ARGENTINA DANSEZ NOUS LE TANGO

Samedi 21 juin
18h00 - Argentine - Iran à Belo Horizonte (groupe F)

Ils sont tous sur le pont

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Les Argentins sont tous sur le pont (Reuters)




Pour la première fois depuis l'arrivée de l'Albiceleste au Brésil, Alejandro Sabella dispose de l'intégralité de son effectif. Mardi, Rodrigo Palacio avait rejoint le groupe et ce mercredi Angel Di Maria (repos) s'est entraîné normalement dans la matinée avec ses coéquipiers dans le bunker argentin de Cidade do Galo (Belo Horizonte). L'Argentine disputera son prochain match du groupe F contre l'Iran samedi à Belo Horizonte.

[size=40]Au diable les critiques ![/size]
Alejandro Sabella accorde peu d'importance aux critiques émises par la presse locale sur le système de jeu de l'Argentine. Certains estiment qu'il ne convient pas à Lionel Messi, mais lui reste serein et sûr de son équipe avant d'affronter l'Iran, samedi (18h00).

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Alejandro Sabella «n'écarte aucune hypothèse», pas même celle de changer de système. (Reuters)



Malgré les doutes émis autour de la tactique défensive de l'Argentine, le sélectionneur Alejandro Sabella n'a pas l'intention de se laisser influencer avant le deuxième match de l'Albiceleste, samedi face à l'Iran (18h00). Qu'importe si la presse locale a estimé que Lionel Messi n'avait pas été mis assez en valeur contre la Bosnie (2-1), avec notamment cinq défenseurs alignés, pas question de céder face à la pression populaire. «Messi a déjà dit plusieurs fois qu'il aimait le système en 4-3-3. Il n'a rien dit de nouveau et il l'a dit respectueusement», a expliqué Sabella, ce vendredi lors d'une conférence de presse à Belo Horizonte.



«Nous vivons dans une ambiance cordiale, respectueuse. On sent un grand esprit de groupe dans l'effectif», a-t-il ajouté. Pourtant après la victoire inaugurale de son équipe, le meneur du Barça avait tenu des propos ambigus, interprétés comme une critique voilée du sélectionneur. «Nous sommes l'Argentine et je crois que nous devons être bons quel que soit l'adversaire», avait-il déclaré. Mais pour Sabella, de problème il n'y a pas puisque c'est lui-même qui avait envoyé sa star pour s'exprimer devant la presse. «J'ai une confiance absolue dans les joueurs, a-t-il estimé. Je les envoie pour qu'ils parlent et qu'ils disent ce qu'ils veulent car je suis tranquille.»



«Si nous devons changer de schéma, nous le ferons»

Pour autant, Sabella «n'écarte aucune hypothèse», pas même celle d'opérer des changements de son équipe de départ, au sein laquelle Messi, Di Maria, Higuain et Agüero devraient figurer. «Le schéma de base est le 4-3-3, mais si nous devons en changer nous le ferons, a-t-il prévenu. Celui qui ne fait pas d'autocritique est considéré comme têtu et celui qui en fait comme faible. Chacun fait donc ce qu'il croit le meilleur pour l'équipe. Parfois les joueurs apprennent de l'entraîneur, mais parfois c'est l'entraîneur qui apprend des joueurs.» (Avec AFP)

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[size=40]Di Maria, l'(h)ombre indispensable
Au Real comme en sélection, Angel Di Maria n'est pas le plus en vue. Seul joueur à évoluer avec Ronaldo et Messi, les deux derniers ballons d'Or, le joueur de 26 ans est pourtant un homme clé. Il compte encore le démontrer face à l'Iran samedi (18h).

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Di Maria rejoint Agüero pour féliciter Messi après son but face à la Bosnie. (Reuters)

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Lors de la victoire de l'Albiceleste face à la Bosnie dimanche (2-1), le monde du football s’est surtout arrêté sur la performance de Lionel Messi, élu homme du match car décisif, mais pas encore à son meilleur niveau. Angel Di Maria, bien que plus constant, a dû une nouvelle fois laisser les honneurs.



Privé de projecteurs

Face à la Bosnie, Angel Di Maria s’est montré régulier et juste techniquement. Avec 85 % de passes réussies et 64 % de duels remportés, c’est bien lui qui s’est imposé comme le leader de l’Albiceleste, gratifiant au passage le public de gestes de grande classe. Mais malgré cet impact, les stars sont ailleurs, en les personnes de Messi, Agüero, ou encore Higuain. "Angelito" n’est qu’un serviteur, mais s’est habitué à voir la lumière des projecteurs lui échapper. A Madrid déjà, il a connu cette situation. La "BBC" - Bale, Benzema, Cristiano Ronaldo - est bien plus exposée que lui. Et devait même lui coûter sa place.



Replacé pour exister



En effet, avec l’arrivée de Gareth Bale, le numéro 22 était annoncé partant. Son couloir gauche devenu inaccessible, Di Maria n'a été convaincu de rester que par l'intervention Carlo Ancelotti. Le technicien italien l’a replacé en tant que milieu relayeur, en lieu et place de Sami Khedira (blessé). Un choix payant, qui a permis à "Fideo" – "Spaghetti", surnom hérité de sa corpulence frêle -  de rayonner dans l’entrejeu, aux côtés de Xabi Alonso et Luka Modric. Titulaire à 34 reprises en Liga, incontournable en Ligue des Champions, Di Maria est devenu, dans son nouveau positionnement, un élément inamovible du système madrilène. Un rôle qu’il occupe aussi avec l’Argentine, en soutien d’Agüero et Messi. Il fait partie des plans d’Alejandro Sabella depuis les débuts du technicien en juillet 2011. «Il est vital, quasiment irremplaçable» explique le sélectionneur. Avec plus de décrochages, et donc plus de ballons touchés (66 par match avec l’Argentine, 57 avec le Real), Di Maria est resté décisif, mais d’une autre façon.



Le passeur fou

Le natif de Rosario est devenu un as de la passe décisive. Avec 17 offrandes en Liga, il a terminé au sommet du classement des passeurs. Idem en Ligue des Champions (place qu’il partage avec Wayne Rooney et Karim Benzema) avec cinq autres, qui ont grandement contribué à la conquête de la Decima. Son habilité au service est tout aussi précieuse en équipe d’Argentine. Il a terminé meilleur passeur des éliminatoires de la zone AmSud avec cinq unités, à égalité avec Lionel Messi, encore lui, et le Paraguayen Victor Ayala. En club comme en sélection, sa précision dans les transmissions avoisine les 80 % !

Même s’il a reçu un coup contre la Bosnie, Di Maria a vite repris le chemin de l’entraînement, et devrait bien être aligné ce samedi face à l’Iran à Belo Horizonte (18h00). Histoire d’asseoir un peu plus son statut de discret indispensable.

Nathan Gourdol avec Opta

Mondial- L'Argentine mise sur ses "Quatre fantastiques"contre l'Iran
21/06/2014 07:25
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Un supporteur argentin avant le match Argentine-Bosnie au stade Maracana de Rio de Janeiro, le 15 juin 2014 - AFP/Archives Gabriel Bouys
Après des débuts poussifs face à la Bosnie, l'Argentine veut profiter de son deuxième match du Mondial, samedi à Belo Horizonte contre l'Iran, pour marquer les esprits avec le retour de ses "Quatre fantastiques" et du métronome Gago.

Gonzalo Higuain, remplaçant contre la Bosnie-Herzégovine (2-1) en ouverture du groupe D, reformera cette fois avec Lionel Messi, Angel Di Maria et Sergio Agüero le quatuor offensif tant redouté par les défenses adverses.
Et le carré magique de l'Albiceleste pourra s'appuyer sur le duo du milieu de terrain formé par Fernando Gago et Javier Mascherano pour faire tourner la tête de l'Iran, qui a accroché le Nigeria (0-0) dans son premier match.
Le sélectionneur Alejandro Sabella s'est fait suffisamment tapé sur les doigts pour ne pas reproduire face aux modestes Iraniens un schéma tactique défensif qui n'a pas permis à Messi d'exceller. Du moins jusqu'à la pause, moment choisi par le sélectionneur pour faire entrer Higuain, l'attaquant du Napoli, et Gago, précieux régulateur du milieu argentin.
"On a joué différemment par rapport à d'habitude en première période, mais c'était ma décision", avait soufflé Sabella après la rencontre, remportée grâce à un but inscrit en solo par son chef d'orchestre Messi.
"Nous sommes l'Argentine et il faut que nous soyons bons quel que soit l'adversaire", avait tonné "la pulga" devant les caméras du monde entier, dans un message clairement destiné à son sélectionneur.
L'Argentine, prétendante à la victoire finale, le 13 juillet à Rio, ne doit pas changer de partition en fonction de l'adversaire. C'est plutôt à elle de donner le rythme de la partie, avait claironné l'attaquant du FC Barcelone.
Passé son mea culpa - "Il faut qu'on s'améliore, une partie de cette amélioration me concerne" -, Sabella a posé les fondations de l'Argentine de demain. Qui est en fait celle d'hier.
"L'équipe qui a joué en seconde période était celle des qualifications avec Fernando (Gago) et Javier (Mascherano) ensemble. C'est une idée prioritaire. J'avais décidé autre chose... Les changements ont produit l'amélioration voulue", a-t-il reconnu.
L'artillerie lourde
Face à l'Iran, 43e nation mondiale, Sabella devrait faire dans le classique, d'autant que son capitaine Messi, qui fêtera ses 27 ans mardi, ne tolèrera pas une nouvelle fausse note.
"Le deuxième système de jeu (en seconde période), à nous les attaquants, ça nous plaît plus. Ca nous favorise. En première, on était derrière, on avait moins de ballons, on était plus loin. On a joué les deux systèmes, et on a gagné..." avec le deuxième, a analysé le quadruple Ballon d'Or.
"La vérité, c'est que quand j'ai eu le ballon, je l'ai perdu plusieurs fois et d'autres fois je le jouais en retrait. J'étais frustré de ne pas pouvoir jouer le match que j'avais prévu de faire".
Le pompier Sabella est venu éteindre les braises de la polémique naissante, vendredi, en rappelant que, même s'il "n'écarte aucune hypothèse", le système en 4-3-3 cher à Messi était "le schéma de base".
Avant de faire cette étonnante confidence, comme un clin d'oeil à son N.10 vedette: "Parfois les joueurs apprennent de l'entraîneur, mais parfois c'est l'entraîneur qui apprend des joueurs".
L'Iran est prévenu: l'Argentine va sortir l'artillerie lourde et le gardien adverse pourrait bien voir les balles fusées de tous les côtés.
Pas sûr que la résistance opposée aux champions d'Afrique pour le premier match soit suffisante face à des Argentins qui ont la gâchette facile. Limité techniquement, l'Iran s'était retranché dans son camp en espérant réaliser un hold-up sur une contre-attaque de Reza Ghoochannejad, seul en pointe.
L'attaquant de Charlton (2e div. anglaise), héros des qualifications, s'était distingué avec une tête à bout portant que le gardien Vincent Enyeama avait repoussée d'une parade réflexe.
A Belo Horizonte, les Iraniens n'auront pas seulement les "Quatre fantastiques" et leurs comparses pour adversaires, mais aussi quelques dizaines de milliers d'Argentins, qui ont commencé à affluer dans la capitale du Minas Gerais.
La police a mobilisé 1.200 hommes pour canaliser l'arrivée de ces supporteurs argentins, redoutant des débordements de la part des "barras bravas", les plus fanatiques.

France/Monde - Groupes f et g
L'Argentine et l'Allemagne dans les temps
21/06/2014 05:32
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L'Argentine de Messi veut faire le plein de confiance. - (AFP)

Les Ticos sortent les Anglais

Argentine - Iran : une victoire suffit à l'Albiceleste. L'Argentine a toutes les cartes en mains pour se qualifier pour les huitièmes de finale : une victoire contre l'Iran et c'est dans la poche. Et cette rencontre à Belo Horizonte s'annonce plus que déséquilibrée. L'Argentine a montré contre la Bosnie (2-1) au Maracana que quand elle éteint son mode « défense » et qu'elle passe en « tous à l'attaque », avec ses quatre fantastiques – Messi, Di Maria, Higuain et Agüero - elle est irrésistible. Le quadruple Ballon d'or a d'ailleurs passé en revue toute la défense bosnienne pour un but exceptionnel. « Le Maracana méritait un tel but », a savouré Zico, l'ancienne idole de la Seleçao. Alors forcément, l'Iran, 43^e au classement Fifa, peut s'attendre à souffrir. Les hommes de Carlos Queiroz savent que le match contre l'Albiceleste n'aura rien à voir avec celui qui leur a permis de gagner un point face à un pauvre Nigeria (0-0).

[size=36]rgentine: La compo probable face à l'Iran[/size]

voir les photos






Ce samedi, à partir de 18 heures, l'Argentine affronte l'Iran pour le compte de la deuxième journée du groupe F de la Coupe du monde. Après avoir vaincu la Bosnie, l'Albiceleste espère enchaîner et devrait présenter pour l'occasion un onze de départ similaire à celui qui avait entamé la deuxième période face à Miralem Pjanic et consorts lundi dernier. Le onze de départ probable de l'Argentine: Romero - Zabaleta, Garay, Fernandez, Rojo - Gago, Mascherano, Di Maria - Messi, Agüero, Higuain.

90+1

ARGENTINE 1 0 IRAN
L. Messi
But

OUFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF
MAIS SI MAIS SI !!!!!!!
91 EME MINUTE MESSI OUVRE LE SCORE POUR L'ARGENTINA
But de Lionel Messi ! Touché sur le côté droit, le capitaine de l'Albiceleste repique au centre,
efface Ghoochanneijhad et enchaîne avec une frappe enroulée du pied gauche. Dans le petit filet opposé.
SCORE FINAL ARGENTINE 1 IRAN 0 .....ARGENTINE
Maintenant il ne reste plus qu"à la FRANCE de terminer premiere pour eviter l'ARGENTINE en 8 eme de finale !!!!!

Mondial : Messi sauve l'Argentine
Publié le Samedi 21/06/2014 à 19H55



L'Argentine s'est qualifiée pour les 8e de finale du Mondial-2014 en battant par l'Iran 1-0 dans un match du groupe F du Mondial-2014, ce vendredi au stade Mineirao de Belo Horizonte. Lionel Messi a libéré l'Albiceleste en inscrivant le but de la victoire dans le temps additionnel (90+1). L'Argentine est le 5e qualifié pour les 8e après les Pays-Bas, le Chili, la Colombie et le Costa Rica.

Mondial 2014 : Messi sort l'Argentine du piège iranien
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Publié le 21/06/2014 à 19h47 , modifié le 21/06/2014 à 20h08 par 
SudOuest.fr


Un but de leur attaquant vedette permet aux Argentins de s'imposer in extremis face à des Iraniens accrocheurs et de se qualifier pour les huitièmes de finale




[size]
[size=11][size=11]Stade : Mineirão (Belo Horizonte, Brésil)
[/size][/size][/size][size][size]
[size=24]ACTIONS


Buts
[/size][/size][/size]

• 90'+1
  Messi
  

[size][size][size]
Cartons
[/size][/size][/size]

• 53'
  Nekounam
  
• 73'
  Shojaei
  

[size][size][size]
Remplacements
[/size][/size][/size]

• 77'
  Kun Aguero
  parLavezzi
  77'
  Shojaei
  
  parHeydari
  
  
• 77'
  Higuain
  parPalacio
  85'
  Dejagah
  
  parJahanbakhsh
  
  
• 90'+4
  
  [size=17]Di Maria
  parBiglia[/size]
  
  
  

P
our finir d'entrer dans l'histoire du foot, Lionel Messi sait ce qu'il lui reste à faire : réussir une grande Coupe du monde. Pour l'instant, le prodige argentin n'éclabousse pas la compétition de son talent. Mais il faut lui reconnaître un poids considérable dans le parcours de sa sélection. Après avoir marqué le deuxième but face à la Bosnie (le premier avait été un contre-son-camp) lors du premier match, il a fait trembler les filets iraniens ce samedi. Et ainsi permis à l'Argentine de se qualifier pour les huitièmes de finale.
Pourtant, pendant 91 minutes, la Celeste a souvent manqué d'inspiration ou de réussite face à des Iraniens diablement accrocheurs, et pour qui un match nul constituait déjà un exploit. Les joueurs de Carlos Queiroz ont concédé plusieurs occasions (14e, 22e, 23e, 60e), mais s'en sont également procurés (42e, 50e, 65e). Preuve que l'Argentine s'en sort bien, mais aussi qu'elle devra élever son niveau de jeu pour espérer soulever le trophée.
Avec un 1 point au compteur, les Iraniens peuvent toujours se qualifier. Le match entre le Nigeria et la Bosnie (0h samedi soir) dira si leurs chances sont réelles ou infimes.

P

Mondial 2014 : Messi sort l'Argentine du piège iranien

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Publié le 21/06/2014 à 19h47 , modifié le 21/06/2014 à 20h08 par 

SudOuest.fr




Un but de leur attaquant vedette permet aux Argentins de s'imposer in extremis face à des Iraniens accrocheurs et de se qualifier pour les huitièmes de finale



Samedi 21 juin 2014 à 18:00






Argentine


Iran



1-0

Mi-temps0 - 0

1er6 pts

3e1 pts


Arbitre : Milorad Mazic


Stade : Mineirão (Belo Horizonte, Brésil)

57698 spectateurs (92%)



ACTIONS





Buts

[*]

90'+1

Messi


Cartons

our finir d'entrer dans l'histoire du foot, Lionel Messi sait ce qu'il lui reste à faire : réussir une grande Coupe du monde. Pour l'instant, le prodige argentin n'éclabousse pas la compétition de son talent. Mais il faut lui reconnaître un poids considérable dans le parcours de sa sélection. Après avoir marqué le deuxième but face à la Bosnie (le premier avait été un contre-son-camp) lors du premier match, il a fait trembler les filets iraniens ce samedi. Et ainsi permis à l'Argentine de se qualifier pour les huitièmes de finale.
Pourtant, pendant 91 minutes, la Celeste a souvent manqué d'inspiration ou de réussite face à des Iraniens diablement accrocheurs, et pour qui un match nul constituait déjà un exploit. Les joueurs de Carlos Queiroz ont concédé plusieurs occasions (14e, 22e, 23e, 60e), mais s'en sont également procurés (42e, 50e, 65e). Preuve que l'Argentine s'en sort bien, mais aussi qu'elle devra élever son niveau de jeu pour espérer soulever le trophée.
Avec un 1 point au compteur, les Iraniens peuvent toujours se qualifier. Le match entre le Nigeria et la Bosnie (0h samedi soir) dira si leurs chances sont réelles ou infimes.

Messi et l'Argentine en 8 es
22/06/2014 05:38
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Lionel Messi, quadruple Ballon d'or, a une nouvelle fois sauvé les Argentins en fin de match. - (AFP)
Argentine - Iran : 1-0 Lionel Messi a qualifié les siens pour les 8 es de finale, inscrivant le seul but dans le temps additionnel contre un Iran surprenant.

	Les Français en état de grâce
	L'Allemagne freinée par le Ghana
	L'Équateur force la France à attendre

L'Argentine rejoint dans le top 16 les Pays-Bas, le Chili, la Colombie et le Costa Rica. Après une laborieuse victoire (2-1) face à la Bosnie-Herzégovine, la Céleste a souffert de mille maux avant de se défaire de l'Iran de Carlos Queiroz, qui avait déjà obtenu un nul (0-0) mérité contre le Nigéria.
 Hiaghigi le match quasi parfait
Un coup de génie de Leo a encore sauvé les Sud-Américians bien mal engagés dans cette partie. Le quadruple Ballon d'or a effacé Reza Ghoochannejad avant d'enchaîner avec une frappe enroulée du gauche pour tromper Hiaghigi jusque-là impeccable. Les Iraniens, qui auraient même pu l'emporter sans une grande performance du portier argentin Romero – le « Fantastique » du jour – qui s'est interposé de façon déterminante en trois occasions (53, 64, 67), ont crânement joué leur chance.
Physiques et accrocheurs, les hommes de Queiroz sont surtout restés derrière en première période mais ont réussi à endiguer la demi-douzaine d'occasions plus ou moins franches des hommes d'Alejandro Sabella. Puis, devant l'impuissance et l'imprécision des coéquipiers de Messsi, ils ont commencé à prendre confiance en seconde période montrant leurs qualités techniques avec jeu de passes et dribbles à la clé. L'équipe des « Quatre Fantastiques » (Messi, Higuain, Agüero et Di Maria) a finalement eu raison de leur courage. Les derniers matchs du groupe auront lieu le 25 juin : Nigeria-Argentine à Porto Alegre et Bosnie-Herzégovine - Iran à Salvador.
le match
Mi-temps : 0-0.
Spectateurs : 57.698.
Arbitre : M. Mazic (Ser).
But : Messi (90^e+1).
Avertissements : à l'Iran, Nekounam (53^e), Shojaei (73^e).

Argentine-Romero: "Vous avez vu ce qu'il a fait ?"

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Buteur tardif, Lionel Messi a permis à sa sélection argentine de l'emporter sur le fil face à l'Iran (1-0), samedi, dans le cadre de la 2e journée du Mondial brésilien. Auteur d'un grand match dans les buts argentins, Sergio Romero, le portier de l'AS Monaco, a commenté le but de son compatriote au micro de Fifa.com."Vous avez vu ce qu'il a fait ?, a commenté à chaud le gardien argentin, en désignant Lionel Messi. Moi, je l'ai vu de derrière. C'est son action signature. Il démarre sur la droite et il va chercher le second poteau. Depuis ma surface, j'avais l'impression que le ballon était très loin du gardien. Avec tous ces écrans géants, on en profite beaucoup plus".

Mondial 2014 : Argentine, c’est quoi le problème ?
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Publié le 23/06/2014 à 06h00 , modifié le 23/06/2014 à 09h07


Qualifiée pour les 8e de finale, l’Albiceleste soulève nombre d’interrogations
Pour aller loin dans la compétition, le sélectionneur Alejandro Sabella doit élever le niveau de jeu de son équipe.© PHOTO 
PHOTO AFP.








E
t voilà un pays fou de foot de plus de 40 millions d'habitants qui n'a plus qu'un mot à la bouche : Messi. Le crack du Barça est à lui seul responsable de la qualification de l'Argentine en 8e de finale au bout de deux matches. Deux exploits personnels de « la Pulga » ont permis à l'Albiceleste de gagner contre la Bosnie (2-1, le premier but argentin étant un contre son camp de Kolasinac) et contre l'Iran (1-0).

• Messi-dépendance
  

[size][size]
Messi « résout tous les problèmes », comme l'a écrit le grand quotidien argentin Clarin. C'est vrai. Mais que se passera-t-il s'il est dans un mauvais jour ou blessé ? Contre une étonnante équipe d'Iran, accrocheuse et dotée d'un gardien époustouflant, Haghighi, il s'en est fallu vraiment de peu. La très belle frappe enroulée du gauche du numéro 10 argentin n'est venue qu'à la première minute du temps additionnel.
Contre l'Iran samedi, l'Argentine a bafouillé son foot jusqu'à l'éclair de génie de son leader. « On avait l'impression que Leo ne trouvait pas l'équipe et que l'équipe ne le trouvait pas », a résumé Clarin. Messi lui-même n'en a pas fait mystère : « Nous ne montrons pas ce dont nous sommes capables ».
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• Schémas de jeu inopérants
  

[size][size]
En fait, l'Albiceleste n'a été convaincante ni contre la Bosnie, ni contre l'Iran, alors que deux schémas de jeu différents étaient en place au coup d'envoi. Contre la Bosnie, le onze titulaire était défensif, organisé en 5-3-2. Et Messi avait réclamé la titularisation pour le match suivant des « Quatre fantastiques », bande qu'il forme avec Higuain, Agüero et Di Maria. Le coach Alejandro Sabella s'était plié de bonne grâce à la requête contre l'Iran avec un schéma en 4-3-3. Mais le jeu fut complètement décousu, Messi jouant trop bas, Di Maria paraissant bien seul sur son côté, tandis qu'Higuain et Agüero n'ont pas pesé. Sabella peut-il tenter autre chose ? Peut-il améliorer la communication entre les joueurs sur le terrain ?
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• L'envahissant Maradona
  

[size][size]
L'ancienne idole était présente dans les tribunes pour le match contre l'Iran, derrière ses lunettes noires. Mais Maradona, ancien sélectionneur (au Mondial-2010) n'est pas qu'un simple spectateur. Il a une émission, De Zurda, qu'il partage avec le journaliste Víctor Hugo Morales, sur l'antenne de Telesur. Et « El Diez » ne mâche pas ses mots : « Je vois l'Argentine sans rythme. J'ai vu une Argentine qui n'a pas encore trouvé le bon cap ». Des mots qui pèsent.
En outre, le président de la Fédération argentine de football (AFA), Julio Grondona, l'a accusé d'être un « mufa » (une personne qui porte malchance). Car contre l'Iran, le but de Messi a été inscrit (90+1e) au moment où Maradona avait quitté la tribune. « Pauvre stupide. C'est le mérite de Messi, et non pas parce que je suis parti », a réagi l'ancien joueur de Naples dans son programme. « Je tiens à dire (à Grondona) que tout ce que je possède, je l'ai gagné avec mon travail, alors que lui l'a acheté avec la Fifa », a encore lancé « El Pibe de Oro » en effectuant un doigt d'honneur face à la caméra destiné au dirigeant de l'AFA. L'Argentine n'avait pas besoin d'un tel climat autour d'elle.
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[size=36]Et soudain, la patte de Messi…[/size]

Publié le 22/06/2014 à 03:47, Mis à jour le 22/06/2014 à 08:45

Hier. Groupe F. L'Argentine s'en est une nouvelle fois sortie un peu par miracle et, surtout, grâce à son génie de N°10

L'Argentine doit encore une fière chandelle à sa star./ Photo AFP


Sur le fil ! Il a fallu attendre la première minute du temps additionnel pour que Lionel Messi trompe enfin, d'une frappe enroulée du gauche, le gardien iranien Haghighi, jusqu'ici homme du match face à une bien pâle Albiceleste.
Avec cet éclair, Messi a évité de gros remous dans les vestiaires argentins et un déchaînement des passions à Buenos Aires.
Que ce fut dur pour l'Argentine ! Malgré la présence des «quatre fantastiques», le quatuor que forme Messi avec Higuain, Di Maria et Agüero, l'Argentine a renvoyé l'image d'une équipe fatiguée, la star du Barça restant trop longtemps dans une position étonnamment basse, loin du but.
Sabella va sûrement avoir une explication de texte avec ses joueurs. Et ces derniers devront sans doute se dire leurs quatre vérités s'ils veulent voir le Maracana le 13 juillet, jour de la finale.
Certaines sanctions sont déjà tombées pendant le match, quand Agüero et Higuain ont été remplacés à moins d'un quart d'heure de la fin du match.
Il fallait des coupables, car l'Argentine est tout de même passée à deux cheveux de l'humiliation sur deux têtes iraniennes. À la 52e, sur un centre de Monterazi, Reza a bien failli ouvrir le score, Romero relâchant la balle sans qu'aucun autre Iranien n'ait suivi. Et à la 67e, le même gros frisson parcourut le stade quand Romero détourna du bout des gants sur la transversale une tête de Dejagah.
L'Argentine n'aurait-elle pas eu intérêt à faire jouer son prodige plus, plus près du but adverse ?
Messi s'est réveillé une première fois vers l'heure de jeu mais, au terme de sa course, sa balle est passée au ras du poteau iranien.
Jusqu'aux arrêts de jeu, Haghighi s'était interposé sur toutes les ocasions argentines. Courageux, le portier du Sporting Covilha avait entamé sa démonstration dès la 13e en n'hésitant pas à se jeter dans les pieds d'Higuain, s'en tirant, grimaçant, avec une belle éraflure sur un tibia après ce duel avec le joueur de Naples.
Il a ensuite multiplié les manchettes et les sorties aériennes impériales, jusqu'à la fulgurance de Messi. Il faudra que l'Argentine montre autre chose pour la suite.

le chiffre
256.246
C'est le nombre de tweets générés par minute par le but décisif de Lionel Messi, samedi, contre l'Iran. Marqué dans les arrêts de jeu, il permet à l'Argentine d'arracher la victoire (1-0) et d'assurer sa qualification en 8^es de finale. Il s'agit d'une des actions les plus commentées sur les réseaux sociaux depuis le début du Mondial, le record restant à 261.026 pour le rouge du Portugais Pepe contre l'Allemagne.

Mondial 2014. Maradona : « Je vois l'Argentine sans rythme »
Brésil - 22 Juin
écouter

• Diego Maradona dans les tribunes. | Photo : EPA
  

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L'ancien joueur-vedette et sélectionneur argentin Diego Maradona a vu une équipe d'Argentine "sans rythme" et perdue sur le terrain samedi contre l'Iran.

« Je vois l'Argentine sans rythme. J'ai vu aujourd'hui (samedi) une Argentine qui n'a pas encore trouvé le bon cap », a dit l'ancienne gloire du football argentin dans son émission De Zurda, qu'il partage avec le journaliste Víctor Hugo Morales à l'antenne de Telesur.
« Je pense quel'Argentine n'a toujours pas trouvé sa position sur le terrain », a dénoncé le champion du monde 1986.
Alejandro Sabella avait opté pour un schéma tactique défensif en 5-3-2 contre la Bosnie (2-1) pour son premier match du groupe F, peu convaincant, ce qui l'avait conduit à revenir au classique 4-3-3 contre l'Iran.
Maradona a également répliqué au président de la Fédération argentine de football (AFA), Julio Grondona, qui l'a accusé d'être un « mufa » (une personne qui porte malchance) selon la presse locale. Le but de Messi a été inscrit (90'+1) au moment où Maradona, qui assistait à la rencontre dans le stade de Belo Horizonte, avait quitté la tribune.
« Pauvre stupide. C'est le mérite de Messi, et non pas parce que je suis parti », a-t-il réagi dans son programme.
« Je tiens à dire (à Grondona) que tout ce que je possède, je l'ai gagné avec mon travail, alors que lui l'a acheté avec la Fifa, » a dit l'ancien sélectionneur de l'Albiceleste (2008-2010) en effectuant un geste obscène de la main.L'Argentine dispute son dernier match de poule contre le Nigeria mercredi à Porto Alegre.