ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Le Toulousain Olivier Sadran, patron de Newrest, décroche un marché d'un milliard d'euros
Publié le 03/07/2013 à 08:03, Mis à jour le 03/07/2013 à 10:52 | 22
restauration
Olivier Sadran, président de Newrest et du TFC/DDM M.L.
Le groupe toulousain Newrest vient de décrocher un contrat de près d’un milliard d’euros auprès de la SNCF. La société dirigée par Olivier Sadran a coiffé tous ses concurrents sur le poteau pour la restauration à bord des TGV et des trains.
Officiellement la SNCF ne dévoile rien avant le 15 juillet. Mais c’est bien la société toulousaine Newrest qui a remporté l’énorme appel d’offres de la SNCF pour gérer la restauration à bord des TGV et des trains inter-cités. Le contrat est gigantesque puisqu’il avoisine le milliard d’euros sur cinq ans. La fourchette est comprise entre 850 M€ et 955 millions d’euros. Afin de mettre toutes les chances de son côté le spécialiste toulousain du catering aérien et ferroviaire s’est associé avec Elior, géant de la restauration collective présent notamment à l’aéroport de Toulouse-Blagnac. Olivier Sadran, patron de Newrest, a également eu l’habileté d’associer à son offre des marques de restaurations hors foyer comme le boulanger Paul ou encore DailyMonop. Un faisceau d’atouts qui a permis à la coentreprise menée par le Toulousain d’évincer son concurrent, l’Italien Cremonini, actuel titulaire du marché.
Le Thalys et le Renfe espagnol dans le collimateur
Le passage de relais entre les deux compétiteurs doit se faire au mois de novembre prochain et le nouveau contrat prendra une forme originale. La coentreprise Newrest-Elior fournira en effet la SNCF en sandwichs, boissons et restaurations. C’est bien la SNCF qui achètera les produits vendus dans les trains à Newrest. Via sa filiale CRM, la SNCF gérera donc en direct les stocks. Mais c’est bien sûr toute la ligne que Newrest a raflé la mise. Le groupe toulousain a remporté les trois lots soumis à appel d’offres. Le premier, de cinq ans (plus deux ans renouvelables), concerne la gestion du personnel. Le second, (trois ans plus deux ans renouvelables) porte sur l’offre de produits et services.
Même le troisième lot a été raflé par Newrest. Il concernait Alleo, la filiale commune entre la SNCF et la Deutsche Bahn qui relie la France à l’Allemagne. On mangera Newrest sur tout le réseau ferré français et même outre Rhin sauf sur les trains IDTGV.
Face à lui, le Toulousain avait pourtant de sérieux concurrents à commencer par Servair (filiale d’Air France) ou Casino Restauration. Selon nos informations, l’Italien Cremonini était en lice mais la SNCF a dû essuyer trop de critiques de clients sur cet opérateur qui l’ont disqualifié. «Le conseil d’administration a validé l’appel d’offres en cours et le choix de travailler avec Newrest et non plus avec Cremonini à partir du 3 novembre, a expliqué hier Gildas Le Gouvello, représentant CFDT-restauration à la SNCF. Le choix de la SNCF est un choix logique. On a été victimes pendant quatre ans d’un contrat de dumping et cet appel d’offres sort l’activité de l’impasse dans laquelle elle était». Ce succès commercial en appellera certainement d’autres. Décrocher une référence du niveau de la SNCF va imposer Newrest comme un acteur incontournable de la restauration ferroviaire. De tempérament conquérant, Olivier Sadran, compte aussi se positionner sur d’autres réseaux comme celui du Thalys (TGV Paris-Bruxelles-Amsterdam) au Benelux ou de la Renfe en Espagne.
Ces nouveaux marchés seront toujours attaqués avec la co-entreprise construite avec Elior. Cette dernière est détenue à 65 % par le Toulousain Newrest et à 35 % par Elior.
750 000 repas fournis par jour
Newrest devient un poids lourd de la restauration où il intervient dans tous les domaines. Depuis 2010, date à laquelle le Toulousain a racheté la compagnie des wagons-lits, chaque jour, ce sont 25 000 passagers des trains (+8 000 voyageurs de trains de nuit) qui mangent grâce à Newrest. S’ajoute à cette activité, le marché historique de la restauration à bord des avions auprès de 450 compagnies aériennes dans le monde entier. 400 000 passagers mangent quotidiennement les plateaux-repas de Newrest. Cette activité représente 66 % de l’activité du groupe. Le rail pèse 6,2 % du chiffre d’affaires contre 19,1 % pour les bases de vie (champs pétroliers, miniers, etc.). La restauration collective auprès des établissements de santé, scolaires ou encore les administrations et entreprises représentent, elle, 750 000 repas par jour. En 2012, Newrest a réalisé un chiffre d’affaires proche du milliard d’euros avec 987,30 M€ et emploie 23 000 salariés.
Olivier Sadran vole de succès en succès
Joint hier par téléphone alors qu’il était en voyage d’affaires au Moyen-Orient, Olivier Sadran n’a pas souhaité commenter le contrat géant. «La décision officielle de la SNCF sera notifiée mi-juillet. D’ici là, je ne peux rien dire» a glissé le chef d’entreprise. La société toulousaine et son patron ont la réussite discrète.
Installés sur les boulevards toulousains, les bureaux abritent pourtant un des premiers acteurs du marché du catering aérien et de la restauration collective. «Nous fournissons des repas aux compagnies aériennes et nous créons des bases de vie pour nos clients dans des zones souvent reculées» résume celui qui est aussi le président du Toulouse Football club (TFC).
À 43 ans, Olivier Sadran s’est fait tout seul. C’est en vendant des sandwichs aux ouvriers de la première ligne de métro qu’a débuté la saga. Le jeune Toulousain a alors l’idée de s’attaquer à un marché très verrouillé : celui du catering aérien. Il crée Catair en 1996 devenue aujourd’hui Newrest. Il a dû jouer des coudes à l’aéroport de Toulouse-Blagnac pour fournir les premiers plateaux-repas. Mais en sportif accompli et têtu en affaires, Olivier Sadran a parcouru le monde pour internationaliser à pas de géant sa société. Le groupe toulousain s’apprête à franchir le milliard d’euros de chiffre d’affaires. Beau parcours pour cet autodidacte qui ne goûte pas les réseaux toulousains. Quand on lui demande si ce n’est pas trop difficile de s’attaquer à des marchés à des milliers de kilomètres de Toulouse, la réponse fuse. «Je préfère m’attaquer à ces marchés plutôt qu’au business cassoulet de Toulouse. Ici, on ne reconnaît pas l’esprit entrepreneurial» regrette-t-il. Cet été, il risque fort de fêter ce nouveau succès avec ses amis proches autour d’un treck ou d’un raid à vélo. Façon Sadran !
Publié le 03/07/2013 à 08:03, Mis à jour le 03/07/2013 à 10:52 | 22
restauration
Olivier Sadran, président de Newrest et du TFC/DDM M.L.
Le groupe toulousain Newrest vient de décrocher un contrat de près d’un milliard d’euros auprès de la SNCF. La société dirigée par Olivier Sadran a coiffé tous ses concurrents sur le poteau pour la restauration à bord des TGV et des trains.
Officiellement la SNCF ne dévoile rien avant le 15 juillet. Mais c’est bien la société toulousaine Newrest qui a remporté l’énorme appel d’offres de la SNCF pour gérer la restauration à bord des TGV et des trains inter-cités. Le contrat est gigantesque puisqu’il avoisine le milliard d’euros sur cinq ans. La fourchette est comprise entre 850 M€ et 955 millions d’euros. Afin de mettre toutes les chances de son côté le spécialiste toulousain du catering aérien et ferroviaire s’est associé avec Elior, géant de la restauration collective présent notamment à l’aéroport de Toulouse-Blagnac. Olivier Sadran, patron de Newrest, a également eu l’habileté d’associer à son offre des marques de restaurations hors foyer comme le boulanger Paul ou encore DailyMonop. Un faisceau d’atouts qui a permis à la coentreprise menée par le Toulousain d’évincer son concurrent, l’Italien Cremonini, actuel titulaire du marché.
Le Thalys et le Renfe espagnol dans le collimateur
Le passage de relais entre les deux compétiteurs doit se faire au mois de novembre prochain et le nouveau contrat prendra une forme originale. La coentreprise Newrest-Elior fournira en effet la SNCF en sandwichs, boissons et restaurations. C’est bien la SNCF qui achètera les produits vendus dans les trains à Newrest. Via sa filiale CRM, la SNCF gérera donc en direct les stocks. Mais c’est bien sûr toute la ligne que Newrest a raflé la mise. Le groupe toulousain a remporté les trois lots soumis à appel d’offres. Le premier, de cinq ans (plus deux ans renouvelables), concerne la gestion du personnel. Le second, (trois ans plus deux ans renouvelables) porte sur l’offre de produits et services.
Même le troisième lot a été raflé par Newrest. Il concernait Alleo, la filiale commune entre la SNCF et la Deutsche Bahn qui relie la France à l’Allemagne. On mangera Newrest sur tout le réseau ferré français et même outre Rhin sauf sur les trains IDTGV.
Face à lui, le Toulousain avait pourtant de sérieux concurrents à commencer par Servair (filiale d’Air France) ou Casino Restauration. Selon nos informations, l’Italien Cremonini était en lice mais la SNCF a dû essuyer trop de critiques de clients sur cet opérateur qui l’ont disqualifié. «Le conseil d’administration a validé l’appel d’offres en cours et le choix de travailler avec Newrest et non plus avec Cremonini à partir du 3 novembre, a expliqué hier Gildas Le Gouvello, représentant CFDT-restauration à la SNCF. Le choix de la SNCF est un choix logique. On a été victimes pendant quatre ans d’un contrat de dumping et cet appel d’offres sort l’activité de l’impasse dans laquelle elle était». Ce succès commercial en appellera certainement d’autres. Décrocher une référence du niveau de la SNCF va imposer Newrest comme un acteur incontournable de la restauration ferroviaire. De tempérament conquérant, Olivier Sadran, compte aussi se positionner sur d’autres réseaux comme celui du Thalys (TGV Paris-Bruxelles-Amsterdam) au Benelux ou de la Renfe en Espagne.
Ces nouveaux marchés seront toujours attaqués avec la co-entreprise construite avec Elior. Cette dernière est détenue à 65 % par le Toulousain Newrest et à 35 % par Elior.
750 000 repas fournis par jour
Newrest devient un poids lourd de la restauration où il intervient dans tous les domaines. Depuis 2010, date à laquelle le Toulousain a racheté la compagnie des wagons-lits, chaque jour, ce sont 25 000 passagers des trains (+8 000 voyageurs de trains de nuit) qui mangent grâce à Newrest. S’ajoute à cette activité, le marché historique de la restauration à bord des avions auprès de 450 compagnies aériennes dans le monde entier. 400 000 passagers mangent quotidiennement les plateaux-repas de Newrest. Cette activité représente 66 % de l’activité du groupe. Le rail pèse 6,2 % du chiffre d’affaires contre 19,1 % pour les bases de vie (champs pétroliers, miniers, etc.). La restauration collective auprès des établissements de santé, scolaires ou encore les administrations et entreprises représentent, elle, 750 000 repas par jour. En 2012, Newrest a réalisé un chiffre d’affaires proche du milliard d’euros avec 987,30 M€ et emploie 23 000 salariés.
Olivier Sadran vole de succès en succès
Joint hier par téléphone alors qu’il était en voyage d’affaires au Moyen-Orient, Olivier Sadran n’a pas souhaité commenter le contrat géant. «La décision officielle de la SNCF sera notifiée mi-juillet. D’ici là, je ne peux rien dire» a glissé le chef d’entreprise. La société toulousaine et son patron ont la réussite discrète.
Installés sur les boulevards toulousains, les bureaux abritent pourtant un des premiers acteurs du marché du catering aérien et de la restauration collective. «Nous fournissons des repas aux compagnies aériennes et nous créons des bases de vie pour nos clients dans des zones souvent reculées» résume celui qui est aussi le président du Toulouse Football club (TFC).
À 43 ans, Olivier Sadran s’est fait tout seul. C’est en vendant des sandwichs aux ouvriers de la première ligne de métro qu’a débuté la saga. Le jeune Toulousain a alors l’idée de s’attaquer à un marché très verrouillé : celui du catering aérien. Il crée Catair en 1996 devenue aujourd’hui Newrest. Il a dû jouer des coudes à l’aéroport de Toulouse-Blagnac pour fournir les premiers plateaux-repas. Mais en sportif accompli et têtu en affaires, Olivier Sadran a parcouru le monde pour internationaliser à pas de géant sa société. Le groupe toulousain s’apprête à franchir le milliard d’euros de chiffre d’affaires. Beau parcours pour cet autodidacte qui ne goûte pas les réseaux toulousains. Quand on lui demande si ce n’est pas trop difficile de s’attaquer à des marchés à des milliers de kilomètres de Toulouse, la réponse fuse. «Je préfère m’attaquer à ces marchés plutôt qu’au business cassoulet de Toulouse. Ici, on ne reconnaît pas l’esprit entrepreneurial» regrette-t-il. Cet été, il risque fort de fêter ce nouveau succès avec ses amis proches autour d’un treck ou d’un raid à vélo. Façon Sadran !
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APPEL À PROJET ECO-TOURISTIQUE
SUR LE SITE DU MONT ROSE VILLE DE MARSEILLE 8ÈME
La ville de Marseille recherche un opérateur pour la réalisation d’un projet touristique
sur le site de l’ancienne batterie militaire du Mont Rose dans le 8ème arrondissement.
Situé en haut d’un éperon rocheux qui signale l’entrée du Parc National des
Calanques, ce promontoire offre une vue panoramique sur le grand paysage
marseillais : mer, ville et massif des calanques.
Pour concourir, il sera demandé aux candidats d’être en capacité de concevoir,
mettre en oeuvre et gérer un projet préservant l’environnement et valorisant
l’économie touristique en termes d’hébergement, restauration et activités sportives.
VOUS ÊTES INTÉRESSÉ ?
Pour les détails de l’appel à projets, rendez-vous sur www.marseille.fr -
Rubrique Logement et Urbanisme /offre de biens communaux
[b]DATE LIMITE DE REMISE DES OFFRES :
Lundi 4 novembre 2013 inclus[b]
(avant 16h00)
[b]CONTACT :
04.91. 55.34.07 ou 04.91.55.33.23 -[b]
Mail : jmdouay@mairie-marseille.fr
[/b][/b][/b][/b]
SUR LE SITE DU MONT ROSE VILLE DE MARSEILLE 8ÈME
La ville de Marseille recherche un opérateur pour la réalisation d’un projet touristique
sur le site de l’ancienne batterie militaire du Mont Rose dans le 8ème arrondissement.
Situé en haut d’un éperon rocheux qui signale l’entrée du Parc National des
Calanques, ce promontoire offre une vue panoramique sur le grand paysage
marseillais : mer, ville et massif des calanques.
Pour concourir, il sera demandé aux candidats d’être en capacité de concevoir,
mettre en oeuvre et gérer un projet préservant l’environnement et valorisant
l’économie touristique en termes d’hébergement, restauration et activités sportives.
VOUS ÊTES INTÉRESSÉ ?
Pour les détails de l’appel à projets, rendez-vous sur www.marseille.fr -
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Lundi 4 novembre 2013 inclus[b]
(avant 16h00)
[b]CONTACT :
04.91. 55.34.07 ou 04.91.55.33.23 -[b]
Mail : jmdouay@mairie-marseille.fr
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Le sponsoring sportif dans le Var se porte bien
Publié le samedi 06 juillet 2013 à 07h28 - 1
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Lors de chaque conférence de presse, le RCT affiche ses sponsors.
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[url=javascript:void(0)][/url]
0
A l'heure où les équipes commerciales des grands clubs ratissent le terrain pour séduire des sponsors, nous avons pris le pouls de quelques partenaires majeurs du sport varois. Bilan: il bat bien à l'unisson.
Pas de répit pour les clubs sportifs de haut niveau! À peine une saison achevée qu'il faut préparer la suivante. Et avant tout projet boucler un budget... À l'heure où les champions goûtent à un repos plus ou moins mérité, les équipes commerciales (pour les clubs les mieux structurés) n'ont pas le droit de chômer. On touche là au nerf de la guerre ! C'est en ce moment que la chasse aux sponsors, qui n'est jamais réellement fermée, bat son plein. C'est en ce moment qu'il faut surfer sur les résultats passés (même s'ils n'augurent pas forcément des résultats futurs) et trouver les arguments qui vont convaincre de nouveaux partenaires d'arriver et les anciens de rester...
Petit ou gros, société locale ou entreprise de dimension nationale, chacun peut donner à la cause sportive s'il estime qu'elle peut servir la sienne, directement, en lui ramenant des affaires ou simplement en terme d'image. Mais tous les clubs n'abordent pas ce match avec les mêmes atouts...
Le RCT domine
Dans ce championnat aussi, force est de constater que le RCT domine tous ses adversaires de la tête et des épaules. Que ce soit le handball féminin à Toulon (Ligue 1), masculin à Saint-Raphaël (Ligue 1), où le basket à Hyères (Pro B), tout le monde rame derrière l'ogre toulonnais. Car le succès appelle le succès et la notoriété, l'exposition médiatique qui est au cœur du système...
Si le RCT, tout auréolé de son titre de champion d'Europe, peut espérer battre de nouveaux records en terme de sponsoring cette année (Déjà plus de cinq cents partenaires (1)), l'affaire s'avère forcément plus ardue pour le HTV qui évolue désormais en Pro B, loin, très loin des projecteurs. Là ou le RCT peut expliquer qu'il est désormais le club de rugby le plus télédiffusé de France et rassemble toujours plus de spectateurs derrière le petit écran, que peuvent avancer les autres pour convaincre une société de venir les aider ? Passe encore pour le Saint-Raphaël Var Hand-ball qui s'inscrit maintenant dans la durée et réalise des performances sportives très honorables dans un environnement qui commence à être médiatisé. Et même pour le Toulon Var Handball qui a brillé encore récemment sur les parquets, et qui peut porter des valeurs féminines intéressantes pour une entreprise. Mais quiddu HTV qui cumule les problèmes et les déceptions depuis plusieurs années ?
Pas les mêmes objectifs
Heureusement pour lui, et tous les autres « petits », tous les sponsors n'ont pas les mêmes objectifs ni la même stratégie. Ainsi l'AGPM (Association générale de prévoyance militaire), en tant qu'assureur a aussi choisi « d'aider ceux qui en ont le plus besoin » [lire ci-dessous] pour renforcer son image. De même la BPCA (Banque populaire de la Côte d'Azur) qui se doit d'accompagner ceux qui ont envie d'entreprendre, sur le plan professionnel comme personnel est dans son rôle lorsqu'elle soutient le Handball Féminin à Toulon. Bref, en terme de partenariat, et même si l'on a coutume de dire que « lorsque les équipes commerciales du RCT sont passées, il n'y a plus rien à espérer », chacun doit quand même pouvoir trouver soutien à son pied. D'autant que les sociétés déjà engagées que nous avons interrogées sont unanimes pour déclarer qu'elles y retrouvent toutes leur compte.
1. La grande réussite de Mourad Boudjellal est d'avoir réussi à attirer des partenaires pour multiplier en quelques années par cinq ses ressources partenariales à partir de l'attractivité et la réputation de la marque RCT.
Publié le samedi 06 juillet 2013 à 07h28 - 1
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A l'heure où les équipes commerciales des grands clubs ratissent le terrain pour séduire des sponsors, nous avons pris le pouls de quelques partenaires majeurs du sport varois. Bilan: il bat bien à l'unisson.
Pas de répit pour les clubs sportifs de haut niveau! À peine une saison achevée qu'il faut préparer la suivante. Et avant tout projet boucler un budget... À l'heure où les champions goûtent à un repos plus ou moins mérité, les équipes commerciales (pour les clubs les mieux structurés) n'ont pas le droit de chômer. On touche là au nerf de la guerre ! C'est en ce moment que la chasse aux sponsors, qui n'est jamais réellement fermée, bat son plein. C'est en ce moment qu'il faut surfer sur les résultats passés (même s'ils n'augurent pas forcément des résultats futurs) et trouver les arguments qui vont convaincre de nouveaux partenaires d'arriver et les anciens de rester...
Petit ou gros, société locale ou entreprise de dimension nationale, chacun peut donner à la cause sportive s'il estime qu'elle peut servir la sienne, directement, en lui ramenant des affaires ou simplement en terme d'image. Mais tous les clubs n'abordent pas ce match avec les mêmes atouts...
Le RCT domine
Dans ce championnat aussi, force est de constater que le RCT domine tous ses adversaires de la tête et des épaules. Que ce soit le handball féminin à Toulon (Ligue 1), masculin à Saint-Raphaël (Ligue 1), où le basket à Hyères (Pro B), tout le monde rame derrière l'ogre toulonnais. Car le succès appelle le succès et la notoriété, l'exposition médiatique qui est au cœur du système...
Si le RCT, tout auréolé de son titre de champion d'Europe, peut espérer battre de nouveaux records en terme de sponsoring cette année (Déjà plus de cinq cents partenaires (1)), l'affaire s'avère forcément plus ardue pour le HTV qui évolue désormais en Pro B, loin, très loin des projecteurs. Là ou le RCT peut expliquer qu'il est désormais le club de rugby le plus télédiffusé de France et rassemble toujours plus de spectateurs derrière le petit écran, que peuvent avancer les autres pour convaincre une société de venir les aider ? Passe encore pour le Saint-Raphaël Var Hand-ball qui s'inscrit maintenant dans la durée et réalise des performances sportives très honorables dans un environnement qui commence à être médiatisé. Et même pour le Toulon Var Handball qui a brillé encore récemment sur les parquets, et qui peut porter des valeurs féminines intéressantes pour une entreprise. Mais quiddu HTV qui cumule les problèmes et les déceptions depuis plusieurs années ?
Pas les mêmes objectifs
Heureusement pour lui, et tous les autres « petits », tous les sponsors n'ont pas les mêmes objectifs ni la même stratégie. Ainsi l'AGPM (Association générale de prévoyance militaire), en tant qu'assureur a aussi choisi « d'aider ceux qui en ont le plus besoin » [lire ci-dessous] pour renforcer son image. De même la BPCA (Banque populaire de la Côte d'Azur) qui se doit d'accompagner ceux qui ont envie d'entreprendre, sur le plan professionnel comme personnel est dans son rôle lorsqu'elle soutient le Handball Féminin à Toulon. Bref, en terme de partenariat, et même si l'on a coutume de dire que « lorsque les équipes commerciales du RCT sont passées, il n'y a plus rien à espérer », chacun doit quand même pouvoir trouver soutien à son pied. D'autant que les sociétés déjà engagées que nous avons interrogées sont unanimes pour déclarer qu'elles y retrouvent toutes leur compte.
1. La grande réussite de Mourad Boudjellal est d'avoir réussi à attirer des partenaires pour multiplier en quelques années par cinq ses ressources partenariales à partir de l'attractivité et la réputation de la marque RCT.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Avignon, ville la plus chère de France en juillet
Avignon / Publié le dimanche 07 juillet 2013 à 11H46
Dormir à Avignon, ça coûte bonbon ! Selon une étude menée la cité des papes serait la plus chère en matière d'hôtellerie au mois de juillet. Pendant le Festival, il faut en effet y débourser en moyenne 163€ pour passer une nuit à l'hôtel (prix moyen pour la chambre double la moins chère).
Au classement, la capitale du Vaucluse devance Monaco (128€), Porto-Vecchio (123), les Saintes-Maries-de-la-Mer (120) et Bandol (119). En revanche les prix chutent de façon conséquente au mois d'août puisqu'Avignon n'apparaît plus dans ce classement qui recense les 20 villes les plus chère.
Avignon / Publié le dimanche 07 juillet 2013 à 11H46
Dormir à Avignon, ça coûte bonbon ! Selon une étude menée la cité des papes serait la plus chère en matière d'hôtellerie au mois de juillet. Pendant le Festival, il faut en effet y débourser en moyenne 163€ pour passer une nuit à l'hôtel (prix moyen pour la chambre double la moins chère).
Au classement, la capitale du Vaucluse devance Monaco (128€), Porto-Vecchio (123), les Saintes-Maries-de-la-Mer (120) et Bandol (119). En revanche les prix chutent de façon conséquente au mois d'août puisqu'Avignon n'apparaît plus dans ce classement qui recense les 20 villes les plus chère.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Antibes élue meilleure ville pour manger une pizza
Publié le lundi 05 août 2013 à 13H40 - mis à jour le lundi 05 août 2013 à 13H13
D'après un classement dévoilé aujourd'hui par TripAdvisor, célèbre site de voyages, Antibes possède les meilleures pizzerias de France avec une note moyenne de 4,35/5. Elle devance respectivement Nice et Ajaccio. Marseille se classe neuvième avec une moyenne de 3,79/5.
A noter que si Paris possède le meilleur restaurant avec son "Pizza Rossi", elle ne se retrouve qu'à la septième place dans la hiérarchie des villes avec une note moyenne de 3,88/5.
Ce classement est basé sur les commentaires et notations des clients recceuillis sur le site internet de TripAdvisor
Publié le lundi 05 août 2013 à 13H40 - mis à jour le lundi 05 août 2013 à 13H13
D'après un classement dévoilé aujourd'hui par TripAdvisor, célèbre site de voyages, Antibes possède les meilleures pizzerias de France avec une note moyenne de 4,35/5. Elle devance respectivement Nice et Ajaccio. Marseille se classe neuvième avec une moyenne de 3,79/5.
A noter que si Paris possède le meilleur restaurant avec son "Pizza Rossi", elle ne se retrouve qu'à la septième place dans la hiérarchie des villes avec une note moyenne de 3,88/5.
Ce classement est basé sur les commentaires et notations des clients recceuillis sur le site internet de TripAdvisor
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Conjoncture : la reprise, c'est maintenant ?
Publié le jeudi 08 août 2013 à 10H45
Alors que l'économie française devrait connaître une croissance de 0,1% au troisième trimestre selon les dernières estimations de la Banque de France, quelle est votre propre perception de l'activité économique dans la région?
Cet été LaProvence.com, en association avec l'Ordre des experts-comptables Marseille-Paca et la Compagnie régionale des commissaires aux comptes Aix-Bastia, vous donne la parole en réalisant une enquête en ligne dont les résultats seront publiés début septembre.
Alors n'hésitez pas à donner votre opinion en vous rendant sur le questionnaire. Cela ne vous prendra que quelques minutes. Et les 20 premiers répondants recevront le magazine Entreprises 2013 édité par La Provence. Merci pour votre engagement.
Publié le jeudi 08 août 2013 à 10H45
Alors que l'économie française devrait connaître une croissance de 0,1% au troisième trimestre selon les dernières estimations de la Banque de France, quelle est votre propre perception de l'activité économique dans la région?
Cet été LaProvence.com, en association avec l'Ordre des experts-comptables Marseille-Paca et la Compagnie régionale des commissaires aux comptes Aix-Bastia, vous donne la parole en réalisant une enquête en ligne dont les résultats seront publiés début septembre.
Alors n'hésitez pas à donner votre opinion en vous rendant sur le questionnaire. Cela ne vous prendra que quelques minutes. Et les 20 premiers répondants recevront le magazine Entreprises 2013 édité par La Provence. Merci pour votre engagement.
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Fruits et légumes trop chers : record historique
Publié le 14/08/2013 à 07:54
Les prix des fruits et légumes font le yoyo en fonction, notamment de la météo./ Photo DDM, Manuel Massip
Une hausse de 14% pour les fruits, de 17% pour les légumes... Les produits verts atteignent cette année des records historiques sur les étals des marchés et des grandes surfaces. Les fruits et légumes sont bons pour la santé mais leurs prix constituent plus que jamais un obstacle pour les faibles revenus.
Chaque année, les prix des fruits et légumes flambent et nourrissent les conversations sur les marchés de plein-vent. L’été ne serait pas l’été sans ce constat récurrent si étroitement lié aux chamboulements de la météo.
On savait que les pluies diluviennes de juin entraîneraient inévitablement des retards de production. Mais cette fois, la hausse des produits verts est historique, comme le démontre la dernière enquête publiée hier par Familles rurales. Une étude lourde qui s’est intéressée par le menu aux étiquettes affichées sur les étals, celles de nos marchés locaux, mais aussi celles des grandes surfaces, hard-discounts ou hypers. Car les fruits et légumes ont plus que jamais un coût. Selon le dernier baromètre santé nutrition publié par l’INPES, 43 % des Français affirment ne pas manger suffisamment de fruits et légumes en raison de leurs prix élevés… Un constat qui nous interpelle d’autant plus que l’OMS nous dispense régulièrement sa sage recommandation : manger tous les jours au moins 400 grammes de fruits et légumes. Suivre ce conseil engendre un coût de 1,20 euro par jour et par personne. Il était de 1 euro en 2011…
Alors que nous révèle l’enquête ? Dans ce palmarès de la cherté, la courgette (+ 32 %), la poire (+ 31,4 %) et la pomme (+ 30,4 %) présentent les hausses de prix les plus fortes. Avec des interrogations qui laissent perplexe. Pourquoi la cerise si tardive cette année a-t-elle vu son prix chuter quand celui de la courgette, un des légumes de base de notre alimentation estivale, atteint des sommets ? Arboriculteurs et maraîchers ont sans doute la réponse.
Comme chaque année, Familles rurales constate que les prix les plus élevés s’observent sur les marchés avec des produits de proximité, quand les grandes surfaces présentent des prix bas sur des produits importés. Pour le président de l’association, c’est clair, la grande distribution se fournit en produits étrangers pour négocier à la baisse les prix français.
«En tant qu’association de consommateurs, nous nous préoccupons évidemment du niveau des prix en rayon, mais ce ne doit pas être un argument pour casser une filière !», rappelle encore Familles rurales, tandis que le syndicat Modef pointe comme à chaque fois l’augmentation des marges d et des prix de la grande distribution. L’an passé, des producteurs du Lot-et-Garonne avaient vendu à Paris sans intermédiaire une partie de leur production. De son côté la FNSEA a demandé hier un grand débat sur les fruits et légumes.
Publié le 14/08/2013 à 07:54
Les prix des fruits et légumes font le yoyo en fonction, notamment de la météo./ Photo DDM, Manuel Massip
Une hausse de 14% pour les fruits, de 17% pour les légumes... Les produits verts atteignent cette année des records historiques sur les étals des marchés et des grandes surfaces. Les fruits et légumes sont bons pour la santé mais leurs prix constituent plus que jamais un obstacle pour les faibles revenus.
Chaque année, les prix des fruits et légumes flambent et nourrissent les conversations sur les marchés de plein-vent. L’été ne serait pas l’été sans ce constat récurrent si étroitement lié aux chamboulements de la météo.
On savait que les pluies diluviennes de juin entraîneraient inévitablement des retards de production. Mais cette fois, la hausse des produits verts est historique, comme le démontre la dernière enquête publiée hier par Familles rurales. Une étude lourde qui s’est intéressée par le menu aux étiquettes affichées sur les étals, celles de nos marchés locaux, mais aussi celles des grandes surfaces, hard-discounts ou hypers. Car les fruits et légumes ont plus que jamais un coût. Selon le dernier baromètre santé nutrition publié par l’INPES, 43 % des Français affirment ne pas manger suffisamment de fruits et légumes en raison de leurs prix élevés… Un constat qui nous interpelle d’autant plus que l’OMS nous dispense régulièrement sa sage recommandation : manger tous les jours au moins 400 grammes de fruits et légumes. Suivre ce conseil engendre un coût de 1,20 euro par jour et par personne. Il était de 1 euro en 2011…
Alors que nous révèle l’enquête ? Dans ce palmarès de la cherté, la courgette (+ 32 %), la poire (+ 31,4 %) et la pomme (+ 30,4 %) présentent les hausses de prix les plus fortes. Avec des interrogations qui laissent perplexe. Pourquoi la cerise si tardive cette année a-t-elle vu son prix chuter quand celui de la courgette, un des légumes de base de notre alimentation estivale, atteint des sommets ? Arboriculteurs et maraîchers ont sans doute la réponse.
Comme chaque année, Familles rurales constate que les prix les plus élevés s’observent sur les marchés avec des produits de proximité, quand les grandes surfaces présentent des prix bas sur des produits importés. Pour le président de l’association, c’est clair, la grande distribution se fournit en produits étrangers pour négocier à la baisse les prix français.
«En tant qu’association de consommateurs, nous nous préoccupons évidemment du niveau des prix en rayon, mais ce ne doit pas être un argument pour casser une filière !», rappelle encore Familles rurales, tandis que le syndicat Modef pointe comme à chaque fois l’augmentation des marges d et des prix de la grande distribution. L’an passé, des producteurs du Lot-et-Garonne avaient vendu à Paris sans intermédiaire une partie de leur production. De son côté la FNSEA a demandé hier un grand débat sur les fruits et légumes.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Deux superyachts dans les bassins de radoub
Marseille / Publié le lundi 19 août 2013 à 17H10
Fountainhead mesure 88 m de long et 14 m de large et peut accueillir 12 invités, en plus du couple de propriétaires.
Après Samar (77 m) reçu la semaine dernière dans le Vieux-Port, au quai de la Fraternité, Marseille accueille deux autres superyachts, à commencer par l'immense Fountainhead, 36e au classement des plus grands yachts de la planète.
Mis au sec dans la forme de radoub nº1 du port, ce bateau d'exception appartient à l'homme d'affaires américain Mark Cuban. Déjà propriétaire d'un Boeing 767, ce magna de la presse et des spectacles dont la fortune personnelle est estimée à près de 2 milliards d'euros, possède également la prestigieuse équipe de basket-ball des "Marvericks" de Dallas. Mis à l'eau en 2011, Foutainhead mesure 88 m de long et 14 m de large. Il peut accueillir 12 invités, en plus du couple de propriétaires auquel est réservé une gigantesque et luxueuse suite "armateur". Pris en charge par le chantier ITM dont il est un client fidèle, le bateau devrait séjourner deux à trois semaines dans le bassin pour y subir diverses interventions techniques.
L'autre yacht amarré dans les bassins de radoub est Ilona, propriété de l'homme d'affaires australien Franck Lowy crédité d'une fortune de 3,7 milliards d'euros. Lancé en 2004, ce yacht de 74 m de long a été profondément modifié au printemps 2012, à Marseille, avec l'ajout d'une plate-forme pour hélicoptère sur le pont supérieur et la transformation de l'ancien hangar "hélico" en piscine de 10 m de long sur 3 m de large. Ilona effectue actuellement une escale de reconnaissance dans le port phocéen où il pourrait confier une importante opération de maintenance à ITM.
Marseille / Publié le lundi 19 août 2013 à 17H10
Fountainhead mesure 88 m de long et 14 m de large et peut accueillir 12 invités, en plus du couple de propriétaires.
Après Samar (77 m) reçu la semaine dernière dans le Vieux-Port, au quai de la Fraternité, Marseille accueille deux autres superyachts, à commencer par l'immense Fountainhead, 36e au classement des plus grands yachts de la planète.
Mis au sec dans la forme de radoub nº1 du port, ce bateau d'exception appartient à l'homme d'affaires américain Mark Cuban. Déjà propriétaire d'un Boeing 767, ce magna de la presse et des spectacles dont la fortune personnelle est estimée à près de 2 milliards d'euros, possède également la prestigieuse équipe de basket-ball des "Marvericks" de Dallas. Mis à l'eau en 2011, Foutainhead mesure 88 m de long et 14 m de large. Il peut accueillir 12 invités, en plus du couple de propriétaires auquel est réservé une gigantesque et luxueuse suite "armateur". Pris en charge par le chantier ITM dont il est un client fidèle, le bateau devrait séjourner deux à trois semaines dans le bassin pour y subir diverses interventions techniques.
L'autre yacht amarré dans les bassins de radoub est Ilona, propriété de l'homme d'affaires australien Franck Lowy crédité d'une fortune de 3,7 milliards d'euros. Lancé en 2004, ce yacht de 74 m de long a été profondément modifié au printemps 2012, à Marseille, avec l'ajout d'une plate-forme pour hélicoptère sur le pont supérieur et la transformation de l'ancien hangar "hélico" en piscine de 10 m de long sur 3 m de large. Ilona effectue actuellement une escale de reconnaissance dans le port phocéen où il pourrait confier une importante opération de maintenance à ITM.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Etudier à Marseille coûte moins cher
Marseille / Publié le mardi 20 août 2013 à 19H13 - mis à jour le mardi 20 août 2013 à 19H13
Comme chaque année à la veille de la rentrée, le syndicat étudiant Unef publie son enquête sur les dépenses spécifiques (transports, loyers, reste à charge santé) des étudiants dans 8 villes en région et à Paris. Cette année, le coût de la vie étudiante augmente de 1,6 %, mais avec 11 755 €, le coût de l'année universitaire dans la cité phocéenne reste moins élevé que la moyenne des villes de province (11 912 €) et 1,4 fois moins cher qu'à Paris (où l'année coûte 15 526 euros pour un étudiant présentant le même profil).
Cela s'explique notamment par les dépenses de logement 40 % moins élevées pour un étudiant marseillais qui y consacre malgré tout une part importante de son budget (à peu près la moitié). De même, le coût des transports est environ 7,5 % moins cher par rapport au coût moyen mesuré en région.
Marseille / Publié le mardi 20 août 2013 à 19H13 - mis à jour le mardi 20 août 2013 à 19H13
Comme chaque année à la veille de la rentrée, le syndicat étudiant Unef publie son enquête sur les dépenses spécifiques (transports, loyers, reste à charge santé) des étudiants dans 8 villes en région et à Paris. Cette année, le coût de la vie étudiante augmente de 1,6 %, mais avec 11 755 €, le coût de l'année universitaire dans la cité phocéenne reste moins élevé que la moyenne des villes de province (11 912 €) et 1,4 fois moins cher qu'à Paris (où l'année coûte 15 526 euros pour un étudiant présentant le même profil).
Cela s'explique notamment par les dépenses de logement 40 % moins élevées pour un étudiant marseillais qui y consacre malgré tout une part importante de son budget (à peu près la moitié). De même, le coût des transports est environ 7,5 % moins cher par rapport au coût moyen mesuré en région.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Les Provençaunautes ne veulent pas cotiser plus !
Publié le jeudi 29 août 2013 à 12H59
S'il y a bien un sujet sur lequel les Provençaunautes ne sont pas vraiment divisés, ce sont les retraites. Selon notre vote, 73% d'entre eux ne seraient pas prêts à cotiser plus longtemps pour la leur. 23 % de courageux sont pour et 4 % ne se prononçent pas.
Publié le jeudi 29 août 2013 à 12H59
S'il y a bien un sujet sur lequel les Provençaunautes ne sont pas vraiment divisés, ce sont les retraites. Selon notre vote, 73% d'entre eux ne seraient pas prêts à cotiser plus longtemps pour la leur. 23 % de courageux sont pour et 4 % ne se prononçent pas.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
-10,9%
Les immatriculations
de voitures neuves ont
replongé de 10,9% en
août. Seulement 85 565
voitures ont été
écoulées le mois
dernier, une période
traditionnellement très
faible pour les ventes.
Ce mois d’août reste
cependant le plus
mauvais jamais connu
depuis 1997-1998.
Renault (qui comprend
aussi Dacia) a grappillé
1,7%. General Motors a
bondi de 15,9%, tiré
par Chevrolet, et Fiat de
9,9%. Toyota a limité
la casse (-0,4 %). À
l’inverse, PSA Peugeot
Citroën a chuté de
17,3%. Volkswagen
s’est effondré
de 24,3%, Ford de
19,2%, Nissan
de 18,7%et Daimler
de 37,8%.
Les immatriculations
de voitures neuves ont
replongé de 10,9% en
août. Seulement 85 565
voitures ont été
écoulées le mois
dernier, une période
traditionnellement très
faible pour les ventes.
Ce mois d’août reste
cependant le plus
mauvais jamais connu
depuis 1997-1998.
Renault (qui comprend
aussi Dacia) a grappillé
1,7%. General Motors a
bondi de 15,9%, tiré
par Chevrolet, et Fiat de
9,9%. Toyota a limité
la casse (-0,4 %). À
l’inverse, PSA Peugeot
Citroën a chuté de
17,3%. Volkswagen
s’est effondré
de 24,3%, Ford de
19,2%, Nissan
de 18,7%et Daimler
de 37,8%.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Le chiffre de
la semaine
2,98%.
C’est le taux moyen
des prêts immobiliers
du secteur concurrentiel
(hors assurance et coût
des sûretés). Il était de
2,92% en juillet. Après la
baisse de 2012, les taux
remontent donc
doucement mais
sûrement.
la semaine
2,98%.
C’est le taux moyen
des prêts immobiliers
du secteur concurrentiel
(hors assurance et coût
des sûretés). Il était de
2,92% en juillet. Après la
baisse de 2012, les taux
remontent donc
doucement mais
sûrement.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Un investissement Duflot réussi
suppose de jouer à fond la carte de
l’optimisation fiscale et locative.
Nos conseils et exemples pour y
voir plus clair. Calculez votre réduction
d’impôt maximale
Avis d’expert
Mireille Vernerey, directrice des
régions chez le promoteur O.G.I.C.
L’intérêt du dispositif Duflot est variable
selon les programmes immobiliers. En
règle générale, plus le prix de vente est
élevé, moins le dispositif est pertinent. En
pratique, il faut regarder la rentabilité de
l’investissement par rapport au loyer plafond.
Le montant de 4 % est une rentabilité
attractive. Pour cela, le prix de vente au m2
ne doit pas dépasser 3.500 à 3.600 d. En
dessous de ce prix, la rentabilité est bonne.
Au-dessus, ce n’est plus, vraiment, le cas».
En Duflot, la réduction d’impôt affiche 18 %
du montant de l’investissement plafonné à
300.000
d. Répartie sur neuf ans, la réductionmaximale atteint donc 54.000
d, soit6.000
d par an. Mais attention, ce cadeau fiscal
est calculé sur un prix de vente maximal de
5.500
d/m2. Autrement dit, si vous achetez un
logement dont le prix est supérieur, la réduction
d’impôt ne s’appliquera que dans cette
limite de 5.500
d, le «dépassement» n’ouvrant
droit à aucun avantage fiscal. Ainsi, pour un
particulier qui achète un logement de 40 m
2 auprix de 300.000
d et dont plafond s'avère de5.500
d/m2, l’assiette de la réduction d’impôt,sous le régime Duflot, sera de 220.000
d (40x 5.500
d), et son montant annuel de 4.400 d[(220.000
d x 18 %) / 9 années]. Soit au totalune réduction d’impôt de 39.600
d.Si le plafond de 5.500
d/m2 est contraignant,
dans certaines communes de la région parisienne
et exclut, en pratique, la capitale,
ailleurs, il permet d’accéder à des programmes
haut de gamme. C’est, d'ailleurs, le cas à Marseille.
Le Duflot est un dispositif adapté dans
beaucoup de quartiers médians de la cité phocéenne,
où le secteur locatif est dynamique. La
clientèle, composée avant tout de Marseillais
mais aussi d’investisseurs venus de toute la
France, ne s’y trompe pas, attirée par le fait
que la capitale régionale soit une grande ville
avec des segments de prix qui permettent (encore)
une rentabilité correcte. Ce n’est pas le
cas d’Aix-en-Provence où les prix sont trop
hauts pour servir une rentabilité suffisante.
Calculez votre loyer plafond
En contrepartie du cadeau fiscal, le loyer pratiqué
ne doit pas dépasser certains plafonds
par m
2, variables selon la zone géographique
(voir tableau). Bonne nouvelle, en Duflot,
le plafond s’adapte à la taille du logement,
grâce à un coefficient de pondération. Pour
connaître le loyer maximal applicable au logement
acquis, il faut multiplier le prix plafond
du m
2 par la formule suivante : 0,7 + 19/S, (S
étant la surface du logement). Le résultat ainsi
obtenu est arrondi à la deuxième décimale la
plus proche et ne peut excéder 1,2. Ainsi, par
exemple, un appartement de 35 m
2 à Marseille
(zone B1) pourra se louer : 9,88 x (0,7
+ 19/35m
2) = 11,86 d/m2, soit 415,10 d/moisau maximum et un loyer annuel de 4.981,20
d.
Le coefficient multiplicateur permet de tenir
compte de la réalité du marché : le loyer est
dégressif en fonction de la surface du logement.
Une prime est ainsi accordée aux petites
surfaces. Plus la surface du logement est
petite, plus le plafond de loyer est élevé. Autre
exemple : pour un appartement de 70 m
2 situéen zone B1, le plafond au m
2 sera de 9,60 dalors que pour un appartement de 100m
2 situéen zone B1, le plafond au m
2 sera de 8,80 d.
Encore plus concret, prenons un appartement
de 2 pièces de 42,15 m
2 (surface utile :45,21m
2), avec une terrasse de 6,12 m2, situé
dans le quartier Saint Just, à Marseille, dans
le 13
e arrondissement. Son prix hors stationnementest de 148.500
d et le coût du parking13.000
d. Le plafond de loyer est de 9,88 d x(0,7 + 19/45,21 m
2) = 11,07 d/m2, soit un loyermensuel de 500,47
d et un loyer annuel de6005,64
d. La rentabilité hors parking est de
4,04%et, avec le parking de 3,72 %
L L S
Plafonds de ressources des locataires (baux conclus en 2013)
(1)[b][b]
COMPOSITION DU FOYER LOCALISATION DU LOGEMENT
[/b]
[/b]
suppose de jouer à fond la carte de
l’optimisation fiscale et locative.
Nos conseils et exemples pour y
voir plus clair. Calculez votre réduction
d’impôt maximale
Avis d’expert
Mireille Vernerey, directrice des
régions chez le promoteur O.G.I.C.
L’intérêt du dispositif Duflot est variable
selon les programmes immobiliers. En
règle générale, plus le prix de vente est
élevé, moins le dispositif est pertinent. En
pratique, il faut regarder la rentabilité de
l’investissement par rapport au loyer plafond.
Le montant de 4 % est une rentabilité
attractive. Pour cela, le prix de vente au m2
ne doit pas dépasser 3.500 à 3.600 d. En
dessous de ce prix, la rentabilité est bonne.
Au-dessus, ce n’est plus, vraiment, le cas».
En Duflot, la réduction d’impôt affiche 18 %
du montant de l’investissement plafonné à
300.000
d. Répartie sur neuf ans, la réductionmaximale atteint donc 54.000
d, soit6.000
d par an. Mais attention, ce cadeau fiscal
est calculé sur un prix de vente maximal de
5.500
d/m2. Autrement dit, si vous achetez un
logement dont le prix est supérieur, la réduction
d’impôt ne s’appliquera que dans cette
limite de 5.500
d, le «dépassement» n’ouvrant
droit à aucun avantage fiscal. Ainsi, pour un
particulier qui achète un logement de 40 m
2 auprix de 300.000
d et dont plafond s'avère de5.500
d/m2, l’assiette de la réduction d’impôt,sous le régime Duflot, sera de 220.000
d (40x 5.500
d), et son montant annuel de 4.400 d[(220.000
d x 18 %) / 9 années]. Soit au totalune réduction d’impôt de 39.600
d.Si le plafond de 5.500
d/m2 est contraignant,
dans certaines communes de la région parisienne
et exclut, en pratique, la capitale,
ailleurs, il permet d’accéder à des programmes
haut de gamme. C’est, d'ailleurs, le cas à Marseille.
Le Duflot est un dispositif adapté dans
beaucoup de quartiers médians de la cité phocéenne,
où le secteur locatif est dynamique. La
clientèle, composée avant tout de Marseillais
mais aussi d’investisseurs venus de toute la
France, ne s’y trompe pas, attirée par le fait
que la capitale régionale soit une grande ville
avec des segments de prix qui permettent (encore)
une rentabilité correcte. Ce n’est pas le
cas d’Aix-en-Provence où les prix sont trop
hauts pour servir une rentabilité suffisante.
Calculez votre loyer plafond
En contrepartie du cadeau fiscal, le loyer pratiqué
ne doit pas dépasser certains plafonds
par m
2, variables selon la zone géographique
(voir tableau). Bonne nouvelle, en Duflot,
le plafond s’adapte à la taille du logement,
grâce à un coefficient de pondération. Pour
connaître le loyer maximal applicable au logement
acquis, il faut multiplier le prix plafond
du m
2 par la formule suivante : 0,7 + 19/S, (S
étant la surface du logement). Le résultat ainsi
obtenu est arrondi à la deuxième décimale la
plus proche et ne peut excéder 1,2. Ainsi, par
exemple, un appartement de 35 m
2 à Marseille
(zone B1) pourra se louer : 9,88 x (0,7
+ 19/35m
2) = 11,86 d/m2, soit 415,10 d/moisau maximum et un loyer annuel de 4.981,20
d.
Le coefficient multiplicateur permet de tenir
compte de la réalité du marché : le loyer est
dégressif en fonction de la surface du logement.
Une prime est ainsi accordée aux petites
surfaces. Plus la surface du logement est
petite, plus le plafond de loyer est élevé. Autre
exemple : pour un appartement de 70 m
2 situéen zone B1, le plafond au m
2 sera de 9,60 dalors que pour un appartement de 100m
2 situéen zone B1, le plafond au m
2 sera de 8,80 d.
Encore plus concret, prenons un appartement
de 2 pièces de 42,15 m
2 (surface utile :45,21m
2), avec une terrasse de 6,12 m2, situé
dans le quartier Saint Just, à Marseille, dans
le 13
e arrondissement. Son prix hors stationnementest de 148.500
d et le coût du parking13.000
d. Le plafond de loyer est de 9,88 d x(0,7 + 19/45,21 m
2) = 11,07 d/m2, soit un loyermensuel de 500,47
d et un loyer annuel de6005,64
d. La rentabilité hors parking est de
4,04%et, avec le parking de 3,72 %
L L S
Plafonds de ressources des locataires (baux conclus en 2013)
(1)[b][b]
COMPOSITION DU FOYER LOCALISATION DU LOGEMENT
[/b]
[/b]
aladin- Messages : 115038
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Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
COMPOSITION DU FOYER LOCALISATION DU LOGEMENT
ZoneA Zone A bis Zone B1 Zone B2
(2)Personne seule 36 502
e 36 502 e 29 751 e 26 776 eCouple 54 554
e 54 554 e 39 731 e 35 757 e
Personne seule ou couple ayant 1
personne à charge
65 579
e 71 515 e 47 780 e 43 002 e
Personne seule ou couple ayant 2
personnes à charge
78 550
e 85 384 e 57 681 e 51 913 e
Personne seule ou couple ayant 3
personnes à charge
92 989
e 101 589 e 67 854 e 61 069 e
Personne seule ou couple ayant 4
personnes à charge
104 642
e 114 315 e 76 472 e 68 824 e
Majoration par personne à charge
supplémentaire
+ 11 659
e + 12 736 e + 8 531 e + 7 677 e(1)
Plafonds applicables en métropole.(2)
Les logements acquis en zone B2 jusqu’au 30.6.13 sont éligibles. Après cette date, seules les communes agréées ouvrent droit au dispositif
ZoneA Zone A bis Zone B1 Zone B2
(2)Personne seule 36 502
e 36 502 e 29 751 e 26 776 eCouple 54 554
e 54 554 e 39 731 e 35 757 e
Personne seule ou couple ayant 1
personne à charge
65 579
e 71 515 e 47 780 e 43 002 e
Personne seule ou couple ayant 2
personnes à charge
78 550
e 85 384 e 57 681 e 51 913 e
Personne seule ou couple ayant 3
personnes à charge
92 989
e 101 589 e 67 854 e 61 069 e
Personne seule ou couple ayant 4
personnes à charge
104 642
e 114 315 e 76 472 e 68 824 e
Majoration par personne à charge
supplémentaire
+ 11 659
e + 12 736 e + 8 531 e + 7 677 e(1)
Plafonds applicables en métropole.(2)
Les logements acquis en zone B2 jusqu’au 30.6.13 sont éligibles. Après cette date, seules les communes agréées ouvrent droit au dispositif
aladin- Messages : 115038
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Les attraits réalistes du dispositif Duflot
méritent de retenir l’attention des
particuliers qui ont des économies
à investir dans la pierre. Le système
est assez simple, plutôt rentable et
concerne un nombre élevé d'investisseurs.
Démonstration.
Indéniablement, la principale qualité de ce nouveau
régime d’incitation à l’investissement locatif
est qu'il semble avoir retenu les défauts des dispositifs
de défiscalisation passés : Scellier, Périssol,
Méhaignerie and co !
Premier point fort : un zonage recentré
Comparé au Scellier auquel il succède depuis le 1er
janvier 2013, le régime Duflot est plus restrictif car
il est réservé aux zones les plus «tendues», là où le
manque de logements est le plus criant (zones A,
A bis, B1 et B2 sous condition d’agrément). Ce zonage
mieux ciblé est favorable au contribuable qui
est avant tout, il ne faut pas l’oublier, un bailleur
pendant neuf ans, au moins. En effet, le risque
d’acheter dans une ville où la demande locative
est faible s’efface. L’investisseur est ainsi presque
assuré de louer son logement. Une sécurité renforcée
par l’exigence de présence maximum de 80 %
de logements vendus en Duflot au sein d’un même
immeuble d’au moins 5 logements. Afin, d’éviter,
une fois encore, une suroffre. Les investisseurs
devraient donc, en principe, échapper aux dérives
tant décriées des régimes précédents.
Second point positif : social, mais
pas trop
Comme le Scellier intermédiaire, le Duflot impose
des plafonds de ressources des locataires. Mais,
même si ces plafonds sont plus bas qu’en Scellier,
ils restent toujours peu contraignants puisqu’ils
concernent la grande majorité des ménages. Ils
sont en effet supérieurs au seuil permettant d’accéder
au logement social. Quant aux plafonds de
loyers, ils s’établissent à un niveau inférieur de
20% aux loyers de marché. Un niveau jugé toutefois
suffisamment acceptable par les professionnels
pour servir des rendements attractifs.
Troisième atout : un avantage fiscal
réel
Comparé, une fois encore, au Scellier classique,
le Duflot l’emporte largement. Jugez plutôt : la
réduction d’impôt offerte atteint 18 % du montant
de l’investissement (et même 29 % en outremer),
contre 13 % en Scellier dans sa dernière
version ! L’économie d’impôt compense ainsi les
contraintes sociales du dispositif. Autre innovation
à ne pas négliger, le Duflot autorise l’acquisition
de deux logements par année et par contribuable,
contre un seul en Scellier.
Petits bémols
Réelles fausses notes (il y enapresque toujours !) :
l’investisseur ne peut pas cumuler la réduction
d’impôt avec l’abattement de 30 % sur le microfoncier.
Autre inconvénient : une réduction d’impôt
qui n’est pas pleinement utilisée une année (cas
où son montant excède l’impôt dû) est définitivement
perdue. Un moindre mal comparé aux atouts
du Duflot. Cela étant, avant de succomber aux
sirènes du système, gardez à l’esprit un principe
de bon sens. Ne jugez pas votre investissement
locatif sur son seul avantage fiscal car, après neuf
ans, il disparaît. Soyez donc très sélectif sur l’emplacement
et la qualité du logement pour éviter
toute vacance locative et vous ménager aussi des
conditions de revente optimales.
méritent de retenir l’attention des
particuliers qui ont des économies
à investir dans la pierre. Le système
est assez simple, plutôt rentable et
concerne un nombre élevé d'investisseurs.
Démonstration.
Indéniablement, la principale qualité de ce nouveau
régime d’incitation à l’investissement locatif
est qu'il semble avoir retenu les défauts des dispositifs
de défiscalisation passés : Scellier, Périssol,
Méhaignerie and co !
Premier point fort : un zonage recentré
Comparé au Scellier auquel il succède depuis le 1er
janvier 2013, le régime Duflot est plus restrictif car
il est réservé aux zones les plus «tendues», là où le
manque de logements est le plus criant (zones A,
A bis, B1 et B2 sous condition d’agrément). Ce zonage
mieux ciblé est favorable au contribuable qui
est avant tout, il ne faut pas l’oublier, un bailleur
pendant neuf ans, au moins. En effet, le risque
d’acheter dans une ville où la demande locative
est faible s’efface. L’investisseur est ainsi presque
assuré de louer son logement. Une sécurité renforcée
par l’exigence de présence maximum de 80 %
de logements vendus en Duflot au sein d’un même
immeuble d’au moins 5 logements. Afin, d’éviter,
une fois encore, une suroffre. Les investisseurs
devraient donc, en principe, échapper aux dérives
tant décriées des régimes précédents.
Second point positif : social, mais
pas trop
Comme le Scellier intermédiaire, le Duflot impose
des plafonds de ressources des locataires. Mais,
même si ces plafonds sont plus bas qu’en Scellier,
ils restent toujours peu contraignants puisqu’ils
concernent la grande majorité des ménages. Ils
sont en effet supérieurs au seuil permettant d’accéder
au logement social. Quant aux plafonds de
loyers, ils s’établissent à un niveau inférieur de
20% aux loyers de marché. Un niveau jugé toutefois
suffisamment acceptable par les professionnels
pour servir des rendements attractifs.
Troisième atout : un avantage fiscal
réel
Comparé, une fois encore, au Scellier classique,
le Duflot l’emporte largement. Jugez plutôt : la
réduction d’impôt offerte atteint 18 % du montant
de l’investissement (et même 29 % en outremer),
contre 13 % en Scellier dans sa dernière
version ! L’économie d’impôt compense ainsi les
contraintes sociales du dispositif. Autre innovation
à ne pas négliger, le Duflot autorise l’acquisition
de deux logements par année et par contribuable,
contre un seul en Scellier.
Petits bémols
Réelles fausses notes (il y enapresque toujours !) :
l’investisseur ne peut pas cumuler la réduction
d’impôt avec l’abattement de 30 % sur le microfoncier.
Autre inconvénient : une réduction d’impôt
qui n’est pas pleinement utilisée une année (cas
où son montant excède l’impôt dû) est définitivement
perdue. Un moindre mal comparé aux atouts
du Duflot. Cela étant, avant de succomber aux
sirènes du système, gardez à l’esprit un principe
de bon sens. Ne jugez pas votre investissement
locatif sur son seul avantage fiscal car, après neuf
ans, il disparaît. Soyez donc très sélectif sur l’emplacement
et la qualité du logement pour éviter
toute vacance locative et vous ménager aussi des
conditions de revente optimales.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Le système d’investissement locatif
intermédiaire, dit «Duflot»,
offre une réduction d’impôt élevée,
en échange de contreparties
sociales. Tout ce qu’il faut savoir
pour en bénéficier
La loi Duflot concerne les investisseurs qui
achètent, jusqu’au 31 décembre2016, un logement
neuf ou assimilé. L’investissement peut
avoir lieu par l’intermédiaire d’une société de
personnes (société civile immobilière: S.C.I. )
et - sous conditions - d’une société civile de
placement immobilier ( S.C.P.I.). La réduction
d’impôt sur le revenu est fixée à 18 % du prix
de revient du logement, éventuellement majoré
du coût des travaux. Ce taux est porté à
29%en outre-mer.
Un double plafond
Attention, cependant, l’assiette de la réduction
est plafonnée dans la double limite d’un
prix par mètre carré de surface habitable, fixé
à 5.500
d et d’un budget global de 300.000 d
par contribuable et par an. Pour les parts de
S.C.P.I., le bonus fiscal est calculé sur 95%du
montant de la souscription, retenu dans la limite
de 300.000
d.
A noter, la réduction d’impôt s’applique à
deux logements au plus par an, dans un plafond
global de 300.000
d (acquisition de logements
et souscription de parts de S.C.P.I.
Confondues). L’avantage fiscal est réparti sur
9ans. Il est accordé au titrede l’année d’achèvement
du logement ou de son acquisition si
elle est postérieure (année de souscription
pour les S.C.P.I.).
Conditions à respecter
Pour bénéficier de ce «cadeau fiscal», le
contribuable est soumis à des contraintes assez
fortes. Ainsi, le bien acquis doit être loué
nu, à titre d’habitation principale pendant
au moins 9 ans, à une personne autre qu’un
membre du foyer fiscal, soit un ascendant
ou un descendant. Le porteur de parts doit
conserver ses titres jusqu’à l’expiration des 9
ans. De plus, la première location doit intervenir
dans les 12 mois suivant l’achèvement des
travaux ou l’acquisition du logement si elle
est postérieure.
Quant aux logements, ils doivent atteindre
un haut niveau de performance énergétique
défini. Dans le neuf, ils doivent respecter la
réglementation thermique 2012 ou être labellisés
«B.B.C. 2005», si le permis de construire
est antérieur à 2013. Pour les bâtiments existants,
il s’agit du label «H.P.E. rénovation » ou
«B.B.C. rénovation 2009».
Loyers et ressources du locataire
Autre règle à respecter, les loyers et ressources
du locataire ne doivent pas dépasser
des plafonds, fixés par décret (voir tableaux).
Les plafonds de loyers varient en fonction
de la zone géographique du logement et de
sa surface. Ils s’établissent à un niveau inférieur
d’environ 20 % aux loyers de marché,
en sachant que le préfet peut encore réduire
localement le plafond pour l’adapter au marché
locatif local. Les plafonds de ressources
varient, pour leur part, selon la composition
du ménage et la localisation du logement.
Des zones éligibles
Pour ouvrir droit au bonus fiscal, le bien doit
être situé dans une zone caractérisée par un
déséquilibre important entre l’offre et la demande
de logements. Il s’agit des zones A, A
bis et B1. Depuis juillet 2013, la zone B2 est,
également, éligible sous condition d’un agrément
de l’État. En revanche, la zone C est exclue
du dispositif Duflot.
Une niche fiscale
Attention, la réduction d’impôtDuflot est prise
en compte pour la détermination du plafonnement
global des avantages fiscaux (ou niches
fiscales), fixé à 10.000
d par an en 2013. Vous
devez donc vérifier si vous pouvez profiter
intégralement de l’avantage fiscal avant d’investir.
A défaut, la rentabilité de votre opération
pourrait être, en partie, compromis
intermédiaire, dit «Duflot»,
offre une réduction d’impôt élevée,
en échange de contreparties
sociales. Tout ce qu’il faut savoir
pour en bénéficier
La loi Duflot concerne les investisseurs qui
achètent, jusqu’au 31 décembre2016, un logement
neuf ou assimilé. L’investissement peut
avoir lieu par l’intermédiaire d’une société de
personnes (société civile immobilière: S.C.I. )
et - sous conditions - d’une société civile de
placement immobilier ( S.C.P.I.). La réduction
d’impôt sur le revenu est fixée à 18 % du prix
de revient du logement, éventuellement majoré
du coût des travaux. Ce taux est porté à
29%en outre-mer.
Un double plafond
Attention, cependant, l’assiette de la réduction
est plafonnée dans la double limite d’un
prix par mètre carré de surface habitable, fixé
à 5.500
d et d’un budget global de 300.000 d
par contribuable et par an. Pour les parts de
S.C.P.I., le bonus fiscal est calculé sur 95%du
montant de la souscription, retenu dans la limite
de 300.000
d.
A noter, la réduction d’impôt s’applique à
deux logements au plus par an, dans un plafond
global de 300.000
d (acquisition de logements
et souscription de parts de S.C.P.I.
Confondues). L’avantage fiscal est réparti sur
9ans. Il est accordé au titrede l’année d’achèvement
du logement ou de son acquisition si
elle est postérieure (année de souscription
pour les S.C.P.I.).
Conditions à respecter
Pour bénéficier de ce «cadeau fiscal», le
contribuable est soumis à des contraintes assez
fortes. Ainsi, le bien acquis doit être loué
nu, à titre d’habitation principale pendant
au moins 9 ans, à une personne autre qu’un
membre du foyer fiscal, soit un ascendant
ou un descendant. Le porteur de parts doit
conserver ses titres jusqu’à l’expiration des 9
ans. De plus, la première location doit intervenir
dans les 12 mois suivant l’achèvement des
travaux ou l’acquisition du logement si elle
est postérieure.
Quant aux logements, ils doivent atteindre
un haut niveau de performance énergétique
défini. Dans le neuf, ils doivent respecter la
réglementation thermique 2012 ou être labellisés
«B.B.C. 2005», si le permis de construire
est antérieur à 2013. Pour les bâtiments existants,
il s’agit du label «H.P.E. rénovation » ou
«B.B.C. rénovation 2009».
Loyers et ressources du locataire
Autre règle à respecter, les loyers et ressources
du locataire ne doivent pas dépasser
des plafonds, fixés par décret (voir tableaux).
Les plafonds de loyers varient en fonction
de la zone géographique du logement et de
sa surface. Ils s’établissent à un niveau inférieur
d’environ 20 % aux loyers de marché,
en sachant que le préfet peut encore réduire
localement le plafond pour l’adapter au marché
locatif local. Les plafonds de ressources
varient, pour leur part, selon la composition
du ménage et la localisation du logement.
Des zones éligibles
Pour ouvrir droit au bonus fiscal, le bien doit
être situé dans une zone caractérisée par un
déséquilibre important entre l’offre et la demande
de logements. Il s’agit des zones A, A
bis et B1. Depuis juillet 2013, la zone B2 est,
également, éligible sous condition d’un agrément
de l’État. En revanche, la zone C est exclue
du dispositif Duflot.
Une niche fiscale
Attention, la réduction d’impôtDuflot est prise
en compte pour la détermination du plafonnement
global des avantages fiscaux (ou niches
fiscales), fixé à 10.000
d par an en 2013. Vous
devez donc vérifier si vous pouvez profiter
intégralement de l’avantage fiscal avant d’investir.
A défaut, la rentabilité de votre opération
pourrait être, en partie, compromis
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
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