NEW PRESIDENT ... VINCENT LABRUNE

[size=36]Vincent Labrune, une enfance et une histoire orléanaise…[/size]
Lu 149 fois

Le président de l'Olympique de Marseille, interpellé hier, est né à Orléans. Il y a fait ses études, joué au foot…




Vincent Labrune, à qui des juges marseillais demandent de s'expliquer sur une affaire financière de grande envergure liée aux comptes de l'OM, a laissé derrière lui une histoire orléanaise. Originaire d'Olivet, il y a été à l'école, fréquentant aussi les bancs du collège de l'Orbellière, et du lycée Voltaire, à Orléans. Il a poursuivi ses études à la faculté de droit, toujours à Orléans. « Je suis né à Orléans, j'y ai tous mes potes, mes parents aussi. Mais avec le boulot que j'ai, je n'ai pas le temps de revenir ! », nous signifiait-il en 2009.
Il quitte Orléans à l'âge de 23 ans
Vincent Labrune a quitté Orléans à 23 ans (il en a aujourd'hui 42) après avoir décroché une maîtrise de sciences économiques, et touché au ballon rond à l'USO, dont il fut - et reste - un fervent supporter.



À Paris, où il montera, l'Orléanais travaillera notamment avec Jean-Luc Delarue, producteur et animateur de télé décédé en août 2012, pour qui il a été directeur de communication. Il est aussi passé par France 2, de 1994 à 2000. C'est à lui, aussi, que Jean-Luc Delarue demandera de chaperonner le champion olympique de boxe, Brahim Asloum, à son passage chez les professionnels. Et c'est Louis Acariès, l'entraîneur parisien, qui le présentera à Robert Louis-Dreyfus, disparu en juillet 2009. L'homme d'affaires, séduit, finira par lui confier le poste de président du conseil de surveillance de l'OM. « Robert m'a choisi pour le représenter, et je ne m'attache qu'à une chose : défendre ses intérêts en étant loyal », confiait-il encore en 2009.

[size=36]Vincent Labrune, une enfance et une histoire orléanaise…[/size]
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Le président de l'Olympique de Marseille, interpellé hier, est né à Orléans. Il y a fait ses études, joué au foot…




Vincent Labrune, à qui des juges marseillais demandent de s'expliquer sur une affaire financière de grande envergure liée aux comptes de l'OM, a laissé derrière lui une histoire orléanaise. Originaire d'Olivet, il y a été à l'école, fréquentant aussi les bancs du collège de l'Orbellière, et du lycée Voltaire, à Orléans. Il a poursuivi ses études à la faculté de droit, toujours à Orléans. « Je suis né à Orléans, j'y ai tous mes potes, mes parents aussi. Mais avec le boulot que j'ai, je n'ai pas le temps de revenir ! », nous signifiait-il en 2009.
Il quitte Orléans à l'âge de 23 ans
Vincent Labrune a quitté Orléans à 23 ans (il en a aujourd'hui 42) après avoir décroché une maîtrise de sciences économiques, et touché au ballon rond à l'USO, dont il fut - et reste - un fervent supporter.



À Paris, où il montera, l'Orléanais travaillera notamment avec Jean-Luc Delarue, producteur et animateur de télé décédé en août 2012, pour qui il a été directeur de communication. Il est aussi passé par France 2, de 1994 à 2000. C'est à lui, aussi, que Jean-Luc Delarue demandera de chaperonner le champion olympique de boxe, Brahim Asloum, à son passage chez les professionnels. Et c'est Louis Acariès, l'entraîneur parisien, qui le présentera à Robert Louis-Dreyfus, disparu en juillet 2009. L'homme d'affaires, séduit, finira par lui confier le poste de président du conseil de surveillance de l'OM. « Robert m'a choisi pour le représenter, et je ne m'attache qu'à une chose : défendre ses intérêts en étant loyal », confiait-il encore en 2009.

La Table des légendes
bien garnie
Comme il en a pris l’habitude
depuis qu'il évolue dans le
Nouveau Stade Vélodrome,
l’OM avait invité plusieurs anciens
Olympiens, hier. Manuel
Amoros, Patrick Cubaynes, Cédric
Mouret, Benjamin Gavanon,
Marcel Dib, Frédéric Meyrieu,
William Prunier, Robert
Buigues, Jean-Philippe Durand,
Victor Zvunka ou encore
Michel Hidalgo étaient donc
présents pour assister à la rencontre.
Labrune au dernier moment
Rattrapé
par
l’affaire
des transferts
présumés
douteux
pour
laquelle il a
effectué
36heures
de garde à vue, Vincent Labrune
a assisté à la rencontre de
ses troupes, hier soir. "Pourquoi
voulez-vous qu’il ne soit
pas là ?", interrogeait un membre
de l’état-major de l’OM
avant le coup d’envoi. Fidèle à
son habitude depuis le début
de la saison, le patron du club
olympien est resté extrêmement
discret. Souriant, il a rejoint
sa loge, d’où il a suivi le
match contre Bordeaux, à
quelques secondes seulement
du coup d’envoi, claquant des
bises à ses invités d’un soir.
J.-C.L. et F.

[url=https://twitter.com/share?url=http://www.lequipe.fr/Football/Article/Labrune-manque-de-soutien/34004&text=Labrune manque de soutien&via=lequipe][/url]
De notre correspondante
Mardi 25 novembre 2014MARSEILLE
[size=28]Dans la foulée du succès contre Bordeaux qui a permis à l ‘OM de reprendre la tête du Championnat, aucun Marseillais n'a témoigné de compassion au président Vincent Labrune, placé en garde à vue la semaine dernière.

INCLUS DANS CET ARTICLE

[/size]

• 1Labrune manque de soutien
  
• 2Le prince qui fait parler
  

[size]

APRÈS LA SEMAINE agitée vécue par l'OM en coulisses en raison de l'affaire des transferts présumés frauduleux, Marcelo Bielsa est resté dans son registre : le terrain. Dimanche soir, l'entraîneur marseillais a simplement souligné « la victoire méritée » de son équipe contre Bordeaux...[/size]

Le 13/01/2015 à 18:17:00 | Mis à jour le 13/01/2015 à 19:01:15
FOOT
[size=40]LIGUE 1L'OM répond à Jean-Michel Aulas[/size]

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«Je ne sais pas ce qui se passe à Marseille. Ce que je sais, c’est que quand l’OM vient à Lyon, le président n’entre pas dans le vestiaire de son équipe. Je trouve ça dommage pour lui et pour le club.» Jean-Michel Aulas n’a pas ménagé son homologue marseillais, ce mardi dans les colonnes duParisien. Des propos qui ont fait réagir l’OM par le biais d’un communiqué. «Surpris par les propos du président lyonnais rapporté ce jour dans les colonnes du quotidien "Le Parisien", l’Olympique de Marseille tient à rassurer Jean-Michel Aulas. A Lyon comme pour les autres rencontres depuis le début de la saison, Vincent Labrune est allé dans le vestiaire saluer et encourager son coach, son staff technique et ses joueurs avant le coup d’envoi.»
 
«Conscient du sens du détail et de l’observation du président Aulas pour tout ce qui se passe dans les coulisses du championnat, l’OM s’étonne également que le dirigeant lyonnais n’ait pas vu son homologue marseillais entrer dans le vestiaire des arbitres, après le coup de sifflet final, pour les interroger sur les deux penalties évidents qu’ils avaient omis de siffler en faveur des Olympiens.»Lyon avait remporté le match comptant pour la 11e journée de Ligue 1 sur le score de 1-0, et accroché un troisième succès de suite.





Y.Gourcuff
[size]
Marseille



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[size=14]Tallaron s'est excusé...[/size]

LA RÉPONSE DE VINCENT LABRUNE aux propos de Jean-Luc Mingallon
"Des demandes ubuesques Contacté, le président de l’OM a tenu à répondre aux
propos de Jean-Luc Mingallon. "L’OM a beaucoup de respect
et de considération pour Consolat, comme pour
l’ensemble des clubs de la ville et de la région. D’une
façon plus générale, dans un environnement du football
français très durement touché par la crise économique,
le football professionnel participe très largement au soutien
du football amateur et joue pleinement son rôle social,
via la taxe de 5% sur les droits TV (51 millions d’¤),
les subventions versées aux sections amateurs (62 millions
d’¤), les dons en nature (7 millions d’¤). Dans ce
contexte, et face aux difficultés grandissantes auxquelles
doivent faire face les clubs en général et l’OM en particulier,
la direction du club est effectivement beaucoup
plus concernée par le maintien de la compétitivité de
son propre club que par des opérations de mécénat à
destination des clubs locaux. Ce qui ne veut pas dire que
nous n’en faisons pas, au contraire, assure Vincent Labrune,
qui évoque ensuite sa rencontre avec Jean-Luc
Mingallon. Cette situation n’est pas figée structurellement,
mais il est par contre très clair que, conjoncturellement,
nous n’avons malheureusement absolument
pas les moyens de répondre à des demandes ubuesques
telles que celles de Monsieur Mingallon. La seule et unique
fois où je l’ai rencontré, il m’a demandé non seulement
de lui prêter des joueurs, mais en plus de payer
leurs salaires…Je pense par ailleurs que dans le contexte
actuel, il est absolument ridicule de se noyer dans des
polémiques stériles datant d’un autre temps. Chaque
Marseillais doit aujourd’hui supporter Consolat. Ils font
honneur à leurs couleurs, à la ville de Marseille, et c’est
bien là le plus important."
Et de terminer en rappelant que l’OM avait laissé sa
part de la recette du match contre Grenoble, comme "le
veut la coutume". "L’OM, à la différence de nombre de
clubs pros, a laissé plus de 30 000 ¤ à Grenoble, de façon
à participer au développement de leur école de foot.
Nous aurions bien évidemment fait de même avec le
club de Consolat si le sort nous avait amenés à croiser
leur chemin dans la compétition." Peut-être la saison
prochaine alors…

Labrune: "Je suis
pour le Hawk EyeLe président de l’OM est monté au
créneau dimanche soir, une heure
après le match. "Dans le foot, il faut
du talent et de la chance. Il faut considérer
qu’on n’a pas de chance. Cette
saison, on a pris un point sur six
contre Lyon. Et on a été victime
d’erreurs d’arbitrage à l’aller et au retour",
glissait-il devant les journalistes,
tout en gardant son self control.
Invité à s’exprimer hier au sujet de la
technologie sur la ligne de but et de
l’urgence de son instauration en France,
Vincent Labrune semblait encore
agacé par l’épisode de la veille. "Je
suis pour le Hawk Eye, mais je suis
surtout pour que "le doute" ne bénéficie
pas systématiquement aux autres
en général, et à l’OL en particulier",
nous a répondu "VLB". Voilà qui est
dit

L’ÉQUIPE21
◗ LABRUNE DANS LA PETITE LUCARNE
L’émission Sport Confidentiel diffuse un portrait du président
de l’OM, ce soir, à partir de 20h50. Un reportage de 25 minutes
qui retrace "l’ascension sans limite" de Vincent Labrune.
D’Orléans, sa ville natale, à Paris, où il a tissé son réseau dans
les mondes télévisuel et médiatique, jusqu’à Marseille, où il dirige
le plus fada des clubs français, le magazine de la rédaction de
L’Équipe 21 passe au crible le parcours, les méthodes et la personnalité
de VLB. Sans oublier son ambition dévorante. Avec plusieurs
témoins, comme Brahim Asloum, Charles Villeneuve,
Jean-Claude Dassier et bien d’autres.

Convoqué le 14 avril devant le
Conseil national de l’éthique pour
ses critiques après le match
Lyon-PSG, le 8 février dernier,
Jean-Michel Aulas peut compter
sur le soutien sans faille de Vincent
Labrune, le président de l’OM.
Dans son édition d’hier, le journal
Le Parisien révèle que le club olympien
a transmis à la FFF, le 25mars,
un dossier à charge contre le dirigeant
lyonnais. Un dossier "anti-
Aulas d’une dizaine de pages retraçant
ses supposés méfaits contre
l’arbitrage et plus généralement le
monde du ballon rond". Soit une
compilation de seize ans de petites
phrases.
"Il est désormais grand temps que
ces agissements soient stoppés et sévèrement
sanctionnés. On perçoit
donc l’impérieuse nécessité de sanctions
disciplinaires fortes et exemplaires
afin de réussir enfinàdissuader
durablement Jean-Michel Aulas
de cesser ses agissements néfastes",
conclut le rapport de l’OM.
"Pourquoi est-il (VLB, ndlr) tombé
si bas ?", a réagi JMA sur son
compte Twitter.