QUELS SONT LES ENTRAINEURS QUI VONT ENCORE VALSER CETTE SAISON ? L1 L2 NAT

● Éric Bedouet
finira la saison à la place
de Jean Tigana. Après avoir accepté
la démission du Marseillais
samedi soir, le président
Jean-Louis Triaud a annoncé
officiellement hier
qu’Éric Bédouet, préparateur
physique devenu adjoint de
Jean Tigana en février, assurerait
l’intérim jusqu’à la fin de
la saison. L’état-major girondin
aurait en revanche déjà
contacté plusieurs techniciens
en vue de la saison prochaine.
Les noms de
Jean-Louis Garcia (Angers),
Jean Fernandez (Auxerre),
Philippe Montanier (Valenciennes)
et Rolland Courbis
circulent

IL Y A 2 MOIS IL SURFAIT SUR LA VAGUE
POURRAIT IL VALSER MAINTENANT OU DANS 3 SEMAINES

OH LA JE SAIS PAS VALSER..............

Antonetti : «L'heure est grave»
Frédéric Antonetti s'inquiète de la trajectoire de son équipe qui est en totale chute libre. De là à remettre en cause son avenir en Bretagne ?





Fr
Frédéric Antonetti ne le cache pas : l'heure est grave pour le Stade Rennais qui ne gagne plus depuis huit matches. De là à remettre en cause son avenir en Bretagne ?

«Frédéric Antonetti, dans quel état d'esprit êtes-vous après ce huitième match sans victoire ?
C'est très difficile en ce moment. On est dans une période très compliquée. Pour une équipe qui joue le haut du tableau, ne pas gagner pendant huit matches, c'est sûr que l'heure est grave. Il faut vite trouver les solutions pour sortir de cette mauvaise spirale.

Quelles sont ces solutions, justement ?
Il n'y en a pas des tonnes. Il faut qu'on retrouve de la simplicité dans le jeu, car on manque de confiance et qu'on retrouve ce qui a fait notre force, c'est-à-dire la récupération du ballon. C'est très désagréable à vivre comme situation, mais pour l'avoir fait ailleurs, je sais qu'on bâtit une équipe dans ces périodes. C'est une phrase reprise par tous les grands philosophes : ''c'est dans la difficulté qu'on voit les hommes''. C'est là qu'on va voir ce qu'on a dans le ventre.

Peut-on parler de crise au Stade Rennais ?
Il faut définir ce qu'est la crise et demander au patron pour ça. Il y a des crises plus ou moins fortes. C'est une crise de résultats, oui. On avait donné tellement d'espoirs que quand ça revient, ça revient fort. Pour le moment, on n'a pas su aller au bout des espoirs des gens et des nôtres aussi.

Comment expliquez-vous cette série ?
On s'est mis dans le dur tout seul à Brest. Ce match nous a fait très, très mal. Tout est parti de ce moment-là. Il y a eu une cassure. Pourquoi ? Je ne sais pas. Pourquoi un tel gâchis ? Je ne sais pas. Enfin, il y a toujours des explications, mais je ne les donnerai pas, car ça ne sert à rien de les énumérer.

Cette mauvaise passe pourrait-elle avoir des répercussions sur votre avenir en sachant que vous n'avez jamais caché qu'il vous serait très difficile de rester à Rennes en cas de mauvais classement en fin de saison ?
Je ne l'accepterai pas. Mais ce n'est pas aujourd'hui que vous devez me poser cette question, c'est à la fin mai. Si vous voulez la poser au patron n'hésitez pas, je ne suis que simple entraîneur. Il est évident que quand on n'a pas gagné depuis huit matches, le regard sur l'entraîneur n'est pas tout à fait le même que quand on était dans les trois premiers pendant 25 matches. Je n'ai pas l'impression d'avoir changé, je suis toujours le même. Si on finit 8e, on verra. Mais je pense que je n'aurai pas besoin de prendre les initiatives à ce moment-là. Vous savez très bien comment ça se passe dans le football.

Didier Deschamps est revenu sur la démission de Jean Tigana.

Didier Deschamps (Entraîneur de l'OM)
Le métier que j'exerce est difficile, compliqué. Je suis déçu pour lui. Quand quelqu'un part c'est une décision qui est lourde parce que les lendemains ne sont pas faciles et je sais de quoi je parle. Ça m'est arrivé aussi

OL - Puel : «Etat d'esprit intéressant»

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Miralem Pjanic et ses partenaires semblent avoir convaincu leur entraîneur Claude Puel après leur prestation à Brest. (EQ)
Sévèrement battu à Auxerre lors de son dernier match (0-4), Lyon n'a pas su se relancer lundi soir à Brest (1-1). Claude Puel y a toutefois vu des signes encourageants.

Humiliés lors de leur dernière sortie à Auxerre (4-0), les Lyonnais n'ont pas su réagir et se relancer lundi soir à Brest (1-1). «C'est un peu frustrant, car on a fait une bonne entame. C'était vraiment intéressant pendant trente minutes. On a perdu un peu de maîtrise, avant la mi-temps, mais au retour des vestiaires, on a su remettre le pied sur le ballon. Malheureusement, on n'a pas su mettre ce deuxième but. Il nous a manqué la dernière passe. Après, il y a eu ce but un peu venu d'ailleurs sur un deuxième ballon. C'est pénalisant, mais on a retrouvé plus de consistances ce soir», a déclaré Claude Puel après la rencontre.

«On était venu pour s'imposer, mais aucun match n'est évident. On a fait une partie très correcte dans le contenu, face à une équipe de Brest qui avait du coeur. J'ai apprécié ce que j'ai vu ce soir. Il y a encore un peu de déchets, mais on était bien je trouve. Le stage a permis aux joueurs de bien préparer ce match. Dans l'état d'esprit, c'était intéressant, il faudra avoir ce même état d'esprit lors des prochains matches», a-t-il ensuite poursuivi.

Arrivé dès samedi en Bretagne pour un stage commando à Dinard, Lyon (3e, 60 points) a sauf miracle dit adieu à la deuxième place, directement qualificative pour la prochaine Ligue des Champions et pourrait voir Paris (58 points) lui passer devant au classement mercredi après son match à Bordeaux. «On verra le résultat de Paris et où on se situe mercredi soir. Ça ne sert à rien de spéculer pour le moment», a répondu le technicien de l'OL dont le dernier objectif est désormais d'accrocher le podium. «Malgré ce nul, ça reste jouable. On n'est pas mort», a conclu l'entraîneur

17 mai 2011
Puel loue l'état d'esprit de l'OL...



Miralem Pjanic et ses partenaires semblent avoir convaincu leur entraîneur Claude Puel après leur prestation à Brest.
Sévèrement battu à Auxerre lors de son dernier match (0-4), Lyon n'a pas su se relancer lundi soir à Brest (1-1). Claude Puel y a toutefois vu des signes encourageants.

Humiliés lors de leur dernière sortie à Auxerre (4-0), les Lyonnais n'ont pas su réagir et se relancer lundi soir à Brest (1-1). «C'est un peu frustrant, car on a fait une bonne entame. C'était vraiment intéressant pendant trente minutes. On a perdu un peu de maîtrise, avant la mi-temps, mais au retour des vestiaires, on a su remettre le pied sur le ballon. Malheureusement, on n'a pas su mettre ce deuxième but. Il nous a manqué la dernière passe. Après, il y a eu ce but un peu venu d'ailleurs sur un deuxième ballon. C'est pénalisant, mais on a retrouvé plus de consistances ce soir», a déclaré Claude Puel après la rencontre.

«On était venu pour s'imposer, mais aucun match n'est évident. On a fait une partie très correcte dans le contenu, face à une équipe de Brest qui avait du coeur. J'ai apprécié ce que j'ai vu ce soir. Il y a encore un peu de déchets, mais on était bien je trouve. Le stage a permis aux joueurs de bien préparer ce match. Dans l'état d'esprit, c'était intéressant, il faudra avoir ce même état d'esprit lors des prochains matches», a-t-il ensuite poursuivi.

Arrivé dès samedi en Bretagne pour un stage commando à Dinard, Lyon (3e, 60 points) a sauf miracle dit adieu à la deuxième place, directement qualificative pour la prochaine Ligue des Champions et pourrait voir Paris (58 points) lui passer devant au classement mercredi après son match à Bordeaux. «On verra le résultat de Paris et où on se situe mercredi soir. Ça ne sert à rien de spéculer pour le moment», a répondu le technicien de l'OL dont le dernier objectif est désormais d'accrocher le podium. «Malgré ce nul, ça reste jouable. On n'est pas mort», a conclu l'entraîneur

Lyon - Aulas : «C'est dur à avaler»

Claude Puel a de nouveau été la cible des supporters lyonnais samedi soir contre Caen. (
Le président lyonnais a vilipendé le comportement des supporters qui, au lieu d'encourager leur équipe dans sa quête de Ligue des champions, ont visé comme jamais Claude Puel contre Caen (0-0).

Trois bons quarts d'heure après le nul devant Caen, samedi soir, c'est en président «abasourdi» et visiblement très touché que Jean-Michel Aulas s'est présenté devant les médias. Le boss de l'OL a, comme l'ensemble du club, vécu une saison usante et, en 25 ans à sa tête, en a vu beaucoup. Mais il n'est pas prêt d'oublier cette soirée du 21 mai. Un peu dans la lignée de celle du 25 septembre 2010 (défaite dans le derby), Lyon a vécu un moment surréaliste.

Car si cela fait huit mois que Claude Puel est pris en grippe par le public de Gerland, ce dernier match de la saison à domicile a atteint des sommets. Sifflets, quolibets, chansons insultantes revisitées, les supporters du virage Nord, rejoints par ceux du virage Sud qui avaient lancé les hostilités avant le match par une manifestation anti-Puel devant le siège du club, ont usé de tous les artifices pour s'acharner sur l'entraîneur lyonnais. Sans oublier les fameuses banderoles en plus de la traditionnelle «Puel démission» ! Florilèges : «Puel, l'homme qui transforme la Formule 1 en voiture à pédales» ou «Puel, la seule chose que tu as gagné à l'OL, c'est de l'argent». La dernière «Entre ton public et ton coach en bois, direction fais ton choix», brandie à la 70e minute, a sonné le départ des supporters du virage Nord. «Cela fait très mal, ce n'était pas le bon moment. C'est dur à avaler», affirme Aulas qui reproche au public de s'être trompé de débat : se focaliser sur Puel alors que l'équipe avait l'occasion d'empocher la qualification pour la Ligue des champions. «Je ne veux pas donner plus d'importance que cela ne le mérite, a réagi Puel. Je regrette de ne pas avoir pu bénéficier du soutien pour obtenir la 3e place. Les joueurs ont évolué dans un climat hostile alors qu'on était bien dans l'attitude et dans l'esprit.»Aulas a parlé de climat «délétère» mais pour Lloris, cela n'a pas perturbé les joueurs. «On a su faire abstraction. On aurait préféré voir le public se comporter en 12e homme que s'acharner sur un homme (Puel). On s'adapte et le plus important, ce sont les résultats.» Dans ce climat, il paraît difficile d'envisager l'avenir de Puel à Lyon. «C'est un sujet tellement dans l'excès ce soir que ce n'est pas la peine d'en rajouter, coupe Aulas. C'est un homme honnête et intègre. Il n'a peut-être pas amené toutes les joies est les satisfactions attendues par un public devenu exigeant mais il ne mérite pas ce qu'il a eu ce soir.» Pour rajouter au côté surréaliste de la soirée, un feu d'artifice a été tiré, juste après un tour d'honneur réalisé par Lloris, Källström et Cris. «C'était juste notre dernier match de la saison. Maintenant rendez-vous à Monaco», indique le gardien de l'OL. Cela avait pourtant tout d'une tournée d'adieux

KOMBOUARÉ DISJONCTE Le technicien kanak n’a pas digéré l’expulsion de Guillaume Hoarau
juste après la pause. Le Réunionnais, coupable d’une simulation dans
la surface lilloise, recevait un deuxième avertissement. Une sanction
qui déclenchait la colère de l’entraîneur du Paris SG, exclu à son tour
quelques minutes plus tard pour avoir attrapé le bras du 4e arbitre de
la rencontre

MONACO LYON LE MATCH DE TROP ....CA SENT LE SOUFFRE

LYON CONSOMME SON DIVORCE AVEC PUEL


Les Puel portent plainte
Claude Puel et sa famille portent plainte contre des tags insultants découverts en ville ce week-end.

Insulté au stade, injurié sur les murs... Claude Puel a décidé de réagir aux derniers débordements des supporters en colère de l\'OL. (EQ)
Claude Puel et sa famille portent plainte contre des tags insultants découverts en ville ce week-end. L'OL leur apporte son soutien.

Les tags de trop. La famille de Claude Puel a déposé plainte lundi pour «injures et menaces de mort». La plainte vise les auteurs de tags menaçants découverts ce week-end sur le mur d'une ancienne résidence de l'entraîneur de l'OL, dans le 4e arrondissement lyonnais.

«Puel je te hais, Puel je t'aurais» (sic) et «Puel démission» disent ces inscriptions. Elles prolongent les slogans haineux pour l'entraîneur de l'OL entendus à Gerland lors de Lyon-Caen (0-0), samedi. Avant la rencontre, quelque 500 supporters du virage sud avaient également manifesté devant le siège du club, sans incident.

Dans un communiqué diffusé lundi à la mi-journée, l'Olympique lyonnais «s'élève avec force contre toutes les initiatives agressives, insultantes et pour certaines menaçantes, intervenues à l'intérieur comme à l'extérieur du stade, ces derniers jours» à l'encontre de son entraîneur et de sa famille. Le club «rappelle qu'une telle situation est susceptible d'entraîner des poursuites judiciaires».
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[quote="bienvenou"]MONACO LYON LE MATCH DE TROP ....CA SENT LE SOUFFRE

LYON CONSOMME SON DIVORCE AVEC PUEL


Les Puel portent plainte
Claude Puel et sa famille portent plainte contre des tags insultants découverts en ville ce week-end.

Insulté au stade, injurié sur les murs... Claude Puel a décidé de réagir aux derniers débordements des supporters en colère de l\'OL. (EQ)
Claude Puel et sa famille portent plainte contre des tags insultants découverts en ville ce week-end. L'OL leur apporte son soutien.

Les tags de trop. La famille de Claude Puel a déposé plainte lundi pour «injures et menaces de mort». La plainte vise les auteurs de tags menaçants découverts ce week-end sur le mur d'une ancienne résidence de l'entraîneur de l'OL, dans le 4e arrondissement lyonnais.

«Puel je te hais, Puel je t'aurais» (sic) et «Puel démission» disent ces inscriptions. Elles prolongent les slogans haineux pour l'entraîneur de l'OL entendus à Gerland lors de Lyon-Caen (0-0), samedi. Avant la rencontre, quelque 500 supporters du virage sud avaient également manifesté devant le siège du club, sans incident.

Dans un communiqué diffusé lundi à la mi-journée, l'Olympique lyonnais «s'élève avec force contre toutes les initiatives agressives, insultantes et pour certaines menaçantes, intervenues à l'intérieur comme à l'extérieur du stade, ces derniers jours» à l'encontre de son entraîneur et de sa famille. Le club «rappelle qu'une telle situation est susceptible d'entraîner des poursuites judiciaires».

Banderoles, chants insultants,
rien n’a été épargné à
Claude Puel samedi, lors de la
réception de Caen (0-0). Consupué
par ses supporters, l’entraîneur
de Lyon a su rester digne
malgré ce climat des plus hostiles.
Mais une inscription, "Puel
je te hais, Puel je t’aurais", taguée
sur le mur d’une résidence
du cossu 4e arrondissement de
la capitale des Gaules - où a vécu
Claude Puel et où résident encore
quelques joueurs -, a changé
la donne.
L’entraîneur de l’OL a décidé
de porter plainte pour "injures
et menaces de mort". Le club
s’est montré solidaire, publiant
u n c o m m u n i q u é d a n s
l’après-midi sur son site officiel.
"L’Olympique Lyonnais s’élève
avec force contre toutes les initiatives
agressives, insultantes et
pour certaines menaçantes, intervenues
à l’intérieur comme à
l’extérieur du stade, ces derniers
jours à l’encontre de l’entraîneur
général du club, Claude Puel et
de sa famille. (...). L’Olympique
Lyonnais rappelle qu’une telle situation
est susceptible d’entraîner
des poursuites judiciaires".
L’ultime déplacement à Monaco
dimanche, capital dans
l’optique de la qualification
pour le tour préliminaire de la
Ligue des champions, se prépare
donc dans un climat des plus
délétère. Ensuite, la page Puel
sera sans doute tournée à Lyon.
Pour le plus grand soulagement
de tous

Jacques Rousselot, après un mois de nuits difficiles, a savouré le maintien de l'ASNL et salué le travail de Pablo Correa. Lequel est resté évasif sur son avenir.

Voilà, c'est fini. Nancy a sauvé sa place en Ligue 1 à la faveur d'une fin de parcours homérique - dix points en quatre matches - et d'un ultime succès face à Lens (4-0). Et Pablo Correa, entraîneur de l'ASNL depuis novembre 2002 et un sinistre soir où le club s'était retrouvé sans personne derrière lui au classement de Ligue 2, va devoir prendre de nouvelles habitudes. «Je pars soulagé, avec le sentiment d'avoir accompli mon travail avec des joueurs qui n'ont rien lâché lors des quatre derniers matches», a expliqué l'Uruguayen.
Lundi, son existence basculera vers une forme d'incertitude qu'il ne connaissait pas. «En fonction des éléments dont je dispose, je ne peux pas encore vous dire si je vais travailler la saison prochaine», a poursuivi Correa, en reconnaissant avoir «pris un risque» en démissionnant d'un club où son président lui a toujours accordé une confiance quasi illimitée. «J'ai des envies, mais pour l'instant, je suis incapable d'en dire plus.»

Le Sud-américain n'a pas (encore ?) trouvé d'équipe, et Jacques Rousselot d'entraîneur. Mais avant d'aborder un sujet qui ne trouvera pas son épilogue avant plusieurs jours, le président nancéien a savouré l'instant, après avoir vécu sur les nerfs pendant près d'un mois. «C'était stressant, mais le groupe s'est battu pour se sauver. On en a pris plein la gueule, et on a su se redresser.» Et Rousselot ne pouvait pas ne pas s'attarder sur cette relation quasi filiale qu'il entretenait avec Correa, arrivé en Lorraine en 1995 en tant que joueur. «C'est un grand homme, un grand manager qui s'en va. Et ce maintien, on le doit aux joueurs bien sûr, mais aussi à Pablo, qui a fait un travail extraordinaire à Nancy, et qui a su tirer le groupe vers le haut lors de cette fin de saison.» L'avenir, Jacques Rousselot devra le bâtir avec un entraîneur qu'il prendra un soin particulier à choisir. «Je vais prendre quelques jours de vacances en fin de semaine, mais je vais travailler sur ce dossier », a promis le président lorrain. On appelle cela des vacances studieuses...-

1 juin 2011
«Je ne crois que ce que je vois»
Antoine Kombouaré estime que l'arrivée des Qataris est «une excellente nouvelle» mais reste prudent sur son avenir.



Kombouaré : «C'est une excellente nouvelle pour le club».

Satisfaction mais prudence. Antoine Kombouaré estime mercredi dans le Parisien que la vente du Paris-SG à un fond d'investissement qatari, officialisée mardi par l'actuel actionnaire majoritaire, «est une excellente nouvelle pour le club». «Cela va apporter du sang neuf, explique l'entraîneur, qui n'en reste pas moins circonspect. On va bien voir ce que le nouveau propriétaire veut et va faire. Moi, je suis comme Saint Thomas, je ne crois que ce que je vois.»

Le Kanak, qui possède encore deux ans de contrat à Paris, n'a pas encore rencontré le nouvel investisseur. «Est-ce qu'il va nous faire confiance ? Je l'espère, mais je n'en sais rien. Si c'est sans nous, son arrivée est de toute façon une très bonne nouvelle pour le PSG. Il va y avoir des moyens nouveaux et importants.» La vente aux Qataris, qui contrôleront 70% du capital, devrait permettre au PSG, débarassé de sa dette et doté de nouveaux moyens, d'envisager un recrutement haut de gamme.

A ce stade, Antoine Kombouaré ne connaît pas le montant de l'enveloppe dont il disposera cet été pour recruter. «On aura forcément plus qu'avec Colony, mais combien ? s'interroge-t-il. On a préparé notre recrutement de cet été avec l'idée qu'on aurait de l'argent. L'an passé, Colony nous en avait donné pour faire venir Nene alors qu'au départ on ne devait pas en avoir. Au PSG, on ne peut pas faire un recrutement au rabais. Après, peut-être que l'actionnaire n'en donnera simplement qu'un petit peu au départ pour voir comment ça se passe.»

Selon nos informations, Qatar Sports Investments serait beaucoup plus attiré par la venue de stars internationales, alors que Kombouaré a privilégié jusqu'à présent un recrutement hexagonal. Il lui faudra sans doute se plier aux orientations des nouveaux patrons.

Gillot «veux partir». À Bordeaux?


Francis Gillot entraîne le FCSM depuis trois saisons. (
Encore sous contrat pour un an, Francis Gillot est décidé à quitter Sochaux dès cet été. La qualification en Ligue Europa ne le fera pas changer d'avis.

«Francis Gillot, on spécule beaucoup sur votre cas, et votre nom est régulièrement cité à Valenciennes, mais surtout à Bordeaux...J'ai effectivement des contacts via mon agent (Ndlr : Stéphane Canard) avec plusieurs clubs, dont ceux que vous avez cités. Je ne voulais rencontrer personne avant la fin du Championnat. Auxerre et Lens s'étaient aussi manifestés il y a quelques semaines, moins maintenant. Et j'ai également refusé une offre en provenance des Emirats Arabes Unis. Votre récente communication a pu semer le trouble dans certains esprits. A vous entendre, on devine que vous ne fermez la porte à personne...Je suis sous contrat jusqu'en juin 2012. Mais je veux partir de Sochaux. J'ai l'impression d'avoir fait le tour de la question. Mon président le sait, il est au courant depuis plusieurs semaines. Sauf qu'il répète que "votre avenir s'écrit à Sochaux..." Ce n'est jamais bon de retenir quelqu'un contre son gré. Surtout quelqu'un comme moi (rires)...

Pourquoi voulez-vous partir ? Parce que vous n'avez pas obtenu assez de garanties sur l'effectif de la saison prochaine ?
Je fonctionne beaucoup à l'intuition. Quand j'étais parti de Lens il y a quatre ans, beaucoup de gens n'avaient pas compris. J'ai des raisons personnelles, que je ne veux pas expliquer. Ce sont des sensations. Il faut que parte. Je ne spécule par rapport à l'effectif, à ceux qui pourraient rester ou à ceux qui pourraient venir. Ni même à la Ligue Europa...

Votre décision est-elle irrémédiable ?
Je vais quitter un staff technique extraordinaire, où je n'ai que des amis. Je vais quitter un super groupe de joueurs. Mais je veux partir. J'ai beaucoup donné au club, et hormis cette saison où ça a été très sympa, ça n'a pas toujours été simple sportivement, puisqu'on jouait le maintien.

Quand pensez-vous être fixé ?
D'ici une petite semaine, on devrait en savoir plus. Je me déciderai en fonction d'un projet sportif

Cris charge Puel
Cris s'en est pris à Claude Puel par voie de presse, estimant que ce dernier «ne lui avait rien apporté».

Cris, qui souhaite rester à Lyon, s'en est pris à Claude Puel, qui devrait quitter l'OL dans les prochains jours.

Le torchon brûle entre Cris et Claude Puel. «Dans sa méthode, il y a peu de discussions, il fait ses choix tout seul. Je vais être honnête : tous mes entraîneurs comme Gérard (Houllier) ou même Alain Perrin avec qui j'ai peu joué parce que j'étais blessé, m'ont apporté quelque chose, Puel, lui, ne m'a rien apporté», a déclaré le Brésilien dans un entretien au trimestriel Planète Lyon, publié samedi.


«Il a voulu tout changer sans rien demander à personne, même aux gens qui connaissaient mieux le club que lui : Bernard Lacombe, Joël Bats, Sonny Anderson... Il a toujours gardé sa ligne de conduite», a ajouté Cris dans des propos tenus le 27 mai, deux jours avant le dernier match gagné à Monaco (2-0). Le Brésilien confie avoir même songé «à rendre son brassard de capitaine durant l'hiver car (il) ne se sentait plus comme un cadre dans le vestiaire».

«, on a tout essayé pour faire passer le message... Mais il n'y a pas eu de changements. D'autant plus qu'il n'y avait plus de cadres dans le vestiaire. Ça, c'est Puel qui l'a décidé dès son arrivée en 2008 en lançant le message suivant : "Dans le vestiaire, vous êtes tous pareils, il n'y aura pas de cadres"», témoigne encore Cris, évoquant «une préparation athlétique identique pour tous les joueurs». Concernant ses rapports personnels avec l'entraîneur, le défenseur affirme «l'avoir toujours respecté en tant que professionnel» et n'avoir «jamais eu aucun problème avec lui», mais que Puel ne lui a «jamais rien dit» au sujet de sa mise à l'écart à l'occasion du match contre Lens à Gerland pour lequel il était remplaçant.

L'AJ Auxerre a pris contact avec Guy Lacombe pour succéder à Jean Fernandez. Elie Baup figure toujours en bonne place.

Depuis jeudi et l'annonce du départ de Jean Fernandez, Auxerre lui recherche activement un successeur. Si Elie Baup figure en bonne place - il a les faveurs de Guy Roux -, le président Bourgoin ne se contente pas de cette seule piste.
, des contacts ont été récemment établis avec Guy Lacombe, sans club depuis son éviction de Monaco début janvier.

Si la Bourgogne n'est pas dénuée de charme pour un formateur comme lui, certains proches assurent qu'il se serait promis de ne plus entraîner en France, au moins dans un premier temps. Il serait d'ailleurs en contact avec des clubs du Qatar.

D'autres entraîneurs sont également suivis. Il s'agit de Daniel Sanchez (Tours, L2), également convoité par Valenciennes, d'Alain Perrin (Al-Khor, Qatar) et de Paul le Guen, que Bourgoin apprécie. Le président auxerrois aimerait que la succession de Fernandez soit réglée en début de semaine prochaine, afin de pouvoir s'attaquer au futur effectif bourguignon.

L'Olympique lyonnais négocie actuellement avec Claude Puel pour payer le minimum d'indemnités.
Très lourdement déficitaire, l'Olympique lyonnais négocie actuellement avec Claude Puel pour payer le minimum d'indemnités de licenciement. Celui qui est toujours entraîneur de l'OL refuse de parler d'une solution à l'amiable et veut recevoir l'intégralité de sa dernière année de contrat, soit environ 3 millions d'euros, plus les primes de la saison prochaine. Jean-Michel Aulas va lui proposer moins. Face aux enjeux de cette bataille d'avocats, il ne peut pas annoncer officiellement qu'il a déjà remplacé un entraîneur toujours sous contrat. Rémi Garde, qui devrait lui succéder, planche pourtant sur le recrutement de la saison prochaine, avec Bernard Lacombe, le conseiller du président, Bruno Génésio, son adjoint, et Florian Maurice, membre de la cellule recrutement. Un retour de Robert Duverne, le préparateur physique, se murmure

En attendant que le mercato estival
s’emballe - la vitesse supérieure
devrait être passée la semaine
prochaine avec la signature des premières
recrues parisiennes -, des changements
(importants) ont déjà eu lieu sur
les bancs de la Ligue1. Et le jeu des chaises
musicales pourrait se prolonger encore
quelques jours…
Si Lille et l’OM, qualifiés pour la Ligue
des champions, conservent leur
commandant de bord - Didier Deschamps
sort même renforcé après
l’éviction de Jean-Claude Dassier -, l’OL
n’est pas dans le même cas de figure. Le
temps presse pour Jean-Michel Aulas,
empêtré dans ce qui pourrait devenir
un feuilleton de l’été chez les Gones: le
probable limogeage de Claude Puel. Le
contrat de l’ex-entraîneur du Losc
court jusqu’en juin 2012. Ses émoluments
mensuels (autour de 250 000 ¤)
sont les plus importants de l’élite. Le
président lyonnais devra donc passer à
la caisse s’il veut vraiment se séparer de
celui qui n’a pas remporté le moindre
titre en trois ans.
Les négociations s’avèrent pour le
moins compliquées. L’ancien milieu défensif
monégasque a compris qu’il était
devenu indésirable, aussi bien à Gerland
qu’à Tola-Vologe.
Comme une sangsue, il s’accroche
pourtant à son poste, et ne semble pas
près de lâcher l’affaire à moins que
l’état-major rhodanien ne lui délivre un
très gros chèque… La somme de 5M¤
d’indemnités est évoquée.
L’OL touchera 45M¤ au titre des
droits audiovisuels de la saison
2010-11. Cela suffira-t-il pour pousser
Aulas à dédommager Puel? Pas sûr, car
on sait que "JMA" a décidé de réduire le
train de vie de son club. Alors, RémiGarde
patiente en attendant qu’un accord
financier soit trouvé. Le directeur du
centre de formation passera de l’ombre
à la lumière d’ici quelques jours, voire
quelques semaines; il planche déjà sur
les contours de son futur effectif, avec
Bruno Genesio, son adjoint. Une situation
surréaliste qui pourrait pénaliser
Lyon, au moment où le club doit passer
la marche avant sur le front des transferts.
Surtout si Puel venait finalement
à rester…
Nancy, Bordeaux, Auxerre, Valenciennes
et Sochaux, en revanche, vont pouvoir
s’activer. En Lorraine, Jean Fernandez
appliquera toujours sa bonne
vieille recette : il voyage, observe des
matches, visionne des DVD et peaufine
son collectif. L’ancien technicien olympien
arrive d’ailleurs avec une liste de
joueurs qu’il suit depuis plusieurs années.
Pour lui succéder dans l’Yonne,
Gérard Bourgoin, de retour à la direction,
a choisi Laurent Fournier (Strasbourg),
sevré de Ligue1 depuis son départ
forcé du PSG. Francis Gillot, lui,
aura la lourde tâche de reconstruire les
Girondins de Bordeaux, de Aà Z.Une
mission dans laquelle a échoué Jean Tigana.
Pour le remplacer à Sochaux, les
Lionceaux ont officialisé hier l’arrivée
de Mécha Bazdarevic. L’ancien Istréen
habite à seulement quelques kilomètres
du stade Bonal et ne sera pas dépaysé
dans le club où il a passé neufans en
tant que joueur, et cinq ans en tant que
responsable de la formation.
À Valenciennes, enfin, on a fait
confiance à Daniel Sanchez (ex-Nice,
Nagoya et Tours), dont la cote a gonflé
ces dernières années après les bonnes
saisons des Tourangeaux en Ligue 2.

e dévoile RMC ce samedi, l'Olympique Lyonnais a entamé une procédure de licenciement à l'égard de Claude Puel, entraîneur du club depuis 2008 et à qui il reste une année de contrat. L'entretien préalable aurait déjà eu lieu plus tôt dans la semaine. Puel serait alors défendu par l'avocat de l'Unecatef, l'union des entraîneurs français.

Les deux parties devraient se retrouver mercredi prochain devant la Commission juridique de la Ligue de football professionnel (LFP). Actuellement à la tête du centre de formation, Rémi Garde est fortement pressenti pour devenir le futur technicien rhodanien.

«Divorce entériné» avec Puel




Claude Puel et Jean-Michel Aulas se séparent après trois ans sans titre.
Devant la LFP, Claude Puel et le club lyonnais ont entériné leur divorce. Le technicien français va bientôt être licencié par l'OL, à un an de la fin de son contrat.

Ce mercredi matin à Paris s'est tenue une audience de conciliation entre Claude Puel et Lyon. Celle-ci n'a pas abouti. «La commission a constaté la non-conciliation. Pour acter la suite on verra», a déclaré le technicien français de 49 ans à sa sortie des locaux de la LFP. «Nous avons entériné la décision de divorce entre les deux parties. Maintenant, notre prise d'actes va être notifiée dans les prochaines heures aux deux parties, a confirmé André Soulier, le président de la commission juridique de la LFP, en ouvrant la voie à une procédure de licenciement. Dans les jours qui viennent, l'OL va pouvoir envoyer une lettre de licenciement à M. Puel et ainsi rendre sa liberté à M. Puel pour trouver un autre employeur».Les deux parties devront ensuite s'entendre sur la compensation financière liée à ce licenciement, ce qui peut se faire à l'amiable ou devant les prud'hommes. Il reste un an de contrat à Claude Puel qui pourrait réclamer environ 4 millions d'euros. La commission a proposé à Puel et au club de mettre à leur disposition deux conciliateurs pour ces négociations