SECURITE OLYMPIENNE

Quatre interpellés, un
policier blessé
Trois supporters de l'OM ont
été interpellés hier pour usage
d'engins pyrotechniques.
Un Niçois a connu pareil sort
après des échauffourées au
Parc Chanot avec les forces
de l'ordre. Un policier a été
blessé.

◗ ÉVIAN TG-OM: RÉUNION
DE SÉCURITÉ AUJOURD'HUI
Programmé dimanche (21 h),
le match entre Évian Thonon-
Gaillard et l’OM débute
aujourd’hui, en coulisses. En effet,
une réunion de police est prévue
ce jour à Annecy. Les forces de
l’ordre et les deux clubs seront
présents.
L’entité olympienne sera représentée
par son directeur de la sécurité,
Guy Cazadamont

Evian TG - OM : réunion de sécurité aujourd'hui
MARSEILLE / PUBLIÉ LE MERCREDI 10/09/2014 À 09H51
Programmé dimanche (21 h), le match entre Évian Thonon-Gaillard et l'OM débute aujourd'hui, en coulisses. En effet, une réunion de police est prévue ce jour à Annecy. Les forces de l'ordre et les deux clubs seront présents. L'entité olympienne sera représentée par son directeur de la sécurité, Guy Cazadamont.

[size=36]OM: Le club sanctionné par la LFP ?[/size]

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L'Olympique de Marseille risque des sanctions... Depuis l'entame de l'exercice en cours, les supporters Ciel et Blanc n'ont vraisemblablement pas respecté les consignes des autorités, notamment autour de l'utilisation d'engins pyrotechniques au stade Vélodrome. Et selon La Provence, la Commission de discipline de la LFP, qui se réunit ce jeudi soir, pourrait sévir. Face à Montpellier (0-2), des reproches avaient été adressés aux dirigeant olympiens par la Ligue, et de nouveaux agissement répréhensibles du public local auraient été constatés à l'occasion de la réception de l'OGC Nice (4-0) par la suite.

Incidents Bastia-OM : 6 mois avec sursis pour un supporter bastiais

Publié le Jeudi 25/09/2014 à 20H28

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Un supporter du Sporting Club de Bastia a été condamné ce jeudi à six mois de prison avec sursis et deux ans d'interdiction de stade pour sa participation aux incidents contre les forces de l'ordre lors du match à domicile contre l'OM le 9 août. Le jeune homme, également condamné à 3000 euros d'amende, était jugé en comparution immédiate après sa garde à vue au commissariat de Bastia. Aucune charge n'a en revanche été retenue contre un second supporteur qui était également en garde à vue.

Quarante-quatre policiers et gendarmes avaient été "blessés ou contusionnés" en marge du match, selon le ministère de l'Intérieur, quand une centaine de supporteurs, selon une source proche du dossier, avaient lancé des bombes agricoles, des barrières et des pierres sur les membres des forces de l'ordre près du stade Armand-Cesari de Furiani.

Le 26 août déjà, un supporteur bastiais a été condamné à six mois de prison ferme avec mandat de dépôt et trois ans d'interdiction de stade pour sa participation à ces incidents. Ce jeune homme alors jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Bastia était soupçonné d'avoir jeté une barrière métallique sur les CRS, devant le stade de Furiani.

Il avait déjà été condamné pour des faits de violence, mais sa peine était purgée et il n'était plus sous le coup d'un sursis. Une peine de 10 mois ferme avait été requise. Quatre autre supporteurs âgés de 20 à 39 ans avaient été condamnés le 19 août à des peines de six à huit mois de prison avec sursis pour coups et blessures, assorties d'interdiction de stade d'un an.

LORS D’OM-SAINT-ÉTIENNE, LE 28 SEPTEMBRE DERNIER
Comment quatre supporters ont "échappé à lamort"...Des incidents avaient éclaté
chez les Stéphanois après le
match.La justice est faite d’hommes et de femmes qui sont
toujours obligés d’adapter la peine qu’ils infligent à
ceux à qui elle est censée être infligée. C’est ce qu’on
appelle en France l’individualisation de la sanction, même
quand elle touche les stades de foot. Et c’est plutôt
ce qui fait la grandeur de nos juges. Petit retour en arrière.
Le 28 septembre dernier, quand l’OM reçoit l’ASSE,
il repart avec la besace presque pleine (2-1). Et trois petits
points de plus au compteur de la Ligue 1. Mais entre
les supporters stéphanois et les forces de l'ordre,
dans le parking souterrain du stade Vélodrome réservé
aux visiteurs, le ton monte, les esprits s’échauffent.
Pour mieux surveiller les supporters, les CRS, un rien
rigoristes, veulent leur faire former une ligne, à la manière
d’un troupeau de bétail, ce que le Stéphanois ordinaire
n’apprécie guère... On peut le comprendre. Car le
Stéphanois est rebelle. Moins que le Marseillais, mais
rebelle quand même. Des incidents éclatent. Quatre
supporters de l’ASSE sont interpellés et placés en garde
à vue. Jugés en comparution immédiate il y a quelques
jours, ils vont néanmoins éviter le pire. Le parquet de
Marseille requiert à leur encontre le placement en détention.
Mais leur avocat, Me Brice Grazzini, dispose
d’un joker de premier ordre. Il va expliquer, devant la
présidente du tribunal, que ses clients sont tous tatoués
jusqu’aux oreilles et du genre de slogans que l’on
goûte peu dans les travées marseillaises : "Allez les
verts !" "Vive Saint-Etienne !" Me Grazzini fait opportunément
remarquer que les envoyer en prison aux Baumettes,
c’est en quelque sorte, compte tenu des expressions
épidermiques qu’ils offrent à la vue, quasiment
de l’incitation au crime, voire la peine de mort garantie
sur le sol marseillais en détention. Ducoup, la présidente
Sophie-Marie Boyer a entendu le cantique de la défense
et remis en liberté les quatre zèbres stéphanois,
qui restent quand même sous contrôle judiciaire avec
interdiction de pénétrer dans une enceinte sportive et
obligation d’aller pointer au commissariat central de
Saint-Étienne -où l’on est beaucoup moins pro-OM
qu’aux Baumettes- à raison d’une fois par semaine. Suite
de l’opération tatouage, le 4 novembre, lors du procès
sur le fond.

PSG-OM: LA
SÉCURITÉ AU MENU
Trois jours avant sa tenue,
le choc entre le PSG et l’OM
se trouvera au coeur des discussions.
Jeudi 6 novembre
a lieu la traditionnelle réunion
de sécurité où les modalités
de déplacement des
supporters sont notamment
définies. Reste à savoir
combien de places seront
attribuées aux fidèles
olympiens. Par ailleurs, le
même jour, une autre réunion
sur le même thème est
programmée. Elle concerne...
Lens-OM, au Stade de
France, le week-end du
21 mars 2015. À chaque
fois, le club sera représenté
par Guy Cazadamont,
s o n d i r e c t e u r d e
l’organisation et de la sécurité

OM-Lens : le virage Sud sous surveillance
OM en direct - Région en direct
Dimanche 02/11/2014 à 16H03 Marseille





Le virage Sud du stade Vélodrome va être surveillé ce soir lors de la rencontre de la 12e journée de Ligue 1 entre l'OM et le RC Lens. Comme le rapporte le site officiel du club, le 23 octobre dernier la commission de discipline avait prononcé la fermeture avec sursis pour un match de cette partie du stade. Un dernier avertissement avant une condamnation pure et simple.

COURAGE GUY!
Déjà absentàRennes la semaine
dernière, Guy Cazadamont
n’était pas au stade
Vélodrome dimanche
soir. Et pour cause: il doit
subir une importante opération,
un pontage coronarien,
dans les jours à venir.
On va donc lui souhaiter
de remporter ce match
haut la main, en espérant
retrouver au plus vite le directeur
de la sécurité de
l’OM à son poste, avec son
enthousiasme et sa compétence
reconnus.

%Près de 1000 policiers
mobilisés. Quelque 700 CRS et
gendarmes mobiles, ainsi que
300 représentants des forces
de l'ordre, étaient mobilisés,
hier, aux abords du stade, pour
assurer la sécurité autour du
clasico. Un contingent impressionnant
auquel il convient
d'ajouter les personnels de sécurité
privée (866 personnes),
parmi lesquels les stadiers et
les agents chargés de la palpation.
Une mobilisation qui a un
coût pour le club qui reçoit, à
savoir le PSG : 250 000 euros

[size=36]OM: Trois bus de supporteurs caillassés ?[/size]

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Si a priori aucun accrochage majeur n'a été déploré avant ou même durant le Classico PSG-Marseille (2-0), dimanche soir au Parc des Princes, en clôture de la treizième journée du championnat de France, "trois bus transportant des supporteurs olympiens ont été caillassés" après le match, à en croire le site web de l'OM, ce lundi. D'après le club présidé par Vincent Labrune, "le premier incident est intervenu à proximité du stade, au moment où les supporteurs quittaient leur parking". "Le deuxième, lit-on, est intervenu un peu plus tard. Quelques minutes après avoir été laissés par les escortes de police, les bus ont été pris pour cibles sur l'autoroute les ramenant vers Marseille. Plusieurs vitres de deux bus ont volé en éclats. Les chauffeurs ont été contraints de continuer, avant de s'arrêter pour tenter de colmater les brèches." Aucune personne n'aurait toutefois été touchée. Pour information, 439 fans de l'actuel leader de Ligue 1, grand rival du Paris Saint-Germain, avaient fait le déplacement dans la capitale, soit six cars et cinq minibus, selon les Phocéens. Et ce pour assister à une rencontre qui "reste à risque", d'après la police.

Attention particulière
autour de Nice Pour les forces de l’ordre, le déplacement
des supporters marseillais en
Principauté, aussi nombreux
soient-ils, n’est pas source
d’inquiétudes majeures. Aucun dispositif
particulier n’est d’ailleurs
mis en place, si ce n’est un point de
rendez-vous fixé en amont sur une
aire d’autoroute pour les cars, histoire
d’arriver en convoi au stade
Louis-II. Les voitures privées, elles,
sont libres de circuler à leur guise.
Toutefois, le voyage sera surveillé
de près par les autorités, en particulier
la partie d’autoroute qui
contourne l’Allianz Riviera de Nice,
situé au niveau du péage de
Saint-Isidore, passage (quasi) obligatoire
pour basculer vers Monaco.
La r a i s o n ? L’OGCN r e ç o i t
l’AS Saint-Étienne à 14heures. Deux
clubs dont les supporters ont des antagonismes
non seulement entre
eux, mais aussi envers les fans de
l’OM.
Lundi dernier, la commission des
compétitions de la LFP a d’ailleurs
décidé de n’octroyer aucune place
aux Foréziens, le match de la saison
dernière ayant viré au pugilat. Un arrêté
préfectoral a aussi été pris, interdisant
l’accès au stade à tout supporter
des Verts. De quoi canaliser
l e s tensions, d’autant que
l’essentiel du convoi marseillais sera
sous escorte policière à ce moment-
là. Mais pas suffisant pour dissiper
toutes les inquiétudes...

◗ LE RETOUR DE GUYCAZADAMONT
C’était hier la première fois que Guy Cazadamont remettait
les pieds au stade Vélodrome depuis sa lourde
opération du coeur (double pontage), il y a six semaines.
Amaigri mais heureux, il soulignait qu’il avait évité
de trop s’enflammer quand l’OMamarqué. "J’avais
peur que tout pète...", a-t-il précisé en riant. Le directeur
de la sécurité de l’OM, qui poursuit sa rééducation,
ne reprendra pas son poste avant février-mars

SÉCURITÉ
Incidents en
marge du match Ils n’auront pas attendu bien longtemps
pour connaître leur premier bain lacrymogène
de l’année 2015. Hier, sur le coup de 19 h,
des incidents ont ainsi éclaté entre supporters
- indépendants - du Grenoble Foot38 et
de l’OM aux abords du stade des Alpes, théâtre
du 32e de finale de coupe de France.
L’échauffourée a débuté dans les rues adjacentes
de l’enceinte iséroise entre fans des
deux camps pour se terminer devant les
grilles d’entrée du stade. Le tout devant des
badauds médusés par tant de violence.
Après plusieurs minutes d’affrontement,
où les objets en tout genre -projectiles, canettes,
fumigènes, pétards- ont volé dans les
airs, les représentants des forces de l’ordre
sont intervenus, usant de gaz lacrymogène
pour disperser la foule. La tension était palpable
et les deux camps ont continué de
s’invectiver par tribunes interposées avant
de redescendre en pression. Plusieurs versions
se contredisaient hier sur l’origine du
conflit. Un bilan, non définitif, faisait état de
deux blessés du côté grenoblois.

De nombreux projectiles ont volé
avant l’intervention des forces de
l’ordre aux abords du stade.

◗ 600 SUPPORTERS
ÀL’ALLIANZ RIVIERA
Une jauge de 600 places a
été accordée aux supporters
olympiens en vue du
déplacement de l’OM sur la
pelouse de l’OGC Nice, vendredi
prochain (20h30), à
l’Allianz Riviera.
Le déplacement des fidèles
sera encadré et ne pourra
se faire qu’en bus. La décision
a été prise vendredi
lors de la réunion préalable
sur la sécurité.

VIGILANCE ACCRUE
Après les attentats terroristes
qui ont frappé la France,
le plan Vigipirate est activé
à son plus haut niveau.
Ce soir, dans les travées du
Vélodrome, la sécurité sera
encore en question. Pour
l’heure, il n’y a pas de crainte
particulière, mais la vigilance
des forces de l’ordre
sera accrue aux abords et à
l’intérieur de l’enceinte marseillaise.
Il n’y a pas de mesures
précises ni de renforts
militaires, mais tout le monde
est sensibilisé.
Il y aura tout de même davantage
de stadiers dans les
tribunes et les palpations à
l’entrée devraient être renforcées.
Il se pourrait également
que les coffres des véhicules
des VIP, garés sous
le stade, soient ouverts par
mesure de sécurité. Par
ailleurs, si le club a sensibilisé
les groupes de supporters
au sujet du déploiement de
banderoles, les autorités seront
réactives pour prévenir
tout débordement.

%Vigilance autour du stade.
Plan Vigipirate au plus haut
niveau oblige, la vigilance
était accrue hier aux abords
et à l'intérieur du stade Vélodrome.
Les véhicules garés
dans l'enceinte du boulevard
Michelet ont été soumis à un
contrôle des coffres avant de
pénétrer sur les parking et
quelques fouilles (au compte-
gouttes) ont été réalisées
au passage des spectateurs
aux portiques d'entrée. Par
ailleurs, le club olympien
avait réquisitionné davantage
de stadiers qu'à l'accoutumée.

%Deux interpellations
pendant OM-PSG
Deux supporters de l’OM
ont été interpellés pendant
la rencontre dimanche pour
utilisation d’engins pyrotechniques.
Pour rappel
quatre autres personnes
ont subi le même sort avant
le coup d’envoi : trois lors
des débordements face aux
forces de l’ordre sur le boulevard
Rabatau, et une pour
avoir jeté des projectiles
sur le car du PSG.