.»
«Je savais au fond de moi que j'allais rejouer au football parce que je ne voulais faire que ça, j'aimais ce sport plus que tout et j'espérais qu'un jour il me le rendrait.»Dans cette colonne, évidemment, ses huit mois de suspension après son passage à Crotone (Serie B italienne), parce qu'il ne respecte pas sa deuxième année de contrat. Les cuves d'essence, c'est là. «J'avais pris des kilos, je buvais, mes proches me disaient que j'étais tombé dans une sale vie, à 19 ans. Mais je savais au fond de moi que j'allais rejouer au football parce que je ne voulais faire que ça, j'aimais ce sport plus que tout et j'espérais qu'un jour il me le rendrait. Je n'avais qu'une idée : finir mes 8 mois, et montrer au foot français que je pouvais revenir au plus haut niveau.» Dans cette colonne aussi, pour ce joueur pré-formé à l'OL et formé à Bastia, le souvenir de ne pas y avoir signé pro en 2006, sous la baguette d'un certain Bernard Casoni. «Il était hors de question que je revienne tant qu'il était là. Il m'avait vraiment fait du mal, et par la suite, j'ai fait le tour de la France pour me dégoter un club. Au final, je me suis retrouvé en Calabre. Oui, j'ai ressenti de la fierté, comme si je disais : "tu vois, tu m'as rejeté en Ligue 2, me revoilà en Ligue 1. Et toi tu n'y es plus, et moi j'y suis."»
Il n'a pas hésité non plus à y revenir quand il a vu que sur son flanc gauche, un certain Wahbi Khazri flambait : «Le mec à ta place, ton but, c'est de le déloger. En plus, Wahbi est un mec super et un bosseur. Je souhaite qu'il y arrive mais on peut jouer à deux aussi, comme contre Troyes. Ceci dit, je n'accepterai pas d'être son faire-valoir ou seulement celui qui le remplacera quand il est suspendu...» La galère nourrit l'appétit, forcément, de ce garçon qui «aimerait faire toute [s]a carrière au Sporting». «Mais c'est sûr que si un club de haut de tableau t'appelle et te double ton salaire... En France ça resterait Lyon, là où j'ai suivi ma pré-formation. J'ai fait Lyon, Bastia, Istres, puis Istres, Bastia... Donc qui sait, un jour je reviendrai peut-être à Lyon. Mais avant ça, je vous le dis, il reste pas mal de boulot». Tellement évident qu'on rechigne à l'écrire : ce n'est pas ça qui lui fait peur.

A l’issue de l’entrainement de vendredi matin, Frédéric Hantz a convoqué un groupe de quinze éléments pour le match amical face à Istres.

Les joueurs retenus : Magno Macedo Novaes, Dume Agostini, Gaël Angoula, François Marque, Matthieu Sans, Féthi Harek, Jérémy Choplin, Mathias Llambrich, Wahbi Khazri, Julian Palmieri, Florian Thauvin, Julien Sablé, Toifilou Maoulida, Anthony Modeste, Joris Correa.

Blessés : Salim Moizini (reprise), Yassin El-Azzouzi (reprise), Ilan (adducteurs), Sylvain Marchal (hématome cuisse), Sambou Yatabaré (hématome cuisse), Yannick Cahuzac (douleur genou), Jérôme Rothen (lumbago)
Mis à disposition de la réserve (amical face au GFCA) : Olivier Vannucci, Christophe Vincent, Maka Mary, Landry Bonnefoi, Gilles Cioni, Gaëtan Varenne.