QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

Lyon-Juventus victime de son succès
28/03 12h11 - Football
La billetterie de l'OL n'a pas résisté à la demande massive des internautes concernant le quart de finale de Ligue Europa Lyon-Juventus à Gerland le 3 avril prochain. Pendant près d'une heure et demie, la vente des places a été interrompue ce vendredi.

Olympique Lyonnais        ✔ @OL Suivre
En raison de la forte affluence sur la billetterie en ligne la vente des places OL/JUVE est interrompue pendant quelques minutes. #OLJUVE
10:30 AM - 28 Mars 2014
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Paris s'est ménagé


Edinson Cavani a été décisif, même s'il n'a pas marqué. (Reuters)

Par Thomas Siniecki
Publié le 28 mars 2014 à 23h18
Mis à jour le 28 mars 2014 à 23h23

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Sans forcer le moins du monde, Paris a pris trois points de plus vendredi à Nice en décrochant une victoire minimale (1-0, 31e journée de Ligue 1) sur un but - contestable - contre son camp de Kolodziejczak. Personne ne s'est blessé avant la Ligue des champions.
Terminé les démonstrations à l’extérieur, fini les orgies de jeu et de facilité loin du Parc des princes. A l’approche des matches qui comptent vraiment, comme celui de mercredi en Ligue des champions contre Chelsea, Paris n’a plus envie de rire. Juste de faire le travail en s’économisant autant que possible, ce que le PSG a réussi à Nice de la même façon qu’à Lorient en gagnant 1-0, exactement une semaine plus tard heure pour heure. Sur sa seule expérience, Paris a réussi cette fameuse et si difficile passe de deux loin de ses bases, celle qui ne se présente qu’une seule fois dans la saison et qui fait souvent office de tournant.
La situation est bien sûr différente pour Paris, qui aurait pu perdre sans qu’un seul poil ne frétille dans la capitale, sauf pour ceux qui tiennent aux records: le PSG, avec sept victoires consécutives en Ligue 1, vient d'améliorer la meilleure série de l'histoire du club. Avec 13 points d’avance sur Monaco, les Parisiens sont officiellement qualifiés pour la Ligue des champions (au moins pour le tour préliminaire) mais c’est évidemment de titre qu’il est question et dont l’officialisation s’approche journée après journée. Paris a toujours gagné cette saison avant un match de Ligue des champions, et peu importe si la manière était assez loin de certaines autres prestations haut de gamme en 2013-2014.

Sirigu: "On y a pensé dans la journée"
Seul Zlatan Ibrahimovic, en son for intérieur si torturé lorsqu’il ne marque pas, trouvera sans doute à redire: c’est la première fois depuis la neuvième journée qu’il ne trompe pas le gardien adverse sur deux matches de suite en championnat. Mais c’est bien Chelsea et uniquement Chelsea qui occupe tous les esprits. "Ce n’était pas une soirée tranquille et je pense que j’ai fait du bon boulot, rétorque toutefois Salvatore Sirigu sur Canal+. On n’avait pas gagné à Nice ces deux dernières années, on a fait le boulot pour le championnat et pour le moral avant Chelsea. On y a pensé dans la journée et c’est normal." Laurent Blanc aussi y a pensé, et pas que dans la journée, en titularisant Marquinhos, Jallet, Digne, Cabaye et Pastore.
Marco Verratti et Lucas Moura ne sont entrés qu’à la 66e minute, Blaise Matuidi à la 79e. Pas flamboyants du tout, les Parisiens méritent quand même leur succès. Le but contre son camp de Timothée Kolodziejczak à la 52e minute (0-1) est peut-être entaché d’une faute de Cavani sur le défenseur niçois, mais Paris s’est créé d’autres situations: Yohan Cabaye à la 7e, Ezequiel Lavezzi à la 20e, Edinson Cavani à la 34e, "Ibra" à la 36e et à la 54e, Thiago Silva à la 45e, Lucas Digne à la 73e… "Je ne sais pas s’il y a faute de Cavani, ça va tellement vite, hésite lui-même Kolodziejczak. Le ballon est en hauteur, je le protège pour Ospina et il me pousse un peu, il tape mon tibia et le ballon va dessus. Il faut que je revoie les images, ça va tellement vite. De toute façon, ça ne changera rien."
"On a des regrets par rapport au début de deuxième période, il y avait moyen de faire mieux, estime Claude Puel. C’est dommage de gâcher notre dynamique intéressante, Paris a pu avoir la maîtrise et le monopole." A part un but logiquement refusé à Cvitanich pour hors-jeu (11e) et un coup franc au-dessus de Bauthéac (69e), on ne voit pas bien ce qui peut satisfaire l’entraîneur des Aiglons. Pour Laurent Blanc, ce n’est pas non plus la panacée mais bon… "C’est une bonne opération au niveau comptable, même si on s’est rendus le match difficile." Mais Paris ne cesse aussi de se rendre la L1 de plus en plus accessoire par rapport à la C1.

PSG-Sirigu: "On y a pensé dans la journée"
Salvatore Sirigu est resté très vigilant vendredi lors de Nice-PSG (0-1, 31e journée de Ligue 1). "Ce n’était pas une soirée tranquille et je pense que j’ai fait du bon boulot, a-t-il lâché à chaud sur Canal+. On n’avait pas gagné à Nice ces deux dernières années, on a fait le boulot pour le championnat et pour le moral avant Chelsea (ndlr: quarts de finale aller de Ligue des champions). On y a pensé dans la journée et c’est normal." Paris restait en effet sur une défaite et un match nul à Nice, 2-1 lors de la 15e journée en 2012-2013 et 0-0 lors de la 23e journée en 2011-2012.

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3 points de plus pour le @PSG_inside ce soir ! #DreamBigger #OGCNPSG
10:39 PM - 28 Mars 2014
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[*]
Créé le 28/03/2014 - 23:18
PSG-Blanc: "On s’est rendu le match difficile"

S’il est évidemment satisfait de la victoire du PSG sur la pelouse de Nice (1-0), vendredi soir en ouverture de la 31e journée de Ligue 1, Laurent Blanc est un peu moins séduit par la manière. "Au niveau comptable, c’est une bonne opération car on était venu pour prendre trois points. Mais on s’est nous-même rendu le match difficile", a ainsi réagi l’entraîneur parisien sur Canal+. A cinq jours du quart de finale aller de la Ligue des champions contre Chelsea, mercredi prochain au Parc des Princes, le "Président" sait que le plus dur est à venir. "On va enfin pouvoir se préparer pour Chelsea, a-t-il ajouté. Notre élimination en Coupe de France, qui n’était pas voulue, nous permet d’avoir un calendrier quasi parfait pour la Ligue des Champions. Voilà, on y est." En championnat, ce nouveau succès – le septième consécutif – permet au club de la capitale d’être relativement serein avant le sprint final. Avec désormais 76 points au compteur, les coéquipiers de Zlatan Ibrahimovic comptent provisoirement treize longueurs d’avance sur Monaco. "Mais les adversaires ne veulent pas nous faciliter la tâche pour autant", a-t-il conclu.

[*]
Créé le 28/03/2014 - 22:34
Service minimum pour le PSG à Nice

Un but contre son camp de Kolodziejczak (52e), pressé par Cavani, aura suffi au bonheur du PSG, vendredi soir à Nice en ouverture de la 31e journée de Ligue 1 (0-1). Ce 23e succès de la saison parisienne est le 7e consécutif en championnat, un record dans l’histoire du club de la capitale. Surtout, cela donne aux hommes de Blanc une avance de 13 points sur leur dauphin, l’AS Monaco, cinq jours avant de recevoir Chelsea

FOOTBALL ANGLETERRE
Chelseachute encore
avec d’affronter le PSG Chelsea et Manchester United,
les deux derniers survivants
anglais en Ligue des
champions, ont préparé différemment
leurs quarts de finale,
respectivement contre le PSG
et le Bayern Munich.
Comme contre Aston Villa,
les Blues ont craqué, leur récent
carton contre les Gunners ne
leur étant d’aucune utilité. À
l’issue du match, José Mourinho,
expert en mauvaise foi, a
même catégoriquement assuré
que sa chance était passée en
championnat. Sans Eto’o, qui
devrait être rétabli mercredi, la
meilleure défense d’Angleterre
a pourtant encore contrôlé le
plus souvent les débats, mais sa
mauvaise utilisation du ballon
en phase offensive l’a exposé à
la menace de Palace. Malchanceux,
Terry a trompé son propre
gardien à la 52e minute.
Côté United, Rooney a encore
joué les sauveurs (4-1) contre
Villa (12e), finalement jamais
aussi à l’aise que contre les gros
et qui a encore mené par Westwood
dès la 13e minute. Les
Mancuniens ont beau rester englués
à la 7e place avec
54points, ils ont fait en sorte de
reprendre des forces après
l’humiliation infligéeàOld Trafford
il y a une semaine par City
dans le derby (3-0) et avant
d’accueillir l’ogre bavarois.
Manchester City, tenu en
échec par Arsenal (1-1), n’a pas
profité de la nouvelle défaite de
Chelsea. L’équipe de Pellegrini,
3e avec deux points de moins
que le leader, s’est pourtant procuré
les occasions les plus franches
et reste la mieux placée
pour faire le doublé Coupe de
la Ligue-Championnat en raison
de ses deux matches en retard.
Liverpool en embuscade
Du côté des Gunners, ce troisième
match sans victoire
après la claque à Chelsea (6-0)
et le nul contre Swansea (2-2)
sonne vraisemblablement le
glas de leurs espérances. S’il a
cette fois réussi à limiter la casse
contre un rival, Arsène Wenger
reste en effet 4e avec trois
points de retard sur le podium
après ce 9e point pris seulement
en huit matches. Au moins
peut-il se réjouir d’avoir su
contrarier la marche en avant
de Citizens redevenus injouables.
Si leur série de cinq victoires
en championnat s’arrête là,
ces derniers sont toujours invaincus
lors de leurs dix derniers
déplacements.
Àunpoint des Blues, Liverpool
peut faire la bonne opération
aujourd’hui contre Tottenham
et prendre lecontrôledes opérations.

Paris devra jouer selon Wenger
30/03 21h08 - Football, LdC
«Paris peut marquer contre n’importe qui en Europe, ils ont la force offensive, donc il faudra qu’ils jouent, a expliqué Arsène Wenger, invité à s’exprimer sur le quart de finale de la Ligue des champions PSG-Chelsea par nos confrères de Canal+. Je suis curieux de voir le PSG contre une équipe de Premier League car ils dominent tellement en France... C’est le premier gros candidat cette saison qu’ils affrontent, ils auront l’occasion de montrer qu’ils ont franchi un palier.»

[*]
Créé le 31/03/2014 - 07:20
ASSE-Erding: "Je m'entends très bien avec Brandao"

Auteur du premier but des Verts dimanche soir à Lyon, en clôture de la 31e journée de Ligue 1, Mevlut Erding ne boude pas son plaisir d'avoir été décisif dans un derby de cette importance. L'international turc met notamment en avant sa complémentarité avec Brandao pour expliquer la réussite stéphanoise. "Nous étions venus ici pour gagner. En face, l’OL voulait gagner pour nous rejoindre au classement. Cette victoire, c’est une double satisfaction. Nous gagnons le derby et nous distançons désormais l’OL de six points au classement. Brandao et moi nous sommes complémentaires. C’est un joueur de pivot et moi, j’aime prendre la profondeur. Je m’entends très bien avec Brandao, car c’est un guerrier. J’ai profité de sa générosité pour marquer. Nous allons fêter cette victoire. Pour tous nos supporters, nous voulions tout donner. Ce matin, à L’Etrat, ils ont été énormes. Nous sommes très fiers. Nous ne lâcherons rien jusqu’au bout", a ainsi déclaré l'attaquant de 27 ans, auteur de sept buts avec l'ASSE en 24 matches disputés cette saison.

[*]
Créé le 31/03/2014 - 07:12
ASSE-Gradel: "Gagner à Gerland, c’est grand"

Auteur du but de la victoire de Saint-Etienne sur la pelouse de l'Olympique Lyonnais dimanche (2-1) à un quart d'heure de la fin du match, Max Gradel était bien évidemment aux anges: "Nous ressentons beaucoup de joie et de fierté, a confié l'international ivoirien sur le site de l'ASSE. Marquer le but de la victoire lors d’un derby, c’est quelque chose d’exceptionnel. Ce soir, nous avons fait beaucoup d’heureux. Cela fait longtemps que nous attendions cette victoire dans le derby. Venir gagner à Gerland, c’est grand. Cette victoire est très importante. Je suis heureux pour tous nos supporters qui sont restés à Sainté. Cette victoire est pour eux. Je félicite aussi mes coéquipiers et le coach qui a bien senti les choses".

[*]
Créé le 31/03/2014 - 07:00
OL-Gonalons: "Beaucoup de décisions défavorables"

C'est peu de dire que la déception était de mise dans le vestiaire lyonnais dimanche soir après la défaite face à l'AS Saint-Etienne lors du derby (1-2). Interrogé sur OLTV, le capitaine Maxime Gonalons a ainsi confié: "Je suis déçu du résultat et de la façon dont on a perdu. On a fait un bon match avec beaucoup d’absents. Le résultat n’est pas là… Je pense que l’on aurait pu l’emporter si le penalty avait été sifflé. Cela fait beaucoup de décisions défavorables. L’arbitre m’a dit que le joueur voulait retirer sa main. Perdre un derby, c’est toujours une grosse déception pour moi, ma famille, mes amis… Le match s’est joué à des détails."

Ligue des Champions. Duel explosif 100% espagnol

Publié le 01/04/2014 à 08:19

FC Barcelone - Atlético Madrid et Manchester United - Bayern Munich ouvrent le bal des quarts avec deux chocs et une pléiade de stars

Deux styles pour une place dans le dernier carré : bien qu'entièrement espagnole, la double confrontation entre les artistes du FC Barcelone et les combattants de l'Atlético Madrid promet un choc de culture, en soirée (20h45, beIN2), au Camp Nou.
Attaque explosive contre défense impénétrable
Il y a d'un côté l'«Atleti», leader opiniâtre du championnat d'Espagne, qui affiche la défense la plus imperméable de Liga (22 buts contre) avec son collectif compact et son talentueux gardien belge, Thibaut Courtois. De l'autre ? Le Barça, son dauphin, nanti de la meilleure attaque (89 buts) avec Lionel Messi ou Neymar, alimentés par les as de la dernière passe : Xavi, Andres Iniesta, Cesc Fabregas…
Les deux équipes, qui se connaissent parfaitement bien (puisqu'elles se sont déjà affrontées 3 fois cette saison pour 3 matches nuls), se disputeront âprement cette place en demi-finale : une 7e d'affilée pour le Barça, une 1re pour les «Colchoneros» depuis 1974.
Dans cette opposition où la possession et l'efficacité seront les clés du match, les Madrilènes tenteront de confisquer le ballon aux Catalans et de se montrer dangereux en contre.
Des duels d'hommes
Sur la pelouse, et à ses abords, 4 hommes en particulier seront à surveiller. D'un côté les entraîneurs Martino et Simeone, déjà opposés dans leur Argentine natale et tous deux animés par un fort appétit de victoire. De l'autre, les deux attaquants stars que tout oppose dans le style de jeu, et non dans leurs imposantes statistiques cette saison : 26 ans, 23 buts en Liga et 8 en C1 pour Lionel Messi contre 25 ans, 25 buts en Liga et 7 en C1 pour Diego Costa - quand bien même ce dernier a écourté l'entraînement hier soir… Un mano a mano qui promet, cette fois-ci, de ne pas finir sur un score nul, tout du moins sur le cumul des matches.

Ligue des Champions. Le PSG doit-il avoir une peur «bleue» ?

Publié le 01/04/2014 à 08:19

Quarts de finale aller. Paris-SG - Chelsea FC c'est demain soir, mais le match a déjà débuté…

Demba Ba, Eden Hazard, Fernando Torres - de g. à d. : beau monde en perspective sur la pelouse du Parc des Princes./ Photo AFP




Indiscutablement, Chelsea est le révélateur qu'attendait Paris pour se jauger au niveau continental. La double bagarre promet beaucoup. Détail des forces en présence, par ligne.
Si les Blues de Chelsea ont impressionné l'Eu- rope du foot il y a dix jours en passant une roue de bicyclette face à Arsenal (6-0), les hommes de José Mourinho ont perdu, samedi, chez le premier non-relégable Crystal Palace (0-1). En attendant…
Défense de fer.- Meilleure arrière-garde de Premier League avec 24 buts concédés en 32 matches disputés, le CFC a d'abord des fondations solides. Une défense dure, on le sait, c'est la marque de fabrique du… Mou. Rappelons que l'Inter a décroché la C1 sous la coupe du technicien portugais après avoir sorti le Barça en demie avec Eto'o latéral droit ! à ce poste, Ivanovic est bien en place
- de l'autre côté,
après des débuts un peu tendres, c'est l'ex' Marseillais Azpilicueta - à droite d'une charnière qui ne manque ni d'huile ni de vécu : Cahill-Terry. Deux rocs en stock devant le dernier rem-part Petr Cech, ancien goal du Stade Rennais, 4 buts pris en 7 matches de C1 2013-14 avec 4 «clean sheets» (rencontre sans être trompé). Une référence.
De l'autre côté : le quatuor Jallet-Alex-Thiago Silva-Maxwell soutient sans souci la comparaison. Même si l'absence prévisible de Gregory van der Wiel (genou), habituel titulaire sur le flanc droit, n'est pas une bonne nouvelle.
-> Léger avantage Chelsea.
Juste milieu.- Le Special One s'il a tenté de noyer le poisson ce week-end contre Crystal en changeant 3 fois d'organisation (4-3-3 au coup d'envoi puis 4-2-3-1 et 4-1-4-1 et, enfin, 4-1-3-2) devrait revenir à un entrejeu classique à 4 éléments, avec un duo de récupérateurs (Ramires-Lampard) et 2 excentrés (Willian à droite, Hazard à gauche). Alliant sécurités défensives et flèches offensives si on peut dire. Là aussi, ç'a de la gueule. Comme du punch : 4 buts ont été inscrits par ces milieux de terrain.
De l'autre côté : que Laurent Blanc ait opté depuis belle lurette pour un trio (Verratti- Thiago Motta-Matuidi), celui-ci n'en est pas moins complémentaire. En ce qui concerne les bancs : Cabaye et Rabiot «valent» Obi Mikel et Schürrle (Matic pas qualifié).
->égalité parfaite.
Attaque à double tête.- Oscar en soutien de Torres puisque l'ami Eto'o (ischio-jambiers) manquera très vraisemblablement la première manche des réjouissances. Plus Demba Ba en réserve. Pas mal certes, mais pas le nirvana non plus. à preuve : les chiffres, encore et toujours, qui font état d'1 seul buteur des Blues dans le Top 10 du championnat british… et c'est un milieu (Hazard, 14 réalisations).
De l'autre côté : la triplette Cavani-Ibrahimovic-Lavezzi (ou Lucas) paraît supérieure. Et, surtout, le Chelsea FC n'a pas un impact player comme le PSG avec Ibra.
-> Avantage Paris.
Bien délicat, sur le papier, de départager les 2. Reste le pré vert. Vivement demain soir !

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Le chiffre : 1er
match européen > du Mou. Le détail, à tout le moins amusant, mérite d'être remémoré : le premier match européen de José Mourinho lors de son premier séjour à Londres, commencé en 2004, était un certain PSG-Chelsea en C1 (poules). Les Blues l'avaient emporté 3-0 au Parc, avec un doublé de Drogba.

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feuille de matches
Au Camp Nou et à Old Trafford
FC Barcelone : Pinto - Dani Alvés, Gerard Piqué, Mascherano, Jordi Alba -
Xavi (c.), Sergio Busquets, Fabregas - Neymar, Messi, Iniesta./
Entr. : G. MARTINO (ARG).
Atlético Madrid : Courtois - Juanfran, Miranda, Diego Godin, Filipe Luis - Arda Turan, Gabi (c.), Mario Suárez, Koke - Villa, Diego Costa./
Entr. : D. SIMEONE (ARG).
Arbitre : Felix Brych (ALL).
MANCHESTER UNITED : De Gea - Phil Jones, Vidic (c), Ferdinand, Büttner - Carrick,
Fletcher - Welbeck, Januzaj, Giggs - Rooney./ Entr. : D. MOYES (éco).
bayeRn munich : Neuer - Rafinha, Javi Martínez, van Buyten, Alaba - Lahm (c), Schweinsteiger - Robben, Götze, Ribéry - Mandzukic./ Entr. : J. GUARDIOLA (ESP).
Arbitre : M. Carlos VELASCO Carballo (ESP).

Ligue des champions: les fauves sont lâchés pour les quarts de finale
01/04/2014 07:01
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Lionel Messi, du FC Barcelone, contre l'Espanyol le 29 mars 2014 au stade Cornella-El Prat - AFP
Messi, Cristiano Ronaldo, Ibrahimovic, Ribéry, Rooney, Hazard, Diego Costa, Reus: les fauves sont lâchés pour les quarts de finale de la Ligue des champions, dont la phase aller est à l'affiche mardi et mercredi.

 
. Barça-Atletico: un nouveau "clasico"?
Le club de Madrid en tête de la Liga n'est pas celui qu'on attendait: l'Atletico possède un point d'avance sur le Barça et trois sur son voisin de palier, le Real. Sur la scène continentale, la nouvelle vague "Atleti" a balayé une figure de l'ancien régime, l'AC Milan, noyé 4-1 au retour après avoir déjà perdu l'aller 1-0. Les "Colchoneros" n'avaient plus atteint les quarts de C1 depuis 1997. Diego Costa (7 buts en C1) sera le danger numéro un pour un Barça privé de son gardien Valdes, gravement blessé, remplacé par le vétéran Pinto (38 ans). Une fois encore, les Catalans prieront leur Messi (8 buts en C1).
 
. ManU-Bayern: 1999 semble si loin...
Tout le monde garde en mémoire la finale de C1 en 1999 et son retournement de situation. Le Bayern mène 1 à 0 jusqu'au terme du temps réglementaire mais United s'impose dans les arrêts de jeu par deux joueurs entrés en fin de match, Sheringham (90+1) et surtout Solskjær (90+3), qui restera dans l'histoire comme le "super sub", le "super remplaçant". Un coaching signé Alex Ferguson. Aujourd'hui, le manager écossais a tiré sa révérence, ayant intégré l'UEFA pour guider les techniciens. Et le peuple de United le pleure, enrageant contre son successeur, David Moyes, responsable à ses yeux de la 7e place, indigne de ManU, en Premier League. En face, le Bayern, tenant de la C1, s'est doté d'un maître manager avec Pep Guardiola, qui a su donner un nouvel éclat à la machine à gagner. Van Persie forfait, c'est Rooney qui devra prendre ses responsabilités face à la bande de Ribéry.
 
. Real Madrid-Dortmund: de la revanche dans l'air?
La saison écoulée le Borussia avait laissé une marque rouge sur la joue de José Mourinho en giflant son Real en quart de finale aller (4-1) avec un quadruplé de Lewandowski. Dortmund s'était ensuite hissé en finale, chutant contre l'autre ténor de Bundesliga, le Bayern. Cette fois, Lewandowski est suspendu à l'aller. Mais Dortmund a récupéré un Reus en forme (triplé ce week-end) et jouera le retour chez lui, au pied de son fameux "mur jaune". Le Real veut sa revanche et sa "decima" (dixième Ligue des champions en version originale). Carlo Ancelotti compte sur les grandes ondes de la "BBC" (Bale-Benzema-Cristiano Ronaldo) pour assourdir l'adversaire. Pour "CR7", c'est l'année ou jamais pour compléter son Ballon d'Or par une C1 et par un record, celui co-détenu par Messi et José Altafini (dans les années 60) de 14 buts dans une saison en C1. Le Portugais en a déjà inscrit 13.
 
. PSG-Chelsea: Paris est-il un grand d'Europe?
Depuis l'arrivée des Qataris au printemps 2011, le PSG a changé de dimension. Les Ibrahimovic (déjà 10 buts en C1), Cavani et Thiago Silva font parler. L'année passée, le club de la capitale française avait quitté l'épreuve reine continentale sans perdre face au Barça (2-2, 1-1, les Catalans passant au bénéfice des buts marqués à l'extérieur). L'objectif est clair: passer les quarts. L'ambition va même plus loin, car selon le quotidien L'Equipe, "Ibra" a négocié une prime d'un million d'euros par joueur en cas de victoire finale en C1... Sans aller jusque-là, une accession en demies donnerait un nouveau statut au PSG. Le choc face aux Blues de "Mou" promet. Le coach portugais a déjà commencé son "intox" habituelle en présentant Chelsea comme le petit poucet opposé à l'ogre nourri aux millions du Qatar. Mais côté "info", Hazard est l'arme fatale des Londoniens. Le milieu Verratti-Matuidi-Motta devra le mettre sous les verrous.

Ligue 1: le sprint pour la 3e place entre Lille et Saint-Etienne sera serré
31/03/2014 20:21
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Les joueurs de Saint-Etienne, Jérémy Clément et Kurt Zouma (D), à la lutte avec les Lillois Ryan Mendes (C) et Jonathan Delaplace, durant le match de L1, le 17 janvier 2014 au stade Geoffroy-Guichard à Saint-Etienne - AFP/Archives Philippe Merle
La lutte devrait faire rage durant les sept journées restantes entre Lille (3e) et Saint-Etienne (4e avec 3 points de moins) pour la dernière place sur le podium de la Ligue 1, derrière le Paris SG et Monaco.

L'état de forme: avantage Saint-Etienne
A l'image de sa victoire réaliste dans le derby à Lyon (2-1), "Sainté" démontre qu'il lui faut actuellement peu d'occasions pour marquer. Qui plus est, ne voulant dépendre d'aucun système, Christophe Galtier s'appuie sur un effectif assez fourni au milieu pour adopter avec succès plusieurs tactiques, comme le 3-5-2 inédit de dimanche. En outre, les Verts peuvent compter sur un Erding redevenu buteur au bon moment (3 fois en 2 matches, 7 buts au total).
Depuis le début de l'année, le jeu lillois manque de liant et se distingue surtout par un gros déchet technique. "On est en difficulté en ce moment, on manque d'efficacité", reconnaît l'entraîneur René Girard. Même si les résultats sont meilleurs depuis février, Lille peine à se montrer dangereux et à maîtriser ses matches. Le manque d'efficacité offensive est flagrant avec un duo Kalou-Roux à la peine. La défense, certes guère épargnée par les blessures, est moins sûre qu'en début de saison à l'image du gardien Vincent Enyeama, qui n'est plus invincible.
L'état d'esprit: 50/50
Le Losc pourrait être fragilisé par la fracture qui se consomme actuellement avec le public, déçu de la mauvaise qualité de son jeu. Mais pour l'heure, ces critiques donnent plutôt un surplus de motivation aux joueurs et à Girard, qui n'a pas caché sa colère après la victoire contre Guingamp (1-0). "On est encore 3e, il est où le problème ? Je pense qu'en France beaucoup d'équipes aimeraient être à la 3e place". Et l'attaquant Nolan Roux d'assurer : "Même si beaucoup ne nous voient pas finir à cette place-là, nous on y croit. Les critiques nous motivent".
Les deux défaites de rang, à Lorient (1-0) et à un degré moindre à Paris (2-0), auraient pu éteindre l'espoir des Verts. Mais la victoire contre Sochaux (3-1) a démontré leur capacité à se remobiliser et celle dans le derby, après tant de frustrations (2 succès depuis 1993), a évacué le complexe d'infériorité face au rival lyonnais. "Gagner à Gerland dans un contexte européen, c'est très fort et nous pouvons continuer à rêver", assure le milieu Fabien Lemoine. "Nous ne lâcherons rien jusqu'au bout", promet Erding.
La dynamique: avantage Lille
Plusieurs fois menacé par Saint-Etienne après un mois de janvier calamiteux, Lille n'a jamais abandonné sa 3e place, sa solidité retrouvée compensant des prestations sans relief. Les Lillois, souvent très poussifs, ont même parfois été très chanceux contre Evian/Thonon (2-2), Ajaccio (3-2) ou Guingamp (1-0). Mais ils ont toujours limité la casse, au point de ne plus avoir perdu en championnat depuis le 2 février. "Il est donc hors de question de se relâcher", dit Girard.
Lyon battu et relégué à six longueurs dans la course au podium, les Verts peuvent se concentrer sur la chasse aux Lillois qui ont 3 points d'avance. Mais, en l'absence de Hamouma ou Corgnet blessés, les Verts ont parfois des difficultés à enchaîner les bonnes performances, surtout à l'extérieur. Ainsi, après avoir battu Monaco, ils ont perdu à Lorient puis à Paris. "Il faut confirmer cet exploit (à Lyon) face à Nice" prévient Galtier, conscient de cette carence.
Le calendrier: avantage Saint-Etienne
Les Verts n'ont désormais que des formations de seconde zone à affronter. Bien plus performants à domicile qu'à l'extérieur, ils recevront quatre fois (Nice, Rennes, Montpellier, Ajaccio). Tout de même vainqueurs à six reprises hors de leurs bases (contre sept défaites), ils iront à Reims, Evian/Thonon et Nantes.
Lille dispose d'un calendrier bien plus compliqué, avec quatre déplacements, délicats à Toulouse et Marseille, piégeux à Bastia et Lorient. Et les trois matches à domicile s'annoncent rudes avec le derby contre Valenciennes, qui joue sa peau en L1, un match contre l'imprévisible Bordeaux et le choc contre le PSG, qui sera probablement déjà champion, lors de l'avant-dernière journée.

PSG - Chelsea en Ligue des Champions : "Paris a grandi" selon Matuidi
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Publié le 01/04/2014 à 06h00 , modifié le 01/04/2014 à 07h50 par
Frédéric Laharie


Un an après avoir échoué de peu contre Barcelone, le milieu de terrain international Blaise Matuidi estime que le PSG a les moyens de passer le cap contre Chelsea.
Largement en tête de la Ligue 1, Matuidi et le PSG tournés vers la Ligue des Champions. © Photo
photo afp









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«J'espère que toute la France sera derrière nous contre Chelsea ». Dans une interview téléphonique à la presse régionale hier, Blaise Matuidi a porté la parole d'un Paris Saint- Germain qui va représenter le football français au plus haut niveau européen contre les Blues de Mourinho demain soir et le 8 avril à Londres.

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Humble et ambitieux le milieu de terrain international de 26 ans est décidé à bousculer la hiérarchie européenne.
« Sud Ouest ». Ce quart de finale sera-t-il révélateur du vrai niveau du Paris Saint-Germain ?
Blaise Matuidi. C'est un quart-de-finale de Ligue des Champions, un test par rapport au niveau de l'adversaire. Depuis le début de la saison, on a montré qu'on a franchi un cap. Ce match doit montrer notre valeur.
Vous préparez-vous d'une manière particulière ?
Je ne change pas ma préparation, je reste comme je suis, sans pression. Même si je n'ai une petite expérience européenne (16 matchs de Ligue des Champions, 3 buts NDLR), je pense avoir assez de maturité pour aborder ce match comme les autres. Bien sûr, il demandera une concentration supérieure mais le plus important sera de penser à ce que nous pouvons faire de bien, pas forcément à l'événement.
L'impact athlétique imposé par Chelsea sera-t-il la clé du match ?
Ils ont aussi des joueurs d'une grande qualité technique et on aura du répondant au niveau physique. Mais on sait surtout qu'on ne doit pas changer notre philosophie de jeu. Notre force, c'est de jouer.
Vous étiez outsider la saison dernière contre le Barça (2-2, 1-1). Pensez-vous qu'il y a plus d'attente autour du PSG contre Chelsea ?
Je ne pense pas. Chelsea a beaucoup plus d'expérience que le Paris Saint-Germain en Ligue des Champions, ils l'ont déjà gagnée.
La seule différence, c'est qu'aujourd'hui, Paris a plus de vécu, a appris à bien jouer ensemble. Paris a grandi.
Face à une équipe de Chelsea qui ferme les espaces, votre rôle sera-t-il de « casser » les lignes au milieu du terrain ?
Je vais jouer mon jeu. Il faudra aussi être attentif et rester équilibré : Chelsea est redoutable en contre avec des joueurs, certains très techniques, d'autres athlétiques, qui se projettent bien. Mon rôle, c'est de bien cadrer le milieu de terrain, aussi. On a ce qu'il faut devant pour faire la différence.
Allez-vous préparer un dispositif pour fermer la porte aux accélérations d'Eden Hazard ?
C'est l'un des « plus » de Chelsea. De là à préparer un plan anti-Hazard… Je le répète, on est concentrés sur notre jeu, sur ce que l'on sait faire de bien.
Vous avez disputé 62 matchs la saison dernière. Ce sera votre 50e mercredi soir. Avec la Coupe du Monde qui se profile, comment gérez-vous la fatigue ?
J'ai tout ce qu'il faut pour bien récupérer ici. Cette année, l'entraîneur arrive à plus gérer parce qu'on a davantage de possibilités pour faire tourner au milieu de terrain. Et quand ça tourne, ça ne pose pas de problème à l'équipe. Ça me fait du bien de me reposer. Je pense et j'espère que je serai à 100 % pour ce « money time ». Et pour la suite aussi.
Le fait d'être quasiment assuré du titre de champion de France, avec 13 points d'avance sur le 2e, Monaco, est-il un avantage pour la Ligue des Champions ?
Ça peut l'être. On a pris une belle option. Chelsea est comme nous, en course pour le titre mais c'est plus serré pour eux, ils auront peut-être moins de possibilités que nous de faire tourner entre les deux matches. Mais ils ont un effectif assez conséquent pour pallier certaines absences. À ce niveau, ce n'est pas un gros avantage.
L'ambition du PSG est de gagner la Ligue des Champions à court ou moyen terme. L'idée que vous pouvez la remporter dès cette année a-t-elle fait son chemin ?
Quand on est compétiteurs et qu'on joue dans un club comme le PSG d'aujourd'hui, on a l'ambition de la gagner. On est conscient de nos qualités, mais ne nous enflammons pas. Si vous me reposez la question dans deux semaines, je vous dirai qu'étant dans le dernier carré, on commence à y penser.
Tout le monde dit que jusqu'à présent, on a rencontré des équipes de niveau moyen pour cette Ligue des Champions. J'ai la conviction qu'on a le niveau pour aller le plus loin possible. Mais il ne suffit pas de le dire. Il faut le prouver sur le terrain, et ça commence mercredi contre Chelsea.

Cavani, de l'eau dans le gaz...


Edinson Cavani n'est pas tout le temps à l'aise sur le terrain...

Par Jean-Sébastien Grond
Publié le 1 avril 2014 à 08h33
Mis à jour le 1 avril 2014 à 08h35

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Une saison et puis s’en va ? Annoncé ces derniers temps à Chelsea et à Manchester United, Edinson Cavani n’a justement pas écarté l’idée d’un départ cet été. Dans une interview à L’Equipe mardi, l’attaquant uruguayen se dit frustré par son rôle sur le terrain et veut parler avec ses dirigeants.
"Je dois donner le meilleur, quel que soit le poste. Mais non, ce n’est pas toujours facile". Cette déclaration d’Edinson Cavani, dans L’Equipe de mardi, résume bien la situation. L’attaquant uruguayen se concentre sur la fin de saison du PSG et plus précisément sur le quart de finale de Ligue des champions contre Chelsea, avec un match aller ce mercredi. Mais il n’est pas certain de rester cet été. "On verra à la fin de la saison. Terminons le championnat d’abord. Je suis bien à Paris, mais il y a, à coup sûr, des choses dont on doit parler avec le club. Des choses qu’il faudrait faire différemment", a-t-il lâché.
La grande recrue de l’été dernier (63 millions d’euros) ne cache pas sa frustration d’évoluer ailier droit. L’ancien du Napoli avait débuté en pointe, avec Zlatan Ibrahimovic, mais c’était avant que Laurent Blanc ne trouve la bonne formule avec un 4-3-3. "C’était ma vision de l’équipe quand je suis arrivé à Paris. C’est d’ailleurs des arguments qui m’ont motivé pour venir dans ce club", affirme donc "Cava". Et ne lui parlez pas du positionnement similaire qu’il peut avoir en sélection ! "C’est différent (en club, ndlr), chacun sait ce qu’il a à faire tout au long de l’année, c’est répétitif. C’est plus compliqué et, avec le temps, ça commence, disons, à être un peu pesant". Ça, c’est dit…

Il aime "beaucoup" l’Angleterre…
En gros, le joueur de 27 ans ne sent pas totalement à l’aise dans un rôle secondaire, en complément d’Ibrahimovic. "Bien sûr que ce n’est pas facile, avoue l’attaquant. Evoluer aux côtés de joueurs comme Zlatan, les Thiago, "Pocho" (Lavezzi), c’est magnifique. Mais pour un attaquant habitué à conclure les actions, habitué à marquer et qui, aujourd’hui, doit accomplir d’autres tâches, non, ce n’est pas facile, c’est vrai. Je ne veux pas parler de sacrifices, parce que faire les efforts, j’ai ça en moi. Mais j’occupe aujourd’hui une fonction plus défensive qu’auparavant, je suis plus défenseur et c’est plus difficile parce que, quand tu arrives, c’est avec d’autres idées".
En cas de transfert, la Premier League pourrait être la destination privilégiée… "El Matador" ne cache pas son intérêt pour un football anglais qu’il aime "beaucoup". Chelsea "était intéressé" il y a un an, précise-t-il, en assurant "sincèrement" qu’il n’est pas au courant des tractations supposées avec les dirigeants des Blues et de Manchester United. Par le biais de cette longue interview à la veille d’un des plus gros matches de la saison du PSG, Edinson Cavani met son entraîneur et ses dirigeants dans l’embarras. Ces derniers éteindront peut-être le début de feu ces prochaines heures, mais les rumeurs de transfert peuvent repartir de plus belle…

Quand le PSG et Chelsea se chauffent sur Twitter…

A 48 heures du quart de finale aller de Ligue des champions entre le PSG et Chelsea, le match entre les deux clubs est déjà lancé sur les réseaux sociaux. Lundi après-midi, le message suivant est apparu sur le compte Twitter du PSG: "Chelsea, saviez-vous que le PSG s’est qualifié pour son deuxième quart de finale de Ligue des champions consécutif ?"

PSG Officiel        ✔ @PSG_inside Suivre
@chelseafc, did you know that @psg_inside has reached the @ChampionsLeague quarter final for the 2nd time in a row ?#PARISCHAMPIONSDREAM
6:40 PM - 31 Mars 2014
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Chelsea FC        ✔ @chelseafc Suivre
.@psg_inside, did you know that @chelseafc will reach the semi-final for the 7th time in 12 years if we qualify against you? #CFC
6:44 PM - 31 Mars 2014 Westminster, London, United Kingdom
5 068 Retweets 1 772 favorites [/size]

Ligue des Champions. Le PSG doit-il avoir une peur «bleue» ?

Publié le 01/04/2014 à 08:19

Quarts de finale aller. Paris-SG - Chelsea FC c'est demain soir, mais le match a déjà débuté…

Demba Ba, Eden Hazard, Fernando Torres - de g. à d. : beau monde en perspective sur la pelouse du Parc des Princes./ Photo AFP




Indiscutablement, Chelsea est le révélateur qu'attendait Paris pour se jauger au niveau continental. La double bagarre promet beaucoup. Détail des forces en présence, par ligne.
Si les Blues de Chelsea ont impressionné l'Eu- rope du foot il y a dix jours en passant une roue de bicyclette face à Arsenal (6-0), les hommes de José Mourinho ont perdu, samedi, chez le premier non-relégable Crystal Palace (0-1). En attendant…
Défense de fer.- Meilleure arrière-garde de Premier League avec 24 buts concédés en 32 matches disputés, le CFC a d'abord des fondations solides. Une défense dure, on le sait, c'est la marque de fabrique du… Mou. Rappelons que l'Inter a décroché la C1 sous la coupe du technicien portugais après avoir sorti le Barça en demie avec Eto'o latéral droit ! à ce poste, Ivanovic est bien en place
- de l'autre côté,
après des débuts un peu tendres, c'est l'ex' Marseillais Azpilicueta - à droite d'une charnière qui ne manque ni d'huile ni de vécu : Cahill-Terry. Deux rocs en stock devant le dernier rem-part Petr Cech, ancien goal du Stade Rennais, 4 buts pris en 7 matches de C1 2013-14 avec 4 «clean sheets» (rencontre sans être trompé). Une référence.
De l'autre côté : le quatuor Jallet-Alex-Thiago Silva-Maxwell soutient sans souci la comparaison. Même si l'absence prévisible de Gregory van der Wiel (genou), habituel titulaire sur le flanc droit, n'est pas une bonne nouvelle.
-> Léger avantage Chelsea.
Juste milieu.- Le Special One s'il a tenté de noyer le poisson ce week-end contre Crystal en changeant 3 fois d'organisation (4-3-3 au coup d'envoi puis 4-2-3-1 et 4-1-4-1 et, enfin, 4-1-3-2) devrait revenir à un entrejeu classique à 4 éléments, avec un duo de récupérateurs (Ramires-Lampard) et 2 excentrés (Willian à droite, Hazard à gauche). Alliant sécurités défensives et flèches offensives si on peut dire. Là aussi, ç'a de la gueule. Comme du punch : 4 buts ont été inscrits par ces milieux de terrain.
De l'autre côté : que Laurent Blanc ait opté depuis belle lurette pour un trio (Verratti- Thiago Motta-Matuidi), celui-ci n'en est pas moins complémentaire. En ce qui concerne les bancs : Cabaye et Rabiot «valent» Obi Mikel et Schürrle (Matic pas qualifié).
->égalité parfaite.
Attaque à double tête.- Oscar en soutien de Torres puisque l'ami Eto'o (ischio-jambiers) manquera très vraisemblablement la première manche des réjouissances. Plus Demba Ba en réserve. Pas mal certes, mais pas le nirvana non plus. à preuve : les chiffres, encore et toujours, qui font état d'1 seul buteur des Blues dans le Top 10 du championnat british… et c'est un milieu (Hazard, 14 réalisations).
De l'autre côté : la triplette Cavani-Ibrahimovic-Lavezzi (ou Lucas) paraît supérieure. Et, surtout, le Chelsea FC n'a pas un impact player comme le PSG avec Ibra.
-> Avantage Paris.
Bien délicat, sur le papier, de départager les 2. Reste le pré vert. Vivement demain soir !

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Simeone: «Un coeur énorme»
Diego Simeone était «très fier» de ses joueurs après le match nul décroché à Barcelone mardi soir (1-1). «Voilà ce qu'est l'Atlético Madrid, du coeur, du travail, ne jamais céder», a expliqué l'entraîneur des Colchoneros.

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Diego Simeone peut croire à la qualification en demies. (L'Equipe)




Diego Simeone, entraîneur de l'Atlético Madrid: «Je suis content. Ce groupe de joueurs a un coeur énorme. Au-delà du résultat, cela me rend très fier, c'est une équipe qui ne renonce pas à son jeu, qu'il plaise ou non. Je suis content parce qu'on peut rivaliser avec eux. (Sur les parades de Thibaut Courtois) Il a un avenir énorme, il peut continuer à progresser. Il s'est beaucoup amélioré ces dernières années, je suis content pour lui et pour son avenir. (Sur le match retour mercredi prochain) Je l'imagine extrêmement dur, face à un adversaire qui a un talent énorme. Nous devons reprendre des forces dans les jours à venir. Ce sera un match passionnant. (Sur la performance générale de l'Atlético) Voilà ce qu'est l'Atlético Madrid, du coeur, du travail, ne jamais céder. Nous ne renonçons pas à notre style et notre histoire.»

Xavi: «Pas un bon résultat»
Les joueurs du Barça avaient des regrets après le match nul face à l'Atlético mardi soir au Camp Nou (1-1). «Je crois que nous méritions plus et nous avons peut-être eu plus d'occasions», a analysé Xavi, le capitaine.

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Xavi et ses coéquipiers étaient déçus en fin de match. (L'Equipe)




Xavi, milieu de terrain et capitaine du FC Barcelone, au micro de la télévision publique espagnole TVE: «C'était ce à quoi nous nous attendions. L'Atlético met une intensité très forte dans ses matches. C'est très dommage pour leur but, leur magnifique but. Je crois que nous méritions plus et nous avons peut-être eu plus d'occasions mais ils ont également fait un bon match. Nous avons eu du mal à avoir des opportunités. (Sur le match retour) Il va falloir essayer de marquer là-bas mais ce n'est pas un bon résultat pour nous. Nous essaierons de gagner et de mettre des buts

Robben : «Ce fut un bon match»
Les joueurs du Bayern Munich sont frustrés de ne pas avoir fait la différence au match aller face à Manchester United, mardi (1-1), mais estiment que le résultat leur est malgré tout favorable.

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Le Bayern de Robben a fait match nul (1-1) à Old Trafford mardi soir. (L'Equipe)




Arjen Robben, attaquant du Bayern Munich : «Ce fut un bon match. Notre adversaire a joué de manière très défensive. Il ne faisait que nous attendre pour nous contrer. Le résultat est bon mais nous allons devoir terminer le travail dans une semaine».



Jerome Boateng, défenseur du Bayern Munich, au micro de beIN Sports : «C'est un résultat qui nous semble juste. On a eu le ballon la plupart du temps, 70% du temps je crois, mais on n'a pas réussi à se créer suffisamment d'opportunités. Sur le corner on a mal défendu. Ensuite ils ont joué en contre, et on n'a pas réussi à faire mieux. On n'est pas surpris par Manchester United, on savait que c'était une équipe agressive qui allait jouer en contre-attaques. Le problème, c'est qu'on n'a pas réussi à se créer suffisamment d'opportunités ce soir.»





Toni Kroos, milieu de terrain du Bayern Munich : «On a dominé tout le match mais c'était compliqué et United a tout donné contre nous. Ils ont défendu à dix et ont été dangereux en contre-attaque. On a tout fait pour faire des passes et trouver des espaces. A la fin, on a vraiment mérité d'égaliser et le résultat finalement n'est pas mauvais pour nous. Tout reste envisageable lors du match retour».

Ligue des Champions. Eto'o forfait contre le PSG
Publié le 01/04/2014 à 14:46, Mis à jour le 01/04/2014 à 14:49


Samuel Eto'o ne sera pas du déplacement à Paris.


Samuel Eto'o est forfait pour le match aller des quarts de finale de la Ligue des Champions qui opposera le Paris Saint-Germain au Chelsea FC mercredi, a annoncé ce mardi le club londonnien.

Touché au ishio-jambier, le buteur camerounais de 33 ans n'a pas pris l'avion avec le groupe de 19 joueurs à destination de la capitale française. Samuel Eto'o, auteur de trois buts en C1 cette saison, a été touché il y a une dizaine de jours lors de la réception d'Arsenal (6-0) à Stamford Bridge.

En son absence, l'Espagnol Fernando Torres, qui a également marqué trois buts en Ligue des Champions cette saison, tient la corde pour le poste d'avant-centre. Blessé au genou, le latéral gauche Ashley Cole sera également absent. Les autres absents de marque du côté des Blues sont le milieu Nemanja Matic et l'ailier Mohamed Salah, non qualifiés.