LES JEUNES BLEUS
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LA CAVERNE DE BIENVENOU/FOOT MEDITERRANEEN :: ACTUALITES :: NOS JEUNES BLEUS ESPOIRS U21 U20 U19 U18 U17
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Re: LES JEUNES BLEUS
Le sélectionneur de l'équipe de France des 19 ans, Francis Smerecki, a dévoilé, ce mercredi, la liste des 17 Bleuets (un 18e sera appelé ulterieurement), retenus pour les trois stages de préparation (du 15 au 18 juin et du 22 au 29 juin à Clairefontaine, et du 2 au 11 juillet à Dinard) à l'Euro de la catégorie, qui se déroulera dans la Ligue de Basse-Normandie du dimanche 18 au vendredi 30 juillet.
Olympique Lyonnais 5 joueurs les autres 1 maximum
bordeaux om paris auxerre montpellier lille 0
La sélection française des 19 ans :
Gardiens de but : Abdoulaye Diallo (Stade Rennais), Marc Vidal (Toulouse FC
Défenseurs : Sébastien Faure (Olympique Lyonnais), Johan Martial (SC Bastia), Thimothée Kolodziecziak (Olympique Lyonnais), Gaëtan Bussmann (FC Metz), Chris Mavinga (Liverpool FC)
Milieux de terrain : Francis Coquelin (Arsenal FC, ANG), Gueida Fofana (Le Havre AC), Clément Grenier (Olympique Lyonnais), Enzo Reale (Olympique Lyonnais)
Attaquants : Yanis Tafer (Olympique Lyonnais), Antoine Griezmann (Real Sociedad, ESP), Gilles Sunu (Derby County, ANG), Cédric Bakambu (FC Sochaux), Gaël Kakuta (Chelsea FC, ANG), Mathias Autret (FC Lorient)
Olympique Lyonnais 5 joueurs les autres 1 maximum
bordeaux om paris auxerre montpellier lille 0
La sélection française des 19 ans :
Gardiens de but : Abdoulaye Diallo (Stade Rennais), Marc Vidal (Toulouse FC
Défenseurs : Sébastien Faure (Olympique Lyonnais), Johan Martial (SC Bastia), Thimothée Kolodziecziak (Olympique Lyonnais), Gaëtan Bussmann (FC Metz), Chris Mavinga (Liverpool FC)
Milieux de terrain : Francis Coquelin (Arsenal FC, ANG), Gueida Fofana (Le Havre AC), Clément Grenier (Olympique Lyonnais), Enzo Reale (Olympique Lyonnais)
Attaquants : Yanis Tafer (Olympique Lyonnais), Antoine Griezmann (Real Sociedad, ESP), Gilles Sunu (Derby County, ANG), Cédric Bakambu (FC Sochaux), Gaël Kakuta (Chelsea FC, ANG), Mathias Autret (FC Lorient)
bienvenou- Admin
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Age : 110
Localisation : cassis
Re: LES JEUNES BLEUS
QD ON PARLE DE DETRAQUES ET DE FOUS DANS LE FOOT ..
ON PENSE DE SUITE A LUI
LE PUBLICISTE DE LA PEUGEOT
CELUI QUI EST EN DEHORS DE LA SOCIETE MAIS QUI MANGE A TOUS LES RATELIERS
LE KING DES FOUS
Ils ne seront jamais à l’étroit dans le
petit cabanon de La Vesse, où ils
aiment se retrouver aux premiers
rayons de soleil de l’été. Les anecdotes
y fusent, les parties de rigolade s’enchaînent,
les souvenirs remontent à la
surface. C’est comme ça depuis quarante
ans, et ce n’est pas près de changer.
Ce petit condensé de paradis, les
Cantona ne s’en lasseront jamais. "On
parle beaucoup des calanques de Cassis,
mais la Côte Bleue, c’est extraordinaire",
s’exclame Jean-Marie qui, comme
ses frères, raffole de ce coin où ils
ont passé "des vacances inoubliables"
dans leur jeunesse. Une plage de liberté
acquise par leurs grands-parents,
un fief où Albert, leur père, passe une
partie de son temps aujourd’hui. Et
si, aux beaux jours, ses fils ne se
trouvent pas à ses côtés, c’est
qu’ils ont pris de la hauteur,
au Villard La Beaume, au
coeur des Hautes-Alpes,
dans la ferme familiale.
"Il n’y a même pas une
boulangerie là-bas, sourit
l’aîné du "King". Tous
les ans, on s’y retrouve.
On joue aux boules, on
se baigne dans la rivière.
On fait la cuisine,
on mange, on boit du
vin rosé. C’est l’anti
Saint-Tropez et on se
régale !" À la mer ou à
la montagne, en Corse
- "J’adore l’Île de
Beauté", confie Joël, le
plus jeune des trois -
ou à Marseille, les Cantona
ont toujours une
histoire à raconter à
leurs fidèles compagnons
de route. "Nous
n’avons pas changé,
nous sommes toujours
les mêmes. Nous avons
toujours les mêmes amis
et la même vie qu’avant."
Cette vie, c’est d’abord "une enfance
heureuse" dans le quartier
des Caillols. "C’était une autre époque,
raconte "Jo". On vivait à travers
le football, on était dehors
18 heures sur 24, surtout lorsqu’arrivait
le printemps. À l'école, nous
n’étions pas brillants, par contre nous
donnions tout ce que nous avions ! Parfois,
nous étions renvoyés... Le plus sage,
c’était Jean-Marie. Mais bon...
Éric et moi, nous étions un peu plus
turbulents. Je suis un extraverti,
j’étais un peu le boute-en-train. Mais
quand Éric et Jean-Marie se chopaient,
parce que parfois ils se battaient,
je criais, je pleurais, je ne comprenais
pas. Mon père se mettait au
milieu, il s’en prenait une à chaque
fois !" Des mâles, des vrais. Des hommes
pour qui la famille passe avant
tout. "Elle est très importante à nos
yeux. Ça paraît simple de dire ça, mais
on sait que ce n’est pas le cas de tout le
monde, malheureusement. On travaille
ensemble, on fait tout ensemble
dans le respect de la vie de chacun, bien
sûr. Nos enfants s’entendent très bien,
on préserve ça. On a été élevés ainsi."
Une éducation également
nourrie de récits.
Avec, dans le
rôle de la conteuse
préférée, une
grand-mère à
l’incroyable talent
d’oratrice.
"Il y avait beaucoup de vérités dans
tout ce qu’elle disait, mais parfois elle
brodait un peu aussi", se marre Joël.
"L’oncle d’Ardèche" faisait partie de
ses héros favoris. "Il y avait des gens,
comme lui, qui vivaient dans des grottes
à l’époque. Je sais qu’il avait les cheveux
longs, une
barbe et un âne
par rapport
aux photos
que j’ai vues.
À la Noël, chaque
f o i s on
parlait de lui.
À u n
moment, c’était l’idole d’Éric. Parfois,
on est moins citadin, moins urbain, on
a besoin d’espace. Les jours de stress, il
peut arriver alors qu’on fasse référence
à ce grand-oncle..."
Pour s’aérer l’esprit, les Cantona
peuvent aussi compter sur les amis de
toujours. Parmi eux, Patrick
Bosso. "J’ai connu
Jean-Marie à 15 ans,
rappelle l’humoriste
m a r s e i l l a i s . J e
n’étais pas du même
quartier qu’eux
(il a grandi au Panier
puis aux
Lauriers, ndlr). Mais un copain avait
été repéré par le club des Caillols. C’est
comme ça qu’on s’est rencontrés. On a
exactement le même âge, on a six jours
d’écart. On ne s’est plus quittés. C’est le
frère que je n’ai jamais eu... Et grâce à
lui, j’en ai eu trois ! J’allais souvent dormir
chez eux, il y avait des fanions partout
dans les chambres. Avec leur
grand-mère, on partait aussi voir
Éric quand il était à Auxerre, avec
la Citroën. On s’arrêtait sur l’autoroute,
avec la glacière. Ce sont d’excellents
souvenirs."
Des images gravées à jamais.
Des flashes qui crépitent autant
que ceux... du 62e Festival de Cannes.
La consécration pour les
trois frères, réunis sous la
bannière "Canto Bros
Production" - un clin
d’oeil à la Warner - , et
un chef-d'oeuvre de Ken
Loach, "Looking for
Éric", qui laisse présager
un bel avenir cinématographique
au t r i o .
"Quand on était plus jeunes,
on y allait déjà à
Cannes, sourit Patrick
Bosso. On se baignait,
on mangeait des glaces,
puis le soir, on se changeait, on
se faisait tout beau pour aller
dans les soirées. Mais ensuite, on
dormait dans ma Ford Fiesta !"
"On avait une vingtaine d’années
et on partait de Marseille
après le boulot, se remémore
Jean-Marie. Dès qu’il y avait
une vedette, on prenait une
photo. On regardait les marches
de loin parce qu’on ne
pouvait pas y accéder, c’était
l’époque du Grand Bleu, ça
nous faisait rêver. Le soir, on
sortait en boîte. Après, évidemment,
nous n’avions pas
assez d’argent pour dormir à
l’hôtel. On se douchait sur la
plage. Mais on avait quand
même la belle chemise, le
beau jean... Les gens qui nous
croisaient ne pensaient pas
qu’on dormait dans la Fiesta !"
Forcément, la montée des
marches fut donc un moment
magique. "On surgit toujours
où on ne nous attend pas, on
aime bien ça..." Ainsi va la vie
des Cantona. Une sacrée famille
qui, partout où elle passe
et quoi qu’elle fasse, continue
de faire la fierté de Marseille.
Un clan soudé que l’on
retrouvera dès vendredi au
Prado à l’occasion de l’Euro
Beach Soccer League.
ERIC AU CENTRE
Né le 24 mai 1966. Une légende, aussi bien
pour les Anglais qui l’adulent, que pour les Français
qui se régalent à chacune de ses interventions.
Il est en train de percer au cinéma. Un véritable
artiste, qui est aussi sélectionneur de l’équipe
de France de beach soccer.
"Nous n’avons pas
changé. Nous avons
toujours la même vie
qu’avant..."
"Jean-Marie, c’est
le frère que je n’ai
jamais eu... Et grâce
à lui, j’en ai eu trois ! "
PATRICK BOSSO
Joël A GAUCHE
Né le 28 octobre 1967. Ancien attaquant reconverti
en latéral droit, il a notamment inscrit
une volée acrobatique d’anthologie à Perpignan
en 1995, lors de son deuxième passage à l’OM. Il
se partage aujourd’hui entre cinéma, télé et
beach soccer. Il est à la tête de JC Organisation.
JEAN MARIE A DROITE
Né le 6 octobre 1962. Le Bar des Canotiers (où
il a travaillé avec son cousin sur le Vieux-Port ), un
magasin de sport à Istres : il a varié les activités
avant de devenir agent en 2000. Il s’est occupé de
son frère, mais a aussi pris en main des joueurs
comme Barthez, Pagis, Janot ou Celestini.
"Nous n’avons pas changé. Nous avons
toujours la même vie qu’avant..."
BIEN SUR AVEC DES MILLIONS D EUROS EN PLUS
ON PENSE DE SUITE A LUI
LE PUBLICISTE DE LA PEUGEOT
CELUI QUI EST EN DEHORS DE LA SOCIETE MAIS QUI MANGE A TOUS LES RATELIERS
LE KING DES FOUS
Ils ne seront jamais à l’étroit dans le
petit cabanon de La Vesse, où ils
aiment se retrouver aux premiers
rayons de soleil de l’été. Les anecdotes
y fusent, les parties de rigolade s’enchaînent,
les souvenirs remontent à la
surface. C’est comme ça depuis quarante
ans, et ce n’est pas près de changer.
Ce petit condensé de paradis, les
Cantona ne s’en lasseront jamais. "On
parle beaucoup des calanques de Cassis,
mais la Côte Bleue, c’est extraordinaire",
s’exclame Jean-Marie qui, comme
ses frères, raffole de ce coin où ils
ont passé "des vacances inoubliables"
dans leur jeunesse. Une plage de liberté
acquise par leurs grands-parents,
un fief où Albert, leur père, passe une
partie de son temps aujourd’hui. Et
si, aux beaux jours, ses fils ne se
trouvent pas à ses côtés, c’est
qu’ils ont pris de la hauteur,
au Villard La Beaume, au
coeur des Hautes-Alpes,
dans la ferme familiale.
"Il n’y a même pas une
boulangerie là-bas, sourit
l’aîné du "King". Tous
les ans, on s’y retrouve.
On joue aux boules, on
se baigne dans la rivière.
On fait la cuisine,
on mange, on boit du
vin rosé. C’est l’anti
Saint-Tropez et on se
régale !" À la mer ou à
la montagne, en Corse
- "J’adore l’Île de
Beauté", confie Joël, le
plus jeune des trois -
ou à Marseille, les Cantona
ont toujours une
histoire à raconter à
leurs fidèles compagnons
de route. "Nous
n’avons pas changé,
nous sommes toujours
les mêmes. Nous avons
toujours les mêmes amis
et la même vie qu’avant."
Cette vie, c’est d’abord "une enfance
heureuse" dans le quartier
des Caillols. "C’était une autre époque,
raconte "Jo". On vivait à travers
le football, on était dehors
18 heures sur 24, surtout lorsqu’arrivait
le printemps. À l'école, nous
n’étions pas brillants, par contre nous
donnions tout ce que nous avions ! Parfois,
nous étions renvoyés... Le plus sage,
c’était Jean-Marie. Mais bon...
Éric et moi, nous étions un peu plus
turbulents. Je suis un extraverti,
j’étais un peu le boute-en-train. Mais
quand Éric et Jean-Marie se chopaient,
parce que parfois ils se battaient,
je criais, je pleurais, je ne comprenais
pas. Mon père se mettait au
milieu, il s’en prenait une à chaque
fois !" Des mâles, des vrais. Des hommes
pour qui la famille passe avant
tout. "Elle est très importante à nos
yeux. Ça paraît simple de dire ça, mais
on sait que ce n’est pas le cas de tout le
monde, malheureusement. On travaille
ensemble, on fait tout ensemble
dans le respect de la vie de chacun, bien
sûr. Nos enfants s’entendent très bien,
on préserve ça. On a été élevés ainsi."
Une éducation également
nourrie de récits.
Avec, dans le
rôle de la conteuse
préférée, une
grand-mère à
l’incroyable talent
d’oratrice.
"Il y avait beaucoup de vérités dans
tout ce qu’elle disait, mais parfois elle
brodait un peu aussi", se marre Joël.
"L’oncle d’Ardèche" faisait partie de
ses héros favoris. "Il y avait des gens,
comme lui, qui vivaient dans des grottes
à l’époque. Je sais qu’il avait les cheveux
longs, une
barbe et un âne
par rapport
aux photos
que j’ai vues.
À la Noël, chaque
f o i s on
parlait de lui.
À u n
moment, c’était l’idole d’Éric. Parfois,
on est moins citadin, moins urbain, on
a besoin d’espace. Les jours de stress, il
peut arriver alors qu’on fasse référence
à ce grand-oncle..."
Pour s’aérer l’esprit, les Cantona
peuvent aussi compter sur les amis de
toujours. Parmi eux, Patrick
Bosso. "J’ai connu
Jean-Marie à 15 ans,
rappelle l’humoriste
m a r s e i l l a i s . J e
n’étais pas du même
quartier qu’eux
(il a grandi au Panier
puis aux
Lauriers, ndlr). Mais un copain avait
été repéré par le club des Caillols. C’est
comme ça qu’on s’est rencontrés. On a
exactement le même âge, on a six jours
d’écart. On ne s’est plus quittés. C’est le
frère que je n’ai jamais eu... Et grâce à
lui, j’en ai eu trois ! J’allais souvent dormir
chez eux, il y avait des fanions partout
dans les chambres. Avec leur
grand-mère, on partait aussi voir
Éric quand il était à Auxerre, avec
la Citroën. On s’arrêtait sur l’autoroute,
avec la glacière. Ce sont d’excellents
souvenirs."
Des images gravées à jamais.
Des flashes qui crépitent autant
que ceux... du 62e Festival de Cannes.
La consécration pour les
trois frères, réunis sous la
bannière "Canto Bros
Production" - un clin
d’oeil à la Warner - , et
un chef-d'oeuvre de Ken
Loach, "Looking for
Éric", qui laisse présager
un bel avenir cinématographique
au t r i o .
"Quand on était plus jeunes,
on y allait déjà à
Cannes, sourit Patrick
Bosso. On se baignait,
on mangeait des glaces,
puis le soir, on se changeait, on
se faisait tout beau pour aller
dans les soirées. Mais ensuite, on
dormait dans ma Ford Fiesta !"
"On avait une vingtaine d’années
et on partait de Marseille
après le boulot, se remémore
Jean-Marie. Dès qu’il y avait
une vedette, on prenait une
photo. On regardait les marches
de loin parce qu’on ne
pouvait pas y accéder, c’était
l’époque du Grand Bleu, ça
nous faisait rêver. Le soir, on
sortait en boîte. Après, évidemment,
nous n’avions pas
assez d’argent pour dormir à
l’hôtel. On se douchait sur la
plage. Mais on avait quand
même la belle chemise, le
beau jean... Les gens qui nous
croisaient ne pensaient pas
qu’on dormait dans la Fiesta !"
Forcément, la montée des
marches fut donc un moment
magique. "On surgit toujours
où on ne nous attend pas, on
aime bien ça..." Ainsi va la vie
des Cantona. Une sacrée famille
qui, partout où elle passe
et quoi qu’elle fasse, continue
de faire la fierté de Marseille.
Un clan soudé que l’on
retrouvera dès vendredi au
Prado à l’occasion de l’Euro
Beach Soccer League.
ERIC AU CENTRE
Né le 24 mai 1966. Une légende, aussi bien
pour les Anglais qui l’adulent, que pour les Français
qui se régalent à chacune de ses interventions.
Il est en train de percer au cinéma. Un véritable
artiste, qui est aussi sélectionneur de l’équipe
de France de beach soccer.
"Nous n’avons pas
changé. Nous avons
toujours la même vie
qu’avant..."
"Jean-Marie, c’est
le frère que je n’ai
jamais eu... Et grâce
à lui, j’en ai eu trois ! "
PATRICK BOSSO
Joël A GAUCHE
Né le 28 octobre 1967. Ancien attaquant reconverti
en latéral droit, il a notamment inscrit
une volée acrobatique d’anthologie à Perpignan
en 1995, lors de son deuxième passage à l’OM. Il
se partage aujourd’hui entre cinéma, télé et
beach soccer. Il est à la tête de JC Organisation.
JEAN MARIE A DROITE
Né le 6 octobre 1962. Le Bar des Canotiers (où
il a travaillé avec son cousin sur le Vieux-Port ), un
magasin de sport à Istres : il a varié les activités
avant de devenir agent en 2000. Il s’est occupé de
son frère, mais a aussi pris en main des joueurs
comme Barthez, Pagis, Janot ou Celestini.
"Nous n’avons pas changé. Nous avons
toujours la même vie qu’avant..."
BIEN SUR AVEC DES MILLIONS D EUROS EN PLUS
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Re: LES JEUNES BLEUS
CETTE MASCARADE DE NOS DIRIGEANTS ..JUSQUAUX JOUEURS
UN EXEMPLE POUR NOS JEUNES BLEUS
UN EXEMPLE POUR NOS JEUNES BLEUS
bienvenou- Admin
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Localisation : cassis
Re: LES JEUNES BLEUS
EURO BEACH SOCCER .....
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aladin- Messages : 115038
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Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: LES JEUNES BLEUS
CANTONA IL FERAIT MIEUX DE NE PAS LA RAMENER ...
A DOMICILE SUR LE PRADO DE MARSEILLE
PAS UNE VICTOIRE 3 DEFAITES ...LA HONTE SUR LUI
A DOMICILE SUR LE PRADO DE MARSEILLE
PAS UNE VICTOIRE 3 DEFAITES ...LA HONTE SUR LUI
aladin- Messages : 115038
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Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
aladin- Messages : 115038
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Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: LES JEUNES BLEUS
Euro UEFA 2010 U19
Présentation de la délégation
La sélection U19 conduite par Francis Smerecki
disputera du dimanche 18 au vendredi 30 juillet 2010 la phase finale de l'Euro UEFA 2010.
Ce tournoi rassemblant les jeunes espoirs du football européen de demain se déroulera en Ligue de Basse-Normandie (Caen, Bayeux, Mondeville, Flers et Saint-Lô).
Au sein d'un groupe A relevé, les Tricolores croiseront sur leur route
les Pays-Bas, l'Autriche et l'Angleterre avec pour objectif de terminer à l'une des deux premières places,
synonymes de qualification pour les demi-finales. Découvrez un trombinoscope de la délégation française
diaporama
http://www.fff.fr/mediatheque/selections/533930.shtml
Présentation de la délégation
La sélection U19 conduite par Francis Smerecki
disputera du dimanche 18 au vendredi 30 juillet 2010 la phase finale de l'Euro UEFA 2010.
Ce tournoi rassemblant les jeunes espoirs du football européen de demain se déroulera en Ligue de Basse-Normandie (Caen, Bayeux, Mondeville, Flers et Saint-Lô).
Au sein d'un groupe A relevé, les Tricolores croiseront sur leur route
les Pays-Bas, l'Autriche et l'Angleterre avec pour objectif de terminer à l'une des deux premières places,
synonymes de qualification pour les demi-finales. Découvrez un trombinoscope de la délégation française
diaporama
http://www.fff.fr/mediatheque/selections/533930.shtml
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Localisation : cassis
Re: LES JEUNES BLEUS
le 04/07/2010 08:33 | Sébastien Barrère
L'image des "Bleus" inquiète les petits clubs
« L'effet bleus »
Les petits footballeurs seront-ils nombreux pour la reprise des entraînements en septembre ?
Sur 70 jeunes footballeurs, seuls cinq ont pour l'instant renouvelé leur licence. C'est un bilan catastrophique. » Danièle Campos, éducatrice à l'école de foot de Montjoire-La Magdeleine, n'est cependant pas surprise par ces chiffres. « L'image désastreuse donnée par les Bleus pendant la Coupe du Monde a sans conteste un impact négatif sur le nombre de licenciés », explique-t-elle.
Anelka, Evra et consorts ont-ils conscience des conséquences de leurs actes ? « Ces joueurs sont tellement déconnectés de la réalité qu'ils ne se rendent même pas compte du mal qu'ils font, déplore Danièle Campos. Mon fils de 10 ans refuse maintenant de porter le maillot de Ribéry. »
« Un premier bilan en septembre »
Jean-Claude Couailles, président du district de Haute-Garonne Midi Toulousain, reconnaît la relation de cause à effet entre le mauvais parcours de l'équipe de France et l'érosion du nombre de licenciés dans les écoles de foot. Mais selon lui d'autres facteurs entrent en jeu : « On dénombre en Haute-Garonne 120 équipes issues de la catégorie des 13 ans alors qu'on en compte deux fois mois dans celle des 18 ans. À cet âge, d'autres centres d'intérêt que le foot émergent. »
À l'image du président du district, les responsables des écoles de foot du département admettent l'existence d'une relation entre le parcours des Bleus et le nombre de licenciés. « En 1998, suite au titre de champion du monde, les enfants se sont pressés dans les clubs de foot, se souvient Robert Grisolia, entraîneur des poussins (enfants âgés de 6 à 7 ans) à la Jeunesse Sportive Cugnalaise qui regroupe 540 footballeurs. Aujourd'hui, c'est l'effet contraire. » Les éducateurs ne souhaitent cependant pas tirer de conclusion hâtive. « Il faut attendre le mois de septembre pour dresser le premier bilan chiffré du nombre de licenciés et connaître l'impact réel de l'image désastreuse véhiculée par les Bleus », assure Charles Moli, entraîneur à l'US Castanéenne.
--------------------------------------------------------------------------------
ZOOM
« Soutenir ces clubs »
François Briançon, adjoint au maire de Toulouse chargé des sports, s'interroge sur la baissedu nombre de licenciés dans les clubs de foot. « C'est malheureux qu'il y ait des conséquences sur le foot amateur. Mais je comprends que les enfants ne s'identifient plus aux joueurs de l'équipe de France. » François Briançon estime aussi que les pouvoirs publics doivent « accompagner et soutenir ces clubs si des difficultés apparaissent ». Seul l'AS Hersoise observe à ce jour un accroissement du nombre de licenciés. Il faut dire que l'image de Gaël Clichy, joueur formé au club et membre de l'équipe de France, ne semble pas écornée par l'aventure sud-africaine.
L'image des "Bleus" inquiète les petits clubs
« L'effet bleus »
Les petits footballeurs seront-ils nombreux pour la reprise des entraînements en septembre ?
Sur 70 jeunes footballeurs, seuls cinq ont pour l'instant renouvelé leur licence. C'est un bilan catastrophique. » Danièle Campos, éducatrice à l'école de foot de Montjoire-La Magdeleine, n'est cependant pas surprise par ces chiffres. « L'image désastreuse donnée par les Bleus pendant la Coupe du Monde a sans conteste un impact négatif sur le nombre de licenciés », explique-t-elle.
Anelka, Evra et consorts ont-ils conscience des conséquences de leurs actes ? « Ces joueurs sont tellement déconnectés de la réalité qu'ils ne se rendent même pas compte du mal qu'ils font, déplore Danièle Campos. Mon fils de 10 ans refuse maintenant de porter le maillot de Ribéry. »
« Un premier bilan en septembre »
Jean-Claude Couailles, président du district de Haute-Garonne Midi Toulousain, reconnaît la relation de cause à effet entre le mauvais parcours de l'équipe de France et l'érosion du nombre de licenciés dans les écoles de foot. Mais selon lui d'autres facteurs entrent en jeu : « On dénombre en Haute-Garonne 120 équipes issues de la catégorie des 13 ans alors qu'on en compte deux fois mois dans celle des 18 ans. À cet âge, d'autres centres d'intérêt que le foot émergent. »
À l'image du président du district, les responsables des écoles de foot du département admettent l'existence d'une relation entre le parcours des Bleus et le nombre de licenciés. « En 1998, suite au titre de champion du monde, les enfants se sont pressés dans les clubs de foot, se souvient Robert Grisolia, entraîneur des poussins (enfants âgés de 6 à 7 ans) à la Jeunesse Sportive Cugnalaise qui regroupe 540 footballeurs. Aujourd'hui, c'est l'effet contraire. » Les éducateurs ne souhaitent cependant pas tirer de conclusion hâtive. « Il faut attendre le mois de septembre pour dresser le premier bilan chiffré du nombre de licenciés et connaître l'impact réel de l'image désastreuse véhiculée par les Bleus », assure Charles Moli, entraîneur à l'US Castanéenne.
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ZOOM
« Soutenir ces clubs »
François Briançon, adjoint au maire de Toulouse chargé des sports, s'interroge sur la baissedu nombre de licenciés dans les clubs de foot. « C'est malheureux qu'il y ait des conséquences sur le foot amateur. Mais je comprends que les enfants ne s'identifient plus aux joueurs de l'équipe de France. » François Briançon estime aussi que les pouvoirs publics doivent « accompagner et soutenir ces clubs si des difficultés apparaissent ». Seul l'AS Hersoise observe à ce jour un accroissement du nombre de licenciés. Il faut dire que l'image de Gaël Clichy, joueur formé au club et membre de l'équipe de France, ne semble pas écornée par l'aventure sud-africaine.
bienvenou- Admin
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Re: LES JEUNES BLEUS
Les ‘‘petits Bleus’’ s’abstiennent de juger leurs aînés .Publié le vendredi 09 juillet 2010 à 10H32
Les moins de 19 ans préfèrent parler de leur Euro à venir...
A quelques jours de leur championnat d'Europe, les joueurs de l'équipe de France de moins de 19 ans se préparent, loin de l'agitation qu'ont déclenchée leurs ainés.
En stage à Dinard (Bretagne), où ils préparent leur championnat d’Europe (à partir du 18 juillet), les moins de 19 ans ont vécu avec un certain détachement la débâcle des Bleus en Afrique du Sud.
Leur ‘‘Pezula’’ à eux n’est ni un palace, ni une forteresse. A leur âge, les joueurs de Francis Smerecki se contentent d’un bel hôtel du bord de mer, à flanc de colline, où les habitués croisent les adeptes de la thalasso. Là-bas, ils sont quasiment incognito. A l’entraînement de l’après-midi, sous un soleil de plomb et une délicate brise marine, on ne compte que quatre spectateurs... qui obtiendront en fin de séance tous les autographes demandés. Le désamour du public pour les ‘‘grands’’, ceux du fiasco sud-africain, les petits Bleus le ressentent à peine. « Il y a un petit impact sur nous, admet Gueida Fofana, milieu de terrain du Havre. On est quand même l’équipe de France. Ce que font les ‘‘A’’, ça a généralement une petite retombée, mais c’est limité. »
Les 800 spectateurs du match contre Guingamp (1-1), dimanche dernier, n’ont d’ailleurs pas hésité une seconde à les applaudir à chaque beau mouvement. Rien à voir avec les sifflets qui accompagnent les Bleus depuis plusieurs mois.
« A nous de faire mieux qu’eux… »
Manifestement, les joueurs de Francis Smerecki ne savent pas vraiment quoi penser des frasques de leurs aînés. « C’est sûr que ce n’est pas une bonne image à montrer aux jeunes, estime Marc Vidal, gardien de Toulouse. Une fois là-bas, ils n’ont pas vu la répercussion que ça pouvait avoir en France. En tant que jeune, à nous de prouver que ce n’est pas l’image à montrer et qu’on peut passer au-dessus de ça. Ou en tout cas faire mieux qu’eux… »
Mais les critiques s’arrêtent là. Personne ne s’étend sur la manière dont les Bleus ont « bafoué » le maillot pendant leur épopée africaine. « Bafouer, c’est un grand mot, tempère d’ailleurs Gueida Fofana. On ne va pas aller jusque là. C’est vrai que ça a porté atteinte à l’image de l’équipe de France, mais c’est passager…»
A 19 ans, il joue en Bleu depuis quatre ans et possède déjà un caractère affirmé. « Comme tout le monde », il connaît la Marseillaise. Mais il ne la chante pas « pour des raisons personnelles ». Il sait qu’il n’a pas intérêt à commenter la grève décidée après le renvoi de Nicolas Anelka. « Mon point de vue, c’est celui d’un footballeur, conclut-il. On peut comprendre la situation, même s’il y a des choses qu’on n’approuve pas…»
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Re: LES JEUNES BLEUS
BEACHSOCCER● Les Bleus en quête de Coupe du monde. L’équipe
d’Éric Cantona débute aujourd’hui, en Italie à Biblione, les qualifications
pour la Coupe du monde 2011 qui aura lieu à Rome. Les
Bleus seront opposés dans le groupe F à la République tchèque,
l’Azerbaïdjan et au Kazakhstan. Il leur faudra atteindre les demi-finales
pour décrocher leur qualification.
d’Éric Cantona débute aujourd’hui, en Italie à Biblione, les qualifications
pour la Coupe du monde 2011 qui aura lieu à Rome. Les
Bleus seront opposés dans le groupe F à la République tchèque,
l’Azerbaïdjan et au Kazakhstan. Il leur faudra atteindre les demi-finales
pour décrocher leur qualification.
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Re: LES JEUNES BLEUS
ALLEZ LES BLEUS
L'Euro 2010 des moins de 19 ans s'ouvre ce dimanche avec la rencontre entre la Croatie et l'Espagne (16h00). Francis Smerecki, le sélectionneur des Bleuets, évoque, cette compétition où ses joueurs tenteront d'aller décrocher leur qualification pour le Mondial 2011.
«Francis Smerecki, comment vont vos troupes ?
Tout va bien. Les docteurs sont en train de soigner les petits bobos de reprise, mais il n'y a pas de soucis majeurs. Quelques contractures ou quelques coups, rien de bien méchant. Tout le monde est sur le pont et est apte pour ce dimanche. On a fait trois stages, c'est une bonne chose et un avantage par rapport aux autres équipes. Les Autrichiens, eux, n'ont été ensemble que pendant quatre jours. Nous, cela fait déjà quelques semaines. On va tout de même aller à la pêche aux informations pour voir comment se sont préparées les autres nations. L'état physique, à ce moment de la saison : c'est ça qui va faire la différence.
Vous vous sentez prêts ?
J'espère (rires) !
Vous affrontez les Pays-Bas ce dimanche pour votre entrée dans la compétition. Que connaissez-vous de cette équipe ?
Elle était en moins de 17 ans en Turquie et il y a donc encore à peu près 50% de leur effectif. On a perdu contre elle cette année (2-4 aux Pays-Bas, ndlr).
«Kakuta doit encore confirmer»
Quel est votre objectif sur cette compétition ?
L'objectif, c'est la qualification à la Coupe du monde 2011 qui se déroulera en Colombie. Pour cela, il faut terminer dans les trois premiers de notre groupe. Après, on va essayer de faire mieux qu'en moins de 17 ans, où on avait terminé deuxième.
Concernant vos joueurs, qu'attendez-vous de vos cadres comme Gaël Kakuta, Gueida Fofana ou Francis Coquelin ?
J'attends d'eux qu'ils soient décisifs. Gueida Fofana sera mon capitaine. Concernant Gaël Kakuta, il sait prendre des responsabilités. On en a fait un joueur cadre car il a joué en Ligue des champions avec Chelsea, mais il doit encore confirmer. Avec cet Euro, j'espère qu'il va franchir ces étapes pour se montrer davantage décisif.
Qui sont les favoris de cette compétition ?
L'Espagne évidemment. C'est une copie conforme des aînés. Il y a aussi l'Angleterre, nous, les Pays-Bas et dans une moindre mesure l'Autriche. Je pense que notre poule est un petit peu plus relevée que l'autre.
L'Euro se déroule en Normandie, avantage ou inconvénient ?
Je pense que c'est plutôt un avantage. Certes, cela apporte un stress supplémentaire puisque les joueurs vont évoluer devant leurs clubs, leurs entraîneurs voire leur famille. En tout cas, il y a 12 ou 13.000 billets déjà de partis. Et demain, c'est sûr, mes joueurs auront les yeux bleus (sic).»
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Re: LES JEUNES BLEUS
Sous les yeux de Laurent Blanc, les moins de 19 ans ont redoré le blason de l'équipe de France, dimanche soir, en dominant les Pays-Bas pour leur match d'ouverture du Championnat d'Europe (4-1). Les voilà désormais à une encablure du Mondial 2011, l'objectif numéro un de la compétition.
Ça commence bien. Victorieux (4-1) des Pays-Bas pour leur entrée dans la compétition, les Bleuets de Francis Smerecki débutent parfaitement le Championnat d'Europe des moins de 19 ans qui se déroule actuellement en Normandie. Les coéquipiers de Gaël Kakuta, qui font partie des favoris de la compétition, se sont imposés grâce à des buts signés du milieu de terrain de Chelsea (20e), de Cédric Bakambu (37e, 90+3e), pensionnaire du FC Sochaux et de Martins Indi contre son camp (84e).
Blanc et Houiller en tribune
D'ailleurs, la première rélaisation de la partie, signée Kakuta, a fait soulever la foule du stade Michel-d'Ornano de Caen puisque l'ancien prodige de Lens s'est fait plaisir en enchaînant petit pont, accélération et frappe croisée pour ouvrir le score. Le dernier but des Tricolores n'a rien à envier à celui-ci puisque Lacazette, au prix d'un contrôle "porte-manteau" récupérait le ballon, venait défier son vis-à-vis et centrait au cordeau pour Bakambu qui ne tremblait pas de la tête. En tribune, Laurent Blanc, le nouveau sélectionneur des Bleus, accompagné de Gérard Houllier, le DTN, ont dû apprécier.
Les Français en tête du groupe
Pourtant, si le score est large, les jeunes pousses tricolores ont mis un peu de temps à se défaire des Oranje qui sont parvenus à réagir en seconde période par Jerson Cabral sur un coup franc détourné (55e). Avec ce net succès, les Bleuets chipent la première place du groupe aux Anglais qui s'étaient imposés un petit peu plus tôt face à l'Autriche (3-2). Sachant qu'il faut être dans les trois premiers du groupe pour décrocher sa qualification pour la Coupe du monde 2011 en Colombie, les hommes de Francis Smerecki n'ont sans doute plus qu'un point à décrocher. Ils tenteront ainsi de l'obtenir dès mercredi face à l'Autriche.
Ça commence bien. Victorieux (4-1) des Pays-Bas pour leur entrée dans la compétition, les Bleuets de Francis Smerecki débutent parfaitement le Championnat d'Europe des moins de 19 ans qui se déroule actuellement en Normandie. Les coéquipiers de Gaël Kakuta, qui font partie des favoris de la compétition, se sont imposés grâce à des buts signés du milieu de terrain de Chelsea (20e), de Cédric Bakambu (37e, 90+3e), pensionnaire du FC Sochaux et de Martins Indi contre son camp (84e).
Blanc et Houiller en tribune
D'ailleurs, la première rélaisation de la partie, signée Kakuta, a fait soulever la foule du stade Michel-d'Ornano de Caen puisque l'ancien prodige de Lens s'est fait plaisir en enchaînant petit pont, accélération et frappe croisée pour ouvrir le score. Le dernier but des Tricolores n'a rien à envier à celui-ci puisque Lacazette, au prix d'un contrôle "porte-manteau" récupérait le ballon, venait défier son vis-à-vis et centrait au cordeau pour Bakambu qui ne tremblait pas de la tête. En tribune, Laurent Blanc, le nouveau sélectionneur des Bleus, accompagné de Gérard Houllier, le DTN, ont dû apprécier.
Les Français en tête du groupe
Pourtant, si le score est large, les jeunes pousses tricolores ont mis un peu de temps à se défaire des Oranje qui sont parvenus à réagir en seconde période par Jerson Cabral sur un coup franc détourné (55e). Avec ce net succès, les Bleuets chipent la première place du groupe aux Anglais qui s'étaient imposés un petit peu plus tôt face à l'Autriche (3-2). Sachant qu'il faut être dans les trois premiers du groupe pour décrocher sa qualification pour la Coupe du monde 2011 en Colombie, les hommes de Francis Smerecki n'ont sans doute plus qu'un point à décrocher. Ils tenteront ainsi de l'obtenir dès mercredi face à l'Autriche.
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Re: LES JEUNES BLEUS
uteur d'un doublé et d'une prestation remarquée face aux Pays-Bas (4-1), Cédric Bakambu, l'attaquant de l'équipe de France des moins de 19 ans, espère poursuivre sur sa lancée. Et atteindre les objectifs que les jeunes Bleus se sont fixés.
Rapide, puissant et réaliste. Ces trois adjectifs résument à merveille les qualités démontrées par Cédric Bakambu, dimanche soir, contre les Pays-Bas. Percutant et incisif, le jeune attaquant sochalien en a fait voir de toutes les couleurs à la défense batave. «L'objectif était de leur rentrer dedans, de les bousculer. On avait vu des vidéos et on savait qu'ils n'aimaient pas trop ça, nous explique-t-il avant d'aborder brièvement sa prestation personnelle. Je me sentais bien dans ce match, je pense que ça s'est vu. Dans les courses, les appels de balles... C'est la première fois que je mets deux buts en sélection. Il faut que ça continue. Les matches amicaux (où il a inscrit deux des trois buts français, ndlr) m'ont mis en confiance.» Qu'il se rassure, ça s'est vu.
«Chaque match est un nouveau combat»
Si Bakambu s'est distingué avec ses deux buts, sur le terrain, c'est une vraie force collective qui s'est dégagée de la formation tricolore. Le Lionceau ne le cache pas, ce groupe est uni. Sur mais aussi hors du rectangle vert. «On se sentait vraiment bien. On avait bien préparé cette rencontre. Au sein du groupe, il y a une bonne ambiance. Là, ça fait bien cinq semaines qu'on est ensemble donc on se lâche plus, on rigole.» C'est désormais l'Autriche qui attend, mercredi (18h00), la joyeuse bande à Francis Smerecki. Un seul point lui suffira pour décrocher son billet pour le Mondial des moins de 20 ans, qui se disputera l'année prochaine en Colombie. S'il tient à ne pas s'enflammer, Bakambu ne peut s'empêcher d'avoir les idées larges. «Le premier objectif est de se qualifier pour le Mondial mais il faut être ambitieux. Dans nos têtes, on a envie d'aller au bout de ce Championnat d'Europe mais on sait qu'il faut avancer étape par étape. Les Pays-Bas étaient la première et désormais il faut confirmer contre l'Autriche. Chaque match est un nouveau combat.»
Intimidés par Blanc
Le plus dur commence donc pour les jeunes Bleus mais ça, leur entraîneur semble leur avoir bien fait comprendre. «On s'est déjà projetés sur le match face à l'Autriche. Il (Francis Smerecki) nous a dit "c'est bien ce que vous avez fait hier (dimanche)" mais ça s'arrête là. C'est terminé. Maintenant, on est tournés vers l'Autriche.» Une rencontre à laquelle n'assistera pas Laurent Blanc, présent dimanche dans les tribunes du stade Michel d'Ornano. Le nouveau sélectionneur des Bleus a apprécié la prestation face aux Néerlandais et n'a d'ailleurs pas hésité à le faire savoir aux jeunes Tricolores. Une vraie surprise et une réelle émotion pour Bakambu et ses potes. «Il a serré la main de tout le monde et nous a félicités. On était intimidés, on le regardait avec de grands yeux.» Comme nous lors de leur prestation face aux Néerlandais
Rapide, puissant et réaliste. Ces trois adjectifs résument à merveille les qualités démontrées par Cédric Bakambu, dimanche soir, contre les Pays-Bas. Percutant et incisif, le jeune attaquant sochalien en a fait voir de toutes les couleurs à la défense batave. «L'objectif était de leur rentrer dedans, de les bousculer. On avait vu des vidéos et on savait qu'ils n'aimaient pas trop ça, nous explique-t-il avant d'aborder brièvement sa prestation personnelle. Je me sentais bien dans ce match, je pense que ça s'est vu. Dans les courses, les appels de balles... C'est la première fois que je mets deux buts en sélection. Il faut que ça continue. Les matches amicaux (où il a inscrit deux des trois buts français, ndlr) m'ont mis en confiance.» Qu'il se rassure, ça s'est vu.
«Chaque match est un nouveau combat»
Si Bakambu s'est distingué avec ses deux buts, sur le terrain, c'est une vraie force collective qui s'est dégagée de la formation tricolore. Le Lionceau ne le cache pas, ce groupe est uni. Sur mais aussi hors du rectangle vert. «On se sentait vraiment bien. On avait bien préparé cette rencontre. Au sein du groupe, il y a une bonne ambiance. Là, ça fait bien cinq semaines qu'on est ensemble donc on se lâche plus, on rigole.» C'est désormais l'Autriche qui attend, mercredi (18h00), la joyeuse bande à Francis Smerecki. Un seul point lui suffira pour décrocher son billet pour le Mondial des moins de 20 ans, qui se disputera l'année prochaine en Colombie. S'il tient à ne pas s'enflammer, Bakambu ne peut s'empêcher d'avoir les idées larges. «Le premier objectif est de se qualifier pour le Mondial mais il faut être ambitieux. Dans nos têtes, on a envie d'aller au bout de ce Championnat d'Europe mais on sait qu'il faut avancer étape par étape. Les Pays-Bas étaient la première et désormais il faut confirmer contre l'Autriche. Chaque match est un nouveau combat.»
Intimidés par Blanc
Le plus dur commence donc pour les jeunes Bleus mais ça, leur entraîneur semble leur avoir bien fait comprendre. «On s'est déjà projetés sur le match face à l'Autriche. Il (Francis Smerecki) nous a dit "c'est bien ce que vous avez fait hier (dimanche)" mais ça s'arrête là. C'est terminé. Maintenant, on est tournés vers l'Autriche.» Une rencontre à laquelle n'assistera pas Laurent Blanc, présent dimanche dans les tribunes du stade Michel d'Ornano. Le nouveau sélectionneur des Bleus a apprécié la prestation face aux Néerlandais et n'a d'ailleurs pas hésité à le faire savoir aux jeunes Tricolores. Une vraie surprise et une réelle émotion pour Bakambu et ses potes. «Il a serré la main de tout le monde et nous a félicités. On était intimidés, on le regardait avec de grands yeux.» Comme nous lors de leur prestation face aux Néerlandais
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Re: LES JEUNES BLEUS
A Flers, les Bleuets ont fait exploser l'Autriche (5-0), ce mercredi, pour leur deuxième match de la compétition. Le premier objectif - une qualification pour le Mondial 2011 - est déjà rempli. BRAAAAAAAAAAAAVVVVVVVVVVOOOOOOOOO
Et de cinq qui font six. En s'imposant très largement (5-0), mercredi après-midi, face à l'Autriche à Flers, pour son deuxième match de l'Euro des moins de 19 ans, l'équipe de France a réalisé un très grand pas vers la qualification en demi-finales. La voilà désormais avec six points au compteur. Si le dernier carré n'est pas mathématiquement atteint, le premier objectif des Bleuets de Francis Smerecki a déjà été réalisé puisqu'ils sont certains de terminer dans les trois premiers du groupe. Ainsi, avec ce classement, les coéquipiers de Gaël Kakuta ont validé leur billet pour le Mondial 2011 de la catégorie qui se déroulera en Colombie.
Une finale face à l'Espagne ?
Concernant le face à face contre l'Autriche, les Bleus ont fait exploser les compteurs. Après avoir inscrit quatre buts lors de leur entrée en compéition face aux Pays-Bas (4-1), ils ont fait encore mieux ce mercredi. Les buteurs se nomment Antoine Griezmann, auteur d'un doublé (19e, 73e), Alexandre Lacazette (66e, 83e, en photo), déjà très convaincant lors de son entrée en jeu face aux Oranje contre qui il avait réalisé une passe décisive, et enfin Enzo Reale le Lyonnais (80e). Avec ce large succès, les Bleuets sont quasiment certains d'éviter l'autre favori de la compétition, l'Espagne, vainqueur un peu plus tôt du Portugal (2-1), en demies. Le choc pourrait finalement avoir lieu en finale
Et de cinq qui font six. En s'imposant très largement (5-0), mercredi après-midi, face à l'Autriche à Flers, pour son deuxième match de l'Euro des moins de 19 ans, l'équipe de France a réalisé un très grand pas vers la qualification en demi-finales. La voilà désormais avec six points au compteur. Si le dernier carré n'est pas mathématiquement atteint, le premier objectif des Bleuets de Francis Smerecki a déjà été réalisé puisqu'ils sont certains de terminer dans les trois premiers du groupe. Ainsi, avec ce classement, les coéquipiers de Gaël Kakuta ont validé leur billet pour le Mondial 2011 de la catégorie qui se déroulera en Colombie.
Une finale face à l'Espagne ?
Concernant le face à face contre l'Autriche, les Bleus ont fait exploser les compteurs. Après avoir inscrit quatre buts lors de leur entrée en compéition face aux Pays-Bas (4-1), ils ont fait encore mieux ce mercredi. Les buteurs se nomment Antoine Griezmann, auteur d'un doublé (19e, 73e), Alexandre Lacazette (66e, 83e, en photo), déjà très convaincant lors de son entrée en jeu face aux Oranje contre qui il avait réalisé une passe décisive, et enfin Enzo Reale le Lyonnais (80e). Avec ce large succès, les Bleuets sont quasiment certains d'éviter l'autre favori de la compétition, l'Espagne, vainqueur un peu plus tôt du Portugal (2-1), en demies. Le choc pourrait finalement avoir lieu en finale
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Re: LES JEUNES BLEUS
Le sélectionneur de l'équipe de France des moins de 19 ans, Francis Smerecki, assure que sa formation a affiché «la continuité d'un groupe» malgré les nombreux changements opérés contre l'Angleterre (1-1). «Francis Smerecki, qu'est-ce qui prédomine : la joie de la qualification ou l'amertume liée à l'égalisation en toute fin de match ?
C'est la joie de la qualification. On était en ballottage favorable avant ce match, j'avais protégé cinq joueurs qui étaient sous le coup d'une suspension en cas de nouveau carton jaune. C'était donc une équipe remaniée, mais elle a montré la même cohérence, la même solidité et la même solidarité. C'est la continuité d'un groupe. On avait une petite appréhension de casser la dynamique. Mais pendant 1h15, ça a tenu la route.
Justement, comment expliquez-vous la baisse de régime ensuite ?
D'abord, l'Angleterre est une bonne équipe. Avant le match, elle devait gagner pour se qualifier, et puis grâce à la victoire de l'Autriche contre les Pays-Bas (1-0), une égalisation lui suffisait. Les Anglais ont donc poussé énormément. Et notre baisse de régime s'explique aussi par la fatigue, avec 7 ou 8 joueurs qui n'avaient pas fait de match en entier depuis longtemps.
Connaissez-vous l'équipe de Croatie, votre prochain adversaire ?
Pas du tout. Je me suis concentré sur le groupe. Mais mes adjoints et le superviseur ont planché sur les adversaires potentiels. Maintenant, les joueurs vont récupérer et mes adjoints et moi allons préparer le match contre la Croatie. Derrière, on pourrait retrouver l'Angleterre ou l'Espagne, qui nous avait battus en finale (du Championnat d'Europe des moins de 17 ans en 2008).»
C'est la joie de la qualification. On était en ballottage favorable avant ce match, j'avais protégé cinq joueurs qui étaient sous le coup d'une suspension en cas de nouveau carton jaune. C'était donc une équipe remaniée, mais elle a montré la même cohérence, la même solidité et la même solidarité. C'est la continuité d'un groupe. On avait une petite appréhension de casser la dynamique. Mais pendant 1h15, ça a tenu la route.
Justement, comment expliquez-vous la baisse de régime ensuite ?
D'abord, l'Angleterre est une bonne équipe. Avant le match, elle devait gagner pour se qualifier, et puis grâce à la victoire de l'Autriche contre les Pays-Bas (1-0), une égalisation lui suffisait. Les Anglais ont donc poussé énormément. Et notre baisse de régime s'explique aussi par la fatigue, avec 7 ou 8 joueurs qui n'avaient pas fait de match en entier depuis longtemps.
Connaissez-vous l'équipe de Croatie, votre prochain adversaire ?
Pas du tout. Je me suis concentré sur le groupe. Mais mes adjoints et le superviseur ont planché sur les adversaires potentiels. Maintenant, les joueurs vont récupérer et mes adjoints et moi allons préparer le match contre la Croatie. Derrière, on pourrait retrouver l'Angleterre ou l'Espagne, qui nous avait battus en finale (du Championnat d'Europe des moins de 17 ans en 2008).»
aladin- Messages : 115038
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Re: LES JEUNES BLEUS
Avec dix buts inscrits en phase de poules, les Bleuets peuvent compter sur leur puissance offensive en demi-finales de l'Euro des moins de 19 ans, contre la Croatie, mardi au stade Michel-d'Ornano de Caen (19 heures).
«On va tenter de renouveler nos performances et surtout de garder l'attrait offensif, qui nous a permis à chaque fois d'ouvrir la marque.» Francis Smerecki, l'entraîneur de l'équipe de France des moins de 19 ans, sait qu'il peut compter sur ses joueurs en attaque. Mais contre la Croatie, une équipe méconnue qu'il a beaucoup observée en vidéo, il se méfie : «Ça va être excessivement serré. Pas fermé, mais ça va être difficile d'approcher de leur but. La Croatie est une équipe compacte et bien organisée.»
«Un groupe en confiance»
Toutefois, l'armada offensive des Bleuets - Lacazette, Bakambu, Griezmann, Kakuta, Tafer, Reale - peut partir confiante, avec déjà dix buts inscrits dans la compétition, pour seulement deux encaissés - preuve que la défense n'est pas en reste. Smerecki est d'ailleurs satisfait du bon parcours de son effectif, qu'il a pu faire tourner lors du dernier match contre l'Angleterre (1-1). «La fraîcheur peut-être aussi un avantage pour nous. Excepté le gardien remplaçant, tout le monde a pu jouer. C'est un groupe vivant, en confiance. Ce match appartient vraiment à l'ensemble du groupe.»
La finale contre l'Espagne en ligne de mire
Avec une qualification au Mondial 2011 déjà en poche et une demi-finale inédite à venir contre la Croatie, les Bleuets peuvent être fiers d'eux. Ils visent désormais une place en finale où ils rêveraient de retrouver l'Espagne, qui affronte l'Angleterre dans l'autre demie (16h), pour une revanche de 2008 (défaite de la France 0-4 en finale de l'Euro U17). D'autant qu'ils retrouvent le stade Michel-d'Ornano, à Caen, où ils pourront compter sur leurs supporters : «Les footballeurs sont souvent superstitieux, et ce stade nous a plutôt réussi lors du match d'ouverture», s'amuse Smerecki. Les Bleuets avaient épaté tout le monde en battant sèchement les Pays-Bas, annoncés favoris (4-1). Il n'y a plus qu'à croiser les doigts
«On va tenter de renouveler nos performances et surtout de garder l'attrait offensif, qui nous a permis à chaque fois d'ouvrir la marque.» Francis Smerecki, l'entraîneur de l'équipe de France des moins de 19 ans, sait qu'il peut compter sur ses joueurs en attaque. Mais contre la Croatie, une équipe méconnue qu'il a beaucoup observée en vidéo, il se méfie : «Ça va être excessivement serré. Pas fermé, mais ça va être difficile d'approcher de leur but. La Croatie est une équipe compacte et bien organisée.»
«Un groupe en confiance»
Toutefois, l'armada offensive des Bleuets - Lacazette, Bakambu, Griezmann, Kakuta, Tafer, Reale - peut partir confiante, avec déjà dix buts inscrits dans la compétition, pour seulement deux encaissés - preuve que la défense n'est pas en reste. Smerecki est d'ailleurs satisfait du bon parcours de son effectif, qu'il a pu faire tourner lors du dernier match contre l'Angleterre (1-1). «La fraîcheur peut-être aussi un avantage pour nous. Excepté le gardien remplaçant, tout le monde a pu jouer. C'est un groupe vivant, en confiance. Ce match appartient vraiment à l'ensemble du groupe.»
La finale contre l'Espagne en ligne de mire
Avec une qualification au Mondial 2011 déjà en poche et une demi-finale inédite à venir contre la Croatie, les Bleuets peuvent être fiers d'eux. Ils visent désormais une place en finale où ils rêveraient de retrouver l'Espagne, qui affronte l'Angleterre dans l'autre demie (16h), pour une revanche de 2008 (défaite de la France 0-4 en finale de l'Euro U17). D'autant qu'ils retrouvent le stade Michel-d'Ornano, à Caen, où ils pourront compter sur leurs supporters : «Les footballeurs sont souvent superstitieux, et ce stade nous a plutôt réussi lors du match d'ouverture», s'amuse Smerecki. Les Bleuets avaient épaté tout le monde en battant sèchement les Pays-Bas, annoncés favoris (4-1). Il n'y a plus qu'à croiser les doigts
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Re: LES JEUNES BLEUS
Vainqueur de la Croatie (2-1), la France a décroché son billet pour la finale du Championnat d'Europe des moins de 19 ans, ce mardi. Les jeunes joueurs de Francis Smerecki affronteront l'Espagne, vendredi.
Voici donc enfin la France qui gagne. Après un Mondial 2010 déplorable et affligeant pour le football hexagonal, ces Bleuets représentent une véritable bouffée d'air frais pour les amateurs de beau jeu. Après un premier tour parfaitement maîtrisé avec deux succès, un nul et dix buts inscrits, les partenaires de Gaël Kakuta se sont hissés en finale de ce Championnat d'Europe des moins de 19 ans après avoir difficilement écarté la Croatie (2-1), au Stade Michel-d'Ornano. Le prodige de Chelsea a d'ailleurs pris une part prépondérante dans cette qualification puisque c'est lui qui a remis sa formation sur les bons rails en égalisant (37e) alors que la France était menée au score depuis la troisième minute de jeu.
La revanche de 2008
Sur une tête signée Arijan Ademi (3e), la Croatie avait ouvert la marque sur sa première occasion, avant que Gaël Kakuta (37e) ne concrétise la domination des siens. Gilles Sunu (32e), le numéro dix français, avait bien trouvé le poteau quelques minutes auparavant après un splendide enchaînement dans la surface. Mais la réalisation du «Black Zidane» a définitivement lancé la machine bleue. Et malgré quelques bonnes opportunités des Croates sur coups de pied arrêtés, c'est finalement Cédric Bakambu (83e), le Sochalien, entré en jeu quelques minutes auparavant, qui envoyait les Bleuets en finale de la compétiton. La France, en quête d'une cinquième victoire en Championnat d'Europe U19, retrouvera donc l'Espagne, vendredi, pour une revanche de 2008. Les Tricolores avaient en effet perdu lourdement à l'époque contre la Roja (0-4) en finale de l'Euro U17
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Re: LES JEUNES BLEUS
CE SOIR 19 H NE LE RATEZ POUR RIEN AU MONDE
SUR EUROSPORT EN DUPLEX AVEC LES CHAMPIONNATS D "EUROPE D "ATHLETISME
C'est le début d'une ère peut-être nouvelle au niveau de l'état d'esprit et des résultats. Tout le monde en France a besoin d'espoir.» Signée Fernand Duchaussoy, le nouveau président par intérim de la FFF, la promesse est de taille. Elle a surtout l'occasion d'être tenue dès ce vendredi. L'équipe de France a en effet l'opportunité de remporter, sur ses terres et face à l'Espagne, une cinquième victoire en Championnat d'Europe U19. Avec une moyenne de trois réalisations inscrites par match (douze buts en quatre rencontres), les Bleuets, qui possèdent la meilleure attaque du tournoi, ont un atout de taille : un compartiment offensif capable de prendre à revers les défenses les plus imperméables.
Comme on se retrouve...
Et ça tombe bien. Car avec l'Espagne, c'est un véritable mur qui devrait se dresser devant les partenaires de Gaël Kakuta. Fidèles aux principes de leurs aînés champions du monde en Afrique du Sud, les Ibériques s'appuient sur un bloc équipe compact et solidaire, capable de se projeter rapidement vers l'avant dès la récupération du ballon. Une finale de rêve, en somme, entre le premier (l'Espagne) et le deuxième (la France) du classement UEFA des sélections de jeunes. Une rencontre qui rime avant tout avec revanche pour les hommes de Francis Smerecki. Balayés par l'Espagne (0-4) en finale de l'Euro U17 en Turquie, les mini-Bleus rêvent depuis deux ans de laver cet affront. Ils en ont enfin la possibilité.
SUR EUROSPORT EN DUPLEX AVEC LES CHAMPIONNATS D "EUROPE D "ATHLETISME
C'est le début d'une ère peut-être nouvelle au niveau de l'état d'esprit et des résultats. Tout le monde en France a besoin d'espoir.» Signée Fernand Duchaussoy, le nouveau président par intérim de la FFF, la promesse est de taille. Elle a surtout l'occasion d'être tenue dès ce vendredi. L'équipe de France a en effet l'opportunité de remporter, sur ses terres et face à l'Espagne, une cinquième victoire en Championnat d'Europe U19. Avec une moyenne de trois réalisations inscrites par match (douze buts en quatre rencontres), les Bleuets, qui possèdent la meilleure attaque du tournoi, ont un atout de taille : un compartiment offensif capable de prendre à revers les défenses les plus imperméables.
Comme on se retrouve...
Et ça tombe bien. Car avec l'Espagne, c'est un véritable mur qui devrait se dresser devant les partenaires de Gaël Kakuta. Fidèles aux principes de leurs aînés champions du monde en Afrique du Sud, les Ibériques s'appuient sur un bloc équipe compact et solidaire, capable de se projeter rapidement vers l'avant dès la récupération du ballon. Une finale de rêve, en somme, entre le premier (l'Espagne) et le deuxième (la France) du classement UEFA des sélections de jeunes. Une rencontre qui rime avant tout avec revanche pour les hommes de Francis Smerecki. Balayés par l'Espagne (0-4) en finale de l'Euro U17 en Turquie, les mini-Bleus rêvent depuis deux ans de laver cet affront. Ils en ont enfin la possibilité.
aladin- Messages : 115038
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aladin- Messages : 115038
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Re: LES JEUNES BLEUS
La relève est prête
L'équipe de France des moins de 19 ans est devenue championne d'Europe en battant l'Espagne (2-1). Buts de Sunu et Lacazette.
Alexandre Lacazette a marqué le but de la victoire contre l'Espagne.
L'équipe de France des moins de 19 ans est devenu ce vendredi championne d'Europe en battant l'Espagne (2-1). Les entrées de Tafer et Lacazette ont changé beaucoup de choses.
Et de six pour les mini-Bleus ! L'équipe de France des moins de 19 ans a remporté vendredi le championnat d'Europe de la catégorie pour la sixième fois, après les triomphes de 1983, 1995, 1996, 1997 et 2005, en dominant l'Espagne (2-1). Même si Francis Smerecki, le sélectionneur français, refusait de parler de revanche, il avait certainement dans un coin de sa tête la dernière finale européenne (-17) de cette génération (1991), perdue contre ces mêmes Espagnols (0-4) il y a deux ans.
Ce mauvais souvenir a dû ressurgir rapidement en voyant le niveau de jeu des Espagnols. C'est bien simple : ils étaient injouables en première mi-temps. A l'instar de leurs aînés, qui dominent le foot mondial depuis deux ans, voire du FC Barcelone, puisque de nombreux membres de la Rojita ont été formés là-bas, les Ibères ont confisqué le ballon, multiplié les passes, pour s'offrir de nombreuses occasions. Après quelques tentatives de l'excellent Sergio Canales, dont une frappe contré par Diallo (10e), les Espagnols ont ouvert la marque par Rodrigo (18e). L'attaquant du Real Madrid a profité d'une passe lumineuse de Pacheco (Liverpool, formé au Barça), consécutive à une boulette de Fofana, pour tromper le gardien français. Ce qui a plongé les 21.000 spectateurs du stade Michel d'Ornano (guichet fermé) dans la stupeur.
Mais cette équipe de France a du répondant. Et un banc. Comme ce fut le cas en demi-finale contre la Croatie (2-1), la solution est venue de là, des remplaçants, et d'un coaching audacieux de Smerecki. A la surprise générale, l'ancien entraîneur de Guingamp a décidé de sortir Antoine Griezmann, un des meilleurs Français depuis le début de la compétition, pour faire rentrer Yannis Tafer au retour des vestiaires. Le passage du 4-2-3-1 au 4-4-2 a également porté ses fruits, puisque Gilles Sunu a égalisé après un une-deux avec Tafer (49e). Et dire que les Espagnols venaient de rater le but du KO deux minutes plus tôt, lorsque Canales s'est embrouillé les pinceaux seul dans la surface.
Fort de cette confiance retrouvée, les mini-Bleus ont alors joué plus haut pour empêcher les Espagnols de développer leur jeu. Ce qui devenait inévitable est arrivé à quatre minutes de la fin du match (86e), lorsqu'Alexandre Lacazette a doublé la marque, après un travail remarquable et un centre qui l'est tout autant de Kakuta. C'est la deuxième fois dans l'histoire que les mini-Bleus soulèvent le trophée à domicile, après la génération Henry en 1996. Deux ans plus tard, l'attaquant, alors à Monaco, était sacré champion du monde, toujours en France
LA FRANCE QUI GAGNE N"EST PAS MORTE ...MERCI
L'équipe de France des moins de 19 ans est devenue championne d'Europe en battant l'Espagne (2-1). Buts de Sunu et Lacazette.
Alexandre Lacazette a marqué le but de la victoire contre l'Espagne.
L'équipe de France des moins de 19 ans est devenu ce vendredi championne d'Europe en battant l'Espagne (2-1). Les entrées de Tafer et Lacazette ont changé beaucoup de choses.
Et de six pour les mini-Bleus ! L'équipe de France des moins de 19 ans a remporté vendredi le championnat d'Europe de la catégorie pour la sixième fois, après les triomphes de 1983, 1995, 1996, 1997 et 2005, en dominant l'Espagne (2-1). Même si Francis Smerecki, le sélectionneur français, refusait de parler de revanche, il avait certainement dans un coin de sa tête la dernière finale européenne (-17) de cette génération (1991), perdue contre ces mêmes Espagnols (0-4) il y a deux ans.
Ce mauvais souvenir a dû ressurgir rapidement en voyant le niveau de jeu des Espagnols. C'est bien simple : ils étaient injouables en première mi-temps. A l'instar de leurs aînés, qui dominent le foot mondial depuis deux ans, voire du FC Barcelone, puisque de nombreux membres de la Rojita ont été formés là-bas, les Ibères ont confisqué le ballon, multiplié les passes, pour s'offrir de nombreuses occasions. Après quelques tentatives de l'excellent Sergio Canales, dont une frappe contré par Diallo (10e), les Espagnols ont ouvert la marque par Rodrigo (18e). L'attaquant du Real Madrid a profité d'une passe lumineuse de Pacheco (Liverpool, formé au Barça), consécutive à une boulette de Fofana, pour tromper le gardien français. Ce qui a plongé les 21.000 spectateurs du stade Michel d'Ornano (guichet fermé) dans la stupeur.
Mais cette équipe de France a du répondant. Et un banc. Comme ce fut le cas en demi-finale contre la Croatie (2-1), la solution est venue de là, des remplaçants, et d'un coaching audacieux de Smerecki. A la surprise générale, l'ancien entraîneur de Guingamp a décidé de sortir Antoine Griezmann, un des meilleurs Français depuis le début de la compétition, pour faire rentrer Yannis Tafer au retour des vestiaires. Le passage du 4-2-3-1 au 4-4-2 a également porté ses fruits, puisque Gilles Sunu a égalisé après un une-deux avec Tafer (49e). Et dire que les Espagnols venaient de rater le but du KO deux minutes plus tôt, lorsque Canales s'est embrouillé les pinceaux seul dans la surface.
Fort de cette confiance retrouvée, les mini-Bleus ont alors joué plus haut pour empêcher les Espagnols de développer leur jeu. Ce qui devenait inévitable est arrivé à quatre minutes de la fin du match (86e), lorsqu'Alexandre Lacazette a doublé la marque, après un travail remarquable et un centre qui l'est tout autant de Kakuta. C'est la deuxième fois dans l'histoire que les mini-Bleus soulèvent le trophée à domicile, après la génération Henry en 1996. Deux ans plus tard, l'attaquant, alors à Monaco, était sacré champion du monde, toujours en France
LA FRANCE QUI GAGNE N"EST PAS MORTE ...MERCI
aladin- Messages : 115038
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Re: LES JEUNES BLEUS
EURO U19 La France a battu la "Rojita" en finale. Un bol d’air après le fiasco sud-africain
Les Bleuets au sommet de l’Europe
FRANCE 2 - ESPAGNE 1
Un mois après la grève et le piètre comportement des Bleus au
Mondial, la relève a redoré le blason de la France
Stade Michel d’Ornano à Caen. Mi-temps : 0-1
Spectateurs : 21 000 (guichets fermés)
Arbitre : M.Studer (Suisse)
Buts - Espagne : Rodrigo (9) ; France : Sunu (49), Lacazette (86).
Avertissements - France : Fofana (26), Coquelin (84), Faure (89)
Espagne : Pacheco (23), Pulido (63), Rochina (83), Muniain (89).
France : Diallo - Nego, Faure, Mavinga, Kolodziejczak - G. Fofana (cap.), Coquelin - Sunu
(Lacazette 70), Kakuta, Griezmann (Tafer, 46) - Bakambu. Entraîneur: F. Smerecki
Espagne: Alex - Montoya, Pulido (Calvente 87), Marc Bartra, Planas - Oriol, Thiago - Keko
(cap.) (Muniain 63), Canales, Pacheco - Rodrigo (Rochina, 73). Entraîneur: L. Milla.
Et d’Ornano explosa ! Après
un dernier coup franc lointain
repoussé par la défense française,
M.Studer libérait les Français,
et leur offrait "leur" Euro.
La fête pouvait débuter à Caen
pour un beau moment de réconfort
après la frustration du Mondial.
Depuis jeudi, on ne pouvait
plus dénicher une place.
Les 21 000 précieux sésames
avaient tous été vendus pour
soutenir l’équipe de France des
U19. Mais ces supporters venus
en nombre allaient d’abord déchanter.
La première mi-temps
voyait des Bleuets dépassés par
le jeu chatoyant des Ibériques.
L’Espagne déroulait. Logiquement,
Rodrigo ouvrait le score
d’une frappe croisée du gauche,
servi par une merveille de
passe de Daniel Pacheco (9).
Au retour des vestiaires, la
tendance ne semblait pas vouloir
s’inverser : sur une passe
en retrait anodine, Diallo manquait
son contrôle. Canales récupérait
le cuir, mais se faisait
ensuite reprendre par un retour
impeccable de Faure, impérial
en défense centrale avec Mavinga
(48). Le match venait de tourner.
Deux minutes plus tard,
Gilles Sunu, bien lancé par Tafer,
rentré à la pause, lobait Alex
pour égaliser (50). Ce but allait
libérer les Bleuets, débordants
d’envie. Le pressing très haut
des Tricolores gênait considérablement
la Rojita.
La grosse pression française
se concrétisait enfin à la 86e minute.
Kakuta, excellent hier
soir, s’échappait plein axe, éliminait
deux adversaires avant
de buter sur Alex. Plein de
sang-froid, il récupérait le ballon
et centrait pour Alexandre
Lacazette qui marquait de la tête
dans le but vide. La "génération
des surdoués" a surtout
montré une énorme envie de gagner.
Une véritable leçon donnée
à leurs aînés après le fiasco
en Afrique du Sud...
Les Bleuets au sommet de l’Europe
FRANCE 2 - ESPAGNE 1
Un mois après la grève et le piètre comportement des Bleus au
Mondial, la relève a redoré le blason de la France
Stade Michel d’Ornano à Caen. Mi-temps : 0-1
Spectateurs : 21 000 (guichets fermés)
Arbitre : M.Studer (Suisse)
Buts - Espagne : Rodrigo (9) ; France : Sunu (49), Lacazette (86).
Avertissements - France : Fofana (26), Coquelin (84), Faure (89)
Espagne : Pacheco (23), Pulido (63), Rochina (83), Muniain (89).
France : Diallo - Nego, Faure, Mavinga, Kolodziejczak - G. Fofana (cap.), Coquelin - Sunu
(Lacazette 70), Kakuta, Griezmann (Tafer, 46) - Bakambu. Entraîneur: F. Smerecki
Espagne: Alex - Montoya, Pulido (Calvente 87), Marc Bartra, Planas - Oriol, Thiago - Keko
(cap.) (Muniain 63), Canales, Pacheco - Rodrigo (Rochina, 73). Entraîneur: L. Milla.
Et d’Ornano explosa ! Après
un dernier coup franc lointain
repoussé par la défense française,
M.Studer libérait les Français,
et leur offrait "leur" Euro.
La fête pouvait débuter à Caen
pour un beau moment de réconfort
après la frustration du Mondial.
Depuis jeudi, on ne pouvait
plus dénicher une place.
Les 21 000 précieux sésames
avaient tous été vendus pour
soutenir l’équipe de France des
U19. Mais ces supporters venus
en nombre allaient d’abord déchanter.
La première mi-temps
voyait des Bleuets dépassés par
le jeu chatoyant des Ibériques.
L’Espagne déroulait. Logiquement,
Rodrigo ouvrait le score
d’une frappe croisée du gauche,
servi par une merveille de
passe de Daniel Pacheco (9).
Au retour des vestiaires, la
tendance ne semblait pas vouloir
s’inverser : sur une passe
en retrait anodine, Diallo manquait
son contrôle. Canales récupérait
le cuir, mais se faisait
ensuite reprendre par un retour
impeccable de Faure, impérial
en défense centrale avec Mavinga
(48). Le match venait de tourner.
Deux minutes plus tard,
Gilles Sunu, bien lancé par Tafer,
rentré à la pause, lobait Alex
pour égaliser (50). Ce but allait
libérer les Bleuets, débordants
d’envie. Le pressing très haut
des Tricolores gênait considérablement
la Rojita.
La grosse pression française
se concrétisait enfin à la 86e minute.
Kakuta, excellent hier
soir, s’échappait plein axe, éliminait
deux adversaires avant
de buter sur Alex. Plein de
sang-froid, il récupérait le ballon
et centrait pour Alexandre
Lacazette qui marquait de la tête
dans le but vide. La "génération
des surdoués" a surtout
montré une énorme envie de gagner.
Une véritable leçon donnée
à leurs aînés après le fiasco
en Afrique du Sud...
aladin- Messages : 115038
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Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: LES JEUNES BLEUS
CES JEUNES BLEUS CHAMPIONS D" EUROPE U19 EN 2010
POURQUOI PAS CHAMPIONS D" EUROPE SENIORS
A L"EURO 2016 EN FRANCE
BRAVO
POURQUOI PAS CHAMPIONS D" EUROPE SENIORS
A L"EURO 2016 EN FRANCE
BRAVO
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
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Age : 110
Localisation : cassis
Re: LES JEUNES BLEUS
DesBleus en or pour
Les succès européens enregistrés par les sportifs français prennent un relief particulier dans la foulée d’un Mondial
de foot honteux. 18 médailles dont 8 titres pour les athlètes, de l’or pour les jeunes footballeurs... Ça fait du bien
La fraîcheur des Bleuets, vainqueurs de l’Euro des moins de 19 ans,
contraste avec l’attitude de leurs aînés en Afrique du Sud
La fraîcheur, la décontraction, la bonne humeur et
bien entendu les résultats des Bleus engagés sur
plusieurs fronts européens ces derniers jours, ne
manquent pas d’interpeller. Ils ne font pas oublier le désastre
de nos footballeurs au Mondial sud-africain, mais
ils rappellent à certaines réalités. Celles d’un pays où
les sportifs sont le plus souvent performants, avec une
formation enviée et des éducateurs courtisés. Ils sont
capables de gagner, jusqu’à l’accession au rang de
stars. C’est là que les ennuis commencent.
Les jeunes Bleus champions d’Europe de football semblent
aussi spontanés et prometteurs qu’un Franck Ribéry
à son arrivée à Marseille. Il va maintenant falloir, non
plus les éduquer (quoique...), mais les préserver, faire
en sorte que l’argent ne devienne pas leur moteur principal,
qu’ils ne sombrent pas dans la paranoïa, qu’ils gardent
la tête sur les épaules pour ne pas gâcher leur talent.
On touche là au management du très haut niveau,
talon d’Achille français, à de rares exceptions près. La
remise en cause de l’athlétisme tricolore sous la poigne
d’un lutteur mérite à ce titre toute notre attention. Le
discours du Directeur technique national Ghani Yalouz
est simple, clair, accessible à tous. Au naturel, les Bleus
savent se montrer irrésistibles. Mais pour continuer à
grandir, mèfi aux artifices de la gloire. À 20 ans, la vie
de Christophe Lemaitre vient de basculer brusquement
Le plus dur commence pour les jeunes champions d’Europe
Nicolas Sarkozy n’a pas tardé à leur
adresser un message de félicitations. Via
un communiqué transmis samedi par
l’Elysée, le chef de l’État s’est dit réjoui
par "cette équipe qui a montré beaucoup
de générosité, de dynamisme et d’enthousiasme".
Un mois et demi après la débâcle
sud-africaine, le succès de l’équipe de
France au championnat d’Europe U19
(moins de 19 ans) a rassuré en haut lieu.
En s’imposant vendredi face à l’Espagne
(2-1), les jeunes Tricolores ont apporté
un élan de fraîcheur revigorant au moment
où la maison bleue en avait le plus
besoin. Reste maintenant à confirmer, et
c’est là que le plus dur va commencer...
Leur sélectionneur, Francis Smerecki,
est d’ores et déjà monté au créneau en
prévenant que ses joueurs ne devaient
pas être considérés comme des sauveurs.
"Ils ne peuvent pas être les agents thérapeutiques
du football français", a scandé
l’ancien entraîneur de Guingamp dans
les colonnes du Monde.
Savoir s’entourer, règle nº1
Car ce n’est pas la première fois que les
Bleuets s’illustrent au plus haut niveau international.
L’équipe de France des
moins de 17 ans a notamment remporté
une coupe du monde (en 2001) et un
championnat d’Europe (en 2004).
Avec le trophée soulevé à Caen, les
19ans en sont à leur 7e titre continental.
Combien ont réellement confirmé ensuite
? Très peu. Et nombreux sont ceux qui
ont explosé en vol. Mal conseillés, mal entourés,
ils peuvent faire de mauvais choix
de carrière et vite déchanter.
Les exemples ne manquent pas, à l’image
de l’ancien Olympien Ahmed Yahiaoui,
champion d’Europe 2004 aux côtés
de Samir Nasri, Hatem Ben Arfa et Karim
Benzema. Passé ensuite par Istres (Ligue
2) et Sion (Suisse), on ne l’a plus revu
depuis une brève apparition à Cannes
(National) en 2008. Le milieu de terrain
rémois Stéphane Marseille, présent lui
aussi lors de cette campagne à domicile
- l’Euro 2004 avait lieu en France-, s’est
perdu en Division d’honneur du côté de
l’AS Fresnoy (Picardie), club présidé
par... Francis Lalanne ! Il n’avait auparavant
pas su s’imposer à Nancy.
Une descente aux enfers également vécue
par l’ex-Rennais Olivier N’Siabamfumu,
considéré comme un véritable espoir
au poste de défenseur central, et qui
évolue en Serie C2 italienne, à Carrare. Il
y a cinq ans, il brandissait pourtant la coupe
d’Europe avec les moins de 19 ans aux
côtés de Yoann Gourcuff, Hugo Lloris et
Yohan Cabaye
Les succès européens enregistrés par les sportifs français prennent un relief particulier dans la foulée d’un Mondial
de foot honteux. 18 médailles dont 8 titres pour les athlètes, de l’or pour les jeunes footballeurs... Ça fait du bien
La fraîcheur des Bleuets, vainqueurs de l’Euro des moins de 19 ans,
contraste avec l’attitude de leurs aînés en Afrique du Sud
La fraîcheur, la décontraction, la bonne humeur et
bien entendu les résultats des Bleus engagés sur
plusieurs fronts européens ces derniers jours, ne
manquent pas d’interpeller. Ils ne font pas oublier le désastre
de nos footballeurs au Mondial sud-africain, mais
ils rappellent à certaines réalités. Celles d’un pays où
les sportifs sont le plus souvent performants, avec une
formation enviée et des éducateurs courtisés. Ils sont
capables de gagner, jusqu’à l’accession au rang de
stars. C’est là que les ennuis commencent.
Les jeunes Bleus champions d’Europe de football semblent
aussi spontanés et prometteurs qu’un Franck Ribéry
à son arrivée à Marseille. Il va maintenant falloir, non
plus les éduquer (quoique...), mais les préserver, faire
en sorte que l’argent ne devienne pas leur moteur principal,
qu’ils ne sombrent pas dans la paranoïa, qu’ils gardent
la tête sur les épaules pour ne pas gâcher leur talent.
On touche là au management du très haut niveau,
talon d’Achille français, à de rares exceptions près. La
remise en cause de l’athlétisme tricolore sous la poigne
d’un lutteur mérite à ce titre toute notre attention. Le
discours du Directeur technique national Ghani Yalouz
est simple, clair, accessible à tous. Au naturel, les Bleus
savent se montrer irrésistibles. Mais pour continuer à
grandir, mèfi aux artifices de la gloire. À 20 ans, la vie
de Christophe Lemaitre vient de basculer brusquement
Le plus dur commence pour les jeunes champions d’Europe
Nicolas Sarkozy n’a pas tardé à leur
adresser un message de félicitations. Via
un communiqué transmis samedi par
l’Elysée, le chef de l’État s’est dit réjoui
par "cette équipe qui a montré beaucoup
de générosité, de dynamisme et d’enthousiasme".
Un mois et demi après la débâcle
sud-africaine, le succès de l’équipe de
France au championnat d’Europe U19
(moins de 19 ans) a rassuré en haut lieu.
En s’imposant vendredi face à l’Espagne
(2-1), les jeunes Tricolores ont apporté
un élan de fraîcheur revigorant au moment
où la maison bleue en avait le plus
besoin. Reste maintenant à confirmer, et
c’est là que le plus dur va commencer...
Leur sélectionneur, Francis Smerecki,
est d’ores et déjà monté au créneau en
prévenant que ses joueurs ne devaient
pas être considérés comme des sauveurs.
"Ils ne peuvent pas être les agents thérapeutiques
du football français", a scandé
l’ancien entraîneur de Guingamp dans
les colonnes du Monde.
Savoir s’entourer, règle nº1
Car ce n’est pas la première fois que les
Bleuets s’illustrent au plus haut niveau international.
L’équipe de France des
moins de 17 ans a notamment remporté
une coupe du monde (en 2001) et un
championnat d’Europe (en 2004).
Avec le trophée soulevé à Caen, les
19ans en sont à leur 7e titre continental.
Combien ont réellement confirmé ensuite
? Très peu. Et nombreux sont ceux qui
ont explosé en vol. Mal conseillés, mal entourés,
ils peuvent faire de mauvais choix
de carrière et vite déchanter.
Les exemples ne manquent pas, à l’image
de l’ancien Olympien Ahmed Yahiaoui,
champion d’Europe 2004 aux côtés
de Samir Nasri, Hatem Ben Arfa et Karim
Benzema. Passé ensuite par Istres (Ligue
2) et Sion (Suisse), on ne l’a plus revu
depuis une brève apparition à Cannes
(National) en 2008. Le milieu de terrain
rémois Stéphane Marseille, présent lui
aussi lors de cette campagne à domicile
- l’Euro 2004 avait lieu en France-, s’est
perdu en Division d’honneur du côté de
l’AS Fresnoy (Picardie), club présidé
par... Francis Lalanne ! Il n’avait auparavant
pas su s’imposer à Nancy.
Une descente aux enfers également vécue
par l’ex-Rennais Olivier N’Siabamfumu,
considéré comme un véritable espoir
au poste de défenseur central, et qui
évolue en Serie C2 italienne, à Carrare. Il
y a cinq ans, il brandissait pourtant la coupe
d’Europe avec les moins de 19 ans aux
côtés de Yoann Gourcuff, Hugo Lloris et
Yohan Cabaye
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