ARGENTINA DANSEZ NOUS LE TANGO

Amical: L'Argentine ne force pas contre la Slovénie

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Pour son dernier match de préparation pour la Coupe du monde 2014, l'Argentine a pris le meilleur sur la Slovénie (2-0), samedi soir. Ricky Alvarez (11e) et Lionel Messi (75e), entré en jeu quelques minutes plus tôt, ont permis à l'Albiceleste de faire le plein de confiance à quelques jours de ses débuts dans la compétition, contre la Bosnie-Herzégovine le 15 juin prochain à Rio.

Romero et l'Argentine prêts pour le Brésil
par @YannickPelayo
© Photo : AS Monaco - Stéphane Senaux
L'Argentine a battu la Slovénie pour son dernier match de préparation avant le début de la Coupe du Monde.

Si le onze de départ argentin était remanié pour cette rencontre, Sergio Romero était bien dans les buts dès le coup d'envoi. Ce dernier a gardé sa cage inviolée tandis que des buts de Ricky Alvarez et Lionel Messi ont permis à l'Albiceleste de s'imposer 2-0

Brésil-Thiago Silva: "Il faut un pistolet pour stopper Messi"

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A travers une interview accordée à la revue brésilienne Placar, Thiago Silva a vanté mes mérites de Lionel Messi, l'artificier du FC Barcelone et de la sélection argentine. "L'attaquant qui t'empêche de dormir, c'est Messi. Je l'ai affronté trois fois avec l'AC Mian, une fois avec le PSG. Pour le stopper en un contre un, il est obligatoire d'avoir un pistolet à la main", a commenté le défenseur international brésilien.

Buteur avec l'Argentine (75e), samedi, face à la Slovénie, à l'occasion du dernier match de préparation à la Coupe du monde de sa sélection, Lionel Messi a été pris de vomissements durant la rencontre.

Argentine-Sabella: "Messi ? Un problème nerveux"

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Alors que Lionel Messi a été sujet à des vomissements lors de la rencontre de préparation à la Coupe du monde face à la Slovénie (2-0), samedi, Alejandro Sabella s'est voulu rassurant après la rencontre. "C'est un problème nerveux", a réagi le sélectionneur argentin, dans des propos rapportés par Sport.es. "Je n'ai pas eu la chance de jouer un Mondial, mais je pense que dans ces moments-là, l'anxiété est grande. Il est difficile de rester tranquille."

Mondial: le Brésil refoulera plus de 2000 "Barra bravas" argentins
09/06/2014 18:22
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Un sigle de police dans l'aéroport de Rio de Janeiro - AFP/Archives Antonio Scorza
Le Brésil empêchera l'entrée sur son territoire de quelque 2100 supporteurs argentins, considérés comme violents et interdits de stade dans leur pays, a indiqué lundi la police, trois jours avant le début du Mondial-2014.

"Les autorités argentines nous ont fourni une base de données et ces supporteurs seront identifiés et interdits d'entrée (au Brésil). Au cas où ils auront réussi à franchir la frontière et s'ils sont retrouvés, ils seront renvoyés en Argentine", a affirmé à l'AFP Luiz Eduardo Navajas, chef délégué d'Interpol Brésil.
Selon M. Navajas, le cas des hooligans européens, les Anglais notamment, ne se posera pas dans la mesure où ils sont interdits de quitter leur pays sur ordre de la police.
"Ils sont empêchés de quitter leur pays, leurs passeports ayant déjà été confisqués. Nous sommes en liaison avec l'Angleterre, la Belgique et l'Allemagne", a ajouté M. Navajas.
Des représentants des polices des 32 pays qualifiés pour le Mondial se trouvent au Brésil et ont commencé à travailler dès lundi au Centre international de coopération policière afin de participer à la sécurité de la Coupe du monde.

Parmi les candidats possibles au dernier carré, il faut évidemment citer les voisins-rivaux du Brésil, que sont l'Uruguay, responsable d'un cauchemar vieux de 64 ans, et l'Argentine du crack Messi.

Coupe du Monde 2014 @CM2014_
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Décollage imminent pour la sélection argentine de Messi #CM2014
8:56 PM - 9 Jun 2014
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Quand Omam-Biyik mit l'Argentine à terre
12/06/2014 05:32
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François Omam-Biyik avait inscrit le seul but d'une victoire mémorable du Cameroun face à l'Argentine, en ouverture de la Coupe du monde 1990.

Le père d'Émilio Omam-Biyik, François, a disputé trois coupes du monde avec le Cameroun : en 1990, en Italie, en 1994, aux États-Unis et en 1998, en France. Son nom restera gravé dans l'histoire du football camerounais pour un but inscrit lors de sa première Coupe du monde, alors qu'il avait 24 ans.
Nous sommes le 8 juin 1990, au stade Giuseppe-Meazza de Milan. Tenante du titre, l'Argentine de Carlos Bilardo s'apprête à faire son entrée en Coupe du monde face à la modeste sélection du Cameroun, qui dispute le deuxième Mondial de son histoire.
Tous les observateurs voient l'Albiceleste et sa constellation de stars (Maradona, Batista, Burruchaga, Caniggia…) s'imposer largement face aux Lions indomptables dont le joueur vedette, Roger Milla (38 ans), vient de sortir de sa retraite internationale sur demande du président camerounais, Paul Biya. C'est un autre attaquant camerounais, François Omam-Biyik, qui évolue alors au Stade lavallois, qui va créer la surprise
Contrairement à ce qu'on aurait pu penser, le Cameroun domine face à l'Argentine et l'impensable survient à la 66^e minute de la rencontre. Suite à une faute de Lorenzo sur Ndip, l'arbitre français Michel Vautrot accorde un coup franc aux Lions indomptables. Sur le coup de pied arrêté, Makanaky dévie de la tête au premier poteau. François Omam-Biyik s'élève alors une hauteur vertigineuse, prenant le dessus sur Sensini et reprend de la tête. Le ballon arrive sur le portier argentin, Pumpido, coupable d'une grosse faute de main, qui laisse filer le ballon au fond des filets. Coup de tonnerre à Milan, les Argentins font le forcing jusqu'au bout pour égaliser mais n'y parviendront pas, même à 11 contre 9 (Kana-Biyik et Massing ayant été expulsés).
Le Cameroun terminera premier de son groupe de qualification et son parcours se terminera en quarts de finale, face à l'Angleterre de Gary Lineker, Chris Waddle et Paul Gascoigne, après prolongation (3-2).

Argentine - Bosnie. 15 juin à Rio de Janeiro. Groupe F[/size]
Lionel Messi, Angel Di Maria et Sergio Aguero (de dos) sont les principales armes de l'Albiceleste. | Reuters
Ce match sera l'occasion de voir l'entrée en compétition de l'Albiceleste emmenée par son génial numéro 10, Lionel Messi. Le quadruple ballon d'or a vécu une saison en demi-teinte et aura sûrement à coeur de réussir une belle Coupe du monde pour se rattraper.
De plus, la sélection double vainqueur de la compétition (1978, 1986) peut s'enorgueillir de compter dans ses rangs des attaquants de feu. Sergio Agüero, Gonzalo Higuain, Rodrigo Palacio et Ezequiel Lavezzi accompagnent le lutin du FC Barcelone. Le milieu de terrain n'est pas en reste, avec des joueurs expérimentés tels qu’Angel Di Maria, Fernando Gago ou Javier Mascherano.
Seul ombre au tableau, sa défense. Bien que composée d'Ezequiel Garay, Martin Demichelis et de Pablo Zabaleta, elle ne donne pas toutes les garanties que peut offrir celle de son immense rival, le Brésil.
Pour son premier match de Coupe du monde de son histoire, la Bosnie hérite donc d'un gros morceau. Mais la sélection peut compter sur de bons éléments offensifs avec Miralem Pjanic, Edin Dzeko et Vedad Ibizevic.
21^e au classement FIFA, la Bosnie a réalisé un superbe parcours durant les éliminatoires en finissant en tête son groupe (ex aequo avec la Grèce). Son seul désavantage sera sans doute le manque d'expérience dans les grandes compétitions internationales.

Mondial: nuit magique pour 6500 fans de Messi et de l'Argentine
12/06/2014 09:09
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L'équipe d'Argentine lors d'un entraînement, le 11 juin 2014, à Belo Horizonte, au Brésil - AFP Juan Mabromata
Quelque 6500 spectateurs, brésiliens et argentins, ont vécu une nuit magique mardi soir lors du premier entraînement de Lionel Messi et de l'Argentine, au stade Independencia de Belo Horizonte, quatre jours avant leurs débuts au Mondial.

"Pour moi, c'est une chance parce que je ne croyais pas que je verrai Messi à Belo Horizonte. Je suis fan de l'Argentine", s'est exclamé Alex, un employé de banque de 38 ans.
S'il était impossible de se rapprocher du bunker de Cidade do Galo, les fans de l'Albiceleste ont pleinement profité de l'entraînement en public, pendant 45 minutes, imposé par la Fifa aux 32 équipes qualifiées.
"J'étais allé là-bas, à la Bombonera (le stade de Boca Juniors, à Buenos Aires) et je suis tombé amoureux de ce pays. Ici, à Belo Horizonte, nous sommes nombreux à considérer l'Argentine comme notre première équipe", a ajouté le jeune banquier.
A 18h00 locales (21h00 GMT) et pendant 45 minutes, les joueurs argentins ont effectué des mises en place, des un-contre-un et des parties de tennis-ballon.
A la fin de l'entraînement public, une vingtaine de personnes, principalement des enfants, ont sauté la barrière séparant les tribunes du terrain pour aller saluer les joueurs. Mais Messi et ses camarades étaient hors d'atteinte, tenus à l'écart par des membres de sécurité qui ont refoulé les envahisseurs...
Arrivée au Brésil dans la nuit de lundi à mardi, l'Albiceleste compte également des supporteurs compatriotes venus les encourager au Brésil.
"J'ai voyagé depuis Necochea, province de Buenos Aires. J'ai mis trois mois pour arriver ici. Je n'ai pas de billets, mais peu importe. Le plus important est de rentrer avec la Coupe", a commenté Marcelo Casal, tenant un drapeau bleu-blanc avec une photo du Pape François qu'il a fabriqué lui-même.
L'Argentine disputera son premier match du groupe F face à la Bosnie, dimanche au Maracana de Rio de Janeiro.

[size=40]Une procédure disciplinaire lancée contre l'Argentine pour la banderole des Malouines

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La Fédération internationale (Fifa) a ouvert une procédure disciplinaire contre la Fédération argentine (AFA) après la banderole déployée par ses joueurs il y a une semaine, avant un match amical à La Plata et sur laquelle était inscrit : "Les Malouines sont argentines". Cette banderole entre sous le coup de la «prévention des actions provocantes et agressives» et d'une «mauvaise conduite de l'équipe», a indiqué la Fifa. Ce geste de revendication politique à l'égard de l'archipel de l'Atlantique Sud, rattaché à la Grande-Bretagne depuis la guerre perdue dans les années 80, est fréquent de la part de l'Albiceleste. Laquelle pourrait néanmoins être sanctionné pour cette initiative. (Avec AFP)

France/Monde - Groupe f
Argentins sous les projecteurs
15/06/2014 05:38
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Messi et les siens sont parmi les favoris de ce Mondial. Mais face à la Bosnie, ils pourraient avoir fort à faire… - (AFP)

	Le début d'une reconquête
	La Colombie vit sans Falcao
	La Celeste tombe de haut

L’Argentine de Messi entame ce soir son Mondial face à un débutant, la Bosnie-Herzégovine, qui a toutefois des arguments à faire valoir au Maracana.

Rénovée, la prestigieuse enceinte accueille le Mondial soixante-quatre ans après la défaite du Brésil contre l'Uruguay. Il n'y aura pas les 200.000 spectateurs de 1950, mais 78.838 spectateurs sont attendus un mois avant la finale le 13 juillet. L'Argentine pourrait y être.
L'Albiceleste, deux fois championne du monde, joue sur son continent. Elle semble avoir trouvé le bon schéma tactique pour faire enfin briller avec l'équipe nationale Lionel Messi, le quadruple Ballon d'or, qui a tout gagné avec le Barça. Et en plus de Messi, il y a Higuain (incertain contre la Bosnie) Aguero et Di Maria. Les « quatre fantastiques ». Sans compter Mascherano, Gago, Lavezzi… Et dire que l'entraîneur Alejandro Sabella s'est privé de Tevez !
 Les Bosniaques de Susic moins néophytes qu'il y paraît
Sabella a construit une équipe autour de Messi afin que le lutin puisse exprimer tout son talent. L'Argentine espère que cette fois sera la bonne car c'est déjà le troisième Mondial de la star. Messi veut aujourd'hui confirmer avec son équipe nationale le beau parcours réalisé en qualification et offrir aux supporteurs un titre qu'elle attend à nouveau depuis 1986 et son glorieux aîné Diego Armando Maradona.
Tous voient la Pulga partir du bon pied comme l'ont fait la plupart des autres stars de cette Coupe du Monde : Van Persie, Robben et surtout Neymar, l'autre star sud-américaine avec qui il partage le vestiaire en Catalogne… L'Argentine a d'ailleurs une entame similaire à celui du Brésil, qui a battu la Croatie (3-1). Elle affronte sans doute son rival le plus fort dans le groupe.
Alors, attention au complexe de supériorité. Si c'est la première Coupe du monde de la Bosnie, joueurs et encadrement sont tout sauf des néophytes à haut niveau. La sélection, première de son groupe de qualification pour le Mondial, est dirigée par une veille connaissance : Safet Susic, l'ancien magicien du Parc des Princes de Paris, qui a pris en main la Bosnie il y a quatre ans. Il a l'expérience des grands tournois et la plupart de ses vingt-trois sélectionnés ont joué ou jouent encore dans des grands championnats : du gardien Begovic (Stoke) en passant par Spahic (Bayer Leverkusen), Pjanic qui brille à Rome après avoir été écarté à Lyon, et surtout la paire offensive Dzeko (Man City)-Ibisevic (Stuttgart), qui terrorise les gardiens. La position qui semble justement être le point faible avec comme titulaire Sergio Romero, remplaçant à Monaco.
Bizarrement, selon un sondage effectué juste avant le coup d'envoi du Mondial, seulement un tiers (33,5 %) des Argentins estiment que leur équipe soulèvera le trophée. Une bonne performance face à La Bosnie et les chiffres pourraient remonter…
la phrase
« C'est une motivation spéciale quand la chancelière est là. Si le match tourne bien, elle trouvera le chemin des vestiaires, comme lors des derniers tournois. J'espère qu'après, je pourrai faire un selfie avec elle. »
Lukas Podolski est tout heureux de jouer, demain lundi, sous les yeux d'Angela Merkel. Le joueur allemand et attaquant d'Arsenal en est, à 29 ans, à son troisième Mondial. La Mannschaft débutera face au Portugal pour la rencontre choc du groupe G, dans lequel figurent également les États-Unis et le Ghana.
Podolski (113 sélections, 46 buts) se veut très confiant, et très ambitieux au moment de se mesurer à Cristiano Ronaldo et aux siens : « Bien sûr, Cristiano est hyper fort. Mais nous n'affrontons pas un joueur, mais une équipe […] Nous sommes arrivés à un point où nous pouvons sérieusement parler de titre. Ce n'était auparavant pas toujours le cas. »
en bref
FOOTBALL Maradona pris à partie par des fans brésiliens
Diego Maradona s'est égaré dans les travées de l'Arena Corinthians de Sao Paulo et n'a dû son salut qu'à un ouvrier du stade qui lui a permis d'échapper à une horde de supporteurs brésiliens hostiles, selon la presse locale. La star argentine n'avait pu trouver le chemin des tribunes VIP du stade peu avant le coup d'envoi de la rencontre inaugurale du Mondial entre le Brésil et la Croatie. Reconnu par des supporteurs brésiliens échauffés alors qu'il errait dans les coursives, l'ex-star du football mondial s'est rapidement retrouvé assailli par un groupe de fans auriverde. Maradona a dû son salut à un témoin qui s'est interposé avant de le guider à bon port, en tribune d'honneur. Une fois assis, Diego Maradona s'est montré affligé par les insultes lancées des tribunes contre la présidente Dilma Rousseff, qui ont fait couler beaucoup d'encre dans la presse brésilienne. « Je ne regarderai plus les matchs du Brésil au stade. Je les regarderai à la TV dans ma chambre d'hôtel. »

ARGENTINE - BOSNIE : 2-1 Victoire laborieuse de l'Argentine face à une Bosnie accrocheuse mais trop brouillonne dans la zone de vérité. Fébrile dans un premier temps, l'Albiceleste a fait la différence après la pause grâce surtout à la créativité de son trio Agüero-Messi-Higuain.

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Victoire laborieuse de l'Argentine face à une Bosnie accrocheuse mais trop brouillonne dans la zone de vérité. Fébrile dans un premier temps, l'Albiceleste a fait la différence après la pause grâce surtout à la créativité de son trio Agüero-Messi-Higuain.

Sergio Romero débute par une victoire
par @motaccard
© Photo : Production AS Monaco
Grâce à une belle partie du gardien monégasque, l'Argentine a battu la Bosnie 2-1. Les bleus de Didier Deschamps ont battu le Honduras 3 buts à 0 avec notamment un doublé de Benzema.

Dans un stade Maracana aux couleurs de l'Albiceleste, l'Argentine décroche son premièr succès dans cette Coupe du Monde. Une victoire 2-1 avec des buts signés Kolasinac (c.s.c, 3') et Messi (65'). Ibisevic (85') réduit la marque pour les Bosniens. Titulaire dans les cages argentines, Sergio Romero est crédité d'une belle partie, signant des arrêts déterminants en première période.
Les argentins prennent donc la tête du groupe F. En attedant le match entre l'Iran et le Nigéria, ce lundi à 21h (heure monégasque).

Sergio Romero : "La clé, c'est Messi"

par @simonremoussin http://www.asm-fc.com/fr/article/sergio-romero-la-cle-c-est-messi-64996.html

Le gardien argentin de l'AS Monaco va disputer sa deuxième phase finale de Coupe du monde dans la peau d'un titulaire, après celle de 2010. Un mondial disputé au Brésil, un moment toujours particulier pour un joueur sud-américain.

EXTRAITS
"La chose la plus importante, c’est de faire rêver les supporters. Offrir à chaque Argentin le rêve de remporter la Coupe du monde. Mais nous savons qu’il faut y aller pas à pas. Il y a beaucoup de bonnes sélections."
"Sur ces trois dernières années, grâce à Dieu, nous avons pu montrer quelle équipe nous sommes, les joueurs que le peuple argentin veut. On compte beaucoup sur Messi pour nous guider. Sur une passe, il peut se débarasser de trois adversaires."
"Si c’est un grand Mondial pour Léo Messi, ce sera un grand Mondial pour tous les Argentins."

Mondial: l'Argentine débute timidement face à la Bosnie
16/06/2014 08:57
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Lionel Messi (C) au milieu des joueurs argentins lors du match Argentine Bosnie le 15 juin 2014 au stade Maracana à Rio de Janeiro - AFP Yasuyoshi Chiba
L'Argentine de Messi, auteur d'un but de grande classe, a débuté par une timide victoire 2-1 contre la Bosnie, novice en Coupe du monde, pour le premier match du groupe F, dimanche à Rio de Janeiro.

L'Albiceleste a pris l'avantage après seulement deux minutes et huit secondes de jeu, Kolasinac propulsant dans son propre but un coup franc de Messi venu de la gauche (3e).
Le capitaine argentin a doublé la mise (65e) après une sublime chevauchée conclue d'un tir à l'entrée de la surface, mais Ibisevic a réduit le score en fin de partie (84e).
Kolasinac, le défenseur gauche (20 ans, 5e sélection) d'origine allemande, est malheureusement entré dans l'histoire comme l'auteur du but contre son camp le plus rapide de l'histoire du tournoi.
Les Argentins auraient pu profiter de ce scénario pour s'emparer des clés du match, mais il n'en fut rien. Au contraire, ce sont les partenaires de Pjanic et Dzeko qui se procurèrent le plus d'occasions en première période, faisant quasiment jeu égal dans la possession de balle.
Face à des "Dragons" techniques et sans complexe, l'Argentine a eu du mal à faire parler ses individualités, Di Maria et Agüero se montrant peu dangereux.
Et c'est son patron Messi, qui jusqu'alors n'avait pas ménagé ses efforts, qui a fait chavirer le Maracana peu après l'heure de jeu, à la conclusion d'une sublime accélération dont il a le secret.
Parti de loin, le quadruple Ballon d'Or s'est servi du relais offert par Higuain, entré à la pause, pour passer toute la défense bosnienne en revue et fusiller Begovic d'une frappe sèche (65).
La réduction du score d'Ibisevic (84) servait d'avertissement aux hommes de Sabella, qui affronteront l'Iran samedi prochain à Belo Horizonte.
La Bosnie défiera pour sa part le Nigeria samedi prochain à Cuiaba.

[size=40]Lionel Messi : «Des choses à améliorer»
«On était tous un peu nerveux», a reconnu Lionel Messi après la victoire peu convaincante de l'Argentine sur la Bosnie (2-1) pour son entrée dans la Coupe du monde.

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Lionel Messi déclenche sa frappe sur son but face à la Bosnie. (Reuters)

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Elu homme du match par la FIFA à l'issue de la victoire de l'Argentine sur la Bosnie-Herzégovine (2-1), Lionel Messi, qui a inscrit un but magnifique mais qui a aussi vu plusieurs de ses initiatives échouer, est conscient que son équipe n’a pas montré un visage très séduisant ce dimanche. «C’était important de bien commencer et d’engranger trois points, a souligné le joueur du FC Barcelone. Il y a des choses à améliorer, c’est sûr. Ce n’est jamais facile d’entamer une Coupe du monde, on était tous un peu nerveux, mais on a gagné et on a réalisé une bonne deuxième mi-temps, au cours de laquelle on a eu plus de possession de balle et plus d’occasions. C’est encourageant pour la suite.»
 



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Pas très bavard, Messi a néanmoins souligné qu’il avait été impressionné par le public à 80% Ciel et Blanc du Maracana. «Ça sera encore plus fort à Porto Alegre (ville proche de l’Argentine, où son équipe affrontera le Nigéria le 25 juin, ndlr)», espère-t-il. Son sélectionneur, Alejandro Sabella, a insisté sur ses changements réussis à la mi-temps, avec les entrées en jeu de Gago et d’Higuain, et il a attribué un «6/10» pour résumer la performance de son équipe. «On a bien contrôlé en première mi-temps mais il fallait donner plus de profondeur et de solutions à Messi après le repos. Ça a mieux fonctionné mais on doit travailler pour améliorer tout ça», a conclu le coach de l’Albiceleste.
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[size=40]L'Argentine, la victoire sans chanter
Sans imagination pendant une heure, l'Argentine a su exploiter un temps fort de Messi pour faire la différence et s'imposer (2-1) dans un Maracana largement acquis à sa cause. Mais la Bosnie-Herzégovine, qui a réduit le score par Ibisevic, l'aura souvent tourmentée.

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Un éclair de Lionel Messi a permis à l'Argentine de s'imposer contre la Bosnie-Herzégovine. (Reuters)

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LE MATCH

L’Argentine peut remercier Sead Kolasinac. Sans le but contre son camp du défenseur de Schalke 04, après un coup franc excentré de Lionel Messi détourné par Marco Rojo (3e, 1-0), l’Albiceleste aurait vécu une première période très compliquée, sans rythme collectif ni coup d’éclat individuel. Un but du gauche de Messi (65e, 2-0), après un bon appui sur Higuain - entré à la mi-temps à la place d’un transparent Maxi Rodriguez - donnera à l’Argentine une marge qu’Ibisevic, lancé par Lulic, réduira d’un tir du gauche entre les jambes de Romero (85e, 2-1). Un but salué par tout ce que le Maracana comptait de supporters bosniens (un peu) et brésiliens (beaucoup). Un but mérité, surtout, pour  une équipe qui n’a jamais baissé la tête et qui aurait pu notamment égaliser sur une tête de Lulic repoussée par le gardien remplaçant de Monaco (40e).



LE FAIT MARQUANT

On attendait mieux de l’Argentine, tellement fade en première période qu’elle en vint à refroidir la ferveur de ses supporters, qui avaient investi le Maracana de toute leur passion brûlante. Alors que l’entame des coéquipiers de Messi était marquée par un pressing très ordonné et une volonté très affirmée de confisquer le ballon à l’adversaire, un déchet technique n’a pas tardé à compliquer toute idée de mouvement abouti. Le trio Messi-Maxi Rodriguez-Aguero a eu du mal à s’huiler et il a fallu l’entrée en jeu d’Higuain à la mi-temps pour donner une dynamique plus convaincante à l’attaque argentine. En montant plus souvent sur le côté gauche, Di Maria a également offert un peu plus de solutions à une Argentine qui a su exploiter un gros temps fort, autour de l’heure de jeu, pour accroître un avantage menacé jusqu’au bout. Alors qu’Aguero a été disponible mais imprécis, le secteur offensif est resté dépendant d’un éclair de Messi tandis que Lavezzi, lui, sera resté toute la soirée sur le banc.



LE JOUEUR

Les «Messi ! Messi !» tombés des tribunes du Maracana se sont longtemps fait attendre.  Le quadruple FIFA Ballon d’Or a déjà livré des prestations plus éblouissantes que celle qu’il a offert face à la Bosnie. Comme souvent, il n’a pas hésité à se déplacer sur un côté et à reculer pour mieux accélérer balle au pied, mais ses tentatives de dribbles, en pleine course ou dans des petits espaces, ont longtemps été neutralisées par une défense bosnienne qui s’est rarement affolée face à la menace Leo. Le crack du Barça a fini par monter le volume autour de la 55e minute, conservant mieux le ballon pour décaler Aguero ou Di Maria. Au final, il tire le coup franc qui accouche du premier but et inscrit le second avec une énorme maîtrise des espaces et de ses gestes. Une soirée à fois inconstante et réussie.

Argentine: Sabella ne se plaint pascliquez pour agrandir


voir les photos Dimanche au stade Maracana de Rio de Janeiro, les joueurs d'Alejandro Sabella se sont montré timides contre la Bosnie (2-1), leur premier adversaire dans le groupe F de la Coupe du monde 2014. "Ç'a été un match équilibré, même si l'on a un peu mieux joué en deuxième période. L'entrée d'Higuain a permis à l'équipe de se créer des occasions et d'arracher le 2-0, qui nous a donné plus de tranquillité. Je ne peux pas me plaindre du résultat. Nous avons sans doute commis des erreurs et je me suis trompé sur certains choses, mais il faut aussi reconnaître le bon travail des Bosniens et savourer les trois points", estime le sélectionneur argentin sur le site Internet de la Fifa. Pour Safet Susic, son homologue, "l'objectif était de compliquer la tâche des favoris". "Je suis satisfait de ce que nous avons réalisé. Je savais que nos supporteurs seraient au rendez-vous, mais j'ai été surpris par l'accueil que nous ont réservé les Brésiliens", ajoute-t-il.

Argentine: Le facteur Higuain...

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Dans la nuit de dimanche à lundi, l'Argentine a écarté la Bosnie (2-1) en Coupe du monde, s'en remettant notamment à une réalisation de Lionel Messi pour faire la différence. Mais tout ne tourne pas autour de la star du FC Barcelone en sélection nationale. Gonzalo Higuain revêt lui aussi une grande importance dans la rotation d'Alejandro Sabella.
En effet, selon Opta, le buteur du SSC Naples, passeur décisif face aux Bosniens, est directement impliqué dans 5 des 10 derniers buts inscrits par les Argentins en Coupe du monde avec 4 réalisations et 1 passe décisive à son crédit.

Les paradoxes du succès argentin

Publié le 17/06/2014 à 08:27

Face à la bosnie. L'Albiceleste possède des armes offensives incomparables mais a misé sur la défense

Lionel Messi a inscrit le deuxième but de sa carrière en Coupe du monde ./ Photo AFP



Quelle mouche a bien pu piquer Alejandro Sabella, le manager argentin ? Comment et pourquoi proposer une organisation aussi défensive quand on possède dans ses rangs des armes offensives comme Messi, Agüero, Di Maria et Higuain ? Les trois premiers ont certes joué, tandis que le dernier, en délicatesse avec une cheville, a débuté sur le banc. Comme par magie, l'entrée du Napolitain en deuxième période a dynamisé le jeu et le trio magique a enfin joué sa partition pour une victoire étriquée (2-1).

Certes, malgré un palmarès vierge de toute participation à une phase finale mondiale ou européenne, la Bosnie-Herzégovine fait partie des équipes que l'on craint. Safet Susic, l'ancien parisien dispose de joueurs à fort potentiel tels Dzeko (Manchester City), Lulic (Lazio de Rome) ou Pjanic, resplendissant à la Roma après un passage mitigé à Lyon. Derrière enfin, la défense emmenée par un certain Spahic – expulsé avec le Bayer Leverkusen en 8e de finale de Champions League face au PSG – n'est pas du genre à reculer devant l'adversité.
Pourtant, les Argentins ont bénéficié d'un coup de pouce qui aurait dû leur permettre de desserrer le frein à main. Le malheureux Kolasinac a en effet marqué le troisième but contre son camp du Mondial brésilien en déviant un coup franc de Lionel Messi dans ses propres filets.
On ne jouait que la troisième minute et tout semblait en place pour le show. Or, au lieu de tenter de faire le break, l'Albiceleste a joué contre nature, préférant gérer petitement son avantage plutôt que de le faire fructifier.
Lionel Messi sort de sa boîte
Méconnaissable, Lionel Messi a perdu nombre de ballons et l'Argentine a laissé les clefs du match aux Bosniaques. Résultat, une purge de première période et deux grosses occasions d'égaliser pour les hommes de Susic (13, 41). Sans son gardien, Sergio Romero, remplaçant à l'AS Monaco et une certaine maladresse dans la finition, l'Argentine aurait sans doute baissé pavillon.
Mais on ne lutte pas indéfiniment contre la nature. L'entrée en jeu d'Higuain a, comme par hasard, changé la donne. Sergio Agüero et Lionel Messi ont alors enfilé leur costume de gala. Les dribbles improductifs du quadruple Ballon d'or ont fini par passer et ses combinaisons avec Agüero ont définitivement sonné le réveil et le glas des espoirs bosniaques.
Auteur d'un seul but en deux participations à la Coupe du monde, Lionel Messi a ainsi doublé son score sur une des chevauchées dont il s'est fait la spécialité. Une accélération pour s'ouvrir des espaces et une frappe poteau rentrant à ras de terre et l'affaire était pliée. Une demi-heure de football offensif aura suffi mais on espère beaucoup plus face à l'Iran samedi prochain.