INFOS JOUEURS PROS MEDITERRANEENS

Y. BELHANDA, joueur du mois de Mars
Posté le 29 mars 2011 | par Onze34 Montpellier

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Younes BELHANDA termine la course en tête sur le classement du mois de Mars. Le milieu de terrain du MHSC devance Garry BOCALY (2nd). John UTAKA et Olivier GIROUD se partagent la troisième place.

MHSC – SRFC

1. John UTAKA
2. Younes BELHANDA
3. Garry BOCALY

PSG – MHSC

1. Olivier GIROUD
2. Younes BELHANDA
3. Joris MARVEAUX

MHSC – RCL

1. Garry BOCALY
2. Younes BELHANDA
3. Geoffrey DERNIS

Classement du Mois

1. Younes BELHANDA 6 pts
2. Garry BOCALY 4 pts
3. Olivier GIROUD, John UTAKA 3 pts
5. Geoffrey DERNIS, Joris MARVEAUX 1 pt

Classement Général

1. Olivier GIROUD 35 pts
2. Younes BELHANDA 33 pts
3. Emir SPAHIC 27 pts
4. Marco ESTRADA, Geoffrey JOURDREN , Mapou YANGA-MBIWA 14 pts
7. Hasan KABZE 12 pts
8. Karim AÏT-FANA, Joris MARVEAUX 10 pts
10. Garry BOCALY 8 pts
11. Geoffrey DERNIS 7 pts
12. Abdelhamid EL KAOUTARI 4 pts
13. Cyril JEUNECHAMP, John UTAKA 3 pts
15. Romain PITAU, Benjamin STAMBOULI 2 pts

BELHANDA se rapproche de GIROUD.

Malgré sa première place face au PSG et son doublé, l’attaquant du MHSC, Olivier GIROUD, voit revenir sur ses talons l’international Marocain Younes BELHANDA. Le n°29 du MHSC qui a décroché la médaille d’argent lors des trois matchs du mois récolte donc 6 points et gagne du terrain sur la première place. Suspendu au cours de 2 rencontres ce mois ci, Emir SPAHIC possède désormais 6 points de retard sur la seconde place, 8 sur la première.

MARVEAUX GAGNE ENCORE UNE PLACE

Le milieu de terrain défensif du MHSC, Joris MARVEAUX revient ce mois ci sur Karim AIT-FANA. Il est désormais 8e au classement général grace à sa performance à Paris.

LA BELLE OPERATION DE BOCALY

2e sur le classement du mois de Mars, le latéral droit du Montpellier Hérault double son capital point et dépasse Abdelhamid EL KAOUTARI et Geoffrey DERNIS. Auteur de 3 buts cette saison, le n°2 Pailladin entre dans le top10.

11 MATCHS ET 33 POINTS A EMPOCHER

A 2 mois de la fin du Championnat, il reste donc 10 matchs de Championnat ainsi que la finale de la Coupe de la Ligue pour départager les joueurs. Si le trio de tête semble connu, tout reste encore possible. A vos votes pour élire le joueur de l’année !

Joueur du mois d’Août : Marco ESTRADA
Joueur du mois de Septembre : Marco ESTRADA
Joueur du mois d’Octobre : Younes BELHANDA
Joueur du mois de Novembre : Olivier GIROUD
Joueur du mois de Décembre : Emir SPAHIC
Joueur du mois de Janvier : Olivier GIROUD
Joueur du mois de Février : Younes BELHANDA
Joueur du mois de Mars : Younes BELHANDA


source : www.mhscfoot.com
crédits photos : www.mhscfoot.com

John Utaka doit encore en rire. Sans avoir quitté Montpellier, où il s’entraînait ce week-end, l’attaquant héraultais a été désigné par erreur double buteur dans la confrontation Nigeria-Éthiopie (4-0), comptant pour les éliminatoires de la CAN 2012. Don d’ubiquité? Pas vraiment. Alors, un Utaka a bien inscrit un doublé face à l’Éthiopie, sauf qu’il s’agit de Peter Utaka, le petit frère de l’ancien Rennais. Âgé de 27 ans, il évolue dans le club d’Odense, au Danemark et compte tout juste quatre sélections avec les Super Eagles. De nombreux médias, dont Football.fr, hélas,
ont annoncé à tort que John avait marqué les deux buts. Le site du MHSC précise que cette erreur a « beaucoup amusé John, qui s’entraînait pendant ce temps à Grammont avec le MHSC
mais qui a pu néanmoins se réjouir de la belle performance de son petit frère Peter qui a bel et bien marqué à deux reprises. » Mea culpa.

L'UNFP a débuté ce lundi, à Lisses, dans l'Essonne, son 22e stage pour les joueurs en rupture de contrat de travail. Une trentaine de joueurs étaient attendus à ce rendez-vous annuel qui permet à ces derniers d'être à un niveau physique intéressant pendant leur recherche d'un club. )

Le calendrier du stage

Mercredi 29 juin (17h30), à Camon
UNFP - Lens (L2)

Mardi 5 juillet (19 h), à Bayeux
UNFP - Le Havre (L2)

Mardi 12 juillet, à Châteauroux
Châteauroux (L2) - UNFP

Mercredi 13 juillet
UNFP - Orléans (NAT)

Samedi 16 et dimanche 17 juillet, à Rijnsburg (Pays-Bas)
Septième tournoi de la FIFPro

Samedi 23 juillet (18 h), à Courtenay
UNFP - Al Karithia

Vendredi 29 juillet (19 h), à Genève
UNFP - Syndicat suisse

Giuly terminera à Monaco



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Mardi 9 Août 2011


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C'est fait ! Voilà maintenant plusieurs semaines que Ludovic Giuly s'entraîne à la Turbie et que la rumeur d'une signature se précise. Celui qui a déjà porté les couleurs monégasques entre 1998 et 2004 arrive finalement pour une durée de deux saisons. Pour l'ancien Parisien, c'était un devoir de se joindre à l'effectif monégasque : « Je ne pouvais pas me permettre de laisser l’AS Monaco FC comme ça. On va tout faire pour remonter en Ligue 1. On a tous fait des efforts, j’ai eu la confiance des dirigeants et c’est un projet à long terme avec le club. Mais l’essentiel reste pour le moment le terrain. J’espère que le contrat est parti vite car j’ai envie de jouer, de porter à nouveau ces couleurs, mon numéro et de gagner mon premier match avec Monaco ! », déclare sur le site officiel du club l’intéressé. Ce transfert va-t-il précipiter le départ de Benjamin Moukandjo, peut-être à Nice ?

RASSUREZ VOUS CE N EST PAS UNGOAL MEDITERRANEEN QUI FERAIT UNE BOULETTE PAREILLE

http://video.fr.msn.com/watch/video/very-sneaky-soccer-goal/1jq2qp9ib

Ce gardien avait la confiance…un peu trop même
Une boulette dont il se souviendra longtemps

OGC Nice: après la victoire à Toulouse, Mounier parle volée.Publié le vendredi 02 septembre 2011 à 09H20 - 1 . Homme en forme du début de saison, Anthony Mounier est revenu sur sa splendide volée qui a permis au Gym d’obtenir son billet pour les 8es à Toulouse.

« Mon contrôle me permet de bien me l’amener, je me dis alors : “Pourquoi ne pas tenter une frappe ?”, raconte-t-il. Après, la chance fait le reste. C’est certainement l’un de mes plus beaux buts avec celui inscrit face à Saint-Etienne l’an passé. Il faut espérer que tout cela continue en championnat.»

Football - La folle semaine de Berenguer.Publié le dimanche 04 septembre 2011 à 10H09
Pascal Berenguer, plus qu'un état d'esprit, la marque de fabrique d'un des derniers vrais joueurs de club, désormais au service du RC Lens. (



. Début août, Pascal Berenguer entamait sa neuvième saison sous le maillot de l'ASNL. À mille lieues d'imaginer de quitter Nancy, précipitamment, à quelques jours de la fin du mercato. Pourtant, c'est ce qui est arrivé. Au bout du fil, à Lens où il vient d'aménager dans la maison du néo-Bastiais, Toifilou Maoulida, avec son épouse et ses deux filles, Lou et Milla, le Cortenais raconte sa folle semaine. « En un rien de temps, ma situation a changé radicalement. Je suis passé du statut de titulaire, vice-capitaine à rien du tout. Jean Fernandez, le nouvel entraîneur m'a convoqué dans son bureau pour me dire qu'il s'était trompé sur mon compte, qu'il n'avait pas été convaincu par mes deux matchs face à Lille et Sochaux. Selon lui, je ne tenais pas assez le ballon. Il m'a fait comprendre que je n'allais plus trop jouer. Cela n'a pas été évident à encaisser. J'ai senti ma gorge se serrer et j'avoue avoir versé quelques larmes. Mais voilà, c'est le foot ».

« C'est le foot »,trois mots en guise de constat sur les mœurs d'un milieu touché lui aussi par la crise et plus capable de faire la différence entre vrais joueurs et mercenaires. S'il avait eu l'âme de ces derniers, Pasquà serait resté à Nancy où il était sous contrat jusqu'en 2014. Il aurait été titularisé en Coupe ou pour remplacer un blessé ou un suspendu. Mais il a trop ramé pour se faire une place au soleil. Alors se contenter d'être payé pour jouer les utilités, trop peu pour lui. « J'ai remercié le coach pour son honnêteté, même si j'ai pensé qu'il aurait pu me dire tout ça plus tôt. Puis, je lui ai demandé de me libérer si je trouvais un club qui m'offrait du temps de jeu. Car plus que tout, c'est pour jouer que je fais ce métier ».

Dès lors, tout est allé très vite. Jacques Crouzel, son agent, a des touches avec Dijon, Evian et Ajaccio.

Le coup de fil de Gervais Martel à minuit

« Quitte à rejoindre un promu, je me disais que c'était bien de le faire dans mon île. À l'intersaison, j'avais eu quelques contacts avec l'ACA. J'attendais leur coup de fil… ».

C'est celui de Gervais Martel qui est arrivé et a tout changé.« Il m'a appelé à minuit et son discours m'a fait chaud au cœur. On m'a donné des valeurs, je suis quelqu'un d'honnête qui marche à l'affectif et a besoin de sentir qu'on lui fait confiance. Le président m'a tenu le discours que j'attendais, avec un projet sur le long terme pour restructurer le RCL. A la clé, un prêt d'un an et un contrat de quatre saisons en cas de remontée en L1. Évidemment, chacun a intérêt à ce que Lens retrouve l'élite en mai prochain. À 30 ans, c'est le genre de challenge dont j'avais besoin. J'ai dit banco tout de suite. Attends, c'est quand même Lens et même si le club est en Ligue 2, il reste une référence en France ».

Et les premiers pas à Bollaert ont conforté Pascal dans son choix. « Je n'ai pas très bien dormi lors des trois nuits qui ont précédé le match contre Monaco, j'étais trop excité. Mais si j'ai raté quelques passes, ça ne s'est pas trop mal passé. Il y avait de l'intensité et on était plus proche de la L1 qu'autre chose. Trois jours plus tard, c'était encore mieux lors de la victoire contre Evian. Et là, j'ai vraiment senti la ferveur du peuple sang et or. Hormis quand on chante le Dio vi salvi Regina en sélection corse, c'est la première fois que j'ai des frissons en entrant sur un terrain. Il y avait 15 000 personnes à Bollaert pour un match de Coupe de la Ligue. Elles ont chanté durant 90 minutes pour nous aider à garder notre but d'avance. C'était magique et cela m'a rappelé mes débuts à Nancy. Les quatre premières saisons y ont été magnifiques. On est remonté en L1, on a gagné la Coupe de la Ligue et joué la Coupe d'Europe. Sans star, mais avec des hommes qui pouvaient faire la guerre ensemble ».

À Bollaert, Pasquà n'était pas au bout de ses surprises. « À la fin du match, les supporters sont venus me féliciter pour mon match, me dire qu'ils avaient apprécié de me voir mouiller le maillot. Je leur ai dit que j'allais rater quelques passes, mais que je serais toujours là pour apporter ma grinta, mon envie de gagner et aider Lens à retrouver l'élite. Mais la route est longue. Le championnat me semble très homogène et tout va sans doute se jouer sur sa fin, comme la saison dernière. Je sais qu'on va être attendu un peu partout, mais l'équipe commence à prendre forme. On commence à sentir la patte de Garcia… »

Session de rattrapage à l'étranger pour aspirant pro
lundi 10.10.2011, 05:26 -
| DOSSIER |
Alors que l'horizon leur semble bouché en France, des jeunes joueurs décident d'intégrer des « académies » de foot à l'étranger.

Comme Yanis Nehdi, parti d'Hazebrouck pour l'Écosse.

PAR STEPHANE CARPENTIER
Aller voir si l'herbe est plus verte ailleurs, telle pourrait être la devise des dix-neuf jeunes Français qui ont investi mi-septembre l'Edusport Academy, basé près de Motherwell, non loin de Glasgow, en Ecosse. Là-bas, effectivement, les pelouses ressemblent à des billards. Et elles pourront peut-être permettre à ces jeunes footballeurs d'atteindre leur Graal, à savoir basculer enfin dans le foot pro.

C'est en tout cas ce qu'espère Yanis Nehdi, qui jouait encore il y a quelques mois au SC Hazebrouck. Âgé de 20 ans, ce jeune joueur est passé par les centres de formation d'Auxerre et de Dijon. « Mais ça s'est mal terminé, explique-t-il. Un ami qui habitait dans le Nord et jouait à Hazebrouck m'a alors mis en contact avec le club. Comme il y avait déjà beaucoup de joueurs mutés et que c'était ma première saison chez les seniors, j'ai surtout joué avec la réserve, en PHR. Dans le même temps, j'ai également passé ma première année de licence de droit à la faculté de Lille 2. » Si Yanis Nehdi n'omet pas de préciser son parcours scolaire, ce n'est pas anodin. En effet, c'était aussi l'une des clés pour vivre une exprience à l'étranger. « J'ai passé les détections pour Edusport US, une société de conseils en bourses athlétiques. Son créateur, Chris Ewing, m'a finalement conseillé de venir dans sa nouvelle académie, en Écosse, où il estime que j'aurais plus de chances de passer pro là-bas. »


« En France,les dés sont pipés »

Pour Yanis Nehdi, cette escapade en Écosse présente un double intérêt. « Le matin, on suit des cours en Anglais. L'après-midi, on s'entraîne. Le week-end, on joue dans un club support, en espérant bien sûr se faire remarquer. Quoiqu'il arrive, ce sera une bonne expérience, je reviendrai bilingue, et même si sur le plan sportif c'est un échec, j'aurais un bagage pour rebondir, ce ne sera pas la fin du monde. » Mais le vrai leitmotiv reste bien évidemment pouvoir vivre un jour uniquement du ballon rond. « Pour le foot, c'est un peu l'année de la dernière chance », admet Yanis Nehdi, qui a pu s'appuyer sur l'aide de ses parents pour financer l'inscription qui s'élève à 12 000 euros. Et c'est aussi une manière de remettre les compteurs à zéro. « Je voulais vraiment tenter quelque chose dans un endroit où les mentalités sont différentes. En France, les dés sont pipés, il y a trop de copinage, trop de pistons, c'est d'abord une histoire de réseaux autour des centres de formation.

Si tu n'en fais partie, tu restes en marge, à moins d'être aussi doué que Zidane. Mon père, un immigré tunisien qui est devenu enseignant en France, ne connaissait personne dans le milieu du foot et par moments j'ai vraiment eu l'impression d'être le dernier des oubliés. Mais j'ai encore une carte à jouer.

Ici, on va me juger pour ce que je vaux et non pour ce que je suis. »

Fournier : «Djalo est un joueur du Sporting» 12/10/2011 à 18:54

Le TAS a finalement suivi la FIFA dans le dossier Djalo : le milieu de terrain niçois doit retourner au Sporting Portugal.

Yannick Djalo retourne donc au Portugal.
Ce mercredi matin, Yannick Djalo a sans doute participé à son dernier entraînement avec l'OGC Nice, en attendant de voir s'il revient en janvier ou pas. En attendant, il devrait retourner au Sporting Portugal si le club lisboète (4e du championnat portugais) n'y voit pas d'inconvénient. Djalo, c'est ce milieu offensif portugais de 25 ans qui avait été transféré à la dernière minute du mercato cet été, du Sporting Portugal à Nice, pour environ 1,5 M d'euros hors bonus. Mais le Sporting n'a pas perçu l'indemnité et Djalo n'a pas reçu de salaire puisque le transfert n'avait pas été validé par la FIFA pour cause de retard de quatre minutes dans la saisine informatique des documents au complet. Nice avait trois documents à scanner et à faire entrer dans le logiciel de système de régulation des transferts (contrat de travail, papiers d'identité et convention de transfert), et le dernier d'entre eux avait été envoyé à 0 H 04 le 31 août. Nice avait saisi le TAS, qui, ce mardi, a suivi la FIFA. « On a défendu nos droits jusqu'au bout , a expliqué ce mercredi après-midi le directeur général de Nice Julien Fournier. Je pense qu'on a souffert du contexte actuel tendu entre la FIFA et le TAS. Maintenant, administrativement et juridiquement, Yannick est un joueur du Sporting, pas de l'OGC Nice. » Djalo deviendra-t-il niçois au début du prochain mercato en janvier ? Ce n'est pas une certitude. « Aujourd'hui, les compteurs sont remis à zéro , a poursuivi Fournier. On est presque revenus à une situation où on s'intéresse à Yannick avant de le recruter. On ne sait pas, le Sporting pourrait très bien d'ici là le céder pour plus cher à un club russe, ou Yannick avoir une autre opportunité... Savoir s'il sera là en janvier, je ne peux pas y répondre aujourd'hui. »

J.-M. Guillou: «Ce n'est pas le costume qui fait le footballeur».Publié le dimanche 16 octobre 2011 à 07H13 - 2
. Jean-Marc Guillou n'a pas changé. A 65 ans, l'élégance caractérise toujours cet artiste du dribble et du joli football qui a fait les beaux jours du SCO d'Angers (1966-75) puis ceux de l'OGC Nice (1975-79).

Après sa carrière de footballeur, l'ex-international est ensuite devenu entraîneur notamment à Cannes (1983-85) avant de partir former des jeunes en Côte d'Ivoire, puis à Bamako (Mali) où son entreprise JMG Football est basée. De retour à Nice pour revoir ses deux filles et pour un check-up, Jean-Marc Guillou nous parle football... près des courts du Parc-Impérial où il accompagnait sa fille Sarah et son gendre, le neuro-chirurgien niçois Bernard Massini.

Votre présence à Nice ?

Je suis à Nice car mes deux filles, Sarah et Stéphanie

y habitent. Nice n'est pas un endroit désagréable... Souvent, à nos âges, on vient en France pour faire des check-up et j'ai désormais des prothèses au genou. J'en profite pour me faire un peu réparer. La France est un beau pays. Cela dit, il ne respire pas la joie de vivre. Paradoxalement, quand je suis en Afrique, je vois plus d'enfants qui sourient qu'ici. Quelquefois, ceux qui n'ont pas grand-chose sont quelquefois plus proches du bonheur que ceux qui ont beaucoup. L'idée de faire avancer ces pays en voie de développement n'est pas une mauvaise chose.

Suivez vous le parcours de l'OGC Nice ?

Je ne l'ai pas vu jouer cette saison, donc je ne peux pas en parler. Je vois que les Niçois ont des débuts un peu difficiles, ça arrive. L'année dernière, ils ont frisé la correctionnelle, c'est la preuve d'un club qui n'a pas encore trouvé ses marques. Je pense que, cette année, ils peuvent éviter la descente car il y a des équipes comme Ajaccio, Dijon, Evian ou Nancy qui sont plus faibles.

De bons souvenirs en rouge et noir ?

J'ai passé quatre ans à Nice. D'une manière générale, ce sont des bons souvenirs. D'une part parce que j'étais jeune, ensuite parce que c'est un plaisir de jouer et que c'était dans des conditions sympas. Donc, ça peut donner un peu de

nostalgie. Mais je dois reconnaître que ce ne sont pas les années les plus

riches de ma vie.

« Mes années les plus riches sont celles passées en Côte d'Ivoire »

Quelles années ont été les plus riches ?

Celles passées en Côte d'Ivoire, de 1993 à 2001 où j'ai réalisé le projet de former des gamins. J'ai eu du bonheur à voir jouer

ces jeunes. J'ai formé des joueurs qui composaient 80 à 90 % d'une équipe qui est allée deux fois en Coupe du monde. Ensuite, beaucoup de joueurs ont joué en Ligue des Champions en Europe. Et ces joueurs auraient dû à mon sens gagner plus de titres s'ils avaient été mieux employés. Ils sont allés en coupe du monde, à la CAN, mais ce n'est pas suffisant.

Quels joueurs avez-vous formé ?

Je peux citer Yapi, Boka, Eboué, Kolo et Yaya Touré, Kalou, Zokora, Armona, Gervinho, Baky Koné, Tiéné, Copa, Tony, Zézé, Romaric, etc.

Qu'avez-vous fait après ?

En 2001, j'ai pris le club de Beveren (Belgique) jusqu'en 2006. J'ai alors relancé la formation des jeunes à Bamako (Mali) en 2007 et j'ai trouvé des partenaires en Algérie, en Egypte, en Belgique, au Ghana, à Madagascar, en Thaïlande et au Vietnam : dans ces trois derniers pays, nous sommes en tête du championnat et à Madagascar, nous avons 14 ou 15 internationaux.

Votre fonction ?

Je suis président de JMG Football, société basée à Bamako, qui gère toutes ces académies. Je me suis entouré de gens compétents. Nous proposons des expertises au niveau de la formation et du consulting auprès des Fédérations africaines et asiatiques qui ne sont pas des modèles de gestion.

En Afrique et en Asie, le football est un peu sinistré. J'ai le sentiment qu'il y a vraiment beaucoup de choses à faire. Ils prennent les règles FIFA à défaut d'autre chose. Mais ces règles ne sont pas du tout adaptées à l'Afrique. Il faut aussi repenser l'arbitrage en Afrique qui est une calamité. Dans tous les pays africains, le sport No1 c'est le football. Mais c'est une activité qui ne rapporte rien. Les clubs n'ont même pas le budget de CFA 2 en France. Pas de droit télé, pas de sponsors, les fédérations ne sont pas sérieuses.

C'est un manque de moyens ?

Il faut surtout avoir des idées. Moi, j'ai une formation qui est complètement différente. On joue d'abord à 5, 6, 7 et on joue pieds nus car c'est la meilleure formation. Tous les gestes sont plus rapides. Ne serait-ce que 800 grammes à chaque pied, c'est lourd. Il faut faire des économies d'énergie. Et lors des matches, il n'y a pas de blessés. Ce n'est pas le costume qui fait le footballeur, c'est le jeu.

Nantes : une pépite tunisienne dans le viseur de l’OM, Montpellier et Hambourg
31/10/2011 - 12 h 35 - 12

Il est inconnu du grand public mais déchaîne les passions à travers l'Europe. Le jeune ailier Saad Trabelsi n'a pas encore disputé la moindre minute en L2 qu'il est déjà très courtisé.
Connaissez-vous Saad Trabelsi ? Probablement pas, sauf si vous suiviez Bourges en CFA 2 la saison dernière. Les dirigeants du FC Nantes l’ont eux découvert et lui ont fait signer un bail. Mais aujourd’hui, ce jeune attaquant franco-tunisien de 19 ans n’a toujours pas disputé la moindre minute en Ligue 2. Ce qui n’empêche pas plusieurs clubs de se pencher sur lui.

Selon lequipe.fr, l’Olympique de Marseille, le Chievo Vérone mais surtout Hambourg seraient très intéressés pour récupérer le joueur ! Nantes serait bien inspiré de vite blinder son jeune joueur s’il ne veut pas se le faire piquer par des clubs de l’élite. À l’heure actuelle, il ne dispose toujours pas d’un contrat professionnel, ce qui laisse une possibilité aux courtisans.

Ailier percutant, alliant vitesse et technique, Saad Trabelsi pourrait réussir l’exploit de passer de la CFA à l’élite en un temps record. Montpellier ferait également partie des prétendants et chercherait à l’enrôler le plus rapidement possible. La bataille s’annonce rude pour cet espoir décidément très surveillé.

CLASSEMENT DES BUTEURS MEDITERRANEENS LIGUE 2

......................Joueur ....Club.............. Buts Pén Pa J TJ Pts

8 Wahbi KHAZRI SC Bastia 5 0 2 4 1303 10

20 Sid Ali YAHIA CHRIF FC Istres 4 0 0 4 964 7

23 Nassim AKROUR FC Istres 4 0 0 3 1252 6
26 David SUAREZ SC Bastia 4 3 0 3 784 7
28 Sadio DIALLO SC Bastia 3 0 2 3 1221 7
29 Sylvain WILTORD FC Nantes 3 0 1 3 656 9
30 Toifilou MAOULIDA SC Bastia 3 0 1 3 869 3
31 Valère GERMAIN AS Monaco FC 3 0 1 3 1059 1
32 Jordan VERETOUT FC Nantes 3 0 1 3 1157 7
33 Luigi PIERONI AC Arles Avignon 3 0 1 3 1180 7
34 Ludovic GAMBOA Stade Lavallois 3 0 1 3 1241 7
35 Gary COULIBALY AS Monaco FC 3 0 1 3 1387 1
36 Driss FETTOUHI FC Istres 3 0 0 3 992 6
37 Idir OUALI Le Mans FC 3 0 0 3 1197 3
38 Claudio BEAUVUE Châteauroux 3 0 0 3 1210 9
55 Ludovic GENEST SC Bastia 2 0 1 2 414 6
58 Nicolas DE PREVILLE FC Istres 2 0 1 2 705 3
70 Bakary SORO AC Arles Avignon 2 0 0 2 1014 1
71 Romain ROCCHI AC Arles Avignon 2 0 0 2 1018 6
73 Jérémy CHOPLIN SC Bastia 2 0 0 2 1097 6
79 Riad NOURI FC Istres 2 1 1 2 1163 1
81 Marama VAHIRUA AS Monaco FC 2 1 0 2 683 1
83 Valentin EYSSERIC AS Monaco FC 1 0 3 1 982 1
88 Téji SAVANIER AC Arles Avignon 1 0 1 1 382 3
90 Ludovic GIULY AS Monaco FC 1 0 1 1 468 1
94 Julian PALMIERI FC Istres 1 0 1 1 717 1

99 Thomas AYASSE AC Arles Avignon 1 0 1 1 978 0
104 Matthieu SANS SC Bastia 1 0 1 1 1284 1
106 Frédéric NIMANI AS Monaco FC 1 0 0 1 138 1
107 Thomas MANGANI AS Monaco FC 1 0 0 1 138 1
108 Yassin EL AZZOUZI SC Bastia 1 0 0 1 146 3
110 Joris SAINATI FC Istres 1 0 0 1 198 1
111 Franck DJA DJEDJE AC Arles Avignon 1 0 0 1 202 0
116 François MARQUE SC Bastia 1 0 0 1 279 1
118 Chris MALONGA AS Monaco FC 1 0 0 1 319 1

129 Rabiu AFOLABI AS Monaco FC 1 0 0 1 540 3

142 Edgar SALLI AS Monaco FC 1 0 0 1 797 1
143 Chafik NAJIH AC Arles Avignon 1 0 0 1 844 0
144 Laurent AGOUAZI FC Istres 1 0 0 1 866 1

154 Fethi HAREK SC Bastia 1 0 0 1 1432 3
157 Deme NDIAYE AC Arles Avignon 1 1 2 1 1074 0

Légende :
Buts = Buts
Pén = Sur penalty
J = Nombre de match durant lequel le joueur a marqué
TJ = Temps de jeu en minutes
Pts = Nombre de points marqués par le club

Bastia
Diallo, itinéraire d'un surdoué
L'histoire d'Abdoulaye Sadio Diallo, réelle, ressemble à un roman. Qui continue de s'écrire et qui pourrait même virer au conte de fées. A travers plusieurs chapitres, dont certains narrés par le principal concerné, retrace l'itinéraire du prometteur international guinéen du SC Bastia, qui défie Châteauroux ce vendredi (20h).


Naissance d'un dessein
Par Abdoulaye Sadio Diallo
«Je suis un vrai Conakryka, un gamin de Conakry. Là-bas, il y a beaucoup de talents et tu es obligé de pousser à fond pour percer. J'ai trop aimé le football dès mon enfance. Après l'école, je partais jouer au foot avec mes frères. Le plus grand a été mon premier entraîneur. Je lui dois beaucoup. A 15 ans, je me suis dit que je voulais en faire mon métier et, aujourd'hui, c'est le cas. Je ne me voyais pas faire autre chose. Monsieur Abdoul-Karim Bangoura, une grande personne, m'a beaucoup aidé. C'est le premier entraîneur qui m'a fait monter en Ligue 1 en Guinée (à l'Atletico de Coleah). J'admirais les Pascal Feindouno, Georges Weah, Samuel Eto'o, Didier Drogba, Mamadou Niang.»

Les choses sérieuses commencent. Après six mois sans jouer en Guinée, en raison du refus de son club de le laisser tenter sa chance en Europe, la pépite africaine, alors âgée de 18 ans, débarque dans l'Hexagone. Nous sommes en juin 2009. Nice puis Rennes le mettent à l'essai mais ne le gardent pas. L'OGCN revient à la charge mais, entre-temps, Bastia s'est mis sur les rangs.

Benvinuti in Corsica
Par Pierre-Paul Antonetti, président du Directoire du Sporting au moment de l'arrivée de Diallo
«Mon oncle, Frédéric (qui quitte alors le banc de l'OGCN pour celui du Stade Rennais), m'en avait parlé et, avec Bastia, on avait joué contre lui lors de son stage avec Nice en Haute-Savoie. Après son deuxième essai, à Rennes, non concluant (F. Antonetti lui conseille de s'aguerrir à un niveau inférieur), j'ai suivi le dossier de près. Sadio logeait chez un ami à Toulouse. Je lui ai proposé de venir chez nous, ce qu'il a accepté, mais il n'avait pas d'argent pour rejoindre Bastia. Et son agent était en Guinée. C'est finalement en partant en vacances chez le fils de Fred, à Nice, que j'ai eu des nouvelles. Je l'ai récupéré in extremis à l'aéroport alors qu'il devait signer avec Nice. Là-bas, je parle avec M. Bangoura, un deuxième père pour lui. Finalement, Sadio tient son engagement de faire un essai chez nous et prend un billet pour Bastia.»

Un aller sans retour. Le jeune homme ne le sait pas encore mais ce décollage pour l'île de Beauté marque le début de son envol. Son talent et son potentiel sautent aux yeux des décideurs corses, qui transforment l'essai en contrat stagiaire, le temps d'alléger la masse salariale du club.

Passion rime avec profession
Par Abdoulaye Sadio Diallo
«Au début, j'évolue en réserve (CFA 2), pendant six mois. Puis, je fais mes débuts en L2 contre Nantes (défaite 3-1, 25e j., le 19 février 2010). C'est Monsieur Hadzibegic qui me lance. Je suis titulaire. Le match d'après, j'entre quelques minutes (86e) face à Guingamp (0-0, 26e j., le 26 février). Puis, je retourne en réserve. A la fin de la saison, c'est la descente en National. En juillet, je signe mon contrat professionnel. Pour moi, c'était un jour de fou. Dans ma tête, je m'étais dit que j'allais aider la famille, que j'allais aider les jeunes talentueux en Guinée. Le coach (Frédéric Hantz, nommé en mai 2010) m'a fait bosser, je l'ai écouté et ça a payé. A Bastia, on me parle beaucoup de Michael Essien. J'espère faire plus que lui.»

En National, Diallo fait son trou dans l'équipe corse (35 matches). Et impressionne par sa qualité de passe, de finition (10 buts), et sa facilité à éliminer. Des aptitudes et des stats qui aident Bastia à remonter et qui lui permettent d'intégrer la sélection guinéenne. Lancé par le Français Michel Dussuyer contre le Sénégal (0-3, le 9 février), le gamin de Conakry est très vite adoubé par les anciens.

Le Sily sous le charme
Par Pascal Feindouno
«C'est un bon petit, je l'aime beaucoup. Il joue bien. En plus, il est intelligent, il comprend vite. S'il est sérieux, qu'il écoute, il ira loin. En sélection, il vient me voir et me dit de lui montrer quelques techniques. Je lui montre deux-trois petits trucs, je le conseille un peu. Maintenant, il faut qu'il travaille, qu'il persévère. Dans le football, il faut se faire mal (une attitude nonchalante est parfois reprochée à Diallo, Ndlr). C'est un garçon qui peut me remplacer en sélection. En Guinée, les gens le voient comme l'espoir. Pour moi, c'est le jeune joueur guinéen le plus talentueux. Il capte vite. Il a un peu de déchets, surtout dans la dernière passe. On sait qu'il est très fort. Mais il est obligé de quitter Bastia pour continuer à progresser.»

Un départ vers d'autres cieux qui ne se fera certainement pas sans pincement au(x) coeur(s) tant Abdoulaye Sadio Diallo est apprécié au club corse. «C'est une histoire particulière avec lui. C'est un petit peu l'enfant du club», résume Pierre-Paul Antonetti. L'été dernier, Lorient a fait le forcing. En vain. Aujourd'hui, les Merlus sont à la lutte avec... Rennes. Le début d'un nouveau chapitre, la suite d'un récit, l'accomplissement d'un destin.

Foot : Génération des années 80 à L'Ile-Rousse
Football · Ile-Rousse · 12-2011
Années 1980-1990, deux clubs ont marqué les plus belles pages du football Corse. Chez les professionnels, le SEC Bastia et chez les amateurs, le FA Ile-Rousse. Le SEC Bastia sort d’une formidable épopée européenne qui l’a conduite jusqu’à la finale face à Eindhoven. 13 juin 1981 au Parc des princes à Paris, Paul Marchioni, capitaine du SECB brandit la coupe de France remise par François Mitterand, après la formidable victoire des « Bleus » face aux « Verts » de Saint-Etienne 2 à 1 (buts de Marcialis et Milla). Dans le même temps, au niveau amateur, le FA Ile-Rousse du regretté président Fortuné Lebras accède à la Division d’honneur, pour régner en maître absolu sur le football insulaire.
Les titres s’additionnent. Champion de DH 81/82, 82/83, 83/84, 84,85, 85/86, vainqueur de la coupe de Corse en 85, 86 et 87.
Intouchable au niveau régional, le FAIR accède en 1986 à la 4e division.
Deux joueurs : « Bébé » Almeras et Christian Graziani symbolisent cette génération dorée de footballeurs. Les deux ont fréquenté le centre de formation de Bastia, ont porté le maillots des sélections et ont joué dans les deux clubs de Bastia et L’Ile-Rousse.
En 1981, lorsque Marchioni a levé au ciel la coupe de France, ils étaient en bleu.
Quelques années plus tard, c’est en « jaune et bleu » qu’il vont écrire les plus belles pages du FA Ile-Rousse.
Il y a eu les trois coupes de Corse, le titre en 4e division, l’accession en National 2 et en National1.
A la sortie du SECB, « Bébé » Almeras a fait un tour du côté de l’AS Cannes (voir l’interview de l’ami Hervé Somnard sur le site www.festivalpassions-cannes.fr/» et à Meaux, avant de rejoindre le FA Ile-Rousse. Redoutable attaquant, il a inscrit près de 300 buts sous les couleurs île-roussiennes et a terminé plusieurs années de suite meilleur buteur de tous les groupes de 4e division.
Des moments forts il y a en eu durant cette période. Comment oublier cette formidable aventure en coupe de France en 92/93, avec la qualification à la 120e minute face à Nevers, grâce à un but de l’extraterrestre « Bébe » et la rencontre face à Pau, perdue en 32e de finale
Christian Graziani, capitaine courage, défenseur central intraitable, grand technicien était pour l’équipe un gage de stabilité et d’efficacité.
Christian Graziani et "Bébé" Alméras a nouveau réunis
Aujourd’hui, Christian Graziani et « Bébé » Almeras sont à nouveau réunis à L’Ile-Rousse. Le premier est dirigeant du club et le second l’entraîneur général.
Des souvenirs ils en ont plein la tête, que ce soit en championnat, en coupe de Corse ou encore en coupe de France.
Nostalgiques des « Bleus » ils le sont autant qu’en « jaune et bleu ».
A force de souvenirs, de moments passés à se remémorer cette génération, l’idée de tous se retrouver un jour a pris naissance.
L’occasion du 30e anniversaire de la victoire du Sporting en coupe de France est la bonne.
Le jeudi 29 décembre, au stade municipal Jacques Ambroggi de L’Ile-Rousse « Bébé » et Christian vont organiser un match de gala qui réunira une pléiade de joueurs ayant porté l’un des deux maillots ou encore comme eux les deux.
Bien entendu il y aura des invités comme Paul Marchioni et Charles Orlanducci ou encore Fanfan Félix, ancien goléador du SECB et entraîneur du FAIR, Jrean-Claude Mattei et Vincent Orabona qui ont ou président aux destinées du football île-roussien, Jean-Claude Giuntini qui fut entraîneur-joueur du FAIR et qui est aujourd’hui à la tête de l’équipe nationale des – de 17 ans, José Pastinelli, Tony Cervetti, « Michou » Padovani, Pascal Marini, Pierrot Menozzi….
Le coup d’envoi du match de gala sera donné à 18 heures par le plus jeune licencié du FBIR Antoine Costa, 4 ans et « Titi » Molinari, doyen des footballeurs île-roussien qui joua à l'OM, Montpellier et Béziers. Au mois d’octobre dernier « Titi » a fêté son 83e anniversaire.
Sur le terrain, chez les « Bleus » on retrouvera des joueurs comme Murati, Squaglia, Padovani, Vernet, Bracconi, Ferri, Marini, Pastinelli, Tho, Fontana, José Graziani, Rossi, Marchioni, Orlanducci, Didier Santini, Camadini, Félix, Faye…
Entraîneur : Jean-Louis Luccini
A Ile-Rousse, là aussi, les nostagiques vont en prendre plein les yeux. Jugez plutôt :Serge Lattore et Yves Sacco, Ginou Franceschetti, José Orsini, Jean-Charles Bastiani, Antoine Antonelli, Guitou Panciaticci, Christian Graziani, Xavier Prouvent, Patrick Muraccioli, Jean-Claude Giuntini, Tinou Agostini, Marc Biamonte, « Bébé » Almeras, Sauveur Agostini, Patrick Sandroni, Patrick Filippi, Roland Huitel, Thierry Ricco, René Navarro, Jean-Christophe Mattei, Francis Panisi, Georges Ventura, Elie Petroni, Jean-Pierre Sartori, Jean Mattei…
Entraîneur : Fanfan Felix.
Arbitre : M. Curck
Cette journée débutera à 15 h 30 avec un tournoi des jeunes (U8-9, 10-11).
18 heures : présentation des équipes
18h15 : match de gala
20h : Cocktail dans la salle d’honneur du stade.

● Un ancien Arlésien à l’Udinese.
Jean-Alain Fanchone, qui portait les couleurs
de l’ACA lors de la saison
2010-2011, a trouvé un accord avec le
troisième de Serie A. Il était au chômage
depuis la liquidation judiciaire de son
dernier club, le RC Strasbourg

je viens de recevoir ce mail en message privé

Salut cher Agents , je m'appelle TOURE Yankouba je suis Sénégalais,j'ai 18 ans je suis droitier et pèse 62kg, je suis dans un club de 2eme Division sénégalaise (DAKAR SACRE CŒUR) dans le centre de formation. Je suis a la recherche d' un agent de joueur pouvant m' aider dans mon domaine de footballeur. je suis un milieu de terrain meneur de jeu et je suis très très bon et très rapide dans le jeux offensif et très poli valant j'aimerai beaucoup jouer à l'extérieur mais je n'ai pas un agent qui peut m'aider a retrouver un club de football, je vous écris chers managers , agents de la Fifa et présidents de club de football de m'aidez pour que demain moi aussi je puisse devenir un grand joueur, aider moi je vous en pris. voici mon numéro (221) 77 402 15 82 / (221) 77 180 62 40.


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Adresse e-mail de l'expéditeur: yankouba20@live.fr

Grandin n'ira pas à Nice
Le 16/01/2012 | Mis à jour le 16/01/2012 18:40:00

Auteur de seulement six apparitions cette saison en D2 anglaise avec Blackpool (un but), Elliot Grandin cherche à quitter le club. L'ancien milieu de Marseille, Caen et Grenoble était tout proche d'un prêt payant de six mois à Nice, auquel était assortie une option d'achat. Mais, selon nos informations, l'OGCN et Blackpool n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur l'indemnité de prêt. L'ancien ailier des Espoirs français (24 ans) reste donc pour l'instant dans le club anglais.

Nimani en Grèce ?



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Mardi 24 Janvier 2012

L’ancien entraîneur monégasque Laszlo Bölöni, aujour’hui à la tête du PAOK Salonique, pourrait bien engager un autre ex-asémiste. L’attaquant Frédéric Nimani est actuellement mis à l’essai, et aurait convaincu les dirigeants grecs à l’occasion d’un récent match amical (4 buts inscrits),

Lloris capitaine des Bleus
Mardi 28 Février 2012

C'est donc un Niçois qui sera capitaine de l'équipe de France lors de l'Euro 2012. Laurent Blanc a annoncé son choix cet après-midi, à la veille du match amical en Allemagne : c'est Hugo Lloris, pur produit du centre de formation du Gym et véritable fierté locale, qui arborera le brassard.