ET VOUS ...VOUS PENSEZ A QUI ..POUR ETRE CHAMPION ??

LE CHAMPION SERA ASSUREMMENT ...PARIS OU MARSEILLE

Paris fonce, l'OM grimpe16/01/2012 à 12:34
La 20e journée a été marquée par la première réussie de Carlo Ancelotti en Championnat, le doublé de Loïc Rémy face à Lille
LeaderParis-SG
Carlo Ancelotti n'a pas manqué ses grands débuts au PSG. Une semaine après la (douloureuse) qualification en Coupe de France, le club de la capitale a croqué Toulouse (3-1) dans un parc des Princes qui a vibré aux exploits de Nene, double buteur. Si tout n'a cependant pas été parfait, cette victoire permet aux Parisiens de conserver la tête du championnat avec trois points d'avance sur Montpellier mais aussi d'atténuer un peu le recrutement raté de Beckham et surtout Pato, en attendant peut-être Tevez.
Nene a été l'homme du match samedi au Parc des Princes face à Toulouse.(

Laroute est encore longue
LIGUE1 À lapoursuite du PQSG,
voici le programme des prétendants au titre
et à la Ligue des champions. Faites vos jeux!



Le PSG est éliminé de la
coupe de la Ligue et ne
perdra pas d’énergie sur la
scène européenne.

Àmoins d’une surprise de taille,
le futur champion de France et
les qualifiés pour la prochaine
Ligue des champions se trouvent dans
le groupe des sept qui se dégage. La
route est encore longue d’ici le dimanche
20 mai, date de la clôture du championnat,
mais un premier regard sur
le parcours des différents protagonistes
apporte certaines informations.
Le calendrier des uns et des autres
n’a pas la même consistance. Or, les
regards convergent vers le PSG, dont
le sacre est annoncé avec force, et chacun
peut spéculer sur les dates, les
lieux où le club parisien pourrait laisser
des plumes.
La vision des plus optimistes pour
la formation de Carlo Ancelotti peut
être renforcée par un paramètre de
taille: éliminé de la coupe de la Ligue,
le PSG ne perdra pas d’énergie sur la
scène européenne, qu’il a quittée dès
la phase de groupes. Son calendrier
s’en trouve considérablement allégé,
comme Rennes et Montpellier, par
rapport à l’OM ou Lyon, engagés dans
toutes les compétitions.
Les dirigeants du PSG ont annoncé
vouloir remporter une nouvelle coupe
de France, ce qui pourrait être le cas si
les prochains tirages leur désignent
des clubs de DH ou CFA2 comme lors
des 32e et 16e de finale. Si la chance
sourit aux audacieux, elle n’épargne
pas non plus les vernis !
Que remarque-t-on dans le programme
à venir ?
Quelques détails pourront avoir
leur importance, pour l’OM et Lyon
par exemple dans la proximité des rencontres:
ainsi, Lyon recevra l’Apoel Nicosie
le 14 février avant de se rendre à
Bordeaux, le 17 ou le 18. Plus délicate
sera la gestion du match retour: dans
la foulée du déplacement à Chypre,
les Lyonnais recevront Lille, le
11mars.
Les confrontations directes auront
leur importance: on en dénombre
douze, en sachant que la position de
chacun fluctuera au fil des journées.
Des rendez-vous perdront de leur intérêt
au gré des résultats, d’autres revêtiront
un poids certain si les positions
campent un bout de temps. On pense
ainsi à la 25e journée, avec Lyon- PSG
et Rennes - Lille, à la 30e journée encore,
avec OM-Montpellier et Rennes
- Lyon. Le PSG (27e-28e), Lille
(24e-25e) et l’OM (33e-34e) auront encore
l’obligation de se déplacer deux fois
d’affilée, pendant que Montpellier
(22e-23e), Lyon (35e-36e) et Rennes
(27e-28e) recevront deux fois
consécutivement.
Avant de se pencher sur la dernière
journée lors de laquelle le PSG, Montp
e l l i e r e t l’OM évolueront à
l’extérieur, on soulignera que Lorient
se pose comme un véritable arbitre :
l’équipe entraînée par Christian Gourcuff
recevra cinq des sept prétendants:
Lille, Rennes, Montpellier, OM
et le PSG, lors de la 38e journée.
Pour l’OM, il n’y a pas de véritable
phase critique: si la demi-finale de la
coupe de la Ligue, le 1er février est située
quatre jours avant le rendez-
vous contre Lyon au stade Vélodrome,
les deux confrontations
contre l’Inter Milan sont coincées, à
l’aller entre un voyage à Ajaccio et la
venue de Dijon; au retour, entre la réception
de Valenciennes et un déplacement
à Brest.
L’implication et la gestion de
l’effectif, notamment sur la prévention
des éventuelles suspensions seront
cruciales.
Le tableau ci-dessus suggère toutes
les hypothèses.
On peut s’amuser à l’envi. Constater
que les trois prochaines journées
du PSG semblent paisibles, avant
deux dates critiques contre Montpellier
et Lyon.
On sait l’importance des deux prochaines
échéances de l’OM à Rennes
et contre Lyon, mais on peut aussi
imaginer plus de tranquillité pendant
s e p t j o u r n é e s , j u s q u ’ à
l’enchaînement contre Montpellier et
le PSG au début du mois d’avril.
Tout cela est subjectif et repose sur
une appréciation personnelle.
Nul ne peut prévoir l’implication
des joueurs, les imprévus, les aléas
d’une compétition dont le charme est
de ne pas être forcément écrit à
l’avance. On en connaît qui seront
tout couillon si le PSG n’est pas champion.
La ligne droite est encore loin.
Pour avoir le droit d’être invité au
sprint final, autant éviter de se disperser...

..Ligue 1: le PSG et Montpellier poursuivent leur course effrénée


Le Parisien Nene à la lutte avec Daniel Wass, d'Evian-Thonon-Gaillard. Auteur d'un doublé, le Brésilien a été le principal artisan de la victoire 3-1 du PSG samedi au Parc des Princes. Les hommes de Carlo Ancelotti conservent la tête de la Ligue 1. /
- Lancés à toute allure dans la course au titre, le Paris Saint-Germain, vainqueur d'Evian (3-1), et Montpellier, tombeur de Brest (1-0), n'ont pas relâché la pression lors de la 22e journée de Ligue 1.

Mené à la pause, le PSG a remporté son cinquième match d'affilée sous l'ère Carlo Ancelotti grâce à un doublé de Nene et un but dans les dernières minutes de Kevin Gameiro.

Avec 49 points contre 46 pour Montpellier, les Parisiens, invaincus en championnat depuis le mois de novembre, conservent leur avance au sommet de la Ligue 1.

Le rythme effréné imposé par les deux leaders laisse sur place une partie du wagon de tête, à l'image de Rennes, coincé à la sixième place après son match nul 0-0 dans l'enceinte glaciale de Nancy.

La rencontre avait été avancée à 14h00 GMT pour favoriser les conditions de jeu.

"Même à 15h, il ne fallait pas jouer le match", a déploré l'entraîneur rennais Frédéric Antonetti, après le match qui s'est disputé par -7 degrés au stade Marcel Picot.

L'arbitre de la rencontre entre Saint-Etienne et Lorient a en revanche décidé d'écourter la partie après 10 minutes de jeu, en raison de la qualité du terrain.

Le froid n'a pas empêché Bordeaux de s'imposer sur sa pelouse de Chaban-Delmas face à Toulouse (2-0), grâce à des buts de Jussie et Ludovic Obraniak en première période.

Les joueurs de Valenciennes ont eux aussi remporté leur match, sur le terrain de Dijon. Renaud Cohade (2e) et Gaël Danic (42e) ont donné en première période un avantage décisif aux Nordistes. Grégory Thil a réduit la marque dans le temps additionnel.

LE RENFORT DE THIAGO MOTTA

Dans la bagarre pour le maintien, Ajaccio et Nice se sont neutralisés sur le score de 1-1. Le point du match nul ne suffit pas à Nice, désormais à la 18e place avec 19 points, pour s'extraire de la zone rouge.

Ajaccio, abonné pendant plus de trois mois à la dernière place, conforte sa 15e position, encore inespérée il y a deux semaines.

Dans leur antre du Parc des Princes, les Parisiens, qui enregistraient le renfort de Thiago Motta au milieu de terrain, ont offert à leurs spectateurs un jeu fluide en première période, couronnée par un tir sur le poteau de Jérémy Ménez (34e).

Mais c'est Evian qui ouvre le score juste avant la pause. La reprise d'Olivier Sorlin, partie en direction des buts, est déviée in extremis par Cédric Cambon pour tromper Salvatore Sirigu.

Les Parisiens ripostent dès le retour des vestiaires, par la voie de Nene. Le Brésilien s'appuie sur Jérémy Ménez avant de marquer (47e).

A la 57e minute, Sidney Govou, lancé dans la profondeur par Yannick Sagbo, se présente seul face à Salvatore Sirigu, qui arrête la course de l'ancien Lyonnais.

Vingt minutes plus tard, Jérémy Ménez obtient un pénalty, converti par Nene. Le même Nene tente à nouveau sa chance à deux minutes de la fin, mais sa frappe, déviée, bénéficie finalement à Kevin Gameiro.

Paris et Montpellier, qui ferraillent à distance depuis le début de la saison, auront l'occasion de s'expliquer en tête à tête dans deux semaines au Parc des Princes.

L1: OM et Lyon c'est tiède, PSG et Montpellier c'est chaud
Marseille et Lyon ne sont pas parvenus à se départager (2-2) dimanche en clôture d'une 22e journée très perturbée par le froid,
qui a empêché la tenue de trois matches, et a vu le tandem Paris SG-Montpellier creuser l'écart en tête du classement.
Les matches entre les deux Olympiques, qui se retrouveront le 14 avril en finale de la Coupe de la Ligue, sont souvent spectaculaires ces dernières saisons et celui de dimanche a confirmé la règle.
L'OM semblait prêt à enchaîner une neuvième victoire consécutive toutes compétitions confondues grâce à deux buts rapidement inscrits par Cheyrou et Brandao, mais Lyon est revenu avant la pause grâce à Gomis et un but contre son camp de Diawara, malheureux quatre jours après son retour de la CAN.
Le match nul ne fait vraiment pas les affaires des deux équipes, qui voient un gouffre se creuser avec les deux premières places et risquent de désormais viser le 3e strapontin, actuellement occupé par Lille, qui n'a pas joué.
Samedi, le PSG et Montpellier avaient en effet posé les bases de leur duel à venir. Les deux équipes, qui se retrouveront le 19 février au Parc des Princes pour un choc qui pourrait être décisif, se sont imposées à domicile, sans forcément beaucoup impressionner.
Paris, où Thiago Motta a fait des débuts sobres, a ainsi d'abord été mené par le promu Evian-Thonon, avant d'inverser la tendance en deuxième période sous l'influence du duo Nene (deux buts)-Ménez (une passe, un penalty provoqué).
Les hommes de Carlo Ancelotti se sont finalement imposés 3-1 et gardent trois longueurs d'avance sur les Héraultais, qui ont eux dominé Brest 1-0. Ils en comptent désormais dix sur Lille (3e) et Lyon (4e) et onze sur Marseille (5e).
Montpellier a beau avoir la meilleure attaque et le meilleur buteur du championnat, il est toujours bon d'avoir un peu de réussite et ça a été le cas samedi: le but héraultais a été inscrit par Dernis du dos, sur une frappe de Cabella.
Outre les deux leaders, le principal protagoniste de cette 22e journée aura été le froid. Trois rencontres ont été reportées à cause des terrains impraticables: Saint-Etienne - Lorient, arrêté samedi après 10 minutes de jeu, et Caen-Auxerre et Sochaux-Lille qui n'ont même pas débuté dimanche.

Résultats
samedi
Nancy - Rennes 0 - 0
Montpellier - Brest 1 - 0
Paris SG - Evian/Thonon 3 - 1
dimancheMarseille - Lyon 2 - 2
Reporté: Sochaux - Lille

3pour le titre
et 8 pour l'europe à ce jour

Pl Equipe Pts Jo G N P F Bp Bc Pé Dif

1 Paris S G 49 22 15 4 3 0 38 19 0 19

2 Montpellier 46 22 14 4 4 0 42 23 0 19

3 Lille 39 21 10 9 2 0 36 21 0 15
4 Lyon 39 22 12 3 7 0 36 25 0 11
5 Marseille 38 22 10 8 4 0 33 21 0 12

6 Rennes 36 22 10 6 6 0 32 25 0 7
7 Toulouse 34 22 9 7 6 0 22 22 0 0
8 Saint Etienne 33 21 9 6 6 0 24 24 0 0
..........................
9 Bordeaux 30 22 7 9 6 0 24 23 0 1

aladin a écrit:L1: OM et Lyon c'est tiède, PSG et Montpellier c'est chaud
Marseille et Lyon ne sont pas parvenus à se départager (2-2) dimanche en clôture d'une 22e journée très perturbée par le froid,
qui a empêché la tenue de trois matches, et a vu le tandem Paris SG-Montpellier creuser l'écart en tête du classement.
Les matches entre les deux Olympiques, qui se retrouveront le 14 avril en finale de la Coupe de la Ligue, sont souvent spectaculaires ces dernières saisons et celui de dimanche a confirmé la règle.
L'OM semblait prêt à enchaîner une neuvième victoire consécutive toutes compétitions confondues grâce à deux buts rapidement inscrits par Cheyrou et Brandao, mais Lyon est revenu avant la pause grâce à Gomis et un but contre son camp de Diawara, malheureux quatre jours après son retour de la CAN.
Le match nul ne fait vraiment pas les affaires des deux équipes, qui voient un gouffre se creuser avec les deux premières places et risquent de désormais viser le 3e strapontin, actuellement occupé par Lille, qui n'a pas joué.
Samedi, le PSG et Montpellier avaient en effet posé les bases de leur duel à venir. Les deux équipes, qui se retrouveront le 19 février au Parc des Princes pour un choc qui pourrait être décisif, se sont imposées à domicile, sans forcément beaucoup impressionner.
Paris, où Thiago Motta a fait des débuts sobres, a ainsi d'abord été mené par le promu Evian-Thonon, avant d'inverser la tendance en deuxième période sous l'influence du duo Nene (deux buts)-Ménez (une passe, un penalty provoqué).
Les hommes de Carlo Ancelotti se sont finalement imposés 3-1 et gardent trois longueurs d'avance sur les Héraultais, qui ont eux dominé Brest 1-0. Ils en comptent désormais dix sur Lille (3e) et Lyon (4e) et onze sur Marseille (5e).
Montpellier a beau avoir la meilleure attaque et le meilleur buteur du championnat, il est toujours bon d'avoir un peu de réussite et ça a été le cas samedi: le but héraultais a été inscrit par Dernis du dos, sur une frappe de Cabella.
Outre les deux leaders, le principal protagoniste de cette 22e journée aura été le froid. Trois rencontres ont été reportées à cause des terrains impraticables: Saint-Etienne - Lorient, arrêté samedi après 10 minutes de jeu, et Caen-Auxerre et Sochaux-Lille qui n'ont même pas débuté dimanche.

Résultats
samedi
Nancy - Rennes 0 - 0
Montpellier - Brest 1 - 0
Paris SG - Evian/Thonon 3 - 1
dimancheMarseille - Lyon 2 - 2
Reporté: Sochaux - Lille

Ancelotti : «Une belle journée»
Le 04/03/2012 | Mis à jour le 04/03/2012 23:02:05


Les Parisiens ont profité du nul de Montpellier pour reprendre la tête après leur succès contre Ajaccio
Carlo Ancelotti s'est félicité de la victoire obtenue dimanche par le PSG contre l'AC Ajaccio (4-1), qui permet à son équipe de reprendre la tête du Championnat. Mais regrette encore le but encaissé sur coup de pied arrêté. Réactions.

La satisfaction du devoir accompli et que la roue a tourné de nouveau du bon côté, tel est le sentiment ressenti par les Parisiens et exprimé après la victoire du PSG, dimanche contre l'AC Ajaccio (4-1). Au ralenti depuis trois matches, les joueurs de la capitale se sont réveillés au bon moment, juste à temps pour reprendre la première place à Montpellier, accroché la veille. Raison pour laquelle Carlo Ancelotti avait la sourire après la rencontre. «On a joué un très beau foot, on a eu beaucoup d'occasions de marquer. On retrouve la tête de la Ligue, s'est-il félicité. C'est une belle journée pour nous, Montpellier et Lille n'ont pas gagné». Tout autant satisfait, Blaise Matuidi s'est réjoui du résultat pour la suite de la saison. «On réalise une belle opération et on repasse devant au classement, a constaté le milieu international. C'est important pour la confiance».


Mais très exigeant néanmoins, le coach italien n'a pas passé sous silence les quelques imperfections constatées. «Le seul point négatif du match, c'est qu'on a perdu notre équilibre à chaque début de période, a-t-il regretté. On doit s'améliorer sur les coups de pied arrêtés, a-t-il aussi ajouté, référence faite au nouveau but encaissé suite à un coup franc. Ce n'est pas possible de donner à l'adversaire autant de possibilités de marquer. On s'est encore pris un but sur un deuxième ballon. On a travaillé cette semaine, on va le refaire». Sur l'action en question, Matuidi s'en veut. «Je ne pense pas faire la faute», a-t-il estimé, avant de pointer du doigt ces «mauvaises habitudes» prises sur les phases arrêtées. «C'est dommage, a confié l'ancien Stéphanois, mais on va travailler pour rectifier le tir et gommer ces petits défauts».


Matuidi : «Notre destin entre les mains»
En attendant de s'améliorer encore, pour contenter enfin pleinement son entraîneur, le PSG a repris la commandes des opérations, une semaine seulement après avoir abandonné sa place de leader. «Il y avait beaucoup de pression avant le match, on a eu la bonne réaction, a salué Ancelotti. Notre classement peut nous donner de la confiance». Prudent, Matuidi n'oublie pas que le Championnat est encore long. «Le sprint est lancé et on est content de creuser l'écart avec les autres, a indiqué le Parisien. Mais Montpellier ne lâche rien et Lille est toujours là. On a notre destin entre les mains».

09/03/2012 - 13:50
Lille-Pedretti: "Le jeu est moins flamboyant"
Benoît Pedretti et le Losc se déplacent à Gerland, samedi soir, pour y affronter l'OL lors du choc de la 27e journée de Ligue 1. "Très heureux de [son] passage à Lyon" (entre 2005 et 2006), le milieu de terrain lillois affirme y avoir passé "saison formidable." Interrogé également sur la forme de sa nouvelle écurie, l'ex-Gone a reconnu que le champion de France avait dû modifier son jeu par rapport à la saison passée, la faute aux aléas des transferts à l'intersaison: "C’est sûr que le jeu est un peu moins flamboyant, avec un peu moins de qualité. C’est normal: toutes les équipes changent au gré des départs et des arrivées, on ne peut pas conserver le même jeu. Mais je trouve que l’on ne s’en sort pas trop mal. C’est simplement que les deux de devant (le PSG et Montpellier, ndlr), vont à une vitesse très élevée."

Duels au sommet
Parisiens et Montpelliérains se livrent une courseàdistance pour le titre
ALLEZ DIJONNNNNNNNNNNNNNNNNNNN



Aujourd’hui
Dijon - PSG .........................17h, Foot+ (201)
Montpellier - Caen.....................21h, Canal+
PTS J G N P BP BC G
1. PSG 55 26 16 7 3 48 26 22
2. Montpellier 54 26 16 6 4 49 26 23

3. Lille 47 27 12 11 4 46 31 15
4. Saint-Etienne 46 27 13 7 7 35 29 6
5. Toulouse 44 27 12 8 7 29 24 5
6. Lyon 43 27 13 4 10 43 35 8
7. Rennes 43 26 12 7 7 36 30 6
8. OM 39 27 10 9 8 34 27 7
9. Bordeaux 39 27 10 9 8 33 30 3
10. Evian TG 33 27 8 9 10 39 40 -1
11. Valenciennes 31 27 8 7 12 28 30 -2
12. Brest 30 27 5 15 7 22 24 -2
13. AC Ajaccio 29 27 7 8 12 29 47 -18
14. Caen 28 26 7 7 12 30 37 -7
15. Lorient 28 27 6 10 11 25 35 -10
16. Nice 27 27 6 9 12 26 31 -5
17. Nancy 27 27 6 9 12 25 36 -11
18. Dijon 27 26 7 6 13 31 45 -14

Ligue 1: Paris et Montpellier s'obstinent, Lille 3e à dix points
Le Paris SG, réduit à dix 50 minutes, s'est montré plus fort que les circonstances défavorables contre Dijon (2-1) et a conservé son point d'avance sur Montpellier, qui distance de dix longueurs le 3e Lille après son succès contre Caen (3-0) Les joueurs d'Ancelotti n'ont pas livré leur prestation la plus aboutie, mais en prenant l'avantage (49e) alors que Sissoko avait été sévèrement exclu (41e), puis en forçant la décision dans le temps additionnel (90e+1) grâce à un Gameiro ressuscité à sa sortie du banc, ils ont une nouvelle fois frappé un grand coup. Comme à Lyon (4-4), il y a 15 jours.

Buteur à quatre reprises lors des trois derniers matches, Hoarau s'est contenté d'une passe décisive à destination de Tiéné. Ce dernier, révolté pour sa première titularisation par Ancelotti, a validé la notion d'esprit de groupe qui anime actuellement le PSG, invaincu depuis 16 matches.

Paris compte désormais 58 points, c'est-à-dire toujours un de plus que Montpellier qui avait dû se contenter d'un nul (1-1) il y a une semaine chez ces mêmes Bourguignons, naïfs et désormais relégables (18e).

Dans la soirée, les Héraultais ont eux aussi souffert, car ils sont tombés sur un Thébaux héroïque avant de réussir à prendre l'ascendant sur Caen (14e) qui n'a pas démérité et à eu sa chance.

Mais la baraka et les vertus collectives n'ont pas complètement déserté le Montpellier de Giroud, auteur de son 17e but, qui compte désormais dix points d'avance sur le 3e puisque celui-ci, Lille, s'est incliné à Lyon (1-2) lors du choc du week-end.

Nice : Dja-Djedje mise sur Montpellier
Posté le 14 mars 2012

L’ex attaquant du PSG, Franck Dja-Djedje estime que son ancien club se fera passer devant en fin de championnat par Montpellier, l’adversaire qui l’a le plus impressionné.

L’attaquant niçois Franck Dja-Djedje, interrogé
estime que Montpellier mériterait de remporter le championnat : « La balance va pencher du côté de Montpellier que j’ai rencontré deux fois. C’est une équipe qui collectivement est très appliquée. Que ce soit offensivement ou défensivement, ils sont bons. Il n’y a pas de grands noms dans l’équipe, mais ils travaillent tous ensemble et ils ont une discipline militaire. La machine est bien huilée. Ils sont complémentaires, ça se passe bien, il n »’y a pas de joueur arrogant, pas de super stars, c’est une équipe. Sur les deux matchs, on leur a tenu tête, mais on a eu du mal car on a souffert lors de ces deux matchs-là, ils sont vraiment bons. »

Ligue 1: Montpellier au sommet, Paris en échec
Montpellier a repris ses aises en tête de la Ligue 1 après sa victoire face à Saint-Etienne (1-0), profitant du nouveau faux-pas du Paris SG, contraint au nul par Bordeaux au Parc des Princes (1-1), dimanche en clôture de la 29e journée.

Le PSG semble tourner au ralenti depuis quelques semaines et ce n'est pas sa dernière production qui a modifié cette impression. Empruntés, sans jeu collectif et avec des individualités défaillantes, les Parisiens ont abandonné le fauteuil de leader sans même réellement combattre et se voient distancés par les Héraultais à la différence de buts

QATA RIE JAUNE

Le titre se jouera à deux 09/04/2012 12:51:40
Très bon contre Sochaux, Belhanda a marqué son 8e but de la saison. Montpellier et le PSG, qui ont gagné ce week-end, ne se quittent plus en tête du Championnat, alors que les Héraultais ont encore un match à jouer mercredi contre un OM qui arbitre le titre... Lille, pas brillant à Brest, n'est plus vraiment en course pour le titre


Leader A sept journées de la fin du Championnat, le sprint est cette fois bet et bien lancé, avec un duel savoureux qui s'annonce entre Montpellier et Paris. Les Héraultais assument désormais pleinement leurs envies de titre et ils ne sont pas décidés à lâcher l'affaire. Samedi, ils ont mis la pression sur le PSG en venant à bout d'une séduisante équipe de Sochaux (2-1). Ils devancent les Parisiens à la différence de buts. Le PSG a, lui, mis fin à une série de quatre matches sans victoire en battant son vieil ennemi Marseille (2-1). L'OM, très mal en point à la 9e place, reçoit Montpellier mercredi en match en retard. Les Olympiens, au moins, arbitrent le titre.

Rang Equipe Pts J. G. N. P. p. c. Diff.
1 Montpellier 63 30 19 6 5 55 28 27
2 Paris-SG 63 31 18 9 4 56 33 23

3 Lille 56 31 15 11 5 56 35 21

4 Lyon 53 31 16 5 10 49 38 11

5 Toulouse 50 31 14 8 9 32 28 4
6 Rennes 48 31 13 9 9 41 35 6

7 Saint-Etienne 47 31 13 8 10 38 35 3
8 Bordeaux 42 31 10 12 9 36 34 2
9 Marseille 40 30 10 10 10 37 32 5

Paris a tout gâché 16/04/2012
Nene a ouvert le score mais cela n'a pas suffi.
Après avoir manqué des occasions de faire le break, le PSG concède le nul à Auxerre en fin de match (1-1). Montpellier, battu à Lorient (1-2), garde 2 points d'avance en tête.
A l'heure de dresser les bilans en fin de saison, à l'heure où on cherche des explications à ce qui empêché de tourner rond et d'aller plus haut, il est des matches dont tout le monde se rappelle. Des rendez-vous qu'il ne fallait pas, qu'on ne pouvait pas manquer. A Paris, si titre il n'y a pas, on se souviendra de cette soirée à Auxerre (1-1). A un tel moment de la saison, face à une telle équipe en souffrance, après un tel cadeau de Montpellier et une telle première période, le PSG a laissé filer deux points qui lui étaient promis. Il laisse aussi les Héraultais le toiser du haut de leur fauteuil de leader (2 points d'avance), et quelques grammes d'espoir à l'AJA, pas encore mort dans l'élite. Une générosité mal placée qu'il paiera peut-être cher en fin de saison.

«C'est un match qu'on doit gagner 2, 3-0». Jérémy Ménez a tout dit en quittant la pelouse. C'est un match que le PSG devait gagner. Auteur d'une première période maîtrisée, où son organisation et son impact dans l'axe ont mis à la peine l'AJA, Paris s'en est remis à Nene pour valider cet ascendant. Le Brésilien a trouvé la faille, après un joli travail de Gameiro (23e), d'une frappe croisée limpide. Son cinquième but en six apparitions face aux Auxerrois. Il aurait dû aggraver cette stat' en deuxième période, et tuer une rencontre promise à un Paris conquérant dans ce 4-3-3 qui laissait Pastore sur le banc. A la 69e minute, la star parisienne a pourtant préféré le gri-gri face à Sorin plutôt que la passe à Gameiro au centre. Impardonnable, surtout qu'il a bien dû voir qu'Auxerre avait changé de visage au retour des vestiaires.
Plus entreprenant (21 tirs contre 10 pour Paris), plus vif, le club bourguignon avait sonné l'alerte avec un poteau de Chafni (53e), ou une tête piquée d'Oliech et une frappe lointaine de Mandjeck sauvées par Sirigu (60e, 80e). Incapable de gérer son avance, Paris a logiquement été sanctionné de cette bévue : cinq minutes après être passée à quelques centimètres du contre-son-camp par Armand, l'équipe de Carlo Ancelotti a donc craqué sur une action initiée par Kossoko, et sur laquelle Sirigu, pour une fois, n'a pas brillé. Le Tallec, véritable renard, en a profité (87e), une vraie récompense pour cette seconde période rondement menée. Un point qui ne signifie pas grand-chose pour Auxerre, toujours à cinq longueurs du maintien. Un point qui, en revanche, pourrait à terme signifier beaucoup pour Paris.

Ils ne sont sûrs de rien
Montpellier (1er), Paris (2e) et Lille (3e)
se tiennent en sept points

Paris a toutàperdreàLille
TITRE Sous pression après la victoire de Montpellier, le PSG est sous la menace du champion sortant


Stadium Lille-Métropole.
Arbitre : Pascal Viléo.
Lille : Landreau - Debuchy, Basa, Chedjou,
Digne - Mavuba (cap), Pedretti, Balmont -
Hazard, De Melo, Payet.
Remplaçants : Eneyama (g), Bonnart,
Cetto, Rozenhal, Cole, Bruno, Roux.
Entraîneur: Rudi Garcia.
Paris SG: Sirigu - Jallet, Bisevac, Alex, Tiéné
- Matuidi, Thiago Motta, Sissoko (cap) -
Ménez, Pastore, Nene.
Remplaçants : Douchez (g), Armand, Lugano,
Maxwell, Sakho, Bodmer, Gameiro,
Hoarau.
Entraîneur: Carlo Ancelotti

"C’est unmatch
important pour être
sûr de finir deuxième"
CARLO ANCELOTTI


Le Paris SG, relégué depuis
vendredi à cinq points du
leader Montpellier, joue
très gros chez le champion de
France en titre, Lille, qui peut en
cas de succès se rapprocher dangereusement
à deux points de sa
deuxième place, à quatre journées
de la fin.
Les Lillois ont toujours dit
qu’ils ne visaient que le podium
en fin de saison. Le titre ?
L’entraîneur Rudi Garcia n’a eu
de cesse de répéter qu’ils
l’avaient remporté en 2011 et
qu’ils pouvaient le perdre; Paris
étant, vu les moyens mis sur la table,
le grand favori cette année.
Mais si le succès àToulouse de
Montpellier (1-0), désormais à
10 longueurs, a rendu la première
place du podium quasiment
inaccessible aux Lillois, la situation
est très différente pour la
deuxième marche, qui les enverrait
directement en Ligue des
champions. "On a toujours
l’ambition de finir sur le podium,
a confirmé Rudi Garcia. Si on venait
à gagner, je pense qu’on ferait
un pas supplémentaire vers
ce podium, et peut-être même
mieux que la place qu’on occupe
actuellement".
La pression serait donc surtout
côté parisien avant ce choc.
"Je ne pense pas que le match sera
décisif, tranche Carlo Ancelotti.
Il est très important, mais je ne
pense pas que ce sera terminé
pour nous si on ne gagne pas à
Lille. C’est un match important
pour être sûr de finir 2e, et continuer
d’espérer pour le titre".
Faut-il s’attendre à un PSG,
qui vient de faire voler en éclats
la défense de Sochaux (6-1), très
entreprenant ?
Rudi Garcia n’y croit pas: "Paris
est une équipe de contres,
donc je ne pense pas qu’ils vont
oeuvrer différemment".
L’une des clés du match sera
évidemment le niveau de performance
des stars de chaque
camp. Côté Losc, Eden Hazard
(16 buts et 13 passes décisives),
est toujours incertain en raison
d’un gros hématome sur un mollet.
Il a en tout cas été convoqué
pour la rencontre. Ce serait la
meilleure des nouvelles pour
Lille qu’il puisse débuter,
d’autant que le PSG est souvent
apparu en difficulté défensivement
face aux petits gabarits
techniques et mobiles. Tout à
fait le profil de l’intenable attaquant
belge, qui aura face à lui
un Sirigu moins tranchant dans
la cage depuis quelques semaines.
Côté parisien, Carlo Ancelotti
pourrait de nouveau s’en remettre
devant au trio sans véritable
buteur Menez-Nene-Pastore. Le
plus prolifique des trois, Nene
(16 buts), au rendement aléatoire,
a été piqué au vif par son séjour
sur le bancà Nancy. Et pour
la première fois, le trio a réussi
contre Sochaux un match plein
quasiment de bout en bout. Peuvent-
ils rééditer cette performance
face à une défense lilloise qui
a retrouvé sa charnière centrale
titulaire Basa-Chedjou?
Le pire pour tout le monde serait
que ce choc tant attendu se
solde,comme à l’aller, par un décevant
0-0. Or sur les six derniers
Lille-Paris, quatre ont fini sur ce
score...
Un résultat qui ravirait Montpellier;
les Héraultais seraient
quasiment assurés de se qualifier
directement pour la Ligue
des champions, et bénéficieraient
d’un joker et demi
d’avance sur le PSG. À quatre
journées de la fin, cela équivaudrait
quasiment à un pas décisif...

SIRIGOU SIRIGOU

EH J'PEUX PAS TOUT FAAAAAAAAAAAAAIRE LES GARS
LE QATA-RI JAUNE ET BOIT LA TASSE ET GLOUP ET GLOUP



Ligue 1: Montpellier s'échappe, Paris coule à Lille
Menant au score, Paris s'est complètement liquéfié à Lille après une bévue et l'exclusion de Sakho qui ont permis au Losc de combler son retard (2-1) et de revenir à deux points du PSG et à sept de Montpellier, plus que jamais leader après la 34e journée de L1.
Le scénario est cruel pour le jeune défenseur parisien, "titi" du PSG dont son entraîneur avait peut-être raison de se méfier: en fauchant naïvement Roux pour une égalisation d'Hazard sur penalty (71), Sakho a relancé des Dogues qui butaient sur leur adversaire après l'ouverture du score de Pastore (48).

Le PSG la tête sous l'eau, Roux a ensuite bonifié son entrée en donnant l'avantage alors qu'il était hors-jeu au départ de l'action (80).

Pour Montpellier et le PSG, à la lutte pour le titre, la messe semble désormais dite, puisque les Héraultais, capables, eux, de tenir un score, semblent inaccessibles.

Le PSG, finalement sans Menez, devra même faire preuve de qualités mentales pour conserver sa 2e place, désormais disputée par le champion de France en titre. Au vu de sa 1re partie de match, c'est une désolation tant les joueurs d'Ancelotti avaient pourtant semblé en mesure de respecter ses consignes et sa tactique, tenant finalement parfaitement le diable belge de son adversaire.

Mais une nouvelle fois, ils n'ont pas été capables de faire le break quand ils en ont eu l'occasion et d'une certaine façon il ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes après ce 2e revers en L1 depuis qu'Ancelotti est

Debuchy qui tacle le géant Hoarau.
Il y a des images qui n'ont rien de symboliques :
hier soir, les Lillois étaient supérieurs aux Parisiens./


Pour le titre, c'est la guerre des trois
ligue 1. 34e journée. Après la victoire, en clôture hier soir dans le Nord, de Lille sur Paris 2-1.

Le succès des Dogues, serré mais mérité, resserre encore un peu plus les boulons en tête du championnat. Le PSG a peut-être abdiqué, et Montpellier boit du petit-lait.

On les attendait au tour- nant, c'est Paris-SG qui a manqué le virage. Et le Losc de ressortir du chapeau ! Ainsi soit-il. Ainsi foi-t-il, même, si on ose : le champion de Fran-ce en titre n'a pas dit adieu à la défense de sa couronne. D'autant plus avec un joyau en l'espèce d'Eden Hazard.

Montpellier
Ce héraut.- « Au moins, cela prouve qu'on n'a pas besoin de dépenser des millions et des millions (MHSC ventre mou de L1 avec un budget prévi' de 33M€) pour devenir champion ! Moi, ça me plaît même si je suis Titi parisien… » Franky ne lit pas dans la boule de cristal, mais connaît le ballon rond. La tête de Franck Tabanou vote le PSG, ses jambes Montpellier-Hérault. « Pas compliqué, traduit enco-re le piston gauche du TFC : arc-boutistes derrière, créatifs dans l'entrejeu, incisifs devant dit-il en substance. Ils n'ont pas de trou. » La force de la formation de René Girard, c'est justement qu'elle n'a pas de faiblesses. étayons - chiffres à l'appui : défense numéro un ex æquo avec… Toulouse (31 buts contre) ; troisième meilleure attaque (61 buts pour) derrière… Lille et Paris. Et comme les gars de La Paillade ont compris que la façon la plus efficace de se mettre à l'abri était de bombarder - l'adversaire… voilà où on en est aujourd'hui. Si près (4 étapes de l'arrivée), si loin (course de 12 points). N'en déplaise aussi au Café des sports : un mot, un dernier bon, sur les éternels prôneurs du jeu offensif qui critiquent un Montpelllier « gagne-petit ». Ce vendredi, sur l'île du Ramier, c'était la 10e victoire 1 à 0 de la bande à Girard. « Oui, sourit l'entraîneur héraultais, mais si on fait les comptes, ça fait bien 30 points, non ? »

Paris
Pas si magique.- Un signe au printemps, hier dans la nuit étoilée de Villeneuve-d'Ascq. Lille vient d'égaliser sur un penalty de maître d'Hazard - son 8e de la saison -, et Carlo Ancelotti sort Nenê pour Lugano. Exit le feu-follet, bonjour le coffre-fort.

Oui, depuis un mois et demi (28eJ, 17-18 mars, journée de la passation de pouvoir entre la capitale et la province), Paris joue avec peur et pression. Sept minutes plus tard, les Dogues prendront l'avantage… Au fait, il se dore toujours la pilule à la maison, en Nouvelle-Calédonie, Antoine Kambouaré ? Les spécialistes ne s'y sont pas trompés qui ont nommé aux trophées UNFP, pour le titre de meilleur entraîneur, l'ancien mentor du club francilien - congédié à la trêve rappelons-le ! Passons et pointons le mal du Paris-SG. Qui tourne comme un avion quand ses stars brillent de mille paillettes (hier soir, Ménez était blessé). Qui se crashe, continuons la métaphore, lorsque ses flèches sont émoussées (encore que l'étoile Pastore a eu la riche idée de ressusciter au Stadium-Nord). Or, sans jeu de mots avec le métal, le foot est un sport qui se joue à 11 !

Lille
Aux trésors, toujours.- Tous les techniciens s'accordent sur deux gros points : la C1 a pompé les Lillois jusqu'en janvier ; ces mêmes Nordistes pratiquent le jeu le plus flamboyant à l'instar de 2010-2011. Alain Casanova en tête, l'entraîneur du TFC, considère l'institution Losc comme un modèle à part entière. « Peut-être, glissait-il cette semaine, que pour l'indice UEFA et ainsi de suite, il serait préférable que le PSG soit champion. »

Mais pour le football…



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Lille avait les crocs, paris s'est sabordé
Démarrage en trombe du Losc avec un arrêt miraculeux de Sirigu sur une tête de De Melo (4). Un poteau de chaque côté plus loin (Pastore 27, Hazard 29), le PSG, pas malheureux, ouvre le score via une tête lobée de Pastore (0-1, 48). Mais Sakho voit rouge, Hazard fait le justicier (1-1, 71 ; sp) et d'un coup du foulard envoie Nolan Roux au paradis (2-1, 79)…

1er

72pts / +30

2e

67pts / +27

3e

65pts / +27

mercredi 2 mai 2012 22:22
Ligue 1: Paris réduit l'écart, Lille ne lâche pas
Le Paris SG est revenu à trois points du leader Montpellier mercredi en battant Saint-Etienne (2-0), relançant ainsi le suspense en L1, d'autant que l'a également emporté, alors que Lyon, qui a fessé Valenciennes (4-1), s'accroche encore à un mince espoir de C1.


Décidément, l'arbitrage fut au coeur de cette 35e journée. Mardi, Montpellier avait calé face à Evian (2-2) avec une fin de match marquée par des échauffourées aboutissant à quatre exclusions, notamment celle du meneur héraultais Belhanda, puis par un penalty raté par son coéquipier Camara. Auparavant, l'égalisation du même Camara était hors jeu, tandis qu'un but de Sagbo a été annulé alors qu'il était valide...

Le lendemain au Parc des Princes, Ménez obtenait un penalty en retombant sur la jambe de Marchal... M. Ennjimi l'accordait au bout de longues secondes de flottement, et Nene marquait son 17e but, avant que Pastore ne tue le match en fin de partie (son 12e but). Une victoire capitale pour le PSG, qui lui permet de laisser Lille deux points derrière.

Car le Losc s'est vite mis à l'abri avec un but de De Melo de la tête dès la 6e minute, sur un centre de Hazard, sa 14e passe décisive. Sans être vraiment convaincants face à de vaillants Niçois, les Lillois ont signé un quatrième succès consécutif (1-0). "En gagnant ici, on montre qu'il faudra compter avec nous pour la fin de saison", s'est félicité Rudi Garcia.