Quizz sur l'OM...
+3
aladin
bienvenou
domenico belli
7 participants
Page 14 sur 20
Page 14 sur 20 • 1 ... 8 ... 13, 14, 15 ... 20
Re: Quizz sur l'OM...
Les statistiques sont nettement en faveur de l’OM
pour la venue du VAFC, aujourd’hui à 17 heures
au stade Vélodrome. En 25 déplacements en Ligue
1, les Nordistes ne se sont imposés qu’à 2 reprises,
pour 6 nuls et 17 défaites.
pour la venue du VAFC, aujourd’hui à 17 heures
au stade Vélodrome. En 25 déplacements en Ligue
1, les Nordistes ne se sont imposés qu’à 2 reprises,
pour 6 nuls et 17 défaites.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
OM-Nice : 18/20 pour les Olympiens
L'OM s'est imposé 18 fois lors de ses 20 derniers matches au stade Vélodrome contre Nice, pour un match nul et une défaite. Cette dernière remonte à la saison 2007-2008 où les Aiglons l'avaient emporté 2-1 lors de la 17e journée de Ligue 1. Mais les deux formations ne se sont affrontées qu'une seule fois au Vélodrome en Coupe de France, lors de la saison 1971-1972.
L'OM s'était alors qualifié pour les demi-finales, avant de remporter la coupe en finale face au Sporting Club de Bastia. L'histoire s'est répétée 40 ans plus tard en coupe de la Ligue, où les hommes de Didier Deschamps avaient sorti Nice en demi-finale, le 1er février 2012. Avant de soulever le trophée quelques semaines plus tard au Stade de France face à Lyon.
Nice portera-t-il chance à l'OM au Vélodrome ? Réponse demain mardi soir, en coupe de France.
L'OM s'est imposé 18 fois lors de ses 20 derniers matches au stade Vélodrome contre Nice, pour un match nul et une défaite. Cette dernière remonte à la saison 2007-2008 où les Aiglons l'avaient emporté 2-1 lors de la 17e journée de Ligue 1. Mais les deux formations ne se sont affrontées qu'une seule fois au Vélodrome en Coupe de France, lors de la saison 1971-1972.
L'OM s'était alors qualifié pour les demi-finales, avant de remporter la coupe en finale face au Sporting Club de Bastia. L'histoire s'est répétée 40 ans plus tard en coupe de la Ligue, où les hommes de Didier Deschamps avaient sorti Nice en demi-finale, le 1er février 2012. Avant de soulever le trophée quelques semaines plus tard au Stade de France face à Lyon.
Nice portera-t-il chance à l'OM au Vélodrome ? Réponse demain mardi soir, en coupe de France.
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
Matches de coupe 7/10/1920 (Tour prélim)
OM-Nice 7-2
04/02/1940 (8es)
OM-Nice 3-2
10/01/1943 (8es)
Nice-OM0-3
4/03/1945 (8es)
à Cannes, Nice-OM 1-0
23/05/1954 Finale
à Paris(Colombes), Nice-OM 2-1
15/04/1972 (1/4)
aller: Nice-OM 1-1
19/04/1972
retour: OM-Nice 1-0
04/02/1995 (16es)
Nice-OM 0-1
OM-Nice 7-2
04/02/1940 (8es)
OM-Nice 3-2
10/01/1943 (8es)
Nice-OM0-3
4/03/1945 (8es)
à Cannes, Nice-OM 1-0
23/05/1954 Finale
à Paris(Colombes), Nice-OM 2-1
15/04/1972 (1/4)
aller: Nice-OM 1-1
19/04/1972
retour: OM-Nice 1-0
04/02/1995 (16es)
Nice-OM 0-1
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
4
À chaque fois que l’OM
a affronté Nice à
Marseille en coupes (3
fois en coupe de France
ou 1 fois en coupe de la
Ligue), il s’est qualifié
pour le tour suivant
À chaque fois que l’OM
a affronté Nice à
Marseille en coupes (3
fois en coupe de France
ou 1 fois en coupe de la
Ligue), il s’est qualifié
pour le tour suivant
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
5
L’OM n’avait plus
encaissé 5 buts
à domicile toutes
compétitions confondues
depuis le 24 février 1980,
contre Valenciennes
en championnat (3-6).
L’OM n’avait plus
encaissé 5 buts
à domicile toutes
compétitions confondues
depuis le 24 février 1980,
contre Valenciennes
en championnat (3-6).
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
OM : les 5 signes d'une saison cauchemardesque
Alors que le championnat est encore loin d être terminé, la saison de l Olympique de Marseille semble elle, d'ores et déjà compromise. Voici les principales raisons.
Avec six défaites en autant de matches cette saison, les Marseillais sont devenus la première équipe française à avoir "embrassé Fanny" en Ligue des champions.
Photo archives Nicolas Vallauri
À la traîne en championnat
L'OM n'est certes pas distancé du podium de la Ligue 1, mais il compte tout de même 8 points de retard (et un match en moins) sur la troisième place. Même José Anigo le martèle depuis qu'il est devenu entraîneur intérimaire des Olympiens : "Accrocher le podium serait un exploit". Car il y a actuellement de nombreuses équipes qui peuvent prétendre à la troisième place (Lille, Saint-Etienne, Nantes, Lyon et Bordeaux) et au vu des dernières performances de l'OM, difficile d'être optimiste.
Zéro pointé en Ligue des champions
Sur la scène européenne aussi l'OM s'est emparé d'un triste record. Avec six défaites en autant de matches cette saison, les Marseillais sont devenus la première équipe française à avoir "embrassé Fanny". Même si le groupe de l'OM était particulièrement relevé (Arsenal, Dortmund et Naples), l'équipe aurait dû grappiller au minimum quelques points. C'est en tout cas ce que regrettait Éric di Meco après le dernier revers de l'OM contre Dortmund. "À chaque fois qu'ils ont eu l'occasion de faire un résultat, ils n'ont pas su saisir leur chance. J'espère au moins que cette élimination va leur permettre de jeter toutes leurs forces dans le championnat". Mais deux mois plus tard, le fameux déclic attendu n'a toujours pas eu lieu.
Éliminé des deux coupes nationales
Après l'élimination à Lyon, la semaine dernière en quart de finale de la Coupe de la Ligue, l'OM avait fait de la Coupe de France un nouvel objectif. Mais le rêve s'est arrêté mardi soir en seizièmes de finale, très loin du stade de France. "C'est une grande déception car la Coupe était un objectif majeur pour le club" regrettait Mathieu Valbuena juste après la défaite face à Nice (4-5). Contre une équipe azuréenne pourtant largement remaniée (23 ans de moyenne d'âge), les Marseillais ont laissé filer leur dernière chance de décrocher un trophée cette saison.
Une défense à la dérive
Avec 17 buts encaissés lors de ses dix derniers matchs toutes compétitions confondues, les défenseurs de l'OM sont actuellement en pleine tourmente. "Il y a des gestes défensifs qui me paraissent pour moi très naturels, mais qu'on ne fait pas. On n'a pas le droit d'exploser au duel avec des garçons qui font 1m70 quand à la taille tu fais 1m85 ", déplorait José Anigo après les cinq buts encaissés contre Nice mardi soir. Les Marseillais ont perdu la solidité qui faisait leur force la saison dernière, alors qu'aucun joueur n'a quitté l'effectif depuis. Brillants l'année passée, Nicolas Nkoulou et Rod Fanni accumulent les défaillances. La lenteur de la charnière centrale, est aussi associée à la naïveté de ses lateraux. Pour preuve, de Morel, Mendy, Abdallah et Fanni, difficile de savoir qui est le titulaire, et qui est sa doublure...
Un stade qui se vide
Dernier signe qui ne trompe pas, le stade Vélodrome n'arrive plus à se remplir. L'OM possède certes la deuxième affluence de Ligue 1, on dénombre en moyenne 6 000 spectateurs de plus au Parc des Princes qu'au Vélodrome, alors que les deux stades possèdent actuellement la même capacité. Mathieu, abonné chez les Ultras depuis six ans, tient sa propre explication. "Je ne me reconnais plus dans cette équipe, donc il m'arrive de rester chez moi quand l'OM joue au Vélodrome, alors que je n'y aurais même pas pensé il y a quelques années. Avant, quand l'OM perdait, je rentrais dépité. Aujourd'hui je m'y suis habitué, ça ne me fait pratiquement plus rien". Mardi soir contre Nice, à peine 8 200 spectateurs s'étaient réunis dans la seule tribune ouverte. Un derby du Sud entre deux équipes de première division qui attire moins de monde, que lors de la réception de Bourg Peronnas (CFA), en Coupe de France, il y a deux saisons....
Alors que le championnat est encore loin d être terminé, la saison de l Olympique de Marseille semble elle, d'ores et déjà compromise. Voici les principales raisons.
Avec six défaites en autant de matches cette saison, les Marseillais sont devenus la première équipe française à avoir "embrassé Fanny" en Ligue des champions.
Photo archives Nicolas Vallauri
À la traîne en championnat
L'OM n'est certes pas distancé du podium de la Ligue 1, mais il compte tout de même 8 points de retard (et un match en moins) sur la troisième place. Même José Anigo le martèle depuis qu'il est devenu entraîneur intérimaire des Olympiens : "Accrocher le podium serait un exploit". Car il y a actuellement de nombreuses équipes qui peuvent prétendre à la troisième place (Lille, Saint-Etienne, Nantes, Lyon et Bordeaux) et au vu des dernières performances de l'OM, difficile d'être optimiste.
Zéro pointé en Ligue des champions
Sur la scène européenne aussi l'OM s'est emparé d'un triste record. Avec six défaites en autant de matches cette saison, les Marseillais sont devenus la première équipe française à avoir "embrassé Fanny". Même si le groupe de l'OM était particulièrement relevé (Arsenal, Dortmund et Naples), l'équipe aurait dû grappiller au minimum quelques points. C'est en tout cas ce que regrettait Éric di Meco après le dernier revers de l'OM contre Dortmund. "À chaque fois qu'ils ont eu l'occasion de faire un résultat, ils n'ont pas su saisir leur chance. J'espère au moins que cette élimination va leur permettre de jeter toutes leurs forces dans le championnat". Mais deux mois plus tard, le fameux déclic attendu n'a toujours pas eu lieu.
Éliminé des deux coupes nationales
Après l'élimination à Lyon, la semaine dernière en quart de finale de la Coupe de la Ligue, l'OM avait fait de la Coupe de France un nouvel objectif. Mais le rêve s'est arrêté mardi soir en seizièmes de finale, très loin du stade de France. "C'est une grande déception car la Coupe était un objectif majeur pour le club" regrettait Mathieu Valbuena juste après la défaite face à Nice (4-5). Contre une équipe azuréenne pourtant largement remaniée (23 ans de moyenne d'âge), les Marseillais ont laissé filer leur dernière chance de décrocher un trophée cette saison.
Une défense à la dérive
Avec 17 buts encaissés lors de ses dix derniers matchs toutes compétitions confondues, les défenseurs de l'OM sont actuellement en pleine tourmente. "Il y a des gestes défensifs qui me paraissent pour moi très naturels, mais qu'on ne fait pas. On n'a pas le droit d'exploser au duel avec des garçons qui font 1m70 quand à la taille tu fais 1m85 ", déplorait José Anigo après les cinq buts encaissés contre Nice mardi soir. Les Marseillais ont perdu la solidité qui faisait leur force la saison dernière, alors qu'aucun joueur n'a quitté l'effectif depuis. Brillants l'année passée, Nicolas Nkoulou et Rod Fanni accumulent les défaillances. La lenteur de la charnière centrale, est aussi associée à la naïveté de ses lateraux. Pour preuve, de Morel, Mendy, Abdallah et Fanni, difficile de savoir qui est le titulaire, et qui est sa doublure...
Un stade qui se vide
Dernier signe qui ne trompe pas, le stade Vélodrome n'arrive plus à se remplir. L'OM possède certes la deuxième affluence de Ligue 1, on dénombre en moyenne 6 000 spectateurs de plus au Parc des Princes qu'au Vélodrome, alors que les deux stades possèdent actuellement la même capacité. Mathieu, abonné chez les Ultras depuis six ans, tient sa propre explication. "Je ne me reconnais plus dans cette équipe, donc il m'arrive de rester chez moi quand l'OM joue au Vélodrome, alors que je n'y aurais même pas pensé il y a quelques années. Avant, quand l'OM perdait, je rentrais dépité. Aujourd'hui je m'y suis habitué, ça ne me fait pratiquement plus rien". Mardi soir contre Nice, à peine 8 200 spectateurs s'étaient réunis dans la seule tribune ouverte. Un derby du Sud entre deux équipes de première division qui attire moins de monde, que lors de la réception de Bourg Peronnas (CFA), en Coupe de France, il y a deux saisons....
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
Quelle solutionpour l’OM?
Il existe bel et bien une solution
mais, si c'était aussi facile que
ça, ça se saurait. À mon sens,
c'est surtout une question de
mental, à l'instar de notre équipe
de France. Seule la victoire va
nous permettre de relever la tête.
Il faut que nos joueurs changent
de mentalité et qu'ils travaillent
encore plus physiquement et
mentalement... Autant vous dire
que la convalescence risque
d'être longue...
Éliminé de la Ligue des champions, des
deux coupes nationales et à la traîne dans
le championnat, l’OM ne se porte pas très
bien.
Il existe bel et bien une solution
mais, si c'était aussi facile que
ça, ça se saurait. À mon sens,
c'est surtout une question de
mental, à l'instar de notre équipe
de France. Seule la victoire va
nous permettre de relever la tête.
Il faut que nos joueurs changent
de mentalité et qu'ils travaillent
encore plus physiquement et
mentalement... Autant vous dire
que la convalescence risque
d'être longue...
Éliminé de la Ligue des champions, des
deux coupes nationales et à la traîne dans
le championnat, l’OM ne se porte pas très
bien.
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
OM 2 - Valenciennes 1
Ça fait
plaisir!
Cet OM-VA du 29 janvier 2014 ne restera pas dans les annales du club, ça, c’est sûr. Les Olympiens n’ont pas été transcendants,
ils ont même beaucoup souffert, mais ils ont gagné. Voilà tout ce que l’on a retenu du match d’hier soir. Neuvièmes au coup d’envoi,
les partenaires de Florian Thauvin sont de retour à la cinquième place, à cinq points du troisième
Ça fait
plaisir!
Cet OM-VA du 29 janvier 2014 ne restera pas dans les annales du club, ça, c’est sûr. Les Olympiens n’ont pas été transcendants,
ils ont même beaucoup souffert, mais ils ont gagné. Voilà tout ce que l’on a retenu du match d’hier soir. Neuvièmes au coup d’envoi,
les partenaires de Florian Thauvin sont de retour à la cinquième place, à cinq points du troisième
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
GRANDESDATES
L’HISTORIQUE
◗ MAUVAIS
% 4 défaites pour l’OM
Le TFC a dû attendre le 18 avril 1954
pour remporter sa première victoire à
Marseille (0-1), sur un but de Grillet.
Pierre Cahuzac, futur entraîneur des
deux clubs, jouait avec Toulouse. La
deuxième date de 1963, toujours 0-1.
Il a ensuite fallu attendre septembre
2007 pour que le TFC d’Élie Baup gagné
grâce à Elmander et Emana (1-2),
puis 2012 par Abdennour (0-1).
◗ MOYEN
%Nuls ou ennuyeux
Entre 2009 et 2011, le TFC a obtenu
trois nuls au Vélodrome. Il y a eu pas
mal de 1-1 , sans plaisir.
◗ EXCELLENTS
%De beaux cartons
L’OM a gagné deux fois 6-1, en 1945 et
surtout 1989, avec Waddle rendant
fou le jeune Fouka. Il y a eu aussi deux
4-0, en 1948 (doublé de Bihel), 1955
(dernier but de Ben Barek) et un 5-1
en 1994 (doublés de Sonny Anderson
et Stojkovic). Le dernier match à plus
de deux buts de l’OM remonte au 1er octobre
2006 (3-0, buts de Cana, Taiwo
et Bamogo).
L’HISTORIQUE
◗ MAUVAIS
% 4 défaites pour l’OM
Le TFC a dû attendre le 18 avril 1954
pour remporter sa première victoire à
Marseille (0-1), sur un but de Grillet.
Pierre Cahuzac, futur entraîneur des
deux clubs, jouait avec Toulouse. La
deuxième date de 1963, toujours 0-1.
Il a ensuite fallu attendre septembre
2007 pour que le TFC d’Élie Baup gagné
grâce à Elmander et Emana (1-2),
puis 2012 par Abdennour (0-1).
◗ MOYEN
%Nuls ou ennuyeux
Entre 2009 et 2011, le TFC a obtenu
trois nuls au Vélodrome. Il y a eu pas
mal de 1-1 , sans plaisir.
◗ EXCELLENTS
%De beaux cartons
L’OM a gagné deux fois 6-1, en 1945 et
surtout 1989, avec Waddle rendant
fou le jeune Fouka. Il y a eu aussi deux
4-0, en 1948 (doublé de Bihel), 1955
(dernier but de Ben Barek) et un 5-1
en 1994 (doublés de Sonny Anderson
et Stojkovic). Le dernier match à plus
de deux buts de l’OM remonte au 1er octobre
2006 (3-0, buts de Cana, Taiwo
et Bamogo).
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
Wissam Ben Yedder a profité de la passivité des défenseurs olympiens sur coup de pied arrêté pour remettre Toulouse dans le droit chemin.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
OM : une attaque en forme
Faute d'avoir la possession du ballon, ou d'être cohérent dans le jeu, l'OM peut au moins se vanter d'être particulièrement efficace devant le but. Depuis le début de l'année 2014, les Olympiens ont converti en but plus d'un tir cadré sur deux, soit 8 buts pour 15 tentatives. En revanche, si quand les hommes de José Anigo frappent au but ils marquent souvent, plus de 2 tiers de leurs tentatives sont hors cadre. Le match contre Toulouse dimanche est l'exemple parfait puisque l'OM n'a cadré que 3 de ses 16 frappes. Mais a tout de même réussi à marquer deux fois...
Faute d'avoir la possession du ballon, ou d'être cohérent dans le jeu, l'OM peut au moins se vanter d'être particulièrement efficace devant le but. Depuis le début de l'année 2014, les Olympiens ont converti en but plus d'un tir cadré sur deux, soit 8 buts pour 15 tentatives. En revanche, si quand les hommes de José Anigo frappent au but ils marquent souvent, plus de 2 tiers de leurs tentatives sont hors cadre. Le match contre Toulouse dimanche est l'exemple parfait puisque l'OM n'a cadré que 3 de ses 16 frappes. Mais a tout de même réussi à marquer deux fois...
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
Le Sporting Club de Bastia
n’a pas gagné à l’extérieur.
L’OMa pris plus de points
loin du stade Vélodrome
n’a pas gagné à l’extérieur.
L’OMa pris plus de points
loin du stade Vélodrome
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
Cette saison,
on a pris 16 buts sur
coups de pied arrêtés.
L’an passé, en
terminant deuxième,
on en a pris 25. Il faut
parfois faire don de soi
dans les combats de la
surface"
JOSÉANIGO
on a pris 16 buts sur
coups de pied arrêtés.
L’an passé, en
terminant deuxième,
on en a pris 25. Il faut
parfois faire don de soi
dans les combats de la
surface"
JOSÉANIGO
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
L'OM, des cadres sur le gril
samedi 8 février 2014 MARSEILLE -
DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL PERMANENT RAPHAËL RAYMOND
Le président de l'OM, Vincent Labrune, est déçu par le rendement de certains cadres de l'équipe, comme Mathieu Valbuena, André-Pierre Gignac et André Ayew. (Photo Félix Golési/L'Équipe)
a+ a- imprimer RSS
José Anigo et Vincent Labrune trouvent le rendement des tauliers de l'OM insuffisant. Constat lucide ou leurre pour masquer les carences des recrues ?
FLORIAN THAUVIN est une exception. Des sept renforts, il est le seul à apporter un plus indéniable à Marseille. Si Brice Dja Djédjé peut difficilement être jugé, puisqu'il vient de débarquer de l'Évian-TG, Giannelli Imbula peine toujours à justifier les 7,5 M€ versés à Guingamp. Depuis que José Anigo l'a sorti du banc, où le maintenait Élie Baup, Mario Lemina alterne le bon et le très médiocre. Les entraîneurs adverses donnent pour consigne de profiter de la naïveté de Benjamin Mendy sur le côté...
samedi 8 février 2014 MARSEILLE -
DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL PERMANENT RAPHAËL RAYMOND
Le président de l'OM, Vincent Labrune, est déçu par le rendement de certains cadres de l'équipe, comme Mathieu Valbuena, André-Pierre Gignac et André Ayew. (Photo Félix Golési/L'Équipe)
a+ a- imprimer RSS
José Anigo et Vincent Labrune trouvent le rendement des tauliers de l'OM insuffisant. Constat lucide ou leurre pour masquer les carences des recrues ?
FLORIAN THAUVIN est une exception. Des sept renforts, il est le seul à apporter un plus indéniable à Marseille. Si Brice Dja Djédjé peut difficilement être jugé, puisqu'il vient de débarquer de l'Évian-TG, Giannelli Imbula peine toujours à justifier les 7,5 M€ versés à Guingamp. Depuis que José Anigo l'a sorti du banc, où le maintenait Élie Baup, Mario Lemina alterne le bon et le très médiocre. Les entraîneurs adverses donnent pour consigne de profiter de la naïveté de Benjamin Mendy sur le côté...
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
Pour atteindre le podium,
les Olympiens devront
battre des équipes du haut
de tableau. Ils n’y sont
parvenus qu’une fois : face
à l’ASSE, aumatch aller...
les Olympiens devront
battre des équipes du haut
de tableau. Ils n’y sont
parvenus qu’une fois : face
à l’ASSE, aumatch aller...
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
PAROLESDE BUTEURS
Hervé Revelli, meilleur buteur de l’histoire de Saint-Étienne entre 1965 et 1978 et Jean-Pierre
Papin, cinq fois meilleur buteur du championnat de 1988 à 1992 avec l’OM
Jean-Pierre Papin:144 BUTS EN BLANC
"La dynamique Gignac
175BUTS EN VERT HervéRevelli :
"Généreuxcheznous
Ils sont indissociables, l’un de l’ASSE, l’autre
de l’OM. Joueurs, oui, mais surtout buteurs. Numéro
9 pour toujours. Hervé Revelli, Provençal
éclos à Saint-Étienne, a marqué 175 buts en
championnat sous lemaillot vert, en dépit d’une
escapade de deux saisons à Nice. Plus ceux de la
coupe d’Europe (face au Bayern par exemple...)
et de la coupe de France. Jean-Pierre Papin, Nordiste
épanoui à Marseille, est entré dans la légende
de l’OM, avec 144 buts en D1. Deux buteurs
qui observent avec beaucoup de lucidité le
jeu offensif de leurs anciennes équipes et
l’analysent avec compétence.
❚ Le meilleur buteur de l’ASSE est un "ailier",
Hamouma avec 7 buts, celui de l’OM est
l’avant-centre, Gignac avec 11. Pourquoi, d’un côté,
des buteurs divers et à l’OM, un spécialiste ?
Hervé REVELLI : À l’ASSE, ils sont plusieurs attaquants
à pouvoir faire la différence, l’OM a un buteur
au sens propre, Gignac. Comme dans les
autres grandes équipes, PSG, Monaco... À
Saint-Étienne, on s’est diversifié, il n’y a pas de
Skoblar, de Papin ou de Revelli.
Jean-Pierre PAPIN: C’est une philosophie de départ.
Certains préfèrent avoir un vrai buteur. Christophe
Galtier a misé sur trois attaquants qui vont
vite, sans buteur à proprement dit, mais ils peuvent
tous marquer. L’idéal serait comme à l’OM de
la grande époque, d’avoir un buteur et deux
autres attaquants passeurs, capables de marquer
aussi. À Saint-Etienne, il y a Brandao, qui est
moins efficace que je ne l’étais. L’alternative, c’est
donc d’avoir trois gars qui vont vite.
❚ Avantages, inconvénients ?
H.R. : L’avantage, c’est que l’adversaire ne se focalise
pas sur un seul joueur. À l’OM, si Gignac est
neutralisé, l’équipe va avoir des difficultés. À Sainté,
on peut bloquer Brandao, le danger viendra de
Tabanou ou Hamouma. L’inconvénient, c’est que
l’ASSE ne possède pas d’avant-centre dangereux
qui monopolise deux adversaires à sa surveillance.
J.P.P. : Sans buteur attitré, on ne dépend pas
d’un seul joueur. Avec un tel joueur, s’il ne marque
pas, son équipe est embêtée. Ce qui s’est produit
quand Gignac ne trouvait plus le chemin des filets.
❚ Payet a marqué 7 buts, autant qu’Hamouma;
derrière Gignac, il n’y a donc pas le vide...
H.R. : Bien sûr, les solutions existent toujours,
mais l’OM c’est d’abord Gignac, puis les autres. À
Saint-Étienne, c’est tout de suite les autres. Cela
peut expliquer les difficultés à marquer à Toulouse
par exemple. En certaines situations, il faut le spécialiste
qui prend ses responsabilités et va marquer.
J.P.P.: Oui, mais il n’a marqué que face à des
équipes de second niveau.
❚ Un vrai goleador qui marque sur une demi-occasion,
ça ne permet pas de gagner plus souvent à
l’extérieur ?
H.R.: C’est vrai; le vrai buteur, il ne lui faut pas
36 000 occasions. À Geoffroy-Guichard, on y arrive,
parce qu’on est porté vers l’avant, on est généreux.
Mais sur terrain adverse, non. À Toulouse,
on était frigorifié des deux côtés.
J.P.P: C’est possible, mais les Verts ne l’ont pas.
À l’extérieur, leur seule option, c’est le contre.
Avec un vrai buteur, ils pourraient jouer différemment.
Chez eux, ils pètent le feu. C’est la faiblesse
des équipes françaises, excellentes à domicile et
qui ne touchent pas un crayon à l’extérieur.
❚ L’OM a eu douze fois le meilleur buteur du
championnat, Andersson, Skoblar, Papin, Boksic,
Niang, Saint-Étienne, une seule fois, Revelli en
1967; n’est-ce pas dans la mentalité, d’un côté
plus collective, plus travailleuse et de l’autre,
plus flambeuse, avec des stars ?
H.R. : Le style ressemble à la ville depuis toujours,
c’est vrai. À Marseille, il faut des stars, à
Saint-Étienne, si on aun buteur on essaie de le garder.
Moi, je suis resté quinze ans ! J’étais bien heureux.
À Marseille, il faut des têtes nouvelles, attractives,
l’ambiance veut ça : du renouvellement.
À l’ASSE, on recherche le collectif, le jeu bien huilé
et ça prend du temps. Une année, Robert Herbin,
qui jouait au milieu, avait marqué 26 buts, on était
déjà dans cette logique.
J.P.P. : C’est un point de vue vachement intéressant
auquel je n’avais jamais songé. Mais ça dépend
de l’entraîneur. Si Christophe se sent plus à
l’aise ainsi, il joue ainsi. À l’OM, on suit l’idée d’un
buteur pour qui on joue. Et moi, je suis plutôt dans
cette option. Le PSG a été champion avec Ibra ou
Montpellier avec Giroud. Le plus dur, c’est de trouver
le buteur qui enquille. Mais les deux options se
valent et il faut en tirer le meilleur parti.
❚ Que manque-t-il aux meilleurs Français de L1,
Gignac, Gomis, Lacazette, pour être au niveau
d’Ibra, Cavani, Skoblar, Keita, Bianchi, Pauleta ?
H.R. : Un peu de temps pour prendre confiance.
En 1973, on a lancé l’épopée verte, en sachant
qu’on ne réussirait pas tout de suite, mais on avait
le temps. Moi, je valais 15 buts en moyenne par
saison (31 en 1967, tout de même!), mais je pouvais
me permettre de rester trois ou quatre matches
sans marquer sans être remis en cause.
Évidemment, je faisais des séances spécifiques,
avec trois ou quatre copains, devant le but. Quand
j’étais jeune, je ratais tout et puis, j’ai progressé ;
quand je suis devenu un buteur, on me disait que
je n’en avais plus besoin, mais selon moi, oui. En
match, deux ballons n’arrivent jamais de la même
manière, un coup de la droite, un coup de derrière,
il faut se préparer à tout.
"Pour moi, ce n’était pas du travail mais du plaisir
; aligner les reprises et marquer des buts, quoi
de plus agréable pour un footballeur ? Il y a deux
postes où le travail spécifique est indispensable :
gardien et avant-centre. Le buteur, il se fout de
tout : il y a le ballon et le but. Faire des passes décisives,
ça a toujours existé : Papin faisait des déviations
pour les autres, et Salif Keita avait souligné
que lorsqu’il avait mis 42 buts, il m’en devait la
moitié. Mais un attaquant de pointe, ça ne doit pas
mettre 6 ou 7 buts dans la saison et s’en contenter.
J.P.P. : Des passeurs. Et le travail. Le buteur qui
ne fait pas ses gammes quasi quotidiennes, va
être moins efficace. Je ne connais pas Hervé Revelli,
mais j’imagine qu'il en faisait autant et répétait
les volées.
❚ ASSE-OM, ce sont des équipes qui vous plaisent
cette saison ?
H.R.: L’ASSE aunbeau jeu, généreux qui me rappelle
mon époque : des chiens fous, dès l’entrée
sur le terrain. Mais chez nous, parce qu’à
l’extérieur, l’équipe d’aujourd'hui est plus calculatrice,
alors que nous jouions pareil dans les deux
cas de figure. L’ASSE qui joue pour gagner, c’est
un régal. L’OM, c’est toujours ma 2e équipe, moi le
Gardannais. Ça donne l’impression d’être fort et
fragile à la fois. Ils ont mis 3 buts, Gigi a encore
mis le sien, je suis content pour lui. Mais dimanche,
ils sont susceptibles aussi bien de l’emporter
à Geoffroy-Guichard que de perdre 3-0. Ils sont assez
imprévisibles et dangereux. Ici, j’entends des
gens dire : "contre l’OM, pas de problème" Faux !
ASSE-OM, c’est un match à part et je suis sûr qu’on
va se régaler, il y aura du spectacle et des buts.
J.P.P. : Oui, beaucoup. Même l’OM. Ils ont connu
un passage à vide mais on a retrouvé un buteur et
je suis très heureux pour Dédé Gignac. Non seulement,
il claque, mais il assume un rôle de leader, il
entraîne les autres dans sa dynamique, il donne
confiance ; çame plaît, l’OM me plaît.
Hervé Revelli, meilleur buteur de l’histoire de Saint-Étienne entre 1965 et 1978 et Jean-Pierre
Papin, cinq fois meilleur buteur du championnat de 1988 à 1992 avec l’OM
Jean-Pierre Papin:144 BUTS EN BLANC
"La dynamique Gignac
175BUTS EN VERT HervéRevelli :
"Généreuxcheznous
Ils sont indissociables, l’un de l’ASSE, l’autre
de l’OM. Joueurs, oui, mais surtout buteurs. Numéro
9 pour toujours. Hervé Revelli, Provençal
éclos à Saint-Étienne, a marqué 175 buts en
championnat sous lemaillot vert, en dépit d’une
escapade de deux saisons à Nice. Plus ceux de la
coupe d’Europe (face au Bayern par exemple...)
et de la coupe de France. Jean-Pierre Papin, Nordiste
épanoui à Marseille, est entré dans la légende
de l’OM, avec 144 buts en D1. Deux buteurs
qui observent avec beaucoup de lucidité le
jeu offensif de leurs anciennes équipes et
l’analysent avec compétence.
❚ Le meilleur buteur de l’ASSE est un "ailier",
Hamouma avec 7 buts, celui de l’OM est
l’avant-centre, Gignac avec 11. Pourquoi, d’un côté,
des buteurs divers et à l’OM, un spécialiste ?
Hervé REVELLI : À l’ASSE, ils sont plusieurs attaquants
à pouvoir faire la différence, l’OM a un buteur
au sens propre, Gignac. Comme dans les
autres grandes équipes, PSG, Monaco... À
Saint-Étienne, on s’est diversifié, il n’y a pas de
Skoblar, de Papin ou de Revelli.
Jean-Pierre PAPIN: C’est une philosophie de départ.
Certains préfèrent avoir un vrai buteur. Christophe
Galtier a misé sur trois attaquants qui vont
vite, sans buteur à proprement dit, mais ils peuvent
tous marquer. L’idéal serait comme à l’OM de
la grande époque, d’avoir un buteur et deux
autres attaquants passeurs, capables de marquer
aussi. À Saint-Etienne, il y a Brandao, qui est
moins efficace que je ne l’étais. L’alternative, c’est
donc d’avoir trois gars qui vont vite.
❚ Avantages, inconvénients ?
H.R. : L’avantage, c’est que l’adversaire ne se focalise
pas sur un seul joueur. À l’OM, si Gignac est
neutralisé, l’équipe va avoir des difficultés. À Sainté,
on peut bloquer Brandao, le danger viendra de
Tabanou ou Hamouma. L’inconvénient, c’est que
l’ASSE ne possède pas d’avant-centre dangereux
qui monopolise deux adversaires à sa surveillance.
J.P.P. : Sans buteur attitré, on ne dépend pas
d’un seul joueur. Avec un tel joueur, s’il ne marque
pas, son équipe est embêtée. Ce qui s’est produit
quand Gignac ne trouvait plus le chemin des filets.
❚ Payet a marqué 7 buts, autant qu’Hamouma;
derrière Gignac, il n’y a donc pas le vide...
H.R. : Bien sûr, les solutions existent toujours,
mais l’OM c’est d’abord Gignac, puis les autres. À
Saint-Étienne, c’est tout de suite les autres. Cela
peut expliquer les difficultés à marquer à Toulouse
par exemple. En certaines situations, il faut le spécialiste
qui prend ses responsabilités et va marquer.
J.P.P.: Oui, mais il n’a marqué que face à des
équipes de second niveau.
❚ Un vrai goleador qui marque sur une demi-occasion,
ça ne permet pas de gagner plus souvent à
l’extérieur ?
H.R.: C’est vrai; le vrai buteur, il ne lui faut pas
36 000 occasions. À Geoffroy-Guichard, on y arrive,
parce qu’on est porté vers l’avant, on est généreux.
Mais sur terrain adverse, non. À Toulouse,
on était frigorifié des deux côtés.
J.P.P: C’est possible, mais les Verts ne l’ont pas.
À l’extérieur, leur seule option, c’est le contre.
Avec un vrai buteur, ils pourraient jouer différemment.
Chez eux, ils pètent le feu. C’est la faiblesse
des équipes françaises, excellentes à domicile et
qui ne touchent pas un crayon à l’extérieur.
❚ L’OM a eu douze fois le meilleur buteur du
championnat, Andersson, Skoblar, Papin, Boksic,
Niang, Saint-Étienne, une seule fois, Revelli en
1967; n’est-ce pas dans la mentalité, d’un côté
plus collective, plus travailleuse et de l’autre,
plus flambeuse, avec des stars ?
H.R. : Le style ressemble à la ville depuis toujours,
c’est vrai. À Marseille, il faut des stars, à
Saint-Étienne, si on aun buteur on essaie de le garder.
Moi, je suis resté quinze ans ! J’étais bien heureux.
À Marseille, il faut des têtes nouvelles, attractives,
l’ambiance veut ça : du renouvellement.
À l’ASSE, on recherche le collectif, le jeu bien huilé
et ça prend du temps. Une année, Robert Herbin,
qui jouait au milieu, avait marqué 26 buts, on était
déjà dans cette logique.
J.P.P. : C’est un point de vue vachement intéressant
auquel je n’avais jamais songé. Mais ça dépend
de l’entraîneur. Si Christophe se sent plus à
l’aise ainsi, il joue ainsi. À l’OM, on suit l’idée d’un
buteur pour qui on joue. Et moi, je suis plutôt dans
cette option. Le PSG a été champion avec Ibra ou
Montpellier avec Giroud. Le plus dur, c’est de trouver
le buteur qui enquille. Mais les deux options se
valent et il faut en tirer le meilleur parti.
❚ Que manque-t-il aux meilleurs Français de L1,
Gignac, Gomis, Lacazette, pour être au niveau
d’Ibra, Cavani, Skoblar, Keita, Bianchi, Pauleta ?
H.R. : Un peu de temps pour prendre confiance.
En 1973, on a lancé l’épopée verte, en sachant
qu’on ne réussirait pas tout de suite, mais on avait
le temps. Moi, je valais 15 buts en moyenne par
saison (31 en 1967, tout de même!), mais je pouvais
me permettre de rester trois ou quatre matches
sans marquer sans être remis en cause.
Évidemment, je faisais des séances spécifiques,
avec trois ou quatre copains, devant le but. Quand
j’étais jeune, je ratais tout et puis, j’ai progressé ;
quand je suis devenu un buteur, on me disait que
je n’en avais plus besoin, mais selon moi, oui. En
match, deux ballons n’arrivent jamais de la même
manière, un coup de la droite, un coup de derrière,
il faut se préparer à tout.
"Pour moi, ce n’était pas du travail mais du plaisir
; aligner les reprises et marquer des buts, quoi
de plus agréable pour un footballeur ? Il y a deux
postes où le travail spécifique est indispensable :
gardien et avant-centre. Le buteur, il se fout de
tout : il y a le ballon et le but. Faire des passes décisives,
ça a toujours existé : Papin faisait des déviations
pour les autres, et Salif Keita avait souligné
que lorsqu’il avait mis 42 buts, il m’en devait la
moitié. Mais un attaquant de pointe, ça ne doit pas
mettre 6 ou 7 buts dans la saison et s’en contenter.
J.P.P. : Des passeurs. Et le travail. Le buteur qui
ne fait pas ses gammes quasi quotidiennes, va
être moins efficace. Je ne connais pas Hervé Revelli,
mais j’imagine qu'il en faisait autant et répétait
les volées.
❚ ASSE-OM, ce sont des équipes qui vous plaisent
cette saison ?
H.R.: L’ASSE aunbeau jeu, généreux qui me rappelle
mon époque : des chiens fous, dès l’entrée
sur le terrain. Mais chez nous, parce qu’à
l’extérieur, l’équipe d’aujourd'hui est plus calculatrice,
alors que nous jouions pareil dans les deux
cas de figure. L’ASSE qui joue pour gagner, c’est
un régal. L’OM, c’est toujours ma 2e équipe, moi le
Gardannais. Ça donne l’impression d’être fort et
fragile à la fois. Ils ont mis 3 buts, Gigi a encore
mis le sien, je suis content pour lui. Mais dimanche,
ils sont susceptibles aussi bien de l’emporter
à Geoffroy-Guichard que de perdre 3-0. Ils sont assez
imprévisibles et dangereux. Ici, j’entends des
gens dire : "contre l’OM, pas de problème" Faux !
ASSE-OM, c’est un match à part et je suis sûr qu’on
va se régaler, il y aura du spectacle et des buts.
J.P.P. : Oui, beaucoup. Même l’OM. Ils ont connu
un passage à vide mais on a retrouvé un buteur et
je suis très heureux pour Dédé Gignac. Non seulement,
il claque, mais il assume un rôle de leader, il
entraîne les autres dans sa dynamique, il donne
confiance ; çame plaît, l’OM me plaît.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
ARIËL JACOBS, ENTRAÎNEUR DE VALENCIENNES
"Les Verts respirent la confiance" Le Belge relève
la cohésion
stéphanoise
Ariël, quel regard portez-vous sur
l’OM et l’ASSE, que vous avez affronté à
trois jours d’intervalle en janvier?
Nous avons abordé le matchàMarseille
alors que les Olympiens sortaient d’une
mauvaise passe et venaient de se faire
éliminer de la coupe de France par Nice
à domicile (4-5). Le public se révoltait.
On sentait qu’il y avait une grosse pression
sur l’OM. Nous avons fait une prestation
honorable, c’était une victoire à
l’arraché de leur part (2-1).
Trois jours après, Saint-Étienne a voulu
faire le break assez tôt dans la rencontre
et n’y est pas parvenu. Nous commencions
à sentir une certaine forme
d’inquiétude chez eux, jusqu’à ce qu’ils
marquent, malheureusement pour
nous, à la 45e minute (par Cohade, ndlr).
En seconde mi-temps, on avait un rouleau
compresseur en face. L’ASSE baignait
dans la confiance, ça se ressentait
sur le terrain et au niveau du public. La
situationétait donc complètement différente
de celle que nous avions vécue au
stade Vélodrome. Il y avait plus de fraîcheur
mentale dans la tête des Stéphanois.
❚ L’équipe de Christophe Galtier semble
compacte et homogène. C’est ce que vous
avez ressenti?
Mesdonnées sont peut-être un peu tronquées
car nous abordions le déplacement
là-bas avec un manque de fraîcheur,
dû au match précédent à Marseille,
où nous nous sommes créé des occasions
de but. Ce qui n’était pas le cas
contre les Verts. Mais la rigueur et la discipline
de l’ASSE y sont sans doute aussi
pour quelque chose... Lorsqu’on parle
de l’OM, on pense d’abordàson compartiment
offensif. C’est moins le cas à
Saint-Étienne. En revanche, j’ai été marqué
par le soutien inconditionnel des
supporters à Geoffroy-Guichard. Ce
sont des valeurs importantes à l’heure
actuelle. Le fait d’ouvrir la marque
contre eux ne va pas les perturber dans
leur organisation et dans leur système.
Ils respirent la confiance.
❚ S i l ’ un des
deux clubs devait
terminer à la3e place,
quel serait-il selon
vous?
Pour autant que
je puisse me prononce
r, il y a
moins d’attentes
du côté stéphanois
qu’à Marseille.
Il ne faut
pas oublier que
les Olympiens
étaient en Ligue
des champions et
avaient un devoir
d’être compétitif
pour l’Europe.
Les Verts, eux,
sont arrivés là où
ils en sont sans pression. Alors qu’àMarseille,
elle est interne et externe.
❚ Sur les cinq derniers matches à Geoffroy-
Guichard, les Verts n’ont pas encaissé
de but et en ont mis douze. Faire un
coup là-bas est donc difficile...
C’est vrai et j’ai senti un public qui restait
de façon inconditionnelle derrière
son équipe. On sent que ça vibre et que
tout lemonde y croit.
❚ Ce n’était pas le casàMarseille?
L’OMest sujet à des critiques, plus rapidement
que n’importe quel autre
concurrent pour la 3e place. Ça se ressent
et ça se retourne toujours, tôt ou
tard, contre les performances de
l’équipe. Au stade Vélodrome, nous avions
essayé d’effectuer un premier travail
de pression par nos attaquants. Il y
avait pasmal d’espaces. Les approximations
défensives des Marseillais étaient
réelles les semaines précédentes.
.
%29 janvier (21e journée - Match en retard) :
OM - Valenciennes ..................................................2 - 1
%1er février (23e journée) :
Saint-Étienne - Valenciennes.................................3 - 0
"Les Verts respirent la confiance" Le Belge relève
la cohésion
stéphanoise
Ariël, quel regard portez-vous sur
l’OM et l’ASSE, que vous avez affronté à
trois jours d’intervalle en janvier?
Nous avons abordé le matchàMarseille
alors que les Olympiens sortaient d’une
mauvaise passe et venaient de se faire
éliminer de la coupe de France par Nice
à domicile (4-5). Le public se révoltait.
On sentait qu’il y avait une grosse pression
sur l’OM. Nous avons fait une prestation
honorable, c’était une victoire à
l’arraché de leur part (2-1).
Trois jours après, Saint-Étienne a voulu
faire le break assez tôt dans la rencontre
et n’y est pas parvenu. Nous commencions
à sentir une certaine forme
d’inquiétude chez eux, jusqu’à ce qu’ils
marquent, malheureusement pour
nous, à la 45e minute (par Cohade, ndlr).
En seconde mi-temps, on avait un rouleau
compresseur en face. L’ASSE baignait
dans la confiance, ça se ressentait
sur le terrain et au niveau du public. La
situationétait donc complètement différente
de celle que nous avions vécue au
stade Vélodrome. Il y avait plus de fraîcheur
mentale dans la tête des Stéphanois.
❚ L’équipe de Christophe Galtier semble
compacte et homogène. C’est ce que vous
avez ressenti?
Mesdonnées sont peut-être un peu tronquées
car nous abordions le déplacement
là-bas avec un manque de fraîcheur,
dû au match précédent à Marseille,
où nous nous sommes créé des occasions
de but. Ce qui n’était pas le cas
contre les Verts. Mais la rigueur et la discipline
de l’ASSE y sont sans doute aussi
pour quelque chose... Lorsqu’on parle
de l’OM, on pense d’abordàson compartiment
offensif. C’est moins le cas à
Saint-Étienne. En revanche, j’ai été marqué
par le soutien inconditionnel des
supporters à Geoffroy-Guichard. Ce
sont des valeurs importantes à l’heure
actuelle. Le fait d’ouvrir la marque
contre eux ne va pas les perturber dans
leur organisation et dans leur système.
Ils respirent la confiance.
❚ S i l ’ un des
deux clubs devait
terminer à la3e place,
quel serait-il selon
vous?
Pour autant que
je puisse me prononce
r, il y a
moins d’attentes
du côté stéphanois
qu’à Marseille.
Il ne faut
pas oublier que
les Olympiens
étaient en Ligue
des champions et
avaient un devoir
d’être compétitif
pour l’Europe.
Les Verts, eux,
sont arrivés là où
ils en sont sans pression. Alors qu’àMarseille,
elle est interne et externe.
❚ Sur les cinq derniers matches à Geoffroy-
Guichard, les Verts n’ont pas encaissé
de but et en ont mis douze. Faire un
coup là-bas est donc difficile...
C’est vrai et j’ai senti un public qui restait
de façon inconditionnelle derrière
son équipe. On sent que ça vibre et que
tout lemonde y croit.
❚ Ce n’était pas le casàMarseille?
L’OMest sujet à des critiques, plus rapidement
que n’importe quel autre
concurrent pour la 3e place. Ça se ressent
et ça se retourne toujours, tôt ou
tard, contre les performances de
l’équipe. Au stade Vélodrome, nous avions
essayé d’effectuer un premier travail
de pression par nos attaquants. Il y
avait pasmal d’espaces. Les approximations
défensives des Marseillais étaient
réelles les semaines précédentes.
.
%29 janvier (21e journée - Match en retard) :
OM - Valenciennes ..................................................2 - 1
%1er février (23e journée) :
Saint-Étienne - Valenciennes.................................3 - 0
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
ASSE-OM, un sommet low cost
PODIUM Une semaine après Monaco-PSG, le classique des années 70 n’intéresse pas grand monde en Europe Lucas Mendes et Kurt Zouma peuvent sauter très haut, ils n’atteindront pas la cime de la L1.
De Clasico en Olimpico, on a voulu
nous vendre de l’événement depuis
des années, jusqu’à dérouter,
spectateur et téléspectateur avec des
matches insipides (Lyon-OM de décembre
2008, par exemple, purge absolue)
ou d’autres, à couper le souffle (le même,
mais 5-5, un an plus tard), décriés par
des entraîneurs furieux d’avoir produit
trop de spectacle en encaissant trop de
buts. Aujourd’hui, le championaété désigné
un mois avant que la Ligue1nedébute.
Son dauphin l’a été dans la foulée et
une fois que Monaco et le PSG se sont
rencontrés deux fois dans la saison, que
r e s t e - t - i l ? Des derbies acides
(Saint-Étienne-Lyon, Ajaccio-Bastia, cartons
et bagarres) ou des sommets low
cost.
Le seul véritable intérêt des quatorze
dernières journées reste la lutte pour la
troisième et la quatrième place, permettant
d’aller faire de la figuration en Ligue
des champions ou l’impasse sur la Ligue
Europe en envoyant l’équipe réserve.
Saint-Étienne-OM de dimanche, écho
fort lointain des rencontres pour le titre
à la charnière des années 60-70. La norme
étant désormais européenne,
l’amateur exhaustif de foot pouvant se taper
un Sunderland-Tottenham ou un Séville-
Getafe, nous avons demandé à des
confrères de six pays d’Europe ce que ASSE-
OM pouvait représenter pour eux et
leurs compatriotes. À peu près autant
qu’un Stuttgart-Mönchengladbach pour
nous...
◗ ALLEMAGNE, BELGIQUE,
PORTUGAL: BOF !
Christian Fink,
"Sportbild" Allemagne
"Ce n’est pas un sujet pour nous. De
Marseille, on connaît Ribéry, Papin, Beckenbauer,
mais peu de gens se souviennent
que Saint-Étienne a joué une finale
contre le Bayern. On se souvient de celles
contre l’Atlético Madrid ou Manchester
United, spectaculaires, mais on ignore
Saint-Étienne aujourd’hui."
Antonio Soares,
"O Jogo", Portugal :
"Ça ne nous dit pas grand chose. L’OM,
oui, à cause de la main de Vata, le transfert
de Lucho, les matches contre Benfica
ou Porto, mais Saint-Étienne a disparu
du plateau européen depuis plus de
30ans, on en a juste parlé pour Postiga ou
Guarin. La dimension n’atteint pas Monaco-
PSG, qui n’ont pas une grosse histoire,
mais beaucoup d’argent et Carvalho,
Falcao, Rodriguez, qu’ils sont venus nous
"piquer". Les clubs eux-mêmes doivent
bien sentir qu’ils jouent une affiche discount,
Saint-Étienne, c’est la L2 européenne."
Patrice Sintzen,
"La Dernière heure", Belgique:
"Le Belge a dumal à aller voir ailleurs,
aujourd’hui, il suit l’Espagne ou
l’Angleterre pour Courtois ou Hazard.
Saint-Étienne, un jeune ne saura même
pas le situer sur la carte, malgré Mirallas,
il y a quelques années. Marseille, oui,
mais un garçon de 15 ans ne sait pas qui
sont Gerets ou Goethals, ni que
Saint-Étienne a joué une finale européenne.
Alors, le match n’existe pas ici, même
pour moi qui aime l’OM et m’intéresse au
foot français. La Ligue 1 a perdu de son
aura. On a parlé de PSG-Monaco, mais
moins que s’il y avait eu Falcao."
◗ ITALIE: À TRAVERS
LE PRISME PSG OU CALCIO
Alessandro Grandesso
"La Gazzetta dello sport", Italie :
"Pour mon journal, ces deux clubs existent
en fonction du PSG et Monaco, parce
que Saint-Étienne pose régulièrement des
problèmes aux Parisiens et qu’un
PSG-OM c’est un grand classique. On ne
peut pas vendre à nos lecteurs un
Saint-Étienne-OM.
"J’ai réalisé récemment une interview
de Florian Thauvin à travers le prisme du
Calcio, parce que c’est la pépite de la "génération
Pogba", même si on sait bien
que l’OM a gagné une Ligue des champions
contre Milan et joué régulièrement
l’épreuve ces dernières années; pour
Saint-Étienne, la seule référence c’est Platini.
C’est vraiment un sommet low cost."
◗ ESPAGNE: L’AUTOROUTE TWITTER
Paco Aguilar,
"Mundo Deportivo", Espagne:
"Le foot français est suivi à travers Monaco
et PSG. Mais sur Twitter ou des
blogs, on découvre des gens de 15-25 ans
qui connaissent le foot international, savent
tout sur Aubameyang avant qu’il
ailleàDortmund, parlent de Kurt Zouma
parce qu’il vaà Chelsea.
Il y a deux autoroutes : les journaux généralistes
ne parlent pas de la France, le
nôtre suit le foot international. Le plus
connu à l’OM, ça reste Mathieu Valbuena
qui a marqué les esprits en Espagne
lorsqu’il est entré et a changé le cours du
match Espagne-FranceàMadrid. L’autre
voie, c’est internet, où on ne connaît que
le présent; l’histoire, les jeunes s’en foutent.
Pour les gens de ma génération, les
Verts ont une signification, avec Sarramagna
qui était un peu demi-basque et l’OM
r e p r é s e n t e e n c o r e p l u s , mais
Saint-Étienne-OM n’aura pas beaucoup
d’écho."
◗ ANGLETERRE: TRADITION CONTRE
POGNON
Amy Lawrence,
"The Observer", Angleterre :
"Pour les gens comme moi qui
s’intéressent depuis toujours au foot européen,
ces deux clubs ont une place, parce
qu’ils ont une histoire, une culture et
nous souhaitons voir ces équipes-là
au-dessus de celles qui ont surtout un
gros budget comme PSG ou Monaco. Arsenal
ou Liverpool champions, c’est plus réjouissant
que Chelsea ou Manchester City.
Mais je doute qu’un autre Montpellier
me fasse autant plaisir dans les années à
venir. Pour un jeune de quinze ans, les références
sont les clubs riches, pas ceux qui
ont une histoire.
"Dimanche dernier, Monaco-PSG a été
diffusé en direct sur BT Sports et a fait une
belle audience, car il n’y avait pas de
match anglais. Fait exceptionnel, le
match a même été donné en direct live
sur le site internet du Guardian. Je ne sais
pas encore si Saint-Étienne-OM sera diffusé
dans le même créneau, mais il ne suscite
pas le même intérêt; c’est dommage!"
PODIUM Une semaine après Monaco-PSG, le classique des années 70 n’intéresse pas grand monde en Europe Lucas Mendes et Kurt Zouma peuvent sauter très haut, ils n’atteindront pas la cime de la L1.
De Clasico en Olimpico, on a voulu
nous vendre de l’événement depuis
des années, jusqu’à dérouter,
spectateur et téléspectateur avec des
matches insipides (Lyon-OM de décembre
2008, par exemple, purge absolue)
ou d’autres, à couper le souffle (le même,
mais 5-5, un an plus tard), décriés par
des entraîneurs furieux d’avoir produit
trop de spectacle en encaissant trop de
buts. Aujourd’hui, le championaété désigné
un mois avant que la Ligue1nedébute.
Son dauphin l’a été dans la foulée et
une fois que Monaco et le PSG se sont
rencontrés deux fois dans la saison, que
r e s t e - t - i l ? Des derbies acides
(Saint-Étienne-Lyon, Ajaccio-Bastia, cartons
et bagarres) ou des sommets low
cost.
Le seul véritable intérêt des quatorze
dernières journées reste la lutte pour la
troisième et la quatrième place, permettant
d’aller faire de la figuration en Ligue
des champions ou l’impasse sur la Ligue
Europe en envoyant l’équipe réserve.
Saint-Étienne-OM de dimanche, écho
fort lointain des rencontres pour le titre
à la charnière des années 60-70. La norme
étant désormais européenne,
l’amateur exhaustif de foot pouvant se taper
un Sunderland-Tottenham ou un Séville-
Getafe, nous avons demandé à des
confrères de six pays d’Europe ce que ASSE-
OM pouvait représenter pour eux et
leurs compatriotes. À peu près autant
qu’un Stuttgart-Mönchengladbach pour
nous...
◗ ALLEMAGNE, BELGIQUE,
PORTUGAL: BOF !
Christian Fink,
"Sportbild" Allemagne
"Ce n’est pas un sujet pour nous. De
Marseille, on connaît Ribéry, Papin, Beckenbauer,
mais peu de gens se souviennent
que Saint-Étienne a joué une finale
contre le Bayern. On se souvient de celles
contre l’Atlético Madrid ou Manchester
United, spectaculaires, mais on ignore
Saint-Étienne aujourd’hui."
Antonio Soares,
"O Jogo", Portugal :
"Ça ne nous dit pas grand chose. L’OM,
oui, à cause de la main de Vata, le transfert
de Lucho, les matches contre Benfica
ou Porto, mais Saint-Étienne a disparu
du plateau européen depuis plus de
30ans, on en a juste parlé pour Postiga ou
Guarin. La dimension n’atteint pas Monaco-
PSG, qui n’ont pas une grosse histoire,
mais beaucoup d’argent et Carvalho,
Falcao, Rodriguez, qu’ils sont venus nous
"piquer". Les clubs eux-mêmes doivent
bien sentir qu’ils jouent une affiche discount,
Saint-Étienne, c’est la L2 européenne."
Patrice Sintzen,
"La Dernière heure", Belgique:
"Le Belge a dumal à aller voir ailleurs,
aujourd’hui, il suit l’Espagne ou
l’Angleterre pour Courtois ou Hazard.
Saint-Étienne, un jeune ne saura même
pas le situer sur la carte, malgré Mirallas,
il y a quelques années. Marseille, oui,
mais un garçon de 15 ans ne sait pas qui
sont Gerets ou Goethals, ni que
Saint-Étienne a joué une finale européenne.
Alors, le match n’existe pas ici, même
pour moi qui aime l’OM et m’intéresse au
foot français. La Ligue 1 a perdu de son
aura. On a parlé de PSG-Monaco, mais
moins que s’il y avait eu Falcao."
◗ ITALIE: À TRAVERS
LE PRISME PSG OU CALCIO
Alessandro Grandesso
"La Gazzetta dello sport", Italie :
"Pour mon journal, ces deux clubs existent
en fonction du PSG et Monaco, parce
que Saint-Étienne pose régulièrement des
problèmes aux Parisiens et qu’un
PSG-OM c’est un grand classique. On ne
peut pas vendre à nos lecteurs un
Saint-Étienne-OM.
"J’ai réalisé récemment une interview
de Florian Thauvin à travers le prisme du
Calcio, parce que c’est la pépite de la "génération
Pogba", même si on sait bien
que l’OM a gagné une Ligue des champions
contre Milan et joué régulièrement
l’épreuve ces dernières années; pour
Saint-Étienne, la seule référence c’est Platini.
C’est vraiment un sommet low cost."
◗ ESPAGNE: L’AUTOROUTE TWITTER
Paco Aguilar,
"Mundo Deportivo", Espagne:
"Le foot français est suivi à travers Monaco
et PSG. Mais sur Twitter ou des
blogs, on découvre des gens de 15-25 ans
qui connaissent le foot international, savent
tout sur Aubameyang avant qu’il
ailleàDortmund, parlent de Kurt Zouma
parce qu’il vaà Chelsea.
Il y a deux autoroutes : les journaux généralistes
ne parlent pas de la France, le
nôtre suit le foot international. Le plus
connu à l’OM, ça reste Mathieu Valbuena
qui a marqué les esprits en Espagne
lorsqu’il est entré et a changé le cours du
match Espagne-FranceàMadrid. L’autre
voie, c’est internet, où on ne connaît que
le présent; l’histoire, les jeunes s’en foutent.
Pour les gens de ma génération, les
Verts ont une signification, avec Sarramagna
qui était un peu demi-basque et l’OM
r e p r é s e n t e e n c o r e p l u s , mais
Saint-Étienne-OM n’aura pas beaucoup
d’écho."
◗ ANGLETERRE: TRADITION CONTRE
POGNON
Amy Lawrence,
"The Observer", Angleterre :
"Pour les gens comme moi qui
s’intéressent depuis toujours au foot européen,
ces deux clubs ont une place, parce
qu’ils ont une histoire, une culture et
nous souhaitons voir ces équipes-là
au-dessus de celles qui ont surtout un
gros budget comme PSG ou Monaco. Arsenal
ou Liverpool champions, c’est plus réjouissant
que Chelsea ou Manchester City.
Mais je doute qu’un autre Montpellier
me fasse autant plaisir dans les années à
venir. Pour un jeune de quinze ans, les références
sont les clubs riches, pas ceux qui
ont une histoire.
"Dimanche dernier, Monaco-PSG a été
diffusé en direct sur BT Sports et a fait une
belle audience, car il n’y avait pas de
match anglais. Fait exceptionnel, le
match a même été donné en direct live
sur le site internet du Guardian. Je ne sais
pas encore si Saint-Étienne-OM sera diffusé
dans le même créneau, mais il ne suscite
pas le même intérêt; c’est dommage!"
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
OM : Gignac, Payet et Thauvin devront patienter jusqu'au 27
Marseille / Publié le Jeudi 13/02/2014 à 17H47
En lice pour une place à la Coupe du monde, André-Pierre Gignac, Dimitri Payet et Florian Thauvin devraient en savoir un peu plus sur leurs chances le jeudi 27 février. Ce jour là, le sélectionneur Didier Deschamps dévoilera sa liste pour le match amical entre l'équipe de France et les Pays-Bas. La blessure de Samir Nasri (Manchester City) offre une perspective supplémentaire à Payet et Thauvin. La rencontre contre le vice champion du monde en titre se déroulera au Stade de France le mercredi 5 mars.
Marseille / Publié le Jeudi 13/02/2014 à 17H47
En lice pour une place à la Coupe du monde, André-Pierre Gignac, Dimitri Payet et Florian Thauvin devraient en savoir un peu plus sur leurs chances le jeudi 27 février. Ce jour là, le sélectionneur Didier Deschamps dévoilera sa liste pour le match amical entre l'équipe de France et les Pays-Bas. La blessure de Samir Nasri (Manchester City) offre une perspective supplémentaire à Payet et Thauvin. La rencontre contre le vice champion du monde en titre se déroulera au Stade de France le mercredi 5 mars.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
GRANDES DATES
OM
Mandandaet Gignac
ménagés
Hier matin, sous le soleil printanier
de La Commanderie, les
Olympiens ont effectué leur
séance de mise en place à l’abri
des regards indiscrets. "On préfère
effectuer une séance allégée la
veille du match, afin de garder
du jus pour la rencontre", a justifié
José Anigo. Steve Mandanda
n’a cependant pas pointé le bout
de son nez. "Il avait un petit pépin
physique à traiter, mais rien
de grave", a tenu à rassurer
l’entraîneur olympien. Le capitaine
olympien a donc été ménagé,
tout comme André-Pierre Gignac,
mais leur participation à la
rencontre n’est nullement remise
en question. Hormis Rod Fanni,
suspendu, Anigo dispose de
l’ensemble de ses forces vives.
Brandaojouera
Comme c’était prévu, Christophe
Galtier a déploré hier les forfaits
de François Clerc et Josuha
Guilavogui, demain. En revanche,
Brandao devrait être titularisé.
"Il aime ces rendez-vous-là, a
souligné l’entraîneur stéphanois.
C’est possible qu’il démarre.
Enfin oui, il va démarrer! "(rires)
SAINT-ÉTIENNE-OMFévrier 1970: Hodoul, dernier défenseur devant Keita,
va remplacer Escale après sa blessure
dans un choc avec Revelli. /
◗ 37 ANSSANSVICTOIRE
08/10/1950-28/03/1987
La première victoire officielle de
l’OM à Geoffroy-Guichard (1-2),
après quelques succès pendant
la guerre, est signée Scotti, sur
penalty, et Flamion contre un
but de Huguet, sur penalty aussi.
L’OM attend alors sa recrue de
l’hiver, Gunnar Andersson, qui
arrive en décembre. Les Verts
ont eu le temps d’être dix fois
champions et l’OM deux fois,
quand les Olympiens finissent
par gagner dans le Forez, chez le
promu stéphanois, sur un but de
Patrick Cubaynes, face à Castaneda.
◗ CANETTE ET BAMBOU
29/10/91, 29/01/92, 12/12/99
À la descente du bus, Jean-Pierre
Papin est touché par une canette
qui heurte son crâne. Le
match, gagné par les Verts, est
annulé et rejoué trois mois plus
tard (1-1, buts de Papin et Deguerville).
Le vrai K.-O. arrive huit ans plus
tard, l’OM, écrasé 5-1, verra ses
supporters réagir violemment
deux jours plus tard à La Commanderie.
OM
Mandandaet Gignac
ménagés
Hier matin, sous le soleil printanier
de La Commanderie, les
Olympiens ont effectué leur
séance de mise en place à l’abri
des regards indiscrets. "On préfère
effectuer une séance allégée la
veille du match, afin de garder
du jus pour la rencontre", a justifié
José Anigo. Steve Mandanda
n’a cependant pas pointé le bout
de son nez. "Il avait un petit pépin
physique à traiter, mais rien
de grave", a tenu à rassurer
l’entraîneur olympien. Le capitaine
olympien a donc été ménagé,
tout comme André-Pierre Gignac,
mais leur participation à la
rencontre n’est nullement remise
en question. Hormis Rod Fanni,
suspendu, Anigo dispose de
l’ensemble de ses forces vives.
Brandaojouera
Comme c’était prévu, Christophe
Galtier a déploré hier les forfaits
de François Clerc et Josuha
Guilavogui, demain. En revanche,
Brandao devrait être titularisé.
"Il aime ces rendez-vous-là, a
souligné l’entraîneur stéphanois.
C’est possible qu’il démarre.
Enfin oui, il va démarrer! "(rires)
SAINT-ÉTIENNE-OMFévrier 1970: Hodoul, dernier défenseur devant Keita,
va remplacer Escale après sa blessure
dans un choc avec Revelli. /
◗ 37 ANSSANSVICTOIRE
08/10/1950-28/03/1987
La première victoire officielle de
l’OM à Geoffroy-Guichard (1-2),
après quelques succès pendant
la guerre, est signée Scotti, sur
penalty, et Flamion contre un
but de Huguet, sur penalty aussi.
L’OM attend alors sa recrue de
l’hiver, Gunnar Andersson, qui
arrive en décembre. Les Verts
ont eu le temps d’être dix fois
champions et l’OM deux fois,
quand les Olympiens finissent
par gagner dans le Forez, chez le
promu stéphanois, sur un but de
Patrick Cubaynes, face à Castaneda.
◗ CANETTE ET BAMBOU
29/10/91, 29/01/92, 12/12/99
À la descente du bus, Jean-Pierre
Papin est touché par une canette
qui heurte son crâne. Le
match, gagné par les Verts, est
annulé et rejoué trois mois plus
tard (1-1, buts de Papin et Deguerville).
Le vrai K.-O. arrive huit ans plus
tard, l’OM, écrasé 5-1, verra ses
supporters réagir violemment
deux jours plus tard à La Commanderie.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: Quizz sur l'OM...
ASSE-OM : une autre victoire contre un gros ?
Saint-Étienne / Publié le Dimanche 16/02/2014 à 12H08
L'OM a bien du mal contre les grosses écuries du championnat. En effet, en 6 rencontres face aux cadors de la Ligue 1, les Olympiens ne se sont imposés qu'à une seule reprise... contre l'ASSE.
Au final, le bilan est de 4 défaites, 1 nul et donc... 1 victoire.
4e journée - OM -Monaco : 1-2
7e journée - OM -ASSE : 2-1
9e journée - OM - PSG : 1-2
16e journée - LOSC - OM : 1-0
18e journée - OL - OM : 2-2
22e journée - Monaco - OM : 2-0
Saint-Étienne / Publié le Dimanche 16/02/2014 à 12H08
L'OM a bien du mal contre les grosses écuries du championnat. En effet, en 6 rencontres face aux cadors de la Ligue 1, les Olympiens ne se sont imposés qu'à une seule reprise... contre l'ASSE.
Au final, le bilan est de 4 défaites, 1 nul et donc... 1 victoire.
4e journée - OM -Monaco : 1-2
7e journée - OM -ASSE : 2-1
9e journée - OM - PSG : 1-2
16e journée - LOSC - OM : 1-0
18e journée - OL - OM : 2-2
22e journée - Monaco - OM : 2-0
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
ÀLILLEETÀSAINT-ÉTIENNE, DEUX BUTS QUI CHANGENTTOUT
Temps additionnel, tempsmaudit À Lille déjà, le but de Nolan Roux, après deuxminutes de temps additionnel, avait privé l’OM d’une
belle opération face à un rival direct. Selon que l’on passe à côté
d’une défaite ou d’une victoire,
un nul obtenu ou concédé
dans les derniers instants d’un
match n’est pas digéré de lamême
manière. Dimanche soir,
les Stéphanois l’ont accueilli
avec soulagement, les Olympiens
avec une grande déception.
Ce n’était malheureusement
pas la première fois, surtout
dans des matches où les
points "comptent double".
À Lille, déjà, l’OM avait perdu
le bénéfice d’un très bon
match ; pire, cette rencontre
que les arrêts d’Enyeama ont
empêché l’OM de gagner, un
but de Nolan Roux lui avait fait
perdre.
Le calcul est simple : un
point de perdu dans le Nord,
deux dans le Forez, ça fait trois.
Dont deux au bénéfice du
LOSC et un pour les Verts. Si
l’OM avait su conserver le résultat
jusqu’au bout, il serait
aujourd’hui à égalité avec Lille,
à 43 po i n t s , d e v a n t
Saint-Étienne, 41. Avant d’aller
à Paris où l’OM peut très bien
connaître un nouveau creux et
perdre un peu du terrain reconquis
depuis janvier (11 longueurs
de retard sur Lille), ces
trois points de plus feraient
beaucoup de bien. Trois et même
quatre si on y ajoute celui
perdu contre Reims en octobre,
lorsque Onyanga a marqué
le but de la victoire (3-2)
dans le temps additionnel.
Temps additionnel, temps
maudit pour l’OM, qui, en Ligue
1, a encaissé 10 buts dans
le dernier quart d’heure de la
première période, mais un seul
dans le dernier quart d’heure
du temps réglementaire, un
but de Rivière qui avait permis
la victoire de Monaco au Vélodrome,
fin août. Un seul but en
25 matches, mais trois en six
rencontres de Ligue des champions,
dont celui de Grosskreutz
qui a empêché une courageuse
équipe olympienne réduite
à dix, de prendre un petit
p o i n t q u i a u r a i t sauvé
l’honneur lors de la dernière
journée faceàDortmund.
Un seul but donc en L1, encaissé
entre la 75e et la 90e minute.
Mais trois dans le temps additionnel
(90 + 1 devant Reims,
90 + 2, à Lille et à Saint-Etienne),
qui, en l’état actuel des choses,
peuvent coûter à l’OM une
place européenne, voire un ticket
pour les tours préliminaires
de Ligue des champions. Soit
cher, voire très cher.
Unpeu comme si l’OM, satisfait
d’avoir su résister 90 minutes
durant, pensait trop tôt tenir
le bon bout et se relâchait ;
ce fut le cas sur l’action qui a
précédé le centre vers Brandao
et l’avait encore plus été lorsque
le Rémois avait marqué le
but de la victoire, seul, entre
Nkoulou et Lemina.
Être attentif jusqu’au bout va
se révéler indispensable pour
ne plus perdre des points à la
portée d’un OM qui gâche
trop...
Temps additionnel, tempsmaudit À Lille déjà, le but de Nolan Roux, après deuxminutes de temps additionnel, avait privé l’OM d’une
belle opération face à un rival direct. Selon que l’on passe à côté
d’une défaite ou d’une victoire,
un nul obtenu ou concédé
dans les derniers instants d’un
match n’est pas digéré de lamême
manière. Dimanche soir,
les Stéphanois l’ont accueilli
avec soulagement, les Olympiens
avec une grande déception.
Ce n’était malheureusement
pas la première fois, surtout
dans des matches où les
points "comptent double".
À Lille, déjà, l’OM avait perdu
le bénéfice d’un très bon
match ; pire, cette rencontre
que les arrêts d’Enyeama ont
empêché l’OM de gagner, un
but de Nolan Roux lui avait fait
perdre.
Le calcul est simple : un
point de perdu dans le Nord,
deux dans le Forez, ça fait trois.
Dont deux au bénéfice du
LOSC et un pour les Verts. Si
l’OM avait su conserver le résultat
jusqu’au bout, il serait
aujourd’hui à égalité avec Lille,
à 43 po i n t s , d e v a n t
Saint-Étienne, 41. Avant d’aller
à Paris où l’OM peut très bien
connaître un nouveau creux et
perdre un peu du terrain reconquis
depuis janvier (11 longueurs
de retard sur Lille), ces
trois points de plus feraient
beaucoup de bien. Trois et même
quatre si on y ajoute celui
perdu contre Reims en octobre,
lorsque Onyanga a marqué
le but de la victoire (3-2)
dans le temps additionnel.
Temps additionnel, temps
maudit pour l’OM, qui, en Ligue
1, a encaissé 10 buts dans
le dernier quart d’heure de la
première période, mais un seul
dans le dernier quart d’heure
du temps réglementaire, un
but de Rivière qui avait permis
la victoire de Monaco au Vélodrome,
fin août. Un seul but en
25 matches, mais trois en six
rencontres de Ligue des champions,
dont celui de Grosskreutz
qui a empêché une courageuse
équipe olympienne réduite
à dix, de prendre un petit
p o i n t q u i a u r a i t sauvé
l’honneur lors de la dernière
journée faceàDortmund.
Un seul but donc en L1, encaissé
entre la 75e et la 90e minute.
Mais trois dans le temps additionnel
(90 + 1 devant Reims,
90 + 2, à Lille et à Saint-Etienne),
qui, en l’état actuel des choses,
peuvent coûter à l’OM une
place européenne, voire un ticket
pour les tours préliminaires
de Ligue des champions. Soit
cher, voire très cher.
Unpeu comme si l’OM, satisfait
d’avoir su résister 90 minutes
durant, pensait trop tôt tenir
le bon bout et se relâchait ;
ce fut le cas sur l’action qui a
précédé le centre vers Brandao
et l’avait encore plus été lorsque
le Rémois avait marqué le
but de la victoire, seul, entre
Nkoulou et Lemina.
Être attentif jusqu’au bout va
se révéler indispensable pour
ne plus perdre des points à la
portée d’un OM qui gâche
trop...
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
OM : poursuivre la bonne série à domicile
Marseille / Publié le Jeudi 20/02/2014 à 17H19
Une série partie pour durer ? En championnat, cela fait quatre matches que l'OM ne perd plus au Vélodrome. Petit récapitulatif :
- 19ème journée (22/12) : OM 2-2 Bordeaux
- Match en retard de la 21ème journée (29/01) : OM 2-1 Valenciennes
- 23ème journée (02/02) : OM 2-2 Toulouse
- 24ème journée (08/02) : OM 3-0 Bastia
Nommé entraîneur intérimaire du club depuis le 7 décembre dernier, José Anigo n'a donc toujours pas connu la défaite à domicile en Ligue 1 depuis qu'il a repris les rênes de l'équipe. Et il ne compte pas flancher face à Lorient, comme il l'a indiqué cet après-midi en conférence de presse : "Ce qui serait bien, ce serait de gagner contre eux chez nous. Cela permettrait de prendre 6 points face à eux cette saison". Pour rappel, l'OM était allé s'imposer 2 à 0 à Lorient en début d'année lors de la 8ème journée de championnat.
Marseille / Publié le Jeudi 20/02/2014 à 17H19
Une série partie pour durer ? En championnat, cela fait quatre matches que l'OM ne perd plus au Vélodrome. Petit récapitulatif :
- 19ème journée (22/12) : OM 2-2 Bordeaux
- Match en retard de la 21ème journée (29/01) : OM 2-1 Valenciennes
- 23ème journée (02/02) : OM 2-2 Toulouse
- 24ème journée (08/02) : OM 3-0 Bastia
Nommé entraîneur intérimaire du club depuis le 7 décembre dernier, José Anigo n'a donc toujours pas connu la défaite à domicile en Ligue 1 depuis qu'il a repris les rênes de l'équipe. Et il ne compte pas flancher face à Lorient, comme il l'a indiqué cet après-midi en conférence de presse : "Ce qui serait bien, ce serait de gagner contre eux chez nous. Cela permettrait de prendre 6 points face à eux cette saison". Pour rappel, l'OM était allé s'imposer 2 à 0 à Lorient en début d'année lors de la 8ème journée de championnat.
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: Quizz sur l'OM...
Grandes dates
◗ 4-3-3
%Quatre victoires en 1999,
2001, 2010, 2011
La premier succès a été aisé face
à des Bretons encore un peu tendres,
mais le second (ci-contre),
très difficile, comme le dernier,
obtenu dans le temps additionnel.
%Trois nuls en 1995, 2007,
2010
En D2, les Merlus ont commencé
par prendre un point au Vélodrome.
%Trois défaites en 2006, 08, 12
La première (1-0) est l’oeuvre de
Gignac, la deuxième (3-2, avec
Abriel et Amalfitano buteurs), la
troisième, une humiliation (3-0).
◗ 4-3-3
%Quatre victoires en 1999,
2001, 2010, 2011
La premier succès a été aisé face
à des Bretons encore un peu tendres,
mais le second (ci-contre),
très difficile, comme le dernier,
obtenu dans le temps additionnel.
%Trois nuls en 1995, 2007,
2010
En D2, les Merlus ont commencé
par prendre un point au Vélodrome.
%Trois défaites en 2006, 08, 12
La première (1-0) est l’oeuvre de
Gignac, la deuxième (3-2, avec
Abriel et Amalfitano buteurs), la
troisième, une humiliation (3-0).
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Page 14 sur 20 • 1 ... 8 ... 13, 14, 15 ... 20
Page 14 sur 20
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum