MICHEL PLATINI LE FUTUR PRESIDENT DE LA FIFA

Platini : «Ribéry, une grosse perte»

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Présent à Sao Paulo, où démarre, ce samedi, le comité exécutif de la FIFA dont il est membre, Michel Platini, le président de l’UEFA, a appris avec tristesse le forfait de Franck Ribéry.  «C’est une grosse perte pour l’équipe de France et pour Dididier Deschamps, estime-t-il. C’est vraiment un coup dur. Franck est un joueur très important, il a été désigné numéro un de l’année par l’UEFA, ce n’est pas rien.»

Mais Platini fait maintenant confiance au sélectionneur des Bleus pour rester ambitieux en dépit de ce coup du sort : «Franck a dû avoir une bonne discussion avec Didier (Deschamps), avant que soit décidé ce forfait. Je leur fais confiance pour avoir pris la bonne décision. C’est surtout dommage pour Franck, qui a fait une belle année et qui peut être un joueur décisif. Maintenant, la Coupe du monde n’est pas finie pour les Bleus.» Concernant Clément Grenier, Platini considère évidemment que «c’est regrettable pour le joueur, qui allait participer à une Coupe du monde et qui doit renoncer».

Platini ne soutiendra plus Blatter

Publié le 12/06/2014 à 14:54, Mis à jour le 12/06/2014 à 14:55



Le président de l'UEFA Michel Platini à Nyon Fabrice Coffrini  / AFP/Archives




Michel Platini a annoncé ce jeudi qu'il ne soutiendrait plus Joseph Blatter, le président de la Fifa, qui envisage de briguer un cinquième mandat à la tête de l'organisation.

"Je suis européen, je suis sur la position de l'UEFA. Je ne le soutiens pas pour son nouveau mandat. Je ne le soutiendrai plus. Il le sait, je lui ai dit. Je pense que la Fifa a besoin d'un souffle nouveau. Son nouveau mandat, ce n'est pas bien pour le foot. Mais c'est une personne qu'il faut respecter, il a tout mon respect", a expliqué le président de l'UEFA à deux journalistes à São Paulo.
L'ancien numéro 10 des Bleus a en outre précisé qu'il annoncerait sa décision, de se présenter ou non à la présidence de la Fifa, en marge du tirage au sort de la phase de groupes de la Ligue des Champions à Monaco, le 28 août. "J'ai bientôt 60 ans, en 2015, et mon problème c'est de savoir ce que j'ai envie de faire dans les années qui viennent, Blatter ou pas Blatter, Champagne ou pas Champagne. J'ai le temps d'y réfléchir", a-t-il ajouté.

[size=36]Platini sur le France-Allemagne de 1982 : «Aucun film au monde n'y arriverait…»[/size]

Publié le 02/07/2014 à 07:53

Rétro. Le N°10 et capitaine des Bleus était de la demi-finale «historique» du Mundial-82, perdue contre la RFA aux tirs au but.

Michel Platini en plein désarroi, un genou à terre devant le stoppeur Karl-Heinz Förster. Dans quelques minutes, ce sera bien pire./ AFP, Archiv .

«Aucun film au monde, aucune pièce ne saurait transmettre autant d'émotions que notre match de Séville.»
Voilà comment Michel Platini parle de la demi-finale du Mondial-1982 France-Allemagne, entrée dans la légende.
Il y a 32 ans, à Séville, Harald Schumacher commit un véritable attentat sur Patrick Battiston, Maxime Bossis rata le dernier tir au but et la France du foot fut inconsolable après l'élimination des Bleus (3-3 ap, 4-5 tab).
«Je souffre encore en rameutant ces images dans mon esprit, cette nuit, pour moi, ce fut une nuit noire», confiait pour les 30 ans, il y a deux ans, Michel Hidalgo, sélectionneur des Bleus de 1976 à 1984.
L'image choc remonte à la 57e minute, lorsque la tête de Battiston est percutée de plein fouet par la hanche du gardien allemand sorti des ses cages délibérément sur le Français. Le joueur de Saint-étienne tombe lourdement comme un pantin désarticulé sur la pelouse. étendu sur le sol, inanimé, deux dents en moins, Battiston fait craindre le pire. Il sort sur une civière, la main glissée dans celle de son capitaine Platini. Schumacher, lui, n'est sanctionné ni d'un coup franc ni d'un carton et ne prend pas la peine de s'enquérir de l'état de santé de sa victime !
Parmi les autres séquences qui marquent la rétine, il y a celles du but de volée de Marius Trésor dans la prolongation (2-1, 90+2). Puis de la joie extatique d'Alain Giresse qui croit qualifier la France d'une frappe tendue (3-1, 98e). En effet, on a alors un pied et quatre orteils en finale. Jusqu'à la réduction du score pour l'Allemagne de l'Ouest par Karl-Heinz Rummenigge (3-2, 102e) et l'égalisation de Klaus Fischer d'un retourné acrobatique (3-3, 108e).
Et, enfin, il y a l'épreuve cruelle des tirs au but. Les larmes d'Ulrich Stielike, qui avait buté sur Jean-Luc Ettori, furent séchées par Schumacher, devenu le héros de tout un peuple et le bourreau de tout un autre en arrêtant les tentatives de Didier Six et de Bossis, genou à terre et chaussettes baissées.
Vivement vendredi soir : l'heure de la revanche a sonné…

Le 07/07/2014 à 21:41:00 | Mis à jour le 07/07/2014 à 23:32:26
FOOT
[size=40]ESPPlatini «n'oubliera jamais Di Stefano»

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Platini et Di Stefano en 1989 lors de la remise du super Ballon d'Or au deuxième. (L'Equipe)

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Comme Bobby Chartlon ou Sepp Blatter avant lui, Michel Platini a rendu hommage à Alfredo Di Stefano, décédé lundi à l'âge de 88 ans. «Je suis profondément attristé d'apprendre qu'Alfredo Di Stefano - l'un des géants du football - nous a quittés, a indiqué le président de l'UEFA dans un communiqué. Nous n'oublierons jamais Alfredo Di Stefano, un homme dont le nom et le talent resteront pour toujours chevillés à la riche histoire du football.»



Platini se rappelle notamment de l'élégance de l'ancien attaquant du Real Madrid : «Avec ceux qui ont eu la chance de le voir en action, je me souviens d'avoir été enthousiasmé lorsque j'ai vu des images de lui en noir et blanc sur un écran de télévision. Techniquement, il était superbe, il possédait une vitesse remarquable et c'était un buteur splendide. Avec ses coéquipiers talentueux, il a inventé le football moderne. Il rassemblait tout ce qui fait la magie du football, en Europe et dans le monde entier.»

Le 27/08/2014 à 19:25:00 | Mis à jour le 27/08/2014 à 19:26:50
FOOT
[size=40]UEFAIce Bucket : Michel Platini mouille aussi son maillot[/size]

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A l'instar de nombreux autres sportifs, toujours en activité ou non, Michel Platini a relevé le défi du "Ice Bucket", lancé sur les réseaux sociaux pour venir en aide à l'association ALS qui lutte contre la Maladie de Charcot. Invité par Roberto Baggio à recevoir un seau d'eau glacée sur la tête, le président de l'UEFA s'est prêté au jeu avec le sourire, ce mercredi. L'ancien meneur de jeu des Bleus a ensuite invité Zbigniew Boniek, Dejan Savicevic et Davor Suker à en faire de même

[size=30]Michel Platini sera-t-il candidat à la présidence de la Fifa en 2015 ?[/size]
28/08/2014 05:21
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Réponse ce soir. Le Français rendra public son choix en marge du tirage au sort de la Ligue des champions (18 h), dans lequel le PSG (chapeau 2) et Monaco (chapeau 4) sont engagés, à l'inverse de Lille, éliminé en barrages par Porto (0-1 puis 2-0), mardi soir.

Le 28/08/2014 à 10:18:00 | Mis à jour le 28/08/2014 à 11:08:49
[size=40]FOOTPlatini renonce à l'élection pour la présidence de la FIFA et vise un 3e mandat à l'UEFA
Michel Platini renonce à se présenter contre Sepp Blatter à l'élection pour la présidence de la FIFA en 2015. Mais le Français est candidat à un troisième mandat à la tête de l'UEFA.

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Platini ne se présentera pas contre Blatter, seul candidat désormais avec Jérôme Champagne.

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Ce n'est pas une surprise. Michel Platini, le patron de l'UEFA, ne devrait pas briguer la présidence du foot mondial à l'élection du printemps 2015. Le suspense a été levé dans la matinée par un membre de l'UEFA, le Belge Michel D'Hooghe, qui siège également au comité exécutif de l'organisation mondiale du football. Michel Platini devrait le confirmer à 11h00, devant la presse internationale réunie à Monaco pour le tirage au sort de la Ligue des champions.

L'ancien numéro 10 de l'équipe de France a réservé l'annonce de sa décision de ne pas affronter Sepp Blatter, le président sortant, aux présidents et secrétaires généraux des fédérations des 54 pays membres de l'UEFA. Cette décision était plutôt attendue. Même s'il se voyait comme «seule personne» capable de «battre Blatter», il n'était pas sûr de l'emporter contre le Suisse, dont il fut l'allié avant de s'y opposer. Son épanouissement à la tête de l'UEFA, et des raisons familiales (sa famille se plaît à Nyon, le siège suisse de l'UEFA) ont pu également peser dans la balance.

Le seul autre candidat déclaré à la présidence est un autre Français, Jérôme Champagne (56 ans).

Candidat à l'UEFA

S'il ne briguera pas la présidence de la FIFA, le 29 mai prochain, Michel Platini sera en revanche candidat à un troisième mandat à la tête de l'UEFA. Elu en 2007 à la tête de la Confédération européenne, il va donc vraisemblablement rempiler pour quatre ans l'année prochaine.

Platini ne veut plus d'une Europe "mâle, machiste et blanche"

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Président de l'UEFA, Michel Platini s'est exprimé mercredi dans le cadre d'une Conférence sur le Respect de la diversité organisée par l'instance européenne à Rome. Et il a tenu des propos forts pour dénoncer le racisme.
Michel Platini est connu pour ne pas garder la langue dans sa poche, parfois pour le pire - on se souvient de ses propos polémiques appelant à une trêve des manifestations au Brésil pendant la Coupe du monde -, d'autres fois pour le meilleur, notamment lorsqu'il s'agit de défendre certains principes égalitaires. Mercredi, lors de son discours tenu dans le cadre de la Conférence sur le Respect de la diversité organisée par l'UEFA à Rome (l'Italie est un des pays les plus touchés par les affaires de racisme dans les stades), le président de l'UEFA a ainsi eu des paroles fortes au moment de dénoncer les comportements racistes, appelant les esprits à évoluer.
"Le football est un exemple extraordinaire de mixité sociale et de toutes les diversités. Du plus humble match de banlieue à la finale de la Ligue des champions, la diversité, reflet de la globalisation, éclate au grand jour avec tous les défis qu'elle pose et toutes les opportunités qu'elle offre". Et l'intéressé d'ajouter, pour mieux se faire comprendre: "Ceci est une manière douce de dire ce que l'on pourrait exprimer plus brutalement pour être mieux compris: l'Europe du foot de papa, mâle, machiste et blanche c'est fini et dieu merci cela ne reviendra pas !"

"Le football est un facteur de progrès"

Des propos qui ont fait grand bruit et que Platini souhaite voir relayés partout en Europe, particulièrement dans les pays où l'intolérance gagne du terrain, le football ayant à ses yeux un devoir d'exemplarité dans ce domaine: "Le football est extrêmement populaire, il alimente les passions de centaines de millions de jeunes, il occupe leurs rêves et souvent incarne leurs espoirs de réussite professionnelle. Cette extraordinaire popularité engendre aussi, bien sûr, des responsabilités qui vont bien au-delà du sport. Le football se doit, du fait même de sa visibilité, de véhiculer des valeurs qui soient capables de contribuer à rendre la société plus tolérante de la diversité. Et pour cela, il se doit d'être exemplaire."
Comment ? Via des campagnes de sensibilisation, comme celle, intitulée RESPECT, lancée il y a six ans par l'UEFA, pour, selon Platini, "tacler les maux qui souvent affligent notre sport et au cœur de nos préoccupations se trouve, bien évidemment, la discrimination." Et l'ancien capitaine des Bleus champions d'Europe en 1984 de conclure: "Le football accueille, inclut et intègre. Il n'exclut personne, il ne discrimine contre personne, il ne persécute personne, il est un facteur de progrès pour la société, tel est mon credo et tel est mon programme !" A bon entendeur...

Euro-2020 : Londres accueillera les finale et demi-finales

Publié le 19/09/2014 à 14:14, Mis à jour le 19/09/2014 à 14:20



Michel Platini, président de l'UEFA, à Nice Valery Hache  /  AFP/Archives


Michel Platini, le président de l'UEFA, a dévoilé ce vendredi le nom des 13 villes qui accueilleront au moins quatre matches de l'Euro-2020. Le stade Wembley à Londres accueillera les finale et demi-finales de la compétition qui fêtera ses 60 ans.

Seules deux villes, Berlin et la capitale anglaise, étaient en lice pour accueillir la finale et les deux demi-finales. Les autres villes, ainsi que Londres et Berlin, avaient déposé leur candidature pour accueillir au moins trois matches de poules et un match à élimination direct (quart ou huitième de finale).
Ainsi, les quarts de finale se tiendront à Muncih, Bakou, Saint-Petersbourg et Rome. Ce quatre villes verront également trois matches de poules se disputer sur leur sol.
Les autres rencontres de groupes et les huitièmes de finale seront organisées à Copenhague, Bucarest, Amsterdam, Dublin, Bilbao, Budapest, Bruxelles et Glasgow.
Les candidatures de Minsk, Sofia, Skopje, Stockholm, Cardiff et Jérusalem n'ont pas été retenues.
L'Euro-2020 se déroulera donc selon une formule unique et inédite qui n'est pas destinée à se répéter. L'idée, initialement présentée à l'issue de l'Euro-2012 par Michel Platini, était de marquer les 60 ans du Championnat d'Europe des Nations avec un "Euro pour l'Europe".
Le concept, qui avait reçu une forte adhésion des fédérations européennes, avait été ratifié cinq mois plus tard en décembre 2012 par un comité exécutif de l'UEFA à Lausanne. L'idée était également de permettre à des petits pays de pouvoir participer à l'organisation d'un Euro, sans avoir à présenter un budget considérable dans une période difficile économiquement.
Jusqu'ici, seuls un ou deux pays à la fois accueillaient la compétition. C'est donc un format révolutionnaire qui a été choisi pour 2020 et qui veut dire qu'aucun des 13 pays hôtes ne sera automatiquement qualifié pour l'épreuve, ce qui est aussi nouveau.
L'Euro-2016 (10 juin-10 juillet) a déjà été attribué à la France, et ce sera le premier de l'histoire à 24 équipes.

Football : ça y est, on connaît les villes qui accueilleront l'Euro 2020
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Publié le 19/09/2014 à 13h51 , modifié le 19/09/2014 à 14h23 par 
Sudouest.fr avec AFP

13 villes ont été sélectionnées pour accueillir l'Euro 2020 de football. Une nouvelle formule qui verra les demi-finales et la finale se jouer à Londres

Londres et le stade de Wembley accueilleront la finale et les deux demi-finales.© PHOTO 
AFP LEON NEAL








L
ondres et le stade de Wembley accueilleront la finale et les deux demi-finales de l'Euro 2020 de football,[size=13] qui se déroulera pour les 60 ans de cette épreuve dans 13 villes de 13 pays différents, a annoncé vendredi Michel Platini, président de l'UEFA.
Seules deux villes (Londres et Munich) avaient postulé pour accueillir la finale et les deux demi-finales. Les autres villes - ainsi que Londres et Munich - avaient déposé leur candidature pour accueillir trois matches de poules et un match à élimination directe (quart ou huitième de finale).
Les quarts de finale se tiendront à :
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• Munich
  
• Bakou
  
• Saint-Pétersbourg
  
• Rome
  

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Ces quatre villes accueilleront aussi trois matches de poules. Les autres matches de poules et les 8e de finale seront organisés à Copenhague, Bucarest, Amsterdam, Dublin, Bilbao, Budapest, Bruxelles et Glasgow. 
Les candidatures de Minsk (Bélarus), Sofia (Bulgarie), Skopje (Macédoine), Stockholm (Suède), Cardiff (pays de Galles) et Jérusalem (Israël) n'ont pas été retenues. 

Nouvelle formule

L'Euro 2020 se déroulera donc selon une formule unique et inédite qui n'est pas destinée à se répéter. L'idée, initialement présentée à l'issue de l'Euro 2012 par Michel Platini, était de marquer les 60 ans du Championnat d'Europe des nations (première édition en 1960) avec un "Euro pour l'Europe".
Le concept, qui avait reçu une forte adhésion des fédérations européennes, avait été ratifié cinq mois plus tard en décembre 2012 par un comité exécutif de l'UEFA à Lausanne (Suisse). L'idée était aussi de permettre à des petits pays de pouvoir participer à l'organisation d'un Euro, sans avoir à présenter un budget considérable dans une période difficile économiquement.
Jusqu'ici, seuls un ou deux pays à la fois accueillaient le Championnat d'Europe des nations. C'est donc un format révolutionnaire qui a été choisi pour 2020 et qui veut dire qu'aucun des 13 pays hôtes ne sera automatiquement qualifié pour l'épreuve, ce qui est aussi nouveau. L'Euro-2016 (10 juin-10 juillet) a déjà été attribué à la France, et ce sera le premier de l'histoire à 24 équipes.  
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[size=33]Foot. Affaire des montres. Platini surpris du fonctionnement de la Fifa[/size]
Europe - 19 Septembre
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• Michel Platini. | Photo : AFP
  

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Michel Platini, président de l'UEFA, s'est déclaré vendredi "surpris du fonctionnement de la Fifa" dans l'affaire des montres de luxe.

"Dans cette affaire, je suis surpris, a déclaré Platini. Premièrement, je suis surpris du montant de la valeur de la montre. Et ensuite, je suis surpris du communiqué de la Fifa : si le comité d'éthique n'était pas content, il devait nous le dire il y a quatre mois au Brésil quand on a reçu ces montres. Mais, là, c'est uniquement après un article dans la presse anglaise qu'on nous dit par communiqué : C'est tout de suite qu'il faut rendre les montres. Je n'aime pas la formulation de la Fifa et je suis surpris de son fonctionnement".
« Je n'ai pas été élevé comme ça, dans mon éducation, moi les cadeaux je ne les rend pas, je vais demander la valeur exacte de la montre, et je vais donner la valeur de cette montre à une association, je vous dirai à qui je donnerai cet argent. Mais je le répète, je suis surpris du fonctionnement à la Fifa ».
La Chambre d'investigation du Comité éthique de la Fifa a donné jeudi jusqu'au 24 octobre à plusieurs officiels pour restituer des montres de luxe offertes par la Fédération brésilienne en marge du Congrès de la Fédération internationale en juin.
L'instance brésilienne (CBF) avait distribué à l'époque un sac contenant notamment des montres de la marque Parmigiani, un de ses sponsors, d'une valeur de 25.000 francs suisses (environ 20.700 euros) aux 28 membres du Comité Exécutif de la Fifa, aux représentants des 32 équipes qualifiées pour le Mondial-2014 au Brésil et aux 10 membres de la Confédération sud-américaine, selon le communiqué de la Fifa qui précise que les « dons » d'objets ayant plus qu'une « valeur symbolique ou modique » sont interdits par son Code éthique.

Le 13/10/2014 à 13:00:44 | Mis à jour le 13/10/2014 à 18:35:08
[size=40]FOOTLe fair-play financier est-il fidèle à ses engagements?[/size]
Une réunion se tient ce lundi à l'UEFA pour discuter des prochaines orientations du système, enfin appliqué plus de cinq ans après son apparition. L'occasion de vérifier si sa version actuelle correspond à l'idée originelle.

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Michel Platini, le président de l'UEFA, promoteur du fair-play financier. (L'Equipe)



Des représentants de clubs, du syndicat des joueurs professionnels ou encore de l'Association européenne des clubs (ECA) se rencontrent ce lundi  au siège de l’UEFA, à Nyon (Suisse), pour un point d’étape cinq mois après les premières sanctions décidées dans le cadre du fair-play financier. Le système, qui interdit aux clubs participant aux compétitions de l’UEFA (Ligue des champions et Ligue Europa) de dépenser plus d’argent qu’ils n’en gagnent, est porté par Michel Platini, président de l’organisme qui gère le football européen, depuis 2008.
 
Aujourd’hui, la plupart des clubs soutiennent les nouvelles règles, à l’image de l’ECA et de son président Karl-Heinz Rummenigge, tandis que d’autres, comme le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi (dont le club a été sanctionné), critiquent un système «injuste» qui «protège les grands clubs». Des représentants du PSG et de Manchester City, autre club mécontent, seront présents à la réunion, et comptent proposer de nouvelles orientations.
 
En attendant de savoir si le fair-play financier continuera sous sa forme actuelle ou non, une autre question se pose : le système actuel correspond-il à l’idée originelle du patron de l’UEFA ? Pour le savoir, retour sur les déclarations et principes évoqués par Michel Platini quand le fair-play financier en était encore au stade de projet lointain, et sur l’état de leur application.

«Avant de sanctionner, on va prévenir» (07/11/2009)

FAUXMichel Platini a toujours présenté le fair-play financier comme un système positif, voulant «aider les clubs sur les marchés» plutôt que leur «faire mal», et insisté sur l’aspect préventif plutôt que sur les sanctions. Cinq ans après ces déclarations, les neuf premiers clubs sanctionnés par la chambre d'instruction de l'instance de contrôle financier des clubs (ICFC) peuvent se demander où est passé le volet prévention du système, à moins que le président de l’UEFA ait eu en tête les mises en garde régulières lancées à l’intention des clubs depuis 2010 pour les assurer que les sanctions allaient, un jour, devenir réalité.

«Le fair-play financier passe par une réduction du nombre de joueurs» (31/12/2011)

FAUXParmi les griefs de Platini vis-à-vis de clubs comme Manchester City, on retrouve la tendance à empiler les joueurs qui débouche sur des effectifs dépassant parfois largement les trente joueurs. Pour le moment, aucune mesure générale n’a été prise pour encadrer la taille des effectifs des clubs européens. Le PSG et Manchester City ont simplement vu le nombre maximum de joueurs qu’ils pouvaient inscrire pour les compétitions européennes passer de 25 à 21. 

«Le fair-play financier va permettre une observation très poussée des comptes» (05/07/2011)

À MOITIÉ VRAISi l’UEFA évalue bien la santé des clubs à travers des enquêtes sur leurs comptes, les critères qu’elle utilise pour calculer leur résultat ne prennent pas en considération toutes les opérations financières. Comme l’expliquait récemment Olivier Richard, le président de la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG), dans notre journal (L’Equipe du 20/05/2014), «le fair-play financier prend ses distances avec la comptabilité pure et ses appréciations sont moins objectives.» «On est dans une situation de négociation avant jugement, continuait-il. Mais c’est lié au fait que l’UEFA a généré des indicateurs d’appréciation un peu subjectifs.Elle n’a plus d’autre alternative que de négocier avec le club pour savoir ce qu’on va lui donner comme pénalités. Cela ne peut plus être une négociation objective mais subjective. In fine, cela donne un montant à payer et une série de mesures que le club accepte ou pas. Et cela peut apparaître comme décidé à la tête du client.»
 
Difficile dans ces conditions d’affirmer que l’observation des comptes des clubs par l’UEFA est «très poussée». Au contraire, elle fait le tri entre les "bonnes" et les "mauvaises" recettes et les "bons" et "mauvais" investissements. Les investissements de long terme dans les stades, les centres d’entraînement ou la formation ne sont par exemple pas pris en compte. 

«Les équipes qui jouent dans nos tournois ont unanimement approuvé nos principes» (15/09/2009)

VRAI (à l'époque)Quand le comité exécutif de l’UEFA a validé pour la première fois le principe du fair-play financier, en septembre 2009, un club est clairement dans le viseur de Michel Platini : Manchester City, racheté à l’été 2008 par un fonds d’investissement d’Abu Dhabi et qui dépense sans compter depuis. Le club était donc loin d’être enthousiaste à l’idée des nouvelles règles, mais ne participait à aucune compétition européenne en 2009/10, ce qui a permis à Platini de se prévaloir d’un soutien unanime. Le PSG, de son côté, n’a rejoint les rangs des ennemis du fair-play financier qu’après son rachat par la famille royale qatarienne, à l’été 2011.

[size=36]Platini: "La France peut gagner"[/size]

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Michel Platini, invité sur le plateau du 20h de TF1 ce mercredi soir, s'est montré emballé par les résultats récents de l'équipe de France. Pour le président de l'UEFA, les Bleus peuvent viser la victoire lors de l'Euro 2016 organisé dans l'Hexagone. "Oui elle peut gagner, c'est une équipe intéressante, a estimé Platini. Didier Deschamps fait du bon boulot, il a trouvé une belle génération avec Pogba et Varane. Il y a quelque chose à faire dans cet Euro." Les Bleus de Deschamps restent sur deux victoires consécutives, samedi dernier au Stade de France contre le Portugal (2-1) et mardi soir à Erevan face à l'Arménie (3-0).

[size=30]Platini déplore une Fifa "au service du maintien d’un homme"[/size]
16/10/2014 14:25
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Le président de l'UEFA Michel Platini, le 19 septembre 2014 à Genève - AFP/Archives Fabrice Coffrini
Michel Platini, président de l'UEFA, déplore que la FIFA "tourne souvent comme une machine électorale au service du maintien d’un homme", dans son livre "Parlons Football" paru ce jeudi.

"La FIFA tourne souvent comme une machine électorale au service du maintien d’un homme. Après une certaine déconnexion du réel – ou avant, car je ne sais trop dans quel ordre il faut le dire –, c’est sa principale caractéristique", expose Platini.
Joseph Blatter, président de la FIFA depuis 1998, est dans cette instance "depuis quarante ans", à différents postes. "De cette longue pratique du pouvoir, lui vient-il une volonté et une capacité à tout prix de sa conservation ?", s'interroge ensuite l'ancien capitaine des Bleus.
Et Platini de regretter encore que la FIFA, "qui vit à des années-lumière du football de tous les jours", soit "devenue la patronne des (fédérations) dont, à l’origine, elle était l’employée".
L'ancien triple Ballon d'Or explique aussi que la FIFA "prospère par la manne que représente la Coupe du monde tous les quatre ans en même temps qu’elle tient les (fédérations) par la redistribution de cette manne".
L'ancien joueur vedette de la Juventus souligne aussi la "faiblesse de la redistribution et des programmes de développement au regard de cette manne". "Avec plus de quatre milliards de dollars de revenus à la suite de la Coupe du monde 2014, il n’est pas normal que le programme Goal (investissements dans les infrastructures) ne dispose que d’un budget annuel ridicule de moins de quarante millions de dollars".

• Michel Platini vise la présidence de la Fifa. | Photo : AFP
  

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Par Ouest-France

Michel Platini a pour la première fois exprimé publiquement sa haute ambition pour la Fifa.

Par ailleurs, Michel Platini a répondu sans détour à ses ambitions pour devenir président de la Fifa : « Demain non, après-demain pourquoi pas... 

Football
Platini : " Blatter est la FIFA "

ÉTIENNE MOATTI
Vendredi 17 octobre 2014
MICHEL PLATINI, le patron de l'UEFA, estime que Sepp Blatter a mis la Fédération internationale à son service.

[size=30]Mondial-2022: Platini peut adapter le calendrier de la Ligue des champions[/size]
05/11/2014 17:38
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Le président de l'UEFA Michel Platini en conférence de presse après la désignation des pays hôtes de l'EURO-2020, le 19 septembre 2014 à Genève - AFP/Archives
Le président de l'UEFA Michel Platini a déclaré mercredi être prêt à organiser la finale de la Ligue des champions 2022 en juin, afin de s'adapter à un éventuel changement de dates du Mondial au Qatar, qui pourrait se dérouler exceptionnellement en hiver.

"Pour une compétition comme la Ligue des champions, nous pouvons organiser les demi-finales et la finale en juin 2022 (au lieu de mai), cela ne pose pas de problème", a expliqué Platini, lors d'un échange avec des journalistes à Burton-upon-Trent (Royaume-Uni), dans le cadre d'une rencontre avec le président de la Fédération anglaise de football, Greg Dyke.
"En tant que président de l'UEFA, je n'ai aucun problème", avec un changement de calendrier, a indiqué le Français, qui milite pour une Coupe du monde en janvier et février 2022, alors que la Fifa semble privilégier la piste de novembre-décembre.
Un groupe de travail de la Fifa travaille actuellement sur la faisabilité de déplacer la Coupe du monde en hiver, au lieu des traditionnels mois d'été, en raison des très hautes températures que peut connaître le Qatar en juin et juillet.
Un tel changement de calendrier fait débat auprès des clubs et des fédérations nationales, qui redoutent des impacts économiques négatifs et des diffcultés d'organisation.
La Fifa doit annoncer les dates de la Coupe du monde 2022 en mars 2015.

[size=33]Football. Michel Platini assistera à Guingamp - Fiorentina[/size]

Guingamp - 08h02 - 0

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  Michel Platini sera au Roudourou le 27 novembre ! | Reuters
  
  

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Le président de l'UEFA sera au Roudourou pour le 5e match de poule de Ligue Europa entre Guingamp et la Fiorentina, le 27 novembre prochain.

Michel Platini au Roudourou, cela ne manque pas de piquant !
Le président de l'UEFA sera bien présent à Guingamp le 27 novembre prochain, pour le 5e match de poule des Guingampais en Ligue Europa, selon une source interne du club breton.
L'ancien n°10 de l'équipe de France assistera à Guingamp - Fiorentina, affiche décisive pour la qualification en 16es de finale de l'épreuve.
Gros match en perspective pour les footballeurs guingampais sous l'oeil de "Platoche", dont le coeur sera forcément partagé entre les deux équipes, lui qui est d'origine italienne.
Il y a trois ans, il était déjà venu en Bretagne pour assister à un autre duel franco-italien, Rennes - Udinese, en phase de poules de Ligue Europa.

[size=30]Matches de foot truqués: le grand combat du 21e siècle[/size]
18/11/2014 14:11
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Le président de l'UEFA Michel Platini lors d'une conférence sur le respect de la diversité à Rome le 10 septembre 2014 - AFP/Archives Alberto Pizzoli
"Je suis un ancien joueur et je sais que la manipulation de matchs est le pire fléau car on touche à l'âme de jeu": voilà comment Michel Platini, président de l'UEFA, résume le grand combat du foot au 21e siècle.

Mardi matin, dans le cadre d'une enquête visant des soupçons de matchs de Ligue 2 truqués, une dizaine de personnes avaient été placées en garde à vue, parmi lesquelles plusieurs présidents de clubs, et des perquisitions étaient en cours.
Bien plus que le dopage, les matchs truqués constituent la grande menace qui pèse sur la planète foot aux yeux de ses instances dirigeantes, Fifa et UEFA, qui martèlent depuis le début des années 2000 qu'aucun échelon n'est à l'abri des tentatives de corruption.
A l'échelle mondiale, les paris sportifs sont au centre des inquiétudes, puisque les organisations criminelles blanchissent chaque année plus de 140 milliards de dollars par ce biais, un chiffre ahurissant -- dévoilé par les instances du foot internationales -- qui traduit les menaces qui pèsent sur l'intégrité des compétitions sportives.
"L'évolution rapide du marché global des paris sportifs a vu l'augmentation du risque d'infiltration de ces paris par les organisations criminelles et des techniques de blanchiment d'argent", estimait récemment Chris Eaton, ancien responsable d'Interpol, ex-chef de la sécurité à la Fifa, aujourd'hui directeur pour l'intégrité du sport au sein du Centre international pour la sécurité dans le sport (ICSS), un think tank international indépendant basé à Doha (Qatar).
Pour arriver à influer sur le cours d'un match, tous les moyens sont bons. Eric Ding Si Yang, propriétaire de discothèques, a été condamné en juillet à Singapour à trois ans de prison ferme pour avoir corrompu trois arbitres libanais en leur proposant d'arranger le résultat de matchs en échange des services de prostituées.
- Un "cauchemar" -
Fifa et UEFA, qui multiplient les passerelles avec Interpol, tirent régulièrement la sonnette d'alarme sur ce mal qui risque de pourrir irrémédiablement leur sport et insistent sur le fait qu'elles ne pourront y arriver seules, sans l'implication des Etats.
Depuis son arrivée à la présidence de l'UEFA en 2007, Michel Platini ne cesse de mettre en garde contre le "cauchemar" des matchs truqués. L'ancien triple Ballon d'Or a encore pris la parole récemment le 21 octobre pour demander le soutien de l'UE: "Un cadre juridique taillé à la mesure (de ce péril) devra donc voir le jour demain. Un échec dans ce domaine ne serait pas celui de l'UEFA, ni celui du mouvement sportif; ce serait celui de l'Europe".
Pour sensibiliser davantage sur ce sujet, des stars du ballon rond, comme l'Anglais Frank Lampard et l'Ivoirien Kolo Touré, prêtent leur image actuellement à une campagne de prévention contre les matchs truqués lancée par la Fifa, Interpol et la FIFPro, le syndicat international des joueurs.
Au delà du volet criminalité internationale, les matchs arrangés peuvent aussi s'inscrire dans un cadre plus classique, au service des intérêts d'un ou plusieurs clubs dans un championnat particulier.
- "Un autre Calciopoli, la Serie A sera morte" -
L'Italie avait ainsi été frappée de plein fouet par le scandale de matchs manipulés dit "Calciopoli" qui avait notamment conduit à la relégation de la Juventus en Serie B et à la perte de ses titres nationaux de 2005 et 2006.
Mais le foot italien n'en a pas terminé avec ses démons, à en croire Erick Thohir, nouvelle figure du Calcio arrivé à la présidence de l'Inter Milan.
"Je dis clairement que si nous avons un autre Calciopoli, la Serie A sera morte", a ainsi prévenu le propriétaire des "Nerazzurri", derniers champions d'Europe italiens en date en 2010.
Tout n'est pas perdu pour autant. En mars 2014, Platini avait donné un visage à la lutte contre la manipulation des matchs, celui d'Alina Stetenco, 25 ans, coach de l'équipe féminine des moins de 17 ans de Moldavie, qui "a dit non aux matches truqués et qui en parlant a fait tomber un réseau".

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[size=33]Guingamp - Fiorentina. Michel Platini était au Roudourou[/size]

Guingamp - 27 Novembre

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  Michel Platini était au Roudourou jeudi soir pour assister à la rencontre Guingamp - Fiorentina. | Photo : David Ademas / Ouest France
  
  

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Le président de l'UEFA assistait, ce jeudi soir, à la rencontre de Ligue Europa entre En Avant de Guingamp et la Fiorentina.

Le 10 septembre 1996, pour sa première épopée européenne, Guingamp accueille le grand Inter Milan, emmené par ses stars Javier Zanetti, Ivan Zamorano et Youri Djorkaeff. Les Costarmoricains perdent 3 à 0. Ce jour-là, un certain Michel Platini commente la rencontre, en tant que consultant, aux côtés de Thierry Gilardi sur Canal +. Dix-huit ans après, l'ancien numéro 10 de l'équipe de France sera à Guingamp en tant que président de l'UEFA. Un joli clin d'œil pour cette nouvelle confrontation franco-italienne.
L'ancien meneur de jeu, d'origine italienne, apprécie ce genre de duel. Celui qui a longtemps évolué à la Juventus Turin était déjà venu en Bretagne pour assister à Rennes-Udinese, en 2011, en phase de poules de Ligue Europa.

« Les exigences de l'UEFA nous tirent vers le haut »

Pour En Avant, sa venue sonne comme une récompense après les efforts fournis pour se mettre aux normes européennes, afin de recevoir de telles rencontres. Le club a dû revoir ses infrastructures (sièges, lumières, banc de touche, etc.) et son accueil.
Avant chaque rencontre de Ligue Europa, trois officiels de l'UEFA accompagnent les membres du club dans l'organisation. « Nous leur avons mis à disposition un bureau. Ils nous aident beaucoup. Nous avons compris qu'ils ne sont pas là pour nous sanctionner, mais pour nous accompagner et nous faire progresser », indique Christophe Gautier, responsable de la communication d'En Avant.

"Réglements très stricts"

Avant et après chaque rencontre, tout est passé au peigne fin. « Il y a des règlements très stricts. Par exemple, les appareils photos à déclenchement à distance sont interdits derrière les buts. Il faut aussi respecter certains protocoles que nous devons afficher partout dans le stade. »
En guise de cadeau de bienvenue en Coupe d'Europe, le club avait hérité de l'UEFA de deux indigestes guides de règlements à respecter. La venue de Michel Platini semble attester d'un parcours sans véritable fausse note jusque-là.

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[size=33]Ballon d'Or. Platini place les Allemands favoris, le Real Madrid réagit[/size]
Guingamp - 28 Novembre - 0
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• Michel Platini était reçu à la mairie de Guingamp ce vendredi. | Pascal Le Coz
  

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Présent à Guingamp pour le match face à la Fiorentina en Ligue Europa, Platini a indiqué que le Ballon d'Or devrait revenir à un Allemand. Le Real Madrid réagit vivement.

Selon Michel Platini, « ça devrait être un Allemand, quelqu'un qui a gagné la Coupe du monde. » Même si Ronaldo et Messi sont selon lui « indiscutablement les meilleurs joueurs au monde aujourd'hui. »
Sur la possibilité de voir le gardien de but du Bayern Munich et de l'équipe d'Allemagne, Manuel Neuer, remporté le trophée, le président de l'UEFA a glissé cette phrase : « Pourquoi pas ? ça serait très bien ! »



En Espagne, cette prise de position suscite un début de polémique. Le Real Madrid se fend même d'un communiqué officiel, où il s'étonne des déclarations du président de l'UEFA, qui "devrait faire preuve de la plus stricte neutralité".
Le Real Madrid estime que "le Ballon d'or est un prix individuel et non collectif qui est remis annuellement au meilleur joueur du monde". Et à ce titre, poursuit le Real Madrid, "nous croyons sans aucun doute que Cristiano Ronaldo a fait la meilleure année professionnelle à titre individuel de son histoire"
Le Ballon d'or sera désigé le 12 janvier 2015.

Le 09/12/2014 à 10:35:00 | Mis à jour le 09/12/2014 à 10:51:17
FOOT
[size=40]FIFAPlatini : «Je n'ai reçu ni Picasso, ni lingot»

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Michel Platini assure n'avoir rien reçu pour son soutien à la Russie et au Qatar. (L'Equipe)

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[size=12]Michel Platini, président de l'UEFA, a redit qu'il n'avait reçu «ni Picasso, ni lingot» en échange d'un vote pour la Coupe du monde 2018 en Russie ou 2022 au Qatar, mardi sur Europe 1. «Je suis plus que blanc (innocent, NDLR), je n'ai reçu ni Picasso, ni lingot, ni pétrole, ni gaz, a indiqué le patron du foot européen. Mais j'ai été la proie d'investigateurs privés chargés de faire courir des rumeurs, peut-être que ça date de l'époque où je voulais me diriger vers la Fifa.»Platini avait été accusé par le Sunday Times, journal du dimanche britannique, d'avoir reçu un Picasso en échange de son vote pour la candidature russe à l'organisation du Mondial 2018.



Lorsqu'il lui a été demandé si ces rumeurs pouvaient venir de l'entourage de Sepp Blater, le président de la Fifa, Platini a répondu : «Je ne sais pas, il y avait d'autres intérêts en jeu, beaucoup de gens voulaient aller aux Etats-Unis (pour une Coupe du monde, plutôt qu'en Russie et au Qatar, NDLR), moi, je le redis, j'ai toujours voté par conviction, si j'ai voté pour Qatar et Russie, c'est que je voulais que le football aille dans de nouveaux territoires.» L'ancien joueur vedette de l'équipe de France a répété que «s'il y a des preuves de corruption, il faudra revoter». Ce mardi, France Football révèle que des dirigeants du football africain se sont vus proposer de l'argent en échange de leur soutien à la candidature du Qatar en 2010.
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[size=30]Platini: "la démission de Garcia est un nouvel échec pour la Fifa"  [/size]
17/12/2014 18:57
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Le président de l'UEFA Michel Platini, à Comines-Warneton en Belgique le 11 décembre 2014, lors de l'inauguration d'un monument en hommage aux soldats ayant joué le match de Noël en 1914 - AFP/Archives Philippe Huguen
La démission de Michael Garcia, qui enquêtait sur l'attribution des Mondiaux 2018 à la Russie et 2022 au Qatar, est "un nouvel échec pour la Fifa", a estimé mercredi Michel Platini, président de l'UEFA.

"La commission d'éthique de la Fifa avait été créée pour améliorer la transparence de cette instance, ce que nous voulions, mais à la fin cela a causé davantage de confusion. La démission de M. Garcia est un nouvel échec pour la Fifa", écrit Platini dans un communiqué.
Platini était favorable à la publication du rapport d'enquête sur les conditions d'attribution des Mondiaux 2018 et 2022 écrit par Garcia, ce que la Fifa a refusé jusqu'ici.
Les élections présidentielles à la Fifa sont prévues le 29 mai 2015 à Zurich. Joseph Blatter, président en exercice depuis 1998, brigue un 5e mandat et fait figure de favori. Platini, qui ne se présente pas à cette élection, répète que l'image de la Fifa est mauvaise est que "Blatter devrait laisser sa place".