SCHEMA TACTIC !!!!!

D’un Zqui veut dire Zlatan
PSG Si le Suédois a fait entrer le club parisien dans une nouvelle ère, il reste d’abord un attaquant de génie

Ligue 1. OM-PSG : nul au sommet
8e journée. L'OM et le PSG n'ayant pu se départager, Marseille conserve la tête.

André-Pierre Gignac : joli doublé. à quand son retour en bleu ?/marseille 2 - paris-sg 2

MT : 2-2.

Stade-Vélodrome, 40.748 spectateurs (guichets fermés).

Arbitrage de M. Tony CHAPRON,

assisté de MM. Perruaux & Saint-Cricq/

temps additionnel : 3'(1+2).

Pour l'OM : Gignac (18, 32).

Pour le PSG : Ibrahimovic (23, 25).

OLYMPIQUE DE MARSEILLE :

Mandanda (cap.) - Abdallah (Abdullah, 65), Fanni, Nkoulou, J. Morel - Kaboré, Be. Cheyrou - Amalfitano (J. Ayew, 74), Valbuena, A. Ayew - Gignac (L. Rémy, 79)./Entr.: élie BAUP.

Avertissement : Abdullah (77, charge par derrière sur Ibrahimovic).

paris-saint-germain :

Sirigu - Jallet (cap.), Alex, Thiago Silva, Maxwell - Chantôme, Verratti (S. Armand, 58), Matuidi - Pastore (Gameiro, mt) - Ménez (van der Wiel, 75), Ibrahimovic./Entr.: C. ANCELOTTI.

Avertissements : Verratti (40, tacle appuyé sur Valbuena), Thiago Silva (55, tacle à retardement sur Amalfitano).

D écidément, d'un côté ou de l'autre des Pyrénées, hier soir, les monta- gnes n'ont pas accouché de souris et mieux : les étoiles ont brillé. Chouette.

Messi et Cristiano Ronaldo au Camp Nou, Gignac et Ibrahimovic au Vélodrome. On ne s'en plaindra forcément pas, on appréciera - surtout pour nous, en France, où c'était vraiment le Sud, ce «big match». Récapitulons.

Ouverture du score phocéenne sur un bijou de passe d'André Ayew pour APG qui donne un tour de reins à Jallet avant de croiser, à la perfection, sa frappe du droit sur laquelle il manque une bonne main à Sirigu (1-0, 18e). Le temps de reprendre ses esprits, c'est l'autre vedette attendue, Ibra, qui d'un talon droit en extension sous la barre et entre les bras de Mandanda (waouh) - à la réception d'un corner de Maxwell (y'avait pas besoin d'en rajouter sur ce coup-là…) fait gamelle (1-1, 23e).

Quel pied droit magique ! En démonstration - on pèse nos mots - 2 minutes plus tard, sur un maître coup franc des 25m que ne peut que toucher le gardien marseillais (1-2, 25e).

Et alors ? Alors, Zorro Dédé ressort de sa boîte… 7 minutes après (!), pour décroiser petit-filet son coup de tête, coincé pourtant entre Alex et Chantôme (2-2, 32e). D'ailleurs, on pourra se demander toute la soirée : «Mais que fait la défense centrale francilienne ?»

à preuve : entre un Alex empoté et un Thiago Silva pas dans son assiette (cf. son carton)…

Ancelotti n'a pas trouvé la recette
En résumé, Mister Carlito a encore du pain sur la planche pour remporter son premier titre de champion de France. En témoigne la deuxième mi-temps de ses ouailles, jouée sur un faux-rythme, et après une rentrée aux vestiaires à l'ancienne (lire ci-dessous).


Paris est tombé à Porto, a vacillé à Marseille. Il y a assurément des remises en question du côté du Camp-des-Loges. Fatigués les Parisiens suite à jeudi ? Eh les Marseillais, pardi !

En attendant, l'OM conserve son trône. Façon morpion : accroché à qui mieux-mieux. C'est l'autre leçon de la soirée.

Baup : "Redevenir imprévisible"10 contributions Publié le vendredi 26 octobre 2012 à 17H58



Élie Baup est revenu sur la mauvaise passe actuelle que traverse l'OM. Le technicien olympien réclame plus d'imagination : "Nos adversaires nous ont bien étudiés, on les surprend moins. Il faut redevenir imprévisible. Nos rivaux doivent moins anticiper nos actions. Cela passe par un travail de toute l'équipe, au niveau des déplacements, des appels, des contre-appels."

Quand sera disputé le match entre Marseille et Lyon, reporté dimanche en raison de vents violents ? Pour l'OL, la date du 28 novembre est privilégiée. «Nous demandons que ce match OM-OL soit disputé le 28 novembre, l'un des deux jours prévu pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue, même si notre équipe se qualifie à Nice (en 8e de finale, ndlr), mercredi et, qu'en conséquence, notre éventuel quart de finale soit reporté», a indiqué un porte-parole de l'Olympique lyonnais.

Lyon, qui se rend au Parc des Princes pour affronter le PSG le 16 décembre, ne veut pas affronter l'OM trois jours plus tard, le 19 décembre, seule date de libre ensuite pour fixer l'affiche avant la trêve

COUPE DE LALIGUE
Contre Paris,
pas question
de faire l’impasse Alors qu’Élie Baup parle "d’intensité
de la Ligue des champions", le match de
demain se profile comme une véritable
revanche du championnat

LE POINT FAIBLE
L’OMatravaillé
les coups depiedarrêtés

Un corner et un coup franc direct: en championnat, le 7 octobre dernier,
Zlatan Ibrahimovic avait fait la différence sur coup de pied arrêté. Un domaine
dans lequel l’OM a confirmé sa fragilité à Mönchengladbach, en
concédant un penalty consécutif à un coup franc proche de la surface, ou à
Troyes en encaissant le but de la défaite à la dernière minute sur corner.
"Nous avons pris la moitié de nos buts sur des phases arrêtées", reconnaît
d’ailleurs Rod Fanni.
Elie Baup a donc remis son ouvrage sur le métier et essayé de corriger
certains détails lors de diverses séances d’entraînement. "Depuis quelque
temps, nous travaillons les coups de pied arrêtés. Nous avons d’ailleurs
changé des choses, dans le mur, le placement sur les corners. On essaie
toujours de donner des réponses, de s’améliorer, mais sans passer de
l’individuelle à une zone totale. Il faut respecter le ressenti des joueurs, du
gardien, qui est très impliqué."
Le système olympien, c’est un marquage individuel, auquel s’ajoute la
présence de deux joueurs fixes, l’un au deuxième poteau, l’autre au coin
des 5,50 m pour éviter qu’un adversaire ne coupe la trajectoire. Après,
c’est une question d’engagement, de promptitude. Et de talent de
l’adversaire. Quand Zlatan effectue un geste improbable, comme sa reprise
sur le premier but au Vélodrome, la seule parade est d’arriver le premier
sur le ballon. Quand l’OM marque lui-même sur corner (à l’instar de Gignac,
toujours à l’aller contre PSG), c’est aussi un duel gagné ou perdu, sans que
le système ne soit en cause

Hier matin, Élie Baup avait
les traits tirés. Les stigmates
d’une nuit très courte,
essentiellement passée à revisionner
la prestation de ses
ouailles face à Mönchengladbach.
"J’ai regardé le match en
entier et deux fois la deuxième
mi-temps, dévoilait-il. Je
n’arrivais pas àdormir, il y avait
beaucoup de déception. Mais
c’est toujours le cas après une
rencontre, quel que soit le résultat..."
Pas sûr pourtant qu’il ait davantage
trouvé le sommeil, hier
soir. Au-delà de la déception du
nul concédé face à l’escouade
de son ami Lucien Favre,
l’entraîneur olympien, entièrement
dévoué à sa fonction, se
creuse les méninges pour mettre
son équipe dans les meilleures
dispositions, demain face à
Nice. Son choix s’est élargi sur
le plan défensif, avec les prestations
intéressantes de Lucas
Mendes et le retour de Souleymane
Diawara. "J’y réfléchis,
mais c’est un luxe; il y a eu une
période où je cherchais quatre
joueurs à aligner", rappelle-t-il.
Si la défense reste le secteur où
les combinaisons sont les plus
nombreuses, c’est pourtant
l’attaque qui turlupine le plus le
technicien haut-garonnais.
Cela pourrait paraître paradoxal,
tant la donne semble
s’être éclaircie après ce match
de Ligue Europe. "Il y a eu des
bonnes idées pour la suite", s’est
félicité Baup, séduit par la formule,
soulignant les prestations
individuelles de Jordan Ayew et
de Loïc Rémy. "Dans notre système
de jeu, avec trois joueurs offensifs
en soutien et l’apport des
latéraux, le poste d’avant-centre
est difficile ; il faut fixer la défense
et garder le ballon pour permettre
à l’équipe de remonter,
être intelligent dans ses déplacements.
Dans ce registre, Jordan a
montré des choses intéressantes".
Tout comme Rémy, en
manque de confiance dans l’axe
et plus à l’aise dans le couloir
droit. "Je n’exclus pas Loïc de la
pointe de l’attaque, tempère
l’entraîneur olympien. Mais que
ce soit aussi bien à gauche, où il
rentre sur son bon pied, qu’à
droite, il a déjà montré des choses.
L’idée, c’est de lui permettre
d’utiliser sa vitesse dans ce couloir,
et de faciliter son replacement
défensif pour qu’il puisse
se retrouver."
Avec André Ayew dans le couloir
gauche et Mathieu Valbuena
dans le rôle axial où il excelle
cette saison, Baup semble tenir
la meilleure formule du moment
pour la venue des Aiglons.
Mais voilà, une mauvaise réception
sur un duel aérien face à
M’Gladbach, en fin de rencontre,
pourrait bouleverser la donne.
"Aujourd’hui, il ne pourrait
pas jouer", a précisé hier Baup,
soulignant que "sa cheville a
bougé, mais ce n’est pas trop grave."
Victime d’une entorse, le
Ghanéen est resté en soins hier,
comme l’ensemble des titulaires
de la veille. Il en fera de même
cet après-midi, à l’heure de
la traditionnelle mise en place.
Une décision quant à sa participation
à la rencontre de demain
sera prise sur les coups de 17
heures avec le staff médical. Le
forfait du cadet des Ayew, déjà
privé du prochain déplacement
à Bordeaux (suspendu), serait
un nouveau coup dur pour
l’OM...

Quel attaquant contre Bordeaux ?
le 13/11/2012 à 07:00
Saison - Quel joueur Elie Baup va-t-il aligner en pointe ?


Depuis le début de saison, Élie Baup a choisi d’évoluer en 4-2-3-1. Un système "à trois numéros 10 derrière l’attaquant", comme il l’avait qualifié juste après avoir arrêté son choix (lire ici). Pour ce poste à la finition, trois profils se dégageaient : André-Pierre Gignac, l’attaquant revanchard prêt à tout casser, Loïc Rémy, celui qui a sauvé l’équipe à ce poste l’an dernier, et Jordan Ayew, pour qui c’est la saison ou jamais selon ses propres termes. Depuis le début de saison, Baup jongle pour satisfaire les envies de chacun, qui s’étend bien évidemment à toutes les rencontres que dispute l’OM. Pour le déplacement à Bordeaux, aucun des trois ne sera disponible, la faute aux blessures (Rémy, Gignac) et aux suspensions (J.Ayew). Comment faire ? Quatre nouveaux profils se dégagent. Passage en revue, par ordre alphabétique.

André Ayew. Dimanche à Bordeaux, le milieu de terrain ghanéen pourrait retrouver le poste avec lequel il a débuté sa carrière à l’OM, lors de la saison 2007-2008.

Il a déjà marqué plus de 30 buts dans sa carrière en matchs officiels avec l’OM, possède un bon jeu de tête et une frappe puissante.

S’il souhaite à terme être repositionné au milieu de terrain, c’est avant tout parce qu’il veut être au centre des débats. Pour André, le football se joue avant tout balle au pied. Difficile ainsi de lui demander, même pour dépanner, de faire un match où il sera avant tout question d’appels et de fausses pistes.



Billel Omrani. L’athlétique attaquant du centre, entré 4 fois en fin de match chez les pros depuis la saison dernière, pourrait enfin avoir sa chance.

Buteur dimanche avec la réserve contre Borgo, l’avant-centre d’1m87 pourrait être un point de fixation bien utile pour les trois éléments offensifs positionnés autour de lui. Son profil d’attaquant de surface, différent de ceux alignés par l’OM depuis le début de saison, pourrait déstabiliser la défense bordelaise.

Interrogé récemment sur la possibilité de voir le joueur intégrer l’équipe une, Baup n’y est pas allé par 4 chemins : il doit d’abord se montrer performant en CFA2 ou en NextGen. Depuis le début de saison, ça n’a pas forcément toujours été le cas. Même si au vu du contexte, le jeune attaquant n’a rien à perdre, ce n’est pas le cas de l’équipe si la marche est trop haute.



Florian Raspentino. La première recrue de l’intersaison pourrait jouer sur les qualités qui l’ont fait exploser à Nantes la saison dernière pour commencer réellement son histoire avec l’OM.

Rapide et adroit devant le but, Raspentino pourrait permettre à l’OM de garder son schéma et ses principes de jeu des précédentes semaines. Joueur de profondeur, il offrirait ainsi à Valbuena, André Ayew et Mogan Amalfitano l’occasion de jouer leur meilleur football.

S’il a pris part à dix matchs de l’OM cette saison, l’ailier n’en a démarré qu’une, contre Limassol. La possibilité de le voir se griller à un poste exposé est donc grande pour un élément qui, fort logiquement, n’arrive pas encore à se lâcher.



Mathieu Valbuena. Meilleur joueur de l’OM depuis le début de saison, « Petit Vélo » pourrait réinventer la fonction d’avant-centre, comme cela se fait notamment du côté de la Catalogne…

Avec Valbuena avant-centre, l’organisation change. Évidemment, fini les centres à foison dans la surface. Pour autant, avec sa qualité technique, il a de quoi compenser et mettre en place en jeu séduisant dans les petits périmètres avec Amalfitano ou André Ayew, qui savent eux aussi se servir d’un ballon de football. Il avait notamment occupé ce poste en finale de coupe de la Ligue contre Montpellier en 2011.

Valbuena avant-centre, ça veut aussi dire que Valbuena n’est plus en soutien de l’attaquant, entre les lignes, relais privilégié entre le milieu de terrain et l’attaque, là où il est étincelant depuis deux mois. Sans compter que dans une position trop avancé, il sera contraint de jouer dos au but. Pas évident lorsqu’on compare son gabarit aux beaux bébés que sont Henrique, Sané ou Planus



Et vous qu'en pensez-vous ?Qui verriez-vous en pointe à Bordeaux ?
Billel Omrani

37.8%
Florian Raspentino

27.0%
André Ayew

26.4%
Mathieu Valbuena

6.8%
Ne se prononce pas

2.0%

Les casse-têtedeBaup
Entre blessures et suspensions, l’entraîneur de l’OM cherche les bonnes formules pour le matchàBordeaux, demain

Les supporters ne se sont pas déplacés car la plupart considèrent que cette C3 est sans intérêt. Vu notre effectif et les chances qu'on a de la remporter, comment leur donner tort ? En fait, si j'étais Labrune, j'aurais clairement demandé à l'équipe de lacher cette coupe en bois qui ne nous aurait rapporté que des emmer.. et la certitude de finir dans la deuxième moitié du classement de L1 !!! Si Labrune est intelligent, c'est ce qu'il a du faire. Faut pas être naïf et savoir quels sont les VRAIS objectifs : la L1 et finir au minimum dans les 3 premiers pour retrouver la VRAI coupe d'Europe. Laissez Lyon et Bordeaux s'épuiser, c'est bon ca, très bon...

Enquêtederéalisme
LIGUE1 Aussi bien offensivement que défensivement
, l’OM pèche actuellement dans l’efficacité

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