BAFETIMBI GOMIS, LA PANTHERE

TROP BESOGNEUX POUR ETRE OU DE REDEVENIR INTERNATIONAL
CADRE PEU

Gomis est un récidiviste




Bafé Gomis a été à l'affût sur une relance d'Eedl pour permettre à Lyon d'égaliser contre le Paris-SG. (EQ)
Bafé Gomis, à l'affût sur une erreur d'Edel, avait déjà fait le même coup à Coupet il y a quatre saisons, avec à l'époque le maillot de Saint-Etienne.

Bafetimbi Gomis n'a pas volé son but, dimanche contre le Paris-SG (2-2). L'attaquant lyonnais n'a franchement pas lésiné sur les efforts. Sa hargne et son activité sur chaque ballon ont trouvé une juste récompense, à trois minutes de la fin d'une rencontre qui s'annonçait perdue. Quatre jours après la prestation calamiteuse sur le terrain de Shalke 04 en Ligue des champions (0-3), Gomis a sans doute sauvé ses partenaires et son coach d'une semaine davantage compliquée.

Il faut dire que l'ancien joueur des Verts a bien été aidé par Edel, auteur d'une énorme erreur de relance. Mais à entendre l'intéressé, ce n'est pas le fruit du hasard. «Depuis que j'ai marqué un but à Coupet avec Saint-Etienne (ndlr : lors de la saison 2007-2008), j'ai appris à regarder les relances des gardiens et à toujours me tenir prêt au cas où, a indiqué Gomis. Ils ne sont pas à l'abri (de ce genre de déconvenue), cela peut arriver à tout le monde. Cela m'a souri, je suis bien content pour l'équipe et pour moi.» Gomis est conscient qu'à dix contre onze, l'OL «aurait pu perdre ce match si le gardien du PSG n'avait pas commis ce malheureux dégagement». L'attaquant lyonnais a en tous cas marqué son cinquième but en L1...le premier à domicile.

Les sifflets de Gerland se sont tus, remplacés par les applaudissements. Son nom a même été scandé plusieurs fois. «Cela fait du bien. J'ai été touché. Maintenant, j'aimerais qu'ils (les supporters) appliquent le même exemple pour Jean II (Makoun) et pour tous les autres joueurs qui portent les couleurs de l'OL.» Dans les couloirs du stade, de nombreux Parisiens lui ont adressé une petite tape amicale, en forme d'hommage. «Il a un gros mental, il progresse, il est très utile à l'équipe dans son jeu d'attaquant de pointe», affirme Claude Puel. «A moi de continuer à être conquérant», conclut Gomis.

Puel : «Le déclic Gomis»




Bafetimbi Gomis a marqué un but superbe contre Lorient samedi.
La reprise du gauche de Bafétimbi Gomis, en fin de première période, a libéré l'OL et l'a aidé ensuite à nettement dominer Lorient (3-0).

Au soir d'une victoire aussi large et maîtrisée, c'est toujours plus facile pour un entraîneur de se focaliser davantage sur ses individualités. Claude Puel a donc commencé par parler de Yoann Gourcuff, de retour après près de deux mois d'absence. «Il s'est mis au diapason de toute l'équipe. Il s'est bien situé (sur le terrain), il n'est pas redescendu trop bas, il a su aller de l'avant. Au final, il a réalisé une très bonne rentrée.» Mais le joueur sur lequel le technicien lyonnais s'est le plus étendu s'appelle Bafé Gomis, auteur d'un doublé pour inscrire ses 7e et 8e but cette saison en L1.


«Sa prestation ne m'a pas surpris. C'est dans la lignée de ce qu'il réalise depuis plusieurs semaines, a souligné Puel. Bafé a pris confiance, il a passé un pallier physiquement et a progressé dans le jeu dos au but.» A propos de but justement, sa magnifique reprise de volée a libéré l'OL. «Cela a servi de déclic, il a décanté la situation sur une prise de risque, apprécie son coach. Ensuite, j'ai apprécié la gestion du match de l'équipe, qui a pris du plaisir...» Gomis raconte : «Le ballon arrive vers moi, je ne me pose pas de question et je frappe sans regarder la cage. Cela fait mouche, je suis content. J'en ai réussi des pas mal. Je pense que le plus beau, c'est toujours le prochain.»

Entre cette reprise de Gomis et celle de Källström en début de deuxième période, la gauche caviar de l'OL a fait parler la poudre. Les deux joueurs rivalisent pour la plus belle réalisation de la soirée. «C'est celui de Bafé, sans aucun doute, insiste le Suédois. Mon but n'est pas mal. J'ai eu un peu de chance car il y a beaucoup devant le but. J'ai bien armé ma frappe, je me suis surtout appliqué pour ne pas tuer un pigeon (sic), comme ce fut le cas en première période. Mais le sien est extraordinaire.»

pas le niveau pour jouer en EDF

Gomis n'est plus le même




S'il n'a pas marqué dans el Doubs, Bafé Gomis a délivré une nouvelle passe décisive à Lisandro contre Sochaux. (EQ)
Si l'OL va mieux avant de se rendre à Madrid, mercredi soir, il le doit en grande partie à Bafé Gomis. Bernard Lacombe et Laurent Roussey, son ancien entraîneur chez les Verts, décryptent ses dernières performances.

En ce moment, même lorsqu'on ne parle pas de lui, il y a toujours quelqu'un pour ramener Gomis au centre des discussions. Samedi soir, Claude Puel a encore souligné combien son attaquant avait été «énorme». L'entraîneur répondait à une question sur la prestation de... Miralem Pjanic. Après avoir permis à l'OL «de surnager lorsque le club rhodanien était à la peine dans le jeu» (Bernard Lacombe), l'international français a contribué à sa réhabilitation. Sur les dix-sept réalisations lyonnaises lors des six derniers matches, Gomis n'a marqué que deux buts. Mais il a également délivré deux passes décisives, et été à l'origine de deux autres buts. Lorsqu'on interroge Bernard Lacombe et Laurent Roussey, un seul mot leur vient pour résumer le personnage : «G-E-N-E-R-O-S-I-T-E».

À ses débuts, l'altruisme n'était pourtant pas sa qualité première. S'il a toujours dénoté chez lui «un mental hors norme» et «une grande capacité de travail», Laurent Roussey se souvient aussi que les premiers pas de Gomis chez les Verts s'étaient accompagnés «d'une réflexion d'abord axée sur lui-même». L'attaquant voulait être «titulaire», il était «obsédé par son envie d'être le meilleur». «Avec le temps, il a compris certaines notions, notamment le collectif. Pour recevoir, il faut aussi savoir donner». A l'image de son offrande adressée à Lisandro contre Arles-Avignon (5-0), «une image forte», selon Lacombe. «C'est quelqu'un qui est beaucoup à l'écoute, souligne encore l'entraîneur du FC Sion. Quand vous lui parlez, il n'a pas la prétention de dire que vous avez tort. Mais s'il pense qu'il a raison, il ira au bout de ses certitudes». À l'été 2007, les sollicitations de Lens, notamment, et la conviction de mériter mieux que ce qu'il touchait à l'époque l'avaient incité à engager un bras de fer avec ses dirigeants. «Il a une grande force de caractère». Celle qui lui a permis de tenir bon lorsqu'il a été pris en grippe aussi bien à Geoffroy-Guichard qu'à Gerland.


«J'en ai discuté avec les supporters, ils me disaient : quot;Il ne marque pasquot;, raconte Lacombe. Je leur ai dit O.K., mais regardez tout le travail qu'il effectue...». Pour le conseiller du président Aulas, le «déclic» est intervenu contre Lens (3-1) lors de la 14e journée. Mené 1-0, l'OL est revenu dans le match grâce à un doublé de son attaquant. Puis Gomis a inscrit cinq nouveaux buts en Championnat, portant à neuf son total depuis le début de la saison. Surtout, il s'est mué en un attaquant complet, ce qu'il n'était pas à Saint-Etienne. À Bonal, samedi soir, c'est en position de pivot qu'il a offert l'ouverture du score à Lisandro. Roussey encore : «On avait déjà mis le doigt dessus à Saint-Etienne, mais à l'époque, ce qu'on lui demandait surtout, c'était de la profondeur. Depuis, Bafé a poursuivi sa progression, et il a magnifiquement comblé ses lacunes dans le jeu dos au but. S'il continue comme ça, il deviendra l'un des meilleurs attaquants en Europe». Le déplacement à Madrid, mercredi, lui donnera une nouvelle occasion de s'étalonner

Bafé Gomis, «très touché» par cette affaire, s'est aussi montré solidaire du sélectionneur. «C'est un grand entraîneur qui réalise du bon boulot en équipe de France. Je ne pense pas qu'il soit raciste. Je ne sais pas tout ce qui s'est dit, ce n'est pas à moi de le juger.»

Gomis, d'origine sénégalaise, est né en France et a été sélectionné à 5 reprises entre mai 2008 et octobre 2009. Il trouve «normal» que des joueurs formés en France choisissent finalement leur sélection d'origine. «La France a essayé de prendre à l'Argentine Gonzalo Higuain. Après, c'est un choix de joueur. Moi, j'ai choisi de défendre les couleurs de la France malgré les origines de mes parents. J'estime que la France est mon pays. Je ne regrette pas et je rêve d'être appelé de nouveau en équipe de France.» Pour lui, toute cette histoire est «malheureuse». «Je n'aimerais pas que des jeunes qui veulent être footballeurs paient le prix alors qu'il sont innocents, affirme l'attaquant de l'OL. Il faut réfléchir pour trouver la meilleure solution pour ces jeunes et le football français, un football riche en talents et en devenir. Sa place, c'est de gagner des Coupes du monde, peu importe la couleur des joueurs. Mais c'est vrai qu'il faut se sentir français pour porter le maillot de l'équipe de France.»

"Lyonest lemeilleur
clubde France"
BAFÉ GOMIS L’attaquant varois réussit une bonne deuxième saison à l’OL



"Quand on voit les gabarits
dans les deux camps,
ce sera une rude bataille
Il y a trois ans, Bafétimbi Gomis est passé en quelques semaines
du statut de plus sûr espoir du foot français à celui,
moins envié, d’erreur de casting. Tout est allé très vite,
trop vite. Au terme de sa meilleure saison en L1, avec
Saint-Étienne, ponctuée de 16 buts, il est appelé par Raymond
Domenech pour les matches amicaux qui précèdent
la communication de la liste des 23 pour l’Euro 2008. Contre
l’Équateur, le 27 mai à Grenoble, il entre à la pause à la place
de Djibril Cissé et il claque. Une fois, deux fois.
Le lendemain, quand le sélectionneur, déjà mal-aimé,
communique sa sélection, il y inclut Gomis à la place de Cissé,
lui aussi souvent brocardé par le public. Une question de
forme du moment et aussi une opération de com’ du sélectionneur,
qui préfère Mandanda à Landreau, et veut prouver
ainsi qu’il n’hésite pas à choisir des jeunes plutôt que ceux
qu’on prétend ses chouchous. Malheureusement, pour le
jeune Gomis (il a alors 22 ans), l’Euro est une catastrophe et il
est l’un de ceux qui se noient le plus profondément. On ne le
reverra qu’un petit quart d’heure en équipe de France, fin
2009 contre l’Autriche.
Mais cette saison 2009-10 n’est pas non plus extraordinaire.
Malgré dix buts, il a du mal à justifier son transfert de
Saint-Étienne, lui pour qui Pape Diouf avait les yeux de
Chimène entre 2006 et 2008, sans jamais pouvoir l’attirer à
l’OM.
Cette année, il a franchi un cap. Il a participé à 32 matches
sur 33, déjà marqué 10 buts (autant que l’an dernier), avec
3 passes décisives. Son entente avec Lisandro est l’une des
clefs lyonnaises. Il est venu s’exprimer hier en conférence de
presse à Tola-Vologe


"Sans être toujours brillants,
les Marseillais ont su gagner.
C’est la différence avec nous."

lematch contre l’OM ?
Très difficile. Mais c’est un match où
l’on aura à coeur de bien faire et de
montrer un tout autre visage que celui
démontré à Toulouse. C’est l’Olympico,
un sommet de notre championnat,
un grand match avec beaucoup
d’engouement autour, de part les places
respectives des deux équipes. Mais
l’OM part favori.
❚ Est-ce que l’on en fait trop sur
cematch?
Non. Ces deux équipes sont programmées
pour gagner le championnat.
Cesont les deux plus gros effectifs de
L1, qui ont représenté la France en Ligue
des champions. Le public sait très
bien que ces deux clubs ont une forte
identité. L’OM et l’OL se disputent le titre
tous les ans.
❚ Vous êtes né à La Seyne-sur-Mer,
que représente l’OM pour vous ?
L’OM représente beaucoup. C’est
leclub phare de la région Paca. Quand
j’étais petit, j’ai vu l’OM gagner la Coupe
d’Europe. C’était beau. C’est le club
qui regroupe le plus de supporters
dans toute la France. Jouer contre
l’OM, c’est toujours une grande affiche.
❚ Auriez-vous aimé jouer à l’OM ?
Oui et non. Moi, je voulais voir du football
que ce soit Lyon, Marseille ou Monaco.
Je voulais voir des matches. Je
n’étais pas spécialement supporter de
l’OM, même si je les suivais de près. Je
suis allé deux ou trois fois au Vélodrome,
mais sans voir l’OM. Mais j’ai vu
un match avec France 98 et le jubilé Papin.
❚ Avez-vous compris de ne pas être titulaire
à Toulouse ?
Compris, c’est un bien grand mot.
Je suis un compétiteur et je voulais
jouer ce match. Mais c’est comme ça,
ceux qui sont rentrés devaient avoir du
temps de jeu, c’est qu’ils le méritaient.
Moi, je travaille pour les coéquipiers,
pour le club, et il n’y a pas de place
pour les états d’âme.
❚ Comment avez-vous vécu ce match
à Toulouse?
Je suis entré en jeu, mais malheureusement,
je n’ai pas pu apporter ce que
j’aurais dû. On a vécu une faillite collective.
Maintenant, on a besoin de
points, et surtout besoin de faire un
grand match.
❚ Comment expliquez-vous vos irrégularités
lors de certains matches?
Ça arrive. On a fait quelquefois des
non-matches. On ne nous reconnaissait
pas, comme cela a été le cas à Toulouse.
Il y a d’autres matches où on a
su réagir, où l’on avait plus d’allant, de
liant entre nous, de valeur. Cela n’a
pas été le cas à Toulouse.
❚ Y a-t-il eu une prise de conscience ?
Oui. On n’a pas été bon à Toulouse.
Enplus, on a été touché par certains
événements dont le malaise de notre
président. Il nous a protégés toute l’année
et il a eu un petit coup de fatigue. Il
croit en nous et on se doit, quel que
soit le résultat, de montrer que l’envie
est là. Nous devrons être entreprenants.
On va voir un OL généreux.
❚ On suppose que vous aimeriez être
associé à Lisandro Lopez...
On s’entend bien, c’est vrai. Mais on
est des joueurs du collectif. Face à des
grands gabarits, il a l’habitude de tourner
autour de moi, pendant que je me
bats devant. On a un potentiel pour exploiter
les ballons et les renvois de la
défense adverse. Maintenant, si j’avais
été titulaire à Toulouse, le résultat
aurait peut-être été le même.
❚ Votre équipe a donné le sentiment
d’être au bout du rouleau, qu’en pensez-
vous ?
Non, non. La saison a été épuisante,
mais elle n’est pas finie. Il reste cinq finales.
On se doit d’y croire. On a fait
un mauvais match à Toulouse, on le
sait tous. Maintenant, on va jouer
dans un stade archi-comble, on aura
du monde avec nous. À nous d’en profiter.
Allons au moins en Ligue des
champions. L’OL est une institution et
doit continuer à grandir. Lyon reste le
meilleur club en France.
❚ Que pensez-vous des frères Ayew?
Je suis leur parcours car on a les mêmes
représentants. Je ne suis pas étonné
par ce qu’il leur arrive. Ce sont des
bosseurs, des types bien qui ont des valeurs
et des principes inculqués par
leur entourage et leur papa. Abedi a
été un grand joueur de l’OM. Alors je
leur souhaite de faire un bon match
et…de perdre contre nous.
❚ Avez-vous la pression du PSG?
On s’attend à tout. On doit garder notre
sang-froid. Le PSG a une belle équipe,
qui mérite son rang. Mais nous
sommes encore maîtres de notre destin
pour cette 3e place. Pour la première
place, cela ne dépend pas de nous.
❚ L’OM reste sur dix victoires en treize
matches, c’est impressionnant
quand même?
C’est la différence entre l’OM et nous.
Sans être toujours brillants, les Marseillais
ont su gagner. C’est bien pour
eux. Mais j’entends bien, sur ces
cinq matches, en gagner un maximum,
et peu importe la manière.
❚ Vous attendez-vous à une grosse empoignade
physique ?
Oui. Quand on voit les gabarits dans
les deux camps, ce sera une rude bataille.
Il y aura pas mal de duels. Il y a
aussi de très bons joueurs de ballon
chez eux comme André Ayew, Benoît
Cheyrou etmongrand ami André-Pierre
Gignac.
❚ Votre complicité est-elle réelle ?
On se connaît depuis longtemps. Hormis
quelques minutes en équipe de
France, on n’a jamais pu évoluer ensemble.
Je suis à l’OL, mais s’il entend
me rejoindre, il sera le bienvenu. On
ne s’est pas téléphoné. On va s’appeler
avant le match, mais on ne se chambre
pas trop.

OL-Gomis: "On est monté en puissance"
Vainqueur avec l'Olympique Lyonnais, lors du match amical qui l'opposait au FC Porto (2-1), Bafétimbi Gomis s'est réjouit de ce premier succès des Gones pendantleur phase de préparation. Dans les colonnes du quotidien Le Progrès, l'attaquant français s'est félicité de la progression de l'équipe dans le jeu: "On montre pas mal de solidarité. On n'a pas toujours le monopole du ballon, et on peut s'améliorer dans certains domaines. Ce qui est intéressant, c'est que dans les moments difficiles, on s'applique à ne pas prendre de buts. On l'a assez bien fait. On est monté en puissance avec ces deux buts devant Porto

Lyon
Gomis : «Je me rapproche» 24/09/2011 à 23:26

Six buts en 8 journées et une relation technique remarquable avec Bastos, Bafé Gomis a bien contribué au rebond de l'OL devant Bordeaux (3-1). Il évoque son efficacité retrouvée et se sent prêt à être convoqué en Bleu.


En l'absence de Lisandro, Bafé Gomis assure parfaitement à la pointe de l'attaque lyonnaise.


« Bafé Gomis, les Lyonnais se sont régalés ce soir... On avait à coeur de réagir après ce non-match à Caen ( 0-1, mercredi ). On a essayé de gommer les lacunes affichées là-bas, surtout au niveau de l'état d'esprit. Nous n'étions pas entrés dans la rencontre, moi le premier. Je n'avais pas eu l'abattage habituel dans le combat. On a fait preuve de plus de solidarité et on a su rectifier le tir. Cela montre une réelle envie de réaliser de belles choses cette saison et une vraie force de caractère. Avez-vous disputé votre première période la plus aboutie cette saison ? C'est l'un de nos matches référence. Dans le contenu, on a été très bons. On aurait aimé ne pas prendre de but mais c'est comme ça. Tout le monde a pris du plaisir, les joueurs, le public aussi. C'est important d'avoir une belle communion à domicile. On a bien préparé Zagreb ( mardi en Ligue des champions, ndlr ).

« Michel (Bastos) a une belle patte gauche et une excellente qualité de centre.»
Depuis que Lisandro est absent, vous marquez plus... Non, je ne vais pas dire ça. Il nous manque, c'est un atout important. C'est vrai qu'en ce moment, je suis en forme avec Michel ( Bastos ). Mais Lisandro est le fer de lance de cette attaque, on attend son retour avec impatience. En tout cas, vous voilà ce samedi soir meilleur buteur de L1... Cela fait plaisir 5 minutes, ce n'est que le début de saison. C'est donc anecdotique, l'essentiel c'est la victoire. Votre relation avec Bastos fonctionne de mieux en mieux. On commence à trouver des automatismes. Michel a une belle patte gauche et une excellente qualité de centre. Disons que j'ai la chance d'être à la finition.

«Je fais partie d'un collectif bien huilé qui permet de faire ressortir les qualités individuelles. »
Avez-vous l'impression d'avoir progressé en terme d'efficacité ? J'étais venu à Lyon pour jouer en 4-4-2 mais par le passé, je n'ai pas eu la chance d'évoluer souvent dans ce registre-là. J'étais plutôt cantonné à garder le ballon. Maintenant, on a aussi cette saison une meilleure qualité de jeu, j'ai beaucoup plus d'occasions. Ce qui fait, même si j'en rate de temps en temps, que je suis beaucoup plus efficace. Statistiquement, je tire beaucoup plus au but. Allez-vous guetter avec attention la liste de l'équipe de France, jeudi ? Pas plus que d'habitude. J'ai écouté le discours de coach Blanc, il m'a encouragé à continuer à travailler. C'est ce que je fais, avec un peu plus de réussite. Si je n'y suis pas, je continuerais à travailler. Estimez-vous que vous méritez d'en faire partie ? Ce n'est pas à moi de le juger. Je me rapproche, ce n'est pas comme à un certain temps où j'avais moins de temps de jeu, je n'avais pas le rendement espéré pour aspirer à être sélectionné. Je fais partie d'un collectif bien huilé qui permet de faire ressortir les qualités individuelles.

Six buts en Ligue 1. Deux réalisations en Ligue des champions. Bafétimbi Gomis flambe en ce début de saison. (Re)Devenu un finisseur opportuniste et complet, l'attaquant lyonnais de 26 ans (deux buts en cinq sélections) doit-il être rappelé, ce jeudi, par Laurent Blanc pour les deux derniers matches des éliminatoires de l'Euro 2012 (contre l'Albanie le 7 octobre et face à la Bosnie-Herzégovine le 11 octobre) ? L'entraîneur de l'OL, Rémi Garde, le pense («Il mérite très certainement d'être retenu en équipe de France, sans juger de la sélection de Laurent Blanc»). Et vous, qu'en pensez-vous ?

moi je dis non
gameiro et bien evidemment BENZEMA lui sont nettement superieurs en axial

La nouvelle heure de Gomis ?
Le 28/09/2011 à 23:30 | Mis à jour le 28/09/2011 à 23:54

Actuellement en pleine forme, Bafétimbi Gomis est susceptible d'être rappelé chez les Bleus par Laurent Blanc ce jeudi (14h) pour affronter l'Albanie et la Bosnie (7 et 11 octobre).

Bafétimbi Gomis n'a plus joué sous le maillot tricolore depuis le 14 octobre 2009 et une victoire sur l'Autriche (3-1) au Stade de France.(EQ)
Tout réussit actuellement à Bafétimbi Gomis. Meilleur buteur (6 réalisations) de L1 avec un OL retrouvé, auteur d'un superbe lob mardi soir en Ligue des champions contre le Dinamo Zagreb (2-0), l'attaquant rhodanien a tout pour être épanoui sur le terrain. Ne lui manque en fait qu'une convocation chez les Bleus pour être comblé. Et son retour en équipe de France semble lui tendre les bras. Laurent Blanc doit annoncer ce jeudi (14h00) la liste de joueurs appelés pour affronter l'Albanie et la Bosnie-Herzégovine au Stade de France (7 et 11 octobre). Alors que Karim Benzema, touché à l'adducteur gauche contre l'Ajax Amsterdam mardi soir (3-0) est incertain, et Guillaume Hoarau, appelé ces derniers mois, indisponible (blessé à l'épaule).

«L'équipe de France ? J'ai assez répondu à cette question. Ça ne sert à rien, le coach Blanc fera les bons choix.»
Le profil de Gomis (cinq sélections, la dernière le 14 octobre 2009 contre l'Autriche), qui peut servir de tour de contrôle, offre en outre une alternative pertinente à l'attaque des Bleus. Mais, peut-être échaudé par sa non-sélection contre l'Albanie et la Roumanie le mois dernier, l'ancien Stéphanois, demeure prudent. « L'équipe de France ? J'ai assez répondu à cette question , a lâché le buteur après la victoire contre Zagreb. Ça ne sert à rien, le coach Blanc fera les bons choix. Il faut arrêter avec tout ça. » A Lyon, joueurs, staff et supporteurs voient comme une évidence son retour en équipe nationale. « Je pense qu'il mérite d'être appelé », s'est positionné Rémi Garde mercredi

B. Gomis, «une évidence» pour Blanc

Étincelant depuis le mois d'août avec Lyon, Bafétimbi Gomis a très logiquement été appelé par Laurent Blanc en équipe de France. Un retour qui s'imposait comme «une évidence».

La forme du moment. Laurent Blanc a toujours expliqué que ce paramètre était un des plus importants pour pouvoir espérer être appelé en équipe de France. Si ce n'est le plus important. Forcément, à l'heure d'affronter l'Albanie et la Bosnie-Herzégovine au Stade de France, pour une double confrontation décisive en vue de l'Euro 2012, le sélectionneur n'a pas oublié de convoquer pour la première fois Bafétimbi Gomis, l'actuel meilleur buteur de Ligue 1 qui réussit à peu près tout ce qu'il entreprend en ce moment.

Un doublé pour Bafé lors de sa première sélection en 2008

L'avant-centre lyonnais, fort de ses six buts en Ligue 1 et de ses deux réalisations en C1, retrouve ainsi des Bleus qu'il avait quittés en octobre 2009 après un succès contre l'Autriche (3-1). «C'était une évidence par rapport à ce qu'il réalise, a expliqué Laurent Blanc. Il est en pleine confiance. Il n'y a qu'à voir le but marqué contre Zagreb (un lob plein de finesse, ndlr). Lors du dernier rassemblement, on avait dit qu'on le suivait. Il fallait qu'il continue ses bonnes prestations en club. C'est ce qu'il a fait.»

Avec la blessure de Guillaume Hoarau, il y avait forcément une place à prendre en attaque. Mais le staff des Bleus a-t-il hésité au moment de faire sa liste, Olivier Giroud pouvant également prétendre à la sélection tricolore ? Pas du tout ! «Il y a eu unanimité sur son nom. Il faut qu'il nous fasse profiter de son état de forme», a précisé Blanc. Lors de sa première avec le maillot frappé du coq, le 27 mai 2008, le natif de la Seyne-sur-Mer avait planté un doublé contre l'Equateur (2-0). Il sortait à l'époque de sa meilleure saison en L1 (16 buts inscrits). Evidemment, Laurent Blanc signerait des deux mains pour un replay

Laurent Blanc
«Je n'ai pas de raison de changer de système. Au plus haut niveau, le 4-4-2 n'existe plus.»
Si, de tous les Bleus en présence, Bafétimbi Gomis semble le plus à même à se jouer d'une défense albanaise assez basse, le patron des Bleus s'est toutefois livré à une brève revue d'effectif, disséquant les qualités de ses hommes forts. Bafé Gomis, donc : « Il a progressé dans la surface de réparation, mais il faut qu'il ait des centres»

Gomis : «Je me tiens prêt»
Le 04/10/2011 à 12:00 | Mis à jour le 04/10/2011 à 17:49

Rappelé en Bleu après son bon début de saison avec Lyon, Bafétimbi Gomis se pose en candidat au remplacement de Karim Benzema en pointe : «Cette sélection coïncide avec ma meilleure forme depuis deux ans».


Bafé Gomis se dit prêt à prendre la relève de Karim Benzema pour aider la France à se qualifier.
On l'a laissé, dimanche soir au Parc des Princes, un peu contrit par son manque d'efficacité face au PSG (0-2). On le retrouve, lundi après-midi à Clairefontaine, en remplaçant pressenti de Karim Benzema, monsieur «numéro 1», à la pointe des Bleus. Et toujours le même calme apparent. Rien n'affole Bafétimbi Gomis, c'est un fait. « Je suis arrivé à un âge où il est important d'acquérir de la maturité », glisse-t-il, placide. « Et de la patience ». De la patience, l'attaquant lyonnais en a eu pour revenir chez les Bleus, lui qui a connu une petite traversée du désert après l'Euro : « Il y a eu des moments très durs où j'étais très loin du niveau pour atteindre mon objectif de revenir en équipe de France. Il a fallu avancer pour sortir de ce désert, faire le dos rond et travailler étape par étape. Je suis bien content de retrouver le château. » «Le château», l'avant-centre rhodanien le retrouve grâce à son très bon rendement en Championnat et en Ligue des champions (8 buts en 13 matches) : « Cette sélection coïncide avec ma meilleure forme depuis deux ans. C'est logique d'avoir été appelé maintenant et pas avant. Si j'avais été appelé l'année dernière, ma sélection aurait sans doute fait débat. Mais ce n'est pas un aboutissement et maintenant il ne faut pas redescendre en dessous d'un certain niveau. » Pas comme après l'Euro 2008, en somme : « Après l'Euro, j'ai peut-être fait un mauvais choix. J'aurais dû partir dans un club plus important, sans dénigrer Saint-Etienne, et me frotter à des joueurs d'un autre niveau. »

«Après l'Euro, j'ai peut-être fait un mauvais choix. J'aurais dû partir dans un club plus important, sans dénigrer Saint-Etienne.»
A Lyon, il en a eu l'opportunité, assurance Ligue des champions oblige. Tout du moins depuis un an : « J'étais venu pour jouer en 4-4-2. Finalement, pour des raisons d'équilibre d'équipe, c'était soit Lisandro, soit moi. Le coach faisait souvent le choix de Lisandro. La première année, je suis donc souvent resté dans le rôle du joker. Même si j'ai marqué pas mal de buts, c'était frustrant. Depuis un an, je joue en 4-4-2 avec Licha à Lyon. J'ai commencé à remonter la pente et j'ai franchi quelques paliers ». Et Bafé Gomis, avec ses qualités physiques, pense avoir les épaules pour se frotter aux carrures de défenseurs albanais : « Je me tiens prêt. Je crois que c'est le rôle de tous les attaquants qui sont là. Si on est appelé, c'est qu'on a la qualité et aussi la confiance de l'entraîneur. On a des profils différents. On a un sélectionneur compétent qui connaît bien son groupe. Il fera la meilleure composition possible. » Vraisemblablement un 4-2-3-1 ... Dont Gomis espère bien être le n°2 en pointe.

Bafétimbi Gomis

L'attaquant lyonnais effectue son retour pour une phase qualificative chez les Bleus. Ses bonnes prestations en club ainsi que son profil de pivot technique lui valent la confiance du nouveau sélectionneur, qui l'avait déjà rappelé pour le match amical face à l'Uruguay.

Créé le 21/09/2012 - 07:30
OL-Gomis: "J'ai manqué de réalisme"
Vainqueur 2-1 du Sparta Prague jeudi en ouverture de la phase de poules de la Ligue Europa, l'Olympique Lyonnais a rempli son contrat, même s'il aurait pu se rendre la tâche plus facile si Bafétimbi Gomis, auteur du premier but à l'heure de jeu, s'était montré plus efficace devant le but adverse. A l'issue de la rencontre, l'international n'a pas fui ses responsabilités, reconnaissant sur le site de l'OL: "On a eu pas mal d’occasions, j’ai manqué de réalisme. Mais un attaquant doit être têtu et persister, 'jai été soutenu par mes coéquipiers, je ne suis pas de nature à vite douter. Tout n’était pas négatif avant mon but. On a fait preuve de persévérance. On a su marquer ce qui nous a permis de les faire sortir."

il a eté assez mauvais

Créé le 07/12/2012 - 21:26
OL-Gomis: "Je n'ai rien contre les 2CV"
Bafétimbi Gomis a préféré ne pas jeter de l'huile sur le feu à 48 heures du derby très attendu entre Saint-Etienne et Lyon, dimanche en clôture de la 16e journée de Ligue 1. Réagissant aux propos du président Roland Romeyer, qui avait comparé la veille son gardien Stéphane Ruffier à "une Ferrari" et le portier lyonnais Rémy Vercoutre à "une 2CV", l'attaquant rhodanien n'a pas alimenté la polémique: "Je n’ai rien contre les 2CV. Cette voiture fait partie du patrimoine français ; elle est économique. Rémy nous conduit là où on veut être. J’espère simplement que cela va continuer…".

OL: Gomis, c'est 10 millions


L'Olympique Lyonnais et Jean-Michel Aulas ne s'en sont jamais cachés: ils souhaitent se séparer d'un ou deux gros salaires cet hiver. Dans ce cadre, Bafétimbi Comis, suivi par Liverpool, Chelsea et la Juventus Turin, pourrait être cet élément. RMC rapporte que le club rhodanien pourrait lâcher son attaquant (11 buts en L1) contre un chèque de 10 millions d'euros.

France-Gomis: "C’est une fierté"
Bafetimbi Gomis a découvert avec un plaisir non feint son nom sur la liste des 23 joueurs de l’équipe de France appelés à participer à la tournée en Amérique du Sud. "Depuis le début de l’ère Didier Deschamps j’ai sa confiance, à moi de continuer à lui rendre sur le terrain et de justifier ses choix. Au-delà du plaisir, c’est une fierté de défendre les couleurs de la France. A chaque Marseillaise j’ai des frissons, ça me booste pour la fin de saison, j’espère encore parvenir à trouver le chemin des filets afin d’arriver dans les meilleures dispositions pour ce rassemblement", plaide l’attaquant des Gones.

OL: "Gomis est sur la liste des transferts"

C'était un secret de polichinelle mais ce serait désormais officiel. L'attaquant de l'Olympique Lyonnais Bafétimbi Gomis aurait été placé sur la liste des transferts. Le club le confirmerait dans un communiqué que Le Progrès s'est procuré: "Il s’agit pour l’OL de faire respecter l’état d’esprit et l’engagement de ne pas arriver en fin de contrat. Bafétimbi Gomis est sur la liste des transferts. Il est informé et son agent aussi. Il y a deux ou trois solutions qu’il doit étudier aussitôt que possible". Arrivé dans le Rhône en 2009 pour 15 millions d'euros, l'international français de 27 ans serait sur les tablettes de Swansea, Cardiff, Kazan, Fernerbahçe et Monaco.

OL: Une "belle" offre du Shakhtar pour Gomis


Poussé vers la sortie par son club, Bafétimbi Gomis partira-t-il en Ukraine ? C’est en tout cas une possibilité étudiée par Jean-Michel Aulas, qui évoque "une très belle proposition" du Shakhtar Donetsk, dans les colonnes du Progrès. "Nous pourrions tomber d’accord avec ce club", estime le président rhodanien, qui écarterait du même coup l’offre de dix millions d’euros de Swansea. De son côté, le joueur n’est pas encore décidé, et aurait également discuté avec Vincenzo Montella, l’entraîneur de la Fiorentina

Lyon: Gomis ne part pas en stage

Bafétimbi Gomis n’est pas parti avec ses coéquipiers en stage à Tignes. Le club annonce en effet que Jean-Michel Aulas lui a demandé de rester sur place, afin de négocier plus facilement un éventuel transfert. "Compte tenu de la position du joueur qui n’a pas fermé la porte pour discuter de son transfert, le club lui a demandé de rester à Tola Vologe pour débuter sa préparation avec Jean-Yves Ogier et être ainsi plus facilement disponible pour toutes négociations", explique le club, via un communiqué. Pour rappel, le président lyonnais souhaite voir partir son attaquant, sous contrat avec l’OL jusqu’en juin 2014, alors que l’international préfère patienter pour trouver une situation qui lui permettrait d’aborder dans les meilleures dispositions une année pré-Coupe du monde.

Garde assume pour Gomis
Rémi Garde, l'entraîneur lyonnais, a confirmé que la décision d'écarter Bafétimbi Gomis du stage de Tignes avait été prise en concertation avec son président. Il a par ailleurs affirmé que Gonalons et Grenier allaient très probablement rester.

Rémi Garde a fait le point sur les dossiers chaud de l'OL mercredi après-midi. (L'Equipe)










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Très attendu pour sa première intervention médiatique depuis la mise à l’écart de Bafétimbi Gomis, Rémi Garde a, en substance, cautionné la décision prise par Jean-Michel Aulas, qui a demandé au joueur de rester à Lyon afin de trouver une solution à son transfert. «La décision a été prise en concertation avec le président, a donc déclaré mercredi après-midi l’entraîneur de l’OL, depuis Tignes où son équipe est en stage. Ce n’est pas de gaieté de cœur qu’on s’embarque dans cette situation mais il y a des impératifs économiques importants pour le club. J’espère qu’on trouvera une issue qui satisfera les deux positions.»

«Ce n'est pas une volonté du club de lui manquer de respect mais on ne peut pas aller contre les contraintes économiques.» Gomis (27 ans, sous contrat jusqu’en 2014), est donc toujours «invité» à chercher un nouveau club. Et s’il s’entêtait à rester ? «Ce n’est pas dans l’intérêt de Bafé de prendre cette position. Ce n’est pas une volonté du club de lui manquer de respect mais on ne peut pas aller contre les contraintes économiques.»

Garde a également lié le cas de Gomis à celui de Lisandro, l’autre avant-centre de l’effectif, lui aussi dans sa dernière année de contrat mais que le club espère conserver : «Il est devenu très difficile et compliqué de les faire évoluer ensemble. J’ai demandé aux dirigeants de trouver une solution pour ne pas recommencer la saison avec cette dualité qui n’est pas bonne pour l’équipe.»

Réunion lundi pour Grenier, Gonalons va rester

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En précisant qu’il n’y avait «pas de dissension entre la ligne fixée par le président et (lui)-même», l’entraîneur lyonnais a pu annoncer que Clément Grenier et Maxime Gonalons allaient probablement rester.  «Je pense pouvoir dire que les deux ont envie de s’inscrire sous le maillot de l’OL», a précisé Garde. Pour le premier, une réunion est prévue lundi entre son agent et les dirigeants du club. Le second a pris soin de lui confirmer lui-même en affirmant : «J’ai bien réfléchi, je suis bien à l’OL. J’ai envie de faire une bonne saison.»