QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

JE COMMENCE A M "HABITUER A CE MAILLOT CHAMPION" S LEAGUE
23 février 2011
«Marseille a la scoumoune


Privé de Gignac pour la réception de MU, mercredi, Marseille ne doit pas partir à l'abordage pour préserver une chance avant le match retour.




Heinze - qui va retrouver son ancien club-, Lucho et Rémy devront préserver les chances de qualification de l'OM avant le match retour à Manchester.
Privé de Gignac pour la réception de MU, mercredi, Marseille paraît limité en attaque. L'OM ne doit dans tous les cas pas partir à l'abordage : il faut préserver l'enjeu du match retour.

«Le problème des Marseillais cette saison, c'est qu'ils ont la scoumoune. Même si ce n'est pas un Marseille étincelant en Championnat, celui de la Ligue des champions a montré des facultés mentales que je ne soupçonnais pas. Après avoir très mal commencé la poule par deux défaites, ils sont allés arracher la qualification de belle manière. Même si c'était une poule à leur niveau, ils ont quand même battu un Chelsea remanié lors du dernier match. De son côté, Manchester United a aussi été mis en difficulté à domicile dans une poule compliquée, mais il a aligné trois victoires à l'extérieur. Valence, Glasgow Rangers, c'étaient des équipes qu'il fallait se farcir. Et pourtant, ils sont allés gagner là-bas, à chaque fois sur le plus petit des scores. Ça montre que c'est une équipe qui est bien mieux à l'extérieur qu'elle ne l'est à domicile en C1.

Avec l'absence de Gignac, qui est un des rares joueurs à marquer des buts depuis janvier, Marseille va devoir se trouver d'autres buteurs. On a vu que Rémy s'était réveillé, Lucho aussi, mais il semble que l'effectif de Marseille soit un peu limité en attaque. L'absence de Gignac va donc peser lourd. Il ne faudra absolument pas que Marseille joue, comme cela lui arrive, avec certains joueurs qui ont de grosses sautes de concentration, parce que là ils vont le payer cash. En face, ils auront des buteurs nés.

Ces joueurs de MU, ils viendront au Vélodrome pour essayer de mettre trois buts et de tuer l'enjeu du match retour. Si Marseille se jette à l'abordage, si ça commence à partir dans tous les sens, ça va être pénible à regarder. Ça va aller très vite en contre, ça va faire très mal, car c'est la meilleure défense d'Angleterre, notamment l'axe Vidic-Ferdinand, ce sont des mes qui jouent ensemble depuis des années, ils ont des automatismes, ils jouent en bloc. Ce n'est pas la meilleure équipe de Premier League, mais c'est la plus performante. Marseille devra se mettre dans la tête qu'une qualification se joue sur deux matches. Il y aura des occasions à Old Trafford. Il ne faut absolument pas donner le bâton pour se faire battre au Stade Vélodrome. L'OM doit se dire qu'un 0-0 fera l'affaire pour le match retour. Il faut bien rester campé sur ses positions, jouer intelligemment, ne pas se découvrir. Il y aura la possibilité de marquer à l'extérieur, mais il faut vraiment être intelligent à l'aller, jouer en bloc, pour garder toutes ses chances de qualification. Il faudra qu'ils restent concentrés jusqu'au bout, car, avec tout le respect que j'ai, ce n'est pas un match de Ligue 1.»

LE ROUGE EST MIS

H MOINS 10

Sir Alex Ferguson rouge indélébile
PORTRAIT Depuis 1986, le manager écossais a transmis sa culture de la gagne à des générations de Red Devils. Unique

H MOINS 9

203
C’est le nombre de
journalistes, venant de
onze pays, accrédités
pour la rencontre
OM- Manchester
United. 40 chaînes
de télé diffuseront
l’événement



Un rendez-vous historique

Marseille capitale du football français. Jamais depuis la venue du
Real Madrid, le mercredi 26 novembre 2003, l’engouement médiatique
autour d’une rencontre n’avait été aussi démesuré. Il dépasse largement
le cadre de la demi-finale de la coupe UEFA contre Newcastle,
le 6mai 2004 (photo). Entretemps, l’OM s’est éloigné de la Ligue des
champions, pour se reconstruire et y revenir pas à pas. Si par le passé,
le club avait réussi à sortir de la première phase de poule pour disputer
un deuxième tour, c’est la première fois de son histoire qu’il participe
à un huitième de finale de la plus célèbre compétition européenne.
L’événement suscite un intérêt réel, plus fort que Lyon- Real, joué hier
soir. Marseille reste à part. Aujourd’hui, 3000 Anglais investissent la
ville et 40chaînes de télé auront leurs objectifs braqués sur la plus
vieille cité de France. Marseille redevient le centre du monde…


"Nous avons voulu
satisfaire tous les
médias, faire en sorte
que le maximum soit
représenté, afin
d’optimiser
l’exposition du club
et de la ville."
ALEXANDRE ROSÉE
ATTACHÉ DE PRESSE DE L’OM

Le temps est toujours au beau fixe, avec un léger courant d'air qui fait du bien lol

olympien13 a écrit:Le temps est toujours au beau fixe, avec un léger courant d'air qui fait du bien lol

nous avons en ligne notrre correpondant local sur marseille


donc olympien
pas de vent donc

H MOINS 7
L’Europe se bouscule au Vélodrome
OM-MANCHESTER UTD Le 8e de finale aller
de la Ligue des champions (20h45)
provoque un emballement médiatique


92médias différents plus 17 agences de presse, soit 203 journalistes seront présents au stade
Vélodrome
. Un avant-goût en a été donné hier,
lors de la conférence de presse


1400 supporters de
Manchester resteront
après le match pour
ne repartir que demain



Un rendez-vous comme
Marseille aime les déguster.
Une occasion idéale
pour mettre entre parenthèses
tous les tracas du quotidien.
Quand l’OM marche sur les traces
de son passé européen, la ville
tout entière se reprend à vibrer.
Le huitième de finale de la
Ligue des champions face aux
Red Devils ce soir, à 20h45 au stade
Vélodrome, favorise l’exposition
de la cité phocéenne à travers
l’Europe.
Qu’importe l’issue de la
confrontation - la dixième dans
l’enceinte du boulevard Michelet
entre le club olympien et un
adversaire anglais (lire ci-dessous)
-, Marseille en sortira gagnante.
En notoriété, en image,
en retombées économiques.
203 journalistes ont en effet
été accrédités pour couvrir le
match. Si les Britanniques - supporters
et médias - ne semblent
pas faire de rapprochement entre
Éric Cantona et son fief natal,
considérant avant tout le "King"
comme un dieu élevé à Old Trafford,
cela ne les empêche pas de
s’intéresser à la ville, qu’ils vont
(re)découvrir durant vingt-quatre
heures. L’OM a d’ailleurs été
contraint de rejeter de nombreuses
requêtes. "C’est le plus gros
engouement connu depuis la venue
du Real Madrid en 2004, explique
Alexandre Rosée, attaché
de presse de l’OM. Nous avons
privilégié plusieurs critères : satisfaire
tous les médias, faire en sorte
que le maximum soit représenté,
quitte à demander à certains
de limiter le nombre de journalistes
; donner la priorité à ceux qui
travaillent."Malgré cela, la tribune
de presse du stade Vélodrome
est trop petite. "Mais nous nous
adapterons, annonce Alexandre
Rosée. Car il y a toujours des désistements
liés à des envoyés spéciaux
affectés sur d’autres missions
au dernier moment."
Entre les détenteurs de droits
télévisés et radiophoniques,
92 médias différents plus 17
agences de presse, soit 203 journalistes
seront présents au stade
Vélodrome : 95 pour la presse
écrite, 26 reporters radios, 28
commentateurs télé, 54 photographes
suivront la rencontre
pour la France, l’Angleterre, la
Suède, l’Irlande, la Pologne, la
Belgique, le Qatar, le Japon, l’Italie,
la Grèce et l’Allemagne.
"Il y a même un reporter du
Journal de la Haute-Marne", glisse
malicieusement Alexandre Rosée,
histoire de rappeler que le
stade n’est fermé à personne
alors que 40 chaînes télé retransmettront
la rencontre.
Un Vieux-Port
à l’accent British
La préparation a été un travail
de sape, nécessitant de nombreuses
réunions préparatoires.
"L’UEFA est assez stricte sur l’organisation,
le timing, le respect
du cahier des charges, poursuit
Rosée. Il n’y a pas de place pour
l’approximation. Les préparatifs
ont été tendus, mais agréables,
car ce genre d’organisation nous
change du quotidien." Pour plusieurs
services de l’OM, la soirée
a valeur de test. "Àl’exception de
soucis techniques, souvent imprévisibles,
nous avons toujours reçu
les félicitations de l’instance européenne
pour la disponibilité et
l’investissement du club". Il n’y a
aucune raison que cette appréciation
change…
L’autre dossier chaud concerne
évidemment la sécurité.
L’OM a mobilisé 767 stadiers. Le
plan dévoilé lundi par le préfet
Gilles Leclair comprend 600 policiers
affectés à la surveillance de
la ville (La Provence d’hier). Le
point le plus sensible sera le secteur
du Vieux-Port, où les Anglais
devraient se retrouver, libres,
en début d’après-midi.
Quelque 3 000 supporters de
Manchester United sont attendus.
Une bonne partie (1 200)
quittera Marseille directement
après le match en étant dirigés
soit vers Marignane, soit vers Nice.
Les autres passeront la nuit
dans la cité phocéenne. Pour éviter
tout débordement, le dispositif
de sécurité est maintenu jusqu’à
demain

Le faible vent est toujours présent, et le soleil idéal.

comme la meteo l'indique
le soleil est sur le sud

Le ciel est très dégagé !

H MOINS 5
pas d'anglais à l'horizon QUOIQUE...........
messieurs les anglais c'est nous qui tirerons les premiers



Quand les Anglais débarquent en ville
Leur réputation sulfureuse suffit à
déclencher la psychose. Les supporters
britanniques portent en eux le
lourd poids d’un passé marqué par
le hooliganisme. Pourtant, le seul
épisode douloureux concernant leur
passage à Marseille remonte au
mois de juin 1998, durant la coupe
du monde.
Les violents heurts entre les Anglais
et les forces de l’ordre avaient démarré
sur le Vieux-Port à la veille du
premier match du groupe G entre la
Perfide Albion et la Tunisie. Un
concert en plein air prévu quai des
Belges le soir même avait dû être purement
et simplement annulé après
les affrontements de l’après-midi.
Les assauts des CRS s’étaient multipliés
quai de Rive-Neuve, au pied de
la série de mille portraits réalisés
par l’artiste Pierre Maraval.
48 blessés, une cinquantaine d’interpellations
: la fête virait au cauchemar.
Si le calme allait progressivement
revenir au milieu de la nuit, le
calvaire reprenait le lendemain entre
le Prado et le stade Vélodrome,
avant la rencontre. Treize ans plus
tard, la légende populaire retient
que les enfants tunisiens de Marseille
ont défendu leur ville…
Mais ces graves incidents ne se sont
jamais répétés depuis, malgré la répétition
de matches opposant l’OM à
des clubs anglais*. Il y a bien eu quelques
projectiles lancés et des filets
de protection arrachés par les supporters
de Chelsea le 8 décembre,
mais absolument rien de comparable.
Les Anglais étaient 12000 il y a
treize ans ; ils seront quatre fois
moins nombreux aujourd’hui. Lors
de leurs dernières visites, les joyeuses
accolades avec les supporters
olympiens sont même devenues régulières.
Pourvu que ça dure !
A.J.
(*) La première confrontation remonte à
1976. L’OM avait alors battu Southampton
(2-1) en Coupe des vainqueurs de coupe.
Huit autres matches ont suivi : Man Utd,
Liverpool (x3), Newcastle, Bolton
et Chelsea (x2).


Les supporters de Manchester ont déjà la fièvre


Les premiers supporters anglais sont arrivés dès hier matin,
direction le pub… Déjà chauds bouillants !
Comment dénicher des supporters
anglais dans une grande
ville comme Marseille ? Élémentaire
mon cher Watson… Il suffit
de se rendre dans un pub, en l’occurrence
l’incontournable
O’Malley. Et là, sans surprise, se
trouve déjà une vingtaine de Britanniques
fraîchement débarqués
le matin même, une bonne
pinte de "Carlsberg" à la main,
qui ont donc commencé le
match avec une journée d’avance.
Et le poursuivront de longues
heures…




Motivés, chauds mais
d’humeur festive : "Faut arrêter
de nous faire passer pour des bad
guy (méchants), lâche Patrick,
un bon bougre d’une vingtaine
d’années. "Nous, on est juste là
pour voir un match, tomber des
bières et draguer des filles. Après,
y’aura toujours des mecs qui
n’ont rien à voir avec le foot et qui
viennent chercher des histoires".
À quoi reconnaît-on, maintenant,
un vrai fan des Red Devils ?
Il suffit de glisser dans la discussion
qu’à notre avis, Manchester
va repartir de Marseille avec sa
première défaite européenne de
l’année. Et là, après quelques secondes
de stupéfaction, le gars
en face part dans un immense
éclat de rire, en vous tapant dans
le dos comme si vous veniez de
sortir la meilleure blague qu’il
ait entendue depuis des lustres…
"Ça fera au moins 2 à 0
pour nous", lâche, moins diplomate,
un autre fan de MU, et encore
je suis gentil avec vous…".
En attendant, le grand gagnant
de ce 8e de finale est déjà
connu: l’économie marseillaise.
"Les hôtels affichent tous complet
pour ce soir et nous avons d’excellents
taux de remplissage pour demain",
se réjouit Maxime Tissot,
Directeur de l’Office de Tourisme.
"Pour nous ça représente
près de 200 clients, dont certains
resteront deux nuits. Alors que
mon hôtel subit le lourd impact
du chantier du Tunnel Prado
Sud, c’est tout à fait appréciable",
confirme Jean Laloge, directeur
de l’Inter Hôtel, situé près du Vélodrome.
"Vu le niveau des retombées,
on signerait volontiers pour
un quart", souffle Maxime Tissot.
L’homme peut toujours se
raccrocher à un vieil adage populaire,
mis à la sauce marseillaise
en 1993 et encore vérifié par les
trois titres remportés l’an dernier
qui soldaient 18 saisons de
guigne, qui ditque le football se
joue à onze contre onze et que
Didier Deschamps gagne toujours
à la fin

H MOINS 4
OLYMPIEN TOUJOURS PAS DE VENT....
LA SURPRISE
Evra accueilli avec chaleur
à Marseille-Provence
L’ancien capitaine des Bleus est
arrivé tout sourire, hier, à Marignane


Son retour en France
était attendu, scruté par
les observateurs. Comment
les Français allaient-
ils réagir à la vue du
paria de Knysna, capitaine
des Bleus dans un Mondial
tristement historique ? Allaient-
ils cracher au visage
de celui qui fut le capitaine
des grévistes ? Fallait-
il mobiliser un escadron
de CRS pour assurer
sa protection ? Rien de
tout cela…
Car hier, à l’aéroport
Marseille-Provence de Marignane,
le soufflé s’est dégonflé
lorsque Patrice
Evra a fait son apparition. Le latéral gauche, qui a prolongé jusqu’en
2014 avec les Red Devils, s’est donc montré tout en décontraction
avant d’aller, comme Sir Alex Ferguson, à la rencontre de
la quarantaine de courageux qui faisait le pied de grue : photo, autographes,
tout y est passé. L’ancien Monégasque aura eu droit à un
bel accueil, nourri par les applaudissements et les encouragements
des supporters. "Evra, t’es le meilleur !", a même osé un minot;
"Pat’, viens à l’OM !", a ensuite renchéri un jeune homme.
Finalement, il semble déjà loin le temps où Lilian Thuram, Michel
Platini et, plus récemment, Chantal Jouanno, la ministre des
Sports, réclamaient en bloc son expulsion ad vitam aeternam du
groupe tricolore

Le temps est toujours idéal, la température très agréable, il n'y a plus trop de vent.

H MOINS 3
merci olympien
voilà apres pas mal d'embouteillages
je suis arrivé quand même au stade
les virages et les tribunes sont bondées trois heures avant

H MOINS 2 !!!!!
alors olympien tjs pas de vent


Le défi L’OM de Lucho accueille le Manchester de Rooney
ce soir (20h45) pour le match aller des 8es de finale
de la Ligue des champions

H MOINS 1 H 30

OM-Manchester United
Mercredi 23 Février 2011 à 18:31

Les Anglais étaient sur le Port

En milieu de journée, la vague rouge des supporters de Manchester United a déboulé sur Marseille et, tradition oblige, sur le Vieux Port. Banderoles et chants étaient de rigueur dans une ambiance bon enfant. Les supporters des Red Devils ont ensuite étaient conduits sous escorte vers le stade en milieu d'après-midi.

IL FAIT NUIT........ TEMPERATURES DESCENDUES FORTEMENT



il commence a cailler mon ami


QU IL A DE LA CHANCE CELUI LA

Ligue des champions : l'OM s'attaque au cador européen Manchester UnitedLEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 23.02.11 | 17h42

L'Olympique de Marseille se prépare à la première manche, mercredi à 20 h 45, des huitièmes de finale de la Ligue des champions face à Manchester United, avec pour objectif une qualification qui serait un exploit pour le club le plus titré du football français. "Si Manchester United est à 100 % et nous aussi, ce sera très compliqué. C'est un des favoris pour gagner la Ligue des champions, il serait logique qu'ils se qualifient contre l'Olympique de Marseille. Ce serait un exploit d'éliminer une telle équipe", a reconnu l'entraîneur marseillais Didier Deschamps, lors de la conférence de presse d'avant-match donnée mardi.

Au contraire, pour l'OM, se retrouver à un tel niveau de l'épreuve européenne relève de l'inhabituel : jamais le club français n'avait atteint ce stade de la compétition depuis son sacre européen de 1993. Mercredi, les Marseillais vont avant tout s'atteler à bien défendre pour éviter d'encaisser un but à domicile qui les handicaperait pour le match retour à Old Trafford.

GIGNAC ABSENT, VALBUENA SUR LE BANC

L'expérimenté défenseur argentin Gabriel Heinze, qui a joué trois ans à Manchester United, croit aux chances des Marseillais. "Tout le monde connaît l'importance de ce match de Ligue des champions, la qualité de l'équipe en face, mais l'envie vient toute seule sur ce type de match, a expliqué Heinze. Nous sommes des hommes avec deux bras et deux jambes, comme les joueurs de Manchester. On sait qu'il y a une grosse qualité en face, mais on ne va pas regarder le nom des joueurs en face de nous, on va faire notre match à 100 %, après on pourra sortir tranquillement du terrain."

Sans André-Pierre Gignac, blessé, l'OM devrait pouvoir compter sur Brandao et Loïc Rémy, qui se sont entraînés mardi. Mathieu Valbuena, blessé depuis le 22 janvier, devrait faire partie du groupe mais Deschamps est "persuadé qu'un retour à la compétition est prématuré". La forme réelle du champion de France reste une énigme. Elle est capable voici moins d'un mois de livrer à Monaco une prestation indigne (0-0) et de ne faire guère mieux une semaine plus tard devant la lanterne rouge Arles-Avignon (1-0).

Et puis finalement de redresser la barre à Sochaux (victoire 2-1), puis devant Saint-Etienne (2-1), donnant l'impression d'une certaine montée en gamme, similaire à celle opérée la saison dernière à pareille époque et qui s'était conclue par une seconde partie de championnat en mode rouleau compresseur. Mais que vaut cet OM en reconstruction, peinant à aligner deux mi-temps de même niveau, face à un cador européen ?

MANCHESTER, LA MEILLEURE ATTAQUE D'ANGLETERRE

Car c'est une légende du football européen qui s'annonce mercredi, escortée par plus de 2 000 fans. Deux fois vainqueur de l'épreuve en 1999 et 2008 (trois si l'on compte l'ancienne Coupe d'Europe des clubs champions), finaliste en 2009, 18 fois champion d'Angleterre dont trois fois de rang de 2007 à 2009 (vice-champion en 2010), les Red Devils émargent a priori dans la catégorie des intouchables.

Avec une seule défaite au compteur en championnat, et la meilleure attaque du pays (57 buts en 26 matches), le leader anglais "donne mal à la tête", comme le dit le directeur sportif de l'OM, José Anigo. Ferguson devra lui aussi composer avec quelques forfaits notoires (Ferdinand, Giggs, Park et Anderson). Mais il a de la réserve, l'expérience propre aux grands, malgré un effectif qui rajeunit, et des individualités capables de tout casser.

LES ÉQUIPES PROBABLES. – Marseille : Mandanda (cap) – Fanni, Diawara, Mbia, Heinze – Cissé, Lucho, Cheyrou – Rémy, Brandao, A. Ayew ;
Manchester United : Van der Sar – Rafael, Vidic (cap.), Smalling, Evra – Nani, Fletcher, Carrick, Scholes – Rooney, Berbatov.

Allez l'OM!

MI-TEMPS OM 0 MU 0
mais le mistral s'est levé
et il devrait être contraire aux marseillais en seconde mi-temps

EXCELLENT 0 A 0
ON S' EST REGALE
VIVEMENT LE MATCH RETOUR

bienvenou a écrit:EXCELLENT 0 A 0
ON S' EST REGALE
VIVEMENT LE MATCH RETOUR

Lorsque tu vois Arsenal-Barcelone, et ce match; Quelle différence...,
Bon mais c'est un très bon résultat pour l'OM!
Un petit nul, 1 à 1 au retour, et ça passe ...

Un petit nul, 1 à 1 au retour, et ça passe ...

c'est clair mais MANCHESTER LE SAIT AUSSI ..MON AMI
C "EST CA
QUI EST PLUS DANGEREUX ...

24 février 2011
L'OM n'a pas à rougir
L'OM a concédé le nul (0-0) contre MU et garde toutes ses chances de qualifications. Tout se jouera dans trois semaines à Old Trafford.


Gabriel Heinze se trouve sur le même côté que Nani, pour le huitième de finale de la C1.
L'OM, qui a concédé le nul sans encaisser de but face à Manchester United (0-0), se préserve donc en vue du match retour le 15 mars prochain.

Ce sera donc la moyenne, et pas plus. Pour ses retrouvailles avec les huitièmes de finale de la Ligue des champions, après dix-huit ans d'absence, l'OM a rempli à moitié le contrat qui lui avait été fixé. Didier Deschamps avait été clair : ne pas encaisser de but face à Manchester, c'était 50% du travail accompli. Au vu du potentiel offensif actuel de Marseille, amputé de Gignac et à demi de Valbuena, ces 50% là vaudraient presque 90% de satisfaction. Les 22 acteurs ont livré la prestation attendue : Marseille a verrouillé derrière, Manchester itou. Marseille n'a pas pris de risque, Manchester non plus.

Ainsi donc, cela fait 512 minutes de Ligue des champions que Steve Mandanda n'est pas allé rechercher le moindre ballon au fond de ses filets. Une série très révélatrice de la clé de voûte olympienne cette année.

Il faut s'y faire : Marseille avance, parce que Marseille sait reculer. Sollicité dangereusement à trois reprises, une fois masqué sur une frappe de Fletcher (9e), une fois dans les pieds de Nani (82e), une fois en l'air sous la pression de Rooney (84e), Steve Mandanda n'a pas flanché. Le quatuor défensif olympien a lui aussi tenu le choc, le tandem Mbia - Diawara en tête (71e face à Rooney), Fanni contenant bien, pour sa part, Rooney. Seul Gabi Heinze, pour ses retrouvailles avec son cher Sir, a connu plus de difficultés, notamment en première période, face au virevoltant Nani. Des difficultés, mais pas d'erreurs de parcours, ces fameuses qui, à un tel niveau, se paient cash.

Voilà ce qui vaudra, en salle de presse, un demi-sourire à Didier Deschamps. Pas aux quelques 58.000 spectateurs du Vélodrome, Anglais compris.

On leur a rejoué, les trois-quarts du temps, un mauvais remake de «boring, boring», hormis à la 60e minute où l'OM réussit à emballer son jeu. Et, un peu, son monde : la meilleure occasion olympienne était initiée par Ayew sur une demi-volée que Brandao n'arrivait pas à reprendre. S'il avait marqué lors des deux derniers matches en C1, le Brésilien, trop imprécis, n'a rien pu faire face à la défense la plus hermétique de la compétition. On ne passe pas Vidic ou O'Shea comme ça.

Mais à défaut de s'enflammer pour une attaque bien placée de leur camp, les supporters n'ont même pas eu à s'inquiéter sur un contre adverse. Berbatov attend de marquer en C1 depuis près de 1045 minutes, et le tandem Rooney-Nani ne peut pas compenser à lui seul le manque criant de fantaisie dans le jeu mancunien. D'un côté comme de l'autre, il faudra bien marquer le 15 mars prochain. Il appartiendra donc peut-être à un Gignac et à un Valbuena en retour de forme de fermer comme il faut la «parenthèse européenne». Qui, n'en déplaise à Didier Deschamps, n'a rien eu d'«extraordinaire» ce soir. -

C1 - 8es - Marseille conserve ses chances



L'OM, qui a concédé le nul sans encaisser de but face à Manchester United (0-0), se préserve donc en vue du match retour le 15 mars prochain.

Ce sera donc la moyenne, et pas plus. Pour ses retrouvailles avec les huitièmes de finale de la Ligue des champions, après dix-huit ans d'absence, l'OM a rempli à moitié le contrat qui lui avait été fixé. Didier Deschamps avait été clair : ne pas encaisser de but face à Manchester, c'était 50% du travail accompli. Au vu du potentiel offensif actuel de Marseille, amputé de Gignac et à demi de Valbuena, ces 50% là vaudraient presque 90% de satisfaction. Les 22 acteurs ont livré la prestation attendue : Marseille a verrouillé derrière, Manchester itou. Marseille n'a pas pris de risque, Manchester non plus.

Ainsi donc, cela fait 512 minutes de Ligue des champions que Steve Mandanda n'est pas allé rechercher le moindre ballon au fond de ses filets. Une série très révélatrice de la clé de voûte olympienne cette année. Il faut s'y faire : Marseille avance, parce que Marseille sait reculer. Sollicité dangereusement à trois reprises, une fois masqué sur une frappe de Fletcher (9e), une fois dans les pieds de Nani (82e), une fois en l'air sous la pression de Rooney (84e), Steve Mandanda n'a pas flanché. Le quatuor défensif olympien a lui aussi tenu le choc, le tandem Mbia - Diawara en tête (71e face à Rooney), Fanni contenant bien, pour sa part, Rooney. Seul Gabi Heinze, pour ses retrouvailles avec son cher Sir, a connu plus de difficultés, notamment en première période, face au virevoltant Nani. Des difficultés, mais pas d'erreurs de parcours, ces fameuses qui, à un tel niveau, se paient cash.

Voilà ce qui vaudra, en salle de presse, un demi-sourire à Didier Deschamps. Pas aux quelques 58.000 spectateurs du Vélodrome, Anglais compris.

On leur a rejoué, les trois-quarts du temps, un mauvais remake de «boring, boring», hormis à la 60e minute où l'OM réussit à emballer son jeu. Et, un peu, son monde : la meilleure occasion olympienne était initiée par Ayew sur une demi-volée que Brandao n'arrivait pas à reprendre. S'il avait marqué lors des deux derniers matches en C1, le Brésilien, trop imprécis, n'a rien pu faire face à la défense la plus hermétique de la compétition. On ne passe pas Vidic ou O'Shea comme ça. Mais à défaut de s'enflammer pour une attaque bien placée de leur camp, les supporters n'ont même pas eu à s'inquiéter sur un contre adverse.

Berbatov attend de marquer en C1 depuis près de 1045 minutes, et le tandem Rooney-Nani ne peut pas compenser à lui seul le manque criant de fantaisie dans le jeu mancunien. D'un côté comme de l'autre, il faudra bien marquer le 15 mars prochain. Il appartiendra donc peut-être à un Gignac et à un Valbuena en retour de forme de fermer comme il faut la «parenthèse européenne». Qui, n'en déplaise à Didier Deschamps, n'a rien eu d'«extraordinaire» ce soir