SCHEMA TACTIC !!!!!

LA COMPLICITÉ
Rémy: "Mathieu a intérêt à me faire marquer!"



ET DIRE QU ON VOULAIT LES METTRE EN CONCURRENCE ILS SONT ..TELLEMENT DIFFERENTS

Leur bilan est impressionnant, leur entente
chaleureuse. Avec 9 buts inscrits en Ligue1,
Loïc Rémy talonne le Montpelliérain
Olivier Giroud au classement des buteurs et
ses 14 unités. Mathieu Valbuena, lui, maintient
la cadence et demeure le meilleur passeur
du championnat grâce à ses 10 offrandes
depuis le début de saison, dont la moitié
à destination de l’ancien Niçois.
Dans le sillage d’un collectif marseillais
huilé à souhait, les deux compères s’en sont
encore donnés à coeur joie (deux buts pour
le premier, un caviar pour le second), dimanche
soir, face aux valeureux lillois.
"Ce n'est pas une soirée parfaite, mais elle
est réussie, commentait d’ailleurs
l’attaquant international, auteur de son
sixième but de la tête en L1 cette saison, à
l’issue de la rencontre. Je suis très content
d'avoir mis un doublé. On a mis la manière,
même si on pouvait se mettre à l'abri en première
période. On est très content, l'état
d'esprit est très bon. Je m'en voulais à la
pause car j'avais mal négocié le bon exter’
du droit de Mathieu. Mais il y a eu un soulagement
dès l'ouverture du score. On est sur
une très bonne dynamique en ce début
d’année 2012."
Une dynamique positive dans laquelle la
paire Rémy-Valbuena prend toute sa part.
Complices sur le terrain et copains comme
cochons dans la vie, les deux hommes partagent
certaines passions communes. Cette
proximité non feinte et parfaitement assumée
explique en partie l’osmose qui unit les
deux larrons, celle qui donne l’impression
qu’ils n’ont besoin ni de se regarder ni de se
parler pour se trouver sur le terrain.
Comment décrypter leur insolente réussite?
Quel est leur secret si bien gardé? Rémy
rigole, puis lâche tout sourire : "Je dis juste
àMathieu avant chaque rencontre qu'il a intérêt
à me faire marquer! Il y a toujours de
la joie quand l'un ou l'autre marque. L'entente
est là, on se trouve très bien. Sur certaines
actions, on a même l'impression
d'être que tous les deux... ", dévoile-t-il,
avant de tempérer : "Mais il n'y a pas que
nous, c'est avant tout le collectif qui marche
bien."

20/01/2012 - 10:51
OM-Morel: "On est plus collectif"
Vainqueur de Lille dimanche soir en Ligue 1 (2-0), l'OM a engrangé sa huitième victoire lors de ses neuf dernières sorties toutes compétitions confondues. Derniers en septembre, les Phocéens sont désormais à deux points du podium. Un renouveau que Jérémy Morel explique par un changement d'attitude sur les prés. "Si ça va mieux, c’est surtout lié à l’état d’esprit, a confié le latéral gauche très offensif sur le site officiel des Ciel et Blanc. On est plus collectif et on joue davantage les uns pour les autres et ça se ressent sur le terrain. Mais, dans le foot ça reste fragile, dès qu’on fera moins d’efforts les uns pour les autres, on pourrait vite retomber dans nos travers. On sait que ça ne tient à pas grand-chose. Actuellement, on ne pense pas forcément à la première ou la deuxième place. On veut surtout continuer dans la même direction et on ne sera alors pas loin de nos objectifs. Si tout le monde y met du sien, je ne me fais pas de soucis."

BIEN VU LA BOMBE AU PARC

L'OM battra-t-il Lyon demain soir au Stade Vélodrome?

Voter
OUI 49% Oui
NON 48% Non
NSP 3% NSP

26 839 votes

On se dirige plutôt vers un match nul... si l'on en croit vos votes. Difficile en effet de se prononcer. L'OM reste sur une série de huit victoires consécutives et compte bien poursuivre cette belle série. Mais les absences deviennent de plus en plus difficiles à gérer pour Didier Deschamps. Aux joueurs partis à la CAN, s'ajoutent les blessés mais aussi la suspension de Valbuena et le départ de Lucho. En attaque notamment, DD va faire avec les moyens du bord. Sera-ce suffisant pour dominer l'OL? Pas sûr. Et puis la météo va sûrement s'en mêler. Le froid glacial pourrait bien geler toutes les ardeurs

Une équipe finalement plus
habile dans le renversement
que dans la gestion




Cene sera pas pour cette fois. Le podium
auquel il était possible
d’accéder pour la première fois
cette saison, en profitant du report du
match de Lille à Sochaux, reste encore
un poil trop haut pour l’OMqui devait
gagner pour y grimper et ne l’a pas fait,
après y avoir cru très très fort pendant
une dizaine de minutes.
L’occasion est ratée mais elle se représentera
si l’OM continue dans cette
voie, celle qu’il s’est tracée depuis plus
de deux mois, après les victoires sur le
PSG et Dortmund, véritables déclics
dans une saison où l’OMcourt toujours
après les points perdus en été. Un peu
comme il sait courir avec succès après
le score lorsqu’il est mené. Or, hier,
c’est l’équipe olympienne qui a mené.
2-0 après 34 minutes, avec la sensation
qu’il était possible d’enfoncer un peu
plus le rival lyonnais, tant les joueurs de
Didier Deschamps semblaient avoir atteint
un petit nuage dans le jeu.
On a vu des choses inhabituelles. Morel
enchaîner louche et petit pont, Kaboré
râteau, puis louche amenant le premier
but, Cheyrou marquer un but de
pur avant-centre, à la Onnis, du droit, à
l’affût, Diarra réussir une superbe demi-
volée du gauche.
Mais malheureusement, on a vu aussi
un OM se déconcentrer à 2-0, en laissant
Gomis tout seul sur un corner joué
en deux temps ou en détournant, en la
personne de Diawara, un centre de
Briand dans son propre but. Juste avant
la pause; ce moment clef où l’OM avait
marqué à Dortmund et à Rennes et qui
modifie la donne psychologiquement,
au moment du retour aux vestiaires.
Au vrai, le nul n’est pas illogique et
c’est l’ouverture du score par Cheyrou,
après un service de Kaboré qui avait
donné des ailes à un OM, jusque-là dominé.
Après, pourtant, le deuxième but, signé
Brandao, du pied droit, de volée,
après une action de toute beauté et un
centre intelligent d’Amalfitano, avait
mis l’OM sur orbite. Trop tôt peut-être
pour une équipe finalement plus habile
dans le renversement que dans la gestion.
La deuxième période, moins prolifique,
moins intense, moins intéressante,
fut cependant tout aussi serrée, crispante,
car si le nul n’arrange personne,
si la victoire était également synonyme
de podium pour les deux équipes, la défaite
était tout aussi redoutée.
Alors, les deux Olympiques sont devenus
plus crispés, moins fluides. Les occasions
ont été égales, avec un tir de
Diarra, un autre deRémy, tous deux déviés
par Lloris, puis de Diawara trop enlevé,
contre une frappe de Gomis dans
le petit filet, mais surtout une reprise de
Lisandro voyant Mandanda sauver un
point qui seramieux que rien.
Dans l’absolu, ce nul à domicile marque
un coup d’arrêt dans la série de
huit victoires consécutives pour l’OM,
tout en poursuivant celle de douze,
maintenant treize matches sans défaite.
C’est un coup de frein, mais dans
l’état où était l’effectif, on aura dumal à
le reprocher à l’OM

LE LIEU EN QUESTION
Bourg-Péronnas s’apprêteàproposer Valence

La Fédération Française de Football ne
compte pas passer l’hiver ni le printemps sur
les huitièmes de finale de la coupe de France.
Hier, aussitôt la nouvelle programmation arrêtée,
à savoir le mercredi 15 février à 17h, première
date disponible dans le calendrier,
l’instance a mis une condition au maintien de
la rencontre à Saint-Étienne: si le vendredi 10,
la pelouse du stade Geoffroy-Guichard n’est
pas praticable, la rencontre sera inversée
pour être jouée au stade Vélodrome.
"La FFF prépare un joli cadeau à l’OM. C’est
un peu cavalier puisque la décision a été prise
sans nous consulter, regrette Gilles Garnier, le
président du FCBP. Je voudrais qu’on
m’explique comment on peut savoir le vendredi
si un terrain sera dégelé le mercredi."
L’histoire devient amusante à cet instant. Car
si l’OM a insisté lourdement pour obtenir
l’inversion cette semaine, notamment pour
éviter de jouer le mercredi 15, soit une semaine
avant le match contre l’Inter, il n’est pas
certain qu’une telle perspective l’intéresse la
semaine prochaine! Le froid finit par donner
mal à la tête !
Pourquoi? Cela l’obligerait à disputer trois
rencontres d’affilée à Marseille (Bourg-Péronnas
le 15, Valenciennes le 18, et l’Inter le 22).
De nombreux problèmes apparaissent dès
lors pour l’organisation de rendez-vous aussi
rapprochés, d’autant que le huitième de finale
contre Bourg-Péronnas pourrait lui coûter
plus d’argent qu’il ne lui en rapporterait !
Les dirigeants de Bourg-Péronnas ont pris
note. Mais ils n’en resteront pas là. Dès hier
matin, ils réfléchissaient déjà à un terrain de
repli, comme l’autorise le règlement. Un instant
envisagé, le Parc des Sports du Bram à
Louhans a pour principal handicap d’être soumis
aux mêmes conditions météorologiques
que Saint-Étienne. Bourg-Péronnas devrait
proposer aujourd’hui une ville plus au sud
comme alternative: Valence.
D’une capacité de 14380places assises, le
stade Georges-Pompidou est une infrastructure
sûre, dans laquelle l’OM a disputé de nombreux
matches amicaux ces dernières années.
La Préfecture de la Drôme reste, pour les habitants
de l’Ain, facile d’accès par l’autoroute.
Cette solution permet encore aux Burgiens de
rester organisateurs et d’éviter à leurs supporters
de descendre àMarseille. Seul hic: reconsidérer
la billetterie

DU CÔTÉ DE L’OM
L’embarras du choix

À une semaine du huitième de finale aller de la Ligue des champions
contre l’Inter Milan, on aurait pu penser que Didier Deschamps
profiterait de ce mercredi pour procéder à un roulement plus important.
Pas sûr. Le report du match de samedi à Annecy modifie sensiblement
la donne. L’équipe n’a plus joué depuis dix jours. Laisser
certains profils sans compétition jusqu’à samedi s’avérerait risqué
quand on connaît l’importance du rendez-vous contre Valenciennes.
Suspendu contre Lyon, Valbuena devrait débuter, au risque de rester
trois semaines sans match officiel. Rentré de la Coupe d’Afrique
des Nations, Jordan Ayew offre une solution supplémentaire,
d’autant qu’il a été peu utilisé par le sélectionneur du Ghana.
À 19ans, il a les moyens de digérer les changements climatiques. Cela
permettrait de faire souffler Rémy, très souvent utilisé et Amalfitano,
dont l’apport sera essentiel lors des deux prochains rendez-vous.
André Ayew a été laissé au repos. En défense, les solutions sont multiples.
Bref, Deschamps a l’embarras du choix. Cela ne lui était pas
arrivé depuis longtemps

Après le report, Bourg-Péronnas a goûté aux embouteillages
marseillais et découvert le stade Le Cesne, hier

LE POINT TACTIQUE AVEC L’ABSENCE DE LOÏC RÉMY
Les diverses solutions sans lui

Brandao pourrait être
titulaire contre VA.

Il est en train de rééditer le
rendement qui avait été le sien,
lors de ses tout premiers mois à
l’OM, au printemps 2009. Arrivé
durant le mercato d’hiver en
provenance du Shaktar Donetsk,
Brandao avait, alors, inscrit7buts
entre la 26e et 37e journée
de championnat, enchaînant
notamment 4 réalisations
en 4 matches (de la 29e à la
32e journée).
En six rencontres, le Brésilien
vient de marquer à cinq reprises,
retrouvant une efficacité
qui l’avait fui lors d’un exercice
2010-2011 (1 seul but en Ligue1
en 19 matches !) achevé prématurément
sur une mise en examen
pour viol présumé. Prêté
tour à tour à Cruzeiro et au Grémio,
Brandao n’est pas revenu
àMarseille pour faire de la figuration
même s’il convient, aussi,
d’atténuer la portée de sa
réussite, compte tenu de
l’adversité ces temps-ci. Hormis
celui insc r it devant
Lyon (2-2), il a signé des buts
contre Le Havre (3-1 a.p.), Nice
(2-1) et un doublé mercredi face
aux amateurs de Bourg-Péronnas
(3-1). Ses prochaines apparitions
devant Valenciennes
(11e de Ligue 1) demain et surtout
mercredi contre l’Inter Milan
en diront vraiment davantage
sur le niveau actuel de Brandao
qui avant de marquer face
àNice, rappelons-le,avaitmanqué
tout ce qui pouvait l’être, à
commencer par un simple
contrôle d’apprenti footballeur.
L’indisponibilité de Rémy, en
tout cas, le place davantage encore
en première ligne. Mais
avec le retour des frères Ayew
cette semaine, Didier Deschamps
dispose d’autres cartouches
pour mettre le feu aux
défenses adverses. Avec Brandao
ou sans lui. Passons en revue
les principales options
;;;;;;;;;;;;;J. AYEW

VALBUENA.....................AMALFITANO


;;;;;;;;;;;;J. AYEW

A AYEW ....................VALBUENA



....................BRANDAO

A. AYEW.......................VALBUENA

L'OM a-t-il les moyens de battre l'Inter Milan ? Publié le lundi 20 février 2012 à 14H07


L'OM reçoit l'Inter Milan, ce mercredi au stade Vélodrome (20h45), à l'occasion du 8e de finale aller de la Ligue des champions. on vous propose de vous exprimer sur les chances olympiennes face au vice-champion d'Italie.


lundi 20 février 2012
L'OM a-t-il les moyens de battre l'Inter Milan ? Oui Non Ne se prononce pas
L'OM a-t-il les moyens de battre l'Inter Milan ?
84%Oui
14%Non
2%Ne se prononce pas

Deschamps : «Comme un poisson dans l'eau»
Le 21/02/2012 | Mis à jour le 21/02/2012 09:22:06


Didier Deschamps garde d'excellents souvenirs de son passage à la Juve, et plus largement en Italie.

A la veille du choc contre l'Inter Milan au Vélodrome, Didier Deschamps évoque dans L'Equipe ses années italiennes, et sa vision de l'adversaire... pas si mal en point que ça, selon lui.

Il y a passé six ans et depuis, Didier Deschamps aime « à l'italienne ». Cinq saisons comme joueur (1994-1999) et une comme entraîneur (2006-2007) à la Juventus ont fait de l'entraîneur de Marseille, qui affronte l'Inter Milan mercredi soir (20h45), un amoureux du pays. « J'ai touché du doigt la culture de la gagne, l'exigence, le professionnalisme, une grande organisation, explique DD dans un entretien paru ce mardi dans notre quotidien. Et je me sentais comme un poisson dans l'eau.» Il considère d'ailleurs son départ pour l'Italie, en 1994, comme une évidence : « J'avais le sourire. J'attendais ça. je n'oculte pas Nantes, qui m'a fourni les bases nécessaires à mon parcours, ni Marseille, une bonne préparation en termes d'exigence et de médiatisation. Mais en Italie, je me suis retrouvé dans un environnement qui me convenait parfaitement.»

«Ils ne vont pas tout gommer en quatre ou cinq jours mais vous verrez, collectivement, ils seront mieux.»
Vendredi, il a assisté à la défaite contre Bologne (0-3) à San Siro, y a vu « une équipe qui n'est pas bien, comme lors de ses matches précédents que j'avais vus à la télévision. Il y a eu des erreurs individuelles défensives. » Mais le coach olympien refuse de minimiser l'ampleur de la tâche qui attend ses hommes mercredi : « Sur les onze titulaires de la finale gagnée en 2010 contre le Bayern (2-0), seuls Pandev et Eto'o sont partis. Quand on ajoute Forlan, Pazzini, Alvarez, Zarate, ça reste une grande équipe, même si l'Inter a perdu Thiago Motta, un joueur important dans l'équilibre de son milieu. » Bref, « il faut que les joueurs aient confiance », mais gare à l'excès : « Je suis convaincu qu'on ne va pas voir l'Inter des quatre derniers matches de Serie A. Ils ne vont pas tout gommer en quatre ou cinq jours mais vous verrez, collectivement, ils seront mieux. La Ligue des champions peut apporter la concentration et la détermination qui leur a manqué. » -
Je ne suis pas là pour vous empêcher de rêver»,

Marseille gagne à l'italienne


La joie des Marseillais après le but d'André Ayew. (

Vainqueur de l'Inter mercredi soir en huitièmes de finale aller de la Ligue des champions au terme d'un triste match (1-0), Marseille a pris une option sur les quarts de finale de la C1.

Le souhait de Didier Deschamps, c'était « de prendre l'avantage » dès l'aller dans la double confrontation contre l'Inter. « Contre Manchester United, l'année dernière à ce même stade de la compétition, on avait été très efficaces défensivement mais il ne faut pas uniquement ça », expliquait l'entraîneur d'un OM qui avait ensuite été sorti par le futur finaliste de l'épreuve. Le voeu de DD a été exaucé : malgré seulement quatre frappes cadrées dans la rencontre, Marseille a gagné 1-0 grâce à un André Ayew auteur d'une fin de match incroyable. Son passage dans l'axe après la sortie de Brandao à la 73e a libéré l'OM. Le Ghanéen, énervant d'individualisme samedi contre Valenciennes (1-1), aurait pu marquer deux fois de la tête (79e, 89e). C'est sur l'une de ses frappes que Julio César a concédé le corner décisif. Et à la 93e, il a fait chavirer le Vélodrome.

Soporifique, marquée par un déchet technique ahurissant à ce niveau de la compétition, cette rencontre aurait aussi pu basculer du côté italien.
L'Inter, qui joue pour la huitième année d'affilée un huitième de C1, n'aura pourtant pas été mise en danger très souvent. Préféré à Jordan Ayew en pointe pour remplacer un Loïc Rémy dont l'absence se fait cruellement sentir, Brandao a eu peu de ballons à négocier. Et, lorsqu'il en a eu, le Brésilien a manqué ses prises de balle. Face à lui, la paire Lucio-Samuel a longtemps bu du petit lait. Incapable de se projeter rapidement vers l'avant, l'OM a mis une éternité à faire fructifier sa possession de balle et sa très bonne entame de match. Soporifique, marquée par un déchet technique ahurissant à ce niveau de la compétition, cette rencontre aurait aussi pu basculer du côté italien. Forlan, dès la 11e, a été tout proche d'ouvrir le score suite à un centre parfait de Cambiasso. Mais Mandanda a été vigilant tout comme face à Stankovic (74e). S'appuyant sur un excellent N'Koulou, l'OM a donc eu le bon goût de ne pas encaisser de but à domicile et de porter sa série à seize matches sans défaite. A Giuseppe Meazza, Rémy sera normalement présent dans les rangs olympiens. Combiné à la suspension de Chivu, cela va apporter plus de confiance aux hommes de Didier Deschamps. «Les Marseillais sont de retour», clamait une banderole dans le virage nord avant la rencontre. A l'OM de le confirmer le 13 mars prochain.

Lajusterécompense

Collectivement insuffisant"
DIDIER DESCHAMPS Pour l’entraîneur olympien,
la fatigue de ses joueurs est évidente,
mais elle n’est pas seule en cause

Une noyade collective
LE JEU ET LES JOUEURS Hormis Nkoulou, les Olympiens ont rapidement sombré sans jamais relever la tête

Une équipe coupée en deux.
Hier soir, les Olympiens
n’ont jamais été en mesure
de faire bloc face à de solides
Haut-Savoyards qui n’en demandaient
pas tant. La relation entre les
joueurs à vocation défensive et
leurs attaquants a été quasi inexistante.
En perdant ainsi la bataille
du milieu dès le début du match, il
était difficile de faire mieux...

Loïc Rémy L'attaquant international devrait évoluer avec Morgan Amalfitano et Brandao aux avant-postes.
Au milieu, l'incertitude demeure entre Alou Diarra et Stéphane Mbia, également de retour après un souci aux quadriceps.

Les équipes probables :

Ajaccio :
Ochoa - F. Diawara ou Lippini, Medjani, Poulard, Bouhours - Pierazzi (cap.), Mostefa - André, Cavalli, Tibéri - Eduardo.
Marseille : Mandanda (cap.) - Azpilicueta, S. Diawara, Nkoulou, Morel - Kaboré, A. Diarra ou Mbia, Be. Cheyrou - Amalfitano, Rémy, Brandao.

Inter-OM : "Rémy, ce n'est pas Brandao" (Ranieri)28 contributions Publié le lundi 12 mars 2012 à 13H36



Souriant et détendu, Claudio Ranieri s'est présenté face à la presse, ce lundi, au centre d'entraînement Appiano Gentile. Interrogé sur le retour de Loic Rémy dans l'effectif de l'OM, avant le 8e de finale retour contre l'Inter Milan, le technicien transalpin n'a pas caché que la donne était différente avec l'international tricolore. "Bien sûr que ça change les choses. Rémy, c'est différent de Brandao, non ?, a-t-il lâché sourire en coin. Ce n'est pas le même style de joueur. Mais on a deux défenseurs très forts, les meilleurs du monde, donc on fera de notre mieux pour l'arrêter. Ceci dit, Brandao et Rémy peuvent très bien jouer ensemble demain."