SECURITE OLYMPIENNE

5000

L’OM, représenté par Alexandre
Mialhe, responsable juridique, et
Guy Cazadamont, directeur de la sécurité,
est passé jeudi devant la
commission de discipline pour les
pétards et fumigènes utilisés par
certains supporters olympiens lors
du déplacement àRennes, le 29 janvier,
à l’occasion de la 21e journée
de Ligue 1. Le club a écopé d’une
amende de 5000euros avec sursis.
Pascal Garibian a demandé au club
de se montrer très vigilant sur
l’utilisation des pétards au risque
de sanctions plus lourdes. ll doit
être rassuré, les supporters olympiens
ont été exemplaires à Brest

OM - INTER: TROIS CONDAMNATIONS
Trois supporters de l’OM ont écopé de
condamnations après OM - Inter.
Pour détention et usage d’engin
pyrotechnique, un a été condamné à
un mois d’emprisonnement avec sursis
et un autre à unmois de prison avec
sursis et 500¤ d’amende.
Le troisième a été condamné à deux
mois de prison avec sursis pour avoir
jeter des projectiles sur un bus de
supporters de l’Inter.

stella013


14/03/2012 à 08h29

Magnifique ce qu'ils ont fait !

Dommage que les bus des supporters aient été attaqués par des malades mentaux du coté de Nice tout à l'heure cela aurait pu être très grave.

Trois supporters interpellés
Sur la Place de la République, les chants des supporters
olympiens ont ensoleillé la mi-journée et le début
d’après-midi milanais. Quelques face-à-face avec des
tifosi se sont déroulés dans la bonne humeur, sans velléité,
mais sous l’oeil vigilant des policiers italiens. Au
stade, les fans marseillais ont été les premiers en action,
parfois par provocation, souvent en affirmant
leur savoir-faire. Regrettons quelques fumigènes qui
pourraient coûter cher au club. Malgré le bon comportement
d’ensemble des supporters, trois d’entre eux
ont néanmoins été interpellés en ville dans le courant
de l’après-midi d’hier. Ils étaient en possession de fumigènes
et de pétards. Malgré les recommandations
et les messages lancés par le club en amont, quelques
étourdis continuent de n’en faire qu’à leur tête

LE RETOUR DES SUPPORTERS
Guet-apens aupetitmatinàNice

L’inquiétude était réelle : elle s’est malheureusement
avérée fondée. Sur le chemin du retour, trois
bus de supporters olympiens appartenant aux MTP,
aux Dodger’s et aux South Winners sont tombés
dans un guet-apens sur l’autoroute.
Les faits se sont déroulés non loin de la sortie
l’Ariane, entre la Turbie et Nice. Alors que les bus
avaient passé la frontière depuis quelques minutes,
ils ont été pris pour cible par des personnes non
identifiées. Des jets nourris de cailloux, mais aussi
des boules de pétanque, provoquant des dégâts
considérables (plusieurs vitres brisées, un pare-brise
détruit). Heureusement, aucun blessé n’est à déplorer.
Les chauffeurs sont rentrés dans des conditions
difficiles sur Marseille, après s’être arrêtés au
péage d’Antibes où les responsables des associations
ont alerté les autorités.
La gendarmerie assure que les tirs étaient "nourris",
ce qui laisse à penser que les individus à
l’origine des faits étaient nombreux et l’acte prémédité.
"Les identifications sont en cours et l’enquête
devrait aboutir rapidement",a déclaré un représentant
des forces de l’ordre à La Provence. Incidemment,
ce nouveau trouble pose la question du climat
qui entourera le match retour entre l’OGC Nice
et l’OM, le samedi 24mars à 19h. Les dirigeants de
l’OGC Nice ont exprimé hier qu’en l’état actuel, il
n’était pas possible d’affirmer que ces actes de malveillance
étaient imputables aux supporters niçois.
Une façon maladroite de ménager les relations
avec leur environnement, mais qui ne masque pas
un problème de fond.
Dès lors, peut-on craindre que les tensions
constatées lors de la demi-finale de la coupe de la
LigueàMarseille entre les deux camps soient de nature
à poser l’interdiction du déplacement des supporters
marseillais sur la Côte d’Azur, la semaine
prochaine? "La réponse appartient à la Préfecture
de Nice, exprime un haut responsable. Mais il n’y a
aucune raison d’en arriver à cette extrémité. En
l’état, ce sont les supporters de Nice qui posent problème,
pas ceux de l’OM." On saura s’en souvenir

PSG -OM
Les places des supporters
olympiens vendues

PSG- OM, le dimanche 8 avril à 21h sera disputé à guichets fermés.
La demande étant très forte, toutes les places pour cette affiche
particulière de la saison ont été rapidement commercialisées.
À cela deux explications : la première place de l’équipe de Carlo
Ancelottien Ligue1 ; apporter un soutien indéfectible pour effacer
la correction reçue au match aller (3-0).
Le PSG a-t-il profité de l’interdiction de déplacement faite aux
supporters olympiens pour commercialiser la partie de la tribune
qui leur est habituellement réservée? Cette possibilité est interdite
par arrêté préfectoral, dans le respect de la réciprocité: "La zone
restera vide, affirme le PSG, contacté hier par "La Provence".
Aucun billet n’a été vendu." Selon nos informations, le PSG a
quandmême essayé.

❚ 3 000 places pour les supporters à l’Allianz
Arena
Les deux dirigeants olympiens ont tenté de régler
les détails de la logistique et de la sécurité.
Ainsi, ils attendent une dérogation leur autorisant
de décoller de Munich, après la rencontre.
Pas gagné.
Pour les supporters, il est aussi paradoxal de
savoir que pendant qu’ils négociaient un volant
de 3000 places, les associations décrétaient une
grève des encouragements, du moins pour le
match aller ! Pour l’heure, l’OM n’a déclaré aucun
déplacement en avion pour ses supporters, seulement
des bus ou des minibus.
Si les règles de sécurité semblent plus souples
qu’en Italie, certains points méritent d’être abordés.
Les supporters olympiens seront positionnés
au dernier étage de l’Allianz Arena. Ils seront encadrés
par 30 stadiers, mais aussi par les policiers
locaux, lesquels auront ordre de procéder à
des interpellations, dans la zone même, en fonction
des infractions ou des gestes commis. Toute
personne interpellée restera en Allemagne et ne
sera pas autorisée à rejoindre la France, avant
d’être jugée.
Enfin, soyez prévoyants! Il sera interdit de boire
et de manger dans la tribune: de larges espaces
sont prévus à cet effet dans le stade et dans
les couloirsmenant à la tribune

Ils demandent
aussi aux supporters et spectateurs
n’étant pas en possession d’un titre
d’accès de ne pas se présenter au stade
et d’éviter la tentation du marché noir.
Enfin, pour rappel, il est conseillé par les
forces de l’ordre de ne pas se déplacer à
Nice ce samedi avec un véhicule immatriculé
13.

LA SÉCURITÉ
L’OMrend550places

Sur les 800places avec lesquelles Guy Cazadamont était revenu à
Marseille, mardi, après la réunion en Préfecture des Alpes-Maritimes,
l’OM rendra aujourd’hui 550 places à l’OGC Nice. Seuls 250supporters
ont consenti à effectuer un court déplacement pour un
match placé sous haute surveillance en raison des événements survenus
lors de la demi-finale de la coupe de la Ligue, mais aussi de
l’accueil réservé par des supporters niçois aux Marseillais sur le chemin
du retour de Milan.
Rappelons que la Préfecture recommande fortement d’éviter tout
déplacement avec un véhicule immatriculé 13. Les supporters olympiens
seront récupérés par un fort cordon policier sur l’autoroute et
acheminé en convoi vers le stade du Ray. L’avenue du Ray sera interdite
à toute circulation, y compris pédestre, à partir de 14 heures. Le
boulevard Comte de Falicon sera sécurisé momentanément lors du
passage du convoi des supporters olympiens. Vive le foot !

LA SÉCURITÉ
"Attention,
jets depierres

Un quartier fermé, des riverains contraints de
justifier leur identité et leur lieu de résidence
pour accéder à leur domicile, des barrières anti-
émeutes installées, des personnes obligées
d’accomplir un détour de trois kilomètres pour
accéder chez elles, un hélicoptère survolant le
convoi des supporters olympiens, une unité de
pompiers installée pour parer d’éventuels incendies,
des joueurs olympiens arrivant sous un
concert d’insultes: voilà le décor planté pour un
match de football classé à hauts risques.
On marche sur la tête. Et dire que la LFP veut
développer au coeur de cette discipline un esprit
de fête. Le travail est encore long, quand on sait
que le dispositif autour du président Vincent Labrune
a été renforcé pour lui assurer un peu de
tranquillité! La préfecture des Alpes-Maritimes
n’a pas lésiné sur les moyens. À quelques jours
du premier tour de l’élection présidentielle, les
moyens ont été considérables, sous la surveillance
du commissaire Antoine Boutonnet, le patron
de la cellule anti-hooliganisme en France. Dans
ce contexte, on parvient pourtant à sourire.
Quand les bus et les mini-bus olympiens arrivent,
dont certains immatriculés en 13, le premier
accrochage a lieu entre un supporter grimpant
sur la fenêtre et... un joueur de boules !
Une présentation rapide, des "Viens me retrouver
sur l’autoroute" d’un côté, "Assieds-toi dessus"
de l’autre pour accompagner un déroulé de
doigt, et un joueur de boules rappelé à l’ordre
par ses équipiers pas loin d’une Fanny sur le jeu
situé juste derrière. L’imposant dispositif prévient
tout dérapage. Plus tôt, sur le chemin, des
policiers ont interpellé un supporter niçois portant
une veste de la Brigade Sud. Ils n’ont pu attraper
son alter ego sur un scooter transportant
un sac à dos noir copieusement garni. Le long du
cortège, des mots de bienvenue: "Droit Obut",
pour rappeler le jet de boules lors du retour de
Milan, ou encore "Attention, jets de pierres". Un
bus arrive quandmême à se tromper d’itinéraire
et à sortir à L’Ariane, un quartier sensible de Nice.
Il est rattrapé par la gendarmerie
Les forces de l’ordre étaient très
présentes, hier à Nice

Grogne sur
une facture
de 75000euros !

Une tension palpable pointe depuis
quelques jours au sein de
l’état-major olympien, sur une
conséquence du 8e de finale retour
de la Ligue des champions.
Pour le match à San Siro, la facture
en billetterie des 5000 supporters
olympiens a intégralement
été prise en charge par le club !
Les dirigeants n’ont pas vendu
les places aux groupes pour que
ceux-ci les commercialisent comme
cela se fait traditionnellement,
mais ils les leur ont offertes!
Ont-elles été revendues ?
"Non, explique un responsable
de groupe. Nous les avons intégrées
au prix du transport (entre
80 et 100¤ selon les groupes)."
"Oui, clame un supporter. J’en ai
acheté quatre à 30¤ l’unité et je
suis monté en voiture."
"Ce que font les groupes n’est
pas notre problème", explique
un dirigeant. Si le club estime
avoir effectué un geste pour favoriser
un soutien massif à
l’équipe, l’addition grimpe à
75000euros. Les divergences en
haut lieu sont d’autant plus symptomatiques
qu’en guise de remerciements,
certains supporters,
non canalisés par les responsables
des groupes, ont allumé des
fumigènes. Conséquence: une
nouvelle amende dont le montant
sera connu le jeudi après
examen de l’instance disciplinaire
de l’UEFA.
Au bout du compte, le club sortira
une fois de plus le chéquier.
Cela semble lui plaire...

25/03/2012 - 17:22
OM-Deschamps: "Quand je vois tout ça... j'hallucine"
Didier Deschamps, l'entraîneur de l'Olympique de Marseille, a clamé son indignation vis à vis des dérives sécuritaires autour du football, après avoir constaté l'impressionnant dispositif mis en place par les forces de l'ordre, en marge de l'affrontement entre Nice et Marseille, samedi soir. "Les supporters ? C'était mieux qu'ils ne viennent pas trop ce soir. Sincèrement, quand je vois le déploiement de forces de l'ordre entre notre hôtel et le stade, j'hallucine", a-t-il déclaré dans les colonnes de Nice-Matin. "Pour un match de football, c'est... Tant mieux, il ne s'est rien passé et j'espère qu'il ne se passera rien. Mais quand on voit l'armada sur chaque pont et tout, pffff... C'est un match de football... Il vaut mieux prendre des précautions mais ça fait drôle quand même."

LA DISCIPLINE
15000euros
d’amende

L’UEFA a tranché. La commission de discipline
de l’instance européenne a jugé le comportement
d’une minorité (finalement, ça existe)
de supporters olympiens au stade Giuseppe-
Meazza. On s’en souvient, lors du huitième
de finale retour de la Ligue des champions,
certainement plongés dans l’obscurité des
hauteurs de San Siro, quelques éclaireurs
avaient trouvé comme lumineuse idée
d’allumer des fumigènes. Trois au total.
Aussitôt la rencontre terminée, le délégué
de la rencontre avait convoqué Guy Cazadamont
pour obtenir des explications. Le travail
des stadiers de l’OM et leur intervention ont
finalement été jugés recevables par la commission
de l’UEFA, qui a infligé une amende de
15000euros à l’OM. Soit 5000¤ le fumigène.
Dès demain, on ouvre une entreprise !
L’UEFA a rappelé qu’au prochain écart en la
matière, l’amende serait convertie en suspension
automatique du stade Vélodrome pour le
ou les prochains matches de coupe d’Europe.
De son côté, l’Inter a écopé de 45000euros
d’amende. Les "fumi" plus les pétards, ça rapporte
aussi...

15 000 euros d'amende pour punir les fumigènes d'Inter-OM Publié le samedi 31 mars 2012 à 11H29


L'UEFA a tranché. La commission de discipline de l'instance européenne a jugé le comportement d'une minorité (finalement, ça existe) de supporters olympiens au stade Giuseppe-Meazza. On s'en souvient, lors du huitième de finale retour de la Ligue des champions, certainement plongés dans l'obscurité des hauteurs de San Siro, quelques éclaireurs avaient trouvé comme lumineuse idée d'allumer des fumigènes. Trois au total.

Aussitôt la rencontre terminée, le délégué de la rencontre avait convoqué Guy Cazadamont pour obtenir des explications. Le travail des stadiers de l'OM et leur intervention ont finalement été jugés recevables par la commission de l'UEFA, qui a infligé une amende de 15 000 euros à l'OM. Soit 5 000€ le fumigène. Dès demain, on ouvre une entreprise ! L'UEFA a rappelé qu'au prochain écart en la matière, l'amende serait convertie en suspension automatique du stade Vélodrome pour le ou les prochains matches de coupe d'Europe. De son côté, l'Inter a écopé de 45 000 euros d'amende. Les "fumi" plus les pétards, ça rapporte aussi...

LES PRÉPARATIFS
Paris voit double L’OM s’apprête à passer deux fins de
semaine à Paris et dans sa banlieue.
Afin de préparer ces deux déplacements
au mieux, deux réunions auxquelles
participera Guy Cazadamont
sont prévues demain la capitale.
La première à 10h à Bobigny, en Préfecture
de Saint-Denis, détaillera le
déplacement des supporters olympiens
et de l’équipe pour la finale de
la coupe de la Ligue, le samedi
14 avril.
La seconde aura lieu à 15h30 au Parc
des Princes pour déterminer
l’encadrement de l’équipe marseillaise,
ce dimanche. Quand l’OM se déplace,
Paris voit double !

LA SÉCURITÉ
Les confusions
d’unarrêté

Pour la deuxième saison consécutive, les
supporters de l’OM sont interdits de déplacement
à Paris. L’arrêté du 15mars 2012, signé
de Claude Guéant, ministre de l’Intérieur, soulève
une incompréhension.
Les supporters olympiens, sans pour cela
amener à une généralisation, ont récemment
été les auteurs d’actes répréhensibles avec
des jets de pierre sur des bus stéphanois, niçois
ou bordelais. C’est acté. Ils ont été punis
par la loi. Mais ils en sont aussi victimes. Un
alinéa de l’arrêté interpelle: "Considérant en
particulier les violents incidents du 28 février
2010 entre supporters du Paris Saint-Germain,
en marge du match entre le PSG et
l’OM (...) à l’occasion desquels un supporter a
été mortellement blessé..." !
En quoi les supporters marseillais doivent-
ils être tenus responsables des violences
entre franges de fans parisiens? Car c’est de
cela qu’il s’est agi à cette date-là, au plus fort
des tensions entre les tribunes Boulogne et
Auteuil. Le ministère considère encore que les
supporters olympiens "sont coutumiers
d’utilisation de pétards, fumigènes, de déploiement
de banderoles revendicatives...".
Comme de très nombreux supporters d’autres
clubs. L’arrêté regrette aussi l’interpellation
de supporters en infraction avec la législation
sur les stupéfiants à Auxerre. Comme dans les
soirées privées à Paris, en somme! Leministère
estime enfin que la mobilisation des forces
de l’ordre n’est pas suffisante pour assurer la
sécurité des personnes. Elle l’a été pourtant à
Nice! Avec une réelle efficacité quand le travail
préparatoire est consciencieux.
Bref, dans la capitale de la France, on n’est
pas capable d’assurer ce qui l’est en Province !
Surtout à une semaine des élections...
Au lieu d’appliquer des motifs généraux à
une seule communauté, ne serait-il pas plus
judicieux de chasser les brebis galeuses et de
lancer un véritable débat sur l’accueil des supporters
dans les stades ?

Vive tension au Vélodrome
Le 11/04/2012 | Mis à jour le 11/04/2012 22:23:01


Didier Deschamps doit gérer un groupe de plus en plus tendu. Les Marseillais ont quitté le Vélodrome sous les invectives de certains supporters ce mercredi soir après la défaite contre Montpellier (1-3). La finale de Coupe de la ligue revêt désormais une importance capitale pour le club.

La tension était palpable ce mercredi soir sur le parvis du stade Vélodrome après la nouvelle défaite de l'OM, face à Montpellier (1-3). Une poignée de supporters qui s'étaient agglutinés aux grillages ont insulté les joueurs qui sortaient un à un la tête basse. Et il leur fut difficile de résister à l'envie de répondre à la provocation. Morgan Amalfitano le premier a pris sur lui pour ne pas réagir aux invectives. Ce fut moins facile pour André Pierre Gignac, pourtant entouré de son agent et de sa famille. Mais il est tout de même allé affronter les quelques excités qui l'insultaient. Cela clôturait une soirée pour le moins difficile pour l'ex-Toulousain.


Sorti après une heure de jeu, il a semblé refuser de serrer la main de Didier Deschamps, tout en lui disant sa façon de penser. Mais rien de grave, selon Gignac lui-même, plutôt déçu de quitter le terrain. Deschamps confirme. «Il m'a dit : ''je devais jouer une heure. Je fais une heure et pas plus.'' Mais il ne faut pas y attacher trop d'importance, explique l'entraîneur marseillais. La situation est difficile pour tout le monde. Il est rare qu'un joueur soit content quand il sort.» Fin de l'histoire donc, tout en sachant que les petites tensions se multiplient ici ou là dans le vestiaire. Peu nombreux d'ailleurs sont les joueurs à avoir voulus réagir à cette énième défaite. André Ayew capuche sur la tête, Kaboré ou Amalfitano ont choisi la voie détournée pour ne pas avoir à répondre aux questions. Morel a quitté rapidement le stade sans rien dire comme Mbia ou Brandao.


«Des semaines houleuses»
D'autres ont quand même fait le boulot, cherchant une nouvelle fois à expliquer la défaite. «On subit trop de situations dangereuses en début de match, admet Alou Diarra. Ce qui nous oblige à redoubler d'efforts alors qu'on joue contre des équipes plus fraîches que nous physiquement. Il faut arrêter de se pénaliser avec de mauvaises entames de matchs.» Fanni réfute pourtant le qualificatif de malade quand on évoque l'OM. «Ces dernières semaines ont été assez houleuses. Cela signifie qu'il reste l'envie de sortir de cette spirale. Je ne suis pas abattu. On fait des efforts pour que ça tourne.» Ce prochain match contre Lyon peut sauver le reste de la saison. «En partie tout au moins car ça ne réparera pas tout», poursuit Fanni. Cela éviterait au moins au club d'imploser totalement...

5672.1 MATCH US QUEVILLY / OLYMPIQUE DE MARSEILLE DU 21/03/2012 – UTILISATION D’ARTICLES PYROTECHNIQUES PAR LES SUPPORTERS DES DEUX CLUBS
La Commission,
Après étude des pièces versées au dossier,
Jugeant en première instance,
Demande aux clubs de l’US Quevilly et de l’Olympique de Marseille de bien vouloir lui présenter leurs explications écrites relatives aux faits mentionnés en objet (rapports joints) le mercredi 11 Avril 2012 au plus tard

Sp13


23/04/2012 à 19h33

Et ils ont qu'à la fermer définitivement au public de toute façon !!!

ce qu'ils ont fait c'est une honte à la commanderie...ta plus de chance de les voir de prêt en allant au stade que en allant à la commanderie !!!! moi je m'en fou ça me fait ni chaud ni froid de voir des petits enfant gaté millionnaire de près faire joujou avec un ballon.....

mais dans les années 1997 98 je me souviens j'allais tout le temps à la commanderie et ont rentré comme on voulait ( sauf les jours de huis clos avant les gros match ) on ce garé sur le parking au milieu des joueurs, il n'y avait aucune barière aucune restriction, même pas de mec de la sécurité... tu pouvais te mettre au bord de la pelouse pendant que les joueurs fesait leur footing sans que personne vienne te casser les bonbons !!!!

Aujourd'hui ça a complétement changé, tu peux même plus les approchers, ils pètent plus haut que leur cul... tous autant qu'ils sont... Joueurs, Dirigeant, alors qu'ils sont pas bon et qu'ils servent à rien

LA CONVOCATION
L’OMàParis le 31 mai
Le club olympien est convoqué à Paris
le 31 mai devant la Commission
de discipline de la LFP, dirigée par
Pascal Garibian, pour usage
d’engins pyrotechniques et de pétards
lors de la finale de la coupe de
la Ligue, remportée contre Lyon
(1-0). Déjà dans le collimateur de
l’instance nationale, l’OM risque
gros. Il sera représenté sur place
par Guy Cazadamont, responsable
de la sécurité du club, et Alexandre
Mialhe, responsable juridique. Ladite
commission pourrait sanctionner
financièrement l’OM. Ou prononcer
un nouveau huis clos. Dans les deux
cas, ça ne sent pas bon...

COMMISSION DE DISCIPLINE
Rendez-vous le 31 mai
Si les joueurs sont en vacances depuis
dimanche soir, les dirigeants de
l’OM demeurent à pied d’oeuvre, et
pas seulement pour le mercato, dont
les trois coups seront donnés le mercredi
13 juin. La semaine prochaine,
mardi et mercredi, Guy Cazadamont
montera à Paris pour un séminaire
des directeurs de l’organisation et
de la sécurité des clubs de Ligue 1 et
de Ligue 2. Le nouveau garde des
Sceaux, Christiane Taubira, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls,
celui des sports, Valérie Fourneyron, assisteront aux débats, tout
comme la LFP et les représentants des forces de l’ordre de Paris. Et
le lendemain, le jeudi 31 mai, Cazadamont représentera l’OM devant
la commission de discipline de la Ligue. En cause, l’utilisation
d’engins pyrotechniques par les supporters olympiens lors de la finale
de la coupe de la Ligue, contre Lyon

◗ L’OM CONVOQUÉ
L e c l u b e s t c o n v o q u é
aujourd’hui par la commission
de discipline de la LFP, en raison
de l’utilisation d’engins pyrotechniques
lors de la finale de la coupe
de la Ligue, Lyon - OM

SÉCURITÉ
L’OMfélicitépar l’UEFA
Guy Cazadamont


Les directeurs d’organisation et
de sécurité des clubs de L1 et de L2
ont suivi un séminaire de deux
jours, mardi et mercredi, à Paris.
Étaient également présents les représentants
du ministère de
l’Intérieur et ceux de la LFP, notamment
le président de la Commission
sportive et le président de
la Commission de discipline, ainsi
qu’Antoine Boutonnet, à la tête de
la Division nationale de lutte
contre le hooliganisme; mais aussi
la direction de la sûreté et de la
sécurité d’Eurodisney, eu égard à sa compétence
en terme de gestion de flux humains.
L’OM, représenté par Guy Cazadamont, a pu
prendre connaissance des nouvellesmesures préconisées
par les services de l’État. Les forces de
l’ordre seront en effet intransigeantes avec les
agents de sécurité -ou stadiers- pour le prochain
exercice, et des contrôles inopinés sont prévus
pour vérifier la détention du CQP (contrôle de
qualification professionnelle), obligatoire pour
exercer dans un stade. C’est ainsi, dans l’optique
de l’Euro 2016, l’État demande plus de sévérité.
L’usage d’engins pyrotechniques
sera aussi davantage réprimé.
Et les sanctions prononcées seront
plus sévères, les interdictions
de stade -910 la saison dernière
pour la L1- passant par exemple
d’un délai de 3 à 6 mois, à une peine
de 1 à 2 ans. L’exemple de l’AJ
Auxerre, lors de la dernière journée,
a aussi été pointé du doigt, de
lourdes sanctions et une enquête
étant en cours.
Félicitépar l’UEFA pour son bon
comportement, l’OM a été mis à
l’honneur. Jean-PierreHugues, directeur général
de la LFP, a lui aussi souligné les efforts marseillais.
Le club olympien ne figure d’ailleurs pas
dans les six entités conviées place Beauvau pour
se faire tirer les oreilles : Montpellier, Lyon, Nice,
Saint-Étienne, Bordeaux et le PSG.
"C’est un gros travail d’équipe entre mon service
et l’équipe dirigeante, se réjouit Cazadamont. Il
ne faut pas couper le cordon avec nos supporters.
Je félicite aussi les stadiers, que ce soit ceux qui
sont à Marseille ou ceux qui interviennent en déplacement."