OGC NICE // LIGUE 1

Le sénateur-maire UMP de
Saint-Jean-Cap-Ferrat (Alpes-
Maritimes), René Vestri, a
été mis en examen mardi soir
par le juge Charles Duchaine, de
la Juridiction interrégionale spécialisée
(JIRS) de Marseille, pour
"blanchiment en bande organisée,
trafic d'influence et association
de malfaiteurs", dans le cadre
du dossier baptisé "Opération
mains propres sur la Côte
d'Azur". Le juge enquête depuis
plusieurs mois sur une affaire de
corruption présumée liée à la
construction de la tour Odéon, à
Monaco.
L'élu, qui se dit "victime d'une
machination politique", a été laissé
libre, sans placement sous
contrôle judiciaire. Son immunité
parlementaire avait été levée
par le Sénat en janvier, limitant
cependant cette mesure au versement
d'une caution et excluant
toute incarcération.
Dans ce dossier, le maire de
Beausoleil (Alpes-Maritimes),
Gérard Spinelli, a été mis en examen
et écroué en novembre puis
remis en liberté le 12 février.
Un ancien patron d'une entreprise
de BTP de la région, Lino Alberti,
a lui aussi été mis en prison
avant d’être libéré le 11 décembre
dernier.

Eric Roy, l'entraîneur de Nice, a retenu 18 joueurs pour le déplacement de l'OGCN à Boulogne-sur-Mer, dimanche (17h00). Mabiala effectue son retour après plus d'un mois d'absence. Il remplacera Apam, touché au genou droit. Paisley devrait être reconduit à côté de Civelli dans l'axe de la défense. Bagayoko (reprise) est encore trop juste pour réintégrer le groupe (lésion musculaire), tandis que Digard (décollement de l'aponévrose) et Poté (fracture de fatigue) sont out jusqu'à la fin de saison.

Le groupe niçois : Letizi, Ospina - Civelli, Diakité, Gace, Mabiala, Paisley, Quartey - Ben Saada, Coulibaly, Echouafni, Faé, Hellebuyck, Sablé, Traoré- Mouloungui, Mounier, Rémy.


Nice 11 points d'avance sur le 1er relegable le mans est déjà maintenu

15 Nice 40
16 Sochaux 38
17 Saint-Etienne 36
18 Le Mans 29

3 A 3
Mené 3-0 sur sa pelouse à dix minutes de la fin par l'OGC Nice, Boulogne-sur-Mer a puisé dans des ressources jusque-là insoupçonnées pour arracher le point du nul (3-3) ! Loïc Rémy avait permis aux Aiglons de prendre leur envol (31e) avant de s'offrir le doublé (56e), tandis que David Hellebuyck croyait définitivement mettre le Gym à l'abri (61e). Mais c'était sans compter sur la révolte des Nordistes. Blayac a d'abord redonné un semblant d'espoir (80e) avant que Kapo (88e) puis Cuvilier (90e) ne fassent entrer le stade la Libération en fusion.

Echouafni, arrete sa carrière 03/05/2010




J'ai la chance de pouvoir décider de ma fin de carrière»
Après sept années de bons et loyaux services, le natif de Menton a donc le loisir de partir avec le sentiment du devoir accompli : «J'ai la chance de pouvoir décider de ma fin de carrière. Ça n'a pas été le cas pour beaucoup de copains. J'ai n'ai pas remporté énormément de titres. J'aurais pu en avoir plus, c'est vrai. Mais aussi moins. Je n'ai pas de regret. Je suis fier de ma carrière, de ce que j'ai pu faire et des gens que j'ai pu rencontrer.»
Au rayon des meilleurs souvenirs, l'homme aux 391 matches en Ligue 1 a du mal à faire le tri, même si deux rencontres l'ont particulièrement marqué : «Il faut reconnaître que le 4-3 à Monaco, en 2004, restera beau. De même que la finale de Coupe de la Ligue qui, même si ratée, aura fait rêver beaucoup de monde

Eric ROY aura reussi son operation maintien
en attendant la nomination du futur coach NICE déroule les derniers matchs sans pression


Après avoir subi une arthroscopie au genou droit début mars, Alain Cantareil fait son retour dans le groupe niçois qui accueille les Girondins de Bordeaux ce mercredi (19h00), pour le compte de la 36e journée de Ligue 1.

En revanche, Apam (genou), Bagayoko (cuisse), Bamogo (cheville), Cid (reprise), Digard (décollement aponévrotique) et Poté (fracture de fatigue) sont toujours indisponibles. Enfin, Adu, Diakité, Moreau et Quansah n'ont pas été retenus par Eric Roy.

Le groupe niçois : Letizi, Ospina - Cantareil, Civelli, Diakité, Gace, Mabiala, Paisley, Quartey - Ben Saada, Coulibaly, Echouafni, Faé, Hellebuyck, Sablé, Traoré - Mouloungui, Mounier, Rémy.

compositions probables
A 19 heures

Nice - Bordeaux:
Arbitre: M. Ledentu
Nice: Ospina - D. Diakité, Civelli, Paisley, Gace (ou Hellebuyck) - K. Coulibaly, Sablé, Faé - L. Rémy, Mouloungui, Mounier.
Bordeaux: Ramé - Chalmé, Henrique, Ciani, Trémoulinas - Sané, Plasil - Gouffran (ou Jussiê), Sertic, Wendel - Chamakh.

Nice tient tête à Bordeaux





Emerse Faé, qui vient d’ouvrir le score pour l’OGC Nice, est félicité par Sablé, sous le regard de Rémy et Hellebuyck.


On attendait un Bordeaux revanchard, avec les crocs. Un Rémy - qui vise une place dans les 23 Bleus - virevoltant. On eut rien de tout cela. On vit des Bordelais convalescents et qui, ce matin, ne sont même plus européens, et un Rémy trop esseulé en pointe. On vit aussi une partie assez tactique, peu de spectacle, mais avec des Niçois accrocheurs. Ces derniers n’ont perdu qu’une seule fois en neuf matchs depuis le début de l’ère Roy. Un constat qui confirme de nets progrès.

Au coup d’envoi, première surprise : Roy avait décidé de remanier son équipe en densifiant le milieu avec Echouafni, Sablé et Faé en récupérateurs, Hellebuyck à gauche et Mounier à droite. Rémy évoluant seul en pointe. Conséquence, Coulibaly et Mouloungui se retrouvaient sur le banc.

Un dispositif « spécial » Girondins « pour couper leur jeu avec dédoublement de passes » (Roy) qui donnait une entame timide des deux côtés.

En début de rencontre, le spectacle était plutôt dans les tribunes. Car, deuxième surprise, pourtant dissolue, « La Brigade Sud est toujours là » chantait le kop ! Voilà qui mettait de l’ambiance ! Le Ray en avait cruellement manqué.

Pas assez cependant pour mettre le feu sur le terrain où Bordeaux faisait bien circuler le ballon, sans plus, et où Nice jouait placé. Résultat, aucune vraie occasion à se mettre sous le crayon.

Faé récidive, Wendel répond

Mais la vista de Mounier allait mettre du baume au cœur au public. L’ex-Lyonnais, dans l’axe aux 35 m, offrait un caviar à Faé, complètement esseulé côté gauche (où était Sané ?). L’Ivoirien venait tromper Ramé du gauche grâce à une frappe légèrement contrée par Henrique (1-0, 27’). Septième passe décisive pour Mounier, troisième but en quatre matchs pour l’ex-Nantais cette saison.

Sans grinta, Bordeaux parvenait pourtant à égaliser grâce au talent sur coup franc de son Brésilien Wendel. Des 25 m, plein axe, son ‘‘exter’’ du gauche contournait le mur et devenait imparable pour Ospina (1-1, 34’).
Deux buts, deux éclairs dans une première période peu emballante.

C’est Bordeaux qui revenait le mieux des vestiaires et montrait enfin un visage plus digne d’un prétendant à l’Europe. Coup sur coup, Chamakh par deux fois (52’, 53’) et Ciani (53’) étaient à deux doigts de faire trembler les filets. Hormis une belle demi-volée de Rémy (48’), peu en vue par ailleurs, Nice souffrait. Roy décidait alors de changer ses batteries en remplaçant Echouafni (ovationné) et Paisley par Coulibaly et Mouloungui (65’). Gace passait dans l’axe de la défense et le Gym évoluait alors comme il avait démarré à Boulogne, avec notamment Hellebuyck latéral gauche et Rémy dans le couloir droit de l’attaque, Mounier passant de l’autre côté.
Mouloungui rate la balle de match.

Une configuration qui convenait mieux aux Niçois. Plus hauts sur le terrain, ils subissaient moins et investissaient plus souvent le camp bordelais. La preuve, cette percussion de Mounier dans la surface qui centrait en retrait. Mouloungui, seul au point de penalty, était contré par Henrique au dernier moment et le ballon passait au-dessus (80’). Quelle occasion ! C’était la balle de match... Ratée.
Mais au nombre des occasions, le score est logique.

Nice avait tenu tête à Bordeaux, le champion en titre. Et c’est déjà pas si mal !

CE SERAIT MIEUX QU "IL RESTE AU COACHING ......
IL CONNAIT ET AIME LE GYM



- Roy : «Un pas à franchir»




Garder les mêmes fonctions la saison prochaine ou bien orchestrer le recrutement d'un entraineur lui succédant sur le terrain ? Eric Roy n'a pas choisi. (EQ)
Depuis début mars, Eric Roy jongle avec les casquettes de directeur sportif et d'entraîneur de l'OGC Nice. Mais il a relevé le défi du sauvetage du club. Maintenant il attend d'être fixé sur son sort pour proposer un projet.

«Eric Roy, quels ont été les mots clés dans votre discours qui ont permis à l'équipe de redresser la tête ?Humilité, simplicité, plaisir d'abord, puis générosité et discipline. On a accepté le challenge sur ces bases. Les joueurs ont adhéré et on a pris du plaisir ensemble.Pensez-vous que le Gym pouvait finir cinquième ? (*)Non. Je savais qu'il valait entre la huitième et la douzième place. Quand on a le quinzième budget de Ligue 1, il ne faut pas rêver.

En cumulant les fonctions, vous avez tenu un rôle de «manager à l'anglaise». Puisque tout a bien marché, pourquoi ne repartiriez-vous pas sur le même mode de fonctionnement ?
Parce que, entre une mission ponctuelle et un projet global, il y a un pas à franchir. Il est vrai que cette forme de structure correspond à mes conceptions de l'organisation d'un club. Mais est-ce la formule qu'il faut à l'OGC Nice ? C'est cela que nous devons étudier tous ensemble...

Quand et avec qui ?
La semaine prochaine devrait nous fournir les réponses. On commencera par faire le point entre nous trois, les techniciens (avec René Marsiglia et Fred Gioria, ndlr). C'est d'abord à nous de savoir ce que nous voulons. Et ensuite on se mettra autour de la table avec le président, le directeur général, les administrateurs et les actionnaires pour prendre une décision finale.

Il est donc probable que vous continuiez sur le banc ?
Sincèrement, je ne sais pas. Je suis content pour le club que cette saison se termine correctement. On a sauvé des contrats, des salariés, assuré la pérennité du club. Pour le reste, continuer dans la forme actuelle, disons que c'est du 50-50...

Eric Roy, le coach niçois, a retenu un groupe réduit de 17 joueurs pour le déplacement à Rennes, samedi soir (21h). Mamadou Bagayoko (douleur sur un pied), est de retour. Cantareil (mollet droit), Mabiala, Ben Saada et Paisley, qui a une entaille au tibia, sont tous indisponibles. Mouloungui, touché au fessier, est bien dans le groupe, au même titre que Faé (mollet). Le retour d'Apam (genou) a été une nouvelle fois reporté. Quartey a été retenu.

Le groupe niçois : Letizi, Ospina - Berthomier, Civelli, Diakité, Gace, Quartey - Coulibaly, Echouafni, Faé, Hellebuyck, Sablé, Traoré - Bagayoko, Mouloungui, Mounier, Rémy.

RENNES - NICE
À 21h, stade de la route de Lorient. Arbitre : Pascal Viléo.
Rennes: Douchez - Fanni, Mangane, Hansson (cap), Danzé - Mvila,
Lemoine, J. Leroy - S. Marveaux, Briand, Gyan.
Entraîneur: Frédéric Antonetti.
Nice: Ospina - D. Diakité, Civelli, Paisley, Gacé - Faé, Sablé (cap),
Hellebuyck - L. Rémy, Bagayoko, Mounier.
Entraîneur: Éric Roy.

Stade de la Route-de-Lorient.
Mi-temps: 0 - 1.
Arbitre : Pascal Viléo.
Spectateurs: 22 033 .
Buts - Rennes: Leroy (59), Marveaux (65). Nice : Mounier (13),
Faé (78).
Avertissements - Rennes: Mangane (42), M’Vila (45).
Rennes: Douchez - Fanni, Mangane, Hansson (cap.), Danzé - M’Vila,
Lemoine - Briand (Pagis, 71), Leroy, Marveaux - Gyan (Bangoura,
88).
Entraîneur : Frédéric Antonetti.
Nice: Ospina - Diakité, Civelli, Gace, Hellebuyck - Coulibaly, Sablé
- Rémy, Faé, Mounier (Traoré, 90+3) - Mouloungui.
Entraîneur : Éric Roy.

Nice ne connaît plus la défaite.Publié le dimanche 09 mai 2010 à 10H44
Renato Civelli intervient devant Briand : Nice a souffert en seconde période mais a finalement arraché un nul pas volé sur l’ensemble des débats.

Une seule défaite (contre l’OM) en dix matches, une équipe invaincue depuis cinq rencontres... Le Nice « made in Roy » a poursuivi sa belle série samedi soir à Rennes, obtenant un nul (2-2) un peu heureux au vu de la domination des hommes d’Antonetti durant la seconde période, mais pas immérité dans l’esprit. Les Aiglons, aussi, en s’appuyant sur un système à trois attaquants, se sont procurés de franches occasions.

Profitant de la mystérieuse apathie des Rennais en 1ère période, les Aiglons ne furent pas longs à s’illustrer : sur la droite, la différence venait de Rémy et de la tête, en extension, le « petit » Mounier ne laissait aucune chance à Douchez (12e). Le banc niçois pouvait rigoler, d’autant qu’Ospina sauvait dans les pieds de Gyan.

Même topo en tout début de seconde période, Douchez empêchant le doublé sur une frappe de Mounier. Un déclic pour Rennes, qui accélérait brusquement, laissant les Aiglons dans les cordes. Ospina repoussait une tête de Gyan oublié au second poteau, mais Leroy à l’affût égalisait (59e).

Débordé dans sa défense, le Gym voyait Marveaux réussir son « piqué » devant Ospina (2-1, 67e) ; ça sentait le roussi pour Nice quand Ospina sortait la parade du match devant Gyan (69e).

Décidément tenace, l’OGCN profitait d’Emerse Faé, l’homme en forme, pour ne pas ternir son bilan grâce à une frappe déviée par M’Villa (2-2, 77e).

CHOUFFF IL VA ETRE EN GRANDES VACANCES CE SOIR A 23 H

Retenu dans le groupe niçois qui accueille l'AS Saint-Etienne, Olivier Echouafni va disputer le dernier match de sa carrière lors de cette 38e journée de Ligue 1. Par ailleurs, Eric Roy enregistre le retour de Chaouki Ben Saada, remis de sa lésion à un mollet. En revanche, Apam (genou), Bamogo (cheville), Mabiala (genou) et Cantareil (mollet) sont toujours indisponibles.

Le groupe niçois : Letizi, Ospina - Civelli, Diakité, Gace, Paisley, Quartey - Ben Saada, Coulibaly, Echouafni, Faé, Hellebuyck, Sablé, Traoré - Bagayoko, Mouloungui, Mounier, Rémy

compositions probables CE SOIR A 21 H
Nice - Saint-Etienne (Arbitre: M. Moreira)
Nice: Ospina - D. Diakité, Civelli, Gace, Hellebuyck - Echouafni (cap.) - L. Rémy, Faé, Sablé, Mounier - Bagayoko.

Saint-Etienne: Janot - Varrault, Bayal, Benalouane, Dabo - Perrin, Gelson, Matuidi, Sako - Rivière, Bergessio.

Estrosi fait visiter ses logements
pour couper court à la polémique



Pour répondre aux accusations du "Canard Enchaîné", le
ministre a fait visiter ses appartements à la presse.



Le ministre de l'Industrie,
Christian Estrosi, a montré hier
aux médias ses deux appartements
de fonction à Paris dont
Le Canard Enchaîné affirme
qu’il en a attribué un indûment
à l'une de ses deux filles.
Il s'agit pour le premier d'un
appartement de 70 m² dans
l'hôtel de Seignelay, un hôtel
particulier du XVIIIe siècle situé
au 80 rue de Lille, dans le VIIe arrondissement
de la capitale,
dont il avait pris possession à sa
nomination au gouvernement
en juin 2009. Le deuxième, qui
lui a été attribué ultérieurement
pour "ses contraintes de
fonctions", est un logement de
55 m² dans les locaux du ministère
de l'Économie, dans le
sud-est de Paris.
"Pas un centime à l’État"
Selon Le Canard Enchaîné,
l'une des deux filles du ministre,
étudiante, bénéficierait seule
"aux frais de la République"
de l'appartement de la rue de
Lille, un trois-pièces cuisine
sous les toits. L'hebdomadaire
affirme que Christian Estrosi
est pour sa part à demeure à
Bercy.
Le ministère de l'Économie,
de l'Industrie et de l'Emploi a
diffusé mardi soir un communiqué
pour assurer que Christian
Estrosi occupait le logement de
fonction de la rue de Lille avec
sa fille, conformément à une circulaire
de juin 2005, émise à la
suite de "l'affaire Gaymard".
Alors Ministre de l'Économie,
celui-ci avait reconnu, là encore
après une information du Canard
Enchaîné, qu’il logeait
dans un 600 m² aux frais de
l'État. Il avait démissionné de
ses fonctions.
Face "aux informations mensongères
et malveillantes" de
l'hebdomadaire, Christian Estrosi
s’est défendu, affirmant
qu’"il n'y a pas eu de logement
attribué à ma fille. Ma famille
ne coûte pas un centime à
l'État", a-t-il dit aux journalistes
lors d'une visite au pas de
course dans l'appartement de
la rue de Lille. Quant à "mon bureau,
j'ai un endroit pour dormir",
a-t-il ajouté à propos du
55m² de Bercy, où il a également
convié la presse par la suite.
Le ministre du Travail, Éric
Woerth, a exprimé hier son soutien
à Christian Estrosi. "C'est
normal d'avoir un logement de
fonction (...). Ne fantasmons
pas et Christian Estrosi respecte
la règle", a-t-il assuré sur France
Info.

NICE AUX NICOIS

BRAVO.........

L'OGC Nice a annoncé, ce vendredi sur son site officiel, qu'un «accord a été trouvé entre la direction du club et le staff technique en place depuis le 8 mars dernier (suite au limogeage de Didier Ollé-Nicole et son staff). Eric Roy, René Marsiglia, Frédéric Gioria, Bruno Valencony et Roger Propos prendront donc en main les rênes de l'équipe professionnelle du Gym pour la saison 2010-2011.» Les détails de cet «accord» seront communiqués au courant de la semaine prochaine lors d'une conférence de presse.
Chris sud le 21 mai à 20:32
bravo o dirigeant à qui il a fallut 1 mois pr les confirmer, c 1 tres bonne chose, 2 defenseurs et 2 attaquants suffisent à notre bonheur maintenant, restons ds la continuité des 11 derniers matchs ou nice serait 5ieme avec 1 seule defaite à marseille allez Eric and co et issa nissa

Eric Roy confirmé
C'est officiel ! Nice sera entraîné la saison prochaine par Eric Roy. L'ancien milieu du club et son staff (René Marsiglia, Frédéric Gioria, Bruno Val...

C'est officiel ! Nice sera entraîné la saison prochaine par Eric Roy. L'ancien milieu du club et son staff (René Marsiglia, Frédéric Gioria, Bruno Valencony et Roger Propos), qui ont dirigé l'OGCN lors des onze derniers matches de la saison 2009-2010, ont trouvé un accord avec les dirigeants des Aiglons. Tous les détails concernant cette nouvelle collaboration seront donnés la semaine prochaine au cours d'une conférence de presse.

Afin de palier le possible départ de Onyekachi Apam
, Nice est,entré en contact avec Paul Baysse, le défenseur international Espoirs de Sedan à qui il reste un an de contrat.

Prêté au club niçois depuis l'hiver dernier par San Lorenzo,
Renato Civelli attend de son côté la décision de l'OGCN quant à la levée de son option d'achat fixée à 1,7 ME.
Un montant qui semble élevé pour le Gym, désireux de réduire la facture avant la date butoir du 31 mai soit 3 jours

L'OGC Nice bientôt vendu ?
Gilbert Stellardo pourrait rapidement céder l'OGC Nice à un groupe d'investissements étranger. L'affaire se réglerait entre 10 et 15 millions d'euros.

Stellardo pourrait bien céder l'OGC Nice
Nice pourrait bientôt changer de propriétaire. Charles Villeneuve a été mandaté par un groupe industriel pour entrer en contact avec les dirigeants azuréens pour un rachat à 100% du club. Une offre de 10 millions d'euros aurait d'ailleurs d'ores et déjà été transmise. En retour, Gilbert Stellardo, l'actuel président et actionnaire majoriaite de l'OGC Nice, aurait indiqué vouloir plutôt 15 millions d'euros. Selon L'Equipe, les deux parties ont jusqu'à lundi soir pour trouver un terrain d'entente. Par ailleurs le groupe industriel susceptible d'acquérir le club niçois"" serait"" franco-libanais.

Tractations autour du rachat


bienvenou bernard on vous dit proche de racheter un club de ligue 1 nice ou psg vous offrez combien
nanard montrant le pouce 1

bienvenou 1 m€ apparement il sera pas d'accord tu es sur
bernard je ne parle pas en centimes qd je dis 1 je dis 100 PATATES










L'OGC Nice n'est pas à vendre au prix proposé par le candidat au rachat, a dit samedi Gilbert Stellardo, le co-actionnaire principal du club.




Gilbert Stellardo a jugé «ridicule» la première offre avancée par le candidat au rachat représenté par Charles Villeneuve. (EQ)
L'OGC Nice n'est pas à vendre au prix proposé par le candidat au rachat, a dit samedi Gilbert Stellardo, le co-actionnaire principal du club.

Comme le révélait L'Equipe, samedi, une offre de rachat de l'OGC Nice est bien parvenue au co-actionnaire majoritaire du club, Gilbert Stellardo, qui a qualifié dans la journée de «ridicule» la somme de 4,5 millions d'euros transmise dans un premier temps par Charles Villeneuve au nom d'un groupe industriel dont le nom est tenu secret. Copropriétaire de l'OGCN depuis 2002 et président du directoire depuis le départ de Maurice Cohen en septembre dernier, Gilbert Stellardo, actuellement en vacances en Italie, a toutefois été informé qu'une nouvelle offre l'attendait sous pli recommandé à son domicile. Cette offfre réévaluée se monterait à environ 10 millions d'euros.

De son contact avec Charles Villeneuve, l'ancien journaliste de TF1 et président du Paris-SG, il a fait le récit suivant à l'AFP
: «Nous nous sommes vus cinq minutes. Il m'a suggéré de vendre Loïc Rémy et a formulé une offre de rachat ridicule. Nous n'avons pas besoin d'un groupe, dont je ne connais d'ailleurs pas l'identité, pour transférer un joueur de cette qualité. L'intérêt du club est plutôt d'avoir les moyens de conserver de tels footballeurs.» «On ne peut être intéressé que par des gens capables d'investir 20 millions d'euros par an pour bâtir une équipe européenne pour 2013, date de livraison du grand stade. Sinon, nous pouvons continuer à gérer», a-t-il ajouté.

L'Equipe écrit que Stellardo aurait placé le prix de la vente totale du club à hauteur de 15 millions d'euros. Les deux parties se sont donné jusqu'à lundi soir pour tenter de conclure, ajoute le quotidien.

on garde les memes

mais je crois pas qu'avec cette equipe ils pourront etre ds les 10 premeirs

Avant de construire son équipe pour la saison prochaine, Nice souhaitait éclaircir la situation de son staff technique. Ce n'est plus qu'une question de jours, voire d'heures : le club s'est en effet entendu avec Eric Roy et ses adjoints (René Marsiglia, Fredéric Gioria, Roger Propos), qui vont tous s'engager pour deux ans, mis à part Bruno Valencony, qui a prolongé d'un an le contrat qui le liait jusqu'à l'année prochaine. Du coup, Marsiglia conforté en équipe première, Manuel Abreu récupère la direction du centre de formation.

Coulibaly, Ospina, Ben Saada vont prolonger
Le Gym peut désormais s'attaquer à son effectif, avec comme premier objectif de garder ses meilleurs éléments. Le milieu Kafoumba Coulibaly va prolonger son contrat de deux ans et sera lié à Nice jusqu'en 2014. La même démarche a été effectuée auprès d'Ospina et Ben Saada et a de bonnes chances d'aboutir dans les deux cas. De plus, un accord de principe a été trouvé avec San Lorenzo (L1 argentine), propriétaire des droits sur Renato Civelli le défenseur central argentin prêté la saison passée à Nice. Il devrait donc s'installer pour trois ans sur la Côte d'Azur.

Offre de Rennes pour Apam

Enfin, côté départ, le club a reçu une nouvelle proposition pour son défenseur nigérian Onyekachi Apam. Rennes est prêt à payer 3,5 millions d'euros. Nice en réclame au moins 1,5 de plus pour commencer à discuter...

NICE
Sur l’A8, la fête nationale
italienne crée la pagaille
Après le sommet France-Afrique
de Nice, les nerfs des automobilistes
ont encore été mis à
rude épreuve, mercredi soir. La
raison du chaos: la fête de la République
italienne, où la circulation
des poids lourds était interdite.
Résultat : 500camions bloqués,
et 13km de bouchons en
fin de journée, selon Nice-Matin.
C’est qu’il avait fallu stationner
les camions sur une voie,
puis deux, puis trois au moment
d’arriver au péage. Six kilomètres
de parking improvisé
qui n’ont laissé qu’une voie aux
véhicules légers. Escota, la société
qui gère l’A8, ne comprenait
pas : "Cela fait une semaine
que nous prévenons tous les
transporteurs de cette impossibilité
de rouler en Italie. Mais ils
veulent quand même se rapprocher
pour repartir au plus vite
dès minuit."

Si escota les faisaient sortir avant le péage il n'y aurait pas de bouchon au péage .

venus a écrit:Si escota les faisaient sortir avant le péage il n'y aurait pas de bouchon au péage .

et c'est ton club le socc qui paie la difference