ET VOUS ...VOUS PENSEZ A QUI ..POUR ETRE CHAMPION ??

Ligue 1 : Le PSG bat Lyon et prend la tête
Le choc et match de clôture de la 18e journée de Ligue 1 a vu le Paris SG battre l’Olympique Lyonnais 1-0 ce dimanche soir au Parc des princes, grâce à un but marqué dans le temps additionnel de la première période par Blaise Matuidi, servi par Zlatan Ibrahimovic. Si l’OL a eu l’occasion de marquer en première mi-temps par Lisandro Lopez qui a trouvé le poteau droit de Salvatore Sirigu, le PSG s’est créé les meilleures occasions, notamment en seconde période par Javier Pastore et Ezequiel Lavezzi. Grâce à ce troisième succès de rang en Championnat (sans prendre de but), Paris s’empare des commandes du classement, à égalité de points avec Lyon et Marseille. Lors de la dernière journée avant la trêve le week-end prochain, les hommes de Carlo Ancelotti se déplaceront à Brest, Lyon recevra Nice, tandis que l’OM accueillera Saint-Etienne.

OL lève le pied
Les Lyonnais ont dû se contenter d'un point face à Evian. (18 janvier 2013 à 23h11
L’Olympique Lyonnais et Evian-Thonon se sont neutralisés (0-0), vendredi, à Gerland, en ouverture de la 21e journée de Ligue 1. Le leader lyonnais laisse ainsi l’opportunité au PSG de réinvestir les commandes du championnat en cas de victoire à Bordeaux dimanche.

A chacun son tour. Si l’OL avait franchi sans heurt le premier match de la phase retour, en allant gagner le week-end dernier à Troyes (1-2) alors que le PSG butait sur Ajaccio (0-0) et que l’OM était enneigé à Sochaux (3-1), les hommes de Rémi Garde n’ont pas laissé à leurs voisins de tête le monopole du faux-pas contre les équipes mal classées. 18e avant cette 21e journée, Evian-Thonon-Gaillard a joué un mauvais tour vendredi à Gerland face à un leader pourtant quasi intraitable à domicile avec 25 points pris sur 30 depuis le début de la saison.

Les sifflets qui ont accompagné les Gones à la fin du match peuvent paraître sévères, mais il est évident que le public lyonnais avait du mal à accepter ce 0-0, d’autant que les Hauts-Savoyards restaient sur trois défaites de rang et que Pascal Dupraz devait déplorer les absences de Mongongu, Mensah et Angoula, partis à la CAN, dans le secteur défensif. Au lieu de mettre un peu plus la pression sur le PSG qui aurait compté, en cas de succès lyonnais, cinq longueurs de retard avant son déplacement à Bordeaux, la formation de Rémi Garde offre au club de la capitale l’opportunité de reprendre le trône.

Le déclic pur Evian ?
Après une première période de domination stérile, marquée par un coup franc travaillé de Gourcuff sur lequel Andersen se montrait autoritaire face à Umtiti (32e) et une volée dévissée du meneur de jeu breton (41e), l’OL haussait le ton au retour des vestiaires. Lacazette (55e, 60e) et Lisandro (76e, 84e) ont eu des balles de but mais sans réussite, ou avec maladresse, c’est selon. L’attaquant argentin se trouvait d’ailleurs sur le banc au coup d’envoi. Fallait-il y voir la conséquence de sa situation actuelle un peu particulière ? « Licha » s’est montré en tous les cas un peu plus dangereux que Gomis qu’il remplaça après l’heure de jeu (63e).

Les regrets seront nombreux dans le camp de l’OL, surtout que Bastos avait des jambes, mais n’oublions pas l’adversaire. Si le leader a été contraint au nul, c’est aussi (et surtout ?) à cause des joueurs de Pascal Dupraz. "On a eu des occasions, on a aussi fait le dos rond car Lyon a beaucoup poussé. Avec ceux qui sont partis à la CAN, on devait ressouder les liens", déclarait Sagbo sur beIN Sport juste après la rencontre. La solidarité a payé et ce nul peut-être annonciateur de jours meilleurs.

L

Lyon me surprend quand même cete saison....

CORSICABREIZH a écrit:Lyon me surprend quand même cete saison....

certes mais remi garde a reussi a utilisé quelques jeunes
et doit bien passer avec les cadres aussi

moi j'espere que l'om ou l'ol vont empecher les qataris de nous piquer le titre de champion de france

Paris n’était pas chaud
Zlatan Ibrahimovic n'a pas trouvé le chemin des filets à Sochaux. 17 février 2013 à 23h44
À l'issue de cette 25e journée, le PSG a perdu de son avance en tête du championnat de France. Alors que Marseille puis Lyon l'ont emporté durant le week-end, Paris a été battu à Sochaux (3-2) dimanche soir, cinq jours après sa victoire sur la pelouse du FC Valence (1-2) en Ligue des champions. Les Parisiens n'ont plus "que" trois et cinq points de plus que l'OL et l'OM, et ce avant le "Classico".
La fatigue consécutive au déplacement de Valence ? Un sentiment d’invincibilité qui s’est transformé en suffisance après une impressionnante série (huit victoires, un nul en Ligue 1) ? Ou la convaincante prestation d’une équipe de Sochaux qui a prouvé qu’elle avait sa place parmi l'élite ? Sans doute un peu de tout... Battu pour la première fois, toutes compétitions confondues, depuis le 1er décembre et un match raté à Nice (2-1), le PSG est retombé sur terre ce dimanche soir au stade Bonal, affichant beaucoup trop d’insuffisances pour prétendre à autre chose qu’une quatrième défaite de la saison en Ligue 1. Résultat: Lyon, en démonstration dans l'après-midi à Bordeaux (4-0), revient à trois points, l'OM, vainqueur in extremis samedi face à Valenciennes (1-0), à cinq, le tout au moment où la formation d'Ancelotti va aborder une semaine capitale, au moins aux yeux de ses supporters, avec un double affrontement à venir face à Marseille, d'abord en Championnat (le 24) puis en huitième de finale de la Coupe de France (le 27).
Nul doute qu'Elie Baup et ses hommes auront tiré de précieux enseignements de ce Sochaux-PSG qui aura vu des Sochaliens remontés comme des pendules prendre d'entrée à la gorge les partenaires du nouveau capitaine Matuidi. Ainsi mis sous pression, ces derniers ont péché dans tous les domaines, particulièrement en défense, pourtant leur point fort depuis le début de la saison, Alex et Sakho traversant la rencontre comme des ombres. Devant un public conquis, le FCSM s’est ainsi offert plusieurs premières, en passant trois buts à Paris, ce qui ne lui était jamais arrivé en Championnat depuis le début de l’exercice actuel, et ils n’ont pas encaissé de but d’Ibrahimovic qui, jusqu’ici, avait toujours marqué en Ligue 1 à l’extérieur. Comme à Mestalla, le Suédois, surveillé de près par Kanté, a peiné et s’est énervé, et personne n’a été capable de prendre le relais à ses côtés: Lucas et Ménez, blessés, étaient absents, tout comme Beckham, attendu face à l'OM, tandis que Pastore et Lavezzi se sont montrés aussi empruntés à Bonal qu’ils avaient été brillants à Valence. "On n’a pas fait un grand match, reconnaîtra après-coup Matuidi, je pense que le match de la semaine a pesé sur les organismes".
Sakho-Alex, quel cauchemar !
La motivation n’était sans doute pas aussi la même pour le PSG, tombé sur une équipe de morts de faim. Butin a été ainsi tout près de profiter d’une première mésentente Sirigu-Alex (3e), Sio s’est ensuite vu refuser l’ouverture du score pour un hors-jeu limite (6e), tandis que la reprise de Roudet a été sortie par… Boudebouz (10e), avant que M.Jafredo n'oublie de sanctionner une main, certes involontaire, de Chantôme dans la surface (21e). En vingt minutes initiales, le PSG concède autant d’occasions qu’en quatre-vingt-dix à Valence, autant dire qu’il est particulièrement heureux d’ouvrir le score sur quasiment sa première occasion, en l’occurrence une tête lobée d’Alex sur un corner de Pastore (0-1, 29e).
Le Brésilien se montre ensuite nettement moins à son affaire, puisque cinq minutes plus tard, sa nouvelle mésentente avec Sakho est parfaitement exploitée par Roudet, auteur du but de l’égalisation d’une frappe croisée (1-1, 35e). La pause n'est visiblement d’aucune utilité aux Parisiens, puisque dix minutes suffisent à Sochaux pour prendre les devants grâce au duo Sio-Roudet qui prend de vitesse la défense adverse, le Franco-Ivoirien, pour ses débuts parmi l’élite, s’offrant son premier but, avec l'aide involontaire de Sirigu, pas exempt de tout reproche sur le coup (2-1, 55e). Si Ibrahimovic (56e) et Van der Wiel (57e) sollicitent immédiatement Pouplin, c’est bien le FCSM qui passe le plus près du break, par Corchia, dont le coup franc parfaitement enroulé de 25 mètres, s’écrase sur le poteau gauche d’un Sirigu battu (59e).
Les rentrées de Gameiro et Jallet aux places de Van der Wiel et Chantôme (62e) n’y font rien, Paris piétine toujours autant, mais comme en première période, fait preuve d’un réalisme certain en égalisant sur corner grâce à Sakho avec l’aide de Roussillon (2-2, 76e). On pense alors que le PSG, déjà heureux avec ce résultat, peut même être capable de réussir le hold-up, mais Sochaux est finalement récompensé de sa prestation de haute volée grâce à Bakumbu, entré peu auparavant, qui reprend un service parfait de Privat (3-2, 84e). Logique et implacable…

Ligue 1: Saint-Etienne accroche le PSG
Saint-Etienne et le PSG se sont quitté sur un match nul (2-2) ce dimanche, en clôture de la 29e journée de Ligue 1. Les Parisiens menaient pourtant 2-0 après des buts de Pastore (9e) et Ibrahimovic (19e), sur penalty. Mais les Verts sont revenus dans la partie grâce à un but contre son camp d’Alex (37e) et une frappe splendide de Clerc (72e). Au classement, le PSG conforte sa première place avec cinq points d’avance sur Lyon. Saint-Etienne reste 4e, à deux points de Marseille.

sur les 10 dernieres saisons un club avec 5 pts à 9 journees de la fin a tjs eté champion de L1

Ligue 1: le PSG s'échappe et l'OM dépasse Lyon
Le PSG, vainqueur 1-0 de Montpellier vendredi, détient désormais sept points d'avance en tête de la Ligue 1, profitant de l'écroulement de Lyon, battu dimanche à domicile par Sochaux (2-1) et du coup dépossédé de sa 2e place par Marseille, qui a écarté Nice (1-0).
Vendredi, le PSG avait lancé les hostilités de cette 30e journée en battant le champion en titre Montpellier (1-0), ce qui s'apparentait à une passation de pouvoir, finalement accentuée par le revers lyonnais.

La victoire parisienne fut courte et obtenue à la 80e minute seulement, sur un but de Gameiro servi par Ibrahimovic, mais elle a permis au club de la capitale de préparer au mieux son quart de finale aller de Ligue des champions mardi face au FC Barcelone.

Paris a signé l'unique victoire à domicile d'une journée prolifique (32 buts) et où l'OL a confirmé ses carences actuelles en signant un quatrième match sans succès, dépassé par le réalisme des Sochaliens et des rapides Sio (26e) et Bakambu (89e), alors que Gomis avait égalisé sur penalty (68e). Du côté des poteaux en revanche, Lyon l'a emporté 3-1.

Ligue 1: le PSG s'échappe et l'OM dépasse Lyon

L'OL tombe du top 2 pour la première fois depuis début novembre, désormais dépassé par Marseille. Sous la pression de Nice, qui rêvait de lui chiper sa place sur le podium, l'OM s'est montré sérieux et a géré son avance acquise au quart d'heure de jeu grâce au 10e but de Gignac, sur un corner de Valbuena.

"S'imposer sur un concurrent direct, ici à Nice, n'était pas facile mais nécessaire", a souligné leur entraîneur Elie Baup, qui a aussi perdu son défenseur Nkoulou sur blessure.

Le contexte était tendu, avec l'interdiction faite aux supporters marseillais de venir au stade du Ray. Les joueurs de l'OM ont arboré à l'échauffement un maillot avec l'inscription "Supporters marseillais présents" et le match s'est déroulé dans un bon esprit

Lille aussi a foncé dimanche, grimpant à la 5e place au détriment de Nice, son meilleur classement de la saison (hormis la première journée), à la faveur de son sixième succès en sept matches. Le Losc a même surmonté l'ouverture du score brestoise de Raspentino avec des buts de Kalou et Roux, qui n'a pas souhaité fêter son but face à son ancien club, tombé dans la zone rouge.

Lille talonne désormais d'un point Saint-Etienne, qui continue à piétiner. Car samedi, les Verts ont signé leur troisième 2-2 consécutif. Mais les deux précédents avaient été arrachés à Rennes et contre le PSG, quand celui-ci est intervenu chez un relégable, Troyes, et après avoir mené deux fois (17e but d'Aubameyang et 10e de Brandao).

Dans le milieu de tableau, Lorient, Bordeaux et Rennes ont sans doute abandonné tout espoir européen. Les deux premiers se sont neutralisés (1-1), un moindre mal pour les Girondins, égalisant in extremis par Obraniak (88e) qui répondait à Aliadière le jour de ses 30 ans.

Rennes, battu à la maison par Nancy (2-0), a poursuivi son chemin de croix, n'ayant engrangé que deux points sur 18 possibles. A l'inverse, l'ASNL a cédé la lanterne rouge à Troyes et, avec cette troisième victoire en quatre matches, croit toujours plus au maintien.

Les matches de deuxième partie de tableau ont produit du spectacle, à l'image de Toulouse s'imposant à Ajaccio (3-2), avec un grand Capoue (deux buts et une passe décisive), ou de Bastia l'emportant à Valenciennes (4-3) sur des doublés de Maoulida et de Thauvin.

Evian a arraché le nul face à Reims (2-2) après avoir été mené 2-0 par des Champenois pourtant réduit à dix dès le premier quart d'heure avec l'expulsion d'Ayité, qui avait ouvert le score juste avant. Un nul qui laisse les deux clubs de l'Est au bord du gouffre.

Résultats de la 30e journée de la Ligue 1 de football:

vendredi

Paris SG - Montpellier 1 - 0

samedi

Troyes - Saint-Etienne 2 - 2

Ajaccio - Toulouse 2 - 3

Valenciennes - Bastia 3 - 4

Bordeaux - Lorient 1 - 1

Evian/Thonon - Reims 2 - 2

Rennes - Nancy 0 - 2

dimanche

Nice - Marseille 0 - 1

Brest - Lille 1 - 2

Lyon - Sochaux 1 - 2

Ancelotti : «Le titre est très proche»
Après la victoire du PSG dimanche face à Evian (1-0), le coach parisien Carlo Ancelotti s'est montré soulagé. «Le titre est très proche, a-t-il prévenu. Avec une victoire à la maison dimanche, on va le gagner».


Carlo Ancelotti (entraîneur du Paris-SG) : «Il y a eu un peu de bagarre, je ne sais pas, je n'étais pas là. Je n'ai rien vu, j'ai vu seulement les joueurs qui se sont attaqués. Je ne sais pas si Blaise a provoqué. Un rouge pour Sirigu ? Je ne sais pas, trop de bagarre (rires). Nous n'avons pas commencé avec beaucoup d'intensité, mais après 20 minutes nous avons contrôlé le match. Nous avons marqué un but fantastique avec beaucoup de mouvement, on doit marquer le deuxième, et après nous avons donné de la confiance à Evian, l'espoir d'égaliser. Après les cartons rouges de Verratti et Beckham, nous avons perdu un peu le contrôle. Avec neuf points d'avance, le titre est très proche. Avec une victoire à la maison dimanche, on va le gagner. Ce match est une bonne expérience. Quand on a le contrôle total du jeu, qu'on gagne 1-0, qu'on est un peu suffisant dans la finition, ça leur laisse l'espoir. Tactiquement, le match était bon, Verratti a fait un match fantastique. Il est jeune. Il était averti, il ne fallait pas parler ni faire des choses bizarres, et il a pris un rouge. Il n'a pas compris qu'il doit être attentif quand il a déjà un carton jaune».

Leonardo (directeur sportif du Paris-SG) : «C'était un match important pour tous les deux, les uns pour le maintien, les autres pour le titre. C'était un match tendu, mais il ne faut pas exagérer. (sur l'exclusion de Beckham) L'arbitre a perdu sa lucidité. (sur la bagarre) Je n'ai pas vu grand-chose. Le titre est à portée, vu qu'il reste quatre matches et neuf points d'avance. Il faut encore confirmer. On avance calmement. On en a déjà beaucoup fait, certains trouvent ça normal mais ça n'est pas normal : cela fait dix-neuf ans que le PSG attend un titre».

Dupraz : «Pas la peine d'exciter tout le monde»

Pascal Dupraz (entraîneur d'Evian) : «Nous n'avons pas pris de point ce soir et sommes en situation délicate. Nous perdons Khlifa, expulsé alors que le match est terminé. On aurait pu engranger un point, surtout quand les Parisiens n'ont pas totalisé (concrétisé). C'est de la déception, mais ce n'est pas le football. Tant en Coupe que ce soir, Paris était venu expédier les affaires courantes. L'humilité ne mange pas de pain. La sécurité du Parc des Sports est assurée par la sécurité du PSG. Là, nous avons failli. (Sur la fin de match) On ne va pas jeter de l'huile sur le feu. Je ne saurai probablement jamais ce que représente un titre de champion, mais ce qui est sûr c'est que Blaise Matuidi semblait très heureux et l'a manifesté devant notre banc. D'aucuns considèrent que c'est chambrer et un manque d'esprit sportif. Je déteste les fins de match houleuses, ce n'est pas du foot. C'est un international, pas la peine d'exciter tout le monde. Un peu de mesure, quand même».

Olivier Sorlin (milieu et capitaine d'Evian) : «Dans l'ensemble, on a fait un match correct. Je suis déçu de l'attitude de Matuidi, qui est quand même en équipe de France».

Cédric Cambon (défenseur d'Evian) : «Un nul aurait été mérité. On va avoir un match important à Troyes, qui sera décisif. L'arbitrage était correct. A la fin, c'est Matuidi qui vient allumer le banc».

Rothen: "Je vois le PSG champion"
Désormais libre après avoir rompu son contrat d'un commun accord avec Bastia mardi, Jérôme Rothen cherche un nouveau club. A 35 ans, le milieu de terrain a tout de même tenu à s'exprimer sur le duel qui opposera le Paris Saint-Germain à l'AS Monaco la saison prochaine, et à donner son pronostic sur le futur champion. Le gaucher connaît bien les deux clubs pour avoir porté les deux maillots (janvier 2002-2004 à l'ASM et 2004-2009 au PSG). "Je vois le PSG champion. Ça me parait logique par rapport à l’effectif, par rapport à ce qu’ils ont fait cette année. Même s’il y a un changement d’entraineur, ça va être dans la continuité", a-t-il déclaré sur RMC mardi. "Je vois Monaco se rapprocher des cinq premières places. Il y aura une grosse attente. Ce n’est pas parce qu’il y a des noms la première année que les résultats vont suivre. Être dans les cinq premiers serait déjà bien", a-t-il ajouté avec lucidité.

Foot Ligue 1 Sondage Le PSG champion, Falcao superstar
Pendant 48 heures, nous vous avons proposé de donner vos pronostics sur les questions les plus chaudes de la L1 2013-2014. Plus de 60 000 votants ont participé. Retrouvez notre dossier sur ce sondage dans notre édition papier de ce mardi 30 juillet.

Résultats des réponses des internautes à notre sondage. (L'Equipe)











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Malgré le recrutement clinquant de Monaco, vous êtes très nombreux à voir le PSG conserver son titre de champion (71%). En revanche, vous voyez l’ASM être déjà revenue au niveau de Marseille (9%) et avoir dépassé Lyon (6%). En bas, vous voyez Guingamp terminer lanterne rouge (26%) derrière Reims (19%) et Sochaux (14%). Evian-TG et Nantes se sauveraient de justesse…

Qui sera champion ?
 
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Un autre club

Paris et Bordeaux le veulent à tout prix
Publié le 03/08/2013 à 03:50, Mis à jour le 03/08/2013 à 08:13
football. Trophée des champions. Le champion de France et le vainqueur de la Coupe de France s'affrontent ce soir à Libreville.

Les Parisiens au Stade de l'Amitié au Gabon./ Photo AFP



Ce sera le premier trophée remis cette saison et pour les Parisiens comme pour les Girondins, il n’a rien d’anodin. Cette compétition est la moins importante des 5 que disputera le club de la capitale, mais dans l’esprit de ses propriétaires qataris, il n’y a pas à lésiner : il s’agit d’empiler les trophées et de progresser sur le plan européen.
Bref, d’asseoir son hégémonie. Un faux-pas d’entrée de jeu face au vainqueur de la Coupe de France serait forcément très mal vécu à Doha et Paris…
Il s’agit aussi de sortir par le haut des soubresauts de ces derniers mois, marqués par une célébration du titre de champion au Trocadéro virant à l’émeute urbaine, le départ de Carlo Ancelotti, les difficultés à trouver son successeur, la démission du directeur sportif Leonardo, etc.
Cavani ne sera pas de la partie
Ce n’est pas ce soir qu’on verra Cavani et Marquinhos, encore courts. Tout comme l’arrière gauche Digne, qui a en revanche pris part au voyage direction l’Afrique. Mais Laurent Blanc n’aura aucun mal à composer son onze de départ.
Ces problèmes de riche, on ne les connaît pas à Bordeaux. Francis Gillot a dû se contenter d’un groupe de 18 joueurs, dont 3 gardiens : 9 joueurs sont indisponibles ! Outre la recrue Orban (pas qualifié), il y a les blessés (Bellion, Faubert, Traoré), les joueurs physiquement trop courts (Rolan, Diabaté) et les suspendus (Planus, Henrique, Bréchet). Les Girondins endossent volontiers le rôle d’outsider, mais ne baissent pas les bras pour autant. «On ne va pas là-bas dans l’esprit de prendre une raclée parce que c’est Paris et en se disant ’’ils vont mettre les têtes d’affiche et nous on va se faire manger’’, avance Obraniak. Non, on sait à quoi s’attendre, on ne sera pas surpris, on a aussi des qualités à faire valoir - même si elles sont moins en vue.»
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Paris-SG - Bordeaux à 20h45

Marseille : Pas d'inquiétude pour Fanni
Rod Fanni n'a pas participé à la séance d'entraînement de l'OM mercredi. Mais pas d'inquiétude pour le camp marseillais : le latéral droit souffrait uniquement de problèmes intestinaux et devrait faire son retour jeudi.

Marseille Maillots de Foot

Legisla a écrit:Marseille : Pas d'inquiétude pour Fanni
Rod Fanni n'a pas participé à la séance d'entraînement de l'OM mercredi. Mais pas d'inquiétude pour le camp marseillais : le latéral droit souffrait uniquement de problèmes intestinaux et devrait faire son retour jeudi.

Marseille Maillots de Foot

merci pour l'info legisla
tu as le sujet rod fanni je duplique l'info

https://foot-mediterraneen.forumactif.com/t932p300-rod-fanni-l-autre-martegal#217870

Avec Paris, c'est un gros morceau qui se profile à l'horizon pour l'Olympique Lyonnais. Si l'objectif est de stopper la série de victoires parisiennes et que les Lyonnais iront au Parc de Princes avec «beaucoup d'ambition et beaucoup d'envie», Milan Bisevac reconnaît bien volontiers la supériorité de leurs adversaires de la 15e journée : «Ils sont archi favoris, ils sont loin devant nous (...) Ils sont encore plus forts cette année, car cela fait un an et demi qu'ils jouent ensemble». Malgré tout, le défenseur lyonnais veut laisser une place à l'incertitude et ne s'avoue pas vaincu : «On a envie de tout donner, de jouer un beau football. On veut mouiller le maillot, après, tout peut arriver, tout est possible. On peut être les premiers à arrêter cette série, mais il faudra être fort défensivement, offensivement, tactiquement et mentalement pour faire quelque chose là-bas». Le Serbe n'a en revanche plus aucun doute concernant l'issue du championnat : «On va jouer contre le champion de France... qui va être encore champion cette saison !»

PSG, le break décisif ?
Grâce sa victoire face à l’OM, le PSG compte désormais 8 points d’avance sur son dauphin, Monaco. Un écart qui semble irrémédiable si on se fie à l’histoire récente de la L1. Depuis l’instauration de la victoire à 3 points (1994/95), jamais une formation n’a pu remonter un tel retard à 11 journées de la fin de la saison et devenir championne de France. Par la passé, Bordeaux (2008/09), Lyon (2001/02 et 2002/03) et Lens (1997/98) sont parvenus à effacer un déficit de six longueurs. Mais jamais davantage.