MICHEL PLATINI LE FUTUR PRESIDENT DE LA FIFA

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Michel Platini est en deuil


Gala
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© Fournis par Gala Paktini-ouv
La mère du champion s’est éteinte.

C’est hier après-midi qu’ont été célébrés les obsèques d'Anna Platini (née Piccinelli) à  l'église Saint-Léon de Nancy. La maman du triple ballon d’Or et actuel président de l'UEFA est décédée samedi dernier. «Comme souvent, Anna assistait aux côtés d’Aldo et des fidèles de la corbeille de Marcel-Picot au match de l’ASNL contre Troyes, vendredi soir, précise l'Est Républicain. Elle est décédée subitement dans la journée qui suivit, en plein sommeil. Anna Platini avait 85 ans. Jusqu’au bout, le football et la famille auront occupé une grande part de sa vie.»


Et le quotidien régional de retracer le parcours de la maman de la légende du football français. «Cette fille d’émigrés italiens, née Piccinelli, avait passé sa jeunesse à Jœuf, au milieu d’une communauté nombreuse venue après la Seconde Guerre mondiale travailler en Lorraine, relate l’Est Républicain. Son papa tenait un des hauts lieux de la localité, le Café des Sportifs. Jœuf, c’est là également qu’elle a rencontré celui qui allait devenir son mari, Aldo Platini, lequel se destinait à une carrière de prof de maths avant que le football ne le rattrape. Embauché par l’ASNL, les Platini ont donc mis le cap sur Nancy avec leur progéniture, Michel et Martine. La suite appartient pour la partie émergée à l’histoire de France, même si Anna, fidèle à son naturel, resta toujours très discrète. Mais oh combien attentive. On la croisait souvent avec Aldo en balade ou derrière une main courante, comme un couple parmi d’autres. Moins ces derniers temps où elle semblait plus fatiguée. On se souviendra de ses larmes de joie, le 26 janvier 2007, quand elle assista au premier rang dans le hall des congrès de Düsseldorf à l’élection de Michel à la tête du football européen.”

Le 24 mars dernier, Michel Platini était élu pour la troisième fois à la tête de l’UEFA (l'Union des Associations Européennes de Football). Sa maman ne sera plus là pour voir son fils continuer son extraordinaire carrière et briguer la tête de la FIFA en 2019.

[url=https://twitter.com/share?url=http://www.lequipe.fr/Football/Article/Platini-pousse-vers-la-fifa/50758&text=Platini pouss%C3%A9 vers la fifa&via=lequipe][/url]

ETIENNE MOATTI
Jeudi 11 juin 2015
[size=28]L'entourage du président de l'UEFA l'encourage à se lancer dans la course à la présidence de la Fédération internationale.

INCLUS DANS CET ARTICLE

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• 1Platini poussé vers la FIFA
  
• 2Quand les opposants proposent...
  

[size]

MÊME S'IL JOUAIT à domicile, Michel Platini a fermé le jeu. Présent, hier matin, à Paris, à un an du démarrage de l'Euro 2016, le président de l'UEFA savait qu'il allait être sondé par les journalistes sur son envie de succéder à Sepp Blatter à la tête de la FIFA. [/size]

[size=45]Le patron d'Adidas vote Michel Platini pour succéder à Sepp Blatter
Le 10/07/2015 à 19:00:00 | Mis à jour le 11/07/2015 à 01:00:44 | 15 Commentaires

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Michel Platini pourrait bénéficier d'un soutien de poids s'il se décidait à se lancer dans la campagne à la présidence de la FIFA. (Reuters)[/size]

Michel Platini n'est, pour l'instant, pas candidat à la présidence de la FIFA. Herbert Hainer, le patron d'Adidas, l'un des sponsors principaux de l'instance, a expliqué ce vendredi dans l'hebdomadaire allemand Focus qu'il verrait pourtant bien le Français succéder à Sepp Blatter. «Il dirige l'UEFA, où se trouvent les meilleurs clubs du monde et où se déroule la compétition la plus difficile, la Ligue des champions, a-t-il avancé. Il a réalisé un très bon travail. Pour moi, Platini est le candidat le plus approprié.»

aladin a écrit:[size=45]Le patron d'Adidas vote Michel Platini pour succéder à Sepp Blatter
Le 10/07/2015 à 19:00:00 | Mis à jour le 11/07/2015 à 01:00:44 | 15 Commentaires

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Michel Platini pourrait bénéficier d'un soutien de poids s'il se décidait à se lancer dans la campagne à la présidence de la FIFA. (Reuters)[/size]

Michel Platini n'est, pour l'instant, pas candidat à la présidence de la FIFA. Herbert Hainer, le patron d'Adidas, l'un des sponsors principaux de l'instance, a expliqué ce vendredi dans l'hebdomadaire allemand Focus qu'il verrait pourtant bien le Français succéder à Sepp Blatter. «Il dirige l'UEFA, où se trouvent les meilleurs clubs du monde et où se déroule la compétition la plus difficile, la Ligue des champions, a-t-il avancé. Il a réalisé un très bon travail. Pour moi, Platini est le candidat le plus approprié.»

....... Et celui du Qatar ?

domenico belli a écrit:

aladin a écrit:[size=45]Le patron d'Adidas vote Michel Platini pour succéder à Sepp Blatter
Le 10/07/2015 à 19:00:00 | Mis à jour le 11/07/2015 à 01:00:44 | 15 Commentaires

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Michel Platini pourrait bénéficier d'un soutien de poids s'il se décidait à se lancer dans la campagne à la présidence de la FIFA. (Reuters)[/size]

Michel Platini n'est, pour l'instant, pas candidat à la présidence de la FIFA. Herbert Hainer, le patron d'Adidas, l'un des sponsors principaux de l'instance, a expliqué ce vendredi dans l'hebdomadaire allemand Focus qu'il verrait pourtant bien le Français succéder à Sepp Blatter. «Il dirige l'UEFA, où se trouvent les meilleurs clubs du monde et où se déroule la compétition la plus difficile, la Ligue des champions, a-t-il avancé. Il a réalisé un très bon travail. Pour moi, Platini est le candidat le plus approprié.»

.......           Et celui du Qatar ?

le prince je crois pas du qatar lol
 - Le prince Ali Ben Hussein de Jordanie, candidat malheureux à la présidence de la FIFA

FOOTBALL | ÉLECTION A LA PRÉSIDENCE DE LA FIFA
Platini, l'horizon s'élargit
issu du quotidien
De notre envoyé special
Mardi 21 juillet 2015 ZURICH
Fort de nombreux soutiens, le patron de l'UEFA devrait concourir pour l'élection à la présidence de la FIFA, prévue dans six mois.

INCLUS DANS CET ARTICLE

1 Platini, l'horizon s'élargit
2 Tous derrière lui, mais...
3 Cherche opposants, désespérément
4 Qui peut être candidat  ?
« DANS MA VIE, j'ai voulu être footballeur, ça s'est bien passé. On m'a demandé d'être sélectionneur de l'équipe de France, puis d'être président du comité d'organisation de la Coupe du monde 1998 (CFO) , cela m'a plu. Puis je suis devenu membre du comité exécutif de la FIFA (en 2002) ..

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De notre envoyé special
Mardi 21 juillet 2015ZURICH
[size=28]Fort de nombreux soutiens, le patron de l'UEFA devrait concourir pour l'élection à la présidence de la FIFA, prévue dans six mois.

INCLUS DANS CET ARTICLE

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• 1Platini, l'horizon s'élargit
  
• 2Tous derrière lui, mais...
  
• 3Cherche opposants, désespérément
  
• 4Qui peut être candidat  ?
  

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« DANS MA VIE, j'ai voulu être footballeur, ça s'est bien passé. On m'a demandé d'être sélectionneur de l'équipe de France, puis d'être président du comité d'organisation de la Coupe du monde 1998 (CFO) , cela m'a plu. Puis je suis devenu membre du comité exécutif de la FIFA (en 2002) ..[/size]

Au moins avec Platoche, il y aurait un technicien de surface* et non un affairiste ... Par contre, terminées les soirées petits fours champagnes... Tous à la Pizza Kro. !

* dans les 18, et hors aussi ... Demandez à Luis Arconada.., à dada sur son bidet ...

domenico belli a écrit:Au moins avec Platoche,  il y aurait un technicien de surface* et non un affairiste ... Par contre, terminées les soirées petits fours champagnes... Tous à la Pizza Kro. !

* dans les 18, et hors aussi ... Demandez à Luis Arconada.., à dada sur son bidet ...

POUR AVOIR PARLE AVEC LUI A CASSIS
IL SE PORTE BIEN PLATOCHE LES REPAS D AFFAIRE CA DOIT AUSSI LE CONNAITRE
PAR CONTRE JE CROIS QU IL ERRADIQUERA LA CORRUPTION DE LA FIFA

PLATINI VEUT Y ALLER
FOOTFIFAÉLECTION Platini veut y aller
Sauf improbable revirement, le patron de l'UEFA Michel Platini va annoncer dans les deux jours sa candidature à la présidence de la FIFA pour remplacer le controversé Sepp Blatter, le 26 février prochain.

[size=40]]PLATINI VEUT Y ALLER[/size]
FOOTFIFAÉLECTION
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Sauf improbable revirement, le patron de l'UEFA Michel Platini va annoncer dans les deux jours sa candidature à la présidence de la FIFA pour remplacer le controversé Sepp Blatter, le 26 février prochain.

aladin a écrit:PLATINI VEUT Y ALLER
FOOTFIFAÉLECTION Platini veut y aller
Sauf improbable revirement, le patron de l'UEFA Michel Platini va annoncer dans les deux jours sa candidature à la présidence de la FIFA pour remplacer le controversé Sepp Blatter, le 26 février prochain.

[size=40]]PLATINI VEUT Y ALLER[/size]
FOOTFIFAÉLECTION
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Sauf improbable revirement, le patron de l'UEFA Michel Platini va annoncer dans les deux jours sa candidature à la présidence de la FIFA pour remplacer le controversé Sepp Blatter, le 26 février prochain.

Au moins un technicien remplaçant un affairiste, le football y sera gagnant .. Je souhaite la même chose à la tête de notre ligue !

domenico belli a écrit:

aladin a écrit:PLATINI VEUT Y ALLER
FOOTFIFAÉLECTION Platini veut y aller
Sauf improbable revirement, le patron de l'UEFA Michel Platini va annoncer dans les deux jours sa candidature à la présidence de la FIFA pour remplacer le controversé Sepp Blatter, le 26 février prochain.

[size=40]]PLATINI VEUT Y ALLER[/size]
FOOTFIFAÉLECTION
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Sauf improbable revirement, le patron de l'UEFA Michel Platini va annoncer dans les deux jours sa candidature à la présidence de la FIFA pour remplacer le controversé Sepp Blatter, le 26 février prochain.

Au moins un technicien remplaçant un affairiste, le football y sera gagnant ..   Je souhaite la même chose à la tête de notre ligue !

notre ligue c'est comme notre politique
pratiquement que des avocats ils connaissent les ficelles du droit et manipulent tout

[size=45]Platini, échecs et réussites
Le 29/07/2015 à 15:10:24 | Mis à jour le 29/07/2015 à 15:48:55
Candidat à la présidence de la FIFA, ultime échelon dans la hiérarchie du football mondial, Michel Platini, réélu à la présidence de l'UEFA en mars dernier, a notamment été sélectionneur de l'équipe de France et membre du Comité d'organisation du Mondial 1998. Retour sur les ratés et les réussites de son parcours de dirigeant.

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Michel Platini a connu une riche carrière depuis la fin de sa carrière de joueur. (A.Réau - L'Equipe)[/size]

Son échec

Son mandat de sélectionneur de l'équipe de France

Dix-huit mois après avoir pris sa retraite internationale, Michel Platini retrouve en novembre 1988 l’équipe de France en tant que sélectionneur. A 35 ans, l’ex-meneur de jeu et capitaine des Bleus – qui s’était toujours comporté en patron sur le terrain – remplace Henri Michel, son coach lors du Mondial 1986 terminé sur le podium. Privés quelques mois plus tôt d’une participation à l’Euro, dont ils détenaient le titre, les Tricolores ne veulent pas rater la Coupe du monde 1990.

Arrivé aux commandes après un nul à Chypre (1-1) lors de la deuxième journée des éliminatoires, Platini ne parvient pas à montrer la voie depuis le banc: il démarre son mandat par une défaite chez la Yougoslavie de Safet Susic (3-2, le 19 novembre 1988). Une nouvelle défaite, en Ecosse, et deux nuls plus tard (face à la Yougoslavie et en Norvège), les Bleus sont «out» de la course à la qualification. Ils ne verront pas l’Italie. Avec un groupe similaire, Platini parvient à redonner du souffle à l’équipe de France, qui réussit un sans-faute sur la route de l’Euro 1992... qu’elle quitte dès le premier tour. Cet été-là, Platini rompt son histoire avec les Bleus de manière assez abrupte. Le 2 juillet, alors que la France est désignée hôte de la Coupe du monde 1998, il annonce simplement, entre deux portes et devant quelques micros: «J’arrête, c’est fini.»











Sa maladresse

L'annonce de son vote en faveur du Qatar pour l'attribution de la Coupe du monde 2022

Il ne s’en est pas caché, et cette «transparence» est finalement devenue un problème: Michel Platini a donné sa voix au Qatar pour l’organisation de la Coupe du monde 2022. Les soupçons de corruption qui pèsent sur cette attribution, le «Qatargate» révélé parFrance Football en janvier 2013, ont écorné l’image de l’ancien meneur de jeu des Bleus. S’il a expliqué ce choix par sa volonté d’ouvrir encore davantage les frontières du football, d’offrir un Mondial à une région jusque-là oubliée, Platini est l’objet de soupçons, alimentés par une rencontre organisée par l’ancien Président de la République, Nicolas Sarkozy, avec des dirigeants qataris.

L’actuel président de l’UEFA aurait, en plus, incité des membres européens du Comité exécutif de la FIFA à voter en faveur de la candidature du Qatar. «Je suis transparent, je suis le seul à avoir révélé pour qui j’avais voté de ma propre initiative, et maintenant je me retrouve suspecté de corruption, avait réagi Platini, en juin 2014, avant un congrès de la FIFA. Il y a beaucoup d’intérêts en jeu, pour des personnes de la FIFA, pour des personnes qui espèrent l’intégrer un jour, et pour des parties qui vendent et achètent des droits télévisés... Il semble que je sois la personne qui les a contrariées.»



Ses réussites




[size=16]Michel Platini et Fernand Sastre, coprésidents de France 98. (Bardou) (L'Equipe)

L'organisation de la Coupe du monde 1998

S’il n’a pas ficelé le dossier de candidature de la France pour l’obtention du Mondial 1998, Michel Platini a rejoint le Comité d’organisation dès l’annonce du résultat du vote, en juillet 1992. Il en devient coprésident, aux côtés de Fernand Sastre, et l’emblème «sportif». Une sorte de caution mais qui n’est pas un prête-nom. Car Platini s’implique sur tous les pans de l’organisation, participe aux diverses réunions, donne son avis sur le marketing... La Coupe du monde 1998 s’est avéré un succès, amplifié par la victoire de l’équipe de France.

Sa prise de pouvoir à l'UEFA

C’est LE coup d’éclat de Platini depuis la fin de sa carrière de joueur. En 2007, alors qu’il vient de passer le cap de la cinquantaine, l’ex-consultant de Canal + déloge Lennart Johansson (77 ans) de la présidence de l’UEFA. Le Suédois, en poste depuis 17 ans, n’a pas résisté à la campagne habile menée par le Lorrain. Platini a été chercher les «petites voix». C’est l’élément-phare de sa campagne, devenu une mesure durant son mandat: faire évoluer les Coupes d’Europe pour les ouvrir davantage aux Fédérations «mineures», qu’il considère comme les oubliées du football, à la fois sur le plan sportif et financier.

Charismatique, habile communicant, le champion d’Europe 1984 sait s’entourer et dirige avec aisance cette institution qui pèse plus d’un milliard d’euros. Si ses mesures et ses projets ne font pas tous l’unanimité, lui, oui: il est réélu à deux reprises à la présidence de l’UEFA, en 2011 et en mars dernier. Son principal chantier durant ces mandats: l’instauration du fair-play financier. Avec sa mise en place, les pertes des clubs européens sont passées de 1,7 milliard d’euros (en 2011) à 487 millions d’euros (en 2014).

Platini et l’UEFA savent aussi s’adapter. L’instance a amendé au début de l’été les règles du fair-play financier, afin de ne pas bloquer l’arrivée de nouveaux investisseurs et de ne pas favoriser indirectement les grandes puissances déjà bien installées sur l’échiquier européen. «Les nouvelles règles visent à étendre et à renforcer le fair-play financier,expliquait Platini dans nos colonnes (voir L’Equipe du 30 juin 2015). Les objectifs restent les mêmes, nous évoluons simplement d'une période d'austérité vers une période où nous pouvons offrir davantage de possibilités pour une croissance et un développement durables.»
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[size=45]Bixente Lizarazu veut «une rupture avec Blatter»
Le 29/07/2015 à 19:48:04 | 56 Commentaires

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Bixente Lizarazu veut un changement dans la politique de la FIFA. (L'Equipe)[/size]

Bixente Lizarazu s'est exprimé, ce mercredi soir sur RTL, sur le choix de Michel Platini de se porter candidat à la présidence de la FIFA. Et le Champion du monde 1998 et d'Europe 2000 n'aspire qu'à une chose: le changement. «C'est une très bonne chose, j'aurais été surpris qu'il ne se présente pas, affirme-t-il. Je pense que c'est important d'apporter un nouveau souffle et je crois qu'il a la capacité d'apporter ce nouveau souffle (...) s'il gère la FIFA comme il a su gérer l'UEFA, et s'il garde toujours à l'esprit que le football doit appartenir au footballeur, comme il le répète toujours. C'est quelque chose qui m'a beaucoup marqué [i]à chaque fois que j'ai pu le rencontrer: le football au footballeur. J'espère simplement qu'il marquera une grosse rupture avec Sepp Blatter.»[/i]

Platini part grand favori à la conquête de la FIFA

Publié le 30/07/2015 à 07:47, Mis à jour le 30/07/2015 à 10:32

Football

«Platoche» triple ballon d'or, en 1986, sur une magnifique reprise de volée, lors d'un match contre la Hongrie./Photo AFP

• 
  

Cette candidature était tellement logique et légitime, attendue et même encouragée. Michel Platini, notre Platini national a fini par se décider à se porter candidat à la présidence de la FIFA (1) empêtrée jusqu'à la gorge dans la basse-fosse de la corruption.
Dans sa lettre envoyée aux 209 fédérations membres de la FIFA, le triple ballon d'or a été clair, net et précis. Comme il l'avait été lors de sa première campagne pour gagner la tête de l'Union européenne des associations de football. «Cela a été une triple décision très personnelle, et mûrement réfléchie» a indiqué l'ancien numéro 10 et capitaine de l'équipe de France, ajoutant vouloir œuvrer pour «les intérêts du football» et rendre à la Fifa «sa dignité et la position qu'elle mérite».
À soixante ans depuis le dernier solstice d'été, Platini s'impose déjà comme celui qui a l'envergure pour le poste. «Il est l'homme de la situation» affirme Jacques Vendroux le chef des sports de radio France et proche de ” Platoche ”. Il a tout fait et avec beaucoup de talent, toutes les fonctions du football. C'est rarissime quand même !». Le curriculum de Platini dit tout le reste, sur le terrain comme dans les plus hautes instances du football. Notamment à la tête de l'UEFA depuis 2007 où il a su imposer son style et ses méthodes de travail.
«Il y a des moments où vous devez prendre votre destin en mains. Je suis arrivé à un de ces moments décisifs» écrit Platini. Pour autant, quelles sont ses chances face à une Fifa-fric éreintée après le scandale de corruption, la brève réélection de Sepp Blatter et sa démission, le 2 juin dernier ?
«Platini attendait que Blatter parte» analyse Jacques Vendroux. «Il ne voulait pas s'opposer à ce président» à qui il a pourtant demandé de démissionner à deux reprises. Question d'honneur ou finesse diplomatique face à un monde par qui transitent des enjeux colossaux ?



Celui qui apparaît comme le prétendant naturel à la présidence de la FIFA a désormais jusqu'au 26 février 2016 pour faire campagne. «Il ira voir tout le monde» assure M. Vendroux.
À cette heure, Platini a le soutien de quatre des six confédérations, à l'exception de l'Afrique (CAF) qui devrait logiquement se rallier et l'Océanie (OCF). Et il n'a pas grand monde en face de lui.
L'ancienne légende brésilienne Zico, «Le Pelé blanc ? Le Libérien Musa Bility ? Ils ne disposent d'aucune assise internationale. Le prince jordanien Ali Bin Hussein ? Si son soutien était un fait acquis jusqu'en ce début de semaine, il a déclaré hier, que «les fans de foot et les joueurs méritent mieux».
Platini aura par ailleurs deux écueils à surmonter.
Primo, son vote en faveur du Qatar pour l'attribution du Mondial-2022, sur laquelle enquête la justice suisse. Secundo, les bâtons que Blatter pourrait être tenté de lui mettre dans les roues en catimini.
La date limite du dépôt des candidatures est fixée au 26 octobre. Mais pas besoin d'être devin pour comprendre que si des atouts sont en main, la victoire n'est pas encore acquise.

---

Réactions

Zinedine Zidane. En sueur à Toulon à l'occasion dun match caritatif, «Zizou» a estimé que «ça le fait. C'est la personne idéale pour prendre tout ça en main».
Alain Giresse. L'ancien coéquipier de Michel Platini en équipe de France est «persuadé qu'il a toutes les qualités pour le poste. C'est quelqu'un qui est animé par la volonté de préserver le football et lui donner le visage d'un sport avant tout.
Thierry Braillard. Sur son Twitter, le Secrétaire d'Etat aux Sports, écrit que Platini «est le plus à même de réformer en profondeur la Fifa».
Jean-Michel Aulas. Le président de l'OL estime que c'est «un jour magnifique pour le football mondial avec la candidature d'un homme bien».

Blatter en veut à Platini

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Publié le 17/08/2015 à 03:48

Football - Amateurs - FIFA

Le Suisse charge le candidat Platini./ Photo AFP

• 
  

Le président démissionnaire de la Fifa Joseph Blatter aurait commandé un article très négatif sur le président de l'UEFA Michel Platini à diverses rédactions de journaux, rapporte dimanche le Welt am Sonntag, l'équivalent allemand dominical du «Monde».
Le portrait, intitulé «Platini : un squelette dans le placard», dit du président de l'UEFA qu'il fut «l'un des plus grands magiciens du ballon que l'Europe ait jamais vu» mais n'est pas «assez grand» pour être président de la Fifa si l'on regarde du côté du Qatar», révèle le journal allemand, rappelant notamment son vote pour le Qatar lors de l'attribution de la Coupe du monde 2022.
«Blatter aurait personnellement commandé cet article pour freiner les ardeurs de Platini, son ancien ami et désormais meilleur ennemi, dans sa candidature présidentielle», poursuit Die Welt. L'article a été écrit par Thomas Renggli, proche collaborateur de Blatter.
«Nous avons demandé à la Fifa d'enquêter sur l'origine de cet article car nous sommes préoccupés par ces rumeurs», a déclaré un porte-parole de l'UEFA.
Le président de la FIFA avait affirmé samedi que Platini aurait évoqué la prison pour le dissuader d'être candidat à sa propre succesion à la tête de la FIFA en mai. Ce dernier s'est déclaré pour la nouvelle élection, le 26 février 2016.

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[size=45]FIFAFIFA : Michel Platini s'explique auprès des fédérations
Le 28/09/2015 à 17:41:00 | Mis à jour le 28/09/2015 à 18:37:54 | 19 Commentaires

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Michel Platini a écrit une lettre aux fédérations européennes. (Reuters)


Michel Platini a demandé à être entendu par la commission d'éthique d ela FIFA, comme il l'explique dans une lettre aux fédérations européennes : «J'ai écrit aujourd'hui au comité d'Ethique de la FIFA pour m'expliquer et lui demander de m'entendre afin de fournir toutes les informations supplémentaires qui pourraient être nécessaires afin d'éclaircir cette question si besoin était». «J'ai entièrement déclaré ces revenus aux autorités, conformément à la loi suisse», a-t-il aussi écrit concernant les 1,8 million qu'il a touchés en 2011 pour ses quatre ans de travail comme conseiller du président de la FIFA (98-02).

Tout le reste n'est que «spéculations» mais Michel Platini est «conscient que ces faits peuvent porter atteinte à (son) image et (sa) réputation. Je vais tout faire pour m'assurer que les incompréhensions disparaissent».

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[size=45]FIFA[size=38]FIFA : La FFF dépose un recours au TAS pour Michel Platini[/size]
Le 10/10/2015 à 09:26:00 | Mis à jour le 10/10/2015 à 09:30:16 | 10 Commentaires

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Le Graët et Platini sont très proches. (L'Equipe)


La suspension pour 90 jours de Michel Platini (président de l'UEFA) par la commission d'éthique de la FIFA aurait fait l'objet d'un recours auprès du Tribunal arbitral du sport (TAS) de la part de la fédération française de football selon RTL.

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[size=45][size=30]La Confédération sud-américaine apporte son soutien à Michel Platini[/size]
Le 10/10/2015 à 00:08:14 | 25 Commentaires

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Dans la tourmente, Michel Platini bénéficie encore de nombreux appuis. (L'Equipe)[/size]

Dans un communiqué publié ce vendredi, la Confédération sud-américaine (CSF), a apporté un vigoureux soutien à Michel Platini, suspendu 90 jours par la commission d'éthique de la FIFA. «La Confédération sud-américaine de football ne partage pas la décision de suspendre provisoirement de toute activité liée au football le candidat à la présidence de la FIFA, M. Michel Platini», a fait savoir l'instance. Si elle conçoit qu'il soit«impératif que la justice sportive suive son cours afin de clarifier rapidement et de manière définitive tous les faits», elle considère également «que la présomption d’innocence est un droit fondamental qui doit être pris en compte. M. Platini n’a été reconnu coupable d’aucune accusation et sa suspension provisoire menace l’intégrité du processus électoral pour la présidence de la FIFA, auquel il participe en tant que candidat». 
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Pour la CSF, la suspension du président de l'UEFA est «disproportionnée et prématurée».Elle exige «un réexamen de la suspension provisoire de M. Platini» et qu'il puisse être«candidat à la présidence de la FIFA».

«La Confédération sud-américaine croit fermement en la capacité de M. Platini de diriger la FIFA et d’orienter le monde du football vers un futur plus brillant», conclut la CSF.

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Platini reçu à l'écrit en attendant le grand oral

Publié le 16/10/2015 à 03:54

Football - Amateurs - FIFAgate. Comité UEFA. Les 54 Européens ont réitéré, hier, «à l'unanimité» leur soutien au Français sans écarter un autre candidat.

Ce n'était que le premier match. Mais il fallait absolument le gagner – sous peine d'élimination…
Hier se jouait tout simplement à Nyon, au siège du football continental, la mise sur la touche ou pas de Michel Platini dans sa course à la présidence de la Fédération internationale. Autrement formulé : la candidature de l'ancien N°10 des Bleus allait-elle être toujours appuyée par l'Union européenne en dépit de la suspension de 90 jours* le frappant depuis le 8 octobre ? La réponse des 54 fédérations affiliées fut sans équivoque : «Confiance absolue» du comité exécutif. « Ce sur quoi tout le monde s'est rejoint, c'est que tout le monde soutient M. Platini en tant que personne et pour tout ce qu'il fait comme président de notre institution » a déclaré le secrétaire général de l'UEFA le… Suisse Gianni Infantino.

Un plébiscite soumis à deux conditions

Cela fera forcément chaud au cœur à Platoche qui, depuis la semaine dernière, il faut se rendre à l'évidence, compte ses amis en dehors de l'Hexagone. Même si, subrepticement, l'UEFA a ajouté deux bémols dans ses conclusions.
En priorité, elle veut que Platini se disculpe. Et vite. « Nous soutenons le droit de Michel Platini à avoir un procès juste pour avoir une opportunité de se dédouaner. Pour cela, nous appelons tous les organes impliqués, la Commission d'éthique de la Fifa, sa Chambre des recours (saisie par l'ex-sélectionneur de l'équipe de France samedi passé) et in fine le Tribunal arbitral du sport, à rendre leur décision au plus tard mi-novembre. »

«Pas de report de l'élection»

Ensuite, elle ne souhaite pas de délai supplémentaire pour que le Nancéien de 60 ans fasse campagne. En clair : l'UEFA est pour le maintien au 26 février 2016 du scrutin présidentiel à la Fifa. Rappelons qu'en cas de non-levée de sa sanction, le joueur de la Juventus entre 1982 et 1987 serait «requalifié» à partir du 7 janvier.
Revers de la médaille si on ose, elle ne cache pas aussi qu'elle réfléchit à un plan B «quoi qu'il arrive». «Nous aurons une décision finale d'ici le 26 octobre (date de clôture des candidatures), précise encore Infantino. On verra si un autre postulant y va, si un Européen se lance. Cela a été discuté, conclut le N°2 de l'UEFA, rien n'a été décidé. »

Van Praag, le postulant de recours

Le nom qui sortirait du chapeau, est le Néerlandais Michael van Praag qui s'était finalement retiré de l'élection en mai dernier. Pour l'instant, deux candidats ont fait acte officiellement – c'est-à-dire déposé les 5 parrainages nécessaires d'associations faisant partie de la Fifa : Michel Platini, naturellement, plus le prince jordanien Ali bin Al-Hussein. Alors que la légende brésilienne Zico et le patron de la Fédé libérienne Musa Bility n'en sont restés qu'aux paroles. Et que le Sud-Africain Tokyo Sexwale se tâte.
Sinon, dans l'univers impitoyable de la Fifa, le président par intérim suite à la suspension de Joseph Blatter, le Camerounais Issa Hayatou, est entré en fonction hier midi à Zurich.
(*) Mis en cause pour avoir perçu de la part de la Fifa un versement complémentaire – jugé illégal – de 1,83M€ en février 2011 pour un travail de conseiller auprès de Sepp Blatter entre janvier 1999 et juin 2002.

En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/16/2198744-platini-recu-a-l-ecrit-en-attendant-le-grand-oral.html#4a6WfMd2SpJ6hZqY.99

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[size=45]ATTENTATS[size=30]La tribune de Michel Platini dans L'Equipe Magazine du 21 novembre[/size]
Le 20/11/2015 à 15:39:00 | Mis à jour le 20/11/2015 à 15:53:14 | 45 Commentaires
Dans une tribune à paraître samedi dans L'Equipe Magazine, Michel Platini exprime sa tristesse après les attentats perpétrés à Paris le 13 novembre.

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Comme tous les Français, Michel Platini a été très affecté par les attentats perpétrés à Paris et Saint-Denis le 13 novembre dernier. (L'Equipe)


« J’ai été bouleversé, comme tous les Français et comme le monde entier, par l’horreur et l’ignominie des attentats perpétrés le vendredi 13 novembre 2015 à Paris et à Saint-Denis. Depuis une semaine, il n’y a pas une heure sans que mes pensées ne me ramènent aux victimes, à la douleur de leurs familles, de leurs amis et de tous ceux qui ont été touchés par cette barbarie aveugle et abjecte.

La France est mon pays. Paris est ma ville, car c’est aussi la ville où vivent mes enfants et petits-enfants, ainsi que de nombreux amis. Vendredi 13 novembre 2015, on a versé le sang de nos enfants. C’est insupportable et inacceptable. On a perpétré l’innommable contre la joie de vivre, le bonheur et la liberté de se retrouver autour d’un verre, de partager un concert ou de communier dans un stade de football.

Vendredi 13 novembre 2015, on a aussi tué une partie de chacun d’entre nous. Une partie de moi-même est partie avec l’âme de tous ceux tombés sous les balles des terroristes. Comme une partie de moi-même avait été anéantie le 29 mai 1985 au stade du Heysel. Vendredi 13 novembre 2015, on a voulu détruire nos valeurs, celles qui nous rassemblent et nous lient dans un projet commun : la Liberté, l’Égalité et la Fraternité.

Mais, depuis vendredi 13 novembre 2015, j’ai vu un peuple libre, courageux, uni et solidaire. Je suis fier d’être français, fier de nos valeurs et fier de mes compatriotes. Car la France a crié au monde qu’elle refusait d’être à genoux, qu’elle refusait la peur face à l’obscurantisme du terrorisme, qu’elle voulait vivre debout dans la lumière et le partage.

La violence m’est étrangère. Elle me révulse. Le fanatisme, quel qu’il soit, est mon ennemi. Il est synonyme de la négation de l’autre. L’intolérance est contraire à toutes mes convictions de sportif et d’homme. Nous vaincrons ces fléaux, ensemble, tous ensemble. »

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