SPRINT FINAL DE LA COUPE DE FRANCE

Coupe - PSG - Une jolie routine


Le PSG de Nenê avait sorti Le Mans en quart de finale.
Opposé à Angers (Ligue 2) mercredi (20h45), le PSG, dans une bonne dynamique, tentera de se qualifier pour sa sixième finale de Coupe de France en 10 ans.

A Paris, malgré un printemps de plus en plus clément, le moment est désormais venu de ne plus rien se permettre. Paradoxal, mais essentiel. Chaque geste, chaque point, chaque victoire comptent. L'horloge de fin de saison accélère son rythme, et les colonnes de bilan de fin d'exercice escomptent validation. Dans celle consacrée à la Coupe de France, le PSG attend d'inscrire la ligne «finale». Sur les neuf dernières saisons, il y est parvenu à cinq reprises. En 39 ans d'histoire, le club de la capitale a remporté la compétition à huit reprises et disputé onze finales. La Coupe, c'est donc bien sa tasse de thé, et le chemin le plus dégagé pour une fin de saison réussie, reconnaît Sylvain Armand : «Si on se qualifie pour la finale, on vivra une fin de saison excitante. Une finale de Coupe de France, c'est toujours une belle récompense pour les joueurs. On est tenants du titre, la Coupe de France c'est donc un objectif.»

Un objectif, oui, presque une routine, ce qui expliquerait peut-être que certains ne s'en fassent pas une montagne, à l'image de Clément Chantôme : «On n'a pas plus de pression que ça pour mercredi, mais on veut confirmer notre résultat face à Lyon.» Ce que son coach Antoine Kombouaré modère tout de même, exigeant de ne pas prendre l'adversaire, Angers, de trop haut : «C'est une demi-finale, on a envie d'aller au bout et de conserver notre trophée. Angers est une équipe redoutable. Mon travail est de faire comprendre aux joueurs que si on arrive là-bas tranquille, on va vers de grosses déconvenues. Si on n'est pas prêt mentalement et si on ne prend pas Angers au sérieux, on va tomber de très haut.» De très haut, soit de sa belle 4e place en Championnat, consolidée contre Lyon dimanche au Parc des Princes, où le club a pris un plein de confiance avant sa venue à Jean-Bouin : «Notre série face à Caen (2-1) puis Lyon (1-0) est bien et nous redonne le sourire. Mais je l'ai dit aux joueurs: la force des grandes équipes et des grands joueurs, c'est de répéter les performances de très haut niveau. Messi joue tous ses matches pour les gagner. On n'a pas Messi mais il y a des joueurs motivés, prêts à se mettre quot;chiffonquot;. L'envie est là, la motivation aussi mais tout est possible : on est le PSG», concède Antoine Kombouaré, dans un grand sourire. Et quand on est le PSG, on ne badine pas avec la Coupe.

Coupe de France : Angers redoute le PSG
20/04/2011, 06 h 00
1 réactionLe SCO d’Angers, dernier pensionnaire de L2 en course, devra réaliser un exploit pour atteindre une finale de Coupe de France que le Paris SG, tenant du titre, compte bien retrouver pour la 6e fois sur les 9 dernières éditions, ce soir, en Anjou, à l’occasion de la seconde demi-finale.

Certains chiffres parlent plus que d’autres : c’est en 1957, il y a 54 ans, que le SCO a disputé - et perdu - la seule finale de Coupe de France de son histoire (contre Toulouse 6-3). Le PSG, en revanche, est devenu le véritable spécialiste de la Vieille Dame. Le club de la capitale a remporté la Coupe à 8 reprises et disputé 11 finales. Surtout, il marque l’épreuve de son emprise sur les dernières années, avec cinq finales (dont trois victoires) lors des huit dernières éditions. La tâche du SCO s’annonce ardue...
Angers - PSG. Ce soir, à 20 h 45, stade Jean-Bouin.

Foot - Coupe - Kombouaré : «Un immense exploit»





Antoine Kombouaré qualifie d'immense exploit la qualification pour une deuxième finale de Coupe de France. (EQ)
Une place en finale de la Coupe de France, une autre en Ligue Europa et l'efficacité offensive retrouvée : au PSG, la joie était de mise après le succès à Angers (3-1)

On ne manquait pas de raisons de se réjouir, mercredi, dans le camp parisien. Des buts attendus, une place en finale de la Coupe de France pour la deuxième année d'affilée, et une place en Ligue Europa assurée... «C'était le match le plus important», reconnaissait volontiers Antoine Kombouaré, à la lecture du bilan de la soirée. La coupe serait-elle donc déjà pleine ? A en croire la mine réjouie du président Leproux au sortir des vestiaires.... «On est en vrai progrès. On a montré du caractère, on a gagné ce match avec tenue et talent, il y a eu de très belles séquences, donc c'est une très grande joie ce soir. Que le PSG se retrouve deux années consécutives en finale au SDF, c'est formidable. Si on fait bien les comptes, ce soir, on est aussi qualifié en Ligue Europa. Est-ce qu'on arrivera à avoir mieux, la Ligue des champions ? Je crois que le groupe est dans l'état d'esprit de se battre pour conquérir ces points, c'est une saison en vrais progrès sportifs pour le club. On est en train d'essayer de construire du solide.»

Du solide, comme ce qu'on a vu mercredi soir sur la pelouse de Jean-Bouin, selon Antoine Kombouaré : «On a été très efficaces, on a été très forts. C'est ce qui m'a plu dans la manière dont on a abordé ce match. L'idée, c'était de rendre coup pour coup. Bien sûr il faut défendre, mais dès qu'on récupérait, il fallait bien renvoyer le ballon, leur faire très mal. Je tenais à rendre hommage à mes joueurs. C'est quand même un immense exploit, on va se faire (sic) deux fois le stade de France... Même si on sait que ce sera plus compliqué parce que ce sera Lille en face.»Lille, pour une double opposition fin mai, Coupe et Championnat, qui fait déjà saliver Robin Leproux : «Ce sont des grands matches. C'est très excitant ! Cette perspective de jouer un match de ce niveau-là, contre une telle équipe... Ce soir, le PSG a démontré qu'il était capable de faire du très beau football.» Pour Antoine Kombouaré, l'échéance apparaît encore lointaine : «Il y a Brest dimanche qui joue le maintien, d'abord ! J'espère qu'on va être capables de clore cette semaine avec une 3e victoire consécutive, on espère gagner pour continuer notre bonhomme de chemin en Championnat. ». Et d'ajouter, le sourire en moins : «Ce serait une manière de faire taire les critiques qu'il y a eu ces derniers temps...

ARCHIVES COUPE DE FRANCE 2006

30 avril 2006
Merci Paris !

4è : Taïwo récupère le ballon en mystifiant Cissé sur le côté gauche de la défense marseillaise, mais il tergiverse au moment de relancer. Cissé s'est entre temps relevé et glisse du bout du pied le ballon en retrait pour Bonaventure Kalou qui fusille Barthez d'un coup de canon de 15 m. Le ballon heurte la barre transversale et pénètre dans le but. PSG - OM : 1-0


49è : Vikash Dhorasoo, au terme d'une superbe chevauchée, décoche une jolie frappe croisée à mi-hauteur de 28 m. Barthez ne fait qu'effleurer un ballon qu'il aurait dû sortir de la cage. PSG - OM : 2-0

53è : Kalou, seul à 6 m dans l'axe, expédie un boulet de l'extérieur du droit qui heurte le dessus de la transversale.
61è : Jérôme Rothen frappe un coup franc direct enroulé de 20 m du pied gauche. Le ballon contourne le mur marseillais et échoue sur la base du poteau.
66è : A la suite d'une jolie action collective, Toifilou Maoulida se retrouve libre de tout marquage sur le côté gauche de la défense parisienne. Il bat Letizi d'un tir à ras-de-terre. PSG - OM : 2-1

Le PSG remporte la Coupe de France. OM, droit au bus !

aladin a écrit:Foot - Coupe - Kombouaré : «Un immense exploit»





Antoine Kombouaré qualifie d'immense exploit la qualification pour une deuxième finale de Coupe de France. (EQ)
Une place en finale de la Coupe de France, une autre en Ligue Europa et l'efficacité offensive retrouvée : au PSG, la joie était de mise après le succès à Angers (3-1)

On ne manquait pas de raisons de se réjouir, mercredi, dans le camp parisien. Des buts attendus, une place en finale de la Coupe de France pour la deuxième année d'affilée, et une place en Ligue Europa assurée... «C'était le match le plus important», reconnaissait volontiers Antoine Kombouaré, à la lecture du bilan de la soirée. La coupe serait-elle donc déjà pleine ? A en croire la mine réjouie du président Leproux au sortir des vestiaires.... «On est en vrai progrès. On a montré du caractère, on a gagné ce match avec tenue et talent, il y a eu de très belles séquences, donc c'est une très grande joie ce soir. Que le PSG se retrouve deux années consécutives en finale au SDF, c'est formidable. Si on fait bien les comptes, ce soir, on est aussi qualifié en Ligue Europa. Est-ce qu'on arrivera à avoir mieux, la Ligue des champions ? Je crois que le groupe est dans l'état d'esprit de se battre pour conquérir ces points, c'est une saison en vrais progrès sportifs pour le club. On est en train d'essayer de construire du solide.»

Du solide, comme ce qu'on a vu mercredi soir sur la pelouse de Jean-Bouin, selon Antoine Kombouaré : «On a été très efficaces, on a été très forts. C'est ce qui m'a plu dans la manière dont on a abordé ce match. L'idée, c'était de rendre coup pour coup. Bien sûr il faut défendre, mais dès qu'on récupérait, il fallait bien renvoyer le ballon, leur faire très mal. Je tenais à rendre hommage à mes joueurs. C'est quand même un immense exploit, on va se faire (sic) deux fois le stade de France... Même si on sait que ce sera plus compliqué parce que ce sera Lille en face.»Lille, pour une double opposition fin mai, Coupe et Championnat, qui fait déjà saliver Robin Leproux : «Ce sont des grands matches. C'est très excitant ! Cette perspective de jouer un match de ce niveau-là, contre une telle équipe... Ce soir, le PSG a démontré qu'il était capable de faire du très beau football.» Pour Antoine Kombouaré, l'échéance apparaît encore lointaine : «Il y a Brest dimanche qui joue le maintien, d'abord ! J'espère qu'on va être capables de clore cette semaine avec une 3e victoire consécutive, on espère gagner pour continuer notre bonhomme de chemin en Championnat. ». Et d'ajouter, le sourire en moins : «Ce serait une manière de faire taire les critiques qu'il y a eu ces derniers temps...

21 avril 2011
Paris aux abonnés présents
Des buts de Bodmer, Nenê et Hoarau à Angers (3-1), propulsent le PSG vers sa 6e finale en 9 ans. Le 14 mai face à Lille.


Nenê célèbre le deuxième but parisien. Le PSG se qualifie pour sa 6e finale de Coupe de France en dix ans.
Le PSG s'est qualifié pour la douzième finale de Coupe de France de son histoire en battant Angers (3-1). Et s'offre un double rendez-vous fin mai avec le LOSC.

Une fois encore, pour la sixième fois en neuf ans, Paris n'y coupera pas. Une douzième finale, le Stade de France, le trophée en ligne de mire sur sa jolie estrade, et pourquoi pas le soulever une neuvième fois. A ce niveau-là, c'est de la haute fidélité. Toute la détermination d'Angers, qui s'était déjà payé deux écuries de Ligue 1 sur son parcours (Valenciennes et Bordeaux), les cris des 16.484 spectateurs de Jean-Bouin, rien n'y a fait. Tombeur des Noir et Blanc (3-1) avec la manière, la maîtrise, et un certain art du contre, Paris ira défendre sa Coupe, le 14 mai prochain, face à Lille.

Voilà peut-être un adversaire qui fera davantage douter les hommes d'Antoine Kombouaré, qui ont paru bien sereins en terre angevine. Sereins, à l'image d'un Mathieu Bodmer privé de Lyon le week-end dernier, et qui avait donc deux fois plus les crocs. Dès la 2e minute du match, comme pour avertir de ses bonnes dispositions, l'ancien Dogue déclenchait une frappe des 25 mètres. Il trouvait finalement le cadre vingt minutes plus tard, bien servi par Nenê, d'une jolie entourloupe de l'extérieur du droit (22e, 1-0). La validation logique de la domination parisienne, symbolisée par cette tête d'Hoarau (21e) sur le poteau droit de Malicki.

Paris ne voulait pas prendre de haut le SCO. C'était dit dans les discours d'avant-match, c'était visible dans la composition de départ où figurait, en capitaine, Mamadou Sakho. Paris n'a donc rien pris de haut, mais a juste été au-dessus. Techniquement et tactiquement. Au-dessus, à l'image de cette claquette magique de Coupet face à De Freitas (50e), et de la sanction de Nenê sur un centre de Bodmer à la conclusion d'un contre (52e, 2-0). Au-dessus, dans sa capacité à ne pas se démobiliser quand Renouard rétablissait l'équilibre d'une frappe en pivot (57e, 2-1). L'art du contre, Nenê était décidément pour, en servant Hoarau qui trompait Malicki d'une frappe croisée à ras de terre (3-1, 62e). Au final, les hommes de Jean-Louis Garcia n'ont pas démérité dans l'envie, mais manqué de cette précision si précieuse à ce niveau-là (à l'image de Keserü qui trouvait la transversale à la 68 e). Invaincu depuis 14 rencontres toutes compétitions confondues, le SCO laisse donc sa place au PSG, regonflé comme jamais dans le sprint final. Et qui s'est offert deux rendez-vous, en une semaine, avec le LOSC (le 14/05 au SDF, le 21/05 en Championnat au Parc des Princes). A Paris, le mois de mai s'annonce donc forcément excitant... Mais laborieux

Lille la joue modeste
Les Lillois, avant le déplacement à Lorient dimanche en Ligue 1, n'oublient pas la finale de la Coupe de France. Dont ils font de Paris le favori.


Mickael Landreau aurait préféré un autre adversaire que Paris.

La finale de la Coupe de France, opposant le Lille OSC au Paris Saint-Germain, le samedi 14 mai au Stade de France, sera arbitré par Clément Turpin. L'homme en noir bourguignon de 28 ans sera assisté par Cyril Gringore et Nicolas Danos. Le 4e arbitre sera Rudy Buquet.

01/05/2011U19
ASSE – Monaco en finale de Gambardella
Victorieux de Troyes (4-1) en demi-finale de la Coupe Gambardella, les Verts retrouveront Monaco (vainqueur de Sedan 3-1) au stade de France. Cette finale aura lieu le 14 mai à 18 heures juste avant la finale de coupe de france .

J MOINS 4

L1 - 35e j.
Lille trace sa route

En s'imposant à Saint-Etienne (2-1) mardi soir, le Losc a assuré sa qualification en Ligue des champions. Et fait un pas immense vers le titre.
L'an prochain, Lille jouera la Ligue des champions. L'hypothèse fortement probable est devenue une certitude mathématique mardi soir. Avec onze longueurs d'avance sur le PSG, accroché par Nancy (2-2), le Losc s'est assuré un ticket pour le tour préliminaire. Surtout, Lille a fait un pas de géant vers un titre qui lui tend les bras. L'avance de sept points sur Marseille pourrait retomber à quatre si l'OM vient à bout de Brest mercredi. Mais franchement, on voit mal ce qui pourrait priver le club nordiste d'un troisième sacre national (après ceux de 1946 et 1954).

Sur ce qu'elle a montré à Saint-Etienne, la bande à Rudi Garcia a tout du futur champion en puissance. Le succès acquis à Geoffroy-Guichard est son troisième consécutif, après ceux obtenus devant Arles-Avignon (5-0) et à Nancy (1-0). Face aux Verts, Lille a ressorti de son armoire son costume du tueur empreint de sang froid, qui lui allait comme un gant en Lorraine. Dans le Forez, les Dogues ont ajouté un zeste de maîtrise à cette efficacité redoutable.

Landreau a (presque) tout sorti

Cueillis à froid par un but précoce d'Emmanuel Rivière (1-0, 6e), les Nordistes ne se sont pas affolés. Ils n'ont mis qu'une dizaine de minutes pour revenir dans le coup, grâce à un subtil extérieur du pied de Tulio de Melo (1-1, 15e). Une frappe de Rio Mavuba, déviée par Sylvain Monsoreau, a scellé la huitième victoire à l'extérieur du leader lillois (1-2, 67e). Réaliste, chanceux... et solide. L'absence d'Adil Rami a ouvert des brèches dans la défense lilloise. Mickaël Landreau s'est chargé de les colmater. Le gardien du Losc a multiplié les prouesses. Il a d'abord détourné un penalty de Sako (16e) avant d'écoeurer le milieu stéphanois à trois reprises (18e, 33e, 51e).

Pour faire simple, Lille a fait le dos rond quand il le fallait. A accéléré quand il le fallait. Et a gagné quand il le fallait. L'an passé, ces vertus avaient conduit Marseille au sommet de la L1. Lille a démarré la deuxième semaine de mai pied au plancher. Reste à la conclure en apothéose. Samedi, face au Paris Saint-Germain, le Losc partira à la conquête d'une sixième Coupe de France. Ces Dogues-là ont un appétit débordant.

PARIS JOUE A DOMICILE
MAIS LILLE EST FORT A L"EXTERIEUR........

Mise a jour : 13 mai 2011
«Il faudra nous marcher dessus»
Buteur décisif en finale l'an passé face à Monaco, Guillaume Hoarau espère revivre les mêmes émotions samedi au stade de France, face à Lille.

Guillaume Hoarau (ici avec Claude Makelele et GREG
Buteur décisif en finale l'an passé face à Monaco, Guillaume Hoarau espère revivre les mêmes émotions samedi au stade de France, face à Lille. Un adversaire qu'il respecte mais ne craint pas.

« Le Championnat est un marathon, ils ont pris la tête et ont su garder un rythme de champion. Ça commence à se dessiner et ils le méritent amplement. Ils ont prouvé tout au long de la saison. Défensivement et surtout offensivement, c'est l'équipe la plus complète. Leurs forces ? C'est un groupe de potes, on voit qu'ils prennent plaisir à se faire mal. Ils ont aussi un coach très intelligent, qui a su bien recruter. La mayonnaise a pris dès le départ et certains joueurs sont d'une grande efficacité cette année. Il n'y a pas de secret, ils sont costauds derrière et devant, donc ils sont là où ils doivent être. »

« De toute façon, on y va pour essayer de garder notre titre. Après, sur une finale, tous les compteurs sont remis à zéro. Pour moi, ça va se jouer au mental, ça va être un combat, c'est sûr. On connaît leurs forces et on en a quelques-unes, quand même. Au vu de leur forme du moment, on est outsider, mais il faudra nous marcher dessus samedi pour nous enlever ce trophée. »

« Pour le CV, aucun trophée n'est négligeable. Quand je vois celui de Grégory Coupet par exemple, ça donne envie... Disputer une finale de Coupe de France, ça n'arrive pas souvent dans une carrière. Quand j'étais à Gueugnon et au Havre, je n'ai jamais été aussi loin. Gagner cette finale-là, c'est très important. Mais c'est sûr que quand on aime le haut niveau, la forte pression, on veut le meilleur. Et le meilleur, en Championnat, c'est se qualifier pour la Ligue des champions. Il nous reste trois matches pour jeter les dernières forces dans la bataille. On y reviendra après, d'abord il y a cette finale et il ne faut penser qu'à ça. »

« C'est une finale au stade de France, quand même ! Pour moi, ça représente énormément. On a fait tout un pataquès sur l'intérêt de la Coupe de la Ligue, mais quand les Marseillais ont soulevé le trophée, il n'y en a pas un qui faisait la gueule ! On y tient, ce n'est pas un lot de consolation, loin de là. On a envie de la gagner, point. Et on mettra tout ce qu'il faut pour le faire.

Une histoire à dépoussiérer
COUPE DE FRANCE Sevré de titre depuis 1955, le Losc veut dominer Paris


Les Lillois espèrent exploser de joie lors du coup de sifflet final. "Jouer au stade de France, faire la
fête avec nos supporters, on en rêve tous", affirme d’ailleurs Rio Mavuba.

Il faut remonter loin pour trouver
une trace du dernier doublé
réalisé dans l’histoire lilloise.
C’était en 1946. Juste après
la seconde guerre mondiale.
Aujourd’hui, les Nordistes ont
l’occasion de dépoussiérer leur
armoire à trophées et décrocher
un premier titre dans une saison
qui pourrait être vraiment exceptionnelle.
Leaders à trois journées
de la fin en Ligue 1, les Dogues
ont l’occasion de franchir la
première étape de leur énorme
défi. Personne ne s’en cache
aujourd’hui. "Maintenant, l’objectif
c’est le doublé, clame l’entraîneur
lillois, Rudi Garcia. Ce
n’était qu’une ambition jusqu’à
présent, nous voulons désormais
entrer dans l’histoire du club..."
Celle avec un grandHqui couronnerait
tous les efforts réalisés
depuis la remontée du Losc en
2000. Tout sauf un coup d’éclat
sans lendemain.
Reste à finir le travail. Le plus
difficile pour des Lillois pas vraiment
habitués à gagner. Les images
de la saison dernière reviennent
en mémoire avec cette qualification
en Ligue des champions
abandonnée lors de la toute
dernière journée. Le dernier
trophée du Losc, une coupe de
France, remonte par ailleurs à
1955. 46 ans d’attente qui pourraient
prendre fin tout à l’heure,
sur les coups de 22h45. Mais qui
pourraient aussi ajouter un surcroît
de pression sur des Lillois
qui n’en ont certainement pas
besoin surtout que le PSG n’est
certainement pas l’adversaire rêvé
pour ce genre de défi. Surtout
en coupe de France.
Les Parisiens sont remontés
comme des pendules pour
conserver leur bien. Ils agissent
comme une véritable machine à
gagner dans cette épreuve.
D’ailleurs, en cas de victoire, le
PSG pourrait revenir à une petite
longueur du record établi par
l’OM avec dix victoires.
À deux pas de la capitale, dans
les entrailles d’un Stade de France
qui affichera complet, le rendez-
vous est intéressant à plus
d’un titre. Il faut également s’interroger
dans quelle mesure la
lutte à distance avec l’OM en
championnat pourra jouer dans
les têtes nordistes. Tout donner
au risque d’y laisser des plumes
lors des trois dernières journées
ou d’y puiser l’énergie nécessaire
pour garder l’OM à distance.
Les Dogues pourront s’appuyer
sur un atout de taille. Un
certain Landreau, qui fête
aujourd’hui ses 32 ans, décisif en
championnat à Lorient, Nancy
et Saint-Étienne. Et quand on
sait le plaisir que prennent les anciens
Parisiens à martyriser leur
ancien club...
Le PSG pourrait
revenir à une longueur
du record de victoires
(10) établi par l’OM

À 20h35, sur France 2, au stade de France. Arbitre : M. Turpin.
Lille : Landreau - Debuchy, Rami, Chedjou, Béria - Mavuba, Cabaye,
Igueye (ou Balmont) - Hazard, Sow, Gervinho. Remplaçants:
Mouko(g.), Rozenhal, Dumont, Frau, De Melo, Dumont, Obraniak.
Entr. : Rudi Garcia.
Paris : Coupet – Armand, Z. Camara, Sakho, Tiéné – Bodmer, Makelele,
Giuly, Nene – Erding, Hoarau. Remplaçants : Edel (g.), S.Traoré, Ceara,
Makonda, Chantôme, Clément, Kebano. Entr. : Antoine Kombouaré

aladin a écrit:Une histoire à dépoussiérer
COUPE DE FRANCE Sevré de titre depuis 1955, le Losc veut dominer Paris


Les Lillois espèrent exploser de joie lors du coup de sifflet final. "Jouer au stade de France, faire la
fête avec nos supporters, on en rêve tous", affirme d’ailleurs Rio Mavuba.

Il faut remonter loin pour trouver
une trace du dernier doublé
réalisé dans l’histoire lilloise.
C’était en 1946. Juste après
la seconde guerre mondiale.
Aujourd’hui, les Nordistes ont
l’occasion de dépoussiérer leur
armoire à trophées et décrocher
un premier titre dans une saison
qui pourrait être vraiment exceptionnelle.
Leaders à trois journées
de la fin en Ligue 1, les Dogues
ont l’occasion de franchir la
première étape de leur énorme
défi. Personne ne s’en cache
aujourd’hui. "Maintenant, l’objectif
c’est le doublé, clame l’entraîneur
lillois, Rudi Garcia. Ce
n’était qu’une ambition jusqu’à
présent, nous voulons désormais
entrer dans l’histoire du club..."
Celle avec un grandHqui couronnerait
tous les efforts réalisés
depuis la remontée du Losc en
2000. Tout sauf un coup d’éclat
sans lendemain.
Reste à finir le travail. Le plus
difficile pour des Lillois pas vraiment
habitués à gagner. Les images
de la saison dernière reviennent
en mémoire avec cette qualification
en Ligue des champions
abandonnée lors de la toute
dernière journée. Le dernier
trophée du Losc, une coupe de
France, remonte par ailleurs à
1955. 46 ans d’attente qui pourraient
prendre fin tout à l’heure,
sur les coups de 22h45. Mais qui
pourraient aussi ajouter un surcroît
de pression sur des Lillois
qui n’en ont certainement pas
besoin surtout que le PSG n’est
certainement pas l’adversaire rêvé
pour ce genre de défi. Surtout
en coupe de France.
Les Parisiens sont remontés
comme des pendules pour
conserver leur bien. Ils agissent
comme une véritable machine à
gagner dans cette épreuve.
D’ailleurs, en cas de victoire, le
PSG pourrait revenir à une petite
longueur du record établi par
l’OM avec dix victoires.
À deux pas de la capitale, dans
les entrailles d’un Stade de France
qui affichera complet, le rendez-
vous est intéressant à plus
d’un titre. Il faut également s’interroger
dans quelle mesure la
lutte à distance avec l’OM en
championnat pourra jouer dans
les têtes nordistes. Tout donner
au risque d’y laisser des plumes
lors des trois dernières journées
ou d’y puiser l’énergie nécessaire
pour garder l’OM à distance.
Les Dogues pourront s’appuyer
sur un atout de taille. Un
certain Landreau, qui fête
aujourd’hui ses 32 ans, décisif en
championnat à Lorient, Nancy
et Saint-Étienne. Et quand on
sait le plaisir que prennent les anciens
Parisiens à martyriser leur
ancien club...
Le PSG pourrait
revenir à une longueur
du record de victoires
(10) établi par l’OM

Finale
Gueye plutôt qu'Obraniak
«Florent Balmont est forfait à 90%.» Rudi Garcia l'a indiqué vendredi. L'indispensable milieu de terrain lillois s'est blessé à la cuisse droite mardi, à Saint-Etienne (2-1). Il souffre d'une élongation. Mais son entraîneur «espère encore une bonne surprise». Le Losc sera fixé samedi matin, à quelques heures de sa finale de Coupe de France face au PSG.

Franchement, on voit mal comment l'ancien Niçois pourrait être opérationnel. Pour le suppléer aux côtés de Rio Mavuba et de Yohan Cabaye, Garcia va certainement titulariser Idrissa Gueye. Le jeune Sénégalais (21 ans) avait déjà remplacé Balmont à Geoffroy-Guichard. Cette saison, Gueye n'a joué que quinze matches toutes compétitions confondues. Mais l'ensemble du groupe nordiste ne cesse de louer ses qualités. Autre option, plus offensive celle-là : titulariser Ludovic Obraniak. Dans ce cas, le 4-3-3 nordiste deviendrait un 4-2-3-1 plus audacieux, au sein duquel Hazard aurait les clés du jeu, derrière Sow.

L'autre incertitude lillois concerne Adil Rami. Bien que touché aux côtes, le défenseur international devrait débuter face au PSG. Il s'est entraîné normalement jeudi et vendredi. «Pour Rami, ça a l'air rassurant selon le docteur», affirmait d'ailleurs Garcia en conférence de presse. A moins d'un cataclysme, le Losc se présentera donc avec son arrière-garde habituelle (Debuchy-Rami-Chedjou-Béria) et son trident offensif qui affole les défenses de l'Hexagone : Gervinho-Sow-Hazard.

L'équipe probable de Lille face au PSG : Landreau - Debuchy, Rami, Chedjou, Béria - Gueye, Mavuba, Cabaye - Gervinho, M. Sow, Hazard.

14/05/2011 08:26 | Patrick Desprez
Paris magique ou Lille aux trésors ?
coupe de france. Finale. PSG-Losc, la 94e édition hésite entre un habitué de l'épreuve ou le feu-follet de la saison.



Le Parisien Nenê, le Lillois Hazard : le ballon au pied, une même volonté de créer. C'est eux qui, pour beaucoup, détiennent les clés du succès ce soir./ Photos AFP, Archives M atch de gala. à gau- che : Paris Saint-Ger- main, détenteur du trophée (8 Vieilles-Dames au palmarès, 2e équipe la plus titrée derrière l'OM), spécialiste des compét' à élimination directe, qui joue presque dans son jardin ; à droite, Lille Olympique Sporting-Club : à la recherche de son lustre d'antan (5 Coupes de France, dernière soulevée en 1955), leader incontestable du championnat, qui court pour ainsi dire après le doublé.

Faites vos jeux - au travers de 3 duels, à distance et à la loupe. Les stoppeurs, les aboyeurs et les créateurs.

Le gaucher, le droitier. Le Sénégalais d'origine a 21 ans, le Franco-Marocain 25. Les deux sont de beaux bébés : Mamadou accuse 1m87 pour 82kg, Adil 1m90 pour 90kg. Deux durs sur l'homme qui, c'est presque acquis (qui peut, aujourd'hui, les concurrencer ?), vont se retrouver début juin au prochain rassemblement des Bleus. Pour l'Histoire, Sakho comptabilise 2 sélections (le bizutage, joli au demeurant, c'était à Wembley en novembre dernier) ; Rami 9 (il était de la Première de Blanc en Norvège). En attendant d'allonger leur liste, le futur duo des « oui » s'appliquera à dire non aux flèches adverses. Dans un style, là aussi, tout proche du copier-coller : agressivité palpable, coups de tronche imparables. Quand bien même Kirikou (seulement pour la coupe de cheveux) doit encore gagner en concentration et Shrek (pas de dessin) soigner ses relances.

On ne présente plus deux des plus fameux «dinosaures» que recense le championnat de France. Claude, 38 ans, qui doit arrêter à la fin du mois, est toujours aussi fringant. Rio, son cadet de 11 ans, marche littéralement dans les crampons du Zaïrois de naissance : il bonifie en vieillissant, lui qui est né en mer ! Deux rocs bien compliqués à bouger qui combinent la science du jeu et l'art du placement. Et deux capitaines - au long cours.

L'étoffe des héros. Le Belge et le Brésilien sont les plus précieux joyaux de la L1. Drib- bleurs, passeurs, buteurs ; joueurs avant tout. Provocateurs à souhait itou - même au sens figuré, malheureusement, pour l'Auriverde. Deux funambules, fil gauche comme droit pour ne pas faire de jaloux. En caricaturant, si Nenê (29 ans) avait débuté et Hazard (20 ans) pris le relais, on tiendrait ici le joueur parfait sur la saison 2010-2011. In fine, statistiquement, cela donne : 14 buts et 6 passes pour Anderson Luis de Carvalho, 7 et 9 pour Eden. Un petit goût de paradis, non ?

LILLE 1 PSG 0
Stade de France.
Mi-temps: 0-0.
Arbitre : Clément Turpin.
Spectateurs: 80000.
But : Obraniak (89).
Avertissements - PSG: Nenê (42), Tiéné
(87), Chantôme (90+1).
Lille : Gueye (49)
PSG: Coupet - Ceara, Z. Camara, Sakho,
Tiéné - Chantôme, Makelele (cap., Clément,
48), Bodmer (Erding, 70) - Giuly
(Traoré, 90), Hoarau, Nenê.
Entraîneur : Antoine Kombouaré.
Lille : Landreau - Debuchy, Rami, Chedjou,
Béria - Mavuba (cap.), Gueye (De Melo,
61), Cabaye - Gervinho, Sow (Obraniak,
79), Hazard (Dumont, 90).
Entraîneur : Rudi Garcia.


Si certains étaient encore
perplexes, ils devraient définitivement
être convaincus
ce matin. Depuis le début
de la saison, Lille est certainement
l’équipe qui joue le mieux
au football. Et rien ne semble
pouvoir résister aux hommes
de Rudi Garcia. Hier soir, le
Losc s’est imposé (1-0) face au
PSG au terme d’une finale de la
coupe de France intense et a
remporté son premier trophée
depuis...56 ans !


"On vient de gagner la coupe,
c’est bien, s’est immédiatement
réjoui Rudi Garcia au micro de
France2. Maintenant, on va se
préparer pour le match contre
Sochaux, mercredi".
Car après la coupe de France,
les Nordistes, leaders du championnat
avec quatre points
d’avance sur l’OM, ont toutes les
cartes en main pour réaliser un
retentissant doublé. Bien sûr, il
leur faudra digérer le succès
d’hier soir. Mais c’est toujours
plus simple en gagnant. Surtout
quand cette victoire intervient à
deux minutes du coup de sifflet
final.
Alors que Lille a été bousculé,
voire dominé, par une formation
du PSG très joueuse comme à
son habitude en coupe, le Losc a
trouvé son salut sur coup de pied
arrêté. Un coup franc excentré
sur le côté gauche tiré par Ludovic
Obraniak et une trajectoire
de balle très mal appréciée par
Grégory Coupet ont permis aux
Lillois de prendre un avantage
définitif ! Sur ce coup, l’ancien
gardien de l’équipe de France a
prouvé qu’il n’avait rien à envier
à Apoula Edel...
Avant cela, les Parisiens
auraient pu prendre les devants,
notamment en deuxième
mi-temps. Par deux fois, Guillaume
Hoarau a bien failli tromper
Mickaël Landreau. D’abord, sur
une frappe en pivot détournée
en corner par le portier nordiste.
Puis, sur une frappe du plat du
pied complètement ratée à bout
portant ! Certainement que la
victoire des Lillois était écrite
quelque part... Tout à l’heure,
sur les coups de 15 heures, ils présenteront
le trophée à leurs supporters.
Et nul doute que ce bain
de foule va booster les troupes
nordistes dans la course au titre.
Quid tout de même de l’état
de forme des coéquipiers de Rio
Mavuba mercredi contre Sochaux.
Hier, ils ont effectué un
premier pas vers un possible doublé
qui leur permettrait d’entrer
définitivement dans l’Histoire
du club.

Samedi 19 et dimanche 20 novembre 2011

•7ème tour (entrée en lice des clubs de Ligue 2)

Samedi 10 et dimanche 11 décembre 2011


•8ème tour

Samedi 7 et dimanche 8 janvier 2012

•32èmes de finale (entrée en lice des clubs de Ligue 1)

Samedi 21 et dimanche 22 janvier 2012

•16èmes de finale
Mardi 7 et mercredi 8 février 2012


•8èmes de finale
Mardi 20 et mercredi 21 mars 2012

•Quarts de finale
Mardi 10 et mercredi 11 avril 2012•
Demi-finales
Samedi 28 avril 2012


•Finale

6 eme tour donc 312 equipes 156 qualifiéees

156 qualifiéees +20 L2 +20 L1 =196 equipes suceptibles de la gagner

aladin a écrit:

Samedi 19 et dimanche 20 novembre 2011

•7ème tour (entrée en lice des clubs de Ligue 2) 176

Samedi 10 et dimanche 11 décembre 2011

•8ème tour 88 equipes


Samedi 7 et dimanche 8 janvier 2012

•32èmes de finale (entrée en lice des clubs de Ligue 1) 64 equipes


Samedi 21 et dimanche 22 janvier 2012

•16èmes de finale 3 2 equipes

Mardi 7 et mercredi 8 février 2012


•8èmes de finale 16 equipes

Mardi 20 et mercredi 21 mars 2012

•Quarts de finale 8 equipes

Mardi 10 et mercredi 11 avril 2012•
Demi-finales 4 equipes

Samedi 28 avril 2012


•Finale 2equipes

Istres connaîtra son adversaire en coupe de France jeudiPublié le :
31/10/2011 à 16h22Par M.Danloy
Le tirage au sort du 7éme tour de la coupe de France sera effectué jeudi à midi dans la Capitale avec Grégory Coupet, Willy Sagnol, Xavier Gravelaine, Olivier Dacourt et la joueuse du PSG Elise Bussaglia. Le FC Istres fait son entrée dans la compétition, les istréens n'ont plus disputé de 32éme de finale depuis 2006.

7ème tour
12h00 : le tirage au sort en direct !
Le tirage au sort du 7ème tour de la Coupe de France 2011-2012, marqué par l'entrée en lice des clubs de Ligue 2, se déroule ce jeudi midi au siège du CNOSF (Maison du Sport Français, 1 avenue de Pierre de Coubertin, Paris XIII).
Groupe A
Ajaccio GFCO (3)
Ales en Cevennes O. (6)
Annecy FC (7)
Chamalières FC (6)
Clermont Foot Auvergne (2)
Domerat AS (6)
Feurs US (5)
Gieres US (8 )
Grenoble Foot 38 (5)
La Tronches ES Rachais (7)
L'Etrat La Tour Sportif (8 )
Lyon Décines UGA (6)
Lyon-Duchère AS (4)
Monaco AS FC (2)
Thiers SA (5)
Vallée de la Gresse FC (8 )
Groupe B
Aire sur la Lys OM. (6)
Amiens AC (4)
Calais RUFC (5)
Chantilly US (6)
Deville Maromme AL (6)
Dieppe FC (5)
Dunkerque USL (4)
Gravelines US (5)
La Gorgue CS (8 )
Le Havre AC (2)
Le Portel ST (6)
RC Lens (2)
Longuenesse JS (9)
Marck AS (5)
Rouen FC 1899 (3)
Sannois Saint-Gratien Entente (5)
Groupe C
Arles-Avignon AC (2)
Aubagne FC (5)
Bastia SC (2)
Bourg de Péage FC (9)
Bourg Péronnas FC (4)
Calvi FC (4)
Castelnau le Cres FC (7)
Fréjus Saint-Raphaël EFC (3)
La Grand Motte Pyramid (7)
La Seyne sur Mer Entente FC (
La Tour Saint Clair FC (6)
Marseille ASCJ Félix Pyat (8 )
Marseille E UGA AS Ardziv (6)
Montélimar US (6)
Uzès Pont du Gard ES (4)
Valence AS (4)
Groupe D
Amiens SC Picardie (2)
Beaune FC (6)
Belfort Sud AS (5)
Créteil Lusitanos US (3)
Dinsheim SC (7)
Holtzwihr Racing 96 (7)
Louhans Cuiseaux 71 CS (5)
Mâcon UF (5)
Montceau Bourgogne FC (5)
Mulhouse FC (4)
Ornans AS (6)
Pontarlier CA (5)
Saverne FC (7)
Sedan Ardennes CS (2)
Saint Vit US (6)
Sundhoffen AS (7)
Groupe E
Adamswiller AV ASI (8 )
Beauvais Oise AS (3)
Forbach US (5)
Haguenau FCSR (6)
Jarville J. Section F. (5)
Magny Renaissance S. (6)
FC Metz (2)
Paris FC (3)
Prix les Mezières AS (6)
Reims Stade (2)
Schiltigheim SC (5)
Saint Avold et Naborienne (7)
Saint Dié SR (5)
Strasbourg ARC (5)
Verdun Belleville SF (7)
Yutz FC (6)
Groupe F
Alençon 61 US (6)
Cesson F. OC (6)
Changé US (6)
Fougère AGL D. Football (7)
Guingamp EA (2)
Le Mans FC (2)
Les Sables d'Olonne TVC 85 (6)
Mondeville USO Normandie (5)
Montagnard Inzinzac L. US (5)
Plouhinec AS (
Pontivy Garde St Ivy (4)
Rennes Tour d'Auvergne (6)
St Malo US (5)
Tregunc US (8 )
Vannes OC (3)
AS Vitré (5)
Groupe G
Alfortville UJA (4)
Bourges 18 (5)
Brétigny Foot CS (7)
Evry Essonne AS (6)
Feytiat CS (7)
Istres FCOP (2)
La Flèche RC (6)
Lilas FC (6)
Limoges Football Club (5)
Moulins AS (4)
Nouaille ES (7)
Orléans 45 US (3)
Romorantin SO (4)
Saran US Municipal (6)
Troyes AAC (2)
Versailles 78 FC (6)
Groupe H
Arras FA (5)
Aulnoye AS (6)
Avion CS (4)
Boulogne USCO (2)
Chambly Thelle FC (5)
Clermont RC (7)
Drancy JA (4)
Feignies SC (5)
La Chapelle St Luc RC (6)
Quevilly US (3)
Sézanne SA (5)
Saint Dizier CO (5)
Saint Quentin O. (6)
Tours FC (2)
Villers Outreaux ES (11)
Wasquehal (5)
Groupe I
Angers SCO (2)
Avrille AS (9)
Chauray FC (6)
Cherbourg AS (3)
Fontenay LC VF (4)
La Chataigneraie AMS (6)
La Guerche-Drouges RC (6)
La Suze-sur-Sarthe FC (5)
Larmor Plage Goélands (7)
Laval Stade FC (2)
Le Poiré-sur-Vie VF (3)
Les Herbiers VF (4)
Locmine St Colomban (5)
Luçon VF (4)
Olonne sur Mer Stade (9)
Sablé-sur-Sarthe FC (5)
Groupe J
Auch Football (6)
Aurillac F. Auvergne (5)
Balma SC (5)
Bayonne Aviron (3)
Brives ES Aiglons (6)
Châteauroux Berrichone (2)
Cugnaux JS (6)
Le Bouscat US (8 )
Luzenac US (3)
Mont de Marsan Stade (4)
Nantes FC (2)
Niort Chamois FC (3)
Perpignan Canet FC (6)
Sarlat Marcillac FC (6)
Tarbes Pyrénées Football (4)
Toulouse Rodéo FC (7)
Trélissac FC (5)
Ytrac F. (8 )
A noter que le tirage du 7ème tour pour les clubs de l'Outre-Mer a eu lieu le mercredi 2 novembre au siège de la FFF