INFOS JOUEURS

Super joueur HADJI !

olympien13 a écrit:Super joueur HADJI !

oui tres technique et bon dribbleur

Oui j'aimais bien quand il était à Nancy et à Bastia, il faisait des misères avec ses dribbles ! lol

olympien13 a écrit:Oui j'aimais bien quand il était à Nancy et à Bastia, il faisait des misères avec ses dribbles ! lol

là je ne l'ai pas vu depuis deux ou trois ans
il est possible qqu'il soit devenu moins incisif

Il peut tjrs rendre des services meme à 31 ans!

olympien13 a écrit:Il peut tjrs rendre des services meme à 31 ans!

oui pourquoi pas nous verrons ce qu'il fera
de toute facon un joueur au bout de 3 ou 4 ans dans unclub a besoin de se reactiver

lui nancy il a deja donné

Oui ! Il devrait aller à sainté ou à Lille !

olympien13 a écrit:Oui ! Il devrait aller à sainté ou à Lille !

hier il a eté incisif mais nancy s'est battre à la 91 éme

les deux equipes joueient sur pelouse synthetique et etaient les deux specialistes de cette surface

Lisandro gravement touché à la cheville
Si les Lyonnais ont brisé le bel élan des Montpelliérains, hier soir à Gerland, il s'agit pour eux d'une victoire à la Pyrrhus, car ils ont perdu en fin de rencontre leur capitaine et buteur, l'Argentin Lisandro Lopez. Sur les images diffusées par les télés on a vu sa cheville gauche tourner à la suite d'un duel, et le joueur lyonnais se tordre de douleur avant d'être évacué, en larmes. Sur le coup, Lisandro aurait dit à Hilton : « J'ai entendu craquer ».
« Au-delà du brassard qu'il porte, Licha est un joueur important pour le système de jeu. Il fait jouer les autres, il est dans les intervalles. Il galvanise ses coéquipiers. Il perturbe les adversaires et si son absence devait être assez longue, ce serait embêtant pour nous », a ajouté, inquiet, Rémi Garde.
Une éventuelle indisponibilité de longue durée pourrait inciter l'OL à changer ses plans pour la fin du mercato dans le cadre du recrutement d'un attaquant comme cela avait été le cas en 2004 après la blessure du Brésilien Elber remplacé dans les dernières par les arrivées de Nilmar et Sylvain Wiltord.
« C'est trop tôt pour que je puisse répondre à cette interrogation mais tout est envisageable effectivement », a admis Garde.
à part ça, la rencontre a été plutôt plaisante à suivre, Pjanic, entré en jeu à la mi-temps, débloquant la situation sur deux jolies actions. à la 49e d'abord, en reprenant au deuxième poteau un centre délivré de l'aile droite par un intenable Bastos, puis à la 83e, en offrant sur un plateau à Pied (entré lui aussi à la 78e) la balle du 2-0 (magnifique reprise.
Giroud, lui, n'a pas connu la réussite de Bedimo à la 90e et l'exclusion de Belhanda, en fin de rencontre, n'arrangea pas les affaires de Héraultais qui, sans les parades de Lloris, auraient pu rentrer chez eux avec un moins mauvais résultat…

dans l'équipe-type de la journée.

Pastore est également dans le onze, grâce à ses deux passes décisives contre Toulouse. Pour sa première sortie avec Brest, Zebina a stabilisé l'arrière-garde

Ligue 1. L'équipe type du week-end à l'Ouest
Football mardi 30 août 2011

Quatre Lorientais, trois Rennais, deux Brestois et deux Caennais, c'est une équipe type multicolore que nous vous proposons cette semaine à l'Ouest.
Gardien
Benoit COSTIL (Stade Rennais, 8/10). Il avait dit quelques heures plus tôt que sur un malentendu, il finirait bien par arrêter un penalty un jour. C'est fait, de belle façon et contre Caen en plus. De quoi savourer pour le portier rennais qui est resté dans son match. La preuve ses deux parades décisives face à Niang de près (36'), puis sur la frappe de Bulot à vingt mètres qu'il dévie en corner. Du bien bel ouvrage qui a permis aux Rennais de ne pas être rejoints dans leur temps faible de la première période. En seconde période, il est encore à la parade sur la tête de Traoré en repoussant le ballon. Mais ne peut rien lorsque Heurtaux reprend. Il sauve encore la boutique sur le coup franc dévié de la tête par Hamouma.


Défenseurs


Romain DANZE (Stade Rennais, 6/10). Le couloir gauche a souvent été l'amorce des attaques et des occasions caennaises en première période. Le défenseur rennais a donc souvent été sollicité, avec des ballons dans la profondeur, exploités par Bulot. En seconde période, il a parfaitement fermé son couloir et a réussi à apporter son soutien offensif.


Paul BAYSSE (Stade Brestois, 6/10). Il se fait contrer et compense par une faute grossière, pour le premier avertissement de la partie. Mais il est tout de même le Brestois ayant gagné le plus de ballons durant les 45 premières minutes (17, 27 sur le match). Il a refroidi quelques situations chaudes en seconde mi-temps, livrant encore une fois une prestation solide.


Bruno ECUELE MANGA (FC Lorient, 6,5/10) : bien en place défensivement, il a su apporter un plus sur les coups de pied arrêtés, notamment en s'élevant dans les airs pour placer sa tête, notamment une qui a été détournée par Grégorini (35').


Lucas MAREQUE (FC Lorient, 6/10) : très remuant, le défenseur argentin a offert des solutions à son partenaire sur le flanc gauche. Du genre tonique, il devrait s'épanouir encore dans le Morbihan.


Milieu de terrain


Nicolas SEUBE (SM Caen, 6/10) : Toujours beaucoup d'abattage, mais difficile de surnager dans un entrejeu pris de vitesse quand Rennes a monté le rythme. 2e acte très costaud où il a largement contribué à relancer la machine.


ROMAO (FC Lorient, 6,5) : un gros travail de récupération, et tout en ratissant large, le milieu s'est évertué à diriger le jeu, cherchant l'intervalle à chaque occasion, redonnant de la motivation à ses troupes quand l'orage grondait. Un jeu un peu rugueux, mais son travail de sape a finalement été récompensé en deuxième mi-temps.


Cyril HAMOUMA (SM Caen, 6/10) : Un gros début de match pour faire oublier sa prestation lilloise, où il a multiplié les raids et les rentrées dans l'axe balle au pied. Sur le coup du 2e but, un match où il a pesé.



Julien FÉRET (Stade Rennais, 7/10). Si M'Vila donne le tempo défensif, Féret est le chef d'orchestre du jeu offensif. Hier encore, malgré quelques imprécisions, le milieu de terrain rennais a réalisé un gros match. À noter aussi l'importance de ses coups de pied arrêtés puisqu'ils sont à l'origine de deux des trois buts rennais.


Attaquants


Jérôme ALIADIÈRE (FC Lorient, 6,5/10) : c'était sa première titularisation sous ses nouvelles couleurs et il s'est bien battu, développant un jeu très intéressant. Lorient, à la recherche d'un attaquant, l'a sans doute trouvé... Dommage que l'arbitre assistant l'ait signalé hors-jeu alors qu'il avait superbement trompé le portier nancéien (31').


Eden BEN BASAT (Stade Brestois, 5,5/10). Il a tenté quelques percées, mais il a eu des difficultés à se rendre disponible et à créer des brèches en première mi-temps. À l'aise techniquement, il a été l'auteur d'une bonne frappe en début de seconde période, et surtout d'une chevauchée solitaire à l'heure de jeu, sa frappe frôlant la lucarne d'Ospina, avant de délivrer un bon ballon à Poyet. Et si cela s'avérait prometteur ? Remplacé par le jeune BA dans le temps additionnel, pour ses trois premières minutes en Ligue 1.

07/09/2011 - 10:56
Ligue 1 Bordeaux-Ciani: "Ce n'était pas agréable, mais c'est justifié"
Après la double dose d'entraînements du week-end dernier, décidée par Francis Gillot pour réveiller ses joueurs, le défenseur bordelais Michaël Ciani a fait profil bas. "Ce n'était pas agréable, mais c'est justifié, s'est ainsi exprimé Michaël Ciani mardi

. On méritait de se faire bousculer, parce qu'on n'a pas fait ce qu'il fallait. Le coach est proche de nous. Il dialogue beaucoup. C'est bien qu'il nous ait remonté les bretelles. Ça permet à tout le monde de se remettre en question. Il ne faut pas attendre pour réagir." Victorieux pour la première fois en Ligue 1 à Valenciennes (2-1) il y a dix jours, les Bordelais sont tombés de haut quatre jours plus tard, en livrant un non-match lors de leur élimination en 16e de finale de Coupe de la Ligue à Saint-Etienne (1-3). Les Girondins reçoivent samedi Evian-Thonon-Gaillard, pour le compte de la 5e journée de Ligue 1

Victime d'une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche face aux Girondins de Bordeaux (3-1, 16es de finale de la Coupe de la Ligue) il y a une semaine, Loïc Perrin a été opéré avec succès, ce jeudi à Saint-Etienne, par le chirurgien Laurent Dupré Lalour. Pour rappel, le capitaine des Verts sera éloigné des terrains entre cinq et six mois

Niculae n'est plus seul
18/09/2011 à 00:20

A Monaco, Laurent Banide ne voulait plus Niculae. Jean Fernandez, son ancien entraîneur à Auxerre, est ravi de l'avoir fait venir à Nancy.


A Nancy, Daniel Niculae a retrouvé un entraîneur qui le connait bien en la personne de Jean Fernandez.
Il n'est animé d'aucune rancoeur apparente. Loin de Monaco, avec qui il est toujours lié par contrat jusqu'au 30 juin 2013, Daniel Niculae ne souhaite qu'une chose, que le club de la Principauté retrouve la Ligue 1. «Cela s'est mal passé la saison dernière et tout le monde est responsable. Laurent Banide [viré lundi et remplacé par le binôme Jean Petit-Marco Simone, ndrl] ne comptait plus sur moi, et, quand Nancy s'est manifesté, je n'ai pas hésité longtemps», admet l'international roumain, également approché par d'autres formations, en France et à l'étranger.

«Je connais ses qualités et ses défauts. Je ne l'ai pas fait venir pour remplacer poste pour poste Youssouf Hadji». (Jean Fernandez)
Niculae aurait pu, dans un souci de clarté, ajouter que Laurent Banide n'a jamais compté sur lui. «Je pense que si Guy Lacombe était resté à Monaco, Daniel aurait beaucoup plus joué», assure Jean Fernandez. Seulement, Lacombe a lui aussi été prié de prendre la porte de l'ASM en février dernier et la situation de l'attaquant roumain était devenue alors un peu plus compliquée. «Je n'ai joué que dix-sept matches la saison dernière, aussi parce que je m'étais blessé lors du match France-Roumanie [2-0, le 9 octobre 2010 en qualifications pour l'Euro 2012, ndlr]. Mais je me sens plutôt bien physiquement.» Jean Fernandez, qui l'a dirigé quatre saisons à Auxerre (2006-2010), sait comment utiliser l'ex-futur Monégasque. «Je connais ses qualités et ses défauts. Je ne l'ai pas fait venir pour remplacer poste pour poste Youssouf Hadji [transféré à Rennes, ndrl] .» L'intéressé, qui ne demande qu'à jouer - il a disputé les 90 minutes contre Auxerre dimanche (0-0)- avoue son penchant «pour un rôle d'attaquant de soutien. Si j'ai choisi Nancy, c'est aussi parce que je connais bien l'entraîneur. Je pense qu'il va me faire jouer comme à Auxerre, dans cette position.» A Nancy, où une partie du Rocher s'est déplacée avec le prêt de Thomas Mangani et le transfert de Benjamin Moukandjo, Niculae est bien partie pour vivre une nouvelle saison compliquée. Et il en est conscient. «Ce sera difficile, comme pour beaucoup d'équipes.» Mais jouer le maintien en Ligue 1, cela vaut toujours mieux que de fréquenter les bas-fonds de la L2...

UN EXEMPLE DE MARQUAGE INDIVIDUEL STRICT
UN MARQUAGE A LA CULOTTE A L" ITALIENNE

HEU ....QUOIQUE ...CIANI QU "EST CE TU FAIS

LYON//BORDEAUX 24/09/11

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Pitroipa, le nouveau Gervinho
Le 30/09/2011 à 14:00 | Mis à jour le 30/09/2011 à 15:33

Jonathan Pitroipa est souvent comparé à Gervinho depuis son transfert à Rennes. Le Burkinabé pourra démontrer que l'analogie n'est pas usurpée contre Lille dimanche (17h00).


Jonathan Pitroipa martyrise les défenses françaises depuis qu'il évolue à Rennes.
Il existe des comparaisons moins flatteuses. Depuis qu'il est arrivé en France, Jonathan Pitroipa - et non Pitroïpa - est considéré comme le successeur de Gervinho. Ironie de l'histoire, le Burkinabé rencontre ce dimanche (17h00) l'ancienne équipe de l'attaquant ivoirien, parti à Arsenal, le Lille Olympique Sporting Club. «Il réalise des trucs que les autres ne font pas. (...) C'est un joueur virevoltant, capable de mettre le désordre dans une défense à lui tout seul. Il me fait penser au Gervinho du Mans», répète souvent son entraîneur Frédéric Antonetti.



Comme son compère ivoirien lors de son arrivée en Sarthe, le frêle ailier de 25 ans est d'une vivacité rare et possède la même aisance à éliminer ses adversaires sur des accélérations foudroyantes. «Je recherche toujours le un contre un, expliquait celui que l'on surnomme "Pit". C'est comme un défi et c'est ce que je vais continuer à faire. Ma force, c'est de pouvoir me créer des occasions tout seul. Je suis vif et technique. Avec Gervinho, on a peut-être des qualités similaires, mais lui, il a passé plus de trois ans en France [quatre saisons, ndlr] . Moi, je viens juste d'arriver et j'espère atteindre son niveau.» En un peu moins de deux mois, Pitroipa a déjà mis son monde dans sa poche. Alors que son manque de finition lui était souvent reproché en Allemagne, où il sévit entre 2004 et 2011, à Fribourg (2004-2008) puis Hambourg (2008-2011), il s'est montré décisif à de nombreuses reprises en Bretagne. En douze matches avec le Stade Rennais, entre la L1 et la C3, il a déjà marqué quatre buts et délivré deux passes décisives. Des statistiques qui donnent raison à Pierre Dréossi, qui parlait de «très bon coup» lorsqu'il a présenté sa recrue au coeur de l'été. «Cela faisait deux ans qu'on le suivait. Il va en surprendre plus d'un.» A commencer par son entraîneur. «C'est une bonne trouvaille du club, assure Antonetti. C'est bien pour le Championnat de France que des joueurs comme ça nous rejoignent et c'est surtout bien pour nous !» Habitués à voir Gervinho martyriser les défenses, les supporters lillois vont passer de l'autre côté de la barrière. Ils pourront juger à loisir si la comparaison n'est pas usurpée...

12/10/2011 12:26 - Modifié le 12/10/2011 à 12:28 | avec Agence
Akpa-Akpro passe pro
Il vient de signer son premier contrat professionnel


Et si J-D Akpa Akpro était le joker du TFC ? Jean-Daniel Akpa-Akpro a signé son premier contrat professionnel avec son club formateur, le Toulouse Football Club. C'est un beau cadeau d'anniversaire pour le défenseur ou milieu de terrain des Violets qui a fêté ses 19 ans hier. Apparu a six reprises avec l'équipe première cetet saison, Jean-Daniel Akpa-Apro s'est engagé pour 3 ans. Il portera le numéro 4

«Poulet, tu vas marquer demain»


Mardi à Madrid (20h45), l'OL pourra compter sur un Michel Bastos dans la forme de sa vie, qui jouera pour la première fois de sa carrière sur le terrain du Real.


Michel Bastos va jouer son 100e match sous le maillot de l'OL à Madrid
Depuis que Michel Bastos a rejoint l'OL, en juin 2009, il n'a jamais eu l'occasion de se déplacer à Madrid. En 2010 (1-1 et qualification), il était blessé ; en mars dernier (défaite 3-0 et élimination) suspendu. Le Brésilien va donc découvrir Santiago-Bernabeu, mardi soir. Avec plus de réjouissance que d'appréhension. «Cela arrive dans un très bon moment pour moi. Je suis bien, en pleine confiance. Je vais essayer de faire comme contre Nancy (3-1) .»

«Poulet, tu vas marquer demain»


Samedi, le Brésilien a été impliqué sur les trois buts lyonnais et a réalisé le doublé coup franc-penalty. Son 10e coup franc direct depuis son arrivée en France en 2006, mais le premier depuis près d'un an (le 6 novembre 2010 à Rennes, 1-1). Il raconte : «Cela faisait quelques jours que je le sentais bien, j'ai beaucoup plus focalisé mon travail là-dessus la semaine dernière que précédemment. J'ai fait notamment du rab avec Joël Bats. Vendredi, il m'a demandé de ne frapper que cinq coup francs mais de bien les frapper. C'est ce que j'ai fait. Il m'a dit : "Poulet, tu vas marquer demain (samedi)." » L'entraîneur des gardiens de l'OL aura-t-il la même prédiction pour le 100e match de Bastos sous le maillot de l'OL ? Les occasions ne seront pas légion et Bastos, déjà auteur de quatre buts et quatre passes décisives en L1, serait inspiré de faire preuve de la même efficacité. Proche du départ cet été et visé par les sifflets de Gerland, il est revenu en quelques semaines en odeur de sainteté.

«On a déjà réussi des exploits là-bas, c'est à nous de retenter le coup.»
Mais Madrid est une autre galaxie. «Des amis y ont été plusieurs fois et m'ont raconté.» Notamment Anthony Réveillère qui «connait bien les lieux». «Le terrain est grand, les joueurs le sont aussi !, insiste celui-ci. Il va falloir faire beaucoup d'efforts.» Bastos risque de beaucoup défendre sur son couloir gauche. «Je sais ce qui nous attend, dit-il. On a déjà réussi des exploits là-bas, c'est à nous de retenter le coup. On s'est reposé pendant la trêve internationale. On se rend à Madrid avec une grande motivation pour au moins ramener un point.» Baptême du feu certes, mais sans complexes

Brahimi a rechuté
Le 28/10/2011 à 13:42 | Mis à jour le 28/10/2011 à 14:06

Enfin remis de son entorse péronéo-tibiale qui faisait suite à de longues semaines de forfait pour divers pépins physiques, le joueur rennais, Yacine Brahimi, a rechuté après avoir reçu un coup au même endroit peu de temps après son entrée en jeu en Coupe de la Ligue face au Mans (0-0, 1-4 aux t.a.b.). Il avait contracté une première blessure en Europa League face au Mettalurgist Roustavi (victoire 2-0 le 4 août dernier), puis avait rechuté face à Sochaux (6-2) le 21 septembre. Aucune précision n'a été donnée quant au retour sur les terrains de l'international espoir

Ligue 1. L’équipe type de la 13e journée à l’Ouest
Football lundi 07 novembre 2011


C’est une sorte de 5-5-1 que ce onze idéal de la Ligue 1 à l’Ouest. Pour le compte de la 13e journée, on retrouve ainsi cinq Caennais, cinq Lorientais, et… un Rennais. Les premiers, avec le 3-0 passé à Dijon le mal classé qui n’en finit pas de stagner dans les tréfonds du classement, se donnent un sacré bol d’air après une série de deux nuls successifs suivis de deux défaites. La barre a été redressée de belle façon à D’Ornano et les supporters malherbistes ont apprécié à sa juste valeur le sursaut.

Les Lorientais, eux aussi tombeurs d’un mal en points (Ajaccio, lanterne rouge), constituent l’autre versant fort de cette troupe. Jouffre et Sunu, les buteurs, sont logiquement en pointe en compagnie d’une solide base arrière.

Le Stade Rennais, enfin, sauve l’honneur malgré son surplace (1-1) concédé sur sa pelouse devant Valenciennes qui, grâce à ce bafouillement d’un des ténors du championnat, respire un peu. Brest, enfin, après sa défaite chez des Nancéiens en position de relégable, ne montre pas le maillot dans ce onze.


L’avis de nos envoyés spéciaux


THÉBAUX (7 sur 10). En deux occasions (63’, 70’), il a sorti le grand jeu et maintenu son équipe dans le bon sens. L’un des meilleurs gardiens actuels en L1.


VAN DAM (6). Un sauvetage bienvenu devant Berenguer au départ, une présence dynamique dans l’ensemble même si la 2e période fut plus compliquée défensivement.


ROMAO (7). Dommage que sa frappe à bout portant soit passée au-dessus de la cage gardée par Ochoa (9’). Son entente avec Koné était carrée. Les deux compères ont su remarquablement suppléer les absences de Bourillon et d’Ecuele Manga.


KONÉ (7,5). Sa tête a atterri sur la transversale (9’). Une prestation défensive très propre. Le défenseur apporte du physique et du punch à sa formation. Il s’est, également, appliqué dans ses relances.


THÉOPHILE-CATHERINE (6). Première mi-temps très sérieuse, sans fioriture. Un peu moins d’apport offensif que lors de ses dernières sorties, mais les opportunités ne se sont pas souvent présentées non plus.


PROMENT (6). Seube malade et rentré chez lui dès samedi soir, l’ex-Messin a retrouvé une place devant la défense. Il a tenté de nettoyer au mieux les nombreux ballons qui transitaient par lui : du boulot accompli correctement, sauf sur un ballon de relance mal assuré qui aurait pu coûter cher en fin de 1re période.


JOUFFRE (8 ). Il a touché un nombre incalculable de ballons. Ses appels ont souvent mis en difficulté les Corses. Il a su attendre son heure pour décocher une superbe frappe qui a fait trembler les filets d’Ochoa (63’). Il a rendu la politesse à Sunu en lui offrant un caviar devant le but. Remplacé par PENALBA (85’).


HAMOUMA (7). Ll’accélérateur normand a pesé par à-coups en 1re période, avant de prendre feu en seconde, où ses démarrages et ses dribbles ont mis au supplice une arrière-garde dijonnaise qui lui a laissé de plus en plus d’espaces. À tout fait tout seul sur le 2e but de Bulot. Remplacé par NIANG (81’).


BULOT (8 ). L’habituel ailier gauche n’a jamais caché son attirance pour ce poste de 2e attaquant axial. Dumas l’a testé pour la 1re fois dans ce rôle. À l’arrivée, il a été sacrément décisif, en signant d’abord sa 3e passe décisive sur corner en 2 matches, en marquant ensuite avec sang-froid le but du break, puis en servant encore Frau sur le 3e !


SUNU (8 ). L’ancien Gunner, en l’absence d’Emeghara et Campbell, n’a pas manqué sa première titularisation en Ligue 1. Très mobile, il s’est évertué à distiller de bons ballons aux Lorientais et il a souvent semé le trouble au sein de la défense ajaccienne. C’est d’ailleurs lui quiamis Jouffre en position de tir afin d’ouvrir le score. A force d’en vouloir, il n’a pas manqué son tête à tête avec l’excellent Ochoa, en inscrivant le deuxième but d’un superbe geste technique, un extérieur du pied droit.

Luyindula ne lâche pas
Le 13/11/2011 à 11:18 | Mis à jour le 13/11/2011 à 11:46

Peguy Luyindula, écarté depuis l'été dernier, doit être réintégré à l'effectif pro. Mais le club parisien fait de la résistance.


Tout n'est pas encore réglé pour Peguy Luyindula. (EQ)
Avec Mevlut Erding, Peguy Luyindula était titulaire samedi contre Aubervilliers. Mais cela n'a pas suffi pour empêcher la défaite de la réserve du PSG (0-1) dans le Championnat de CFA. Lundi, l'attaquant parisien se présentera au Camp des Loges pour participer à l'entraînement du groupe professionnel, lui qui a été écarté du groupe d'Antoine Kombouaré l'été dernier. Vendredi, grâce à une longue bataille juridique, il a enfin pu avoir accès au vestiaire des pros. Mais il s'est entraîné à l'écart , avec trois jeunes du centre de formation. Cette fois, il espère bien participer normalement à la séance du Kanak. Ce qui est loin d'être gagné, bien que la commission juridique de la Ligue ait ordonné sa réintégration au sein de l'effectif parisien . « Leur humiliation à l'égard de Peguy est inadmissible, a déclaré à L'Equipe Me Yves Repiquet, l'avocat du joueur . Ils vont probablement faire un recours, c'est leur droit, mais la décision de la commission juridique de la Ligue était un exécutoire et ils se sont mis totalement en faute. Ils doivent la respecter et respecter Peguy .» Sous contrat jusqu'en juin 2012, Luyindula serait enclin à déclencher deux procédures : une au tribunal de grande instance et l'autre au conseil des prud'hommes. De retour lundi du Qatar, le nouveau directeur général délégué Jean-Claude Blanc va devoir se saisir de ce dossier chaud, devenu gênant pour l'image du PSG.

Abdennour s'émancipe à Toulouse
Le 17/11/2011 à 08:57 | Mis à jour le 17/11/2011 à 14:20

Aymen Abdennour n'est pas étranger à la réussite toulousaine. Après une première expérience mitigée à Brême, le Tunisien a saisi sa chance au TFC.


Aymen Abdennour a joué onze matches à Toulouse depuis le début de saison, tous comme titulaire.)
Toulouse, 6e de Ligue 1 et toujours au contact du «bon wagon» , ne s'est pas loupé lors du premier tiers de la saison . Capoue, Sissoko, Tabanou... La jeunesse toulousaine est pour l'instant au rendez-vous. Mais l'une des forces du TFC cette saison, c'est sa solidité défensive. Impossible d'évoquer la troisième meilleure défense du Championnat sans se pencher sur le cas d' Aymen Abdennour (22 ans). Arrivé cet été dans la Ville Rose, le défenseur central brille à chacune de ses sorties et est l'une des révélations toulousaines.

Un profil à la Mamadou Sakho
«Je ne suis pas étonné de le voir à ce niveau» , lâche de son côté Bertrand Marchand. L'actuel entraîneur du Raja Casablanca avait découvert le joueur alors âgé de 17 ans, lorsqu'il entraînait l'Étoile du Sahel : «Ses qualités physiques ont toujours été importantes. Son profil peut rappeler celui de Mamadou Sakho, même si Aymen doit encore travailler pour arriver à ce niveau. Je l'avais conseillé à Guingamp et à Toulouse la saison dernière» , poursuit-il. À la recherche d'un défenseur pour remplacer Mauro Cetto, parti à Palerme , les dirigeants toulousains ont permis à Abdennour de retenter sa chance sur le Vieux Continent, un an et demi après une première expérience mitigée au Werder de Brême.

«(Au Werder), j'ai joué dans un très grand club, aux côtés de très grands joueurs. Ça m'a forcément servi.»
«Je n'avais que 20 ans, rappelle le Tunisien. J'étais utilisé comme arrière gauche ce qui n'est pas mon meilleur poste». Toutefois, celui qui a vécu son enfance à Sousse ne regrette pas son aventure allemande : «J'ai beaucoup appris. J'ai joué dans un très grand club, aux côtés de très grands joueurs. Ça m'a forcément servi» . Sa deuxième tentative européenne semble être la bonne : «Je suis venu à Toulouse, car on m'avait parlé d'un club formateur qui allait me permettre de progresser. Je suis heureux, pour l'instant cela se passe plutôt bien pour moi et pour l'équipe. Si on pouvait se qualifier pour la Ligue Europa en fin de saison, ce serait parfait !»

Gouffran : «Ça me trottait dans la tête» 24/11/2011 à 23:33

Exilé sur l'aile droite ces deux dernières saisons, Yoan Gouffran évolue enfin à son vrai poste. Ses statistiques s'en ressentent (5 buts) mais la situation des Girondins, elle, reste plus que précaire.


Yoan Gouffran a déjà inscrit cinq buts cette saison soit autant que lors de sa première saison bordelaise.
« Yoan Gouffran, il existe un vrai paradoxe entre votre début de saison et celui des Girondins... Ça se passe bien pour moi, mais le plus important, c'est le club. On est tous dans le même sac. Quand ça ne va pas, comme c'est le cas actuellement, on est tous déçus. En 14 journées, vous avez déjà inscrit autant de buts (5) que lors de votre meilleure saison bordelaise. Vous attendiez-vous à atteindre ce niveau de performance après votre fracture de la cheville droite ? En début de saison, mon objectif, c'était simplement de retrouver la forme, de ne pas me re-blesser. J'ai été moi-même surpris de retrouver mes capacités aussi vite.

«Le déclic, c'est simplement que je joue attaquant»
Francis Gillot parle de vous comme d'un joueur « plus mature, plus réfléchi ». Vous confirmez? Je le ressens aussi. J'ai plus d'expérience, mon jeu est plus posé, j'essaie de faire les bons gestes, les bons choix... Depuis le début de la saison, le coach nous demande de jouer simple. Il faut croire que ça commence à rentrer (sourires). En même temps, quand on a la confiance de son entraîneur, on tente plus de choses. Pour l'instant, ça passe. Quel a été le déclic ? Le déclic, c'est simplement que je joue attaquant. Quand je suis venu ici, c'était pour jouer à ce poste et celui de milieu droit. Au final, j'ai fait pratiquement trois saisons sur le côté droit... Ça a été frustrant parce qu'en plus, j'avais prévenu les différents coaches de ma préférence. Ça me trottait dans la tête de pouvoir jouer au moins une saison en attaque pour voir ce que ça allait donner.

«Que le club ait cherché à recruter un attaquant, ça m'a un peu déçu parce que j'étais là.»
Cet été, vos dirigeants ont précisément cherché à se renforcer à votre poste. Ce pourrait encore être le cas cet hiver... Le problème, c'est qu'on ne m'avait jamais donné ma chance... Après, que le club ait cherché à recruter un attaquant, ça m'a un peu déçu parce que j'étais là. Peut-être que je n'avais pas la confiance de mes dirigeants parce que je m'étais blessé. C'est ce qu'il faut se dire... En tout cas, aujourd'hui, je m'éclate. J'espère que ce sera ma saison. Ce serait un bon moyen de faire taire définitivement toutes les critiques dont vous avez été la cible depuis votre arrivée... Quand j'étais plus jeune, je me prenais beaucoup la tête avec ça. Mais avec l'âge, j'ai appris à ne plus me poser de questions. Je sais ce dont je suis capable et ce que j'ai fait de bien dans ma carrière. A un moment, la presse, les interviews,... j'ai tout fermé pour travailler et me concentrer sur mon jeu.

«On s'est un peu caché...»
Dans une équipe qui peine sur le plan mental, pouvez-vous également endosser le rôle de leader ? Je parle un peu plus qu'avant. C'est peut-être dû à mon ancienneté au club. J'essaye d'encourager les gars sur le terrain, de leur apporter la hargne que j'ai en moi. On a encore pu voir contre Dijon que ça restait fragile. Il ne faut pas baisser les bras. Comment expliquez-vous ces difficultés ? On est entré dans une mauvaise spirale dont il est difficile de sortir. Et puis, on se prend trop la tête. Tout le monde a peur de faire les choses, de tenter. On s'est un peu caché... Il faut qu'on arrive à se vider la tête et à aller de l'avant. On ne va quand même pas rester toute la saison à pleurer et à se chercher des excuses. Voilà, au bout d'un moment, ça passera, mais il faut encore bosser plus. Il n'y a que comme ça qu'on s'en sortira».