ANDRE AYEW

ANDRÉ
"Nous ne passerons pas
notre carrière ensemble

"J’ai franchi un palier", reconnaît le
milieu offensif ghanéen, révélation du
dernier Mondial.

1Y-a-t-il une émotion particulière à
jouer avec votre frère ?
C’est quelque chose de grand, de bien. En
plus, il vient d’être sélectionné en équipeA
avec moi. Il faut qu’il prenne ce qu’il y
a à prendre . Nous avons la chance d’être
jeunes tous les deux et de pouvoir donc encore
progresser. Nous ne serons pas toute
notre vie dans le même club, alors, avoir
la possibilité de jouer ensemble à Marseille,
c’est formidable.
2C’était aussi le club de votre père,
alors, c’est exceptionnel, mais ça
met de la pression ?
Exceptionnel, c’est vrai, un peu bizarre
aussi. Les choses ont été faites ainsi.
Quand j’ai démarré en pro, à 17 ans, on attendait
beaucoup de moi, mais j’ai eu une
progression normale, à Marseille, à Lorient
et surtout à Arles l’an passé. J’ai
franchi un palier, mais je dois retrouver
mon poste ; là, j’essaie de donner le
meilleur de moi-même et je dois tendre
vers plus d’efficacité pour aider l’équipe.
3Quelle aide apportez-vous à Jordan?
Nous discutons beaucoup, comme
nous l’avons toujours fait. Nous avons
grandi ensemble, donc, nous échangeons
et ce n’est pas parce que je suis le grand
que je dois être le seul à parler ; lui aussi, il
s’exprime. Être dans une famille de footballeurs,
ça doit rester un avantage pour
nous. Nous avons souvent notre père au téléphone,
il est content et fier de ce que
nous accomplissons, mais nous devons
continuer, aller plus haut.

◗ OM-MONACO
SANS CISSÉ, NI AYEW
Décalé au dimanche 12 septembre,
OM-Monaco se jouera
sans Édouard Cissé, ni André
Ayew, suspendus. Le premier
en raison de son expulsion
hier soir à Bordeaux; le second
à cause de ses trois avertissements
récoltés lors du Trophée
des champions et en Ligue
1.
Rappelons que ce match
aura lieu trois jours avant la réception
du Spartak Moscou.

◗ "DÉDÉ" AYEW BUTEUR
AVEC LES BLACK STARS
Le jeune milieu offensif olympien
a inscrit le premier but du
Ghana, vainqueur hier (3-0) du
Swaziland lors de la 1re journée
des qualifications pour la CAN
2012




. Titulaire d’entrée sur le
flanc gauche de l’attaque, André
Ayew a trouvé la faille dès
la 13e minute. Il a ensuite été
remplacé par son frère Jordan,
qui honorait lui sa première sélection.
Le Ghana partage la tête
du groupe I avec le Soudan

. Ayew :"Le match contre l'ACA sera compliqué"

le 16/09/2010 à 20:54:18
http://www.laprovence.com/video/A.%2BAyew%2B%253A%2522Le%2Bmatch%2Bcontre%2Bl%2527ACA%2Bsera%2Bcompliqu%25C3%25A9%2522/iLyROoaf85vr/laprovence/actualite

En conférence de presse au centre d'entraînement Robert Louis-Dreyfus, André Ayew a analysé l'AC Arles-Avignon, prochain adversaire de l'OM samedi. Avec son expérience d'ancien joueur du club (il y avait joué l'an passé, prêté par l'OM), il donne son avis sur la crise actuelle qui touche les hommes de Michel Estevan

Ayew: "Je leur dois mes progrès"
PRÊT C’est son année à Arles-Avignon qui a permis au jeune Ghanéen de l’OM de franchir un important palier

Parfois, ça marche, parfois non.Quand un club de l’élite prête
l’un de ses jeunes joueurs à un club hiérarchiquement
inférieur, le retour n’est pas toujours gagnant. Certains
Olympiens ont multiplié les aller-retour sans jamais s’imposer à
l’OM; d’autres, comme Seydou Keita, ont été bradés stupidement.
André Ayew est, dix-sept après Alain Boghossian, qui
s’était épanoui à Istres, cinq ans après Cédric Carrasso à Guingamp,
le meilleur exemple de ce qu’un prêt peut apporter à un
joueur; et rapporter au club formateur.
Au moment où l’OM s’apprête à jouer un derby inédit face à
Arles-Avignon, le jeune Ghanéen est le lien naturel entre les deux
équipes provençales.



"Michel Estevan a été
quelqu’un de très
important pour moi,
un très bon coach"


rtisan de l’accession de l’ACA en Ligue 1, André Ayew est revenu plus fort et plus confiant de son prêt en
Ligue 2; si bien qu’il gagne régulièrement sa place de titulaire à l’OM.

"Le Parc des sports est
difficile ; en Ligue 2,
il rendait des équipes
un peu molles"





❚ ACA-OM, qu’est-ce que ça représente
pour vous?
C’est un grand plaisir de retrouver
le Parc des sports où j’ai
connu tant d’émotions. Beaucoup
de joueurs, de dirigeants
ont changé; même l’entraîneur
maintenant. C’est dommage, il
avait beaucoup apporté en les
faisant monter de CFA2 en Ligue1,
ce qui est exceptionnel ;
ça fait partie du foot, mais je le
soutiens et j’espère qu’il retrouvera
vite un club où montrer ses
compétences.
❚ On a plus vite fait de vous demander
qui vous connaissez encore
dans ce club...
Kaba Diawara, Psaume, Soro,
quelques-uns qui ne jouent pas
trop; je suis déçu, car ils étaient
des joueurs-clefs pour la montée
; mais c’est le foot, il y a eu
du mouvement. Ça me fait mal,
tout de même, de les voir
connaître autant de difficultés.
❚ Vous attendiez-vous à voir
tout exploser ainsi ?
Quand je suis arrivé, c’était différent
; le groupe était basé sur
l’équipe qui avait fait la montée
de National en Ligue 2, renforcé
par des recrues, des joueurs en
prêt. Je pensais que ce serait la
même chose, avec le groupe de
Ligue 2, renforcé par des
joueurs d’expérience. Mais les
changements à la tête, avec peu
de finances dans le club, ça a
changé les plans, puis le coach a
eu du souci.
Mais, je le répète, Michel Estevan
a été quelqu’un de très important
pour moi, qui m’a beaucoup
apporté; c’est un très bon
coach, malgré les difficultés rencontrées
en début de saison.
❚ Justement, que s’est-il passé
l’an dernier ?
J’ai joué à mon poste, en milieu
relayeur et non pas ailier gauche
ou droit. J’avais la confiance
du coach,avec beaucoup de liberté,
pour les coups de pied arrêtés
par exemple.
Il y a eu aussi l’effet Ghana, avec
la victoire en coupe du monde
des moins de 20 ans, la finale de
la CAN en tant que titulaire ;
tout cela m’a donné confiance.
En retrouvant Arles, qui était
sur une bonne spirale, j’ai continué
sur ma lancée et ça s’est
poursuivi en Coupe du monde.
❚ C’est le niveau de jeu, Ligue 2
plutôt que Ligue 1, qui a fait le
succès de ce séjour, par rapport
à l’échec vécu à Lorient ?
À Lorient, je n’avais que 18 ans,
je jouais milieu gauche en
4-4-2, c’était compliqué, j’avais
fait des erreurs de jeunesse, il
faut le reconnaître. Arles m’a
proposé de jouer à mon poste
en Ligue 2 et ce n’est pas le niveau
moins élevé, mais le club
qui m’a fait progresser, avec la
confiance du président
J e a n - M a r c C o n r a d , du
coach,des joueurs, des supporters.
Je ne les remercierai jamais
assez.
Les responsabilités, ça peut s’acquérir
peu à peu, comme à Arles
ou au Ghana. À l’OM, il y a des
grands, des anciens, des
joueurs ont beaucoup prouvé. À
moi de bosser pour devenir un
joueur-clef...
❚ Donc, ici, pas de revendication
de poste...
Quand on arrive à l’OM, on veut
tous jouer. Même arrière gauche,
je jouerais ; je préférerais le
milieu, mais pour l’heure, l’important,
c’est de donner le
meilleur de moi-même.
❚ Êtes-vous touché par la défaite
de mercredi soir ?
C’est difficile à accepter quand
on a la maîtrise du jeu, du ballon.
Nous n’avons pas su être efficaces,
à nous de relever la tête,
de gommer cette période noire.
En ce moment, rien ne nous sourit.
Nous avons les joueurs pour
relever la tête, et, dans le vestiaire,
remonter le moral aux plus
jeunes.
La déception, ce n’est pas le jeu,
mais le résultat, le scénario.
❚ Un adversaire qui n’a pas encore
pris de point, un derby, ce
n’est pas si facile demain...
Très compliqué. Ils vont tout
donner ; le Parc des sports est
difficile à appréhender et les
joueurs voudront prouver quelque
chose au nouveau coach.
Ce stade est spécial, en L2, les
équipes adverses, lorsqu’elles
arrivaient sur ce terrain pas très
beau à voir, ça les rendait un
peu molles; des joueurs nous disaient
: "Mais comment faites-
vous ?" "Ben, on joue..."
Ça a porté chance à Arles-Avignon,
la montée, on l’avait assurée
à domicile. À nous, OM, de
prouver que les choses ont changé...

André Ayew dans son jardin
LES JOUEURS Le jeune Olympien a signé un doublé
pour son retour au Parc des sports d’Avignon



❚ A. AYEW
Il jouait presque à domicile sur un
pré dont il connaît les moindres centimètres.
Le Ghanéen a profité de son retour
pour inscrire un doublé (les 2e et
3e buts olympiens), son premier parmi
l’élite. Il aurait même pu compléter sa
collection par une 3e réalisation. Mais
sa pichenette n’a pas surpris Planté



Le Ghanéen évoluait presque à domicile à Avignon, où il avait brillé la saison
dernière.

André Ayew : "Difficile mais ce n'est pas fini" le mardi 28 septembre 2010 à 22H38


Entré en cours de jeu, André Ayew n'a jamais pu inverser la tendance face à Chelsea, ce mardi, sur la pelouse de Stamford Bridge. Néanmoins, l'international ghanéen ne baisse pas les bras. "Nous ne sommes pas entrés dans le match comme il le fallait, regrette-t-il au micro de TF1. On prend un but après seulement six minutes de jeu mais on a fait une bonne seconde période. On a montré que l'on pouvait faire de belles choses. Il faut tirer des leçons et désormais se concentrer sur le prochain match à Saint-Etienne. Maintenant, ce sera difficile de se qualifier mais ce n'est pas fini. Il faudra battre Zilina pour revenir au classement. Ce sera compliqué mais on a les qualités pour. On a le mental pour faire quelque chose dans cette Ligue des Champions. Il faut continuer, relever la tête et penser à samedi

Les Ayew muets
Par ailleurs, le Ghana a été incapable
de trouver la faille,
hier, face au Soudan (0-0).
Pour l’occasion, Jordan et André
Ayew avaient été titularisés
mais n’ont pas été décisifs...
Les "Black Stars" restent
néanmoins en tête de
leur groupe

Avec le Roi Pelé, pour
la vidéo sur la ligne


C’est une visite à Zurich, qui a donné à Abedi l’occasion de faire
un saut vers Marseille "pour voir les enfants". Zurich, il y était pour
le compte de la FIFA, où il fait partie des membres éminents de la
"task force" qui se réunit pour faire avancer le jeu, les lois, avec
notamment, son homonyme, le Roi Pelé.
"Nous sommes très liés, il m’adore et j’ai un immense respect pour
lui. La première fois que je l’ai rencontré, c’était à New York en 1993,
au tirage au sort de la Coupe du monde, et il m’avait dit qu’il était
fier de me voir porter le même surnom que lui. Depuis, quand nous
sommes réunis, nous prenons toujours quelques heures pour aller
dîner ensemble. Le plus drôle, c’est que lorsqu’on m’a appelé Pelé, je
ne savais pas qui c’était. J’avais 10 ans et l’ancien président de la
République du Ghana a décidé qu’il fallait ajouter Pelé à Ayew sur
mon passeport ; ce qui n’est pas le cas de mes fils."
Après tout, Pelé ne s’appelle pas Pelé non plus, mais Edson Arantes
Do Nascimento...
"Lors de notre réunion, explique Abédi, nous sommes convenus
qu’il fallait faire quelque chose après la dernière coupe du monde
pour aider les arbitres. Lors d’Angleterre-Allemagne, il n’est pas normal
que celui qui juge ait été le seul à ne pas voir que le ballon a
franchi la ligne. La FIFA a fait des efforts financiers considérables
pour mieux préparer les arbitres, pour qu’ils puissent suivre physiquement
le mouvement des matches. Mais ce ne sont pas des surhommes,
quand il faut prendre une décision en une seconde, dans
un stade plein de 80 000 personnes, avec une pression énorme, la
fatigue, selon le moment du match, ils peuvent se tromper.
"Jusqu’à présent, Sepp Blatter était totalement opposé à l’utilisation
de la vidéo. Maintenant, il convient qu’on peut avancer dans
cette direction, pour ce qui concerne le franchissement de la ligne
par le ballon. Plusieurs sociétés vont présenter leur produit, leur
technologie et des essais permettront au comité exécutif de choisir."
L’international Board, garant des lois, a précisé d’ailleurs qu’il
statuerait à ce sujet en mars 2011.

Abedi Pelé a deux dignes successeurs avec Jordan et André

DES ATTITUDRE DU PAPA

A. Ayew : «On a vite relevé la tête»

« Le coach a su trouver les mots qui ont touché notre orgueil. On a donc vite relevé la tête et élevé notre niveau de jeu. On est vraiment fier de notre deuxième mi-temps, maintenant il va falloir rééditer la performance sur un match entier. On a bien fait le boulot, même si en première mi-temps on était un peu bas, on a su gérer le trio du milieu lillois avec intelligence. Après, on a bénéficié d’un bon « Dédé » Gignac, devant ,qui gardait bien le ballon dos au but. On a su jouer sur la vitesse de Loïc Rémy et sur la percussion de Mathieu Valbuena, ça a payé. On sent que tout le monde commence à monter en régime petit à petit, on va continuer à bosser pour répondre présent mercredi ».

ELU HOMME DU MATCH BUTEUR PROVIDENTIEL SUR UNCENTRE DE JORDAN

PAPA ABEDI DOIT ETRE CONTENT

LE MATCH DIMANCHE
A.Ayew: "Zilina nous permet
d’attaquer Paris sereinement
ZILINA -
Jusque-là, ils avaient soigneusement évité d’en parler. Chaque chose
en son temps. D’abord Zilina. Ensuite Paris. "Une échéance après
l’autre", insiste André Ayew. Celle du Parc des Princes se profile désormais.
L’OM l’aborde avec une victoire record en Slovaquie. "Cela nous
permet d’attaquer sereinement le ’clasico’, commente encore Ayew.
Notre succès à Zilina est très large, mais ce n’est pas le score qui est le
plus important, mais la manière avec laquelle on l’a obtenu. On commence
à se sentir à l’aise car on trouve les automatismes." Mercredi,
l’OM s’est effectivement appliqué, un passage obligé pour donner de
la consistance à son jeu. Un paramètre oublié notamment au match
aller (1-0). "On a respecté Zilina, indique Charles Kaboré. Il fallait
prendre cette équipe vraiment au sérieux et être extrêmement attentifs.
C’est, justement, la voie à suivre lors des matches à venir."
Dès dimanche donc, devant le PSG. "On est venus à Zilina avec énormément
de concentration et cet état d’esprit nous a permis de marquer
rapidement, relève Steve Mandanda. Maintenant, on doit faire
attention à ne pas s’enflammer. Le coach y veille de toute façon. Il
faut continuer dans ce sens." Et pour de bon. Depuis le début de la
saison, l’OM peine à se débarrasser d’une inconstance chronique. Cette
situation a pu influer sur la sérénité à l’intérieur du groupe. "On ne
doutait pas spécialement, juge néanmoins Mandanda. On fait en sorte
de rester sur notre lancée. Cela fait un moment que l’on est invaincus
maintenant (depuis le 28 septembre à Chelsea). On est sur une bonne
série." Un enchaînement à prolonger à Paris.

"L’OM m’a donné ma chance"
ANDRÉ AYEW À vingt ans, l’international ghanéen
est en train de s’imposer à Marseille
au terme d’une année très riche

André Ayew meilleur joueur africain de l'année ?
7 contributions Publié le lundi 08 novembre 2010 à 18H12


André Ayew succédera-t-il à Didier Drogba en tant que meilleur joueur africain de l'année ? La question reste entière et "Dédé" a toutes ses chances. L'international ghanéen, auteur d'une année 2010 époustouflante sur tous les plans, a été nommé dans une liste de 10 joueurs par la Confédération africaine de football. Le fils d'Abedi Pelé, qui a raflé la mise à trois reprise par le passé (1991, 1992, 1993). L'heureux gagnant sera nominé le 20 décembre prochain, au Caire, en Egypte

LES FRERES AYEW ONT TRES BIEN COMBINE ENSEMBLES

DOUBLES UNE DEUX ENTRE ANDRE ET JORDAN ET PREMIER BUT ANDRE
PASSE DE JORDAN ET AZPI MARQUE LE BUT VAINQUEUR

Le voeu de Brandao a été exaucé. L'attaquant brésilien de l'Olympique de Marseille, qui souhaitait davantage de temps de jeu, a été entendu par son entraîneur, Didier Deschamps. Pour le choc des quarts de finale de la Coupe de la Ligue face à l'AS Monaco, il a été titularisé à la pointe de l'attaque phocéenne et sera soutenu par les frères Ayew, Jordan et André. Fabrice Abriel débute également. Côté monégasque, Guy Lacombe enregistre les retours de Lukman Haruna et Serge Gakpé.
Les équipes de départ :MARSEILLE : Mandanda (cap.) - Azpilicueta, Taiwo, Mbia, Diawara - Kaboré, Abriel, Cheyrou - J. Ayew, A. Ayew, Brandao.

MONACO : Ruffier (cap.) - Mongongu, Bonnart, Hansson, Puygrenier - Nkoulou, Coutadeur Haruna - Aubameyang, Gakpé

1Comment expliquez-vous ce faux pas
à domicile ?
Je n’ai pas d’explications... On voulait ces trois
points, tout le monde en avait envie, on a essayé d’aller
les chercher pendant ces 90 minutes. Lens n’avait
rien à perdre et a joué crânement sa chance. Ça fait
mal de ne pas gagner mais c’est le football, c’est comme
ça. Maintenant, c’est fini, ce match appartient au
passé.
2Cette contre-performance collective
ne vous inquiète-t-elle pas?
Moi, je suis confiant. Tous les matches sont difficiles
et là, on n’a pas gagné. Il faut continuer à travailler à
l’entraînement et relever tout de suite la tête. On sait
ce qu’il y a à faire et on veut ramener un bon résultat
de Toulouse, pour repartir sur une bonne série. Dans
l’effectif, il y a des joueurs expérimentés qui savent
gérer ce genre de situation, et d’autres vont bientôt
donner le meilleur de leur potentiel, comme Dédé Gignac
qui va marquer beaucoup de buts. Il faut savoir
se battre ensemble.
3Que pensez-vous de la réaction des supporters,
à la fin du match?
C’est normal; on a perdu à Paris, on fait match nul
chez nous contre Lens alors forcément, ils ne sont pas
contents. C’est de la déception. Mais il ne faut pas
trop s’inquiéter, le collectif prend forme petit à petit.
Ça revient, j’ai confiance en mes partenaires pour
qu’on retrouve rapidement le chemin de la victoire

André Ayew : "On doit relever la tête" dimanche 14 novembre 2010 à 09H30

Si André Ayew a tenté d'apporter l'étincelle, il a été trop seul dans un jeu qui a manqué de spontanéité avec un Lucho qui s'est vite éteint hier.

Si l'international ghanéen a tenté d'apporter l'étincelle, il n'a pas pu éviter à l'OM de faire nul match avec Lens, hier soir au stade Vélodrome (1-1). Le milieu de terrain olympien reste malgré tout confiant pour la suite.

- Comment expliquez-vous ce faux pas à domicile ?
André Ayew : Je n'ai pas d'explications... On voulait ces trois points, tout le monde en avait envie, on a essayé d'aller les chercher pendant ces 90 minutes. Lens n'avait rien à perdre et a joué crânement sa chance. Ça fait mal de ne pas gagner mais c'est le football, c'est comme ça. Maintenant, c'est fini, ce match appartient au passé.

- Cette contre-performance collective ne vous inquiète-t-elle pas ?
A.A. : Moi, je suis confiant. Tous les matches sont difficiles et là, on n'a pas gagné. Il faut continuer à travailler à l'entraînement et relever tout de suite la tête. On sait ce qu'il y a à faire et on veut ramener un bon résultat de Toulouse, pour repartir sur une bonne série. Dans l'effectif, il y a des joueurs expérimentés qui savent gérer ce genre de situation, et d'autres vont bientôt donner le meilleur de leur potentiel, comme Dédé Gignac qui va marquer beaucoup de buts. Il faut savoir se battre ensemble.

- Que pensez-vous de la réaction des supporters, à la fin du match ?
A.A. : C'est normal; on a perdu à Paris, on fait match nul chez nous contre Lens alors forcément, ils ne sont pas contents. C'est de la déception. Mais il ne faut pas trop s'inquiéter, le collectif prend forme petit à petit. Ça revient, j'ai confiance en mes partenaires pour qu'on retrouve rapidement le chemin de la victoire.

André Ayew et le Ghana tenus en échec mercredi 17 novembre 2010 à 18H37



Titularisé, André Ayew n'est pas parvenu à faire triompher le Ghana. A Dubaï, les Black Stars ont fait match nul contre l'Arabie Saoudite (0-0) en dépit d'une nette domination. L'Olympien a notamment regretté que lui et ses partenaires aient éprouvé trop de difficultés à entrer dans la partie.

L'année 2010 se conclut enfin pour des Ghanéens usés par la répétition des matches, entre la Coupe d'Afrique des nations et la coupe du monde sud-africaine, dont ils ont été l'un des héros, en atteignant les quarts de finale

ANDRE FELICITE PAS SES POTES APRES SON BUT DE LA TETE

Ce succès permet à l'OM de remonter provisoirement sur le podium de la Ligue 1 et de préparer idéalement le déplacement à Moscou en Ligue des champions, ce mardi.

OM -

André Ayew est en grande forme avec l'OM cette saison.
André Ayew est l'un des joueurs marseillais parmi les plus performants et les plus réguliers cette saison. Un atout de plus avant la réception de Montpellier samedi (19h00).

Deux jours après la qualification de son équipe pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions, André Ayew affichait une petite mine ce jeudi à la Commanderie. Il était heureux mais fatigué. «Mercredi ça allait encore, mais ce jeudi, on a mal partout. Ce fut un combat difficile sur un terrain synthétique qui rend les choses compliquées.» A Moscou, il a tenu le couloir gauche, dans un rôle hybride de milieu-attaquant qui ne le rebute pas. Même s'il préfère jouer dans l'axe comme milieu offensif, où il s'est imposé l'année dernière à Arles-Avignon, il accepte de répondre aux injonctions de Didier Deschamps pour le bien du collectif. Car le Ghanéen, garçon intelligent et déterminé, sait ce qu'il veut.

Mis à l'écart par l'entraîneur marseillais, juste avant son départ pour l'ACA, où il a réussi une excellente saison avec Michel Estevan, il aurait pu en rester là avec l'OM. D'autant que ses prestations remarquées en Afrique du sud avec le Ghana lui avaient ouvert des portes en Europe. Mais le fils d'Abedi Pelé a su se remettre en question et a accepté de subir la concurrence dans cette équipe marseillaise. «J'ai le devoir d'être toujours à fond, alors on bosse sans arrêt.»

Il avoue prendre exemple sur des éléments d'expérience comme Heinze ou Lucho. «Je les regarde faire avec beaucoup d'admiration. Gaby est un grand pro, il travaille tout le temps, peut-être trop», s'amuse t-il. En quelques mois, son statut a changé. Avec une dimension encore accrue quand il retourne au pays. Il est passé d'espoir à celui de titulaire. Il est le troisième joueur le plus utilisé après Lucho et Cissé et concurrence toujours plus ses partenaires du milieu (Cheyrou) ou de l'attaque (Valbuena et Brandao). A Toulouse, il a inscrit de la tête, son quatrième but de la saison. André Ayew est actuellement meilleur buteur du club à égalité avec Lucho. Bien dans sa tête et dans ses pompes, même s'il est conscient qu'il a encore à progresser, c'est un atout de qualité pour l'OM

d'André Ayew après la victoire contre Montpellier: "La blessure d'Azpi nous fait très mal. C'est difficile à accepter mais ça fait partie du football. Concernant le match, on a su bien gérer. Il ne faut pas s'enflammer. On est sur de bons rails, mais tout n'est pas encore parfait

En tout cas, ça me fait mal, assurait André Ayew après le match. On remarque que c'est un championnat difficile et que rien n'est acquis d'avance. Mais nous avons un point d'avance, il faut relever la tête.»

Ayew : "Très compliqué pour l'OM"
Publié le mercredi 22 décembre 2010 à 21H44




Moins actif et incisif qu'à l'accoutumée, André Ayew reconnaît que l'OM a éprouvé les pires difficultés. "C’était très compliqué pour nous, on n’a pas l’habitude de terrains comme celui-là, explique-t-il au micro d'OMtv. Il y avait vraiment beaucoup de bosses, on ne pouvait pas produire notre jeu. Quand on voit la physionomie de la rencontre, ce résultat n'est pas si mal. Il faut continuer avec cet état d'esprit. On a beaucoup donné durant ces six mois de compétition et on a enchaîné de nombreux matches, avec plus ou moins de bons résultats. Il va maintenant falloir se reposer et revenir avec beaucoup d’envie, pour vraiment lancer notre championnat. On est qualifié en Ligue des Champions et en championnat, on peut se focaliser sur les points à prendre en L1