QUELS SONT LES ENTRAINEURS QUI VONT ENCORE VALSER CETTE SAISON ? L1 L2 NAT

Aujourd'hui : les « bizuths » des bancs de Ligue 1 tiendront-ils la route ?

Le Paris Saint-Germain, l'Olympique de Marseille, Valenciennes, Boulogne-sur-Mer, Rennes, Monaco, Nice et Montpellier débuteront la saison avec un nouvel homme sur le banc de touche.

Cette intense valse des entraîneurs a profité à Laurent Guyot (Boulogne-sur-Mer), Jean-Guy Wallemme (Lens), Paulo Duarte (Le Mans), Didier Olle-Nicole (Nice) et Philippe Montanier (Valenciennes), cinq techniciens, qui vont effectuer, ce week-end, leurs premiers pas en Ligue 1.

Cinq « bizuths », loin d'être des « bleus »
Mais ces « bizuths » sont, pour certains, loin d'être des « bleus » dans leur métier. Bien sûr, ils n'ont pas tous la même expérience, ni eu la même réussite
. Le Boulonnais Laurent Guyot est le plus jeune des cinq (39 ans), également le plus inexpérimenté. Avant d'être aux manettes du promu boulonnais, l'ancien défenseur nantais n'a été « que » directeur du centre de formation du FC Nantes (de janvier 2005 à juin 2009).

A l'inverse, Didier Olle-Nicole a déjà bourlingué (Raon-L'Etape, Valenciennes, Nîmes, Châteauroux, Clermont) avant d'atterrir cet été à Nice.

Quant à Philippe Montanier, il a fait ses premières armes de technicien comme entraîneur des gardiens à Toulouse et Bastia, puis en devenant adjoint de Robert Nouzaret de la sélection de la Côte-d'Ivoire. En 2004, il se jette à l'eau en reprenant les destinées de Boulogne-sur-Mer, club avec lequel il va connaître trois montées en cinq ans (de CFA au National en 2005, du National à la Ligue 2 en 2007 et de L2 en L1 en 2009).

Jean-Guy Wallemme est un faux-débutant, puisqu'il a été entraîneur-joueur avec Rudi Garcia à Saint-Etienne de janvier à juin 2001 avant d'occuper seul le poste au RC Paris, à Rouen, à Renaix (BEL), Roye, au Paris FC et Lens depuis 2008. Enfin, le Portugais Paulo Duarte a lui aussi déjà connu l'élite, mais dans son pays natal avec Uniao Leiria.

Montanier : « C'est le même métier en L1, L2 et National »
Tous savent à quoi s'attendre. Même le Portugais du MUC 72, et toujours sélectionneur du Burkina Faso. « La Ligue 1 est l'un des cinq meilleurs Championnats du monde, affirmait-il dans France Football le 24 juillet dernier.

C'est une compétition très relevée avec des joueurs évolués techniquement et rapides, surtout devant. Alors il faut être très exigeant, notamment sur le plan défensif. » Mais le « Mourinho africain » s'attend « à voir une ou deux surprises » et « espère que Le Mans en fera partie ».

Le Lensois Jean-Guy Wallemme espère aussi « qu'il y aura des surprises et qu'on fera partie ». Mais tous savent qu'ils devront prouver leurs compétences. D'ailleurs, ils ne nient pas qu'ils s'interrogent, qu'ils ont des doutes. Malgré tout, la sérénité reste de mise dans ce club des cinq. « C'est le même métier en L1, L2 et National, estime Philippe Montanier

Alors, jouer gros ? Je ne ressens pas les choses comme ça. Je n'ai aucune crainte. D'ailleurs, je n'ai jamais vu entraîneur guillotiné ou pendu à la fin d'une saison. » Mais viré, oui. Et les « bizuths », souvent plus vite que les autres


DIXIT JPP

Pour l'instant c'est assez calme de ce côte
EN 1 ERE LIGNE AU CAS....

FERNANDEZ AUXERRE
PERRIN ST ETIENNE
BAZDAREVIC GRENOBLE

A DEFAUT DE VALSER EUX MEMES ...ILS TANSENT ...UN AUTRE ENTRAINEUR
C DU JAMAIS VU A CE NIVEAU ?

Joint lundi soir au téléphone par Le Parisien, l'entraîneur de Lorient Christian Gourcuff n'a pas voulu répondre à la violence des propos de son homologue parisien Antoine Kombouaré («Ce genre de mec mérite des claques dans la gueule»), suite à l'affaire Makelele. «Je ne veux pas entrer dans ce jeu. Ce n'est pas moi qui en fais une affaire d'état. Antoine Kombouaré tient les propos qu'il veut.

Quant à moi, 48 heures après le match, je n'enlève rien de ce que j'ai dit. J'ai constaté qu'Antoine avait essayé de me joindre, mais je n'ai pas encore eu le temps de le rappeler. Je ne suis pas non plus pendu à mon téléphone 24 heures sur 24 ! Il veut que je m'excuse. Mais de quoi ? J'ai dit ce que je pensais. J'ai d'ailleurs toujours été correct dans mes propos. Mais dès qu'on touche à Makelele, j'ai l'impression que ça prend des proportions démesurées.»

L'antécédent Fernandez
Lorsqu'il était entraîneur de Rennes, le technicien breton avait déjà défrayé la chronique en janvier 2002. Après une défaite à domicile face au PSG (1-2), il avait qualifié les Parisiens de «bûcherons», en référence aux cinq cartons jaunes reçus par les joueurs de la capitale au Stade de la Route de Lorient. «C'est connu, Gourcuff, c'est le champion de France des ordinateurs.» Telle avait été la réponse cinglante de Luis Fernandez, alors entraîneur du PSG.

La guerre des mots est peut-être allée un peu trop loin. L'entraîneur de Lorient, Christian Gourcuff, et celui du PSG, Antoine Kombouaré, seront auditionnés par le Conseil national de l'éthique (CNE) le lundi 12 octobre «suite à leurs récentes déclarations publiques» polémiques, a annoncé mardi la FFF.

Mécontent de l'arbitrage de Lorient-Paris SG (1-1), Christian Gourcuff avait lancé après le match: «Makelele peut prendre le sifflet, c'est pareil. Il est dépassé, (...) en bout de course».

Des propos qui avaient déclenché la colère du bouillant Kombouaré, lundi sur RMC: «On doit respecter l'homme (Makelele) et sa carrière. Christian Gourcuff, il faut lui dégonfler son cigare. J'ai l'impression que ce mec-là est aigri. Est-ce qu'il a un souci ? Excusez-moi de parler avec mes mots à moi mais ce genre de mec mérite des claques dans la gueule.»

MITEMPS
Grenoble (20) 0 - 2 Montpellier (4)
............... Montano (2e)Dzodic (12e)

Nice (19) 0 - 1 Valenciennes (10)
...................Samassa (40e sp)

BAZDAREVIC ET OLE NICOLLE
LEURS TETES NE TIENNENT QU 'A UN FIIIIIIIIIIIL

un pretendant;;;a la valse

content d un 0 a 0

je crois qu'une descente en ligue2 et il ne resistera pas ...MEME AVANT


Alain Perrin (entraîneur de Saint-Etienne, après le nul contre Sochaux, 0-0): «C'est une déception compte tenu de la débauche d'énergie et l'investissement des joueurs. Nous avons livré le match qu'il fallait. Il a manqué l'efficacité dans la zone de vérité. Il y a 0-0 grâce à deux excellents gardiens. Compte tenu de la maîtrise du jeu, nous avons quand même concédé des occasions trop nettes à Sochaux en raison des approximations défensives. Nous avons vu une équipe dynamique et conquérante face à un adversaire qui a bien défendu aux quatre coins du terrain. Ce n'est pas facile compte tenu de l'attente du public et nous nous sommes faits contrer plusieurs fois dans le passé. Mais les joueurs ont cherché à jouer. Nous étions dans les duels. Sans Janot qui a été décisif pour nous, nous aurions pu perdre mais sans Richert, nous aurions pu gagner aussi. Nous avons trois matches à l'extérieur et un à domicile contre Marseille. Il faudra prendre des points et ce ne sera pas simple. Il faudra la même volonté de provoquer l'adversaire et de forcer cette réussite à l'extérieur

Pablo Duarte (entraîneur du Mans): «Après cette défaite, nous sommes dans une position difficile. Jamais je n'aurai pu imaginer qu'on arriverait à cette place. On n'a pas joué en première mi-temps. Il faut dire la vérité. C'est peut-être notre plus mauvaise première mi-temps depuis le début du championnat. Avec dix joueurs, la seconde a peut-être été trois fois meilleure que celle qui avait précédé. Montpellier est une bonne équipe qui a joué avec tranquillité, confiance et patience. C'est peut-être ce qui lui permet de marquer dans les moments décisifs du match.»

CA VA ETRE DUR POUR LUI ..MAIS CHAQUE ANNEE LE MANS PERD SES MEILLEURS JOEURS ET PRETEND FAIRE UN GRAND STADE ...JE COMPRENDS PAS LES DIRIGEANTS

DIRE BLANC ET FAIRE NOIR
MESSIEURS ALLONS ..

250 000 € PAR MOIS AUX ASSEDIC CA FERA 180 000 ..A RESTER CHEZ TOI OU A DEVENIR CONSULTANT SUR CANAL +

MOI A SA PLACE J HESITE PAS ...JE ME LAISSE VIRER PROFITER 2 ANS TRANKIL SANS PRESSION

AU REVOIR PAULO C" L"" HEURE DE PARTIR
Paulo Duarte

Pour son premier match sur le banc manceau cette saison, Arnaud Cormier, remplaçant de Paulo Duarte, n'a pas manqué ses débuts. Le plus jeune entraîneur de Ligue 1 (34 ans), a non seulement remporté son premier match dans l'élite mais il a surtout assisté au premier succès du MUC depuis huit matches (6 victoires et 2 nuls). Déjà appelé à finir la saison dernière au poste de coach titulaire, lui l'habituel adjoint qui avait succédé à Daniel Jeandupeux, n'avait alors pas réussi à gagner la moindre rencontre durant son intérim (2 nuls et 2 défaites), malgré le maintien du Mans. C'est aujourd'hui chose faite. Et demandez-lui, une première fois, ça ne s'oublie pas.

LOLO ...PAS PRET DEVALSER
IL PARTIRA SOUS LES ACCLAMATIONS DU PUBLIC BORDELAIS

Elu entraîneur français de l'année 2009 dès la troisième saison de sa carrière de coach, Laurent Blanc rafle quasiment tous les suffrages possibles, avec 112 points sur 120 possibles. Le « Président » succède à Arsène Wenger, qui termine à la deuxième place du classement. Le Lorientais Christian Gourcuff complète le podium

Les dix premiers entraîneurs français de l'année 2009 :

1. Laurent Blanc (Bordeaux), 112 points
2. Arsène Wenger (Arsenal), 56 pts
3. Christian Gourcuff (Lorient), 42,5 pts

4. Philippe Montanier (Boulogne-sur-Mer puis Valenciennes), 41 pts
5. Claude Puel (Lyon), 15 pts
6. Alain Casanova (Toulouse), 14 pts
7. Victor Zvunka (Guingamp), 12 pts
8. Daniel Sanchez (Tours), 11 pts
9. Frédéric Antonetti (Nice puis Rennes), 10 pts
10. Jean Fernandez (Auxerre), 8 pts

SCENARIO IDENTIQUE A CELUI DU SOCC
NOUS VERRONS SI LA SUITE SERA PAREILLE
Alain Perrin ne passera pas l'hiver sur le banc de Saint-Etienne. Démis de ses fonctions, l'entraîneur des Verts est remplacé par Christophe Galtier, son adjoint depuis 2004. L'ASSE occupe une inquiétante 17e place. (Photo Presse-Sports)


L'AS Saint-Etienne l'a officialisé mardi à midi, sur son site internet : Christophe Galtier est le nouvel entraîneur des Verts. Il succède à Alain Perrin (Photo Presse-Sports), débarqué à l'issue d'une réunion avec le directeur sportif du club forézien, Damien Comolli. Egalement remercié, le préparateur physique Christain Jahan est quant à lui remplacé par Thierry Cotte.


Quelque 2 millions pour Perrin
Déjà en sursis après le début de saison catastrophique du club, Alain Perrin n'a pas résisté aux dernières contre-performances de l'ASSE, 17e de Ligue 1. Les Verts restent sur une série de cinq matches sans victoire, deux nuls et trois défaites, dont la dernière en date au Parc des Princes, au terme d'un match très faible côté stéphanois. Arrivé dans le Forez en novembre 2008 en remplacement de Laurent Roussey, Perrin partirait avec 1 980 000 euros d'indemnités.

Galtier, un homme de l'ombre
L'ancien entraîneur de Lyon passe donc la main à celui qui l'épaulait depuis cinq ans. Après une carrière de joueur passée essentiellement à l'OM, Christophe Galtier est devenu entraîneur en 1999, en tant qu'adjoint, à Marseille. S'ensuit un passage au club grec de l'Aris Salonique, puis deux ans en Corse au SC Bastia (2002-2004). Il devient ensuite le fidèle adjoint d'Alain Perrin, à Al-Ayn aux Emirats, à Portsmouth, puis à Sochaux. Le duo quitte le Doubs avec une Coupe de France en 2007, et remporte le doublé Coupe-Championnat à Lyon l'année suivante, avant d'atterrir à Saint-Etienne à l'automne 2008. Le tandem n'aura tenu qu'un an sur le banc forézien.

Déçu d'être écarté, Alain Perrin assure que seul le manque de réussite est responsable de la situation des Verts. Pas le travail des hommes en place.

«Alain Perrin, vous avez été démis de vos fonctions. Comment le vivez-vous?
C'est une déception de ne pas avoir réussi le challenge, mais la décision ne m'appartient pas. On est sur un siège éjectable, les dirigeants ont choisi de le faire fonctionner. Je ressens un peu d'injustice. On a mal débuté la saison et toujours ramé à contre-courant avec les blessés, des décisions d'arbitrage, des faits de jeu...

Vous y attendiez-vous ?
Non, c'est venu vite. On ne s'y attend jamais, on est toujours dans la préparation du match suivant. Les deux derniers résultats ont pesé, je pense. Mais je n'ai aucune amertume envers les dirigeants. Comme moi quand je dois faire mes choix de composition d'équipe, ils ont fait le leur. Mais je trouve que c'est prématuré. Avec le retour de quelques cadres en janvier, il y avait largement de quoi redresser la barre. J'ai dit qu'il y avait à mes yeux la place pour patienter.

Est-ce plus difficile d'être entraîneur à Saint-Etienne ?
Non, c'est le même métier avec une obligation de résultats. On a eu plein de tuiles. Même quand on était bons, on ne gagnait pas les matches, on se faisait prendre en contre. A force d'accumuler les résultats négatifs, la pression augmente sur l'entraîneur. Mais il y a ici les conditions pour bien fonctionner.

Qu'avez-vous dit aux joueurs ?
Que je pouvais les regarder dans les yeux car j'avais fait honnêtement mon travail. Je n'ai pas à rougir, j'aurais aimé continuer avec eux. Je leur ai souhaité d'avoir la réussite qu'ils n'avaient pas eu jusqu'à maintenant.

Votre message passait-il toujours ?
Oui, quand on prépare les matches, on travaille sur du concret, sur l'adversaire, sur une mise en place. L'adhésion, on la mesure à des signes, à la qualité de l'entraînement, on la voit dans les yeux. Mais des erreurs individuelles et des faits de jeu ont commencé à décourager les joueurs. J'étais peut-être le chat noir. Tous les gens qui oeuvrent dans ce club s'investissent à fond, il faut un peu de retour, que ça rigole un peu.

Votre fidèle adjoint Christophe Galtier vous succède...
On ne sait pas si ce sera un intérim. Je pense depuis un certain temps qu'il a l'étoffe pour être le numéro un, le moment est peut-être venu.

Est-ce une trahison ?
Non, les choses sont claires, il a toujours été fidèle. Je mange avec lui ce soir. Notre relation n'est pas entachée. La vie continue.

....PERRIN.....GALTIER ....UN REPAS ENTRE AMIS


Avez-vous participé au recrutement ? Damien Comolli est-il aussi responsable ?
Son travail n'est pas à remettre en cause pour l'instant. On rêve tous de meilleurs joueurs. On a fait ce qu'on pouvait, au maximum de nos possibilités. L'effectif dans sa globalité a largement le niveau par rapport aux objectifs. Mais pas si la moitié peut jouer et si les autres reviennent après six semaines d'arrêt et ne sont pas en condition pour jouer.

Avez-vous trouvé un accord sur les conditions de votre départ ?
C'est un autre débat. Les avocats discuteront. Il y a un contrat, des règlements. On verra s'il y a un accord ou pas.»

Pressenti pour prendre en main Saint-Etienne qui a nommé Christophe Galtier en lieu et place d'Alain Perrin (lire ici), l'ancien entraîneur du PSG a démenti toute approche.

"Je l'ai déjà dit tout à l'heure à l'antenne et je le répète : je n'ai pas été contacté, a-t-il confié à La Provence. Je suis encore sous contrat avec RMC et Orange jusqu'à la fin de la saison. Les dirigeants n'ont pas annoncé que Galtier était un intérimaire, n'est-ce pas ? En plus, j'en ai marre de jouer les pompiers."


POURTANT LA TENUE LUI VA FORT BIEN
MAJOR FERNANDEZ

.................

aladin a écrit:MESSAGE DE LUIS
A TOUS LES PRESIDENTS DE LIGUE 1

Encore un qui sert pas a un grand chose Mais qui se croit indispensable
J'ai eu la joie d'échanger quelques mots avec ce c.nnard , il y a 2 ans a Cannes
J'ai commencé par le félicité d'avoir pris la défense de Kébé sur l'antenne de RMC (en oubliant bien sur comme la plus part de ses confrères journaleux de lire a l'antenne le compte rendu de l'arbitre de la rencontre.... evidemment ) et après qu'il m'est débiter son sentiment anti bastiais et comme quoi des gens comme ça n'ont rien a faire dans le championnat et qu'il était heureux de ne pas les avoir rater .......marrant non
Et au moment ou il reprenait son souffle , j'ai annoncé la couleur et la .......... Il s'est senti seul et merdeux
Je me suis fais le plaisir de lui dire en face ce que je pensai de lui

c'est clair que c'était un bon joueur
mais que son raisonnement n'est pas à la hauteur de la qualité de son pied

SURVIVRE OU PERIR...THAT IS THE QUESTION

ON DIT COMMENT CA EN ITALIEN




Mourinho critique la valse des entraîneurs
Les entraîneurs de Serie A sont plus occupés à garder leur poste qu'à innover sur le plan tactique : une nouvelle fois, Jose Mourinho, le coach de l'Inter Milan, met les pieds dans le plat. Dans un entretien jeudi à l'hebdomadaire Expresso, le tehcnicien portugais déplore les conséquences de la valse des entraîneurs en Italie. «Quand après un tiers du Championnat neuf entraîneurs ont perdu leur travail, quel est l'entraîneur qui veut encore innover ?», s'interroge à haute voix Mourinho, avant d'apporter sa réponse personnelle : «Un entraîneur en Serie A ne veut pas innover, il veut survivre.»

L'ancien patron sportif de Chelsea et de Porto, qui a répété lundi qu'il se verrait bien retourner en Angleterre, souligne que les conditions de travail des entraîneurs sont bien meilleures en Premier League. Et de citer Alex Ferguson (Manchester United), Arsène Wenger (Arsenal) et Rafael Benitez (Liverpool), à qui le temps a été donné pour innover et développer leur schéma de jeu. «(En Angleterre) les entraîneurs vont jusqu'au bout de leur premier contrat, même du deuxième voire du troisième et continuent à tracer leur sillon.» Rien à voir selon lui avec la situation italienne. «L'Italie se polarise davantage sur le résultat immédiat. Ceux qui gagnent, continuent, ceux qui perdent s'en vont.»

L'entraîneur portugais estime que le même phénomène affecte la Liga espagnole, citant l'instabilité du banc au Real et à l'Atletico Madrid ainsi qu'à Valence, le FC Barcelone faisant figure d'exception à ses yeux. Pour mémoire, à mi-course, la L1 n'a licencié "que" deux entraîneurs : Paulo Duarte (Le Mans) et Alain Perrin (Saint-Etienne).

JE SENS PAS ...CETTE HISTOIRE D ENTRAINEUR ..ADJOINT PROMU NUMBER ONE

CORREA...A CAUSE DE L" ETHYQUE

D.idier . O.lé N.icolle

D.O .N DE SON CORPS

bienvenou a écrit:A MON AVIS IL VA GICLE ..BIENTOT
CAR LE JEU DE SON EQUIPE ETAIT INDIGNE D "UNE LIGUE 1 SAMEDI 16 A LA MOSSON

LA ON ECOUTE PARLER DES ANCIENS JOUEURS DU PSG
MAIS CE QUI EST IMPORTANT CEST CE QUE PENSENT LES DIRIGEANTS

ET LA LOGIQUE DANS LE FOOT ...
C VRIAMENT UNE FEUILLE DE PAPIER DE CIGARETTES ...........SI MINCE

LA NOUS VOYONS ANTONIE LE KANAK QUI POURRAIT PENSER
QUE L" ECHAFFAUD EST PLUS PROCHE QU "ON NE LE PENSE



Kombouaré au banc d'essai
Trois joueurs qui ont connu Antoine Kombouaré à Paris (Baca), Strasbourg (Ljuboja) et Valenciennes (Danic) nous expliquent pourquoi l'entraîneur parisien reste, selon eux, l'homme de la situation. Samedi, le PSG visite Nancy (19h00).

Antoine Kombouaré et le PSG restent sur quatre défaites d'affilée ne Championnat.
Kombouaré, un caractère entier...



AUTRE ARTICLE
Kombouaré démission » .Paris Saint-Germain fait honte !!
PSG : Nicolas Sarkozy ne comprend pas la situation du PSG
Publié: 7 février 2010 par: Yohan L.


Hier soir, la rencontre opposant le Paris Saint-Germain et le FC Lorient avait tout d’un match de gala. De l’ambiance, des invités de prestiges, des supporters qui ont vite donnés de la voix…Mais comme à son habitude, le PSG a vite coulé et sombrait pendant que les supporters Franciliens s’occupaient comme ils pouvaient en lançant pour la première fois depuis le début de la saison des «Kombouaré démission » . Parmis les 35 000 supporters présents samedi soir, se trouvait dans les tribunes le président de la République, Nicolas Sarkozy. Grand fan du PSG, le politicien n’a pas su trouver les mots pour décrire la situation actuelle du club de la capitale : « Que dire ? C’est le problème… »,a-t-il lâché au journal Le Parisien à la sortie du Parc des Princes hier soir. On pouvait peut-être pensé que la venue au Parc des Princes du président de la république était une énième motivation pour les coéquipiers de Claude Makelele. En vain.
Antoine Kombouaré est arrivé à Paris précédé d'une réputation d'entraîneur impulsif. Sa méthode : titiller l'ego de ses joueurs pour susciter une réaction. Dernier exemple, ses déclarations choc avant la débâcle lorientaise (0-3). «Aujourd'hui il n'y a pas les joueurs, en tout cas pas complètement, qui ont le niveau pour jouer au PSG, il faut le dire», clamait-il sur RTL. Depuis, le technicien s'est adouci, estimant qu'il était préférable «d'encourager» ses troupes. Comme l'aveu que son discours n'est pas toujours très bien compris -ou apprécié- par son vestiaire. «Il peut être maladroit dans sa manière de s'exprimer ou dans la tonalité avec lequel il le fait, mais il n'a jamais joué un rôle, juge Gaël Danic, qui était sous ses ordres à Valenciennes (Photo L'Equipe). Quand il a été engagé à Paris, tout le monde savait qu'il avait un gros tempérament. Après, ça passe ou ça casse...». Déjà, lorsqu'il entraînaît la réserve du PSG, «ça soufflait dans les bronches les lendemains de défaite», appuie Maxime Baca. «Parfois, il gueulait même sur l'entraîneur adverse en plein match (Rires). Mais bon, c'est surtout parce qu'il est vrai, entier et honnête. Ce sont de belles qualités humaines.»


... mais peut-il passer à Paris ?

Toute la difficulté à laquelle est confronté Kombouaré réside dans sa capacité à s'adapter à l'environnement parisien. A en juger par les résultats de l'actuel 15e de la L1, Paris ne peut pas se gérer comme Valenciennes, Strasbourg ou la réserve du club de la capitale. «Mais il connaît ce club pour y avoir joué, il va réussir à condition qu'on lui laisse le temps, assure Danijel Ljuboja qui l'a côtoyé en Alsace (Photo L'Equipe). Le problème à Paris, c'est que le temps, justement, il n'y en a pas...». De toute façon, «c'est un faux problème. Dans un club, il y a une hiérarchie, il faut la respecter», affirme pour sa part Danic, qui souligne toutefois l'importance de «la gestion humaine». L'ancien Troyen parle en connaissance de cause. Deux mois après son arrivée à VA, un clash l'a opposé à Kombouaré qui lui a valu d'être écarté de l'entraînement pendant trois jours, puis du groupe nordiste le week-end qui a suivi. «Mais je n'étais pas exempt de tout reproche. J'étais un petit nouveau, il fallait que je me mette dans le moule, raconte-t-il. Ce qui est bien, c'est que le lundi, on en a discuté et c'était passé. Même s'il agit parfois à chaud, il est capable de faire abstraction et de remettre tous les compteurs à zéro. Mais il faut aussi que le joueur ait l'intelligence de se remettre en question...»


A condition que les joueurs le veulent...

Antoine Kombouaré n'est pas le premier -et il ne sera sûrement pas le dernier- à connaître une crise de résultats à Paris. C'est la raison principale qui pousse nos témoins à porter davantage le débat sur la valeur réelle du club de la capitale au sein du Championnat. «Pour moi, ce qui se passe à Paris n'a rien d'étonnant. C'est une année comme les autres, soupire Ljuboja. Là-bas, il y a une grosse pression et peut-être que les joueurs n'assument pas. Tu auras beau changer d'entraîneur, si les joueurs ne sont pas capables...». Maxime Baca (Photo L'Equipe) abonde dans son sens. «Peu importe l'effectif, peu importe les saisons, Paris a toujours son lot de soucis. Le Parc des Princes et le centre de formation rénové devraient être des forces, c'est dommage... Aux joueurs, quels que soient leur statut, de se remettre en question.» Avec une série de victoires, Danic se dit persuadé que le débat serait clos. Mais si la 15e place du PSG ne correspond qu'à une «photo à un instant T», il fait remarquer: «Paris est un grand club parce que c'est la capitale et qu'il est médiatique. Mais pour moi qui suis acteur, les grandes équipes se jugent par rapport à leurs résultats. L'an dernier, ils étaient sixièmes, OK. Mais les deux saisons précédentes ?» Seizièmes et quinzièmes... -

KOMBOUARE ET LE BEAU JEU. Avec toutes ses équipes, Antoine Kombouaré a toujours associé le beau jeu aux résultats. Pour lui, l'un découle de l'autre. Même lorsqu'il dirigeait la réserve du PSG, «il insistait régulièrement là-dessus, se souvient Maxime Baca. On sent que son passage à Nantes -lorsqu'il était joueur- l'a marqué.» A Strasbourg, Ljuboja dit avoir «apprécié les libertés», dont il jouissait avec Niang. «On n'avait pas forcément avoir besoin de redescendre défendre dans les seize mètres...». Mais si «dans son esprit, on ne peut s'en sortir que par le jeu» (Danic), la situation du Paris-SG impose désormais des résultats immédiats. D'autant que face à Lyon (1-2) ou encore Monaco (0-1), le beau jeu développé par le club de la capitale n'a rapporté aucun point...
Ar

PSG - Kombouaré pourrait payer la note
Pour la première fois de la saison les supporters parisiens ont entonné des "Kombouaré démission" lors de la déroute des Franciliens face à Lorient au Parc des Princes (0-3) pour le compte de la 23e journée de Ligue 1. L'ancien coach de Valenciennes pourrait bien payer au prix fort sa sortie médiatique de milieu de semaine...


By Alexandre Walraevens
6 févr. 2010 21:43:00

Antoine Kombouaré
Fragilisé par une sortie médiatique aussi maladroite que désastreuse sur les ondes de la radio RTL jeudi, Antoine Kombouaré pourrait rapidement faire les frais de la déroute face à Lorient (0-3) pour le compte de la 23e journée de Ligue 1. A voir la performance de certains joueurs, on se demande même si la fracture avec le vestiaire n'est pas déjà consommée. Paris est 15e de Ligue 1, bien loin de l'objectif initial, à savoir la 5e place.

"Certains joueurs n'ont pas le niveau pour jouer au PSG..."

Invité de Christophe Pacaud dans l'émission "On refait le match", Antoine Kombouaré a comme souvent livré ses impressions sans langue de bois. Le Kanak a lui même reconnu que "certains joueurs n'avaient pas le niveau pour jouer au PSG et que plusieurs d'entre eux étaient des tire au flanc". Un constat très dur qui s'il avait pour but de chatouiller les orgueils, a surtout provoqué indignation et incompréhension. Un peu à l'image de Jean Michel Larqué qui avait traité de "pipe" Luc Sonor, Kombouaré n'a pas ménagé ses ouailles. On ne sait pas si certains se sont sentis concernés mais le résultat ne s'est pas fait attendre et cette déroute face à Lorient a fait rejaillir tous les démons de la capitale.

Arrivé de Valenciennes pour relancer le PSG vers les hauteurs, le Kanak n'est pour le moment pas le sauveur escompté. Il a même affiché certaines limites tant sur le plan manageurial que tactique. On ne dirige pas une équipe comme le PSG comme on peut diriger Valenciennes. "Au PSG il faut avoir un très gros moral", reconnaissait-il au cours de l'émission. Mais il faut aussi savoir faire preuve de diplomatie pour gérer des égo parfois surdimensionnés. Kombouaré a donc voulu piquer au vif ses joueurs, quitte à les stigmatiser. Ils pourraient le lui faire payer au prix fort. Des joueurs qu'il a lui même fait venir, ou tout du moins dont il a validé le recrutement à l'inter-saison.

Jallet, Coupet et Erding sont arrivés sous son ère. Ils étaient censés renforcer une équipe qui venait de terminer à une flatteuse 6e place la saison passée et qui pointe actuellement à la 15e ! Kombouaré est aussi responsable des errements tactiques de son équipe qui par trop souvent, prend l'eau derrière. La défense "n'était pas une priorité", reconnaissait-il en début de saison, on serait tenté de penser le contraire. Traoré, Camara et Armand n'ont guère montré de consistance. Son analyse semble donc en décalage avec les maux du club de la capitale. Certes tout n'est pas à mettre sur les épaules de l'entraîneur, trop souvent le premier fusible.
Les joueurs ont la plus grande part de responsabilité dans ce remake de la saison 2006. Sans véritable leader ni projet, le PSG semble à l'agonie.

Selon vous Antoine Kombouaré
est-il encore l'homme de la situation ? Doit-il quitter son poste ?
Votre avis nous intéresse.

OLE NICOLE PAR ICI LA SORTIE EST ELLE IMMINENTE

SA REPONSE PAR LE GESTE
MON AVENIR EST LA BAS


La treizième défaite de la saison concédée par Nice sur la pelouse de Valenciennes (1-2), samedi, pourrait bien sceller l'avenir de Didier Ollé-Nicolle à la tête du Gym,
. Interrogé à ce sujet à l'issue de la rencontre, le président de l'OGCN, Gilbert Stellardo, n'a pas souhaité s'exprimer, mais le dirigeant ne serait plus certain de la capacité du technicien à redresser la barre. Nice n'a plus gagné depuis le 22 novembre (1-0, contre Toulouse) et sa marge d'avance sur le premier relégable, Le Mans, n'est plus que de six unités.

Outre les résultats, les choix tactiques d'Ollé-Nicolle «étonnent et interpellent»


A Nungesser, Mounier, Sablé et Hellebuyck étaient sur le banc, tandis que Coulibaly a évolué à un poste de latéral droit qui n'est pas le sien. Ajoutez à cela un Apam trop facile, un Civelli trop bas et un Traoré qui a tout raté... «Il faut savoir se contenter d'un nul», regrettait Ollé-Nicolle en référence à l'égalisation de Rémy à la 75e et au coup de poignard planté par Sebo dans le temps additionnel (90e+2).

Se sent-il menacé ? «Posez la question au président». La réponse pourrait intervenir dans les prochaines heures...