QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

Rabiot : "Un tirage plutôt favorable"
"C'est un tirage plutôt favorable. Même si ça aurait pu être beaucoup plus compliqué, il faut se méfier de toutes les équipes. Si ils sont là c'est qu'ils le méritent et il faut faire attention", a de son côté estimé le milieu de terrain Adrien Rabiot.
Ne pas sous-éstimer le Bayer Leverkusen
Pour Paris, les 8e de finale seront moins corsés que pour d'autres avec Leverkusen, équipe peu cotée mais qui réalise tout de même une superbe première partie de saison en Bundesliga. Derrière l'intouchable Bayern Munich, Leverkusen est en effet deuxième du championnat avec un excellent bilan de 12 victoires en 16 matches, pour un nul et trois défaites, dont l'une le week-end dernier à domicile face à Francfort (1-0).
En Ligue des Champions, les Allemands sont sortis deuxièmes de leur poule derrière Manchester United avec trois victoires, un nul et deux sévères revers contre les Red Devils (4-2 et 5-0).
Finaliste de la C1 en 2002
Actuellement entraîné par l'ancien défenseur finlandais de Liverpool Sami Hyppia, le Bayer n'a jamais réussi à décrocher le titre en Bundesliga, ce qui lui vaut le surnom de "Neverkusen". Vainqueur d'une Coupe de l'UEFA, le club de la Ruhr a aussi disputé en 2002 une finale de Ligue des Champions, perdue face au Real Madrid de Zidane, auteur alors d'une inoubliable volée du gauche.
Avec l'ancien Montpelliérain Emir Spahic
Depuis cette date, le Bayer, emmené notamment par le dangereux attaquant Kiessling et par l'ancien défenseur de Montpellier Emir Spahic, n'a plus disputé le moindre quart de finale de Ligue des Champions.
Le Paris SG favori
Paris, quart-de-finaliste la saison dernière et qui vise au moins aussi haut cette saison, partira donc favori, statut que ne lui contestent d'ailleurs pas les Allemands. "Paris est une super équipe avec un fabuleux Zlatan Ibrahimovic. Ce sera extrêmement difficile pour nous qui sommes incontestablement dans la position d'outsider", a ainsi déclaré Michael Schade, le directeur général du club.



Les affiches des 8e de finale

. Manchester City - FC Barcelone
. Olympiakos - Manchester United
. AC Milan - Atletico Madrid
. Bayer Leverkusen - Paris-Saint-Germain
. Galatasaray - Chelsea
. Schalke 04 - Real Madrid
. Zénit Saint-Pétersbourg - Borussia Dortmund
. Arsenal - Bayern Munich

Le PSG s'en sort bien au tirage






Publié à 06h00

Le Paris SG a évité les clubs anglais et affrontera le Bayer Leverkusen en 8e de finale de la Ligue des Champions, selon le tirage au sort plutôt clément réalisé hier même si les Parisiens devront se méfier de l'actuel 2e du championnat d'Allemagne.
Ce Leverkusen-Paris SG est la seule affiche de ces 8e de finale à ne compter aucun vainqueur de l'épreuve et elle semble moins spectaculaire que les deux chocs attendus entre Manchester City et Barcelone d'une part et entre Arsenal et le Bayern Munich, tenant du titre, d'autre part.

Après être tombé dans l'une des poules les moins relevées de la compétition (Olympiakos, Benfica, Anderlecht), le PSG continue donc à être plutôt favorisé par le sort. "On a évité City qui était l'épouvantail avec Arsenal, on va préparer ce match comme il faut, de manière professionnelle", a simplement réagi l'entraîneur parisien Laurent Blanc. "C'est un tirage plutôt favorable. Même si ça aurait pu être beaucoup plus compliqué, il faut se méfier de toutes les équipes. Si ils sont là c'est qu'ils le méritent et il faut faire attention", a de son côté estimé le milieu de terrain Adrien Rabiot. "Ils sont 2es du championnat, ils ont beaucoup de qualités."
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Créé le 16/12/2013 - 14:18
PSG-Makelele: "Au même niveau que Dortmund"

Invité à s'exprimer auprès de nos confrères de BeIN Sport après le tirage au sort des 8e de finale de la Ligue des champions, Claude Makelele, l'entraineur-adjoint du Paris Saint-Germain, était méfiant à l'égard du Bayer Leverkusen, futur adversaire du club de la capitale à ce stade de la compétition. "Ce n’est jamais un bon tirage mais on aurait aussi pu tomber sur des équipes comme Manchester City", a d'abord avoué l'ancien international français. "C'est une équipe en pleine forme qui est derrière le Bayern en Bundesliga. Il faudra faire attention. Cela peut être très dangereux pour nous. Il faut les prendre au sérieux mais il y a des possibilités", a-t-il ajouté. Et de conclure : "C’est une équipe très athlétique, ce sera à nous de faire la différence. Je les mets au même niveau que Dortmund. Ils sont doués avec le ballon et très ,très rapides en contre-attaques. Je dirais que c'est du 50/50."

Djorkaeff : «Le PSG est mon favori»







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«Le PSG est mon favori pour remporter la Ligue des champions. On sent vraiment la force d’un groupe. C’est ce que je ressens moins à Madrid ou Barcelone. Cette unité parisienne peut faire la différence (…) Laurent Blanc est parfait dans son rôle. J’espère qu’il va y rester. Il a donné une dimension à cette équipe qui n’existait pas l’année dernière» juge Youri Djorkaeff, présent à La Plagne pour la 12e édition des Etoiles du Sport. Le club de la capitale retrouvera le Bayer Leverkusen en huitièmes de finale (aller le 18 février, retour le 12 mars).

[*]Football


Ligue des Champions. Pas d'épouvantail pour le PSG mais un Allemand

Publié le 17/12/2013 à 09:00, Mis à jour le 17/12/2013 à 10:19



Le PSG ne se plaindra pas du verdict des boules, hier au siège de l’UEFA à Nyon en Suisse. Par contre, le hasard a proposé deux belles affiches : ManCity-Barça et Arsenal-Bayern Munich.
Décidément, les Français ne sont pas malheureux au jeu en ce moment… Après les Bleus et leur triplette Honduras, équateur et Suisse du 1er tour au Mondial brésilien (12 juin-13 juillet), Paris a hérité d’un adversaire pour le moins clément. Quand bien même les précautions et réserves d’usage font partie du PAF, Paysage footballistique…
Ce sera donc le Bayer Leverkusen pour les protégés de Laurent Blanc. Dont la principale angoisse était «éviter City et les Gunners».
Pas d’Anglais au menu, un Allemand en plat de résistance on dira. Chacun connaît le dicton, rentré au Panthéon du ballon rond depuis, cher à l’attaquant britannique Gary Lineker : «Le football est un sport simple où 22 hommes poursuivent un ballon pendant 90 minutes et, à la fin, ce sont les Allemands qui gagnent…» Pour la petite histoire, l’ami Gary lâcha ce bon mot à la Coupe du monde 1990, à l’issue d’une demi-finale perdue 3-4 aux tirs au but (1-1 ap) par le XI de La Rose vs la Man-nschaft. Qui, naturellement, remportera le trophée.
C'est une «équipe d'usine»
La finale, Paris - Saint-Germain en est encore loin. Mais, déjà, le printemps et un voyage en quarts lui semblent tout tracés. C’est ce qu’indiquaient les premières cotes délivrées dans la foulée : 1,20 pour Paris contre 2,70 au Bayer.
Alors, que vaut de son appellation complète ce TSV Bayer 04 Leverkusen ?
Pour beaucoup, le club de la Ruhr se résume à une finale de Ligue des champions, en 2002 : défaite face au grand Real (1-2). Encore, la mémoire collective la ressort d’autant plus de la boîte à souvenirs, que la rencontre fut illuminée par un but d’anthologie de notre Zizou national : ciseau du gauche en lucarne sur centre en chandelle de Roberto Carlos ! Une saison 2001-02 de tous les paradoxes, tiens, pour l’équipe de Leverkusen - Rhénanie du Nord/West- phalie, à mi-chemin entre Cologne et Düsseldorf pour clore le chapitre géographie - puisque les Allemands en course pour un fameux triplé échouèrent in fine aux portes des 3 compétitions : autre finaliste malheureux (de la Coupe domestique) et deuxième en Bundesliga. Au vrai, les Noir et Rouge du coach finlandais Sami Hyypiä n’ont jamais été champions d’Allemagne. D’où leur surnom de «Neverkusen». Et Werkself (équipe d’usine).
à part ça, le Bayer qui a quand même un passé sur la scène continentale (vainqueur de la C3 en 1988 ; en C1 : 77 matches dont 30V & 15N), s’était qualifié lors de l’ultime journée, en s’imposant 1-0 à la Real Sociedad. N’étant battu que deux fois par le seul Manchester United dont une fessée, il est vrai, 0-5 chez lui à la BayArena. Ce qui est devenu, statistiquement, son plus lourd revers à domicile (27/11/2013).
Enfin, un mot sur l’effectif allemand qui, avouons-le, ne recèle aucun cador. Bilan de la première phase : meilleur buteur Rolfes (3), meilleur passeur Son Heung-Min (2), 9 tirs cadrés pour Sam (Ibra, c’est… 17) et 28 arrêts pour Leno (Sirigu : 21).

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Chic, deux chocs à l'horizon
Difficile d’imaginer mieux en hors-d’œuvre que ce Manchester City - FC Barcelone, mettant aux prises des Citizens-qui marchent sur l’eau et sont, enfin, parvenus à passer le 1er tour-aux Blaugranas qu’on ne présente plus et qui auront récupéré leur (roi) Messi. Tandis qu’Arsenal - Bayern Munich, classique de la C1, nous fera
replonger dans un passé tout récent : la saison passée, en 8e déjà, et une qualification juste-juste des coéquipiers de Ribéry : 3-1
à l’Emirates puis 0-2 à l’Allianz-Arena. On a hâte d’y être !

Lille-Seydoux: "On est coincés entre deux dopés..."

Dimanche soir, en clôture de la 19e journée de Ligue 1, le Losc se rendra au Parc des Princes pour défier le Paris Saint-Germain, qui le devance au classement de seulement quatre points. Mais pour Michel Seydoux, les dés du championnat de France sont pipés... "On est coincé entre les deux dopés... économiquement, que sont le PSG et Monaco", a ainsi expliqué le président des Dogues sur RTL.

Le Trophée des champions à Pékin en 2014

La LFP a trouvé une nouvelle destination pour l’organisation du Trophée des champions. Dans un communiqué publié ce jeudi, la Ligue a annoncé que l’édition 2014 aura lieu à Pékin en Chine, avec un match prévu le 2 août entre le champion de France de Ligue 1 et le vainqueur de la Coupe de France. Le Trophée des champions va donc découvrir un sixième pays, après Montréal au Canada en 2009, Radès en Tunisie en 2010, Tanger au Maroc en 2011, New York aux Etats-Unis en 2012 et Libreville au Gabon l’été dernier.

Le Trophée des champions à Pékin en 2014

La LFP a trouvé une nouvelle destination pour l’organisation du Trophée des champions. Dans un communiqué publié ce jeudi, la Ligue a annoncé que l’édition 2014 aura lieu à Pékin en Chine, avec un match prévu le 2 août entre le champion de France de Ligue 1 et le vainqueur de la Coupe de France. Le Trophée des champions va donc découvrir un sixième pays, après Montréal au Canada en 2009, Radès en Tunisie en 2010, Tanger au Maroc en 2011, New York aux Etats-Unis en 2012 et Libreville au Gabon l’été dernier.

e PSG champion d’automne

Par Michael Balcaen
Publié le 21 décembre 2013 à 08h35

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Laurent Blanc y tenait, c’est désormais chose faite. Avant même son duel au sommet de la Ligue 1 face à Lille, dimanche, le Paris Saint-Germain est assuré de terminer champion d’automne. Il peut remercier Monaco, battu par Valenciennes vendredi soir (1-2).
"On mérite d’être champion d’automne." Le vœu de Laurent Blanc a été exaucé encore plus rapidement qu’il ne l’aurait souhaité. En cette période de fêtes, Monaco a fait un joli cadeau au PSG en le sacrant champion d’automne avant l’heure, et éventuellement à Lille qui pourrait profiter d’un succès au Parc pour lui reprendre la 2e place. La faute à une défaite inattendue au Stade Louis II face à Valenciennes (1-2).
Un revers malvenu pour des Monégasques qui, à l’image d’Abidal qui assurait cette semaine : "Comme le dit l’entraîneur et comme je le dis aussi, l’important c’est nous, les résultats qu’on pourra faire, les points qu’on pourra prendre, en profitant des faux pas des adversaires."
Il ne s’attendait sans doute pas à cette grosse cote. De fait, c’est une vraie surprise car l’ASM pensait bien fêter le retour de Falcao par une belle victoire à domicile, histoire de faire taire les rumeurs et de passer les fêtes au chaud…
Les hommes de Ranieri avaient d’ailleurs réussi le carton plein sans le « Tigre » avec 4 victoires de rang et aucun but encaissé ! Le coup était parfait mais le retour du Colombien peut-être précipité. Falcao est en effet entré en jeu et a manqué un penalty. Bravo à Penneteau et à Valenciennes qui s’est offert à cette occasion un joli cadeau et surtout le droit de croire encore au maintien.

Lille à l'épreuve du PSG
Publié le Dimanche 22/12/2013 à 05H38


Le Paris SG, assuré du titre honorifique de champion d'automne, a l'occasion d'accentuer son avance en tête de la L1 lors de la réception de Lille, concurrent direct dans la course au titre. Bien aidé par la défaite inattendue de Monaco contre Valenciennes (1-2) à Louis-II vendredi, le PSG peut donc aborder sereinement ce choc contre des Lillois, distancés de quatre longueurs.

Une victoire montrerait que contrairement à Monaco, et Lille donc, Paris sait saisir les occasions de faire la différence face à des adversaires directs. Ce qui se traduirait par un gros coup au moral des Monégasques et des Lillois et une belle OPA sur la tête du classement, avec une avance qui culminerait alors à cinq et sept points sur les concurrents précités. "On sait ce qui nous attend, c'est une équipe superbe. Mais on ne va pas aller là-bas résigné. Ce n'est pas le genre de la maison d'aller à Paris pour faire les boutiques", prévient René Girard, même si le Losc reste sur deux défaites contre Paris et si son dernier succès au Parc remonte au 27 avril 1996 (1-0).

Laurent Blanc devra faire sans Maxwell (côtes) et surtout Edinson Cavani, parti en Uruguay mercredi soir pour raisons personnelles et dont le retour se faisait encore attendre hier.

Seydoux : «On peut rivaliser»54
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RSS Michel Seydoux, président du LOSC : «On espérait une affiche de gala, on l'a eue. C'était un très beau match ce soir, j'ai passé un bon moment. C'était un peu la journée à 2-2, donc on est contents d'avoir fait perdurer la tradition (sourire). Chaque équipe a joué avec ses armes. Lille a bien défendu, avec vigueur et courage. On n'est pas troisièmes par hasard, on l'a prouvé ce soir. On a montré qu'on peut rivaliser avec les meilleurs. On garde neuf points d'avance sur le quatrième, c'est l'essentiel. On peut partir en vacances tranquilles.»

Football/Ligue 1 : Paris SG-Lille 2-2
Midilibre.fr
22/12/2013, 22 h 50 | Mis à jour le 22/12/2013, 23 h 05



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Zlatan Ibrahimovic auteur du premier but parisien. (AFP KENZO TRIBOUILLARD)
Match nul entre le PSG et Lille 2-2 après une rencontre de haut niveau. Paris compte 3 points d'avance à la trêve sur Monaco et 4 sur Lille. 
Le Paris SG, mené au score, a gardé inviolé contre Lille (2-2) son Parc des Princes, où il n'a plus été battu depuis novembre 2012, tandis que Marseille a encore remonté un retard de deux buts, cette fois contre Bordeaux (2-2). La 19e journée de L1, dernière avant la trêve, a en tout cas tenu toutes ses promesses, avec trois matches sur le même score et des scénarios renversants !
Au Parc, dans le match au sommet, les Dogues ont montré qu'ils n'avaient peur de rien, à l'image de leur capitaine Mavuba, n'hésitant pas du haut de ses 1,72 m à aller mettre une tape dans le catogan d'Ibra (1,95 m) qui l'avait un peu rudoyé. Les deux hommes furent d'ailleurs les premiers buteurs: Zlatan ouvrant la marque sur coup franc pour son 15e but en L1, terminant ainsi meilleur buteur à la trêve. Puis Mavuba égalisait avant la pause. Kalou plaçait ensuite Lille aux avant-postes sur penalty, avant que Basa n'annule cet avantage en marquant contre son camp.



Le PSG est donc toujours invaincu au Parc depuis plus d'un an (17 novembre 2012, 1-2 contre Rennes). Au classement, le PSG, qui était déjà assuré de finir champion d'automne, est toujours leader avec 44 points, devant Monaco (41 pts) et Lille, solide troisième (40 pts). Les deux autres matches de la journée dimanche, conclus sur le même score, ont donné lieu à des retours au score spectaculaires. 
La reprise du championnat sera le vendredi 10 janvier 2014.

PSG : qui sème en automne…

Publié le 23/12/2013 à 03:49, Mis à jour le 23/12/2013 à 08:54

ligue 1. 19e et dernière journée aller. Après son nul de toute beauté, hier soir, face à Lille (2-2).

Le roi Ibra, entre-déchiré par sa meute de coéquipiers à l'ouverture du score, au Parc, sur un magistral coup franc direct que même Vincent «Superman» Enyeama - le portier des Dogues - ne pourra arrêter./ Photo AFP



Paris, déjà champion ? à la trêve, oui ; dans 5 mois, sûrement… En tout cas, la troupe à Blanc en prend le chemin : y’avait qu’à voir l’intensité et la qualité qu’elle a mises dans son duel, hier au Parc des Princes, vs de valeureux Lillois.
Le dessert méritait d’être attendu. Il aura donc fallu patienter jusqu’au dernier rendez-vous de la première manche, pour assister à la plus belle partie de manivelles. Entre le leader et le 3e qui, 19min durant, fut même son dauphin !
Radioscopie d’une L1 qui est en train d’atteindre une tout autre dimension…
Marseille ? Lyon… Non : Lille. Vl’a l’invité-surprise du trio magique qui domine la compétition hexagonale au point à mi-saison d’avoir, avouons, fait le trou : 9 unités d’avance sur le premier poursuivant (4e) pour le Losc, 10 pour Monaco, 13 en ce qui concerne le Paris-SG. Y’a pas à tortiller : le matelas paraît suffisamment conséquent, aux 3, qui vont pouvoir vaquer à d’autres occupations domestiques. La Ligue des champions pour le… champion sortant, la Coupe de France pour les 2 autres larrons, éliminés de celle de la Ligue.
Derrière… Paris et Lille, clin d’œil du calendrier, l’AS Saint-étienne est «l’équipe» de 2013. Ex æquo avec l’OM et l’OGCN, moyennant un bien joli pactole de 17 victoires. La dernière en date des Verts, samedi dans son Chaudron face aux Canaris, n’est peut-être pas la plus affriolante ; la plus enrichissante, si. Résultat des courses et des comptes : une 5e place au pied du sapin, avec, en prime, une rencontre en retard à jouer avant le début des matches retour. D’où un 4e rang virtuel. Oui, deux fois oui, les Stéphanois qui viennent tout juste d’inaugurer leur musée éponyme, resurgissent dans l’Histoire. Retour vers le futur, en résumé.
Là, c’est le règne de la pagaille - joyeuse, au demeurant. Comptons bien : du 6e au 16e, 11 équipes se tiennent en 9 points. Trois succès, que 3 succès. Traduire : en trois semaines, si ça rigole, vous pouvez passer de la L2 à la C3. On caricature un chouïa, nous n’en sommes pas très loin quand même… Le capitaine et défenseur central du TFC Jonathan Zebina, à qui on ne la fait plus, résume d’un trait : «à part les 3 gros, perchés là-haut, qui jouent leur propre championnat, les autres clubs sont très proches. C’est tellement serré que tout peut arriver dans un sens comme l’autre. Rapidement.»
Dans le mauvais sens, justement. AC Ajaccio (20e, 9pts), Sochaux (19e, 11pts), Valenciennes (18e, 14pts) : nombre d’observateurs font des 3 derniers, en remontant le classement, leurs favoris pour la descente. En d’autres termes, les relégables seraient à J-19 condamnés. Pas sot. Pas vrai non plus, mathématiquement parlant. Levier classique au pays du ballon rond : tous les 3 ont changé leur fusible «entraîneur». Eh alors ? Aucun choc psychologique, plutôt un flop.
paris-sg 2 - lille 2
MT : 1-1. Parc-des-Princes/temps sympa (9°C au coup d’envoi, ciel dégagé), terrain pas extra (gazon un poil abîmé et haut) ; 45.844 spect.
[guichets fermés] . Arbitrage de M. Fredy FAUTREL, assisté de MM. C. Gringore & N. Pottier/ temps additionnel : 8‘(2+6). Pour le PSG : Ibrahimovic (36), Basa (72 csc). Pour le Losc : Mavuba (44), Kalou (53 sp). paris - saint-germain : Sirigu - van der Wiel, Alex (Pastore, 67), Thiago Silva (cap.), Digne (Rabiot, 76) - Verratti, Thiago Motta, Matuidi - Lucas Moura, Ibrahimovic, Lavezzi (Ménez, 77)./Entraîneur : Laurent BLANC. Avertissements : Ibrahimovic (41, poussette sur Mavuba), Digne (50, fauchage sur Béria dans la surface), Matuidi (62, contestation arbitrale pour refus de siffler penalty sur une main de Basa), Thiago Motta (66, croc-en-jambe sur Balmont). lille olympique sporting-club : Enyeama - Béria (Dj. Sidibé, 54), Rozenhal, Basa, Pape Souaré - Balmont, Mavuba (cap.), Marvin Martin (Rodelin, 69), Idr. Gueye - S. Kalou, N. Roux (Origi, 82)./Entraîneur : René GIRARD. Avertissements : Mavuba (41, poussette sur Ibrahimovic), Balmont (60, tacle le pied en avant et en retard sur Matuidi), Roux (65, petit coup après que le ballon est parti sur la cheville de Thiago Motta), Gueye (75, balayage sur Lavezzi).

Quand Zlatan Ibrahimovic se moque du football féminin
Après une interview accordée au quotidien suédois Expressen, Zlatan Ibrahimovic a déclenché une polémique dans son pays après avoir tenu des propos jugés moqueurs envers le football féminin.

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Zlatan Ibrahimovic ne comprend pas qu'on puisse le comparer avec une joueuse. (L'Equipe)



Si l'attaquant du PSG rêvait d'une trêve paisible à quelques jours d'un départ en stage au Qatar, dimanche, c'est raté. Désigné pour la huitième fois sportif de l'année par Expressen, Ibra a répondu, ce mercredi, aux questions du quotidien suédois dans le style assez piquant dont il est coutumier. La controverse qui agite aujourd'hui la Suède part d'une allusion à la voiture offerte par la Fédération suédoise au milieu international Anders Svensson, le 11 novembre dernier, pour son record de sélections (144). A l'époque, cet hommage avait été pu être critiqué par des footballeuses suédoises, qui estimaient que leur performances, plus élevées, étaient perçues avec moins de considération par les instances locales.


«L'attention que le football féminin obtient dans notre pays est sans équivalent dans le monde. C'est en soi une chose étonnante» Réponse d'Ibra, très solidaire de Svensson sur le sujet: «Si elles veulent, je peux signer un papier pour qu'elles obtiennent un vélo...» Et le capitaine de l'équipe de Suède d'en rajouter plusieurs couches : «Quand je suis à l'étranger, on me compare à Messi et Ronaldo. Quand je rentre à la maison, on me compare avec des footballeuses... L'été dernier, on m'a demandé : "Qui est le meilleur : Lotta Schelin (l'attaquante suédoise de Lyon) ou vous ?" Non mais c'était une plaisanterie ou quoi ?! Avec tout le respect dû aux femmes, vous ne pouvez pas comparer le football masculin avec le football féminin. L'attention que le football féminin obtient dans notre pays est sans équivalent dans le monde. C'est en soi une chose étonnante. Attention, elles accomplissent leur travail merveilleusement bien, et elles continueront à le faire, mais on ne peut pas comparer la performance individuelle d'une femme avec celle d'un homme.»

Par ailleurs, Ibra affirme dans cet entretien que «le projet du PSG va dans la bonne direction». Ajoutant: «Nous avons déjà atteint un niveau qui dérange les grosses équipes en Europe. Nous avons une chance de battre n'importe quel adversaire mais on ne peut pas se permettre d'être dans un mauvais jour. (...) Aujourd'hui, nous sommes plus stables et plus compacts. Mais, dans un mois, on ne sait pas où on en sera. C'est pourquoi il faut s'entraîner durement pour garder notre niveau. Pour aller loin en C1, il faudra aussi de la chance au tirage.»

PSG-Thiago Silva: "Pas encore au niveau du Real"

Alors que le PSG doit affronter le Real Madrid, le 2 janvier, en match amical, Thiago Silva estime que le club parisien n'est pas encore au niveau des grands d'Europe. "Il faut être lucide, nous ne sommes pas encore au niveau du Real Madrid, mais on a des joueurs très importants qui, maintenant, font grandir l'équipe. Je pense à Ibrahimovic, Cavani, Lavezzi, Lucas... Si l'on continue à jouer comme en ce moment, on peut sans doute arriver à rivaliser avec le Real ou le Barça. Le projet mis en place par le Paris Saint-Germain est conçu dans cette optique en tout cas", explique le défenseur brésilien, sur le site du club.

PSG: Le groupe est à Doha

Les Parisiens vont effectuer le passage de 2013 à 2014 au Qatar. En effet, les joueurs de Laurent Blanc ont atterri ce dimanche en fin d'après-midi à Doha, annonce le site officiel du club, dans le cadre d'un stage jusqu'au 2 janvier lors duquel ils affronteront le Real Madrid en match amical. Pour l'occasion, le coach français a fait appel à un un groupe élargi de 26 joueurs avec les jeunes Kingsley Coman, Hervin Ongenda, Alvin Arrondel, Mory Diaw ou encore Mike Maignan.

Garcia se met la pression
Pour sa première conférence de presse comme sélectionneur de l'Italie, l'entraîneur français n'a pas caché ses ambitions. Il vise le titre de champion d'Europe en 2016. Ce récit, vous avez rêvé de le lire ? L'Equipe vous le propose dans une édition spéciale.

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Rome, 21 juillet. Rudi Garcia a le sourire, il est convaincu de pouvoir mener très loin la sélection italienne à l'Euro 2016. (L'Equipe)



C'était une précaution vraiment superflue. Pour la conférence de presse d’intronisation de Rudi Garcia comme sélectionneur de l’Italie, hier à Rome, la Fédération avait pris soin de convoquer un interprète. Assis juste à côté du Français et vite aspiré par sa prise de notes, il n’aura pas servi à grand-chose et décida même de quitter la table discrètement après un petit quart d’heure. Toujours à l’aise dans la communication, Garcia se débrouillait déjàen italien pour ses premières interviews commeentraîneur de l’AS Rome, il y a un peu plus d’un an et, hier, il a pu faire étalage de ses progrès, avec un accent presque parfait.

Il valait mieux maîtriser la langue, d’ailleurs, pour faire faceaux journalistes, nombreux et offensifs, hier, après la vilaine campagne brésilienne de la Nazionale. Éliminée au premier tour, l’Italie doit-elle tout changer ? Garcia a balayé l’idée d’entrée : « Cette équipe a du talent, et je ne veux pas faire de révolution, parce que ça me paraît inutile. Ici, on a vite fait de s’enflammer, dans le positif comme dans le négatif. Au Brésil, l’équipe a manqué de chance plus que de talent, elle a perdu d’entrée contre l’Angleterre dans des conditions difficiles, à dix contre onze et sur un penalty inexistant. Ce match a conditionné le reste. Mais les joueursont des qualités, et j’ai confiance en eux.»

La retraite internationale d’Andrea Pirlo dessine quand même l’idée d’une page qui se tourne. À trente-cinq ans, lemilieu de la Juventus a pris sa décision et il ne reviendra pas dessus. Pour Garcia, le suspense concerne plutôt l’avenir de Gianluigi Buffon, qui a laissé naître quelques doutes ces derniers jours sur son envie de continuer. « Nous avons besoin de cadres et “Gigi” en est un, a expliqué Garcia. J’espère qu’il continuera mais je suis optimiste. Il a déjà prouvé son attachement au maillot italien et, surtout, il reste l’un des meilleurs au monde à son poste. Il n’a pas de raison de s’arrêter maintenant. »

« La Fédération italienne a fait le bon choix »
D’autant que le nouveau sélectionneur a desambitions, à court terme. Champion surprise en mai dernier avec l’ASRome, Garcia n’a pas envie de s’arrêter là. Sa cote est au plushaut, en Italie, et son appétit aussi : « L’ambition, aujourd’hui, c’est de se qualifier pour l’Euro2016. Et si nous y allons, nous irons pour jouer les premiers rôles, comme l’a souvent fait l’Italie en phase finale. » Les premiers rôles ? « Si nous allons là-bas, et l’objectif est évidemment d’y a l l e r , n o u s chercherons à gagner. La Coupe du monde était un accident et ne doit pas remettre en question le statut de l’équipe, ni son potentiel.»

Pour aller loin, l’Italie ne pourra sans doute pas se passer de Mario Balotelli, dont les humeurs ont pesé lourd dans la vie du groupe, au Brésil. Jusqu’ici, tous les entraîneurs qui ont misé sur l’attaquant du Milan ont récolté davantage de soucis en coulisses que de gestes décisifs sur le terrain. La gestion du cas de "SuperMario" sera un point crucial pour Garcia, qui a habilement botté en touche : « Je ne veux pasparler sans connaître et je n’ai jamais rencontré Mario ni eu de discussion avec lui. Si les problèmes se présentent, je réfléchirai aux solutions. Et pour l’instant, je n’ai aucun problème avec lui.»

Il n’a pas de problème, non plus, avec l’idée d’entraîner une sélection étrangère, même si beaucoup de questions ont tourné autour du sujet, hier. Garcia est le premier entraîneur non italien à prendre le poste depuis Helenio Herrera en 1967 et l’affaire asuscité le débat autour du choix de la Fédération. L’ex-entraîneur de Lille a simplement dit sa « fierté et sa joie » d’avoir été nommé et, quand on lui a demandé s’il chanterait l’hymne national, il a souri : « Vous posez les mêmes questions que les journalistes français, en tout cas. » Avant de plaisanter : « Je suis français, et c’est aussi un avantage dans l’optique de l’Euro. Je connais les meilleurs hôtels, les meilleurs terrains, les routes à éviter aux heures de pointe. Je pense que la Fédération italienne a fait lebon choix. »

PSG: A guichets fermés face au Real

En stage de préparation à Doha, le Paris Saint-Germain s'apprête à affronter le Real Madrid jeudi, en match amical. Une rencontre de prestige qui se déroulera dans un stade comble, puisque plus de 38 000 billets ont été vendues. Ce match suscite un tel engouement au Qatar, qu'il a entraîné la vente de billets au marché noir. Le prix de certains billets peuvent grimper jusqu'à plus de 150 euros.

PSG : "Nous avons besoin de plus de trophées", prévient Nasser Al-Khelaïfi
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Publié le 01/01/2014 à 21h10 , modifié le 01/01/2014 à 21h22 par
Sudouest.fr avec AFP


Pour le président du Paris SG Nasser Al-Khelaïfi, le club de la capitale doit continuer à se développer  
Nasser Al-Khelaifi : "La popularité du club a grandi partout dans le monde. Quand je vais aux Etats-Unis, je vois des enfants avec le maillot du PSG. Ca n'arrivait jamais avant." © Photo
AFP KENZO TRIBOUILLARD









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e président du Paris SG Nasser Al-Khelaïfi a estimé ce mercredi dans un entretien accordé à l'AFP que la popularité de son club avait "grandi partout dans le monde" et a vivement défendu le contrat de partenariat passé avec QTA, l'office de tourisme de l'émirat.

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Quel bilan tirez-vous de la première partie de saison ?
Nasser Al-Khelaïfi.  Je suis très satisfait de ces cinq premiers mois, avec un nouveau coach et un nouveau système. Très heureux aussi de la qualité de notre football et de nos résultats. Tout se passe très bien."

Avez-vous été inquiet lors des départs de Leonardo et Carlo Ancelotti ? 
Ils ont fait leur travail, de leur mieux, et je veux les remercier. Mais il faut avancer. On a commencé quelque chose avec Laurent Blanc et nous sommes satisfaits de ce choix et de son travail. Ca s'est fait en peu de temps, ce n'était pas attendu. Mais je n'étais pas inquiet. Je crois au projet, qui est très fort, plus fort que telle ou telle personne. C'est un projet de long terme et nous connaissons nos objectifs. Ce que l'on a déjà construit en deux ans, c'est fantastique.

Où en est ce fameux "projet" ? 
Pour nous, le plus important ce sont les fondations. Le centre d'entraînement, l'académie... Il ne s'agit pas seulement d'acheter des joueurs. Mais on a aussi besoin de ça pour avoir des résultats. L'idée est de construire la nouvelle histoire de ce club. Le PSG a gagné trois fois le championnat, nous avons besoin de plus de trophées.

Cette saison, quelles sont vos ambitions ?
Gagner le championnat, bien sûr, et l'une des coupes. Et évidemment aller loin en Ligue des Champions, qui est l'ambition et la plus grande motivation des joueurs. Nous allons affronter Leverkusen, ce n'est pas facile. Mais nous allons essayer de tout gagner, chaque match. C'est ça notre ambition. 

Pensez-vous que les grands clubs européens vous regardent différemment ?
Je crois, oui. Ils nous respectent comme nous les respectons. Je pense que notre club a désormais une meilleure image, une image plus forte. Je le ressens partout où je vais.

Notamment ici, au Qatar...
Oui, mais pas seulement. La popularité du club a grandi partout dans le monde. Quand je vais aux Etats-Unis, je vois des enfants avec le maillot du PSG. Ca n'arrivait jamais avant. En Asie aussi. Quand Beckham y a été, il y avait tous ces enfants avec notre maillot. Bien sûr, David nous a beaucoup aidés. Et ce que je vois ici au Qatar, j'en suis fier, très fier. 

Comprenez-vous les critiques de certains clubs à propos de votre partenariat avec QTA ?
Non, je ne les comprends pas. Est-ce que c'est ce partenariat qui les inquiète ou plutôt la compétition sportive ? Je crois que c'est le PSG en tant que club qui les inquiète. Peut-être que c'est ça la vraie raison. Nous respectons tous les clubs et nous ne nous mêlons pas de leurs affaires. Cette affaire est entre nous et l'UEFA. Ce contrat est un vrai contrat et nous avons déjà rencontré les gens du fair-play financier. Nous avons été très transparents, nous avons répondu à chaque question.

Mais le montant de ce contrat peut surprendre. Le comprenez-vous ?
Non, je ne comprends pas et je ne l'accepte pas. Ce que je comprends, c'est que le Qatar investit énormément dans le sport pour promouvoir le pays. Le PSG, c'est une part importante de cet investissement. C'est quelque chose qui offre une exposition immense et cela aide le tourisme ici.

En tant que Qatari, comment avez-vous réagi aux critiques sur les conditions de travail des ouvriers dans votre pays ?
Cela m'a blessé. Des gens ont très mal parlé de mon pays. Je connais le Qatar, je sais que la loi est très stricte et que personne ici n'acceptera que des entreprises étrangères aillent contre la loi. Honnêtement, je pense que c'était injuste. Quand vous travaillez, vous faites des erreurs. J'en fais. Mais ce n'est pas pour cela que mon pays est mauvais. Quand je fais des erreurs, c'est ma faute, pas celle de mon pays.

LA FRANCE VENDU AU CAPITALISME MERCI


Nasser Al-Khelaïfi :"Cette année, il y a une équipe"
jeudi 2 janvier 2014 DOHA
de notre envoyé spécial JÉRÔME TOUBOUL

" Pour nous, rien n'est plus important que le beau jeu ", clame Nasser al-Khelaïfi. Alors, cette saison, le président du PSG a le sourire. (Photo Pierre Lahalle/L'Équipe)









Cet après-midi, Nasser al-Khelaïfi s'installera au Khalifa International Stadium pour assister à un PSG-Real Madrid (15 h 45)qui soulève une

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NASSER AL-KHELAÏFI, le président du PSG et de Qatar Sports Investments, donne quatre ans au club pour gagner la C 1. Et se réjouit d'observer cette saison un jeu plus offensif et un groupe plus uni.  énorme attente dans la capitale de l'émirat. Hier soir, c'est en tant que président de la Fédération de tennis du Qatar que le patron de QSI a invité...

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