NEW PRESIDENT ... VINCENT LABRUNE

Labrune : «Rien d'insurmontable»
Retrouvez les réactions marseillaises après le tirage au sort de la C1, effectué jeudi à Monaco, qui a placé l'OM dans le groupe F avec Arsenal, l'Olympiakos et le Borussia Dortmund. (Photo )
Vincent Labrune (président de l'OM, sur le site du club) : «C'est une poule très difficile. On verra, on n'est jamais à l'abri d'une surprise. C'est beaucoup plus dur que l'année dernière mais il n'y a rien d'insurmontable. Aujourd'hui, nous ne sommes pas en situation de dire que c'est facile par rapport à notre début de Championnat. Pour moi, le Championnat d'Allemagne est magnifique et le Borussia Dortmund est le champion du pays qui a tout survolé la saison dernière. Plus Arsenal et les Grecs, ce sera très difficile. C'est une compétition passionnante, hyper importante pour un club comme l'OM, autant sportivement que financièrement.»

Labrune : "Il ne faut surtout pas sombrer dans le pessimisme et le défaitisme"

29 août 2011 à 07H33


Voici la réaction du président de l'OM après la défaite des Olympiens à Lille. Vincent Labrune : "Ce match est à l'image de notre début de saison. Il faudrait que ça s'arrête avant que ça tourne au running gag. Ça fait 3 fois que l'on mène au score et qu'on se fait reprendre. Ce n'est pas normal. Ce n'est pas normal quand on est l'Olympique de Marseille. Ça, c'est la mauvaise chose."

"La bonne chose, en revanche, c'est que dans le jeu et dans le contenu, on progresse doucement. La saison est longue. Il ne faut surtout pas sombrer dans le pessimisme et le défaitisme."

Claude13012


29/08/2011 à 10h27

Mr LABRUNE, boire vos belles paroles en croyant que vous vous adressez à la plèbe sans qu'elle ne comprenne quels sont les véritables maux de ce constat affligeant, c'est manquer de respect à tous les supporters ! Ainsi, nous faire croire depuis l'an passé, que l'OM joue le titre, ou souhaite récupérer son gral, tout en affaiblissant un effectif de façon aussi probante, c'est vraiment insupportable pour nous ! TAIWO, HEINZE, ABRIEL, CISSE, HILTON, tous partis pour pas un seul euro et en parallèle, un recrutement digne de LORIENT ou AUXERRE avec des MOREL, AMALFITANO venant d'une grosse écurie européenne bretonne, ou encore NKOULOU (au cerveau d'une huitre) et TRAORE arrivant d'un club de la principauté aux abois.. Seul, DIARRA (aux prestations biens décevantes tant les buts encaissés sont dans sa zone) est à peu près digne de porter notre maillot.. blanc et non ORANGE comme ce premier match qui nous a porté malheur !! Même pas de quoi prendre un Avant centre digne de ce nom dans un club comme le notre !!! Moi, au plus ça va, au plus je suis dépité et dégouté de ce club.. Quant aux perspectives à venir Mr LABRUNE, nul besoin de sombrer dans un pessimisme béat pour avoir la lucidité de dire que nous sommes d'ors et déjà hors course pour le titre à la vue des carences défensives, de notre pauvre effectif, et de l'absence d'un buteur dans un club où la devise est DROIT AU BUT.. On a certainement du la laisser au vestiaire avec notre belle tunique blanche et bleu !!!

MERCI LES FINANCES VONT MIEUX ............


Dans le dur
30-08-2011 Après avoir flirté avec la correctionnelle lors des trois premières journées, les Olympiens ont fini par toucher le fond à Lille.

n « Ce n’est pas suffisant ! » Didier Deschamps n’a pas eu besoin de beaucoup de mots pour dresser le bilan de son équipe à l’heure de la première trêve du championnat. Car il est clair qu’avec seulement trois points à leur compteur, les Olympiens sont à des années lumières de ce que l’on pouvait attendre de leur part. Ils sont même en retard par rapport à la saison dernière, où ils avaient pourtant pris un départ catastrophique, avec deux défaites, rapidement compensées par des victoires.


Alors que l’échec initial face à Sochaux pouvait être assimilé à un incident de parcours, depuis, les prestations de l’OM n’ont fait qu’accentuer les inquiétudes. Quant au scénario de Lille, ce sont encore les aspects négatifs qui ressortent.
C’est à nouveau la défense qui est pointée du doigt. Il est clair que les événements de ce début de saison n’aident pas Didier Deschamps à trouver la bonne formule. Entre blessures et suspensions qui concernent exclusivement ce domaine, il navigue actuellement à vue. Et les solutions dont il dispose ne sont pas légion.
Toutefois, il est clair que l’OM ne peut pas continuer sur cette voie. La pente est glissante et s’il n’y a pas au plus vite un signal fort pour redresser les choses, la situation pourrait être encore plus compliquée. La trêve internationale de deux semaines va permettre à l’entraîneur marseillais de réfléchir à tête reposée sur la meilleure façon de sortir de cette spirale négative. Malheureusement, il va devoir travailler dans la théorie, puisque la plupart de ses cadres seront en sélection.


Quant à savoir depuis quand l’OM a pu connaître pire entame de saison, il faut remonter à l’exercice 2005/2006. Entraînés par Jean Fernandez, les Phocéens ne comptaient qu’un point après quatre journées. Sinon, ils ont déjà connu pareille situation, avec seulement 3 unités au compteur. C’était en 1988/89. On sait ce que cela a donné par la suite, avec un doublé coupe/championnat.


Michel GAROSCIO

De drôles de choix
assumés par Deschamps
Il n’a pas manqué grand chose pour que le match face à Lille soit une réussite totale. Malheureusement, ce sont ces petits ingrédients qui font les secrets des plus belles recettes que l’OM n’a pas su utiliser à bon escient. Résultat, au lieu de fournir un plat digne des plus grandes tables, les Olympiens se retrouvent avec une tambouille indigeste qui risque de laisser des traces.
Que c’est-il donc passé sur la pelouse du Stadium Nord pour que le navire olympien sombre alors qu’il donnait le sentiment d’être dans des eaux calmes ? Il y a d’abord eu certains choix de Didier Deschamps qui, après coup, laissent perplexes. Celui de la défense centrale ne peut pas être remis en cause car, dans ce secteur, il a fait avec les moyens du bord. Mais d’autres ont pu surprendre.
Comme la titularisation de Loïc Rémy. Même s’il est le meilleur atout offensif du moment à l’OM, la blessure qui l’a handicapé tout au long de la semaine ne lui a pas permis de se préparer au mieux. De plus, il avait en tête les deux rendez-vous avec l’équipe de France. Même s’il a été déclaré apte, il n’est pas sûr qu’il était dans les meilleures conditions pour débuter à Lille. D’ailleurs, il n’a pas eu son rendement habituel.
Il y a ensuite eu la décision de sortir Mathieu Valbuena. Après une première période insuffisante, il s’est réveillé et a permis à l’OM de prendre l’avantage au tableau d’affichage grâce à un doublé. Ses deux buts auraient dû placer son équipe en position de force. Mais c’est sa sortie qui l’a finalement fragilisée. Une option que Didier Deschamps assume « parce que Mathieu avait pris un carton et qu'il avait joué une heure. »
L’aspect disciplinaire n’est pas son seul argument. « Je voyais que Lille poussait beaucoup, donc c'était pour avoir une option de vitesse supplémentaire avec Loïc Rémy sur le côté. Ce n'était pas un changement défensif, mais offensif pour profiter de la vitesse sur le côté. » A ce moment-là de la partie, peut-être aurait-il été plus judicieux de tenter autre chose afin d’enfoncer le clou?
Peut-être en recentrant Mathieu Valbuena derrière les attaquants. Ce qui nécessitait de faire sortir Lucho, qui lui piquait du nez depuis de longues minutes. Mais il est clair que l’on touche là une corde très sensible, au moment où l’Argentin semble redevenu indéboulonable. Cela malgré des sorties toujours aussi fluctuantes en efficacité.
M.G.



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certes mais leurs objectifs sont differents des notres
eux veulent faire des benfices
nous
nous voulons vibrer aux beaux resultats de l(OM

Gignac est rentré, son agent parle

Jean-Christophe Cano, a déclaré : "On nous a prévenu qu'un attaquant allait arriver et qu'André-Pierre devait trouver du temps de jeu. Je pense que l'OM n'a pas eu le temps de se retourner. André-Pierre n'est nullement affecté. Il reprend le travail avec envie et détermination." Gignac a prévenu qu'il parlerait ultérieurement

stephi 02/09/2011 à 05h33
on restera un club de deuxieme zone il n y a qu a marseille que tu vois sa on est des pitres

trevorsteven01/09/2011 à 21h54
de toutes facons ca sert a rien de critiquer, faites comme moi n'allez plus au stade!! et pourtant ca fait 30 ans que je vais a l'om mais la franchement ca me donne plus du tout envie... entre les dirigeants, les joueurs et le stade qui n'en est plus un vue l'ambiance qu'il y a pas!! merci mais devant ma tele je suis aussi bien qu'a ganay a me peler pour voir un pauvre match nul contre auxerre ou sochaux...

Vue de l'extérieur, la gestion du cas Gignac, mercredi lors de la dernière journée du mercato, a été un fiasco. Mais selon le président de l'OM Vincent Labrune, «tout cela fait partie de la vie de l'entreprise».
«Gignac sait qu'il n'est pas encore sportivement au niveau des investissements que l'OM a misés sur lui. Et ce ne sont pas 10 heures en fin de mercato qui vont gâcher notre bonne gestion du marché des transferts. On avait dit qu'à 99,9%, notre recrutement était terminé, sauf opportunité.

Il y a eu une opportunité, mais ça ne s'est pas fait. Je le répète, c'est la vie de l'entreprise. (...) Je suis très content que Gignac reste. On compte sur lui. C'est même un garçon que j'apprécie beaucoup, si vous voulez savoir», a réagi Labrune vendredi sur RMC.

De son côté, Gignac a estimé que la manière dont le club phocéen s'était comporté avec lui ces derniers jours n'était «pas vraiment clean

L'OM dans les cordes1541 contributions Publié le samedi 10 septembre 2011 à 23H00

Les protégés de Didier Deschamps ont été par le Stade Rennais, ce samedi, au stade Vélodrome (0-1). L'OM pointe en 17e position.

OM-Rennes : 0-1. K.O. debout. 75e minute de jeu entre l'OM et Rennes, Kembo sort de sa boîte et décoche un uppercut à la face de tous les Marseillais, en trompant la vigilance de Mandanda d'une frappe puissante. Un but synonyme de coup de massue. Et le bilan est sans appel : après cinq journées de championnat, les Olympiens n'ont toujours pas gagné le moindre match (2 défaites, 3 nuls). Il s'agit même du pire départ sous l'ère Didier Deschamps.

D'ailleurs, les sifflets du public marseillais ne trompent pas. Au fur et à mesure que les mauvais résultats s'accumulent, la situation devient de plus en plus compliquée pour "DD" et sa bande. A leur décharge, Benoît Costil, le portier breton, a joué une partition parfaite en repoussant les assauts les plus incisifs, comme sur cette frappe de Rémy et ce tir de Cheyrou.

Les entrées en jeu d'Amalfitano, qui a remplacé Valbuena -blessé et incertain pour le déplacement à l'Olympiakos, et de Gignac n'y ont rien changé. Le premier n'est jamais sorti du lot quand le deuxième a beaucoup tenté sans aucun succès. Sans fond de jeu, fébrile sur ses bases défensives et trop approximatif dans le secteur offensif, la formation olympienne inquiète. En cas de victoire de Nice et Nancy, ce dimanche, elle se retrouverait même relégable. Ce soir, tel un boxeur à l'agonie, l'OM se retrouve dans les cordes.

ON DIT MERCI A QUI

BIEN VU L AVION

Labrune :«Deschamps pas menacé»
Le 19/09/2011 à 09:58 | Mis à jour le 19/09/2011 à 10:29

Interrogé à l'issue de la défaite de l'OM à Lyon dimanche soir (0-2), le président de l'OM Vincent Labrune a reconnu que son club vivait « une période difficile ». « Mais l'OM a les armes évidemment pour rebondir très vite , a assuré le président marseillais. Il faut savoir rester soudés, que tous les gens qui soutiennent la famille olympienne restent unis, sereins et calmes. » A la question de savoir si Didier Deschamps pouvait être menacé, Labrune a balayé cette hypothèse : « Non, Didier Deschamps n'est pas menacé, il a les clés ici pendant longtemps

Etat d'urgence1548 contributions Publié le mardi 20 septembre 2011 à 07H22

L'OM évite de verser dans la sinistrose. Les dirigeants, en séminaire à Cassis hier, appellent à l'union sacrée.
En coulisses, les choix de Didier Deschamps sont contestés. On lui reproche notamment de ne pas faire assez tourner l'effectif.


Les regards perdus dans le vide, à la recherche d'un réconfort visuel, à l'écoute d'un mot susceptible de répondre à leur incompréhension. Sous la pluie lyonnaise, les dirigeants olympiens errent autour du bus de l'équipe encore garé dans l'enceinte du stade Gerland. Ils s'étonnent d'une situation surréaliste. L'OM est 20e.

À 300 kilomètres de là, Marseille gronde déjà. Ils écartent la tentation d'être aspiré par une sinistrose naissante, appellent à l'unité, mais déjà des voix s'élèvent pour dénoncer une atmosphère catastrophique. Elle l'est : sportivement, mais encore financièrement. Vincent Labrune a à gérer la première crise de sa jeune présidence, même s'il connaît les arcanes du club depuis fort longtemps.

Hier, le club s'est donné rendez-vous à Cassis pour un séminaire, prévu de longue date. Dans le conducteur prédéfini, il était question d'optimiser l'efficacité du club dans les domaines du marketing, de la communication, du merchandising, de réduire les coûts. Or, le club s'étant réveillé avec une méchante gueule de bois, le fil directeur a été recadré, car quelle que soit la politique mise en place, elle sera impactée par les résultats. Ceux-ci ne donnent pas l'envie de sauter au plafond. La campagne d'abonnement pour la Ligue des champions s'en ressent et se révèle à cette heure décevante, la vingtième place est déprimante.

Vincent Labrune a appelé à l'unité de tous les chefs de service présents. Chez les supporters, des voix s'élèvent: ils dénoncent le comportement des joueurs, regrettent que l'héritage financier laissé par Pape Diouf ait été dilapidé : " Dans tous les secteurs, la responsabilité est collective, assure un proche d'un joueur. Si le club termine la saison à moins 20M€ comme cela est annoncé, c'est que cela a été validé en haut lieu, à moins que ce ne soit une accumulation de négligences, car il a bien fallu acter la politique financière des deux dernières saisons." Ci et là, on reproche à Deschamps d'avoir profité du peu d'expérience de Dassier pour faire vivre le club largement au-dessus de ses moyens.

L'entraîneur olympien n'est pas épargné. Ses choix sont contestés, des joueurs s'agacent, son roulement jugé trop insuffisant, de nature à démobiliser une partie de l'effectif. "Les intérêts personnels, les états d'âme des uns et des autres prennent le pas sur l'intérêt collectif, surtout quand ça ne va pas, analyse l'entraîneur olympien. Quand il s'agit de composer, je suis seul face à moi-même, c'est l'essence même de mon métier."

Vincent Labrune élu au Conseil d'administration de la LFP Publié le vendredi 30 septembre 2011 à 12H56


Vincent Labrune, président de l'OM a été élu aujourd'hui au Conseil d'administration de la Ligue de football professionnel (LFP) lors de l'Assemblée Générale de l'organisme.

Labrune : "Une reconnaissance pour l'OM"
samedi 01 octobre 2011 à 17H04



Elu avec 79% des suffrages au conseil d'administration de la LFP, Vincent Labrune portera la voix de l'OM auprès des instances, succédant à Jean-Claude Dassier. "À travers moi, c'est l'entité, l'institution OM qui retrouve une place légitime au sein des instances, exprime le président olympien. C'est la reconnaissance du club au sein de notre football. Ma présence est le résultat du travail de fond entrepris depuis plusieurs années par les présidents successifs et des avancées qui ont été permises grâce leur investissement.

"L'OM a envie d'être constructif, notamment sur les droits télé, dit-il. Il y a des idées, il faut pousser la réflexion, développer, argumenter et trouver de nouveaux axes de travail. Fédérer une grande majorité est une chose. Si tel est le cas, c'est que l'ensemble des présidents a compris que l'OM était une locomotive. Cela implique qu'il n'y a aucune volonté de notre part de s'ancrer dans une logique des grands clubs français contre les autres, mais d'aider l'ensemble des clubs professionnels dans leur travail au quotidien

ce n'est pas une erreur l'article est bien positionné CQFD


L'OM fait de la peine dimanche 02 octobre 2011 à 19H05

Le club olympien a été tenu en échec par une formation brestoise modeste et décimée. Après avoir disposé de Dortmund, Deschamps et sa bande sont retombés dans leurs travers.
Auteur d'une erreur flagrante, Steve Mandanda ne veut pas y croire. Et pourtant, en concédant le nul face à Brest, l'OM retombe dans ses travers.



OM-Brest : 1-1. Le parfum de la coupe d'Europe semble bien loin. Quatre jours après avoir disposé de Dortmund, l'OM est retombé dans ses travers du championnat, ce dimanche, en concédant un match nul contre de modestes brestois. Comme si le pain quotidien de la Ligue 1 n'avait pas la saveur nécessaire pour la bande à Deschamps. On pourrait même croire, avec un 15e dégré bien assumé, que ces derniers privilégient la Ligue des champions au détriment du championnat...

Pris à la gorge d'entrée, poussé dans ses retranchements par une formation décimée, l'OM s'est retrouvé sur les fesses après la rapide ouverture du score de Poyet (5e). Revenu aux affaires à Valenciennes et contre le Borussia, Mandanda a été l'auteur d'une erreur coupable en laissant filer le ballon sous son ventre. Le Vélodrome s'est alors mis à trembler, à vaciller, jusqu'à l'égalisation olympienne.

En réalité, la réalisation marseillaise n'a eu qu'un effet illusoire. Certes, le trident Valbuena-Rémy-André Ayew est à l'origine du but et l'international ghanéen a conclu un beau mouvement collectif (20e); mais après eux, c'était le néant. Pas d'action construite ni de folie créatrice, aucun mouvement ni de solutions autour du porteur de balle, un déchet technique ahurissant, une fébrilité défensive incroyable, un manque cruel de réaction : bref, les carences sont importantes.

Le fantôme de Lucho, le mystère Diarra


Que dire de la prestation de Lucho, sinon que cela ne doit pas être évident pour les Olympiens de jouer à 10 depuis le début de saison ? Que penser d'Alou Diarra, hormis que son niveau est à des années lumière de celui du capitaine du champion de France 2009 ? Comment analyser un match dans lequel les partenaires de Valbuena ont cadré une seule frappe (sur huit tentées) ? Comment expliquer qu'Azpi soit le joueur qui ait touché le plus de ballons (49) ? Et on pourrait continuer ainsi jusqu'à pas d'heure...

José Anigo résume les turpitudes marseillaises : "Si tu regardes le match de mercredi (contre Dortmund, ndlr), il y a un autre registre avec de la vitesse, du mouvement, des buts. Et puis ce soir, rien. A quelques jours prêts, c’est Dr Jekill et Mr Hyde, peste le directeur sportif olympien. Il y a deux visages et c’est difficile à comprendre et à décrypter. En tous cas, je n’ai pas le décodeur pour ça. C’est compliqué..."

Avec ce nouveau match nul (6 points pris sur 15 possibles à domicile), au propre comme au figuré, l'OM est placé face à ses doutes et ses incertitudes. Froidement, implacablement. Dans ce magma d'incompréhension, rien de positif ne semble émerger. Il n'y a qu'à voir la pauvreté technique proposée par l'escouade marseillaise pour s'en assurer. Et la terrible bronca offerte par les travées du Vel' en conclusion de ce marathon de 7 matches en 22 jours. Finalement, la trêve internationale arrive à point nommé car aujourd'hui, l'OM n'est pas seulement à la peine. Il fait clairement pitié.

On n'a pas de marge» 02/10/2011 à 23:04

Alors que les joueurs de l'OM étaient plutôt incrédules après le match contre Brest (1-1), le président phocéen, Vincent Labrune, a reconnu la gravité de la situation.
Ce sont têtes basses, et avec des sifflets, que les Marseillais ont quitté la pelouse du Vélodrome après le match contre Brest.
La déception se lisait sur tous les visages, dimanche soir, à la sortie des vestiaires après le nul contre Brest (1-1). Et chacun l'exprimait à sa manière. Certains, comme Azpilicueta ou Morel, se sont réfugiés dans le silence. D'autres, comme Mandanda ou Ayew, ont surmonté leur déception, voire leur colère, pour dire quelques mots. « On a rechuté, c'est difficile à accepter et à digérer, assure Mandanda. On est parti avec un but de retard que j'ai donné, ensuite on revient vite au score mais on n'a pas su faire ce qu'il fallait pour l'emporter. On ne peut pas encore dire ce qui a manqué. En étant plus concentré, cela aurait été déjà plus simple de remporter le match. C'est une grosse déception, on va avoir 15 jours de récupération avant de repartir sur une nouvelle série, mais on a énormément de points de retard. »

«Il nous manque beaucoup de mouvements, de bonnes transmissions, beaucoup d'allant.»
André Ayew a alors enchaîné avec les mots d'usage : « On doit être solidaires pour s'en sortir ». Il n'est pas certain que l'auteur de l'égalisation phocéenne soit totalement convaincu par ses propres déclarations. Il fait le métier, en vrai pro, et en ayant évidemment conscience que les problèmes de fond de jeu de l'OM sont importants. « Il ne faut pas se cacher, assure d'ailleurs Morgan Amalfitano, il nous manque beaucoup de mouvements, de bonnes transmissions, beaucoup d'allant. Si je peux comparer avec ce que je connais (Lorient), c'est un changement radical. Pourtant à un moment ou un autre, il faut jouer en équipe, peaufiner les automatismes. Avec la qualité des joueurs ici, si on met tous les ingrédients de ce type, on peut faire quelque chose de très bien. Je ne sais pas comment faire pour leur faire prendre conscience de tout ça, il faut se bouger encore plus. Parfois c'est rageant. Mais il ne faut pas abdiquer. »

«Cela fait un moment que c'est grave»
En interne, les joueurs ont senti ce dimanche que ce résultat obérait largement leurs ambitions de places européennes. « Cela fait un moment que c'est grave », lâche Nicolas Nkoulou. Seul tentait de surnager le président de l'OM, qui gardait sa lucidité devant cette nouvelle contre-performance. « En ce moment, on est docteur Jekill et Mister Hyde, ça peut être une année compliquée comme l'an dernier à certains moments. On est conscient de nos qualités, de nos faiblesses et de nos limites. On a un effectif cohérent mais on n'a pas de marge. Ça va être dur. » Alors si lui aussi le dit...

Suite à l'entretien de la propriétaire de l'Olympique de Marseille, Margarita Louis-Dreyfus, à paraitre dans Le Monde daté de ce samedi, Vincent Labrune a tenu, via un communiqué publié sur le site de l'Olympique de Marseille, à apporter quelques précisions.

«Margarita Louis-Dreyfus déclare "qu'elle est libre de vendre demain'', ce qui, je tiens à préciser, n'est pas d'actualité, affirme le président de l'Olympique de Marseille. Elle souligne ensuite qu'elle n'a pas les moyens financiers des Qataris. Sur ces deux points, elle ne fait que rappeler des évidences. Elle remet juste une nouvelle fois en perspective ses engagements envers l'OM. De plus, fidèle à la mémoire de son mari (Robert Louis-Dreyfus), elle répète son attachement très fort pour son équipe et la ville de Marseille. Sa priorité, et la nôtre, reste toutefois de veiller à ce que la situation sportive se rétablisse très rapidement. Elle le rappellera aux joueurs et au staff lors d'un entretien avec eux jeudi prochain à Marseille.

Pris sur le forum RMC :


Par ayew brothers - le 07/10 à 15:27

ATTENTION AMI PARIGOT QUATARIE L'OM NOUS PREPARE DE GRANDE CHOSE A PARTIR DE 2012
Les quatre actionnaires de la famille Louis Dreyfus (à droite sur l'organigramme ci-dessus) ont la possibilité de forcer la vente de leurs parts à MLD et ce dès 2012. Le montant avoisine les 4 milliards de dollars. Or Margarita n'a pas cette somme dans ses tiroirs. Il lui faut donc trouver du cash: soit on rapproche la société avec une autre soit on l'introduit en bourse. Margarita préfèrerait conserver les rennes de son groupe mais ce choix est difficile compte tenu de l'orientation actuelle baissière des marchés financiers. Une introduction en bourse dans un marché baissier est très dangereuse et vu la proximité de la date, on ne peut pas attendre que la tendance s'inverse (si ça doit être le cas...) Reste le rapprochement avec une autre société. Glencore est le géant de l'industrie et les discussions avec MLD sont en cours. (voir ici). Il y a d'autres prétendants notamment singapouriens OLAM ou américains Bunge. Mais il semblerait bien que le projet Glencore soit celui qui tienne le mieux la route, d'autant que ce groupe vient de lever 7.7 milliards de dollars en bourse et dispose désormais d'un trésor de guerre impressionnant qu'il destine peut être en partie à Margarita. Le rapprochement des deux groupes créerait un géant inégalé dans son domaine économique pesant près de 40 milliards de dollars. Mais nous ne pouvons pas éviter d'imaginer d'autres types de participations, plus financières que techniques et très à la mode en ce moment: Qatar? Les qataris sont très intéressés par la région marseillaise: Ils sont sur la CMA CGM (qui a de nouveau de sérieux soucis financiers) et n'oublions pas qu'ils ont déjà fait une offre sur l'OM en 2009. Mais cela n'est qu'extrapolation... Et l'OM justement dans tout cela? Margarita et sa famille ont prouvé son attachement pour l'OM, déjà en ne vendant pas en 2009 et en "mettant au pot" régulièrement. L'OM est détenu par la holding Louis-Dreyfus via la filiale "Eric Soccer" (voir organigramme) et une restructuration de la maison mère en 2012/13 aura donc des répercussions directes sur le club. Après le probable rapprochement capitalistique, le pire des scénarios serait un refus du nouvel ensemble de conserver l'OM dans son escarcelle. Il n'y a rien de pire que de plonger dans l'inconnu! Mais je ne pense pas que cela soit crédible tant Margarita semble attachée à notre club. Le meilleur des scénarios (et le plus plausible en plus!) serait une conservation du club dans le nouvel ensemble issu de l'opération de restructuration. Ce qui signifierait que l'OM aurait alors un actionnaire bien plus puissant que celui que nous avons en ce moment, d'une puissance financière comparable à celle... des Qataris du Pétrole SG. Tiens, tiens.... Conclusion: Il ne fait aucun doute que la structure financière de notre actionnaire va évoluer dans les mois à venir et à priori vers une forte augmentation de ses moyens financiers dont l'OM bénéfiera en 2012/13. Cela rejoint une récente déclaration de José Anigo qui prévoit une grosse équipe marseillaise en ... 2013 (voir ici) De notre coté, supporters, nous devons continuer à faire confiance à Margarita. La situation actuelle de sa société ne permet pas un investissement massif immédiat. Laissons lui le temps de négocier son rapprochement capitalistique et faisons tout autant confiance à l'équipe dirigeante de notre club. Ce n'est que si nous sommes tous unis dans le projet de MLD que celui-ci aura toutes ses chances de réussir. Il suffit d'un peu de patience. PS: j'ai lu dans l'expansion du 28/09/11, une bio de Margarita. Femme de tête, courageuse, travailleuse, je m’arrête là... Je ne manquerai pas de vous tenir informés des évolutions futures des négociations en cours!

yes l'om sera bientot avec de nouveaux capitaux etrangers
ca je le pense depui le mois de mai