UNITED STATES OF AMERICA

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Congrats USMST! Great start at the World Cup
2:05 AM - 17 Jun 2014
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C'est le nombre de secondes qu'il a fallu au capitaine américain Clint Dempsey pour ouvrir le score face au Ghana, lundi soir, lors de la victoire des Américains (2-1) dans le groupe F. Grâce à cette performance, Dempsey est entré dans le top 5 des buteurs les plus rapides en Coupe du monde. C'est le Turc Hakan Sukur qui détient le record avec onze secondes en 2002.

Coupe du Monde
18 juin 2014 à 16:00

Du Rouge et Blanc sur les bancs au Brésil
par @simonremoussin, @motaccard
© Photo : AS MONACO
Didier, Sabri et Jurgen unis dans la performance... R&B hier, sélectionneur aujourd'hui ! Bilan des trois anciens monégasques au soir de la première journée, trois victoires. Rien que ça.






JÜRGEN KLINSMANN
À l'instar de son homologue français, le sélectionneur allemand des États-Unis connaît les recettes du succès. Attaquant star de l'AS Monaco durant deux saisons (1992-1994), 65 matchs disputés pour 29 buts inscrits, Jürgen Klinsmann a conduit la sélection allemande à la troisième place du Mondial 2006. À la tête des USA depuis 2011, l'ancien entraîneur du Bayern Munich a réussi son entrée dans ce Mondial avec un succès 2-1 face au Ghana. Une victoire lors de leur prochain match contre le Portugal (dimanche à minuit, heure monégasque) et les États-Unis seraient directement qualifiés pour phase éliminatoire. L'autre rencontre de cette poule G verra s'affronter le Ghana et l'Allemagne.
"Avant tout, je tiens à féliciter l'équipe. Comme prévu, nous avons vécu une rencontre très difficile. Nous savions que ce match allait être serré. Nous débutons la compétition comme nous le voulions. Cette victoire, il a fallu aller la chercher. C'est génial de prendre ces trois premiers points"

[size=40]Etats-Unis - Portugal : 2-2[/size]

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[size=12]Le Portugal sauve sa tête sur le fil, grâce à une égalisation de Varela au bout du temps additionnel. Les Etats-Unis qui tenaient leur qualification devront encore la valider contre l'Allemagne, alors que la Selecçao rêvera d'un exploit face au Ghana.
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Coupe du monde
23 juin 2014 à 01:49

Match nul pour le Portugal de João Moutinho
par @simonremoussin
© Photo : AS MONACO - Stéphane Senaux
Grâce à un but de Varela à la toute dernière minute face aux États-Unis, les Portugal décroche un match nul inespéré. João Moutinho et ses coéquipiers restent en course pour les huitièmes de finale.

Déjà défaits par l'Allemagne (4-0) lors de leur premier match dans ce Mondial, les coéquipiers de João Moutinho sont passés à deux doigts de l'élimination. Menés 2-1, les Portugais ont fini par égaliser au bout du temps additionnel. Le point du match nul qui les maintient en vie dans ce groupe G.
Dans ce groupe, les Allemands et les Américains possèdent 4 points. Le Ghana et le Portugal un seul. Les dernières rencontres verront s'opposer l'Allemagne aux États-Unis et le Portugal au Ghana.

ondial 2014 : le Portugal s'accorde un sursis in extremis face aux Etats-Unis
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Publié le 23/06/2014 à 07h40 , modifié le 23/06/2014 à 08h25 par 
SudOuest.fr, avec AFP


Tenus en échec par les Etats-Unis (2-2), les Lusitaniens, qui ont déjà largement perdu face à L'Allemagne (4-0), ne sont plus maîtres de leur destin
L'attitude de Ronaldo, qui s'est encore perdu dans son jeu et est apparu de plus en plus nerveux au fil des minutes, avait de quoi inquiéter.© PHOTO 
AFP RAPHAEL ALVES








L
e Portugal s'est accordé in extremis un sursis [size=13]en arrachant le match nul 2 à 2 grâce à un but à la dernière seconde face aux Etats-Unis, dimanche à Manaus, mais se trouve tout de même au bord de l'éliminationdans le groupe G.
Les Américains, qui ont bien cru avoir décroché leur billet pour les huitièmes avant le coup de tête de Varela, sur un superbe centre de Ronaldo, se consoleront rapidement. Un nul dans le dernier match contre l'Allemagneleur suffira, comme à leur adversaire, pour passer et éliminer le Portugal et le Ghana.
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• Plus maîtres de leur destin
  

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Pour n'avoir pas su s'accrocher au cadeau des Américains, menés dès la 5e minute après une énorme erreur défensive, les Lusitaniens, étrillés en ouverture par l'Allemagne (4-0), ne sont plus maîtres de leur avenir. Il leur faut espérer que le match Allemagne-USA ne se termine pas par un nul, tout en battant eux-mêmes, largement si possible, le Ghana, dans la même position qu'eux.
Tout avait pourtant idéalement commencé pour le Portugal avec un dégagement complètement raté de Cameron sanctionné de près par Nani (5). L'attitude de Ronaldo, qui s'est encore perdu dans son jeu et est apparu de plus en plus nerveux au fil des minutes, avait toutefois de quoi inquiéter.
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• Un début rêvé, puis la série noire
  

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Après ce début rêvé pour les Portugais, plus rien, l'équipe s'est arrêtée, a laissé le ballon à l'adversaire en pensant que cela suffirait. Dangereux quand ils recherchaient Dempsey dans la profondeur à l'image de ce sauvetage miraculeux de l'excellent Costa sur sa ligne après une frappe à bout portant de Bardley (55), les USA ont longtemps perdu du temps dans des frappes lointaines stériles.
En face, après les défections de Coentrao, Rui Patricio et Almeida, la suspension de Pepe, la série noire des blessures s'est poursuivie avec la sortie rapide de Postiga (16).
Alors qu'Andre Almeida était performant à gauche, Bento l'a aussi sorti à la pause sans autre raison apparente que de renforcer un milieu où Moutinho a gravement handicapé son équipe en étant transparent.
Incapable de lancer Ronaldo, le régulateur de l'équipe a couru dans le vide dans la touffeur irrespirable de Manaus.
Et les Etats-Unis, accrochés aux certitudes nées de leur victoire mentale contre le Ghana (2-1), ont logiquement trouvé les ressources pour retourner la situation.
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• Retournement de situation pour les Etats-Unis
  

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Jones a d'abord armé un superbe missile longue distance enfin cadré (64) puis, après une énième différence faite à droite par Johnson, Dempsey a inscrit son deuxième but de la poitrine (81) à la limite du hors-jeu.
De quoi rendre jaloux CR7, qui a également vu son coéquipier Varela enfin égaliser (90+5). Un coup de théâtre de dernière minute qui pourrait bien ne pas suffire à sauver le Portugal.
En contre-attaque, son équipe aurait toutefois pu faire un break heureux si Nani n'avait pas trouvé le poteau ou si Howard n'avait pas sauvé les meubles sur Eder (45). Comme en 2010, les Etats-Unis pourraient donc atteindre le tour suivant. 
Peut-être affaiblie et déstabilisée par les absences, peut-être vieillissante aussi et sûrement trop nerveuse, l'équipe du Ballon d'Or, demi-finaliste de l'Euro-2012, n'est plus très loin de la sortie. Lors de leur neuf derniers matches planétaires, les Lusitaniens n'ont été capables de battre que la Corée du Nord en 2010 alors, méritent-ils finalement autre chose ?  
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Klinsmann : «On est en confiance»
Un peu déçu d'avoir laissé filer la victoire face au Portugal, Jürgen Klinsmann est néanmoins fier de ses joueurs et de leur parcours au Brésil.

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Les Etats-Unis de Klinsmann comptent 4 points en deux matches. (Reuters)




Jürgen Klinsmann (sélectionneur des Etats-Unis) : «C'était un match formidable dont on va parler longtemps. On commence avec quatre points en deux matches et on devrait être content mais quand vous avez six points et que vous encaissez un but dans les arrêts de jeu, il faut encaisser. Mon équipe ne joue pas pour faire le nul. Les deux camps joueront pour remporter le groupe et je suis convaincu que le match sera très bon. C'est une fin de match très spectaculaire, avec des émotions. C'est ça le Mondial. On vit pour ça, ces émotions positives, négatives. Et ensuite il faut passer à autre chose rapidement. Après le but de Ronaldo, j'espérais que l'arbitre accorderait encore 30 secondes de jeu car on avait le ballon et on allait dans le camp adverse. Ces quatre dernières semaines, l'équipe a montré des progrès incroyables, comme la façon dont a contrôlé la plupart du jeu contre cette grosse équipe. Notre état d'esprit est très bon, on est en confiance mais le niveau va s'élever maintenant. On a mis un pied en 8e, il faut mettre le 2e. On a de l'ambition. On a ce fighting spirit, cette énergie. Avec Loew, on est de bons amis mais chacun fait son boulot. L'heure n'est pas au petits coups de fil amicaux. Ce soir, je suis content de tous mes joueurs. Cela fait trois ans que l'on travaille sur ce projet et je pense que c'est l'un de nos matches les plus prometteurs. Pour un entraîneur, c'est une belle récompense quand il voit se réaliser ce qu'il a mis en place. Notre objectif est d'atteindre le prochain tour. On est capable de surprendre encore d'autres équipes dans ce tournoi.»



Tim Howard (gardien des Etats-Unis) : «On avait mis un pied de l'autre côté de la porte donc il y a une petite déception mais de façon réaliste, on s'est donné de bonnes chances d'aller plus loin. On est optimiste. On est là où on voulait être quand on a commencé cette aventure. Ronaldo est un bon joueur qu'il faut tenir en permanence et il a fait à la fin cet excellent centre. Mais on avait un plan de jeu et je pense qu'on l'a parfaitement exécuté. Le Portugal ne nous a pas fait trop mal. On prend les résultats comme ils viennent. Demain est un autre jour, on verra. Là on va bien dormir avant de dures séances d'entraînement qui nous attendent. On est bien placé pour se tirer du groupe de la mort et ça c'est excitant. Germaine (Jones) a mis un but incroyable mais au milieu, tous, ils ont fait un superbe boulot en se couvrant, en dédoublant dans les couloirs. Moi je ne pourrais pas faire tout ça. C'est fondamentalement ce qu'est notre équipe et ça on ne pourra jamais nous l'enlever.» (AFP

[size=36]Etats-Unis: Zusi, une lenteur critiquée[/size]

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Drôle de polémique au pays du soccer. Après l'égalisation (2-2) du Portugal à la 95e minute qui a privé les Etats-Unis de billet pour les huitièmes de finale de la Coupe du monde avant même la dernière journée du groupe G, Graham Zusi a été pointé du doigt pour son attitude lors de son remplacement. Rappelé sur le banc de touche par Jürgen Klinsmann, le milieu offensif a pris son temps pour sortir du terrain à la 91e minute, ce qui a entraîné une extension du temps additionnel. Le 4e arbitre était en effet sur le point d'afficher 4 minutes supplémentaires, avant de se raviser, au grand dam notamment de Taylor Twellman, ancien attaquant de la sélection américaine devenu consultant sur ESPN. "Il y a un peu de ruse je pense, mais personne ne le ferait pas. Mais oui, bien sûr, vous essayez de vous mettre le plus loin possible du banc et de revenir en marchant", a seulement concédé le 2e passeur décisif de la partie, rapporte Yahoo Sports.

[size=36]tats-Unis-Klinsmann: "Un sentiment de frustration"[/size]

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Accrochés à la dernière minute par le Portugal dimanche soir (2-2), les Etats-Unis ont laissé passer leur chance de se qualifier directement pour les huitièmes de finale, avant leur troisième match du groupe G. Un retournement de situation frustrant pour Jürgen Klinsmann, qui salue néanmoins la performance de ses joueurs: "Prendre un but à la dernière seconde, c'est un manque de chance. Les garçons ont fait un match extraordinaire, explique ainsi le sélectionneur américain. Maintenant, la route de la qualification est plus longue, mais nous voulons battre l'Allemagne pour être au rendez-vous des huitièmes. Ce nul nous laisse un sentiment de frustration. Nous allons travailler pour que cela ne se reproduise pas." Les Etats-Unis affronteront la Mannschaft jeudi, alors que le Ghana et le Portugal joueront leur va-tout.

Le rêve américain, l'espoir algérien

Publié le 24/06/2014 à 08:13


Quel match, encore, et quel épilogue nous ont offert les états-Unis et le Portugal… Franchement autant l'équipe de Ronaldo déçoit, autant cette formation des USA ravit. Moi, le premier.

On sent vraiment un groupe, préparé athlétiquement à aller au combat – d'ailleurs, c'est une généralité en ce qui concerne les nations d'Amérique Centrale ou du Sud ; je pense au Chili très consistant sur ses trois matches, le Mexique qui a tenu la dragée haute au Brésil, sans oublier le Costa Rica qui fait feu de toute flèche si on ose. Donc, les gaillards de Jürgen Klinsmann. Dans le groupe dit «de la mort», ils ont manqué la qualif' pour 20 petites secondes et le but de Varela sur offrande, au passage, de Cristiano Ronaldo (90+5, 2-2).
Y'avait qu'à voir leur tête, ils donnaient l'impression d'avoir été éliminés ! On se réjouit par avan-ce de leur «finale» de groupe face à l'Allemagne, jeudi. Physiquement, un duel de titans qui devrait envoyer du bois ! Le duo de milieux Beckerman-Jones, le ratisseur et le relayeur, porte le rêve américain.
Bon, sinon la péninsule est mal : la Roja out,
la Selecção tout comme. Il n'y a pas de secret non plus : le Real, gros fournisseur de l'équipe d'Espagne et du Portugal en comptant l'importantissime «CR», a gagné la Ligue des champions.
Il s'agit d'une compétition qui pompe, les joueurs
qui la disputent jusqu'au bout manquent de jus.
Puis, a priori, la Selecção a aussi un problème de préparation : trop de ses joueurs se sont blessés.
L'Algérie apporte une note de fraîcheur supplémentaire à ce Mondial. Le Onze de Halilhodzic a manœuvré à sa guise des Coréens qui ne sont jamais faciles à battre. Le quatuor offensif des Fennecs, c'est les Quatre Fantastiques ! L'ancien Rennais Brahimi a cette faculté à s'engouffrer dans les espaces, le petit Djabou a une main à la place du pied gauche, Feghouli qu'on connaît le mieux sort d'une super-saison avec le Valence CF. Et pour enfoncer le clou et le tout, Slimani pèse sur les arrière-gardes adverses de tout son poids.
Il est habile, ce qui ne gâche rien ; sent les coups à la perfection.
Bref : l'Algérie fait souffler
un vent nouveau
sur le Maghreb.

Mondial: USA-Allemagne, les liaisons dangereuses
24/06/2014 15:24
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Les joueurs de la Mannschaft fêtent l'égalisation obtenue par le buteur Miroslav Klose (d) contre le Ghana dans le Groupe G, le 21 juin 2014 au stade Castelao à Fortaleza - AFP
Et revoici le spectre du "match de la honte" du Mondial-1982, RFA - Autriche: en cas de nul jeudi entre les Etats-Unis et l'Allemagne, dont les deux sélectionneurs se connaissent bien, les deux équipes seront qualifiées et le Portugal éliminé du Mondial-2014.

. Il y a 32 ans, le match de la honte
Etats-Unis - Allemagne est prévu le 26 juin à Recife. Soit 32 ans, presque jour pour jour, après cet infamant RFA - Autriche du 25 juin 1982 à Gijon en Espagne.
Ce jour-là, quand Hrubesch ouvre le score pour la Mannschaft à la 10e minute, les deux équipes, qu'un tel score qualifie au tour suivant, s'arrêtent de jouer, proposant pendant 80 minutes une mascarade de football où personne ne veut plus marquer...
Des fans algériens, présents dans les tribunes et dont l'équipe nationale est la grande victime de cet arrangement, brûlent alors des pesetas, tandis que le public espagnol agite des mouchoirs blancs en signe de protestation, aux cris de "fuera" ("dehors"). Dans les jours qui suivent, le scandale prend même une dimension mondiale.
. Les raisons des soupçons
Peut-on revivre tel cauchemar ? La presse portugaise craint déjà le pire pour sa sélection et son Ballon d'Or Cristiano Ronaldo. Un nul entre Américains et Allemands éliminerait la Selecçao, quel que soit son résultat dans l'autre match du groupe G face au Ghana.
Joachim Löw, sélectionneur de la Mannschaft, et Jürgen Klinsmann, coach des USA, se connaissent et s'apprécient depuis leur association entre 2004 et 2006 à la tête de l'équipe allemande. Le premier était alors l'adjoint du second.
Pour ajouter encore un ingrédient sulfureux qui ne plaira pas à la presse portugaise, "Klinsie" a retenu au sein de son groupe cinq joueurs nés et formés en Allemagne, comme Jermaine Jones, de père américain et mère allemande, ou encore le grand espoir du Bayern Munich Julian Green, qui a grandi en Allemagne où son père, militaire américain, était un temps stationné.
. Les USA nient en bloc
Evidemment, les questions en conférence de presse ont tourné autour de la peur d'un nouveau match de la honte.
"Vous parlez d'un match qui a eu lieu il y a des décennies. Il fait partie de l'histoire de l'Allemagne, mais pas de celle des Etats-Unis. Si on regarde le passé de l'équipe américaine, on essaie toujours de faire en sorte que les choses se passent comme elles doivent se passer", s'est défendu énergiquement Klinsmann.
"Nous avons ce +fighting spirit+ et nous donnons tout à chaque match, a-t-il poursuivi. A Recife, nous donnerons tout pour battre l'Allemagne. C'est notre but".
"Les deux équipes veulent terminer en tête du groupe et nous voulons être aux commandes pour aborder les huitièmes de finale", a-t-il ajouté.
Même s'il est proche de Löw, "Klinsie" a assuré que "ce n'était pas le moment de passer des coups de fil amicaux".
"+Jogi+ (Löw) fait son job. Nous sommes bons amis et je fais mon job qui est de tout faire pour que nous nous qualifiions pour les huitièmes de finale", a-t-il encore insisté.
. L'Allemagne réfute
Du côté allemand, le sélectionneur adjoint Hansi Flick a également rejeté par avance toute tentation d'arrangement.
"Tout ce que je peux dire c'est un non catégorique ; nous avons déjà dit que nous voulions gagner ce match et c'est ce pour quoi nous jouerons pendant 90 minutes".
Le défenseur de la Mannschaft Mats Hummels n'a pas dit autre chose: "Ce serait antisportif et injuste de faire ça, et d'ailleurs nous voulons gagner ce match. Nous ne jouerons pour aucun autre résultat que la victoire". Rendez-vous le 26 juin.

[size=30]Mondial: conflit d'intérêts à Recife[/size]
26/06/2014 08:11
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L'équipe des Etats-Unis à l'entraînement à l'Arena Amazonia, à Manaus, le 21 juin 2014 à la veille de sa rencontre face au Portugal dans le Groupe G - AFP/Archives
L'Allemagne et les Etats-Unis, en quête d'un billet pour les huitièmes de finale du Mondial-2014, s'apprêtent à disputer un drôle de match jeudi à Recife (nord-est): en cas de nul les deux équipes seraient qualifiées, ce qui entretient les soupçons de conflit d’intérêts entre deux camps très proches.

Le résultat de cette rencontre conditionnera aussi l'avenir du Portugal et du Ghana, adversaires à Brasilia, à la même heure (13h00 locale, 16h00 GMT) dans le groupe G.

[size=30]Le Portugal tremble, l'Algérie rêve[/size]
26/06/2014 05:25
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Le Portugal de C. Ronaldo est proche de l'élimination. - (AFP)

USA - Allemagne : un nul ferait deux heureux. En cas de nul entre États-Unis et Allemagne, les deux équipes seraient qualifiées pour les 8^es. La scène fut surréaliste en conférence de presse de la Mannschaft quand un journaliste portugais demanda s'il y avait un arrangement prévu entre les deux équipes… Allemands et Américains se défendent de toute entente et assurent qu'ils joueront la gagne.
> Portugal - Ghana : la Selecçao plus maîtresse de son destin. Et voilà donc le Ballon d'or 2013, Cristiano Ronaldo, au bord du précipice et plus maître de son destin à Brasilia. Même si le joueur du Real Madrid retrouve son vrai niveau contre les Black Stars, il sera dépendant du résultat de l'autre rencontre. Ce sera en tout cas un final palpitant.
> Algérie - Russie : le rêve des Fennecs. L'Algérie rêve de rentrer dans l'histoire à Curitiba. Un succès l'enverrait à coup sûr en 8^es de finale pour la première fois de son histoire. La Russie de Fabio Capello joue gros. Une élimination au premier tour ferait désordre pour le futur organisateur du Mondial 2018. 
> Corée du Sud - Belgique : assurer la première place. Le match de Sao Paulo doit permettre à la Belgique, déjà qualifiée, d'assurer sa première place. Les Belges débordent d'ambition pour ce Mondial brésilien et possèdent un « crack » (Hazard) capable de changer le cours d'un match.

[size=36]tats-Unis -Allemagne, pour garder la tête[/size]

Publié le 26/06/2014 à 07:51

Groupe G. Un nul entre la Mannschaft et les Américains qualifierait les deux équipes et éliminerait le Portugal
Sachant qu'un nul qualifie pour les 8e de finale deux équipes par ailleurs notoirement amies, comment éviter un nouveau «match de la honte» ? L'Allemagne et les États-Unis ont 90 minutes pour plancher, ce soir à Recife. Mathématiquement, Nationalmannschaft et Team USA abordent ce dernier rendez-vous du groupe G en position de force, avec 4 points chacune et des différences de buts positives (+4 et +1) ; Ghana et Portugal n'en comptent qu'un, et des différences négatives (-1 et -4). Décrocher la première place devrait permettre d'éviter, au prochain tour, la Belgique de Hazard, en tête de la poule H, devant l'Algérie, la Russie et la Corée du Sud. Un nul n'arrangerait cependant pas la Selecção de Cristiano Ronaldo qui espère une large victoire allemande pour passer en 8e. Encore faut-il que les Portugais étrillent le Ghana…
Les bons comptes font-ils toujours les bons amis ?
La situation est assez cocasse pour être soulignée : d'un côté, il y Jürgen Klinsmann (sélectionneur des USA), champion du monde avec l'Allemagne à peine réunifiée en 1990 et ex-sélectionneur de son équipe nationale (2004-2006), avec comme adjoint Joachim Löw. De l'autre… Löw encore. Alors, on s'arrange ? Chez les Européens, on oppose catégoriquement à cette idée. Même tonalité chez les Américains.
Klinsmann, selon lequel la victoire figure «dans l'ADN» des deux sélections, reconnaît cependant qu'il s'agit d'un match «particulier» pour lui, le genre d'expérience «qui n'arrive peut-être qu'une fois dans une vie». Et en bon patriote, il «croisera les doigts» pour sa Mannschaft «une fois passées les 90 minutes». Les États-Unis comptent cinq joueurs germano-américains dans leur groupe, dont un, Jones, a disputé trois amicaux avec l'Allemagne avant de changer de cap.
Ce dernier a d'ailleurs renversé la problématique : Klinsmann «a mis son empreinte sur notre équipe, et nous voulons le montrer contre les États-Unis». Pour Müller, auteur d'un triplé face au Portugal (4-0), ou pour Klose, qui a marqué face au Ghana (2-2) et égalé le record de buts du Brésilien Ronaldo (15 réalisations), il s'agit donc de briller face à l'ancien mentor.

[size=40]USA-Allemagne : Klinsmann signe un mot d'excuse aux fans qui veulent zapper le taf[/size]

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La Fédération américaine surfe avec humour sur l'audience formidable de sa sélection aux Etats-Unisdepuis le début de la Coupe du monde. Alors que les hommes de Jürgen Klinsmann, deuxièmes du groupe G, jouent ce jeudi (18h00) contre l'Allemagne pour une place en huitièmes de finale, US Soccer propose aux fans de télécharger un mot d'excuse signé du sélectionneur pour manquer le travail et regarder le match ! La rencontre est programmée en milieu de journée, heure américaine. Le coup d'envoi sera donné à midi, heure de New York (13h00 à Recife, 18h00 en France). 

Le 27/06/2014 à 18:54:00 | Mis à jour le 27/06/2014 à 18:57:59
FOOT
[size=40]COUPE DU MONDEUSAAltidore sur le retour

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Après avoir raté les deux précédents matches des Etats-Unis en raison d'une blessure aux ischio-jambiers, Jozy Altidore sera probablement disponible pour le huitième de finale contre la Belgique mardi (22h00). «Nous sommes très optimistes. Il progresse beaucoup tous les jours et nous avons très bon espoir qu'il puisse prendre part au match contre la Belgique», a déclaré vendredi le sélectionneur Jurgen Klinsmann. Par ailleurs, Jermaine Jones s'est cassé le nez dans un choc avec son coéquipier Alejandro Bedoya contre l'Allemagne. Il pourra malgré tout jouer avec un masque de protection.

[size=36]Je cours le plus dans ce Mondial, je suis...[/size]

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L'Américain Michael Bradley est le joueur qui a parcouru le plus de distance au cours de la première phase de cette Coupe du monde. Les performances du milieu défensif du Toronto FC sont impressionnantes. L'athlète de 26 ans a couru 38 kilomètres jusqu'à présent avec une moyenne de 12,6 kilomètres par match. Derrière lui, on trouve le milieu chilien Marcelo Diaz avec 36,7 kilomètres et une moyenne de 12,2 kilomètres, selon les informations du Placar. Pour retrouver le top 10 des "marathoniens" du Mondial, cliquez ici.

Les USA, c'est du costaud pour les Belges

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Kevin De Bruyne et Marc Wilmots ont déclaré samedi qu’ils s'attendaient «à un combat physique» en huitièmes de finale face aux Etats-Unis mardi. «Ils sont forts physiquement et voudront y aller à fond», a expliqué De Bruyne le jour de ses 23 ans. «Nous ne devons pas comparer ce match à l'amical remporté 4-2 l'an passé à Cleveland. Désormais, nous jouons des matches couperets, c'est tout à fait différent», a-t-il ajouté. «Physiquement, c'est une équipe vraiment costaude, a enchaîné Marc Wilmots. On se prépare donc à la guerre, on sait qu'il y aura un solide trois contre trois au milieu du terrain.»