DIVERS FOOT BLEU

VOUS VOYEZ Y A QUAND MEME UN BLANC SAMIR
BON ONREDEVIENT SERIEUX
DE TOUTE FACON SI ON ENLEVE LES BLACKS ET LES BEURS

ON SERA AU NIVEAU DE L'ALBANIE

8 SAGNA RAMI ABIDAL EVRA CLICHY SAKHO MANDANDA CISSHOKO
15 MVILA DIAARRA LASS NASRI N"ZOGBIA KABOUL SSISOKO
20 BENZEMA MALOUDA TREZEGUET MATUIDI REMY



BON J ARRETE LA CA FAIT PRESQUE TOUS



Des quotas de blacks/beurs chez les Bleus ? La ministre ouvre une enquête3 contributions Publié le vendredi 29 avril 2011 à 10H43


La FFF a-t-elle mis en place des quotas de blacks et de beurs dans les processus de sélection des footballeurs ?

Photos PQR


L'enquête de Mediapart sur les quotas discriminatoires officieux a fait l'effet d'une bombe. Selon le site internet, les dirigeants du football français, dont le sélectionneur Laurent Blanc, ont approuvé début 2011 le principe de quotas officieux dans les centres de formation et les écoles de foot du pays. Ainsi, consigne aurait été donnée par par la Direction technique nationale (DTN) de limiter à 30% le taux de jeunes footballeurs français d'origine africaine ou maghrébine lors des épreuves de sélection.

Laurent Blanc a démenti avoir approuvé cette mesure. Et par la voix de son chef de presse, Philippe Tournon, le sélectionneur de l'équipe de France s'est dit "indigné" des accusations de Mediapart : "Cela est contraire à sa philosophie de vie, lui qui est hostile à toute discrimination".

La ministre des Sports, Chantal Jouanno a pris acte de ce démenti mais a tout de même ouvert une enquête. "C'est inimaginable parce que c'est contraire à l'histoire et à l'esprit de la Fédération française de foot, c'est surtout contraire à la loi et à la constitution", a réagi la ministre sur LCI. Chantal Jouanno devrait d'abord convoquer François Blaquart, le directeur technique national de l'équipe de France et "mettre en place une mission d'inspection de la Jeunesse et des Sports pour avoir un regard neutre sur l'affaire".

Selon Mediapart, "François Blaquart (...) et d'autres dirigeants de la DTN ont proposé à plusieurs reprises lors de réunions officielles la planification d'une discrimination concernant les jeunes joueurs prometteurs et obtenu gain de cause".

Par rapport à mediapart Gourcuff déclare : « Ça ne me passionne pas, c’est un faux débat… C’est une polémique qui existe comme il y en a trop maintenant. Tout le monde s’en mêle, les médias, les politiques, je connais les personnes impliquées, c’est un faux procès, c’est lamentable. »

LA FERME..............................

Kaba Diawara : "Un scandale de rien"
Publié le vendredi 06 mai 2011 à 19H41


Concerné par le problème des joueurs binationaux puisqu'il a évolué en Equipe de France espoirs avant d'opter pour la sélection guinéenne, l'attaquant de l'AC Arles-Avignon Kaba Diawara estime que "l'affaire des quotas" qui agite le football français "c'est de la grosse merde ! (sic)". "On fait un scandale de rien, poursuit Diawara. Le mec qui a deux passeports, s'il est bon, il jouera pour la France ! Moi, si j'ai choisi la Guinée, c'est parce que j'ai vite su que je n'y arriverai pas.é

Pour le vétéran (le sage ?) de l'ACA, s'il y a ésûrementé du racisme en France, lui ne l'a éjamais ressenti en 15 ans de carrière. Ce n'est pas comme en Espagne, où j'entendais souvent "negro" dans mon dos quand j'allais faire une touche." "La France est un pays métissé, plus tolérant", conclut Kaba Diawara.

CONSPIRATION...A LA FFF
TOUS DEHORS ...DEGOUTANT
SAUF BLANC .................

PROPOS SCANDALEUX

MONDIAL2010 ● Les Bleus,
"une équipe de Talibans" pour
Jean Alesi. Invité hier de RTL,
l’ancien pilote de F1 n’a pas mâché
ses mots envers l’attitude
de l’équipe de France lors de la
dernière coupe du monde: "On
a vécu avec une équipe de Talibans
qui se sont comportés envers
le drapeau français et les
fans français comme des
voyous", a lâché l’Avignonnais,
avant de préciser : "Donc, moi,
je comprends Laurent Blanc
quand, aujourd’hui, il met les
mains un peu en avant en disant,’
attention, moi je veux une
vraie équipe de France’", en référence
à la dernière polémique
sur les quotas.

L’Aixoise qui épaule Duchaussoy
RENCONTRE Anne-Christel Fogliani deviendra N.3 de la FFF en cas de réélection du président samedi prochain
"Actuellement, s’il fallait
dessiner un organigramme
de la Fédération, on n’en
serait pas capable

Professeur de sport au Creps, Anne-Christel Fogliani partagera son temps entre
Aix et Paris si Fernand Duchaussoy conserve son poste

Elle a formé Didier Deschamps et José Anigo

Dans les diverses promotions qu’elle
a dirigées, Anne-Christel Fogliani a
notamment eu sous ses ordres les
deux hommes forts de l’OM. "Didier
Deschamps était alors en poste à Monaco,
raconte-t-elle. Il passait son
BE1 et son BE2. José Anigo s’occupait,
lui, de l’équipe réserve à Marseille au
début de sa formation. La première
fois où ils se sont vus, je me souviens
que nous étions partis du Creps
d’Aix-en-Provence avec José, il était
un petit peu en admiration, il savait
qu’il allait faire une belle rencontre.
C’était sympa

Son tour de France démarre par
une escale dominicale à Poitiers.
Avant de franchir la ligne d’arrivée
au 87 boulevard de Grenelle, siège
de la FFF, samedi prochain, elle sera
aussi passée par Nantes, Bordeaux, Toulouse
ou Montpellier aux côtés de Fernand
Duchaussoy, mais également de
Robin Leproux, président du PSG, ou
de Bernard Lama.
Elle, c’est Anne-Christel Fogliani,
45ans. Son nom est encore méconnu,
même si elle faisait partie de la liste
conduite par Michel Pezet lors des élections
municipales à Aix-en-Provence,
en 2008.
Professeur au Creps, spécialisée notamment
dans la formation des entraîneurs
de football - Éric Roy (Nice) et
l’ancien Olympien Sébastien Perez passent
actuellement leurs diplômes sous
ses ordres -, cette proche de Marie-
George Buffet sera propulsée sur le
devant de la scène en cas de réélection
du président de la FFF. Animatrice de la
commission fédérale de féminisation
de l’instance, élue à la Ligue de la Méditerranée
aux côtés d’Alain Porcu,
l’Aixoise d’adoption - originaire de
Chambéry, elle vit dans la cité du Roy
René depuis plus de quinze ans - deviendra
en effet secrétaire générale de
la Fédération si Duchaussoy l’emporte
le 18juin.
"Être une femme-alibi
ce n’est pas trop mon truc…"
"Il y avait une obligation statutaire
d’avoir une femme sur la liste de dix
(neuf +le président, ndlr) que les candidats
présentaient, explique-t-elle. Fernand
m’a contacté dans le courant du
mois d’avril, on a discuté, je lui ai
dit:’Pourquoi pas, mais je viendrai pour
faire quoi ?’ Je ne suis pas méfiante, mais
être une femme-alibi, ce n’est pas trop
mon truc… Je sais suffisamment comment
ça peut fonctionner. Mais il m’a
rassuré très vite en me positionnant
d’emblée N.3 de la liste (le rang du secrétaire
général, ndlr). Il a acté cette démarche.
Alors j’ai accepté."
Voilà donc cette maman d’une petite
Jouanka, deux ans et huit mois, en campagne
aux côtés du Nordiste. "Il a souhaité
renouveler entièrement son équipe,
c’est osé, mais il sait pourquoi il le
fait. Il a reçu pas mal de coups. Honnêtement,
c’est un homme vraiment très
fort. Il a créé la réforme, alors il veut aller
jusqu’au bout. Il faut savoir que s’il
ne l’avait pas mise en place, il serait encore
tranquillement président jusqu’en
2012. Il est très lent comme ça, à première
vue, mais c’est quelqu’un de brillant.
C’est un calme, mais pendant ce temps,
ça bouillonne à l’intérieur. Il ne parle
pas beaucoup, mais il a de sacrées
oreilles, ça, je peux vous le dire !"
Priorité d’Anne-Christel Fogliani, en
cas de succès aux élections : restructurer
les services de la FFF. "Le manque de
lisibilité y est extraordinaire, constate-
t-elle. Il y a trop de cloisonnement, on
ne sait jamais vers qui se tourner, il n’y a
pas de coordination. Un énorme travail
est à réaliser sur ce plan-là. Il y a des
gens extrêmement compétents, mais il y
a trop de chefs. Chacun gère son budget,
ce n’est pas assez clair. Or, ça doit l’être
pour que ça puisse fonctionner. Si la place
et le rôle de chacun sont définis, c’est
un gage de réussite. Actuellement, s’il fallait
dessiner un organigramme, on n’en
serait pas capable!"
Autre cheval de bataille de l’Aixoise,
la lutte contre la violence. "Il faut repositionner
l’éducation au centre des préoccupations
des entraîneurs et des dirigeants,
et arrêter de vouloir chercher le
résultat à tout prix. On ne peut pas éduquer
sans femme. Dans les clubs, on ne
pourra parler d’éducation que si on retrouve
quelques femmes. Et c’est la même
chose pour le foot pro, je suis stupéfaite
quand je vois des centres de formation
où il n’y a pas une seule femme
dans l’encadrement…"

ALLEMAGNE● Silvestre déjà blessé. Le défenseur du Werder Brême,
blessé au genou, va subir prochainement une intervention
qui le tiendra éloigné des terrains pendant plusieurs mois. Un
coup dur pour l’ancien d’Arsenal et de Manchester qui fêtera ses
34 ans le 9 août prochain

FOOTBALL● Mondial des communautés. Les phases finales de la
5e édition de cette compétition organisée à Fontainieu auront lieu
cet après-midi, avec Tunisie - France à 14h30 puis Comores - Algérie
à 15h30. La finale est prévue à 17h.

Necib, née sous une bonne étoile
MONDIAL FÉMININ La Marseillaise est l’un des principaux atouts des Bleues opposées aux USA en demies

Louisa Necib ne sait toujours
pas pourquoi elle
a choisi le football,
délaissant la gymnastique
qu’elle pratiquait
jusqu’alors. Pourquoi, ce
jour-là, elle a décidé de
descendre enfin de son appartement
pour aller taper
le ballon avec les garçons
sur le bitume de la Busserine,
dans les quartiers
Nord de Marseille.
"Je
suis issue
d’un quartier,
j’ai voulu faire pareil
que les gars", essaie d’expliquer
l’intéressée qui portera
les couleurs de l’US 14e et du Celtic
Marseille.
Mais peut-être que finalement,
c'est le football qui l'a
choisie. Des bonnes fées semblent
s’être penchées au-dessus
de son berceau pour lui conférer
un don exceptionnel que
peu de filles possèdent. Rapidement,
le talent de Louisa balle
au pied devient une évidence.
Sa technique veloutée est un régal
pour les yeux, ses feintes un calvaire
pour ses cerbères vite débordés.
Les comparaisons fusent, toutes
plus flatteuses les unes que les
autres. Certains décèlent du Jean Tigana
dans le jeu de la Marseillaise ;
d’autres y voient la touche d’un Samir
Nasri, né la même année. Les
plus élogieux n’hésitent pas à la désigner
comme la… "Zidane du foot
féminin" ! Côté face, mêmes origines
algériennes, même enfance
marseillaise dans un endroit sensible
; côté pile,même poste,même talent.
L’analogie devient flagrante, presque
évidente.
"Ces comparaisons ne m’agacent pas, explique
Louisa. Être comparée à Zizou est une
fierté. Mais il n’y a pas de comparaison à faire,
je suis moi-même. Au niveau footballistique et
familial, j’ai tout appris à Marseille, à la Busserine.
J’ai eu une enfance très heureuse, je n’ai
jamais manqué de rien. Pour moi, Marseille,
c’est tout ! Dès que j’ai un moment, j’y retourne."
Au fil des sélections de la Marseillaise en
équipe de France et de ses prestations, Bruno
Bini bénit le jour où sa protégée s’est engagée
dans la voie du football. "Elle est la dépositaire
de notre jeu, souligne le Laragnais qui dirige
les Bleues depuis 2007. Elle accomplit des
trucs qui ne sont pas inscrits dans les manuels,
des choses qui ne s’apprennent pas. Quand elle
touche le ballon, même s’il fait froid, il y a
du soleil."
Celui-ci brille de mille feux, actuellement
en Allemagne, où Louisa et ses copines réalisent
des miracles, repoussent les limites du
possible à chacune de leur sortie. Simples outsiders,
elles se sont frayées un chemin jusqu’en
demi-finale de la Coupe du monde,
compostant également leur ticket pour les
Jeux olympiques de Londres grâce à un foot
porté sur l’attaque.
Elles n’ont pas froid aux yeux et aspirent désormais
à décrocher le titre planétaire. Transformer
ce rêve en réalité passe par un succès
sur les États-Unis, cet après-midi (18 heures)
avant, peut-être, de disputer la finale dimanche.
"On ne réalise pas vraiment ce qu’on est
en train de réussir, ni l’enthousiasme qui existe
en France. On vit tout ça de loin. Onsait simplement
qu’il s’agit de quelque chose de beau.
Se qualifier pour les JO, c’est énorme. D’autant
que l’on ne s’y attendait pas. On vit une aventure
humaine extraordinaire. Mais on ne veut
pas s’arrêter là."
Louisa n’a que 24 ans, mais elle a déjà tout
gagné avec son club, l’Olympique Lyonnais.
Elle "profite, prend les choses comme elles viennent".
Mais elle est au régime sec avec la sélection,
ce qui aiguise son appétit : "J’espère que
ça va venir". Son influence sur le jeu des
Bleues est importante, sa présence évidente.
"Elle a très bien attaqué le Mondial, avant
d’être moins bien contre l’Allemagne, ce qui
est aussi la faute de l’équipe, la défend Bini.
Si on lui file des ballons aériens, il lui faut un
filet à papillon pour les attraper !"
Même si elle prend "beaucoup de plaisir
pour (sa) première Coupe du monde", Louisa
Necib court après son premier but dans ce
tournoi. À Mönchengladbach, Bochum ou Leverkusen,
elle ne passe pas inaperçue, tant
pour son jeu que pour son look élégant entre
maquillage soigné et ongles vernis impeccables.
"Je suis comme ça dans la vie de tous les
jours. J’aime bien prendre soin de moi, que ce
soit pour faire les magasins ou pour un
match."
Cet après-midi, ce sera aux Américaines de
faire attention à elle

Quand elle touche le ballon,
même s’il fait froid,
il y a du soleil." BRUNO BINI



Née le 23 janvier
1987 àMarseille.
Milieu de terrain.
Clubs successifs :
US 14e (2000-2002) ;
Celtic Marseille
(2002-2004) ; C.N.F.E.
(2004-2006) ;
Montpellier HSC
(2006-2007);
Olympique Lyonnais
(depuis juillet 2007).
Palmarès:
Championne de
France (2008, 2009
et 2010) ;
Vainqueur du
Challenge de France
(2008 et 2007) ;
Vainqueur de la Ligue
des champions (2011).
France A: 62
sélections, 10 buts.

on depasse dans cette rubrique les 130 sujets

c'est clairs que les joueurs en bleu et les espoirs ca fait un paquet

de sujets
mais bon cet univers en bleu c'est passionnant il est possible qu'il y ait 3 ou 4 doublons
merci de les signaler à la direction qui fera le necessaire avant fin 2011