CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
SARKO LIBERE DES PEUPLES DESQUELS IL A FOURBI DES ARMES A SES DICTATEURS QUI LES EXTERMINER
ELLE EST PAS BELLE LA VIE DES MEURTRIERS SANS FOI NI LOI...TOUS DEHORS
jeudi 27 octobre 2011 08:05
La France, 4e exportateur d'armes au monde en 2010 mais baisse de 37% des ventes
Les exportations françaises dans le secteur de l'armement ont atteint 5,12 milliards d'euros en 2010, en baisse de 37% par rapport à 2009, mais la France s'est maintenue au 4e rang des exportateurs au niveau mondial, a annoncé le ministère de la Défense.
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AFP/Archives
Le montant des exportations françaises dans ce secteur avait été de 8,16 milliards d'euros en 2009.
Malgré une conjoncture "un peu dépressive", compte tenu de la crise financière, le niveau des exportations françaises d'armement en 2010 reste toutefois supérieur à son niveau des années 2004-2005, a fait valoir le porte-parole adjoint du ministère, le général Philippe Pontiès, au cours d'une conférence de presse mercredi.
Avec 5,12 milliards de "prises de commandes" en 2010, les exportations françaises, qui s'étaient dégradées dans les années 1990, retrouvent leur niveau des années 2006-2007, date de mise en place d'un plan de relance du secteur.
Paris entend consolider dans les années qui viennent "une part à minima de 6% sur le marché mondial" des exportations d'armement, d'un montant global d'environ 60 à 70 milliards d'euros, a précisé le général Pontiès, en présentant le rapport annuel au Parlement sur les exportations françaises d'armement.
L'Arabie saoudite, l'Inde et la Malaisie, ont été parmi les principaux clients de la France en 2010 et l'ensemble du Moyen-Orient reste, avec 27% des prises de commandes, la première destination des exportations françaises.
Viennent ensuite l'Amérique latine (25%) grâce aux contrats conclus avec le Brésil, l'Asie (18%) et l'Europe (17%), selon le rapport.
Avec 6% du marché mondial, la France arrive en 4e position derrière les Etats-Unis (53,7%), le Royaume-Uni (12,5%) et la Russie (8,2%).
Selon le général Pontiès, 2011-2012 devraient être des "années charnières", d'importants contrats étant en cours de négociation.
La France est notamment en discussion depuis plusieurs années avec le Brésil pour la vente de 36 avions de combat Rafale et avec les Emirats Arabes Unis pour une soixantaine d'exemplaires de l'appareil de Dassault Aviation. Le Rafale, qui équipe l'armée française, n'a encore jamais été vendu à l'exportation.
La France propose aussi dans l'aéronautique les hélicoptères Tigre et NH-90, et dans le naval le sous-marin Scorpène, la frégate FREMM et le Bâtiment de projection et de commandement (BPC).
Les exportations constituent environ un tiers du chiffre d'affaire de l'industrie française d'armement.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valero, a précisé que "depuis le début des révolutions arabes", fin 2010-début 2011, toutes les autorisations de ventes d'armement qui avaient été délivrées par la France en direction des pays concernés avaient "été gelées".
"Sur la Syrie, tout est fermé", "même réponse" pour le Yémen, deux pays encore en proie à un soulèvement sans précédent, a-t-il dit.
Cependant trois ONG, Oxfam France, CCFD-Terre Solidaire et Amnesty International France, ont dénoncé mercredi "l'opacité persistante" du gouvernement à ce sujet.
"Au lendemain du printemps arabe, où de nombreuses armes occidentales ont été utilisées pour réprimer dans la violence des mouvements pacifiques", disent les ONG "la France n'a toujours pas formellement remis à plat sa politique d'exportations d'armes vis-à-vis de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient".
bienvenou- Admin
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
J"ai un trou domenico
cette droite là c'est celle des humanistes ou la DROITE SOCIALE ou aucune des deux
y a du brouillage sur ma ligne d'ecoute je confonds les supions que j'ai mangés sur la cote avec eux
...........ESPION 1.............ESPION 2...ESPION 3
vendredi 28 octobre 2011 20:04
Espionnage d'un journaliste au Monde: le chef de la police Péchenard échappe à la mise en examen
Les juges enquêtant sur les "fadettes" ont décidé vendredi de ne pas mettre en examen le chef de la police nationale Frédéric Péchenard, onze jours après avoir engagé des poursuites contre le patron du renseignement intérieur dans cette affaire d'espionnage de journalistes.
"Il n'est pas mis en examen, il garde son statut de témoin assisté, je m'en réjouis pour lui et je fais l'observation, en même temps, que cette affaire n'est pas aussi simple que d'aucuns veulent la présenter", a commenté le ministre de l'Intérieur Claude Guéant en marge d'un déplacement en Gironde.
Par la voix de son secrétaire national Bruno Beschizza, l'UMP a exigé des "excuses" du candidat socialiste à la présidentielle François Hollande pour avoir jugé fin septembre que le directeur général de la police nationale (DGPN) devait être "démissionné".
Dans ce dossier, dans lequel le directeur central du renseignement intérieur (DCRI) Bernard Squarcini a été mis en examen le 17 octobre, M. Péchenard garde son statut de témoin assisté, intermédiaire entre celui de simple témoin et celui de mis en examen, qui lui permet d'avoir accès au dossier.
"Le juge estime qu'il n'y a pas de charges qui pèseraient contre lui d'avoir commis une quelconque infraction", a commenté son avocat, Me Hervé Lehmann à sa sortie du cabinet des juges Sylvia Zimmermann et Alain Nguyen The.
Ils cherchent à établir les responsabilités dans une enquête à l'été 2010 de la DCRI, comprenant l'analyse de factures téléphoniques détaillées ("fadettes") du journaliste du Monde Gérard Davet, dans le but d'identifier les sources du quotidien dans l'affaire Woerth-Bettencourt.
Le Monde venait de révéler le contenu des déclarations à la police de Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, qui y mettait en difficulté Eric Woerth, ministre de Nicolas Sarkozy.
Lors de son audition, M. Péchenard "a confirmé aux juges ce qu'il a toujours dit, c'est-à-dire qu'il avait demandé à la DCRI d'identifier le haut fonctionnaire qui avait trahi le secret professionnel", a déclaré Me Lehman.
L'avocat a précisé que son client avait fait "de son propre chef" cette requête : "Personne ne lui a demandé de faire quelque enquête que ce soit".
Toutefois, il a ajouté n'être pas entré dans le détail de la méthode à utiliser: "D'une manière générale, quand le directeur de la police demande de faire une enquête, il ne donne pas d'instruction sur la manière de faire l'enquête et il part du principe que l'enquête sera faite de manière légale."
Mis en examen pour "atteinte au secret des correspondances", "collecte illicite de données" et "recel de violation du secret professionnel", M. Squarcini avait donné lors de son audition une version correspondant à celle de M. Péchenard.
Il avait reconnu avoir cherché à trouver la source de M. Davet en analysant ses "fadettes". Il avait expliqué que M. Péchenard lui avait demandé en juillet 2010 d'identifier la source du Monde, sans lui indiquer de "modus operandi" pour y parvenir.
"Je fais ce que l'on me dit de faire avec les outils que l'on me donne", avait-il dit aux juges, selon des extraits de son audition publiés par Le Monde, partie civile.
Dans un autre volet de l'enquête sur la violation des sources, la juge Zimmermann avait convoqué en vue d'une éventuelle mise en examen le procureur de Nanterre Philippe Courroye avant de reporter cette audition sine die.
Dans un communiqué, Synergie Officiers (deuxième syndicat d'officiers de police) se "félicite" de la décision des juges de ne pas mettre en examen M. Péchenard, "homme intègre et probe".
cette droite là c'est celle des humanistes ou la DROITE SOCIALE ou aucune des deux
y a du brouillage sur ma ligne d'ecoute je confonds les supions que j'ai mangés sur la cote avec eux
...........ESPION 1.............ESPION 2...ESPION 3
vendredi 28 octobre 2011 20:04
Espionnage d'un journaliste au Monde: le chef de la police Péchenard échappe à la mise en examen
Les juges enquêtant sur les "fadettes" ont décidé vendredi de ne pas mettre en examen le chef de la police nationale Frédéric Péchenard, onze jours après avoir engagé des poursuites contre le patron du renseignement intérieur dans cette affaire d'espionnage de journalistes.
"Il n'est pas mis en examen, il garde son statut de témoin assisté, je m'en réjouis pour lui et je fais l'observation, en même temps, que cette affaire n'est pas aussi simple que d'aucuns veulent la présenter", a commenté le ministre de l'Intérieur Claude Guéant en marge d'un déplacement en Gironde.
Par la voix de son secrétaire national Bruno Beschizza, l'UMP a exigé des "excuses" du candidat socialiste à la présidentielle François Hollande pour avoir jugé fin septembre que le directeur général de la police nationale (DGPN) devait être "démissionné".
Dans ce dossier, dans lequel le directeur central du renseignement intérieur (DCRI) Bernard Squarcini a été mis en examen le 17 octobre, M. Péchenard garde son statut de témoin assisté, intermédiaire entre celui de simple témoin et celui de mis en examen, qui lui permet d'avoir accès au dossier.
"Le juge estime qu'il n'y a pas de charges qui pèseraient contre lui d'avoir commis une quelconque infraction", a commenté son avocat, Me Hervé Lehmann à sa sortie du cabinet des juges Sylvia Zimmermann et Alain Nguyen The.
Ils cherchent à établir les responsabilités dans une enquête à l'été 2010 de la DCRI, comprenant l'analyse de factures téléphoniques détaillées ("fadettes") du journaliste du Monde Gérard Davet, dans le but d'identifier les sources du quotidien dans l'affaire Woerth-Bettencourt.
Le Monde venait de révéler le contenu des déclarations à la police de Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, qui y mettait en difficulté Eric Woerth, ministre de Nicolas Sarkozy.
Lors de son audition, M. Péchenard "a confirmé aux juges ce qu'il a toujours dit, c'est-à-dire qu'il avait demandé à la DCRI d'identifier le haut fonctionnaire qui avait trahi le secret professionnel", a déclaré Me Lehman.
L'avocat a précisé que son client avait fait "de son propre chef" cette requête : "Personne ne lui a demandé de faire quelque enquête que ce soit".
Toutefois, il a ajouté n'être pas entré dans le détail de la méthode à utiliser: "D'une manière générale, quand le directeur de la police demande de faire une enquête, il ne donne pas d'instruction sur la manière de faire l'enquête et il part du principe que l'enquête sera faite de manière légale."
Mis en examen pour "atteinte au secret des correspondances", "collecte illicite de données" et "recel de violation du secret professionnel", M. Squarcini avait donné lors de son audition une version correspondant à celle de M. Péchenard.
Il avait reconnu avoir cherché à trouver la source de M. Davet en analysant ses "fadettes". Il avait expliqué que M. Péchenard lui avait demandé en juillet 2010 d'identifier la source du Monde, sans lui indiquer de "modus operandi" pour y parvenir.
"Je fais ce que l'on me dit de faire avec les outils que l'on me donne", avait-il dit aux juges, selon des extraits de son audition publiés par Le Monde, partie civile.
Dans un autre volet de l'enquête sur la violation des sources, la juge Zimmermann avait convoqué en vue d'une éventuelle mise en examen le procureur de Nanterre Philippe Courroye avant de reporter cette audition sine die.
Dans un communiqué, Synergie Officiers (deuxième syndicat d'officiers de police) se "félicite" de la décision des juges de ne pas mettre en examen M. Péchenard, "homme intègre et probe".
bienvenou- Admin
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
CASSER LA CROUTE SUR LES TROTTOIRS DE MARSEILLE
JE SAIS PAS DE QUELLES CROUTES ILS VEULENT PARLER
en durcissant les merdes se mettent en croute
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bienvenou- Admin
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
NICO QD ON NE SAIT PAS ...ON DEMANDE A LA DAME
samedi 29 octobre 2011 19:58
Aubry: les critiques de Sarkozy contre les 35 heures "me font sourire"
Martine Aubry, première secrétaire du PS, déclare "sourire" aux critiques du président Nicolas Sarkozy contre les 35 heures "tant elles disputent l'insincérité à l'irresponsabilité", dans un entretien à paraître dans le Journal du Dimanche (JDD).
"Ses critiques contre les 35 heures me font sourire, tant elles disputent l'insincérité à l'irresponsabilité", déclare celle qui a mis en place en 2000 cette mesure sous le gouvernement de Lionel Jospin.
"Si c'était une telle catastrophe, pourquoi ne pas les avoir supprimées depuis dix ans?" interroge l'ancienne ministre du Travail. "Pourquoi l'Allemagne, le nouveau modèle de M. Sarkozy, réussit-elle alors que la durée du travail est inférieure et qu'elle a encore été réduite pendant la crise? " insiste-t-elle.
Pour elle, "un homme politique (MDR, NiKlas Sarkozy) qui n'assume pas ses responsabilités est peu crédible pour tracer l'avenir".
Martine Aubry fustige également l'annonce d'une nouvelle cure d'austérité estimant qu'"elle va ajouter de la crise à la crise et de l'injustice aux injustices, avec une augmentation probable de la TVA". Elle a déploré qu'il n'y ait "rien pour la croissance et l'emploi, alors que l'économie est en panne". "Les résultats sont mauvais parce que la politique menée est mauvaise" assène-t-elle.
Lors de son interview jeudi Nicolas Sarkozy a déclaré que les 35 heures avaient "été une folie payée par les ouvriers et les employés
samedi 29 octobre 2011 19:58
Aubry: les critiques de Sarkozy contre les 35 heures "me font sourire"
Martine Aubry, première secrétaire du PS, déclare "sourire" aux critiques du président Nicolas Sarkozy contre les 35 heures "tant elles disputent l'insincérité à l'irresponsabilité", dans un entretien à paraître dans le Journal du Dimanche (JDD).
"Ses critiques contre les 35 heures me font sourire, tant elles disputent l'insincérité à l'irresponsabilité", déclare celle qui a mis en place en 2000 cette mesure sous le gouvernement de Lionel Jospin.
"Si c'était une telle catastrophe, pourquoi ne pas les avoir supprimées depuis dix ans?" interroge l'ancienne ministre du Travail. "Pourquoi l'Allemagne, le nouveau modèle de M. Sarkozy, réussit-elle alors que la durée du travail est inférieure et qu'elle a encore été réduite pendant la crise? " insiste-t-elle.
Pour elle, "un homme politique (MDR, NiKlas Sarkozy) qui n'assume pas ses responsabilités est peu crédible pour tracer l'avenir".
Martine Aubry fustige également l'annonce d'une nouvelle cure d'austérité estimant qu'"elle va ajouter de la crise à la crise et de l'injustice aux injustices, avec une augmentation probable de la TVA". Elle a déploré qu'il n'y ait "rien pour la croissance et l'emploi, alors que l'économie est en panne". "Les résultats sont mauvais parce que la politique menée est mauvaise" assène-t-elle.
Lors de son interview jeudi Nicolas Sarkozy a déclaré que les 35 heures avaient "été une folie payée par les ouvriers et les employés
aladin- Messages : 115038
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
LA DROITE KEZAKO.. EH BIEN C 'EST CA
Euro, dette, affaires,
présidentielle sans primaire
avec un chevalier perdant Sarkozy
Euro, dette, affaires,
présidentielle sans primaire
avec un chevalier perdant Sarkozy
aladin- Messages : 115038
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
http://video.fr.msn.com/watch/video/pub-lump-sinspire-du-ps/13qx3rnie?cpkey=a6ec3076-77db-49c8-9b9a-b574f1ca8f9d%7c%7c%7c%7c
Pub : l'UMP s'inspire du PS ?
Un étrange copier-coller ! Pour vanter les mérites du président, l'UMP avait fait publier ces tracts avec pour slogan : "La république qui agit, la république qui protège". Un slogan déjà utilisé, il y a quatre ans pour les législatives, par les socialistes. "La gauche qui agit, la gauche qui protège"….
Date: 28/10/11 Vues: 7781 Une vidéo de:
aladin- Messages : 115038
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
Nicolas Sarkozy parle de "gestion rigoureuse". Pas de rigueur.. BIEN SUR IL NOUS PREND POUR DES MONGOLIENS .
aladin a écrit:LA DROITE KEZAKO.. EH BIEN C 'EST CA
Euro, dette, affaires,
présidentielle sans primaire
avec un chevalier perdant Sarkozy
Austérité: le gouvernement étudie 5 mesures, dont une hausse ciblée de TVA, selon la presse
Le gouvernement, qui cherche 6 à 8 milliards d'euros pour réduire son déficit comme prévu en 2012, planche sur plusieurs mesures destinées à augmenter les recettes, par une hausse ciblée de la TVA notamment, tout en maîtrisant certaines dépenses, selon le Journal du Dimanche.
un porte-parole du ministère du Budget n'a pas souhaité faire de commentaires et a précisé que rien n'était décidé.
Le journal dominical, qui n'identifie pas ses sources, détaille ce que pourraient rapporter cinq mesures phares, dont la plus significative est la hausse de la TVA à 5,5% qui touche certains produits et services.
Les travaux dans les logements pour les particuliers, la restauration et les services à domicile seraient visés. Les deux premières mesures rapporteraient 1,5 milliard d'euros avec une TVA à 7% et 3 milliards d'euros avec une taxe à 9%.
Aussi envisagé, et quasi-décidé selon le JDD, le taux de l'impôt sur les sociétés passerait de 33 à 36% pour les grandes entreprises (chiffre d'affaires de plus de 150 millions d'euros), soit un gain d'un peu plus d'un milliard d'euros.
Côté dépenses, l'idée du gouvernement serait de stabiliser l'augmentation de celles des collectivités locales, actuellement de 4% par an, soit environ 4 milliards d'euros.
à lire aussi
dans actualité :
Un nouveau plan pour enrayer la crise
Nicolas Sarkozy parle de "gestion rigoureuse". Pas de rigueur...
Le grand retour de la TVA
Il s'agirait également de freiner les dépenses de la Sécurité sociale, en maintenant d'une part l'augmentation de celles de l'assurance-maladie à 2,5%, contre 2,8% prévu pour 2012, pour un gain de 500 millions d'euros, et d'autre part en agissant contre les fraudes.
Enfin, le dernier pôle d'austérité concernerait le train de vie de l'Etat, à savoir s'attaquer à certains budgets ministériels ou faire baisser les dotations aux organismes et entreprises publiques.
Selon le JDD, plusieurs députés de la majorité insisteront la semaine prochaine via une lettre ouverte ou une tribune à la presse sur la nécessité de toucher aux dépenses.
Le nouveau plan d'austérité sera détaillé au lendemain du G20 de Cannes des 3 et 4 novembre.
Il est rendu nécessaire par une perspective de croissance économique en 2012 plombée par la crise de la zone euro et revue drastiquement à la baisse, à 1%, contre 1,75% prévu jusque-là.
aladin- Messages : 115038
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
[imghttp://www.lamarseillaise.fr/images/stories/photos_papier/FDJ/SARKO%20RT.gif][/img]
Le masterchef et les Borgia 28-10-2011
Le président de la République était jeudi soir sur TF1 et France 2. Il a laissé entrevoir de nouvelles mesures de rigueur et annoncé le renforcement du couple franco-allemand.
Nicolas Sarkozy a laissé entrevoir mercredi soir de nouvelles mesures de rigueur en annonçant l'abaissement à 1% de la prévision de croissance de la France pour 2012.
Dans une émission spéciale sur TF1 et France 2, le chef de l'Etat s'est félicité de ce que l'accord obtenu in extremis a permis d'éviter une catastrophe en effaçant la moitié de la dette grecque et en augmentant la force de frappe du FESF, le Fonds d'assistance aux pays européens en difficulté.
La crise de la dette en Europe a des conséquences sur la France : la prévision de croissance pour 2012 est revue à la baisse, de 1,75% à 1%.
Il faudra trouver selon le président « 6 à 8 milliards » d'euros d'économies ou de recettes fiscales supplémentaires et les décisions seront prises « dans les dix jours ».
Parmi les futures sources de recettes, qui seront détaillées après le sommet du G20 de Cannes début novembre, Nicolas Sarkozy a fait valoir qu' « il (faudrait) sans doute faire participer les importations » au financement de la protection sociale, via un dispositif de taxation de certains produits importés.
« Nous n'avons pas
d'autre choix »
Interrogé pour savoir s'il faisait confiance à Athènes après les décisions du sommet de la zone euro, M. Sarkozy a répondu : « Oui ». « Nous n'avons pas d'autre choix » que de lui faire confiance, a-t-il dit, en estimant que « la Grèce peut se sauver grâce aux décisions » du sommet.
Selon M. Sarkozy, la zone euro ne pouvait « pas déclarer la Grèce en faillite » bien qu'elle « se (trouvât) dans l'impossibilité de rembourser cette dette », car « ça aurait été un processus en cascade, qui aurait emporté tout le monde ». « C'est la totalité de la zone euro, en cascade, qui risquait d'être emportée », a-t-il insisté.
« Si ça marche, si ça fonctionne, si les Grecs font les efforts qui leur sont demandés, ça ne coûtera rien à la France, ça ne coûtera rien à l'Europe », a par ailleurs assuré le chef de l'Etat à propos des prêts garantis à Athènes.
Il a exonéré les agences de notation, dont une a récemment placé la France sous surveillance, de la responsabilité de la
situation. « Plutôt que de s'énerver contre les agences de notation, travaillons plus et travaillons mieux et il n'y aura plus d'agence de notation », a lancé M. Sarkozy.
« Quand vous regardez
la série récente, là, les Borgia »
Il a ensuite donné une leçon d’économie en s’appuyant sur une fiction télé : « Quand vous regardez la série récente, là, les Borgia, on voit que le concert des nations du monde au XVIe siècle, c'était quatre, cinq pays : ça se discutait entre l'Italie, l'Espagne, l'Allemagne, l'Angleterre et la France », a-t-il poursuivi.
« Aujourd'hui nous sommes au XXIe siècle et ils (les pays émergents, nldr) veulent leur part du progrès », a-t-il dit, « ces pays émergents ont une stratégie de conquête des marchés fondée sur une pratique assez agressive du modèle social — certains parlent de dumping — pour avoir leur part du progrès économique et qui peut leur en vouloir ? »
Le nouveau pape de l’économie a ensuite déclaré qu'il souhaitait que la France et l'Allemagne soient « au cœur de l'Europe le poids lourd de l'économie ».
« Nous allons faire converger, Madame Merkel et moi, l'économie allemande et l'économie française », a indiqué Nicolas Sarkozy. « Ce dont nous avons besoin, c'est d'arrêter de penser sur des bases nationales mais de réfléchir sur des bases franco-allemandes », a-t-il expliqué.
« Nous devons réfléchir à la convergence de nos fiscalités », a-t-il dit, citant en exemple un impôt commun sur les bénéfices des sociétés, « des taux de TVA harmonisés », « des hypothèses économiques sur nos budgets validés » de part et d'autre et une fiscalité du patrimoine commune.
Commentaires utilisateurs
Affiche 2 de 2 commentaires
Ecrit par: Julien le 29-10-2011 11:49
L'Espagne n'existait pas encore même si on en était proche, on entend d'ailleurs régulièrement dans la série Borgia se faire traiter de catalan, en référence à la couronne d'Aragon. Et l'Italie et l'Allemagne sont des créations du XIXè siècle !
Par ailleurs il est bizarre de se dire qu'il y avait 4-5 pays alors que la série montre au contraire la myriade d'états indépendants, pays taillés à l'échelle des moyens de communications de l'époque. Il y avait probablement bien plus de pays participant à l'époque qu'à l'ère du G8, et le Monde y était comme infini (on en découvrait de nouveaux bouts).
de la culture générale toujours malmenée
Ecrit par: Julien le 29-10-2011 11:41
C'est quand même affolant que personne ne réagisse quant aux erreurs historiques flagrantes de Sarkozy, qu'on pourrait pardonner à un collégien mais pas à un président de la république par passe son temps à nous rabâcher ses histoires d'excellence etc !
Déjà Borgia ne se passe pas au XVIè siècle mais au XVè siècle. Ca à la limite ça peut passer pour une simple erreur d'innattention, enfin c'est pas un détail non plus parce qu'en les deux il y a la Christophe Collomb, dont la série parle (même si la série aussi contient des anachronismes).
Mais surtout il parle de pays de pays inexistants !!
Le masterchef et les Borgia 28-10-2011
Le président de la République était jeudi soir sur TF1 et France 2. Il a laissé entrevoir de nouvelles mesures de rigueur et annoncé le renforcement du couple franco-allemand.
Nicolas Sarkozy a laissé entrevoir mercredi soir de nouvelles mesures de rigueur en annonçant l'abaissement à 1% de la prévision de croissance de la France pour 2012.
Dans une émission spéciale sur TF1 et France 2, le chef de l'Etat s'est félicité de ce que l'accord obtenu in extremis a permis d'éviter une catastrophe en effaçant la moitié de la dette grecque et en augmentant la force de frappe du FESF, le Fonds d'assistance aux pays européens en difficulté.
La crise de la dette en Europe a des conséquences sur la France : la prévision de croissance pour 2012 est revue à la baisse, de 1,75% à 1%.
Il faudra trouver selon le président « 6 à 8 milliards » d'euros d'économies ou de recettes fiscales supplémentaires et les décisions seront prises « dans les dix jours ».
Parmi les futures sources de recettes, qui seront détaillées après le sommet du G20 de Cannes début novembre, Nicolas Sarkozy a fait valoir qu' « il (faudrait) sans doute faire participer les importations » au financement de la protection sociale, via un dispositif de taxation de certains produits importés.
« Nous n'avons pas
d'autre choix »
Interrogé pour savoir s'il faisait confiance à Athènes après les décisions du sommet de la zone euro, M. Sarkozy a répondu : « Oui ». « Nous n'avons pas d'autre choix » que de lui faire confiance, a-t-il dit, en estimant que « la Grèce peut se sauver grâce aux décisions » du sommet.
Selon M. Sarkozy, la zone euro ne pouvait « pas déclarer la Grèce en faillite » bien qu'elle « se (trouvât) dans l'impossibilité de rembourser cette dette », car « ça aurait été un processus en cascade, qui aurait emporté tout le monde ». « C'est la totalité de la zone euro, en cascade, qui risquait d'être emportée », a-t-il insisté.
« Si ça marche, si ça fonctionne, si les Grecs font les efforts qui leur sont demandés, ça ne coûtera rien à la France, ça ne coûtera rien à l'Europe », a par ailleurs assuré le chef de l'Etat à propos des prêts garantis à Athènes.
Il a exonéré les agences de notation, dont une a récemment placé la France sous surveillance, de la responsabilité de la
situation. « Plutôt que de s'énerver contre les agences de notation, travaillons plus et travaillons mieux et il n'y aura plus d'agence de notation », a lancé M. Sarkozy.
« Quand vous regardez
la série récente, là, les Borgia »
Il a ensuite donné une leçon d’économie en s’appuyant sur une fiction télé : « Quand vous regardez la série récente, là, les Borgia, on voit que le concert des nations du monde au XVIe siècle, c'était quatre, cinq pays : ça se discutait entre l'Italie, l'Espagne, l'Allemagne, l'Angleterre et la France », a-t-il poursuivi.
« Aujourd'hui nous sommes au XXIe siècle et ils (les pays émergents, nldr) veulent leur part du progrès », a-t-il dit, « ces pays émergents ont une stratégie de conquête des marchés fondée sur une pratique assez agressive du modèle social — certains parlent de dumping — pour avoir leur part du progrès économique et qui peut leur en vouloir ? »
Le nouveau pape de l’économie a ensuite déclaré qu'il souhaitait que la France et l'Allemagne soient « au cœur de l'Europe le poids lourd de l'économie ».
« Nous allons faire converger, Madame Merkel et moi, l'économie allemande et l'économie française », a indiqué Nicolas Sarkozy. « Ce dont nous avons besoin, c'est d'arrêter de penser sur des bases nationales mais de réfléchir sur des bases franco-allemandes », a-t-il expliqué.
« Nous devons réfléchir à la convergence de nos fiscalités », a-t-il dit, citant en exemple un impôt commun sur les bénéfices des sociétés, « des taux de TVA harmonisés », « des hypothèses économiques sur nos budgets validés » de part et d'autre et une fiscalité du patrimoine commune.
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Ecrit par: Julien le 29-10-2011 11:49
L'Espagne n'existait pas encore même si on en était proche, on entend d'ailleurs régulièrement dans la série Borgia se faire traiter de catalan, en référence à la couronne d'Aragon. Et l'Italie et l'Allemagne sont des créations du XIXè siècle !
Par ailleurs il est bizarre de se dire qu'il y avait 4-5 pays alors que la série montre au contraire la myriade d'états indépendants, pays taillés à l'échelle des moyens de communications de l'époque. Il y avait probablement bien plus de pays participant à l'époque qu'à l'ère du G8, et le Monde y était comme infini (on en découvrait de nouveaux bouts).
de la culture générale toujours malmenée
Ecrit par: Julien le 29-10-2011 11:41
C'est quand même affolant que personne ne réagisse quant aux erreurs historiques flagrantes de Sarkozy, qu'on pourrait pardonner à un collégien mais pas à un président de la république par passe son temps à nous rabâcher ses histoires d'excellence etc !
Déjà Borgia ne se passe pas au XVIè siècle mais au XVè siècle. Ca à la limite ça peut passer pour une simple erreur d'innattention, enfin c'est pas un détail non plus parce qu'en les deux il y a la Christophe Collomb, dont la série parle (même si la série aussi contient des anachronismes).
Mais surtout il parle de pays de pays inexistants !!
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
G20 : fiasco sur la croisette ?
mercredi 2 novembre 2011 19:10
G20 : fiasco sur la croisette ?
La France, qui préside le G20 depuis novembre 2010 et passera le relais au Mexique pour l'année 2012, avait tout prévu pour faire du sommet de Cannes (3-4 novembre) un moment fort de la gouvernance mondiale : invitation du monde associatif et syndical pour la dimension sociale, pré-ouverture avec un "Business 20" entre les principaux chefs d'entreprise des 20 pays les plus riches de la planète... et, surtout, l'accord pour le redressement de la Grèce, obtenu à l'arrachée le 27 octobre dernier à Bruxelles...
Au lendemain d'une manifestation ayant réuni 5 à 10 000 altermondialistes dans les rues de Nice, le sommet s'ouvre finalement sur un air de fiasco : la mécanique de l'Elysée a été démolie par l'annonce, lundi, du Premier ministre grec George Papandréou sur son référendum concernant le plan d'aide européen : "Si les Grecs n'en veulent pas, il ne sera pas adopté", a-t-il affirmé.
Une annonce qui a replacé les réunions d'urgence et la crise de l'euro en plein cœur du G20, symbolisant une gouvernance à bout de souffle.
LES MAFFIAS SONT EN DEROUTE .........
mercredi 2 novembre 2011 19:10
G20 : fiasco sur la croisette ?
La France, qui préside le G20 depuis novembre 2010 et passera le relais au Mexique pour l'année 2012, avait tout prévu pour faire du sommet de Cannes (3-4 novembre) un moment fort de la gouvernance mondiale : invitation du monde associatif et syndical pour la dimension sociale, pré-ouverture avec un "Business 20" entre les principaux chefs d'entreprise des 20 pays les plus riches de la planète... et, surtout, l'accord pour le redressement de la Grèce, obtenu à l'arrachée le 27 octobre dernier à Bruxelles...
Au lendemain d'une manifestation ayant réuni 5 à 10 000 altermondialistes dans les rues de Nice, le sommet s'ouvre finalement sur un air de fiasco : la mécanique de l'Elysée a été démolie par l'annonce, lundi, du Premier ministre grec George Papandréou sur son référendum concernant le plan d'aide européen : "Si les Grecs n'en veulent pas, il ne sera pas adopté", a-t-il affirmé.
Une annonce qui a replacé les réunions d'urgence et la crise de l'euro en plein cœur du G20, symbolisant une gouvernance à bout de souffle.
LES MAFFIAS SONT EN DEROUTE .........
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
SILENCE DANS LES RANGS
Quartier de la Défense à Paris. Son portique colossal solidement planté au bord occidental. Auprès de lui, des tours de Babel en grand nombre dressées à l’assaut du ciel. Parmi elles s’élancent les trente étages en verre et béton du siège de la banque franco-belge Dexia à l’emblème rutilant. Un siège manifestant clairement la mégalomanie de cet organisme financier. Ne distribue-t-il pas ses prêts aux collectivités locales ? Des clientes aux règlements assurés pour les échéances. Patatras, voici Dexia en faillite.
Ces collectivités avaient souscrit des « prêts toxiques ». Vendus sous l’étiquette de prêts « Tofix » comme par dérision envers les emprunteurs. Car précisément, les intérêts de l’emprunt étaient loin d’être à un taux fixe. Les prêts étaient à taux variable en fonction de conditions compliquées sur les parités ou les différentiels entre euro/franc suisse, euro-dollar, euro/yen et même avec intervention d’indices de la livre sterling ou de la bourse de Varsovie. Ceci se passait de 1995 à 2009. Au total la banque franco-suisse avait vendu pour 15 à 25 d’euro de ces prêts structurés dits toxiques. Et les nigauds d’élus et dirigeants des collectivités locales s’étaient laissés berner en criant « Et moi ! Et moi ! Et moi ! » Aujourd’hui plus de 5 000 collectivités sont en difficulté. Certaines ont renégocié en prêts à hauts risques au prix de considérables pénalités de remboursement. Les taux d’intérêt, faibles au début se sont envolés jusqu’à 30% ces derniers mois. Malheureusement, le département de la Haute-Corse et la collectivité territoriale figurent en fonction de la population, dans le peloton de tête des victimes. Ainsi, le montant des surcoûts attendus de ces intérêts s’élève à 23,3 M€, soit 41% de la somme empruntée. La commune de Linguizetta à elle seule aurait emprunté 3 M€ (2800 € par habitant). Le département de la Corse-du-Sud ne figure pas au nombre des clients de Dexia semble-t-il. Aujourd’hui cette banque se trouve divisée en deux parties, la belge et la française. Quelles seront les conséquences ? Il y a fort à parier que les citoyens seront mis à contribution dans les collectivités concernées. Ils risquent de devoir payer des dizaines d’années voire davantage. Le plus remarquable en toute cette déplorable affaire est le silence des responsables de ces collectivités. C’est leur conception de la démocratie sans doute, leur façon d’assumer leurs actes pour leur légèreté ou leur incompétence. Quant au cynisme de cette banque, il abattu tous les records et une dissimulation frauduleuse. Jamais comme à notre époque, on n’aura autant parlé d’argent, de crédit et de banque. S’agissant de Dexia, en Corse tout le monde se tait. Allez y comprendre quelque chose.
Marc’Aureliu Pietrasanta
Quartier de la Défense à Paris. Son portique colossal solidement planté au bord occidental. Auprès de lui, des tours de Babel en grand nombre dressées à l’assaut du ciel. Parmi elles s’élancent les trente étages en verre et béton du siège de la banque franco-belge Dexia à l’emblème rutilant. Un siège manifestant clairement la mégalomanie de cet organisme financier. Ne distribue-t-il pas ses prêts aux collectivités locales ? Des clientes aux règlements assurés pour les échéances. Patatras, voici Dexia en faillite.
Ces collectivités avaient souscrit des « prêts toxiques ». Vendus sous l’étiquette de prêts « Tofix » comme par dérision envers les emprunteurs. Car précisément, les intérêts de l’emprunt étaient loin d’être à un taux fixe. Les prêts étaient à taux variable en fonction de conditions compliquées sur les parités ou les différentiels entre euro/franc suisse, euro-dollar, euro/yen et même avec intervention d’indices de la livre sterling ou de la bourse de Varsovie. Ceci se passait de 1995 à 2009. Au total la banque franco-suisse avait vendu pour 15 à 25 d’euro de ces prêts structurés dits toxiques. Et les nigauds d’élus et dirigeants des collectivités locales s’étaient laissés berner en criant « Et moi ! Et moi ! Et moi ! » Aujourd’hui plus de 5 000 collectivités sont en difficulté. Certaines ont renégocié en prêts à hauts risques au prix de considérables pénalités de remboursement. Les taux d’intérêt, faibles au début se sont envolés jusqu’à 30% ces derniers mois. Malheureusement, le département de la Haute-Corse et la collectivité territoriale figurent en fonction de la population, dans le peloton de tête des victimes. Ainsi, le montant des surcoûts attendus de ces intérêts s’élève à 23,3 M€, soit 41% de la somme empruntée. La commune de Linguizetta à elle seule aurait emprunté 3 M€ (2800 € par habitant). Le département de la Corse-du-Sud ne figure pas au nombre des clients de Dexia semble-t-il. Aujourd’hui cette banque se trouve divisée en deux parties, la belge et la française. Quelles seront les conséquences ? Il y a fort à parier que les citoyens seront mis à contribution dans les collectivités concernées. Ils risquent de devoir payer des dizaines d’années voire davantage. Le plus remarquable en toute cette déplorable affaire est le silence des responsables de ces collectivités. C’est leur conception de la démocratie sans doute, leur façon d’assumer leurs actes pour leur légèreté ou leur incompétence. Quant au cynisme de cette banque, il abattu tous les records et une dissimulation frauduleuse. Jamais comme à notre époque, on n’aura autant parlé d’argent, de crédit et de banque. S’agissant de Dexia, en Corse tout le monde se tait. Allez y comprendre quelque chose.
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
Sécurité sociale Le temps des salopards ?
jeudi 3 novembre 2011,
Pour réduire son déficit, la Sécu rembourserait
moins les médicaments réduisant les souffrances causées
par les pathologies les plus graves. Consternant !
Un bon conseil : pour l’avenir, prévoyez d’être jeunes, beaux, riches et en bonne santé, jusqu’au moment où le Bon Dieu décidera de vous rappeler à lui. A défaut, vous connaîtrez l’Enfer avant même d’être passé de vie à trépas, et le ferez aussi endurer à votre entourage. En effet, les chasseurs de coûts de la Sécu sont à nouveau de sortie. Avec le soutien - déclaré ou honteux - du pouvoir en place, ils travaillent à une énième action visant à « réduire le déficit ». Vous noterez en passant que « réduire » a désormais remplacé « gommer » Ce qui veut dire que, même amère, la prochaine potion ne serait pas la dernière.
Ni correct, ni poli
Des potions amères, ces dernières années, nous en avons avalées quelques unes ; la dernière en date étant les franchises. Mais celle qui est aujourd’hui proposée, est plus que marquée d’amertume, elle est tout simplement « dégueulasse » ; pour reprendre un mot cher à Fadela Amara. J’admets que ce mot n’est ni politiquement correct, ni poli. Mais il est des circonstances où il convient d’abandonner les convenances et « d’appeler un chat un chat ». Proposer que l’assurance maladie - l’organisme permettant que chacune et chacun d’entre nous puisse compter sur la solidarité de son voisin pour retrouver la santé - réduise le taux de prise en charge des médicaments traitant des affections de longue durée, relèverait en effet de l’horreur. Cela signifierait dire à un diabétique, un cancéreux ou une personne souffrant d’une maladie cardiaque grave, que la société se fiche de son sort. Cela suggèrerait même qu’être malade est une faute ou du moins une volonté de casser les pieds à son prochain. Il faut n’avoir jamais eu un malade dans son entourage ou son voisinage pour oser envisager ce cas de figure ! En effet, parler de « médicaments de confort » quand on évoque des médicaments « anti-douleur » ou réduisant les effets indésirables de traitements lourds, n’est pas faire preuve d’humanité. Vivre le confort, c’est être passé du stade de la satisfaction de besoins vitaux à celui de la recherche d’un peu de superflu et de bien-être. Or, administrer un « anti-douleur » n’est pas du domaine du superflu mais du vital ; cela n’est pas procurer au patient du bien-être mais simplement lui permettre de moins souffrir.
Deux mauvaises directions
D’aucuns s’imaginent sans doute que faire appel aux mutuelles serait la solution pour réduire les remboursements et rester humains. Rien n’est plus faux. D’abord, nombre de Français, souvent les plus pauvres, ne disposent pas de ce type de couverture maladie. Ensuite, accepter que le remboursement de médicaments vitaux concernant des millions de patients ne soit plus assuré par la solidarité collective mais par l’assurance individuelle, irait dans au moins deux mauvaises directions. La première : cela fragiliserait le minimum de solidarité collective qui fait que notre pays n’appartient pas à ces Etats développés (les USA par exemple) où, seuls ceux qui ont les moyens de payer, ont le droit réel d’être soignés et de moins souffrir. La seconde serait d’ouvrir grand le porte à la privatisation de l’assurance maladie dont rêvent tant de décideurs pour qui la société ne peut être régie que par le profit et pour lesquels un pauvre, un faible, un vieux ou un malade s’appelle un « fardeau social ».
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
ILS SONT CARREMENT RIDICULES DANS LEUR CINEMA INTERNE
UNE BELLE DEBANDADE DE SLOGANS VIDES LA DROITE POPULAIRE LA DROITE HUMANISTE
LA DROITE ........... FION COPE
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
François Fillon dévoile un second plan d'austérité en moins de trois mois
François Fillon va dévoiler lundi, au cours d'une conférence de presse à l'issue d'un Conseil des ministres décalé, un second plan d'austérité en moins de trois mois, présenté comme un "plan d'équilibre des finances publiques".
Ce plan, qui doit permettre à la France de respecter ses engagements financiers internationaux et de conserver son très recherché triple A, ne sera "pas une addition de mesurettes symboliques", a prévenu François Baroin, ministre de l'Economie.
Le chef du gouvernement ira le présenter
aux Français sur le plateau du journal de 20h00 de SARKOTF1.
A peine le chapitre du G20 refermé, le gouvernement a dû se remettre à la tâche. Dès samedi, le Premier ministre a averti, lors d'un déplacement en province, que "l'heure de vérité avait sonné" et que le budget 2012 serait "l'un des plus rigoureux depuis 1945".
Tout le week-end, les réunions se sont enchaînées à l'Elysée et dans les ministères pour mettre au point les détails d'un plan dont l'objectif est de dégager 6 à 8 milliards d'euros, alors que l'économie française s'enfonce dans le marasme et affiche une prévision officielle de croissance ramenée de 1,75% à 1% pour 2012.
Plusieurs pistes ont fait leur chemin ce week-end: un taux de TVA relevé de 5,5% à 7% pour la restauration, les travaux de rénovation des logements ou encore les emplois à domicile ainsi qu'une surtaxe exceptionnelle sur l'impôt des sociétés, visant les grands groupes. L'hypothèse d'une deuxième journée de solidarité, un temps évoquée, a finalement été écartée dimanche par François Baroin.
Selon le site du journal Les Echos, le gouvernement envisage d'accélérer la mise en oeuvre de la réforme des retraites de 2010, en réduisant la période de transition qui doit porter à terme à 62 ans l'âge légal de départ à la retraite. Selon cette source "il ne s'agit pas de porter l'âge légal au-delà des 62 ans mais de réduire la période de transition, censée s'achever en 2018".
François Fillon "va dire que notre objectif est un retour à l'équilibre budgétaire en 2016", a sobrement indiqué la ministre du Budget Valérie Pécresse. "La ligne directrice, ce sera d'abord des économies en dépenses, et puis de la justice", selon elle, c'est-à-dire que "tout le monde paiera à due proportion de ses capacités".
Sans attendre, syndicats et opposition ont dénoncé un plan de rigueur qui ne veut pas dire son nom, François Hollande estimant qu'une hausse ciblée de la TVA serait une "preuve de l'inconstance, de l'incohérence de la politique qui est menée depuis 2007"
François Fillon va dévoiler lundi, au cours d'une conférence de presse à l'issue d'un Conseil des ministres décalé, un second plan d'austérité en moins de trois mois, présenté comme un "plan d'équilibre des finances publiques".
Ce plan, qui doit permettre à la France de respecter ses engagements financiers internationaux et de conserver son très recherché triple A, ne sera "pas une addition de mesurettes symboliques", a prévenu François Baroin, ministre de l'Economie.
Le chef du gouvernement ira le présenter
aux Français sur le plateau du journal de 20h00 de SARKOTF1.
A peine le chapitre du G20 refermé, le gouvernement a dû se remettre à la tâche. Dès samedi, le Premier ministre a averti, lors d'un déplacement en province, que "l'heure de vérité avait sonné" et que le budget 2012 serait "l'un des plus rigoureux depuis 1945".
Tout le week-end, les réunions se sont enchaînées à l'Elysée et dans les ministères pour mettre au point les détails d'un plan dont l'objectif est de dégager 6 à 8 milliards d'euros, alors que l'économie française s'enfonce dans le marasme et affiche une prévision officielle de croissance ramenée de 1,75% à 1% pour 2012.
Plusieurs pistes ont fait leur chemin ce week-end: un taux de TVA relevé de 5,5% à 7% pour la restauration, les travaux de rénovation des logements ou encore les emplois à domicile ainsi qu'une surtaxe exceptionnelle sur l'impôt des sociétés, visant les grands groupes. L'hypothèse d'une deuxième journée de solidarité, un temps évoquée, a finalement été écartée dimanche par François Baroin.
Selon le site du journal Les Echos, le gouvernement envisage d'accélérer la mise en oeuvre de la réforme des retraites de 2010, en réduisant la période de transition qui doit porter à terme à 62 ans l'âge légal de départ à la retraite. Selon cette source "il ne s'agit pas de porter l'âge légal au-delà des 62 ans mais de réduire la période de transition, censée s'achever en 2018".
François Fillon "va dire que notre objectif est un retour à l'équilibre budgétaire en 2016", a sobrement indiqué la ministre du Budget Valérie Pécresse. "La ligne directrice, ce sera d'abord des économies en dépenses, et puis de la justice", selon elle, c'est-à-dire que "tout le monde paiera à due proportion de ses capacités".
Sans attendre, syndicats et opposition ont dénoncé un plan de rigueur qui ne veut pas dire son nom, François Hollande estimant qu'une hausse ciblée de la TVA serait une "preuve de l'inconstance, de l'incohérence de la politique qui est menée depuis 2007"
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
François Fillon dévoile un second plan d'austérité en moins de trois mois
Sarkozy, une catastrophe nationale
De Ragnarok - Le 07/11/2011 à 12h29 bel article assez complet
Voici le triste bilan politique de cinq longues années de Sarkozysme. Ne comptons pas sur ces incompétents de l'UMP pour remédier à cette situation puisque l'explosion des déficits dans notre pays est bien la conséquence de la politique clientéliste menée par Sarkozy et la clique qui l'accompagne. A quelques mois des présidentielles de 2012, notre président et son parti sont prêts à toutes les basseses pour tenter de discréditer le camp de l'opposition qui, il faut bien le souligner, n'est plus au pouvoir depuis mai 1995. Jacques Attali avait indiqué dans le journal Le Monde que "contrairement à tout ce que tout le monde dit", la France a été explicitement désignée pour perdre son AAA par l'agence de notation Standard & Poor's. Cette dernière a glissé dans son rapport sur les Etats-Unis une phrase passée inaperçue : "un seul pays noté AAA aura en 2015 une dette égale à celle des Etats-Unis en ratio ; c'est la France" explique t-il. Quand on sait que la réforme des retraites en France n'avait aucune urgence que de faire plaisir aux agences de notation, avec la complicité de notre gouvernement malveillant, nous sommes en droit de nous poser certaines questions sur les intentions malhonnêtes de cette caste de l'UMP au pouvoir dont le programme politique est aussi vide et nauséabond que celui du F-Haine. Fillon et Baroin reconnaissaient que la réforme des retraites avait pour unique objet de rassurer les agences de notation et conserver le triple A permettant à notre pays de s'endetter sans trop de frais. Notre pays est à la solde des agences de notation et du monde ripoux de la finance. Après les retraites, les agences de notation passent à la vitesse supérieure pour obtenir la peau de la sécurité sociale. C'est ainsi que l'agence Standard & Poor's (qui porte bien son nom) exige la fin de la sécu comme l'a indiqué un article paru récemment dans les Echos. Pourquoi ? Parce que cela coûte cher. En effet, la logique du libéralisme est d'avoir la mainmise absolue sur les Etats non pas en tant que tels, mais en tant qu'acteurs économiques et de prendre le dessus sur les politiques. On notera qu'en France, dirigée par un gouvernement libéral, cela ne pose aucune difficulté.
On a rarement vu autant de dirigeants se décharger du pouvoir. Il serait temps dans ce pays que les consciences se réveillent contre le népotisme politique mené par des avocats minables, des hableurs et tribuns, endormeurs publics sans rien dans la cervelle, marionnettes du patronat français ultra conservateur et du monde opaque de la finance. Depuis l'avènement de Sarkozy au pouvoir, tout va de mal en pis. Les suppressions d'emplois et la généralisation de la précarité au travail et dans notre société vont bon train. Notre pays glisse progressivement vers un modèle à l'anglo-saxonne rêvée par cette droite décadente : système de santé et d'éducation à deux vitesses, déremboursement des médicaments, suppression des services publics..... Les plus fortunés auront de quoi subvenir à leurs besoins tandis qu'une frange de la population française sera condamnée à vivre dans la misère. Voilà en gros le sombre avenir auquel nous prépare ce gouvernement fantoche et moribond. Tous les prétextes sont bons pour faire des économies tandis que dans le même temps, le budget de "fonctionnement" de l'Elysée payée par nos impôts et taxes que nous reversons à l'Etat profite à cette bande d'arrivistes au pouvoir. Remarquez que ces derniers ne se sentent pas concernés par les mesures d'austérité qu'ils se permettent d'imposer au reste de la population française. La solidarité nationale et la démocratie sont aussi deux notions que Sarko et son gouvernement méprisent et bafouent au quotidien, sauf lorsqu'il s'agit de mousser tout ce beau monde qui l'entoure (les profiteurs ne sont pas toujours du côté des pauvres et des plus modestes contrairement aux idées reçues). Le Sarkozy est aussi un grand champion de la démocratie : souvenons-nous de la visite en grande pompe du dicateur sanguinaire Khadafi en 2007 à l'Elysée, et du syrien Bachir El Assad au défilé du14 juillet 2008, celui-là même qui a commandité l'assassinat de l'ex Premier Ministre libanais Rafiq Hariri et qui massacre aujourd'hui une partie de son peuple. Les français devraient sérieusement se poser des questions sur la légitimité de leur président. Une honte pour la France et les droits de l'homme. Les français ont élu un roitelet arrogant sans envergure, menteur, obsédé par le fric, l'image et le pouvoir. Tout ce qu'une démocratie devrait rejeter. Encore un exemple concret lorsqu'il a demandé en 2008 aux farcs, ces terroristes narco-trafiquants de Colombie de cesser la lutte armée dans leur pays en leur promettant en échange la possibilité de venir s'installer sur notre territoire national. Aujourd'hui, les résultats sont là : abus de pouvoir, accumulation des dettes liées notamment au Bouclier fiscal (des milliards d'euros, sur ce coup là, il ne fallait vraiment pas être intelligent pour accorder du pouvoir d'achat à ceux qui n'en n'avaient pas besoin) et à une très mauvaise gestion (pour ne pas dire détournement) des deniers publics, augmentation des prix du baril du pétrole, inflation galopante, création de nouvelles taxes, déficits records générés par des affaires diverses (Société Générale, affaire Tapie, Bettancourt...), pratiques scandaleuses des parachutes dorés (Alcatel Lucent, EADS...), bas salaires (une spécialité en France) perçus par une majorité de nos concitoyens qui freinent leurs dépenses, faute de moyens, patrons réfractaires à l'embauche, et j'en passe, tout cela a forcément un impact négatif sur la santé économique de notre pays. Notre gouvernement a atteint des sommets dans la médiocrité et l'hypocrisie, et surtout dans l'art d'intoxiquer le citoyen avec sa propagande. Avec cette équipe d'illusionnistes, et d'inutiles, l'avenir de notre pays ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices. Les pauvres, les ménages modestes et les petits retraités en mesurent aujourd'hui toutes les conséquences. Il existe pourtant des solutions simples, rapides et efficaces pour relancer la consommation et mettre un terme à ces inégalités : supprimer les parachutes dorés et les stock options, les salaires exhorbitants des grands PDG, qui suivant les cas, se chiffrent à plusieurs dizaines de millions ou de milliards d'euros ; taxer lourdement les entreprises françaises qui ont délocalisé à l'étranger et qui nous revendent leurs produits de piètre qualité made in China aux mêmes prix que s'ils avaient été fabriqués en France ; cesser de faire des cadeaux fiscaux aux plus fortunés qui ne savent plus quoi faire de leur pognon ; renverser Sarkozy en 2012 (une priorité nationale) ; démanteler sa cour et ses valets (souvenons-nous du fils aîné du président sorti de la fac sans un seul diplôme et qui après un petit passage au cours Florent s'était trouvé propulsé grâce à papa à la tête du groupe UMP-NC au conseil général des Hauts-de-Seine), réduire les salaires et indemnités des députés et sénateurs. Il faut faire barrage à ce mégalomane dont le rêve est bien de démanteler les institutions de notre pays et les acquis sociaux pour lesquels nos aieux se sont battus. Ce type est dangereux et le temps est venu de le remettre à sa place avant qu'il ne soit trop tard. A bon entendeur.
Sarkozy, une catastrophe nationale
De Ragnarok - Le 07/11/2011 à 12h29 bel article assez complet
Voici le triste bilan politique de cinq longues années de Sarkozysme. Ne comptons pas sur ces incompétents de l'UMP pour remédier à cette situation puisque l'explosion des déficits dans notre pays est bien la conséquence de la politique clientéliste menée par Sarkozy et la clique qui l'accompagne. A quelques mois des présidentielles de 2012, notre président et son parti sont prêts à toutes les basseses pour tenter de discréditer le camp de l'opposition qui, il faut bien le souligner, n'est plus au pouvoir depuis mai 1995. Jacques Attali avait indiqué dans le journal Le Monde que "contrairement à tout ce que tout le monde dit", la France a été explicitement désignée pour perdre son AAA par l'agence de notation Standard & Poor's. Cette dernière a glissé dans son rapport sur les Etats-Unis une phrase passée inaperçue : "un seul pays noté AAA aura en 2015 une dette égale à celle des Etats-Unis en ratio ; c'est la France" explique t-il. Quand on sait que la réforme des retraites en France n'avait aucune urgence que de faire plaisir aux agences de notation, avec la complicité de notre gouvernement malveillant, nous sommes en droit de nous poser certaines questions sur les intentions malhonnêtes de cette caste de l'UMP au pouvoir dont le programme politique est aussi vide et nauséabond que celui du F-Haine. Fillon et Baroin reconnaissaient que la réforme des retraites avait pour unique objet de rassurer les agences de notation et conserver le triple A permettant à notre pays de s'endetter sans trop de frais. Notre pays est à la solde des agences de notation et du monde ripoux de la finance. Après les retraites, les agences de notation passent à la vitesse supérieure pour obtenir la peau de la sécurité sociale. C'est ainsi que l'agence Standard & Poor's (qui porte bien son nom) exige la fin de la sécu comme l'a indiqué un article paru récemment dans les Echos. Pourquoi ? Parce que cela coûte cher. En effet, la logique du libéralisme est d'avoir la mainmise absolue sur les Etats non pas en tant que tels, mais en tant qu'acteurs économiques et de prendre le dessus sur les politiques. On notera qu'en France, dirigée par un gouvernement libéral, cela ne pose aucune difficulté.
On a rarement vu autant de dirigeants se décharger du pouvoir. Il serait temps dans ce pays que les consciences se réveillent contre le népotisme politique mené par des avocats minables, des hableurs et tribuns, endormeurs publics sans rien dans la cervelle, marionnettes du patronat français ultra conservateur et du monde opaque de la finance. Depuis l'avènement de Sarkozy au pouvoir, tout va de mal en pis. Les suppressions d'emplois et la généralisation de la précarité au travail et dans notre société vont bon train. Notre pays glisse progressivement vers un modèle à l'anglo-saxonne rêvée par cette droite décadente : système de santé et d'éducation à deux vitesses, déremboursement des médicaments, suppression des services publics..... Les plus fortunés auront de quoi subvenir à leurs besoins tandis qu'une frange de la population française sera condamnée à vivre dans la misère. Voilà en gros le sombre avenir auquel nous prépare ce gouvernement fantoche et moribond. Tous les prétextes sont bons pour faire des économies tandis que dans le même temps, le budget de "fonctionnement" de l'Elysée payée par nos impôts et taxes que nous reversons à l'Etat profite à cette bande d'arrivistes au pouvoir. Remarquez que ces derniers ne se sentent pas concernés par les mesures d'austérité qu'ils se permettent d'imposer au reste de la population française. La solidarité nationale et la démocratie sont aussi deux notions que Sarko et son gouvernement méprisent et bafouent au quotidien, sauf lorsqu'il s'agit de mousser tout ce beau monde qui l'entoure (les profiteurs ne sont pas toujours du côté des pauvres et des plus modestes contrairement aux idées reçues). Le Sarkozy est aussi un grand champion de la démocratie : souvenons-nous de la visite en grande pompe du dicateur sanguinaire Khadafi en 2007 à l'Elysée, et du syrien Bachir El Assad au défilé du14 juillet 2008, celui-là même qui a commandité l'assassinat de l'ex Premier Ministre libanais Rafiq Hariri et qui massacre aujourd'hui une partie de son peuple. Les français devraient sérieusement se poser des questions sur la légitimité de leur président. Une honte pour la France et les droits de l'homme. Les français ont élu un roitelet arrogant sans envergure, menteur, obsédé par le fric, l'image et le pouvoir. Tout ce qu'une démocratie devrait rejeter. Encore un exemple concret lorsqu'il a demandé en 2008 aux farcs, ces terroristes narco-trafiquants de Colombie de cesser la lutte armée dans leur pays en leur promettant en échange la possibilité de venir s'installer sur notre territoire national. Aujourd'hui, les résultats sont là : abus de pouvoir, accumulation des dettes liées notamment au Bouclier fiscal (des milliards d'euros, sur ce coup là, il ne fallait vraiment pas être intelligent pour accorder du pouvoir d'achat à ceux qui n'en n'avaient pas besoin) et à une très mauvaise gestion (pour ne pas dire détournement) des deniers publics, augmentation des prix du baril du pétrole, inflation galopante, création de nouvelles taxes, déficits records générés par des affaires diverses (Société Générale, affaire Tapie, Bettancourt...), pratiques scandaleuses des parachutes dorés (Alcatel Lucent, EADS...), bas salaires (une spécialité en France) perçus par une majorité de nos concitoyens qui freinent leurs dépenses, faute de moyens, patrons réfractaires à l'embauche, et j'en passe, tout cela a forcément un impact négatif sur la santé économique de notre pays. Notre gouvernement a atteint des sommets dans la médiocrité et l'hypocrisie, et surtout dans l'art d'intoxiquer le citoyen avec sa propagande. Avec cette équipe d'illusionnistes, et d'inutiles, l'avenir de notre pays ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices. Les pauvres, les ménages modestes et les petits retraités en mesurent aujourd'hui toutes les conséquences. Il existe pourtant des solutions simples, rapides et efficaces pour relancer la consommation et mettre un terme à ces inégalités : supprimer les parachutes dorés et les stock options, les salaires exhorbitants des grands PDG, qui suivant les cas, se chiffrent à plusieurs dizaines de millions ou de milliards d'euros ; taxer lourdement les entreprises françaises qui ont délocalisé à l'étranger et qui nous revendent leurs produits de piètre qualité made in China aux mêmes prix que s'ils avaient été fabriqués en France ; cesser de faire des cadeaux fiscaux aux plus fortunés qui ne savent plus quoi faire de leur pognon ; renverser Sarkozy en 2012 (une priorité nationale) ; démanteler sa cour et ses valets (souvenons-nous du fils aîné du président sorti de la fac sans un seul diplôme et qui après un petit passage au cours Florent s'était trouvé propulsé grâce à papa à la tête du groupe UMP-NC au conseil général des Hauts-de-Seine), réduire les salaires et indemnités des députés et sénateurs. Il faut faire barrage à ce mégalomane dont le rêve est bien de démanteler les institutions de notre pays et les acquis sociaux pour lesquels nos aieux se sont battus. Ce type est dangereux et le temps est venu de le remettre à sa place avant qu'il ne soit trop tard. A bon entendeur.
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
En parallèle, le gouvernement français a mis les bouchées doubles
lundi pour ne pas risquer d'être à son tour victime
de la crise de la dette.
Il a annoncé un nouveau plan de rigueur de 7 milliards d'euros passant notamment par une accélération d'une réforme prévue des retraites.
"Le mot de faillite n'est plus un mot abstrait", a averti le Premier ministre François Fillon.
L'objectif est de ramener le déficit public à 4,5% du PIB en 2012. Il en va du précieux "triple A" de la France, attribué par les agences de notation et sésame pour emprunter à bas coût sur le marché de la dette.
SOYEZ GENTILS DITES PLUTOT VOTRE CRISE DE VOTRE DETTE MESSIEURS LES GOUVERNANTS
NE MELANGEZ PAS TOUT ..SVP
lundi pour ne pas risquer d'être à son tour victime
de la crise de la dette.
Il a annoncé un nouveau plan de rigueur de 7 milliards d'euros passant notamment par une accélération d'une réforme prévue des retraites.
"Le mot de faillite n'est plus un mot abstrait", a averti le Premier ministre François Fillon.
L'objectif est de ramener le déficit public à 4,5% du PIB en 2012. Il en va du précieux "triple A" de la France, attribué par les agences de notation et sésame pour emprunter à bas coût sur le marché de la dette.
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
aladin a écrit:En parallèle, le gouvernement français a mis les bouchées doubles
lundi pour ne pas risquer d'être à son tour victime
de la crise de la dette.
Il a annoncé un nouveau plan de rigueur de 7 milliards d'euros passant notamment par une accélération d'une réforme prévue des retraites.
"Le mot de faillite n'est plus un mot abstrait", a averti le Premier ministre François Fillon.
L'objectif est de ramener le déficit public à 4,5% du PIB en 2012. Il en va du précieux "triple A" de la France, attribué par les agences de notation et sésame pour emprunter à bas coût sur le marché de la dette.
SOYEZ GENTILS DITES PLUTOT VOTRE CRISE DE VOTRE DETTE MESSIEURS LES GOUVERNANTS
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
LE GEL MOI JE LE MET DANS LES CHEVEUX IL A RAISON
CETTE DROITE ELLE EST CHOQUANTE ET DEPASSEE
Hollande promet une baisse de 30% du salaire du président s'il est élu
Le candidat PS à l'élection présidentielle, François Hollande, a promis lundi une baisse de 30% du salaire du président et des ministres s'il est élu en mai 2012, trouvant "choquant" le gel du salaire du chef de l'Etat annoncé par François Fillon dans son plan de rigueur.
"Si je suis élu président de la République, si je forme un gouvernement, il n'y aura non pas un gel, il y aura une baisse de 30% du salaire du président de la République et des ministres", a déclaré M. Hollande lors de son intervention sur France 2.
"Je ne sais pas s'il faut en rire ou même en pleurer", a-t-il commenté sur l'annonce du gel du salaire du président et des ministres. "Le président de la République -je ne veux pas être dans la polémique- s'était augmenté de 170% au début du quinquennat et là aujourd'hui il annonce le gel".
"J'ai trouvé que c'était choquant, après cette augmentation considérable qu'il avait lui-même accordée à son propre salaire, de dire que maintenant il allait le bloquer. De toutes façons cette question sera réglée au mois de mai prochain", a dit le vainqueur de la primaire PS".
"Je ne dis pas que c'est là qu'il va y avoir des économies substantielles. Je dis qu'à un moment il faut montrer que le comportement au sommet de l'Etat est exemplaire", selon lui.
A l'automne 2007, la hausse de 170%
(de 7.000 à 19.000 euros) de la rémunération du chef de l'Etat --via un alignement de son traitement sur celui du Premier ministre-- avait provoqué une vive polémique
CETTE DROITE ELLE EST CHOQUANTE ET DEPASSEE
Hollande promet une baisse de 30% du salaire du président s'il est élu
Le candidat PS à l'élection présidentielle, François Hollande, a promis lundi une baisse de 30% du salaire du président et des ministres s'il est élu en mai 2012, trouvant "choquant" le gel du salaire du chef de l'Etat annoncé par François Fillon dans son plan de rigueur.
"Si je suis élu président de la République, si je forme un gouvernement, il n'y aura non pas un gel, il y aura une baisse de 30% du salaire du président de la République et des ministres", a déclaré M. Hollande lors de son intervention sur France 2.
"Je ne sais pas s'il faut en rire ou même en pleurer", a-t-il commenté sur l'annonce du gel du salaire du président et des ministres. "Le président de la République -je ne veux pas être dans la polémique- s'était augmenté de 170% au début du quinquennat et là aujourd'hui il annonce le gel".
"J'ai trouvé que c'était choquant, après cette augmentation considérable qu'il avait lui-même accordée à son propre salaire, de dire que maintenant il allait le bloquer. De toutes façons cette question sera réglée au mois de mai prochain", a dit le vainqueur de la primaire PS".
"Je ne dis pas que c'est là qu'il va y avoir des économies substantielles. Je dis qu'à un moment il faut montrer que le comportement au sommet de l'Etat est exemplaire", selon lui.
A l'automne 2007, la hausse de 170%
(de 7.000 à 19.000 euros) de la rémunération du chef de l'Etat --via un alignement de son traitement sur celui du Premier ministre-- avait provoqué une vive polémique
aladin- Messages : 115038
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
A FORCE DE LIBERALISER LA SANTE
ON OUVRE LA VOIE AUX CORRUPTIONS DES LABOS
ON OUVRE LA VOIE AUX CORRUPTIONS DES LABOS
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
Effraction": un mot "regrettable" et "inapproprié", selon Devedjian
AFP - 08/11/2011 21:42
L'ancien ministre Patrick Devedjian a qualifié mardi soir sur i-Télé de "regrettable" et "inapproprié" l'affirmation faite par François Baroin dans l'après-midi à l'Assemblée nationale que la gauche avait pris le pouvoir en 1997 "par effraction".
ce BIDOIN deja qu'il n'y connait rien en economie
il est plus specialiste des aventures feminines
François Baroin, né le 21 juin 1965 dans le 12e arrondissement de Paris, est un homme politique, avocat et un ancien journaliste.
Membre du premier gouvernement Juppé en 1995, il est ministre de l'Outre-Mer puis ministre de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire dans celui de Dominique de Villepin (2005-2007).
Membre du RPR, puis de l'UMP, il est à plusieurs reprises député de l'Aube et maire de Troyes depuis 1995. Il est renommé ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l'État dans le deuxième gouvernement Fillon le 22 mars 2010 et devient le porte-parole du gouvernement. Le 29 juin 2011, François Baroin est nommé ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie.
François Claude Pierre René Baroin est le fils de Michèle Paulin et de Michel Baroin (haut fonctionnaire, homme d'affaires et Grand-maître du Grand Orient de France en 1977 / 1978).
PARIS - Le ministre de l'Economie, François Baroin, a enflammé mardi l'Assemblée en accusant les socialistes d'avoir pris le pouvoir "par effraction" en 1997, provoquant une bronca des députés PS qui a entraîné, fait rarissime, la levée de la séance de questions au gouvernement.
M. Baroin a déclenché les foudres socialistes en répondant à une question du député Pierre-Alain Muet sur l'absence de "courage" du plan de rigueur gouvernemental.
"Est-ce du courage de mentir, de basculer dans la démagogie, de taire la vérité, de vous accrocher à ces vieilles lunes socialistes qui vous ont certes conduit par effraction au pouvoir en 1997?", a lancé le ministre, faisant allusion notamment aux 35 heures.
Las! Au mot "effraction", le sang des députés PS n'a fait qu'un tour.
D'autant que François Baroin a répété: "Oui, par effraction !".
Les députés PS ont commencé à protester, taper sur leurs tablettes puis se lever un à un. Voyant le chahut grossir malgré ses appels au calme, le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer (UMP), a tenté de suspendre la séance.
Les socialistes ont commencé à descendre dans les travées, tandis que les huissiers se postaient au bas de l'hémicycle pour éviter un incident. Quelques boulettes de papier ont volé en direction du ministre. Le président de l'Assemblée a alors levé la séance.
Un tel incident n'était pas arrivé depuis juin 2006, pour des mots de Dominique Villepin taxant de "lâcheté"... François Hollande, a-t-on appris de source parlementaire.
A la levée de la séance, le chef de file des députés PS, Jean-Marc Ayrault, a aussitôt protesté: "François Baroin est peut-être fatigué, soumis à des pressions, (...) mais là il est allé trop loin". Il a proféré "une forme d'insulte aux citoyens français" et commis "une faute politique".
"Il faut qu'il fréquente un peu moins M. Sarkozy" qui "met beaucoup d'agitation, d'énervement, de violence dans la vie politique", a dit l'eurodéputé PS Vincent Peillon.
A la reprise des débats sur le budget 2012, M. Ayrault a demandé "des excuses" à François Baroin et au gouvernement. "Croyez-vous que Lionel Jospin aurait été nommé Premier ministre (par Jacques Chirac) s'il était entré ici par effraction?", a-t-il lancé.
Après la dissolution-surprise de l'Assemblée par Jacques Chirac, la gauche, PS en tête, avait remporté les législatives de juin 1997, marquant le début de la cohabitation la plus longue de la Vème République, jusqu'en 2002.
L'ex-Premier ministre socialiste Lionel Jospin, nommé en 1997 à Matignon, a qualifié auprès de l'AFP, les propos de François Baroin de "scandaleux".
"La parole est libre. On ne peut que regretter certains propos inadaptés", a condamné Bernard Accoyer, promettant de transmettre la demande d'excuses à François Baroin, entré en politique sous l'aile de Jacques Chirac.
Christian Jacob, chef de file des députés UMP et autre fidèle de l'ex-président, a essayé de ramener les choses à "un incident de séance". Selon lui, M. Baroin a voulu rappeler "la démagogie des promesses socialistes". Jean-François Copé et Luc Chatel ont aussi volé mardi à la rescousse de leur ami François Baroin.
A l'inverse, l'ex-ministre UMP Patrick Devedjian a déploré un mot "regrettable" et "inapproprié". "S'il y a eu une effraction" en 1997, "c'est dans la dissolution d'une majorité contre elle-même" décidée par Jacques Chirac "qu'il y a une sorte d'effraction morale", a-t-il lancé dans une pique à M. Baroin, un proche parmi les proches de l'ancien président de la République.
Le feuilleton pourrait connaître son épilogue mercredi. Il se murmurait dans les couloirs que BIDOIN attendu à l'Assemblée pour un débat sur le G20, pourrait s'excuser.
AFP - 08/11/2011 21:42
L'ancien ministre Patrick Devedjian a qualifié mardi soir sur i-Télé de "regrettable" et "inapproprié" l'affirmation faite par François Baroin dans l'après-midi à l'Assemblée nationale que la gauche avait pris le pouvoir en 1997 "par effraction".
ce BIDOIN deja qu'il n'y connait rien en economie
il est plus specialiste des aventures feminines
François Baroin, né le 21 juin 1965 dans le 12e arrondissement de Paris, est un homme politique, avocat et un ancien journaliste.
Membre du premier gouvernement Juppé en 1995, il est ministre de l'Outre-Mer puis ministre de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire dans celui de Dominique de Villepin (2005-2007).
Membre du RPR, puis de l'UMP, il est à plusieurs reprises député de l'Aube et maire de Troyes depuis 1995. Il est renommé ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l'État dans le deuxième gouvernement Fillon le 22 mars 2010 et devient le porte-parole du gouvernement. Le 29 juin 2011, François Baroin est nommé ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie.
François Claude Pierre René Baroin est le fils de Michèle Paulin et de Michel Baroin (haut fonctionnaire, homme d'affaires et Grand-maître du Grand Orient de France en 1977 / 1978).
PARIS - Le ministre de l'Economie, François Baroin, a enflammé mardi l'Assemblée en accusant les socialistes d'avoir pris le pouvoir "par effraction" en 1997, provoquant une bronca des députés PS qui a entraîné, fait rarissime, la levée de la séance de questions au gouvernement.
M. Baroin a déclenché les foudres socialistes en répondant à une question du député Pierre-Alain Muet sur l'absence de "courage" du plan de rigueur gouvernemental.
"Est-ce du courage de mentir, de basculer dans la démagogie, de taire la vérité, de vous accrocher à ces vieilles lunes socialistes qui vous ont certes conduit par effraction au pouvoir en 1997?", a lancé le ministre, faisant allusion notamment aux 35 heures.
Las! Au mot "effraction", le sang des députés PS n'a fait qu'un tour.
D'autant que François Baroin a répété: "Oui, par effraction !".
Les députés PS ont commencé à protester, taper sur leurs tablettes puis se lever un à un. Voyant le chahut grossir malgré ses appels au calme, le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer (UMP), a tenté de suspendre la séance.
Les socialistes ont commencé à descendre dans les travées, tandis que les huissiers se postaient au bas de l'hémicycle pour éviter un incident. Quelques boulettes de papier ont volé en direction du ministre. Le président de l'Assemblée a alors levé la séance.
Un tel incident n'était pas arrivé depuis juin 2006, pour des mots de Dominique Villepin taxant de "lâcheté"... François Hollande, a-t-on appris de source parlementaire.
A la levée de la séance, le chef de file des députés PS, Jean-Marc Ayrault, a aussitôt protesté: "François Baroin est peut-être fatigué, soumis à des pressions, (...) mais là il est allé trop loin". Il a proféré "une forme d'insulte aux citoyens français" et commis "une faute politique".
"Il faut qu'il fréquente un peu moins M. Sarkozy" qui "met beaucoup d'agitation, d'énervement, de violence dans la vie politique", a dit l'eurodéputé PS Vincent Peillon.
A la reprise des débats sur le budget 2012, M. Ayrault a demandé "des excuses" à François Baroin et au gouvernement. "Croyez-vous que Lionel Jospin aurait été nommé Premier ministre (par Jacques Chirac) s'il était entré ici par effraction?", a-t-il lancé.
Après la dissolution-surprise de l'Assemblée par Jacques Chirac, la gauche, PS en tête, avait remporté les législatives de juin 1997, marquant le début de la cohabitation la plus longue de la Vème République, jusqu'en 2002.
L'ex-Premier ministre socialiste Lionel Jospin, nommé en 1997 à Matignon, a qualifié auprès de l'AFP, les propos de François Baroin de "scandaleux".
"La parole est libre. On ne peut que regretter certains propos inadaptés", a condamné Bernard Accoyer, promettant de transmettre la demande d'excuses à François Baroin, entré en politique sous l'aile de Jacques Chirac.
Christian Jacob, chef de file des députés UMP et autre fidèle de l'ex-président, a essayé de ramener les choses à "un incident de séance". Selon lui, M. Baroin a voulu rappeler "la démagogie des promesses socialistes". Jean-François Copé et Luc Chatel ont aussi volé mardi à la rescousse de leur ami François Baroin.
A l'inverse, l'ex-ministre UMP Patrick Devedjian a déploré un mot "regrettable" et "inapproprié". "S'il y a eu une effraction" en 1997, "c'est dans la dissolution d'une majorité contre elle-même" décidée par Jacques Chirac "qu'il y a une sorte d'effraction morale", a-t-il lancé dans une pique à M. Baroin, un proche parmi les proches de l'ancien président de la République.
Le feuilleton pourrait connaître son épilogue mercredi. Il se murmurait dans les couloirs que BIDOIN attendu à l'Assemblée pour un débat sur le G20, pourrait s'excuser.
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
sarkopolice ou es tu es tu
bienvenou- Admin
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
L’économie exploite un mauvais fil(l)on
08-11-2011
Dernière mise à jour : ( 08-11-2011 )
Jacques Généreux estime qu’il faudrait d’abord s’attaquer aux 50 à 60 milliards d’euros de niches fiscales qui n’ont aucune utilité.
Au lendemain de l'intervention du Premier ministre qui a dévoilé son deuxième plan d’austérité en moins de trois mois, sencé rapporter 7 milliards d’euros dès 2012, l'économiste Jacques Généreux auteur de « Nous, on peut » préfacé par Jean-Luc Mélenchon répond à nos questions.
Jacques Généreux est Professeur à Sciences Po et secrétaire national du Parti de gauche.
Que vous inspire ce plan ?
Il est à côté de la plaque. La France est en récession, elle a besoin d’une politique économique qui soutienne l’activité et elle doit réduire la charge de sa dette. Rien ne va dans ce sens. Il aurait fallu des mesures pour faciliter les crédits aux PME et TPE, des garanties pour leurs crédits bancaires et même une baisse des coûts de ces crédits. Mais, là, rien n’est fait.
Pour la dette, quelles sont les marges de manœuvre ?
Elles sont énormes dès que l’on s’attaque à la gabegie des dépenses fiscales. L’Inspection générale des finances a ainsi montré que de 50 à 60 milliards d’euros de niches fiscales n’ont aucune utilité. On peut donc les supprimer sans impact sur la croissance et l’activité. Idem pour l’impôt sur le revenu. En revenant simplement au barème de 1999, les économies sont de 17 milliards par an. Et ceci sans toucher à la consommation puisque cela concerne les revenus importants qui se matérialisent dans du patrimoine ou de l’accumulation.
Vous prônez aussi une réforme des statuts de la banque de France ?
Pour qu’elle puisse directement financer les Etats. Aujourd’hui, on a 50 milliards par an d’intérêt de la dette. Au lieu d’emprunter aux marchés financiers à 3,5%, un prêt directement auprès de la Banque de France ou de la BCE à 1% permettrait de réduire la charge annuelle de deux tiers, soit 35 milliards d’euros par an.
N’est-ce pas inflationniste ?
Quand on est dans le plein emploi, oui. Pas quand la croissance est à zéro et le chômage à 10%. En ce moment, injecter de l’argent génèrerait de l’activité.
Si des solutions existent, pourquoi ce climat anxiogène ?
La France est un pays riche qui a les moyens d’alléger sa dette. Mais il y a une volonté de dramatiser et d’instrumentaliser la crise financière car cela permet de faire croire qu’il n’y a pas d’autres solutions que la régression sociale. Pour preuve, la mesure concernant les retraites : sa mise en place anticipée devrait rapporter 200 millions d’euros par an. 200 millions quand on nous dit qu’il faut trouver 18 milliards ! Au passage, 18 milliards pour réduire une dette d’Etat qui a gonflé de 500 milliards en trois ans et demi… Tout cela n’est pas très sérieux.
bienvenou- Admin
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Re: CANDIDAT SARKOV PARLE NOUS DE TON BILAN ET CESSE DE NOUS PARLER DE TES PROMESSES
une bonne tete d'acteur allemand pour jouer un role d'officier
suppression des syndicats pour eviter de discuter les consignes
diminution des forces de police dans les commissariats qui pourront etre la cible des terroristes
Police: Guéant veut remettre des détachés syndicaux "sur la voie publique"
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant veut remettre des détachés syndicaux sur la voie publique pour participer à la compensation des 3.000 postes de policiers et gendarmes supprimés par la RGPP, a-t-il déclaré mercredi sur France Inter.
Il a reconnu qu'il était "vrai que la loi de finance comporte la suppression d'un peu plus de 3.000 emplois de policiers et gendarmes. Cela étant, ce que je fais, c'est de compenser ces suppressions d'effectifs qui sont progressives dans l'année, par des réorganisations", a-t-il relevé.
Au titre de ces "réorganisations", il a notamment cité "plusieurs centaines de détachés syndicaux qui vont retrouver le service actif".
Dans une note de service en date du 4 novembre, que s'est procurée l'AFP mardi, le directeur central de la Sécurité publique (DCSP), Jacques Fournier, demande à ses troupes (63.000 agents) une "optimisation de (leur) présence sur la voie publique".
Cette note "vise" plusieurs pistes, a commenté le ministre mercredi, dont "un certain nombre de détachements syndicaux qui ont été consentis de façon excédentaire par rapport aux textes".
Il a également rappelé, au titre de ces "compensations", la réduction du nombre de fonctionnaires et militaires des forces mobiles de sécurité (CRS, escadrons).
Quant aux "gardes statiques", il a affirmé qu'"on continue à les réduire, des fonctionnaires actifs portant l'uniforme qui font des travaux administratifs (...) vont retourner sur la voie publique".
"Nous compensons les suppressions d'emplois et, au total, nous ne diminuons pas l'effectif présent sur la voie publique (...) qui se consacre à la sécurité quotidienne de nos concitoyens", a-t-il assuré.
A l'appui de ses affirmations, il a cité "le rapport de la Cour des Comptes de juillet dernier" qui souligne que "dans les cinq ans écoulés, la présence des policiers sur la voie publique a été augmentée de 10%".
Enfin, il a affirmé que "les moyens matériels, de police technique et scientifique, de locomotion, de radio etc..., vont se trouver garantis puisque le budget exécute strictement la loi de programmation intérieure votée par le parlement à la fin de 2010".
A cet égard, il a rappelé qu'un "plan immobilier en augmentation de 60%" sera consacré à la construction ou au réaménagement de commissariats et qu'un autre, doté de "100 millions d'euros, marquant une hausse de 70%" serait dédié au renouvellement du parc automobile, à parité entre police et gendarmerie
bienvenou- Admin
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