SCHEMA TACTIC !!!!!
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Marseille/Monaco J-1 Baup surpris par une ASM « déjà en place »
En conférence de presse avant la rencontre entre Marseille et Monaco, Elie Baup n'a pas hésité à parler de « vraie confrontation de Ligue des Champions. C’est un gros test ». L'entraîneur olympien estime que son équipe « devra être très forte dans le combat ».
En ligne de mire, Radamel Falcao notamment, dont Souleymane Diawara ne sera pas le seul en charge. « C’est toute la ligne défensive qui doit le contrôler, tout le temps savoir où il se trouve. Après, sur un plan général, l'ASM a rarement eu un tel effectif. Monaco est devenu une équipe supersonique ! Mais nous aussi on a ici de l’artillerie et on va essayer de soutenir au moins la comparaison. »
Outre le potentiel de l'équipe monégasque, c'est le niveau de performance sur les premiers matchs qui a marqué Baup : « Ce qui me surprend c'est qu'elle est déjà en place, alors qu’on avait dit qu’elle mettrait du temps à trouver des automatismes, des complémentarités, un style. Or elle n’est pas du tout hésitante. »
Le coach marseillais décrit une équipe complète : « Elle a déjà une animation forte dans les couloirs où les combinaisons sont déjà trouvées, efficaces, rapides. A l’intérieur du jeu, aussi, l'équipe possède de l’assurance avec des joueurs très expérimentés, comme les Français Abidal ou Toulalan. Elle a vraiment son style, prête déjà à faire les gros matches. »
Le milieu de terrain Mathieu Valbuena s'est lui aussi livré par rapport à cette rencontre : « Ils ont consenti de gros investissements pour être performants. Ce sera à nous d’être à la hauteur. Cela ne veut pas dire que toute la saison se jouera sur ce match, mais ce sera une première occasion de se jauger face à ces équipes-là. »
En conférence de presse avant la rencontre entre Marseille et Monaco, Elie Baup n'a pas hésité à parler de « vraie confrontation de Ligue des Champions. C’est un gros test ». L'entraîneur olympien estime que son équipe « devra être très forte dans le combat ».
En ligne de mire, Radamel Falcao notamment, dont Souleymane Diawara ne sera pas le seul en charge. « C’est toute la ligne défensive qui doit le contrôler, tout le temps savoir où il se trouve. Après, sur un plan général, l'ASM a rarement eu un tel effectif. Monaco est devenu une équipe supersonique ! Mais nous aussi on a ici de l’artillerie et on va essayer de soutenir au moins la comparaison. »
Outre le potentiel de l'équipe monégasque, c'est le niveau de performance sur les premiers matchs qui a marqué Baup : « Ce qui me surprend c'est qu'elle est déjà en place, alors qu’on avait dit qu’elle mettrait du temps à trouver des automatismes, des complémentarités, un style. Or elle n’est pas du tout hésitante. »
Le coach marseillais décrit une équipe complète : « Elle a déjà une animation forte dans les couloirs où les combinaisons sont déjà trouvées, efficaces, rapides. A l’intérieur du jeu, aussi, l'équipe possède de l’assurance avec des joueurs très expérimentés, comme les Français Abidal ou Toulalan. Elle a vraiment son style, prête déjà à faire les gros matches. »
Le milieu de terrain Mathieu Valbuena s'est lui aussi livré par rapport à cette rencontre : « Ils ont consenti de gros investissements pour être performants. Ce sera à nous d’être à la hauteur. Cela ne veut pas dire que toute la saison se jouera sur ce match, mais ce sera une première occasion de se jauger face à ces équipes-là. »
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
OM-Monaco 31/08/13 15:04
Falcao au coeur de toutes les attentions
Lors du point presse tenu hier, l’attaquant colombien Falcao était au cœur de toutes les questions des journalistes. Nicolas N’Koulou pour sa part a tenu à rappeler que le danger adverse ne se limitait pas à "El Tigre" : "Il ne joue pas tout seul. Ça reste un très grand joueur. Je ne me focalise pas sur lui. Il y aura du répondant en face. Le plus important est de faire le meilleur match possible, de ne pas prendre de but. Souley et moi aviserons selon les occasions qui se présenteront. A nous de répondre présent".
Elie Baup s’est montré à l’unisson de son défenseur, réaffirmant sa confiance en son jeu et ses joueurs : "Il ne faut pas résumer ce match à la confrontation entre Falcao et Souley. Ça fait partie d’un des duels de ce match. Il faudra être fort dans les combats comme dans tous les matches de haut niveau. Falcao fait partie des plus grands attaquants d’Europe. Il est dans les meilleurs. On ne peut pas faire un classement, mais c’est le très haut niveau. Ce qu’il y a de mieux à ce poste-là".
Falcao au coeur de toutes les attentions
Lors du point presse tenu hier, l’attaquant colombien Falcao était au cœur de toutes les questions des journalistes. Nicolas N’Koulou pour sa part a tenu à rappeler que le danger adverse ne se limitait pas à "El Tigre" : "Il ne joue pas tout seul. Ça reste un très grand joueur. Je ne me focalise pas sur lui. Il y aura du répondant en face. Le plus important est de faire le meilleur match possible, de ne pas prendre de but. Souley et moi aviserons selon les occasions qui se présenteront. A nous de répondre présent".
Elie Baup s’est montré à l’unisson de son défenseur, réaffirmant sa confiance en son jeu et ses joueurs : "Il ne faut pas résumer ce match à la confrontation entre Falcao et Souley. Ça fait partie d’un des duels de ce match. Il faudra être fort dans les combats comme dans tous les matches de haut niveau. Falcao fait partie des plus grands attaquants d’Europe. Il est dans les meilleurs. On ne peut pas faire un classement, mais c’est le très haut niveau. Ce qu’il y a de mieux à ce poste-là".
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
OM 1-1 Istres 05/09/13 15:04
Baup : "Un nombre d'occasions incroyable"
Elie Baup : "Un nombre d'occasions incroyable" par olympiquedemarseille
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
L'entraînement du jour s'est terminé par une opposition sur un demi-terrain. Deux équipes de huit joueurs se sont affrontées. Laurent Spinosi et Christophe Manouvrier ont eu la lourde tâche de jouer le rôle des arbitres de touche pour signaler les hors-jeu.
Au cours de cette opposition, Laurent Abergel et Benjamin Mendy, évoluant tous deux dans la même équipe se sont particulièrement illustrés.
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
ccueil
[*]Saison
[*]Actualités
[*]Article
Travail devant le but
11/09/13 - Entraînement
[*]
Après l’échauffement, les joueurs d’Elie Baup ont travaillé les enchaînements devant le but. Trois équipes devaient mener des actions à leur terme, à tour de rôle. Franck Passi donnait le ballon aux défenseurs qui devaient ensuite orienter le jeu vers les milieux. Ces derniers servaient ensuite les attaquants pour finir l’action par une frappe. L’occasion pour les supporters présents d’admirer quelques jolis mouvements.
A.C.
Photos : A.C.
[*]Saison
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Travail devant le but
11/09/13 - Entraînement
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Après l’échauffement, les joueurs d’Elie Baup ont travaillé les enchaînements devant le but. Trois équipes devaient mener des actions à leur terme, à tour de rôle. Franck Passi donnait le ballon aux défenseurs qui devaient ensuite orienter le jeu vers les milieux. Ces derniers servaient ensuite les attaquants pour finir l’action par une frappe. L’occasion pour les supporters présents d’admirer quelques jolis mouvements.
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Faire la loi au milieu, museler Gignac
Publié le 14/09/2013 à 03:48
Faire la loi au milieu, museler Gignac
Intensité et engagement, réussite défensive comme offensive : Pantxi Sirieix, 10e saison au club est-il utile de rappeler, annonce la couleur. Ou plutôt le cocktail dont les siens doivent s’abreuver sans modération aucune s’ils veulent faire boire aux Phocéens le calice jusqu’à la lie. «On a conscience de nos faiblesses, et l’on sait ce qui nous attend.»
Dans le combat, en premier lieu, lapalissade. «Attention, met toutefois en garde Sirieix en se référant à l’affiche de décembre 2012 (2 cartons rouges côté téféciste/ cf. page suivante), à ne pas dépasser les limites. Canalisons-nous, quoi. »
Pour provoquer la chance, derrière ainsi que devant, suivez le guide - en 2 temps 3 mouvements… car il s’agit de régner sur l’entrejeu et de dompter «Dédé».
bloquer leurs «6»
Depuis qu’il est arrivé au marché hivernal, le Lorientais s’est installé devant la défense. Délogeant au passage celui qui tenait la baraque depuis des lustres : Benoît Cheyrou. On parle d’Alaixys Romao, formé à… Toulouse (centre de 2001 à 2004). étonné, le Togolais ? Pas franchement. «L’OM me voulait, ça veut dire quelque chose… Moi je continue mon bonhomme de chemin. J’essaie d’être régulier dans la performance : c’est le secret. Je sais mes qualités. Une machine ? Le qualificatif me fait rigoler ; sinon je ne suis pas souvent blessé, je ne peux le nier.
» Ah ! j’allais oublier : je suis heureux de rejouer au Stadium parce qu’il s’agit d’un événement. D’habitude, je suis suspendu. Sur les 6 possibilités que j’ai eues de le faire avec Lorient ou Grenoble, ce sera seulement la 2e fois que je pourrai être aligné.»
En attendant, son duo avec le jeune Giannelli Imbula détonne. «Même si, de temps en temps, on se disperse peut-être un peu trop…» Les empêcher de ratisser pour distribuer, telle est une des clés essentielles du match.
couper les ailes
Thauvin le gaucher à droite, Payet le droitier à gauche : on appelle ça jouer avec des faux-pieds. Pas toujours évident à cerner pour une défense en zone. Casanova en convient : «Il est préférable d’avoir affaire à
un joueur qui reste dans sa zone puisque tu peux limiter son champ d’action. Là, dans cette équipe de Marseille, avec Valbuena itou, il y a pléthore d’électrons libres…»
isoler la pointe
André-Pierre Gignac, c’est son pote Sirieix qui en parle le mieux. «On le connaît trop bien. C’est un attaquant super-physique, qui aime bien raffuter, user de son corps. Non, je ne l’ai pas appelé. J’attends le coup de sifflet final pour le chambrer.»
Publié le 14/09/2013 à 03:48
Faire la loi au milieu, museler Gignac
Intensité et engagement, réussite défensive comme offensive : Pantxi Sirieix, 10e saison au club est-il utile de rappeler, annonce la couleur. Ou plutôt le cocktail dont les siens doivent s’abreuver sans modération aucune s’ils veulent faire boire aux Phocéens le calice jusqu’à la lie. «On a conscience de nos faiblesses, et l’on sait ce qui nous attend.»
Dans le combat, en premier lieu, lapalissade. «Attention, met toutefois en garde Sirieix en se référant à l’affiche de décembre 2012 (2 cartons rouges côté téféciste/ cf. page suivante), à ne pas dépasser les limites. Canalisons-nous, quoi. »
Pour provoquer la chance, derrière ainsi que devant, suivez le guide - en 2 temps 3 mouvements… car il s’agit de régner sur l’entrejeu et de dompter «Dédé».
bloquer leurs «6»
Depuis qu’il est arrivé au marché hivernal, le Lorientais s’est installé devant la défense. Délogeant au passage celui qui tenait la baraque depuis des lustres : Benoît Cheyrou. On parle d’Alaixys Romao, formé à… Toulouse (centre de 2001 à 2004). étonné, le Togolais ? Pas franchement. «L’OM me voulait, ça veut dire quelque chose… Moi je continue mon bonhomme de chemin. J’essaie d’être régulier dans la performance : c’est le secret. Je sais mes qualités. Une machine ? Le qualificatif me fait rigoler ; sinon je ne suis pas souvent blessé, je ne peux le nier.
» Ah ! j’allais oublier : je suis heureux de rejouer au Stadium parce qu’il s’agit d’un événement. D’habitude, je suis suspendu. Sur les 6 possibilités que j’ai eues de le faire avec Lorient ou Grenoble, ce sera seulement la 2e fois que je pourrai être aligné.»
En attendant, son duo avec le jeune Giannelli Imbula détonne. «Même si, de temps en temps, on se disperse peut-être un peu trop…» Les empêcher de ratisser pour distribuer, telle est une des clés essentielles du match.
couper les ailes
Thauvin le gaucher à droite, Payet le droitier à gauche : on appelle ça jouer avec des faux-pieds. Pas toujours évident à cerner pour une défense en zone. Casanova en convient : «Il est préférable d’avoir affaire à
un joueur qui reste dans sa zone puisque tu peux limiter son champ d’action. Là, dans cette équipe de Marseille, avec Valbuena itou, il y a pléthore d’électrons libres…»
isoler la pointe
André-Pierre Gignac, c’est son pote Sirieix qui en parle le mieux. «On le connaît trop bien. C’est un attaquant super-physique, qui aime bien raffuter, user de son corps. Non, je ne l’ai pas appelé. J’attends le coup de sifflet final pour le chambrer.»
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
TFC - OM :
Les Phocéens, qui se présentaient avec leur 4-2-3-1, se procuraient de belles occasions, mais butaient sur la défense toulousaine, où Spajic était souvent pris en faute sur les ballons aériens. Sur l'un d'eux, Payet ratait l'immanquable. Dans la surface, après une remise de la tête du défenseur serbe, il tergiversait alors qu'Ahamada était à terre pour voir son ballon repoussé (36).
Valbuena, lui aussi, avait une balle de match, mais sa reprise immédiate après remise de Gignac était repoussé par le gardien toulousain (38).
,
Les Phocéens, qui se présentaient avec leur 4-2-3-1, se procuraient de belles occasions, mais butaient sur la défense toulousaine, où Spajic était souvent pris en faute sur les ballons aériens. Sur l'un d'eux, Payet ratait l'immanquable. Dans la surface, après une remise de la tête du défenseur serbe, il tergiversait alors qu'Ahamada était à terre pour voir son ballon repoussé (36).
Valbuena, lui aussi, avait une balle de match, mais sa reprise immédiate après remise de Gignac était repoussé par le gardien toulousain (38).
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Le calendrier s’accélère. LE PHOCEEN;FR
Avec
les débuts de la Ligue des Champions,
l’OM se plonge dans un
premier enchaînement de sept
matches en 22 jours, soit une
rencontre tous les trois jours.
Une série qui a commencé à
Toulouse et qui se terminera
avec la réception du PSG le dimanche
6 octobre, avec au milieu
des voyages à Bastia, Lorient
et Dortmund ainsi que la
réception de Saint-Étienne. Et
Arsenal, demain.Unpremier virage
significatif dans la saison
olympienne au cours duquel le
staff olympien va devoir gérer
au mieux l’effectif. Dès demain,
quatre postes sont ouverts à la
concurrence. État des lieux des
forces en présences.
Avec
les débuts de la Ligue des Champions,
l’OM se plonge dans un
premier enchaînement de sept
matches en 22 jours, soit une
rencontre tous les trois jours.
Une série qui a commencé à
Toulouse et qui se terminera
avec la réception du PSG le dimanche
6 octobre, avec au milieu
des voyages à Bastia, Lorient
et Dortmund ainsi que la
réception de Saint-Étienne. Et
Arsenal, demain.Unpremier virage
significatif dans la saison
olympienne au cours duquel le
staff olympien va devoir gérer
au mieux l’effectif. Dès demain,
quatre postes sont ouverts à la
concurrence. État des lieux des
forces en présences.
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
OM-Baup: "On nous a collé l'étiquette du quatrième du groupe"
Élie Baup s'est exprimé ce mardi à la veille de l'entrée en lice de l'Olympique de Marseille en Ligue des champions contre Arsenal. L'entraineur olympien appelle les siens à surprendre ses adversaires dans un groupe relevé où figurent Arsenal donc mais aussi le Borussia Dortmund et Naples. "On nous a collés l’étiquette du quatrième du groupe. On n’est évidemment pas l’équipe favorite mais c’est le football, le terrain qui juge et on veut montrer un visage pour surprendre, a-t-il expliqué en conférence de presse. On a envie de cela, de se surpasser et inverser les pronostics." L'ancien Toulousain a aussi évoqué le standing d'Arsenal. "C’est vrai que, quand on voit qu’ils achètent Özil 50 millions et que l'on connaît la qualité de ce joueur, on peut penser qu’on n’est pas dans le même monde. Mais on a fait un recrutement bon, jeune, intelligent, on est en train de bâtir un groupe pour le moyen terme. Ce genre de match est une source de progression pour les jeunes et doit servir à ça."
Élie Baup s'est exprimé ce mardi à la veille de l'entrée en lice de l'Olympique de Marseille en Ligue des champions contre Arsenal. L'entraineur olympien appelle les siens à surprendre ses adversaires dans un groupe relevé où figurent Arsenal donc mais aussi le Borussia Dortmund et Naples. "On nous a collés l’étiquette du quatrième du groupe. On n’est évidemment pas l’équipe favorite mais c’est le football, le terrain qui juge et on veut montrer un visage pour surprendre, a-t-il expliqué en conférence de presse. On a envie de cela, de se surpasser et inverser les pronostics." L'ancien Toulousain a aussi évoqué le standing d'Arsenal. "C’est vrai que, quand on voit qu’ils achètent Özil 50 millions et que l'on connaît la qualité de ce joueur, on peut penser qu’on n’est pas dans le même monde. Mais on a fait un recrutement bon, jeune, intelligent, on est en train de bâtir un groupe pour le moyen terme. Ce genre de match est une source de progression pour les jeunes et doit servir à ça."
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Pas assez physique ?
En Ligue des champions, la conquête de l'entrejeu est capitale. Restant sur trois échecs de suite en 8es de finale, Arsenal pourrait encore payer son manque d'impact dans ce secteur. A Marseille d'en ...
Pas assez physique ?
A l'OM, on sait ce qu'est l'impact au milieu du terrain. Mercredi face à Arsenal, Elie Baup pourrait aligner Imbula (1,86 m, 81 kg) aux côtés de Romao (1,80 m, 74 kg). Deux joueurs durs sur l'homme et à la puissance reconnue. Deux joueurs qui aimeraient bien faire basculer la première rencontre de Ligue des champions de la saison du côté de Marseille. En face, le club anglais ne bénéficie plus des qualités athlétiques et de la « hauteur » de Gilberto Silva, Vieira, Song ou de Diaby (toujours dans l'effectif mais constamment blessé).Il y a encore quelques jours, la récupération et le combat étaient le travail du petit Wilshere (1m70, 65 kg) et du fin Ramsey (1m82, 67 kg).
L'arrivée surprise du revenant Flamini (1m78, 67 kg) découle directement de ce manque d'impact dont souffre chroniquement l'effectif des Gunners. « Par ses qualités, il est capital pour l'équilibre de l'équipe, a avoué Arsène Wenger. Je ne vais pas dire, comme certains, que nous manquions de ce genre de joueur mais bon... » Impressionnant face à Sunderland (3-1), l'ancien Marseillais possède évidemment un profil intéressant pour une équipe mieux dotée techniquement que physiquement. L'arrivée de l'excellent Özil dans un groupe qui compte déjà Cazorla ou Arteta a un peu surpris quand les concurrents nationaux d'Arsenal possèdent Carrick, Fellaini (MU), Touré (City), Capoue, Chadli, Paulinho, Sandro (Tottenham), Essien, Mikel ou encore Lampard (Chelsea). Et ne parlons pas du Bayern, de Dortmund, du Barça ou du Real et de la Juventus qui possèdent tous un ou plusieurs joueurs grands et/ou puissants : J.Martinez, Kehl, Bender, Busquets ou encore Khedira et Pogba.
Cela dit, Elie Baup se méfie tout de même énormément d'Arsenal. « Flamini, qui connaît bien l'OM, est un joueur très expérimenté. La taille importe peu ! Ces joueurs ont une capacité à aller très vite vers l'avant, à trouver de la verticalité dès la récupération. Ils sauront exploiter chaque espace. Il faudra donc combler chaque trou entre nos lignes », a détaillé l'entraîneur marseillais. Le week-end dernier, sur le terrain de Sunderland (3-1), il a fait mal à ses adversaires directs mais c'est... Ramsey qui a été élu homme du match par la Premier League. Ce qui fonctionne en Championnat peut-il perdurer dans une Ligue des champions au niveau de plus en plus élevé ?
En Ligue des champions, la conquête de l'entrejeu est capitale. Restant sur trois échecs de suite en 8es de finale, Arsenal pourrait encore payer son manque d'impact dans ce secteur. A Marseille d'en ...
Pas assez physique ?
A l'OM, on sait ce qu'est l'impact au milieu du terrain. Mercredi face à Arsenal, Elie Baup pourrait aligner Imbula (1,86 m, 81 kg) aux côtés de Romao (1,80 m, 74 kg). Deux joueurs durs sur l'homme et à la puissance reconnue. Deux joueurs qui aimeraient bien faire basculer la première rencontre de Ligue des champions de la saison du côté de Marseille. En face, le club anglais ne bénéficie plus des qualités athlétiques et de la « hauteur » de Gilberto Silva, Vieira, Song ou de Diaby (toujours dans l'effectif mais constamment blessé).Il y a encore quelques jours, la récupération et le combat étaient le travail du petit Wilshere (1m70, 65 kg) et du fin Ramsey (1m82, 67 kg).
L'arrivée surprise du revenant Flamini (1m78, 67 kg) découle directement de ce manque d'impact dont souffre chroniquement l'effectif des Gunners. « Par ses qualités, il est capital pour l'équilibre de l'équipe, a avoué Arsène Wenger. Je ne vais pas dire, comme certains, que nous manquions de ce genre de joueur mais bon... » Impressionnant face à Sunderland (3-1), l'ancien Marseillais possède évidemment un profil intéressant pour une équipe mieux dotée techniquement que physiquement. L'arrivée de l'excellent Özil dans un groupe qui compte déjà Cazorla ou Arteta a un peu surpris quand les concurrents nationaux d'Arsenal possèdent Carrick, Fellaini (MU), Touré (City), Capoue, Chadli, Paulinho, Sandro (Tottenham), Essien, Mikel ou encore Lampard (Chelsea). Et ne parlons pas du Bayern, de Dortmund, du Barça ou du Real et de la Juventus qui possèdent tous un ou plusieurs joueurs grands et/ou puissants : J.Martinez, Kehl, Bender, Busquets ou encore Khedira et Pogba.
Cela dit, Elie Baup se méfie tout de même énormément d'Arsenal. « Flamini, qui connaît bien l'OM, est un joueur très expérimenté. La taille importe peu ! Ces joueurs ont une capacité à aller très vite vers l'avant, à trouver de la verticalité dès la récupération. Ils sauront exploiter chaque espace. Il faudra donc combler chaque trou entre nos lignes », a détaillé l'entraîneur marseillais. Le week-end dernier, sur le terrain de Sunderland (3-1), il a fait mal à ses adversaires directs mais c'est... Ramsey qui a été élu homme du match par la Premier League. Ce qui fonctionne en Championnat peut-il perdurer dans une Ligue des champions au niveau de plus en plus élevé ?
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Ligue des champions. L'OM prend une leçon d'anglais
Publié le 19/09/2013 à 08:00
1re journée de la phase de poules. Groupe F.
Mathieu Valbuena dépassé par l'ancien Madrilène Mesut özil. à l'arrivée, l'addition est salée pour des Marseillais un peu trop naïfs./ Photo AFP
L a tête des mauvais jours. Sur la pelouse du Sta- dium, samedi, l’ancien Lorientais avait eu le cuir chevelu heureux en dégageant sur sa ligne de but une reprise gagnante du Danois du TFC Martin Braithwaite. Hier, dans son jardin du Vél’, Jérémy Morel «queuta» son coup de crâne qui eut tôt fait de se transformer en passe décisive pour Theo Walcott - l’attaquant d’Arsenal qui n’en demandait pas tant, de fusiller Mandanda aux 6m50 sous la barre et sûr de sa force (0-1, 65e).
Avec les Anglais, c’est toujours la même rengaine : on croit les dominer, on les bouscule mê-me ; mais on ne marque pas et on finit par se faire rouler dans la farine. Car, jusqu’à ce coup du sort, Olympiens et Gunners avaient rivalisé, sans que l’une des deux formations ne prenne l’ascendant sur l’autre. Si ce n’est l’OM, allez, qui attaque comme un seul… homme. Symbolisé par une aile de pigeon aérienne, digne du roi Ibra, de Gignac dès la 83e seconde (2). Ou l’enveloppé de Valbuena, copier-coller de celui victorieux à Dortmund il y a 2 ans (3). La situation la plus dangereuse est à mettre au crédit de Payet qui centre au cordeau devant la cage de Szczesny (39). Alors qu’entretemps, les protégés de Wenger ont inquiété le portier phocéen d’une demi-volée vicieuse signée, déjà, le remuant Walcott (6). La suite on la connaît, donc. Et la soirée virera au cauchemar lorsqu’Aaron Ramsey s’incruste et trompe pour la 2e fois l’infortuné Steve Mandanda, le ballon étant au passage dévié par Nkoulou (0-2, 83e). Quelle poisse !
À l’image d’octobre 2011 où Arsenal était venu s’imposer 1-0 au Vélodrome sur une réalisation de… Ramsey.
Pour l'honneur
L’OM va avoir le mérite de jouer jusqu’au bout et être logiquement récompensé sur une percussion d’André Ayew dans la surface stoppée irrégulièrement par le buteur Ramsey (90+2). Penalty transformé sans sourciller par le frangin, Jordan (1-2, 90+3). Qui, sur le moment, exulte ou quasiment.
Pas de quoi sauter au plafond, pour autant : après ce premier revers à domicile, l’Olympique de Marseille, «bon» dernier, est déjà au dos mur avant d’aller défier le Borussia à Dortmund dans 15 jours. Aïe, aïe, aïe.
Marseille 1 - Arsenal 2
MT 0-0. Stade-Vélodrome/temps idéal (22°C au coup d’envoi), terrain correct (quelques mottes) ; 38.380 spectateurs.
Arbitrage (POR) de Olegário Benquerença, assisté de MM :
Ricardo Santos & Rui Tavares (touche) et Artur Dias & Carlos Xistra (surface)/ temps additionnel : 3’(0+3).
Pour l’OM : J. Ayew (90+3 sp).
Pour les Gunners : Walcott (65), Ramsey (83).
Olympique de marseille : Steve Mandanda (cap.) - Fanni, Nkoulou, Lucas Mendes, Morel - Romao, Imbula (Thauvin, 80) - Payet (J. Ayew, 73), Valbuena (Khalifa, 90), A. Ayew - Gignac./Entraîneur : élie BAUP.
Avertissement : Nkoulou (41, tacle en retard et par derrière sur Giroud).
ARSENAL FOOTBALL-CLUB : Szczesny - Bacary Sagna, Mertesacker (cap.), Koscielny, Gibbs - Flamini (Miyaichi, 90), Wilshere - Walcott (Monreal, 78), özil, Ramsey - Giroud./Entraîneur : Arsène WENGER (FRA).
Avertissement : Ramsey (54, antijeu sur André Ayew).
Publié le 19/09/2013 à 08:00
1re journée de la phase de poules. Groupe F.
Mathieu Valbuena dépassé par l'ancien Madrilène Mesut özil. à l'arrivée, l'addition est salée pour des Marseillais un peu trop naïfs./ Photo AFP
L a tête des mauvais jours. Sur la pelouse du Sta- dium, samedi, l’ancien Lorientais avait eu le cuir chevelu heureux en dégageant sur sa ligne de but une reprise gagnante du Danois du TFC Martin Braithwaite. Hier, dans son jardin du Vél’, Jérémy Morel «queuta» son coup de crâne qui eut tôt fait de se transformer en passe décisive pour Theo Walcott - l’attaquant d’Arsenal qui n’en demandait pas tant, de fusiller Mandanda aux 6m50 sous la barre et sûr de sa force (0-1, 65e).
Avec les Anglais, c’est toujours la même rengaine : on croit les dominer, on les bouscule mê-me ; mais on ne marque pas et on finit par se faire rouler dans la farine. Car, jusqu’à ce coup du sort, Olympiens et Gunners avaient rivalisé, sans que l’une des deux formations ne prenne l’ascendant sur l’autre. Si ce n’est l’OM, allez, qui attaque comme un seul… homme. Symbolisé par une aile de pigeon aérienne, digne du roi Ibra, de Gignac dès la 83e seconde (2). Ou l’enveloppé de Valbuena, copier-coller de celui victorieux à Dortmund il y a 2 ans (3). La situation la plus dangereuse est à mettre au crédit de Payet qui centre au cordeau devant la cage de Szczesny (39). Alors qu’entretemps, les protégés de Wenger ont inquiété le portier phocéen d’une demi-volée vicieuse signée, déjà, le remuant Walcott (6). La suite on la connaît, donc. Et la soirée virera au cauchemar lorsqu’Aaron Ramsey s’incruste et trompe pour la 2e fois l’infortuné Steve Mandanda, le ballon étant au passage dévié par Nkoulou (0-2, 83e). Quelle poisse !
À l’image d’octobre 2011 où Arsenal était venu s’imposer 1-0 au Vélodrome sur une réalisation de… Ramsey.
Pour l'honneur
L’OM va avoir le mérite de jouer jusqu’au bout et être logiquement récompensé sur une percussion d’André Ayew dans la surface stoppée irrégulièrement par le buteur Ramsey (90+2). Penalty transformé sans sourciller par le frangin, Jordan (1-2, 90+3). Qui, sur le moment, exulte ou quasiment.
Pas de quoi sauter au plafond, pour autant : après ce premier revers à domicile, l’Olympique de Marseille, «bon» dernier, est déjà au dos mur avant d’aller défier le Borussia à Dortmund dans 15 jours. Aïe, aïe, aïe.
Marseille 1 - Arsenal 2
MT 0-0. Stade-Vélodrome/temps idéal (22°C au coup d’envoi), terrain correct (quelques mottes) ; 38.380 spectateurs.
Arbitrage (POR) de Olegário Benquerença, assisté de MM :
Ricardo Santos & Rui Tavares (touche) et Artur Dias & Carlos Xistra (surface)/ temps additionnel : 3’(0+3).
Pour l’OM : J. Ayew (90+3 sp).
Pour les Gunners : Walcott (65), Ramsey (83).
Olympique de marseille : Steve Mandanda (cap.) - Fanni, Nkoulou, Lucas Mendes, Morel - Romao, Imbula (Thauvin, 80) - Payet (J. Ayew, 73), Valbuena (Khalifa, 90), A. Ayew - Gignac./Entraîneur : élie BAUP.
Avertissement : Nkoulou (41, tacle en retard et par derrière sur Giroud).
ARSENAL FOOTBALL-CLUB : Szczesny - Bacary Sagna, Mertesacker (cap.), Koscielny, Gibbs - Flamini (Miyaichi, 90), Wilshere - Walcott (Monreal, 78), özil, Ramsey - Giroud./Entraîneur : Arsène WENGER (FRA).
Avertissement : Ramsey (54, antijeu sur André Ayew).
aladin- Messages : 115038
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
ÉLIE BAUP L’ADÉJÀ ANNONCÉ
Premiers remaniements demainàBastia Jordan Ayew, Mario Lemina, Benoît Cheyrou, Saber Khalifa :
quatre candidats à une place à Bastia
Premiers remaniements demainàBastia Jordan Ayew, Mario Lemina, Benoît Cheyrou, Saber Khalifa :
quatre candidats à une place à Bastia
aladin- Messages : 115038
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Dure réalité: après les lumières de la
Ligue des champions, 33 000 supporters
au Vélodrome (plus 840 Anglais),
le plus haut niveau possible en
club, les espoirs d’accomplir un exploit,
la déception de la défaite, la fatigue d’un
match au rythme plus élevé qu’en L1, à
l’engagement plus féroce, les joueurs de
l’OM retrouvent le championnat à Furiani.
Soit un stade mal fini, sans le moindre
supporter olympien, une ambiance qui
sera forcément hostile, un adversaire
plus modeste qu’Arsenal mais pas moins
motivé, un statut de favori à assumer. Un
"pain quotidien" comme le dit Dimitri
Payet, qui ne ressemble pas à du
"train-train" quotidien.
Ce passage d’une compétition à l’autre
est délicat. Mathieu Valbuena a avoué le
craindre et le tableau ci-dessous permet
de constater que l’OM a souvent rencontré
des montagnes russes en passant de
l’Europe à la France profonde; et pas seulement
quand il perdait contre le Spartak
Moscou avant de gagner à Avignon.
C’est donc un exercice
délicat qui a coûté
cher à Bordeaux, à
l’OM, Lille ou Montpellier,
qui, après
l’hégémonie lyonnaise,
n’ont jamais pu vivre
une aventure
européenne et un championnat victorieux
en même temps
En l’absence de Payet,
J.Ayew, Khalifa et Thauvin
sont des solutions offensives
. Le PSG y parviendra
peut-être mais possède l’effectif adéquat.
L’OM ? Élie Baup, qui voit son équipe
"monter en régime" aimerait "reporter
tout ça sur le championnat". Mais le football,
il le sait mieux que nous, ne fonctionne
pas selon l’axiome "qui peut le plus
peut le moins". Si l’OM a bousculé Arsenal,
l’a mené au bord de la rupture, comme
il l’avait fait avec Monaco, il n’est pas
dit qu’ily parvienne àBastia.
"Bastia réussit un bon début de saison
en maîtrisant bien ses
temps f a i b l e s s i
l’adversaire pousse. Elle
profite de chaque opportunité.
Bastia,
avec un bon recrutement,
est plus compétitif
que la saison dernière.
L’équipe est plus mûre", estime
l’entraîneur olympien.
L’OM, avec ses dix points en cinq matches,
une moyenne de deux points par
matches, a reculé au classement, mais
reste compétitif. Il lui faut donc reprendre
simplement de bonnes habitudes :
marquer, gagner.
André-Pierre Gignac, symbole du manque
d’efficacité olympien, à Toulouse
comme face à Arsenal, est parfaitement
capable de briser ce petit maléfice sur un
terrain, où, l’an passé, il avait effectué un
retour surprise de quelques minutes,
après sa longue indisponibilité pour une
fracture. Qu’il soit titulaire ou entre en
jeu, après avoir fait partie du roulement
qu’Élie Baup compte instaurer dès
aujourd’hui. Malgré l’absence de Payet
(lombalgie), Jordan Ayew, Khalifa et
Thauvin apportent des solutions offensives;
même si pour le jeune ancien Bastiais,
la bordée de sifflets qui l’attend
peut constituer un frein.
Les incertitudes existent aussi en défense,
où Diawara revient dans le groupe, et
au milieu; de la capacité des rentrants à
se mettre dans le rythme et à bousculer la
hiérarchie dépendra peut-être une victoire
qui apporterait de l’air frais.
Ligue des champions, 33 000 supporters
au Vélodrome (plus 840 Anglais),
le plus haut niveau possible en
club, les espoirs d’accomplir un exploit,
la déception de la défaite, la fatigue d’un
match au rythme plus élevé qu’en L1, à
l’engagement plus féroce, les joueurs de
l’OM retrouvent le championnat à Furiani.
Soit un stade mal fini, sans le moindre
supporter olympien, une ambiance qui
sera forcément hostile, un adversaire
plus modeste qu’Arsenal mais pas moins
motivé, un statut de favori à assumer. Un
"pain quotidien" comme le dit Dimitri
Payet, qui ne ressemble pas à du
"train-train" quotidien.
Ce passage d’une compétition à l’autre
est délicat. Mathieu Valbuena a avoué le
craindre et le tableau ci-dessous permet
de constater que l’OM a souvent rencontré
des montagnes russes en passant de
l’Europe à la France profonde; et pas seulement
quand il perdait contre le Spartak
Moscou avant de gagner à Avignon.
C’est donc un exercice
délicat qui a coûté
cher à Bordeaux, à
l’OM, Lille ou Montpellier,
qui, après
l’hégémonie lyonnaise,
n’ont jamais pu vivre
une aventure
européenne et un championnat victorieux
en même temps
En l’absence de Payet,
J.Ayew, Khalifa et Thauvin
sont des solutions offensives
. Le PSG y parviendra
peut-être mais possède l’effectif adéquat.
L’OM ? Élie Baup, qui voit son équipe
"monter en régime" aimerait "reporter
tout ça sur le championnat". Mais le football,
il le sait mieux que nous, ne fonctionne
pas selon l’axiome "qui peut le plus
peut le moins". Si l’OM a bousculé Arsenal,
l’a mené au bord de la rupture, comme
il l’avait fait avec Monaco, il n’est pas
dit qu’ily parvienne àBastia.
"Bastia réussit un bon début de saison
en maîtrisant bien ses
temps f a i b l e s s i
l’adversaire pousse. Elle
profite de chaque opportunité.
Bastia,
avec un bon recrutement,
est plus compétitif
que la saison dernière.
L’équipe est plus mûre", estime
l’entraîneur olympien.
L’OM, avec ses dix points en cinq matches,
une moyenne de deux points par
matches, a reculé au classement, mais
reste compétitif. Il lui faut donc reprendre
simplement de bonnes habitudes :
marquer, gagner.
André-Pierre Gignac, symbole du manque
d’efficacité olympien, à Toulouse
comme face à Arsenal, est parfaitement
capable de briser ce petit maléfice sur un
terrain, où, l’an passé, il avait effectué un
retour surprise de quelques minutes,
après sa longue indisponibilité pour une
fracture. Qu’il soit titulaire ou entre en
jeu, après avoir fait partie du roulement
qu’Élie Baup compte instaurer dès
aujourd’hui. Malgré l’absence de Payet
(lombalgie), Jordan Ayew, Khalifa et
Thauvin apportent des solutions offensives;
même si pour le jeune ancien Bastiais,
la bordée de sifflets qui l’attend
peut constituer un frein.
Les incertitudes existent aussi en défense,
où Diawara revient dans le groupe, et
au milieu; de la capacité des rentrants à
se mettre dans le rythme et à bousculer la
hiérarchie dépendra peut-être une victoire
qui apporterait de l’air frais.
aladin- Messages : 115038
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
❚ L’équipe olympienne aquelques soucis
dans le réalisme offensif...
C’est clair! Leproblème est très simple,
je le dis et je le redis depuis un an et
demi, et je l’ai dit au principal intéressé
dans les yeux. Il n’y a rien contre André-
Pierre Gignac et sa valeur, mais
l’OM n’a pas d’avant-centre en pointe.
Personne ne reste en pivot, il manque
quelqu’un. On le sait, un attaquant de
pointe touche deux ou trois ballons par
match et il doit remiser. C’est pour ça
que l’OM n’a pas de jeu d’équipe...
Dimanche soir, je regardais le basket;
le pivot sert de point d’appui, comme
au water-polo ou au handball. Au foot,
c’est pareil. L’attaquant de pointe doit
faire ce travail. Lui est plus à l’aise sur
un côté; à Toulouse, il a marqué des
buts en rentrant sur son pied droit. Ce
n’est pas une critique, juste une constatation
dans le réalisme offensif...
C’est clair! Leproblème est très simple,
je le dis et je le redis depuis un an et
demi, et je l’ai dit au principal intéressé
dans les yeux. Il n’y a rien contre André-
Pierre Gignac et sa valeur, mais
l’OM n’a pas d’avant-centre en pointe.
Personne ne reste en pivot, il manque
quelqu’un. On le sait, un attaquant de
pointe touche deux ou trois ballons par
match et il doit remiser. C’est pour ça
que l’OM n’a pas de jeu d’équipe...
Dimanche soir, je regardais le basket;
le pivot sert de point d’appui, comme
au water-polo ou au handball. Au foot,
c’est pareil. L’attaquant de pointe doit
faire ce travail. Lui est plus à l’aise sur
un côté; à Toulouse, il a marqué des
buts en rentrant sur son pied droit. Ce
n’est pas une critique, juste une constatation
aladin- Messages : 115038
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
L'OM n'a pas d'avant-centre en pointe" (Bosquier)
Marseille / Publié le mardi 24 septembre 2013 à 09H22
Bernard Bosquier, l’ancien joueur de l’OM et des Verts, évoque dans un entretien accordé à La Provence le match de ce soir (OM - Saint-Etienne) et les difficultés olympiennes.
A la constatation suivante : L'équipe olympienne a quelques soucis dans le réalisme offensif..., voici ce que répond Bernard Bosquier : "C'est clair ! Le problème est très simple, je le dis et je le redis depuis un an et demi, et je l'ai dit au principal intéressé dans les yeux. Il n'y a rien contre André-Pierre Gignac et sa valeur, mais l'OM n'a pas d'avant-centre en pointe. Personne ne reste en pivot, il manque quelqu'un. On le sait, un attaquant de pointe touche deux ou trois ballons par match et il doit remiser. C'est pour ça que l'OM n'a pas de jeu d'équipe..."
Marseille / Publié le mardi 24 septembre 2013 à 09H22
Bernard Bosquier, l’ancien joueur de l’OM et des Verts, évoque dans un entretien accordé à La Provence le match de ce soir (OM - Saint-Etienne) et les difficultés olympiennes.
A la constatation suivante : L'équipe olympienne a quelques soucis dans le réalisme offensif..., voici ce que répond Bernard Bosquier : "C'est clair ! Le problème est très simple, je le dis et je le redis depuis un an et demi, et je l'ai dit au principal intéressé dans les yeux. Il n'y a rien contre André-Pierre Gignac et sa valeur, mais l'OM n'a pas d'avant-centre en pointe. Personne ne reste en pivot, il manque quelqu'un. On le sait, un attaquant de pointe touche deux ou trois ballons par match et il doit remiser. C'est pour ça que l'OM n'a pas de jeu d'équipe..."
aladin- Messages : 115038
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Le premier but olympien a été empreint de réussite, mais il a surtout souligné la qualité des échanges, avec une avant-dernière passe
magistrale de Payet et un centre intelligent, long, vers le "troisième poteau" de Valbuena pour Mendy
Si le premier but a été
empreint de réussite,
elle n’occulte en rien
la qualité des échanges
magistrale de Payet et un centre intelligent, long, vers le "troisième poteau" de Valbuena pour Mendy
Si le premier but a été
empreint de réussite,
elle n’occulte en rien
la qualité des échanges
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
La précision des gestes en plus
CENTRES
Les deux buts olympiens ont été marqués dans le cours du jeu, au terme d’actions très bien construites
Si le premier but a été
empreint de réussite,
elle n’occulte en rien
la qualité des échanges
Qu’est-ce qui sépare un
match sansbut d’unmatch
plus prolifique? Pour le
spectateur, le plaisir qu’il prend
àvoirmarquer, surtout son équipe
et plusencore quand elle joue
bien. Même si, parfois, on peut
aimer le jeu lors d’une défaite,
comme face à Arsenal. Sachant
que "plaisir d’amour ne dure
qu’un moment et chagrin
d’amour dure touteune vie". Enfin,
si un championnat ou une
phase de poules de Ligue des
champions est une vie.
D’où la recherche permanente
d’un plaisir efficace, d’un jeu
qui se finit par des buts.
Alors, la différence entre un
match sans but et un autre où
l’OM en marque deux dans la
premièredemi-heure, ça peut tenir
à un brin de réussite, celle
qui a accompagné l’ouverture
du score par Benjamin Mendy.
Unballon contré du brasparAndré
Ayew devant sa surface, au
départ, une demi-volée "topée"
de Mendy à l’arrivée, qui prend
Ruffierpar surprise.
Mais ça tient aussi et surtout à
la qualité des gestes. Élie Baup le
répèteà l’envi: il viseun jeu tourné
vers l’avant, une possession
et une récupération haute, qui
amène du monde dans la surface.
Mais encore faut-il que le ballon
soit bien donné au moment
où la différence peut être réalisée.
Hier, contrairement à ce qui
s’était produit contre Arsenal,
RodFanniaété servi dans la course,
il n’a pas eu à aller provoquer
son homologue en un contre un.
L’avant-dernière passe de Jordan
Ayew a été millimétrée. Et le
centre de Rod,qui avait eu du déchet
dans ce domaine, a été parfait
pour Imbula, qui a cadré sa
reprise duplat du pied, ce que ni
Morel ni Jordan n’avaientaccompliàFuriani.
Même précision du duo
Payet-Fanni pour Valbuena, juste
avant la pause, même tir cadré,
au rasdu poteau pour lemeneur
olympien, seulement annihilé
par la main ferme et le bras
tendu de Ruffier.
Et si le premier but a été empreint
de réussite, elle n’occulte
en rien la qualité des échanges
Ayew-Payet-Valbuena, avec une
avant-dernière passe magistrale
du Réunionnais et un centre intelligent,
long, vers le "troisième
poteau" de Valbuena pour Mendy.
Deux buts dans le jeu, untroisième
tout proche. Malgré la
beauté du coup franc de Mathieu
Valbuena et celle de
l’envolée de Stéphane Ruffier
vers sa lucarne (séquence technique
et esthétique à la fois), on
préfère -et de loin- avoir revu
l’OM marquer dans le cours du
jeu, ce qui ne lui était plus arrivé
depuis 405 minutes (en vous faisant
grâce du temps additionnel).
Tout cela a nettement penché
à droite, là où Payet, venant plutôt
travailler à l’intérieur, libérait
des espaces pour des partenaires
lancés. Alors, pourquoi l’OM
n’a-t-il pas marqué de but en
deuxième période comme en
première?Tout simplement parce
qu’on n’a plus revu cette fluidité
vers les côtés et ces centres
précis. Même si, entre les quatre
joueurs offensifs, le jeu s’est bien
coordonné de manière offensive.
Mais cette fois-ci, l’OM n’a
pas craqué. Et la différence
d’appréciation du spectacle
vient aussi de là: les buts n’ont
pas été vains, les gestes victorieux.
Ils n’en sont que plus
beaux...
CENTRES
Les deux buts olympiens ont été marqués dans le cours du jeu, au terme d’actions très bien construites
Si le premier but a été
empreint de réussite,
elle n’occulte en rien
la qualité des échanges
Qu’est-ce qui sépare un
match sansbut d’unmatch
plus prolifique? Pour le
spectateur, le plaisir qu’il prend
àvoirmarquer, surtout son équipe
et plusencore quand elle joue
bien. Même si, parfois, on peut
aimer le jeu lors d’une défaite,
comme face à Arsenal. Sachant
que "plaisir d’amour ne dure
qu’un moment et chagrin
d’amour dure touteune vie". Enfin,
si un championnat ou une
phase de poules de Ligue des
champions est une vie.
D’où la recherche permanente
d’un plaisir efficace, d’un jeu
qui se finit par des buts.
Alors, la différence entre un
match sans but et un autre où
l’OM en marque deux dans la
premièredemi-heure, ça peut tenir
à un brin de réussite, celle
qui a accompagné l’ouverture
du score par Benjamin Mendy.
Unballon contré du brasparAndré
Ayew devant sa surface, au
départ, une demi-volée "topée"
de Mendy à l’arrivée, qui prend
Ruffierpar surprise.
Mais ça tient aussi et surtout à
la qualité des gestes. Élie Baup le
répèteà l’envi: il viseun jeu tourné
vers l’avant, une possession
et une récupération haute, qui
amène du monde dans la surface.
Mais encore faut-il que le ballon
soit bien donné au moment
où la différence peut être réalisée.
Hier, contrairement à ce qui
s’était produit contre Arsenal,
RodFanniaété servi dans la course,
il n’a pas eu à aller provoquer
son homologue en un contre un.
L’avant-dernière passe de Jordan
Ayew a été millimétrée. Et le
centre de Rod,qui avait eu du déchet
dans ce domaine, a été parfait
pour Imbula, qui a cadré sa
reprise duplat du pied, ce que ni
Morel ni Jordan n’avaientaccompliàFuriani.
Même précision du duo
Payet-Fanni pour Valbuena, juste
avant la pause, même tir cadré,
au rasdu poteau pour lemeneur
olympien, seulement annihilé
par la main ferme et le bras
tendu de Ruffier.
Et si le premier but a été empreint
de réussite, elle n’occulte
en rien la qualité des échanges
Ayew-Payet-Valbuena, avec une
avant-dernière passe magistrale
du Réunionnais et un centre intelligent,
long, vers le "troisième
poteau" de Valbuena pour Mendy.
Deux buts dans le jeu, untroisième
tout proche. Malgré la
beauté du coup franc de Mathieu
Valbuena et celle de
l’envolée de Stéphane Ruffier
vers sa lucarne (séquence technique
et esthétique à la fois), on
préfère -et de loin- avoir revu
l’OM marquer dans le cours du
jeu, ce qui ne lui était plus arrivé
depuis 405 minutes (en vous faisant
grâce du temps additionnel).
Tout cela a nettement penché
à droite, là où Payet, venant plutôt
travailler à l’intérieur, libérait
des espaces pour des partenaires
lancés. Alors, pourquoi l’OM
n’a-t-il pas marqué de but en
deuxième période comme en
première?Tout simplement parce
qu’on n’a plus revu cette fluidité
vers les côtés et ces centres
précis. Même si, entre les quatre
joueurs offensifs, le jeu s’est bien
coordonné de manière offensive.
Mais cette fois-ci, l’OM n’a
pas craqué. Et la différence
d’appréciation du spectacle
vient aussi de là: les buts n’ont
pas été vains, les gestes victorieux.
Ils n’en sont que plus
beaux...
bienvenou- Admin
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Avant l’Europe, c’est compliqué
ENCHAÎNEMENT Trois jours avant Dortmund, huit jours avant OM-PSG, Lorient,mêmeaffaibli, reste un piège
"Contre Saint-Étienne,
un quart d’heure de l’OM
impressionnant dans
ses enchaînements"
CHRISTIAN GOURCUFF
Tout se présente bien. Pas
au mieux, car JérémyMorel
est toujours blessé au
genou et quoi qu’en pensent
sesnombreux détracteurs, il reste
le titulaire du poste; André-
Pierre Gignac non plus, ne
sera pas sur la feuille, sa blessure
au tendon du gros orteil
n’étant pas totalement guérie.
Même remarque que pour le
précédent: il reste le premier
choix en pointe.
Mais en dépit de ces deux défections
- les mêmes que face à
Saint-Étienne- tout se présente
bien. D’abord, Lorient est affaibli.
C’est indubitable. Déjà,
comme le souligne Élie Baup,
"Lorient doit remettre son équipe
en place chaque année, avec
la qualité de jeu, la touche technique,
la vitesse de transmission
qui sont le style impulsé par
Christian Gourcuff."
Le renouvellement fréquent
de l’effectif est un risque pour
la cohésion. Mais aujourd’hui,
deux éléments viennent
s’ajouter à cette habitude. Des
blessures, nombreuses et touchant
des éléments aussi déterminants
que Aliadière, Barthelmé(
excellent contre l’OMla saison
dernière) et Traoré. Plus
Diallo, Sunu, Quercia. Bref, une
hécatombe. Ensuite, un climat
délétère. Le départ deMario Lemina,
qui avait provoqué la colère
de l’entraîneur lorientais, a
semé le germe de ladivision. En
i n t e rne ou en e x t e rne,
l’opposition au président Loïc
Féry est devenue assez virulente.
Lorient qui, de
loin, semble si
serein, c’est
un p eu l e
"Far Ouest".
À M a r -
seille, l’OM
est habitué à
ce type
de chamailleries aigres-douces.
À Lorient sans doute pas.
Donc, c’est bon pour l’OM.
L’OM lui-même, a mis fin à
sa série de quatre matches sans
victoire; le jeu de qualité déployé
vainement contre Monaco
et Arsenal, a enfin porté
ses fruits. Pas plus longtemps,
mais avec plus d’efficacité. Une
mi-temps ou une demi-heure
selon les appréciations. Christian
Gourcuff l’a lui-même souligné
avec admiration: "Contre
Saint-Étienne, pendant un
quart d’heure, l’OMaété impressionnant
dans ses enchaînements,
je n’avais jamais vu cela
l’an dernier."
Pour impressionner Gourcuff
dans ce domaine, il en faut ! Le
compliment n’est pas de la brosse
à reluire, ce n’est pas trop le
genre de la maison. Donc, oui,
l’OMavraiment marqué unnet
progrès contre Saint-Étienne,
dont l’entraîneur, Christophe
Galtier, a lui aussi rendu hommage
à l’OM. Comme il est probable
que Florian Thauvin
ou Saber Khalifa,
encore en retrait,
vont monter en régime.
Si Mathieu
Valbuena ou André
Ayew gardent la
cadence,
tout se présente bien. Mais là
est le piège: l’OM ne peut pas
se permettre de se croire arrivé,
de jouer petit bras. "Nous devons
rivaliser dans le jeu, rester
en mouvement et nous montrer
efficaces", répète Élie Baup, qui
tient cependantàne jamais perdre
ce qui faisait la force de
l’OM la saison dernière: un
mental à toute épreuve. "Après
le match de Bastia, nous avons
bien réagi contre Saint-Étienne,
souligne-t-il. Nous avons donc
gardé cette identité psychologique,
mentale."
Ni de penser déjà trop tôt aux
deux rendez-vous de la semaine
prochaine : Dortmund, mardi
en Ligue des champions et le
PSG, dimanche enLigue 1. Facile
à dire, moins facile à réussir
vraiment, tant ces échéances
occupent les esprits.
Après OM-Arsenal, nous avions
indiqué combien il était difficile
d’enchaîner sur le championnat.
Mais dans l’ordre inverse,
la tâche est tout aussi délicate.
Unpetit coupd’oeil dans le rétro
est éloquent : en
2011-12, lors de sa
dernière campagne
de L i gue des
champions,
l’OM n’avait gagné que deux
fois son match de championnat
précédant la Ligue des champions
: à Dijon (2-3) avant
d’aller à Arsenal et à Caen (1-2)
avant d’aller à Dortmund. Tous
les autres matches avaient été
des échecs, ou, au mieux, des
matches nuls, de la défaiteàdomicile
contre Rennes avant
d’aller gagner à Olympiakos,
jusqu’à la gifle à Ajaccio avant
d’aller se qualifier à San Siro.
Avant l’Europe, c’est toujours
délicat.
Aux Olympiens aujourd’hui
de franchir un cap
ENCHAÎNEMENT Trois jours avant Dortmund, huit jours avant OM-PSG, Lorient,mêmeaffaibli, reste un piège
"Contre Saint-Étienne,
un quart d’heure de l’OM
impressionnant dans
ses enchaînements"
CHRISTIAN GOURCUFF
Tout se présente bien. Pas
au mieux, car JérémyMorel
est toujours blessé au
genou et quoi qu’en pensent
sesnombreux détracteurs, il reste
le titulaire du poste; André-
Pierre Gignac non plus, ne
sera pas sur la feuille, sa blessure
au tendon du gros orteil
n’étant pas totalement guérie.
Même remarque que pour le
précédent: il reste le premier
choix en pointe.
Mais en dépit de ces deux défections
- les mêmes que face à
Saint-Étienne- tout se présente
bien. D’abord, Lorient est affaibli.
C’est indubitable. Déjà,
comme le souligne Élie Baup,
"Lorient doit remettre son équipe
en place chaque année, avec
la qualité de jeu, la touche technique,
la vitesse de transmission
qui sont le style impulsé par
Christian Gourcuff."
Le renouvellement fréquent
de l’effectif est un risque pour
la cohésion. Mais aujourd’hui,
deux éléments viennent
s’ajouter à cette habitude. Des
blessures, nombreuses et touchant
des éléments aussi déterminants
que Aliadière, Barthelmé(
excellent contre l’OMla saison
dernière) et Traoré. Plus
Diallo, Sunu, Quercia. Bref, une
hécatombe. Ensuite, un climat
délétère. Le départ deMario Lemina,
qui avait provoqué la colère
de l’entraîneur lorientais, a
semé le germe de ladivision. En
i n t e rne ou en e x t e rne,
l’opposition au président Loïc
Féry est devenue assez virulente.
Lorient qui, de
loin, semble si
serein, c’est
un p eu l e
"Far Ouest".
À M a r -
seille, l’OM
est habitué à
ce type
de chamailleries aigres-douces.
À Lorient sans doute pas.
Donc, c’est bon pour l’OM.
L’OM lui-même, a mis fin à
sa série de quatre matches sans
victoire; le jeu de qualité déployé
vainement contre Monaco
et Arsenal, a enfin porté
ses fruits. Pas plus longtemps,
mais avec plus d’efficacité. Une
mi-temps ou une demi-heure
selon les appréciations. Christian
Gourcuff l’a lui-même souligné
avec admiration: "Contre
Saint-Étienne, pendant un
quart d’heure, l’OMaété impressionnant
dans ses enchaînements,
je n’avais jamais vu cela
l’an dernier."
Pour impressionner Gourcuff
dans ce domaine, il en faut ! Le
compliment n’est pas de la brosse
à reluire, ce n’est pas trop le
genre de la maison. Donc, oui,
l’OMavraiment marqué unnet
progrès contre Saint-Étienne,
dont l’entraîneur, Christophe
Galtier, a lui aussi rendu hommage
à l’OM. Comme il est probable
que Florian Thauvin
ou Saber Khalifa,
encore en retrait,
vont monter en régime.
Si Mathieu
Valbuena ou André
Ayew gardent la
cadence,
tout se présente bien. Mais là
est le piège: l’OM ne peut pas
se permettre de se croire arrivé,
de jouer petit bras. "Nous devons
rivaliser dans le jeu, rester
en mouvement et nous montrer
efficaces", répète Élie Baup, qui
tient cependantàne jamais perdre
ce qui faisait la force de
l’OM la saison dernière: un
mental à toute épreuve. "Après
le match de Bastia, nous avons
bien réagi contre Saint-Étienne,
souligne-t-il. Nous avons donc
gardé cette identité psychologique,
mentale."
Ni de penser déjà trop tôt aux
deux rendez-vous de la semaine
prochaine : Dortmund, mardi
en Ligue des champions et le
PSG, dimanche enLigue 1. Facile
à dire, moins facile à réussir
vraiment, tant ces échéances
occupent les esprits.
Après OM-Arsenal, nous avions
indiqué combien il était difficile
d’enchaîner sur le championnat.
Mais dans l’ordre inverse,
la tâche est tout aussi délicate.
Unpetit coupd’oeil dans le rétro
est éloquent : en
2011-12, lors de sa
dernière campagne
de L i gue des
champions,
l’OM n’avait gagné que deux
fois son match de championnat
précédant la Ligue des champions
: à Dijon (2-3) avant
d’aller à Arsenal et à Caen (1-2)
avant d’aller à Dortmund. Tous
les autres matches avaient été
des échecs, ou, au mieux, des
matches nuls, de la défaiteàdomicile
contre Rennes avant
d’aller gagner à Olympiakos,
jusqu’à la gifle à Ajaccio avant
d’aller se qualifier à San Siro.
Avant l’Europe, c’est toujours
délicat.
Aux Olympiens aujourd’hui
de franchir un cap
aladin- Messages : 115038
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Il aimeque les secrets restent
dans l’intimité du vestiaire,
véritable sanctuaire inviolable
à ses yeux.Mais il arrive parfois
que certaines indiscrétions
s’en échappent. Furax après la
première période insipide de
ses troupes hier après-midi,
Élie Baup est monté dans les
tours à la pause d’un Lorient-
OMqui n’avait pas encore
choisi son destin. Le technicien
olympien a piqué une vive
colère, afin de réveiller tout son
monde et d’éviter de revivre les
mésaventures survenues àToulouse
(1-1) et Bastia (0-0).
Parfois, les gueulantes se révèlent
inutiles. Pas celle d’hier.
Les joueurs ont presque été surpris
par la colère du Haut-Gar
onna i s, peu hab i t ué à
s’emporter de la sorte et déjà
bouillant sur la touche en fin de
première mi-temps. "C’est rare
qu’il nous bouge comme ça, dévoile
Rod Fanni. Mais il a raison,
onne peut pas seulement se
transcender lors des matches de
gala."
Sans être immense, sans verser
dans le génie, la bande à
Mandanda s’est extirpée de sa
torpeur pour s’imposer au métier
(0-2), par la grâce de deux
buts signés par ses cadres, Mathieu
Valbuena d’abord, puis
And ré A yew. Av a n t d e
s’attaquer au mur jaune et à la
montagne parisienne, cette victoire,
face à des Merlus bien
inoffensifs et pâlichons, est bonne
pour la confiance. Elle démontre
un certain état d’esprit,
déjà présent lors du précédent
exercice et qui s’étire cette saison.
Elle souligne aussi que
l’équipe olympienne apprend
de ses erreurs, qu’elle avance
en enjambant les obstacles. "Petitàpetit,
onest en train de grandir,
salive André Ayew. Contre
Lorient, on a su faire preuve de
maturité, en restant soudés. On
grandit, on progresse."
Le bilan comptable intermédiaire
le reflète. Après les huit levées
initiales, l’OM totalise
dix-sept longueurs, soit une
moyenne qui, si elle se prolonge,
peut le conduire très loin,
très haut. Il prend ses aises sur
le podium où il côtoie les nouveaux
riches de la Ligue1 et
leur cadence effrénée.
Voilà tout juste un an, les
ouailles de Baup régnaient sur
la France du foot. Elles comptaient...
dix-neuf points, soit
deux de plus seulement
qu’aujourd’hui. Des données similaires
mais Baup trouve que
ses hommes sont plus méritants.
"La saison passée, notre
calendrier ne comportait pas six
déplacements lors de nos dix premiersmatches,
se plaît-il à répéter.
Et on n’a pas eu à affronter
un promu de la trempe de Monaco."
L’OM actuel serait-il plus fort
que son devancier? Il est encore
trop tôt pour le savoir. Mais,
alors qu’on prédisait une crise
en cas de contre-performance
face à Saint-Étiennemardi dernier,
il trace sa route sereinement.
Il exhale une envie de
bien faire. "Les joueurs sont vraiment
dedans, on les sent concernés,
sûrs d’eux", confie un membre
du staff impressionné par
cet état d’esprit. "On est tous
mobilisés", prolonge Fanni.
Cela a été le cas alors que le
rendez-vous -déjà décisif- dans
la Ruhr se profile. Mardi, les
Olympiens basculeront dans un
autre monde, un univers étoilé
qui ne tolère pas l’à peu près, ni
les relances hasardeuses, encore
moins les placements approximatifs
vus hier en première
période. Car à la mi-temps, il
pourrait déjà être trop tard. Toutes
les gueulantes du monde ne
serviraient alors à rien.
dans l’intimité du vestiaire,
véritable sanctuaire inviolable
à ses yeux.Mais il arrive parfois
que certaines indiscrétions
s’en échappent. Furax après la
première période insipide de
ses troupes hier après-midi,
Élie Baup est monté dans les
tours à la pause d’un Lorient-
OMqui n’avait pas encore
choisi son destin. Le technicien
olympien a piqué une vive
colère, afin de réveiller tout son
monde et d’éviter de revivre les
mésaventures survenues àToulouse
(1-1) et Bastia (0-0).
Parfois, les gueulantes se révèlent
inutiles. Pas celle d’hier.
Les joueurs ont presque été surpris
par la colère du Haut-Gar
onna i s, peu hab i t ué à
s’emporter de la sorte et déjà
bouillant sur la touche en fin de
première mi-temps. "C’est rare
qu’il nous bouge comme ça, dévoile
Rod Fanni. Mais il a raison,
onne peut pas seulement se
transcender lors des matches de
gala."
Sans être immense, sans verser
dans le génie, la bande à
Mandanda s’est extirpée de sa
torpeur pour s’imposer au métier
(0-2), par la grâce de deux
buts signés par ses cadres, Mathieu
Valbuena d’abord, puis
And ré A yew. Av a n t d e
s’attaquer au mur jaune et à la
montagne parisienne, cette victoire,
face à des Merlus bien
inoffensifs et pâlichons, est bonne
pour la confiance. Elle démontre
un certain état d’esprit,
déjà présent lors du précédent
exercice et qui s’étire cette saison.
Elle souligne aussi que
l’équipe olympienne apprend
de ses erreurs, qu’elle avance
en enjambant les obstacles. "Petitàpetit,
onest en train de grandir,
salive André Ayew. Contre
Lorient, on a su faire preuve de
maturité, en restant soudés. On
grandit, on progresse."
Le bilan comptable intermédiaire
le reflète. Après les huit levées
initiales, l’OM totalise
dix-sept longueurs, soit une
moyenne qui, si elle se prolonge,
peut le conduire très loin,
très haut. Il prend ses aises sur
le podium où il côtoie les nouveaux
riches de la Ligue1 et
leur cadence effrénée.
Voilà tout juste un an, les
ouailles de Baup régnaient sur
la France du foot. Elles comptaient...
dix-neuf points, soit
deux de plus seulement
qu’aujourd’hui. Des données similaires
mais Baup trouve que
ses hommes sont plus méritants.
"La saison passée, notre
calendrier ne comportait pas six
déplacements lors de nos dix premiersmatches,
se plaît-il à répéter.
Et on n’a pas eu à affronter
un promu de la trempe de Monaco."
L’OM actuel serait-il plus fort
que son devancier? Il est encore
trop tôt pour le savoir. Mais,
alors qu’on prédisait une crise
en cas de contre-performance
face à Saint-Étiennemardi dernier,
il trace sa route sereinement.
Il exhale une envie de
bien faire. "Les joueurs sont vraiment
dedans, on les sent concernés,
sûrs d’eux", confie un membre
du staff impressionné par
cet état d’esprit. "On est tous
mobilisés", prolonge Fanni.
Cela a été le cas alors que le
rendez-vous -déjà décisif- dans
la Ruhr se profile. Mardi, les
Olympiens basculeront dans un
autre monde, un univers étoilé
qui ne tolère pas l’à peu près, ni
les relances hasardeuses, encore
moins les placements approximatifs
vus hier en première
période. Car à la mi-temps, il
pourrait déjà être trop tard. Toutes
les gueulantes du monde ne
serviraient alors à rien.
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Le clasico, ça promet !
Mathieu Valbuena et Zlatan Ibrahimovic vont se retrouver dimanche. 3 octobre 2013 à 12h12
L’OM et le PSG ont laissé deux impressions diamétralement opposées cette semaine en Ligue des champions, respectivement contre Dortmund (0-3) et le Benfica (3-0). Le fossé entre les deux équipes sera-t-il aussi important dimanche soir au stade Vélodrome, lors du clasico ?
Les opposés s’attirent. Ils se retrouveront dimanche soir au stade Vélodrome. L’OM et le PSG, qui ont connu des fortunes diverses cette semaine en Ligue des champions, n’abordent pas le traditionnel clasico de la même manière. D’un côté, Marseille reste sur une sévère mais cinglante défaite contre Dortmund (0-3). De l’autre, Paris vient de donner une leçon au Benfica (3-0). A quoi faut-il donc s’attendre dans trois jours, en clôture de la 9e journée de Ligue 1 ?
"A un tout autre match, répond Blaise Matuidi. L'OM sera à 110%, à nous de l'être aussi pour répondre présent." Vu la très solide prestation des joueurs de Laurent Blanc contre les Lisboètes, un succès acquis en première période ce qui leur a permis de ne pas consommer trop d’énergie avant le choc à venir, difficile d’imaginer les Olympiens relever la tête, surtout s’ils sont encore groggy après la gifle reçue en Allemagne, sur la pelouse du Borussia.
Comme un match de C1…
"On connait l'importance du match à venir contre Paris, assure Elie Baup. Je pense qu’on va mettre de côté la Ligue des champions et qu’on va se replonger dans notre championnat. On est sur une série de qualité, comme Paris d'ailleurs. C'est un match conséquent. Je ne pense pas que le match (face au Borussia) laisse des traces, du moins au niveau mental." L’entraîneur phocéen espère que le retour d’André-Pierre Gignac fera du bien à son équipe.
Mais cet OM-là, qui s’était aussi incliné face à Arsenal (1-2), parviendra-t-il à faire le poids face au collectif parisien, si impressionnant contre le Benfica avec un milieu à trois impérial, qui a laissé une impression de "maîtrise totale" dixit Laurent Blanc ? Pour Marseille comme pour Paris, c’est comme si un nouveau match de C1 s’annonçait. Et dans ce contexte si relevé, si particulier, Zlatan Ibrahimovic et ses coéquipiers ont déjà fait leurs preuves.
Mathieu Valbuena et Zlatan Ibrahimovic vont se retrouver dimanche. 3 octobre 2013 à 12h12
L’OM et le PSG ont laissé deux impressions diamétralement opposées cette semaine en Ligue des champions, respectivement contre Dortmund (0-3) et le Benfica (3-0). Le fossé entre les deux équipes sera-t-il aussi important dimanche soir au stade Vélodrome, lors du clasico ?
Les opposés s’attirent. Ils se retrouveront dimanche soir au stade Vélodrome. L’OM et le PSG, qui ont connu des fortunes diverses cette semaine en Ligue des champions, n’abordent pas le traditionnel clasico de la même manière. D’un côté, Marseille reste sur une sévère mais cinglante défaite contre Dortmund (0-3). De l’autre, Paris vient de donner une leçon au Benfica (3-0). A quoi faut-il donc s’attendre dans trois jours, en clôture de la 9e journée de Ligue 1 ?
"A un tout autre match, répond Blaise Matuidi. L'OM sera à 110%, à nous de l'être aussi pour répondre présent." Vu la très solide prestation des joueurs de Laurent Blanc contre les Lisboètes, un succès acquis en première période ce qui leur a permis de ne pas consommer trop d’énergie avant le choc à venir, difficile d’imaginer les Olympiens relever la tête, surtout s’ils sont encore groggy après la gifle reçue en Allemagne, sur la pelouse du Borussia.
Comme un match de C1…
"On connait l'importance du match à venir contre Paris, assure Elie Baup. Je pense qu’on va mettre de côté la Ligue des champions et qu’on va se replonger dans notre championnat. On est sur une série de qualité, comme Paris d'ailleurs. C'est un match conséquent. Je ne pense pas que le match (face au Borussia) laisse des traces, du moins au niveau mental." L’entraîneur phocéen espère que le retour d’André-Pierre Gignac fera du bien à son équipe.
Mais cet OM-là, qui s’était aussi incliné face à Arsenal (1-2), parviendra-t-il à faire le poids face au collectif parisien, si impressionnant contre le Benfica avec un milieu à trois impérial, qui a laissé une impression de "maîtrise totale" dixit Laurent Blanc ? Pour Marseille comme pour Paris, c’est comme si un nouveau match de C1 s’annonçait. Et dans ce contexte si relevé, si particulier, Zlatan Ibrahimovic et ses coéquipiers ont déjà fait leurs preuves.
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Morel forfait, Gignac sur le banc ?
Marseille / Publié le dimanche 06 octobre 2013 à 05H46
Un seul blessé est de retour. Touché au genou, à la suite d'un tacle violent dont il avait été victime à Bastia, Jérémy Morel a pu s'entraîner normalement toute la semaine, mais il a finalement été jugé trop juste pour réintégrer le groupe contre le PSG. Le jeune Benjamin Mendy, en difficulté à Dortmund, devrait donc avoir l'occasion de se rattraper ce soir, douze jours après son but contre Saint-Étienne. À moins qu'Élie Baup ne tente quelque chose d'inédit.
Bonne nouvelle, en revanche pour André-Pierre Gignac. Il souffrait d'une lésion à un tendon d'un gros orteil depuis le même match et avait repris trop tôt, mais il sera bien là, ce soir. "L'évolution a été différente pour les deux, mais ils ont pu faire quatre ou cinq jours de travail", a indiqué Baup vendredi, ajoutant qu'il ne prendrait une décision qu'après le dernier entraînement.
C'est donc chose faite : mais APG jouera-t-il d'entrée ? En attaque, il peut le lancer et miser sur l'envie de son meilleur buteur, qui avait réussi un doublé la saison dernière contre le PSG (2-2) et s'est de nouveau éloigné des Bleus à la suite de sa blessure. Mais il semble plutôt enclin à le ménager d'entrée.
"Pour le moment, le plus important, c'est qu'il récupère l'intégralité de ses moyens physiques, a souligné Baup. Il a été arrêté un certain temps et il va maintenant lui falloir retrouver ses sensations de jeu."
On se souvient que l'an passé, à la suite de sa fracture à un pied, survenue fin octobre à Troyes, il était revenu en fanfare, début décembre, se procurant une occasion en quelques minutes à Bastia et marquant le but de la victoire à Toulouse. On verrait bien Khalifa jouer d'entrée et Gignac entrer en joker. D'autant que l'entraîneur olympien mise sur des qualités du Fosséen. "En termes d'émotions, c'est le match le plus énorme de la saison à domicile. Ce sera une histoire de coeur."
Marseille / Publié le dimanche 06 octobre 2013 à 05H46
Un seul blessé est de retour. Touché au genou, à la suite d'un tacle violent dont il avait été victime à Bastia, Jérémy Morel a pu s'entraîner normalement toute la semaine, mais il a finalement été jugé trop juste pour réintégrer le groupe contre le PSG. Le jeune Benjamin Mendy, en difficulté à Dortmund, devrait donc avoir l'occasion de se rattraper ce soir, douze jours après son but contre Saint-Étienne. À moins qu'Élie Baup ne tente quelque chose d'inédit.
Bonne nouvelle, en revanche pour André-Pierre Gignac. Il souffrait d'une lésion à un tendon d'un gros orteil depuis le même match et avait repris trop tôt, mais il sera bien là, ce soir. "L'évolution a été différente pour les deux, mais ils ont pu faire quatre ou cinq jours de travail", a indiqué Baup vendredi, ajoutant qu'il ne prendrait une décision qu'après le dernier entraînement.
C'est donc chose faite : mais APG jouera-t-il d'entrée ? En attaque, il peut le lancer et miser sur l'envie de son meilleur buteur, qui avait réussi un doublé la saison dernière contre le PSG (2-2) et s'est de nouveau éloigné des Bleus à la suite de sa blessure. Mais il semble plutôt enclin à le ménager d'entrée.
"Pour le moment, le plus important, c'est qu'il récupère l'intégralité de ses moyens physiques, a souligné Baup. Il a été arrêté un certain temps et il va maintenant lui falloir retrouver ses sensations de jeu."
On se souvient que l'an passé, à la suite de sa fracture à un pied, survenue fin octobre à Troyes, il était revenu en fanfare, début décembre, se procurant une occasion en quelques minutes à Bastia et marquant le but de la victoire à Toulouse. On verrait bien Khalifa jouer d'entrée et Gignac entrer en joker. D'autant que l'entraîneur olympien mise sur des qualités du Fosséen. "En termes d'émotions, c'est le match le plus énorme de la saison à domicile. Ce sera une histoire de coeur."
aladin- Messages : 115038
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
Le changement, c'est maintenant
Elie Baup envisage un changement tactique contre Reims (17h00) pour trouver la solution aux problèmes dans le jeu : Jouer plus haut et plus vertical pour aller plus vite.
Gignac et Payet sont au plus bas depuis quelques semaines... (L'Equipe)
12
a+ a- imprimer RSS
«Le match contre Reims va déterminer la suite de notre Championnat». Lucide, José Anigo, résume le sentiment général à Marseille. Dans cette période difficile, seule la victoire peut ramener un brin de sérénité dans ce groupe. Au-delà d’un état d’esprit plus combatif, Elie Baup doit aussi trouver des solutions au niveau du jeu, sur le plan collectif et individuel. A l’évidence, l’entraîneur marseillais est tenté depuis quelques matches par un changement tactique. Sur les deux dernières rencontres, il a fait évoluer son système en 4-2-3-1 vers un 4-3-3, en repositionnant André Ayew au milieu et Mathieu Valbuena sur un côté. La place du numéro 10 de l’équipe de France conditionne ce choix : «Tout le monde louait nos prestations l’année dernière, avec le soutien de Valbuena derrière l’attaquant. C’est ce qui lui a permis de réaliser également de très bons matches avec l’équipe de France. Les autres joueurs connaissent bien ce système mais tout dépend de l’animation qu’on y met.»
En ce moment, certaines relations ne fonctionnent pas. Excellente en tout début de saison, celle de Valbuena avec Payet est devenue quasi-nulle. Les passes vers l’avant pour Gignac doivent se compter sur les doigts d’une seule main. Les performances individuelles de ces deux attaquants posent problème.
Les joueurs à la barre
Après trois matches très intéressants, Dimitri Payet a plongé dans l’anonymat depuis deux longs mois. «Payet joue côté droit depuis le début, explique Baup, mais je vois qu’il s’exprime mieux à gauche. Je reste ouvert pour pouvoir changer.» Gignac et son manque d’efficacité récurrent suscitent aussi le débat en interne. Le mettre, ou pas, sur le banc reste un choix cornélien pour Baup que le niveau des remplaçants –Jordan Ayew ou Khalifa- n’aide pas à résoudre. «Ils souffrent surtout d’un manque de confiance qu’il faudra les aider à retrouver», assure Baup.
Dans ce contexte, Baup songe donc à rééquilibrer son équipe. En 4-3-3, le milieu plus dense permet de peser plus sur le jeu. «On travaille sur l'idée de bloquer l’adversaire le plus haut possible. Cela permet de mieux récupérer les ballons et de jouer plus verticalement pour alerter plus vite les joueurs offensifs.» Ce choix, qui évite de passer par un milieu en soutien, sera payant si chacun joue parfaitement sa partition. C’est ainsi que Baup envisage de procéder contre Reims. L’OM n’a plus beaucoup de temps avant une trêve lors de laquelle Labrune fera un premier bilan.
Elie Baup envisage un changement tactique contre Reims (17h00) pour trouver la solution aux problèmes dans le jeu : Jouer plus haut et plus vertical pour aller plus vite.
Gignac et Payet sont au plus bas depuis quelques semaines... (L'Equipe)
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«Le match contre Reims va déterminer la suite de notre Championnat». Lucide, José Anigo, résume le sentiment général à Marseille. Dans cette période difficile, seule la victoire peut ramener un brin de sérénité dans ce groupe. Au-delà d’un état d’esprit plus combatif, Elie Baup doit aussi trouver des solutions au niveau du jeu, sur le plan collectif et individuel. A l’évidence, l’entraîneur marseillais est tenté depuis quelques matches par un changement tactique. Sur les deux dernières rencontres, il a fait évoluer son système en 4-2-3-1 vers un 4-3-3, en repositionnant André Ayew au milieu et Mathieu Valbuena sur un côté. La place du numéro 10 de l’équipe de France conditionne ce choix : «Tout le monde louait nos prestations l’année dernière, avec le soutien de Valbuena derrière l’attaquant. C’est ce qui lui a permis de réaliser également de très bons matches avec l’équipe de France. Les autres joueurs connaissent bien ce système mais tout dépend de l’animation qu’on y met.»
En ce moment, certaines relations ne fonctionnent pas. Excellente en tout début de saison, celle de Valbuena avec Payet est devenue quasi-nulle. Les passes vers l’avant pour Gignac doivent se compter sur les doigts d’une seule main. Les performances individuelles de ces deux attaquants posent problème.
Les joueurs à la barre
Après trois matches très intéressants, Dimitri Payet a plongé dans l’anonymat depuis deux longs mois. «Payet joue côté droit depuis le début, explique Baup, mais je vois qu’il s’exprime mieux à gauche. Je reste ouvert pour pouvoir changer.» Gignac et son manque d’efficacité récurrent suscitent aussi le débat en interne. Le mettre, ou pas, sur le banc reste un choix cornélien pour Baup que le niveau des remplaçants –Jordan Ayew ou Khalifa- n’aide pas à résoudre. «Ils souffrent surtout d’un manque de confiance qu’il faudra les aider à retrouver», assure Baup.
Dans ce contexte, Baup songe donc à rééquilibrer son équipe. En 4-3-3, le milieu plus dense permet de peser plus sur le jeu. «On travaille sur l'idée de bloquer l’adversaire le plus haut possible. Cela permet de mieux récupérer les ballons et de jouer plus verticalement pour alerter plus vite les joueurs offensifs.» Ce choix, qui évite de passer par un milieu en soutien, sera payant si chacun joue parfaitement sa partition. C’est ainsi que Baup envisage de procéder contre Reims. L’OM n’a plus beaucoup de temps avant une trêve lors de laquelle Labrune fera un premier bilan.
aladin- Messages : 115038
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Re: SCHEMA TACTIC !!!!!
L'ANALYSE d’Éric Carrière consultant sur Canal plus
"Ilmanqueunvrai fonds dejeu"❚ Comment expliquez-vous les difficultés de l’OM?
L’équipe a eu beaucoup de réussite la saison passée. Ses
résultats étaient basés sur le mental et l’allant. Cette année,
le réalisme est moins présent. L’équipe a un gros défaut
lors des transitions défensives et offensives. Quand
l’OM a le ballon, ses joueurs ne sont pas prêts à se répartir
les rôles en cas de perte. Ils ne sont pas au contact,
oublient les adversaires les plus dangereux. Et quand ça
se produit, ils ne sont pas réactifs.
❚ Avez-vous remarqué d’autres soucis ?
Le jeu est beaucoup basé sur les actions individuelles, il
manque un vrai fonds de jeu. L’arrivée de nouveaux demande
du temps pour les automatismes. Reste à savoir si
Payet et Thauvin vont bien s’entendre avec Valbuena.
Leur jeu sera-t-il complémentaire? Enfin, Élie Baup cherche
un attaquant. Il a besoin d’un joueur facile à trouver.
❚ L’entraîneur a lemérite d’essayer...
On ne peut pas le lui reprocher. Mais il est embêté car André
Ayew est indispensable. Le mettre au milieu bloque
Imbula; s’il est à gauche, le problème se pose pour Payet
dont c’est le meilleur poste. Contre Reims, le trio Thauvin-
Valbuena-Payet avec Ayew plus bas est une bonne solution.
Mais la défaite remet le doute...
❚ Comment inverser la tendance ?
Il faut un peu de chance aussi. Si l’OM livre un match
moyen mais gagne, il va retrouver la confiance. Il doit corriger
ses défauts et guetter la montée en puissance de certains
joueurs comme Payet ou Thauvin. Il doit aussi faire
profil bas. Les jeunes ne vont pas tirer l’équipe vers le
haut. Un Cheyrou peut être utile. J’ai également trouvé
que les interventions de Labrune et Anigo étaient une bonne
chose. Le club doit rester uni. C’est la meilleure manière
de traverser ces moments-là.
"Ilmanqueunvrai fonds dejeu"❚ Comment expliquez-vous les difficultés de l’OM?
L’équipe a eu beaucoup de réussite la saison passée. Ses
résultats étaient basés sur le mental et l’allant. Cette année,
le réalisme est moins présent. L’équipe a un gros défaut
lors des transitions défensives et offensives. Quand
l’OM a le ballon, ses joueurs ne sont pas prêts à se répartir
les rôles en cas de perte. Ils ne sont pas au contact,
oublient les adversaires les plus dangereux. Et quand ça
se produit, ils ne sont pas réactifs.
❚ Avez-vous remarqué d’autres soucis ?
Le jeu est beaucoup basé sur les actions individuelles, il
manque un vrai fonds de jeu. L’arrivée de nouveaux demande
du temps pour les automatismes. Reste à savoir si
Payet et Thauvin vont bien s’entendre avec Valbuena.
Leur jeu sera-t-il complémentaire? Enfin, Élie Baup cherche
un attaquant. Il a besoin d’un joueur facile à trouver.
❚ L’entraîneur a lemérite d’essayer...
On ne peut pas le lui reprocher. Mais il est embêté car André
Ayew est indispensable. Le mettre au milieu bloque
Imbula; s’il est à gauche, le problème se pose pour Payet
dont c’est le meilleur poste. Contre Reims, le trio Thauvin-
Valbuena-Payet avec Ayew plus bas est une bonne solution.
Mais la défaite remet le doute...
❚ Comment inverser la tendance ?
Il faut un peu de chance aussi. Si l’OM livre un match
moyen mais gagne, il va retrouver la confiance. Il doit corriger
ses défauts et guetter la montée en puissance de certains
joueurs comme Payet ou Thauvin. Il doit aussi faire
profil bas. Les jeunes ne vont pas tirer l’équipe vers le
haut. Un Cheyrou peut être utile. J’ai également trouvé
que les interventions de Labrune et Anigo étaient une bonne
chose. Le club doit rester uni. C’est la meilleure manière
de traverser ces moments-là.
bienvenou- Admin
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