INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!

La troisième viedeJacques Savy
À 75 ans, cet ancien chirurgien marseillais est retourné sur les bancs de la fac pour réaliser son rêve d’enfant: écrire


Né en Espagne, rapatrié, Jacques Savy vit une enfance pauvre avant de devenir chirurgien à Marseille.
Aujourd’hui, il écrit des polars. Son rêve d’enfant.




Il y a des chemins plus linéaires
que d’autres. Jacques Savy
a préféré prendre des routes
plus sinueuses, des itinéraires
plus compliqués, si tant est
qu’il ait eu le choix.

À la fin de ma
4e année, j’ai pu
acheter une télé.
C’était le Pérou".


À ses débuts
tout du moins.
C’est en Espagne, à Barcelone,
que Jacques Savy voit le
jour. "Le fruit d’un vrai coup de
foudre", s’amuse-t-il encore
aujourd’hui. Un père français,
une mère espagnole, lui employé
de la Société générale, elle,
dactylo. "Elle descendait l’escalier,
elle est tombée, mon père
l’a rattrapée. Trois mois après,
ils se mariaient". La suite de cette
belle histoire d’amour tourne
au drame. Puisque la vie et l’Histoire
l’ont ainsi décidé.

Son roman met en scène un chirurgien
qui assassine sa femme.

"En
1939, mon père est parti à la
guerre. Il en reviendra mais
avec la tuberculose. Il meurt en
1941, en ayant juste le temps de
me donner une petite soeur",
s’émeut ce fils admiratif du courage,
de la passion de sa mère.
Car, rapatriée en 1938, la famille
Savy s’était installée à
Marseille, dans la pauvreté.
"Ma mère faisait des ménages
puis est retournée comme standardiste
à la Société générale.
Après la mort de son mari, elle a
fait une croix sur sa vie de femme,
nous étions sa seule obsession,
sa seule préoccupation".
Jacques, face à tant d’abnégation,
fait lui aussi une croix sur
ses rêves.
"Quand j’ai décroché mon
bac, je rêvais d’être prof de lettres,
sourit-il, les yeux dans le vague.
Mais cela voulait dire que
je devais faire encore trois années
d’études supplémentaires,
au moins, pour décrocher ma licence.
C’était très compliqué, à
cause de l’argent". Jacques Savy
a u r a i t pu s ’ a r r ê t e r l à ,
peut-être... Mais aux âmes bagarreuses,
le destin aime bien
faire des clins d’oeil. Quand des
copains d’école lui apprennent
qu’il peut faire sa médecine
dans l’armée, il fonce tête baissée.
"J’ai fini premier de ma promo.
Mais arrivé à Lyon, un
connard de médecin m’a réformé,
soit disant pour un souffle
au coeur", s’énerve-t-il encore,
tant d’années après. Un trait de
caractère, pour ne pas dire une
marque de fabrique. "En espagnol,
on dit ’cabrearse’ (comprenez
’se mettre en rogne’). Moi,
je me suis cabré toute ma vie",
dit-il, en retrouvant des accents
catalans. Après cet énième embûche,
la famille décide de se
serrer la ceinture pour que le
jeune homme puisse devenir
docteur. "À la fin demaquatrième
année, en faisant mon externat,
j’ai pu acheter une télé.
C’était le Pérou", rigole-t-il.
L’homme deviendra chirurgien
cervico-facial. Une carrière
qu’il ne regrette pas, loin s’en
faut. Qu’il a même vécue avec
passion, du centre anticancéreux
à l’hôpital Ambroise-Paré
de Marseille. Et qui l’a laissé
bien esseulé quand a sonné
l’heure de la retraite.
"Qu’allais-je faire, jouer aux
boules, au bridge, au golf, entre
vieux?", s’interroge-t-il, un brin
pince-sans-rire. Non, pas vraiment
son genre, surtout quand
on s’est cabré toute sa vie. C’est
là que le Dr Savy décide de reprendre
le chemin de l’école.
Sur les bancs de la fac, il renoue
avec ses premières amours et
ses rêves d’enfant, ceux qui
vous tiennent aux tripes quand
les hivers sont froids, les assiettes
pas toujours remplies et que
l’on va écouter la radio chez les
voisins.
Et cela ne s’appelle même
pas une revanche. Une vie. Une
troisième vie que Jacques Savy
s’est inventée comme un enfant
rebelle. Aujourd’hui, le septuagénaire,
qui compte parmi
ses amis ses comparses étudiants
qui ont 18-22 ans ("On a
fait de ces fêtes ensemble !", se
plaît-il à faire savoir), s’est lancé
dans l’écriture, enfin. Son roman,
paru aux éditions Persée,
Sortie de route, met en scène un
chirurgien qui assassine sa femme.
"Un gars normal à qui je jette
dans les pattes un truc qui le dépasse",
résume-t-il. Et pendant
qu’il regarde se débattre ses propres
personnages dans leurs incertitudes,
Jacques Savy s’amuse
beaucoup. Savourant chaque
minute de ce rêve enfin
abouti.

FESTIVAL DE CANES ...DE PARAPLUIES

La météo plombe le moral et gèle le début de la saison
le mardi 11 mai 2010

Sur le littoral, les restaurateurs font les comptes et mesurent déjà leurs pertes. Certains doivent débaucher leur personnel.

Difficile début de saison pour les restaurateurs du littoral. Certains enregistrent une baisse de 50% de leur chiffre d'affaires en ce mois de mai pluvieux.







Dans la salle du restaurant "La Pergola", dans la calanque de Niolon, près de Marseille, c'est devenu un rite. "Avant l'heure du déjeuner, quand Évelyne Dhéliat donne la météo à la télé, on craque et on la traite de noms d'oiseaux."

Même si la spécialiste du temps sur TF1 n'y est pour rien, elle encaisse le blues des restaurateurs balnéaires et des plagistes. "Depuis quatre ans, je note dans un petit logiciel la météo et ma fréquentation, explique Nathalie Gochgagarian, patronne de "La Pergola". Cette année, je suis à -40%. C'est normal, j'ai près de 80 couverts en terrasse pour 70 en salles. Du coup, j'ai convenu avec mes extras de les prévenir la veille ou le matin même pour leur dire de venir travailler ou pas. Dire que le premier mai 2009, il faisait 30º."

Même son de cloche au restaurant "Chez Tania", de la mythique calanque de Figuerolles à La Ciotat. "J'atteins -50% de recettes et - 250 couverts, assure Grégori Reverchon. Pour les 10 premiers jours de mai, j'en suis de ma poche. Je me vois contraint d'alléger le planning de mes employés en leur donnant 3 jours de congés. Ce week-end, j'ai eu plusieurs annulations. Même s'il peuvent manger en salle, les gens n'ont pas envie de venir dans la calanque sous la pluie."

Jamais Palavas-les-Flots n'a aussi bien porté son nom. Valérie, du "Petit Mousse", se souvient avec nostalgie de mai 2009. "Nous avions fait un mois exceptionnel. Cette année, c'est du -30% et nous devons débaucher les saisonniers que nous prenions pour le week-end afin de les tester avant la saison. Sans avoir la certitude qu'ils reviendront travailler pour nous si ça s'arrange. Car ils doivent pouvoir bosser pour se loger."

Plus encore que les autres départements, le Var compte ses pertes. "Ce week-end, et cela devient la règle, j'ai eu des annulations la veille pour le lendemain, raconte Laurence Cananzi, propriétaire de l'hôtel de 50 chambres "Les Mèdes", à Porquerolles. Les gens m'ont dit : 'On ne va pas venir avec ce temps.' Et en plus, mardi dernier, nous avons eu la tempête. Nous avions 20 chambres de réservées pour un tournage, 'L'Épervier', de France 2 et l'équipe a tout annulé."

Mais cette hôtelière insulaire qui emploie et garde ses cinq CDI ne s'estime pas si mal lotie. "Mes collègues plagistes sont dans la mouise, précise-t-elle. Quarante d'entre eux dans le Var, avec des restos de plage, ont été totalement sinistrés par le coup de mer. Ils ont perdu tout leur matériel et ne peuvent absolument pas travailler. Leur personnel est en rade. Nous avons eu une réunion exceptionnelle à la chambre de commerce."

Alors que les Alpes-Maritimes sont aussi frappées, la Région a débloqué une enveloppe financière d'un million d'euros et les maires ont demandé le classement des communes en zone sinistrée. Mais, pour la météo maussade, il n'existe pas encore de prise en charge par l'État. "Il serait temps qu'elle commence cette saison", glisse une restauratrice marseillaise. Pour que le débit des apéros fassent enfin la nique au débit de l'eau chez Dhéliat.

Alors, c’est pour quand le printemps?
Le temps pourri pèse sur l’économie et le moral des Provençaux.
L’éclaircie n’est pas attendue avant la fin de la semaine!


La météo plombe le moral et
Pluie et températures frisquettes pèsent sur l’économie de la région, des établissements de plages à l’agriculture.
Les ménages accusent le coup et rallument les chauffages. Courage, l’éclaircie est prévue pour la fin de semaine



Et il est où le réchauffement climatique ? Les
Provençaux, scientifiques dans l’âme quand il
s’agit du temps qu’il fait, ont rouvert le débat
dans les cafés, les entreprises, les familles.
Après un hiver singulièrement froid (voir ci-dessous), ils
attendent toujours un vrai printemps qu’ils n’ont vécu



que par intermittence. Mai les saisit pour l’instant, avec
des records de pluie dignes de pays à mousson. Et en
fait, ce sont les accumulations d’événements peu communs
sous nos cieux qui lassent. Après 25 cm de neige
sur Arles ou Avignon en janvier et près de 20 cm sur la
Côte d’Azur en février, voici donc un temps breton qui
joue les prolongations sur la Provence. Une région où,
au-delà même du moral des ménages, le temps influe
directement sur toute une partie de l’économie, de
l’agriculture à la restauration, quand il n’oblige pas à
rallumer les chauffages. Si les paysans pensent sauver
leur saison, avec un peu de retard, les restaurateurs et
les boutiques de prêt-à-porter s’affolent déjà devant la
seule sécheresse qui persiste : celle de leur tiroir-caisse.
Avec une donnée de plus en plus présente : les décisions
de séjour ou d’achat prises à la dernière minute, que le
mauvais temps vient bouleverser. Mais ouf, à la fin de la
semaine, l’éclaircie arrive avec le mistral. Pourvu que
ça dure, comme disait la mère de Napoléon.
Hiver indien

Rendez-nous Joe Dassin et son
été indien. Rendez-nous Carlos
et son Senor Météo. Il y a urgence
à retrouver un peu de légèreté,
un "Maritie et Gilbert Carpentier"
saisonnier, plein de paillettes,
de chaleur et de soleil. Car si
le temps nous pèse autant, c’est
bien qu’autour de nous, la tourmente
est continue. Regardez-
les ces météorologues de la
finance réclamant des milliards
pour sauver ces bourses que les
spéculateurs mettent instantanément
en dépression. Regardez-
les ces ministres intègres qui
nous promettent des lendemains
d’austérité riants comme un ciel
tempétueux. Voyez venir ce cortège
de nuages lourds sur notre
quotidien, ce plomb sur notre horizon.
Alors, il est temps de crier
haut et fort : Joe Dassin Esprit,
priez pour nous. Faites-nous un
printemps indien, un été commanche
pour oublier la prudence
de Sioux de tous les prévisionnistes
de l’économie. Donnez-nous
un de ces jours l’éclaircie espérée,
un vrai arc-en-ciel avec un
trésor enfantin à son pied.



Un mardi pluvieux mais le soleil va (enfin) revenir

Marie, qu’ont fait tes enfants pour que tu
sois aussi en colère contre eux? Mai, mois
marial, est devenu pour les Provençaux le
mois pluvial. Il a plu presque chaque jour depuis
le 1er mai (voir infographie ci-contre) et
aucune ville de la région n’a été épargnée
quand elle n’a pas été, comme sur la côte le
4mai dernier, balayée par un coup de vent.
"Alors que le mois d’avril était plutôt clément
avec des températures de plus de deux
degrés au-dessus des normales saisonnières, il
fait vraiment frais depuis le 1er mai, souligne
Valérie Jacq, chef du service climatologie de
Météo France à Aix. Jusqu'à -6°C en dessous
de la normale des températures maximum le
5 mai. Et donc avec des chutes de pluies remarquables
sur la Provence." À Marseille et Carpentras,
on bat avec huit et sept jours de
pluies, les records de 2002. Il faut remonter à
1975 pour retrouver plus de précipitations à
Nice ou Toulon. Et les habitants d’Embrun
doivent remonter à 1968 pour retrouver une
période plus arrosée. "Mais nous avons
connu des périodes entre avril et début mai
encore plus pluvieuses dans le passé, tente de
nous consoler Valérie Jacq. En mai 1978, Carpentras
avait connu treize jours de pluie et en
juin 1992, il avait plu un jour sur deux en Provence
!"
N’en jetez plus !Mais qu’en est-il pour les
jours à venir ? Eh bien ce mardi sera encore
pluvieux sur l’ensemble de la région à partir
de la fin de la matinée, et les averses pourront
tourner à l’orage rapidement. Avec des
risques de neige à partir de 2300 mètres. Mercredi,
jeudi et vendredi, ce sera le même type
de temps avec des éclaircies matinales et des
nuages dans l’après-midi mais il ne pleuvra
pas sur les zones littorales. Des averses sont
encore possibles dans l’intérieur des terres,
particulièrement sur les Alpes-de-Haute-Provence
et les Hautes-Alpes.
Ensuite, samedi et dimanche, nous fêterons
un grand retour : celui du mistral. Le
vent de nord-ouest balayera les nuages et
nous retrouverons du beau temps sur la région
provençale. Côté températures, dans
les jours prochains, cela grimpera péniblement
jusqu’à 18 ou 21º selon les secteurs.


STATISTIQUES
Unhiver plus froid et
arrosé que la moyenne


Le nombre de jours pluvieux depuis le 1er mai
Infographie FLAUT
Source : Météo-France
Marseille 8
Aix 7
Toulon 5
Carpentras 7
Nice 6
Embrun 6
Saint-Auban 6




Pluie et neige abondantes depuis
le début de l’automne, températures
glaciales en continu
depuis la mi-décembre... Si l’on
s’en tient au ressenti d’une majorité
de Provençaux, l’hiver que
nous venons de traverser - et
dont nous ne sommes pas encore
tout à fait sortis - serait à classer
parmi les plus rigoureux de
ces vingt ou trente dernières années.
D’un point de vue strictement
statistique, il n’en est rien.
Aucun record de froid ou de précipitations
n’a en effet été battu
depuis la fin de l’été dernier.
"Septembre 2009 a été bien pluvieux,
avec un cumul mensuel de
152,2 mm, supérieur à deux fois
la normale, mais loin du record
pour ce mois-là, qui dépasse
280mm", explique Valérie Jacq,
chef du service climatologie à la
direction interrégionale sud-est
de Météo France, à Aix-en-Provence.
Selon elle, sur une période
de huit mois comprise entre
septembre 2009 et avril 2010, il
est tombé 637 mm de précipitations
sur Aix, "soit 1,3 fois la normale
sur cette période". C’est
d’ailleurs moins qu’entre septembre
2008 et avril 2009 où il
était tombé 740 mm de pluie,
pas loin du record des 50 dernières
années enregistré entre septembre
1993 et avril 1994, avec
758 mm d’eau sur Aix. Si l’on observe
la situation mois après
mois, on constate qu’à l’image
de septembre 2009, les précipitations
ont été excédentaires en
décembre (près de deux fois la
normale avec 97,3 mm), mais
aussi en janvier, février et mars,
alors qu’octobre et avril étaient
légèrement déficitaires et novembre
conforme à la normale.
Côté températures, pas de record
non plus, mais une succession
inhabituelle de vagues de
froid tout au long de l’hiver, entrecoupées
de courtes périodes
de redoux plus ou moins intense.
D’abord début novembre, puis
du 13 au 21 décembre, du 3 au
13 janvier, du 10 au 15 février et,
enfin, du 3 au 15 mars. Résultat :
la température moyenne mensuelle
est demeurée inférieure à
la normale presque tout l’hiver,
avec des écarts importants par
rapport à la température de référence.
Sur janvier, par exemple,
l’anomalie de température a été
de 2,1 º en moins par rapport à la
normale. Loin, toutefois, du record
de janvier 1985 qui s’était
achevé avec un écart moyen de
- 4,6º par rapport à la normale.
"À part la dernière quinzaine de
novembre, qui a été exceptionnellement
chaude, on peut dire
que l’hiver 2009/2010 a été un
vrai hiver", assure Valérie Jacq.
Vivement qu’il se termine.

LUI AVEC SA BARBE ...IL RESSEMBLE A UN BISON...TRES FUTE.



D'un côté, Jacques Colletti, artisan-
photographe à Marseille
depuis 44 ans, et bientôt retraité.
De l'autre, Adobe Systems,
mastodonte californien du logiciel
de traitement d'images, avec ses
7600 salariés et ses 3,6 milliards de
dollars de chiffre d'affaires. Entre
eux, aucun point commun, si ce
n’est un nom commercial dont tous
deux revendiquent, sinon la paternité,
à tout le moins la propriété : Photoshop.
Dans cette version moderne
de David et Goliath, le champion du
software semble de prime abord
bien mieux armé que son adversaire.
Sauf que Jacques Colletti, 66ans cette
année, a accroché l'enseigne de sa
boutique marseillaise au printemps
1966. À l'époque, Adobe Systems
était encore dans les limbes. Fondée
en 1982, l'entreprise implantée à
San Jose, Californie, accuse ainsi
16 ans de retard sur l'artisan phocéen
dans l'utilisation du nom Photoshop.
La première version de son célébrissime
logiciel de traitement d'images
est en effet apparue en 1989 aux
États-Unis. Un an plus tard, ce produit
révolutionnaire débarquait en
France. "Quand je l'ai découvert,
dans le cadre de mon activité, j'ai
tout de suite été bluffé", se souvient
Jacques Colletti. Bluffé et séduit. Y
compris par le nom de ce nouveau
programme à triturer les photos.
"Un logiciel génial qui s'appelait comme
mon magasin, je trouvais ça plutôt
flatteur", avoue l'artisan marseillais.
Pas procédurier pour un
rond, il écarte même toute idée d'action
judiciaire contre l'entreprise
américaine, comme le lui suggérait
pourtant un ami juriste. "Entre eux
et moi, y'avait pas photo, si j'ose dire,
sourit Jacques Colletti. Outre que je
n'en avais pas forcément les moyens,
j'avais d'autant moins envie de les attaquer
que leur logiciel était une espèce
de miracle qui me faisait gagner
un temps fou par rapport aux techniques
classiques de retouche photo."



"Un logiciel génial qui
s'appelait comme mon magasin, je trouvais ça plutôt flatteur."

Six ans plus tard, l'avènement d'internet
sur la scène grand public interpelle
Jacques Colletti. Pour développer
sa clientèle, faire connaître son
travail et jouer la carte techno-moderne,
il crée un site internet, photoshop.
fr, après avoir acheté ce nom de
domaine alors libre. "Jusqu'en 2009,
mon site a fonctionné sans que j'entende
parler de rien, explique le photographe.
Puis j'ai commencé à me
poser la question de la retraite et j'ai
décidé de mettre mon affaire en vente,
y compris le site internet." En septembre
2009, trois mois après avoir
apposé un panneau virtuel "À vendre"
sur la page d'accueil, Jacques
Colletti reçoit un courrier de menaces
des avocats d’Adobe France, qui
l’accusent d’avoir "enregistré en fraude
manifeste" le nom de domaine
Photoshop.fr et l’enjoignent de le restituer
gratuitement à son légitime
propriétaire.

10000¤ proposéspour un site dont
la valeur a été estimée entre 80000 et 85000¤.

Surpris de la brutalité du procédé,
Jacques Colletti ne se laisse pas démonter.
Non seulement il démontre
aux conseils d’Adobe que les dirigeants
de l’entreprise étaient encore
en culottes courtes quand il a déposé
le nom litigieux, mais il confie à la
Chambre des métiers et de l’artisanat
le soin de fixer la valeur de ce
nom, sur la base d’éléments objectifs.
Résultat de l’évaluation : 80 à
85000¤. Après échanges de courriers
et d’e-mails, le géant du software propose
10000¤ via ses conseils. Refus
de Jacques Colletti, qui encaisse mal
la pingrerie d’Adobe France. Contactée,
la société nous a indiqué avoir finalement
"renoncé à toute action
contre" le photographe marseillais,
désormais, "libre d’utiliser son nom
de domaine" comme bon lui semble.
Et de le vendre à son éventuel successeur.
Pour Photoshop comme pour
le reste, mieux vaut avoir raison le
premier.



Jacques Colletti, 66 ans cette année, a accroché l'enseigne de sa première boutique en
1966. Fondée en 1982, la société californienne Adobe Systems accuse donc 16 ans de
retard dans l'utilisation du nom Photoshop. / PHOTOS DR

je n'aime ni cannes ni ses paillettes encore moins son festival avec ce tapis rouge

par contre j'ai remarqué au passage une très belle femme avec beaucoup d'allure
je ne connais que son nom
dommage qu'elle y soit
Salma Hayek elle doit être mediterranéenne

IL PARLE DE MILLIARDS D" EUROS COMME NOUS DE CENTIMES ..

en periode de crise il faudra tout surveiller
car certains s'enrichissent sur ces surcouts pharaoniques

Une immense plateforme de 40 ha a été construite. Le réacteur
Iter sera au centre. Un chantier pharaonique.




Les surcoûts d’Iter
inquiètent l’Europe
Elle devra débourser 3 milliards de plus que prévu


Il va falloir mettre la main à
la poche pour Iter. Dans une
communication faite au Parlement
européen et au Conseil
qui lui avait demandé, le 16 novembre
2009, de se pencher sur
les besoins de financement, la
Commission évalue à plus de
3 milliards d’euros (Md¤) la
part du surcoût global rien que
pour ce qui lui incombe. De là à
penser qu’il ne s’agit que de la
partie visible de la facture en raison
des contributions en nature
des autres partenaires, il n’y
a qu’un pas qu’il semble logique
de franchir.
Petit retour en arrière. Lorsque
validé par un traité international
ratifié par l’Union européenne,
la Chine, la Russie, le
Japon, la Corée du Sud, les
États-Unis, le Canada et l’Inde,
le programme de recherche Iter
dont le coeur repose sur la
construction à Cadarache d’un
réacteur expérimental qui doit
permettre de progresser sur la
voie de la maîtrise de la fusion
nucléaire, se résume en trois
chiffres : 4,57 Md¤ sur dix ans
pour la construction ; 4,8 Md¤
sur vingt ans pour l’exploitation.
S’ajoutent 530 millions
pour le démantèlement à terme.
En 2008, le coût global de la
construction s’élevait, pour la
Commission, à 5,89 Md¤. Euratom-
l’organisme européen qui
coordonne les programmes de
recherche -, devait contribuer
au chantier à hauteur de
2,68 Md¤, soit 45 %. En mai
2010, la Commission européenne
rapporte que selon l’entreprise
européenne Fusion For
Energy qui gère la contribution
d’Euratom à Iter, le coût de
construction du réacteur est de
7,2 Md¤. Soit 1,3 Md¤ supplémentaire.
Du coup Euratom devra
verser 5,9 Md¤, soit 3,2 Md¤
de plus. Là-dedans, la part de la
France, pays d’accueil qui a mobilisé
735 millions pour la seule
construction du réacteur, grimpe
à 1,3 milliard… En période
de crise et de rigueur, les surcoûts
d’Iter qui mettent Euratom
en déficit, n’ont rien de réjouissant.
Du coup, la Commission
recommande de revoir la
gouvernance, demande aux
États d’être précis et d’améliorer
l’estimation des coûts. Elle
évoque le déblocage de nouveaux
moyens et demande au
Parlement et au Conseil de se
pencher sur le sujet. La Banque
européenne d’investissement
pourrait venir à la rescousse.
Mais au-delà de l’Europe, il y a
tout le programme Iter. La Commission
aimerait que soit adopté
un cadre financier viable.

COLLECTIVITÉS

Pour obtenir le réacteur expérimental,
la France a proposé le
site de Cadarache, sur le territoire
de la commune de
Saint-Paul-lès-Durance. Elle
s’est engagée à le viabiliser, à
aménager les accès, notamment
une route qui de Berre à Cadarache,
permettra le passage de
convois exceptionnels. Coût global
: 735 millions d’euros (M¤)
pour la construction. Dans cette
enveloppe, la part des collectivités
est de 467M¤. La Région a
apporté 152 M¤, tout comme le
département des Bouches-
du-Rhône. Le Pays d’Aix a
contribué pour 75 M¤, ainsi que
le Var (30 M¤), le Vaucluse
(28M¤), les Alpes-Maritimes
(15M¤), les Alpes-de-Haute-Provence
(10 M¤), les Hautes-Alpes
(5M¤). Michel Vauzelle avait affirmé,
lors des régionales, qu’il
ne financerait pas de surcoût.
Avec 9,302 milliards d’euros de
chiffre d’affaires le PMU enregistre,
en 2009, un petit taux de
croissance de 0,4%pour cause
de crise mais affiche 12 années
de croissance consécutives. Le
taux de retour aux parieurs est
de 74,8%soit 6,9 milliards
d’euros. Par contre, l’agence de
Marseille, avec un chiffre d’affaireS
de 540 millions d’euros, enregistre,
par rapport à 2008 (551
millions d’euros), une baisse de
1,9%.

Cinq conseils pour bien vous préparer
"

LE JOUR J
Arriver en forme à l’examen:
les bonnes recettes
La veille des épreuves, inutile
de chercher à rattraper le temps
perdu: il est trop tard pour réviser.
Tous les spécialistes - à commencer
par les super-diplômés -
vous le diront : vingt-quatre heures
avant l’examen, il faut absolument
se détendre. Refermer
les bouquins de classe et les annales
du bac, oublier l’année scolaire
qu’on vient de vivre... c’est
le moment de faire du sport, de
lire, de regarder un bon film ou
d’aller rendre visite à sa
grand-mère. Car ce qu’on aura
tenté d’apprendre ou de revoir
ce jour-là ne sera pas assimilé le
lendemain, alors que la fatigue,
elle, sera bel et bien là.
La veille au soir, aller au lit à
l’heure habituelle. Plus tôt ne
servirait à rien, sauf à prendre
le risque de s’énerver un peu
plus en attendant que le sommeil
vienne. Si vous êtes du genre
angoissé et que vous avez
peur de ne pas bien dormir, ne
dévalisez surtout pas l’armoire
à pharmacie. Les somnifères ont
une fâcheuse tendance à induire
fatigue et somnolence le lendemain.
Pour les plus nerveux, une
bonne tisane apaisante devrait
faire l’affaire.
Le matin de l’examen, même
avec la boule au ventre, ne surtout
pas faire l’impasse sur le petit-
déjeuner. Pour être performant,
il faut du carburant. Là
aussi, mieux vaut s’en tenir à
ses habitudes. Ne pas manger
ou boire plus qu’un matin normal,
mais surtout pas moins. Et
prendre avec soi une barre de céréales
et une bouteille de jus de
fruit pour juguler une éventuelle
fringale en cours d’examen.
Pour les épreuves, surtout les
oraux, soignez votre présentation.
Faites dans le classique
sans ostentation. Éviter le triptyque
fatal tee-shirt sale, jean destroy,
cheveux coiffés à la grenade
offensive. Idem pour les bijoux,
piercings et autres colifichets
un peu trop voyants.
Soigner la présentation s’entend
aussi pour l’examen en
lui-même. Évitez ainsi de rédiger
votre travail directement
sur la copie finale, cela évitera
les ratures et les écarts trop
voyants dans la calligraphie.
N’oubliez pas, en effet, que les
corrections des copies d’examen
sont effectuées par des enseignants
qui en ont chacun des
dizaines à lire et à noter, avec la
fatigue et l’énervement qui vont
avec. Leur faciliter le travail,
avec une écriture bien formée,
régulière et sans rature, peut
ainsi valoir quelques points supplémentaires
sans trop d’effort.
Pour le reste, méfiez-vous des
soi-disant recettes miracles distillées
sur internet. Aucun médicament,
même sur ordonnance,
n’améliorera vos performances
intellectuelles.



Savoir se faire aider, veiller à son sommeil, travailler régulièrement et s’accorder quelques moments
de détente font partie des éléments de réussite.

Passer le bac est toujours
source de stress pour les élèves,
mais aussi pour leurs parents.
Surtout ceux qui ne l’ont
eux-mêmes jamais passé. Se
sentir stressé à l’approche de
l’examen n’a donc rien d’anormal.
Raison de plus pour adopter
les méthodes et stratégies
qui permettront, non pas d’éliminer
les angoisses d’avant
bac, mais de les gérer au mieux
pour aborder le jour J avec les
meilleures chances de réussite.






1Jouer la régularité. Les études,
c’est comme le sport :
l’assiduité à l’entraînement et
la régularité du travail sont les
meilleurs alliés du futur bachelier.
À un mois des premières
épreuves, il est certes un peu
tard pour rattraper une année
scolaire de dilettantisme, mais
ces quelques semaines seront
tout de même suffisantes pour
combler certaines lacunes.
Pour y parvenir, il faut s’astreindre
à une discipline de travail
basée sur la régularité.
Deux à trois heures de travail
quotidien seront plus profitables
qu’un marathon forcément
épuisant les dix derniers
jours.
2Commencer par vos matières
faibles. Quand on attaque
les révisions d’avant bac, la priorité,
ce sont les matières pour
lesquelles on se sent le moins
bien armé. S’y atteler dès le départ
permettra, le cas échéant,
d’y revenir dans la dernière ligne
droite des révisions - et, au
besoin, de se faire aider par un
tiers à ce moment-là-, histoire
de vérifier que les connaissances
requises dans chacune de
ces matières auront été correctement
assimilées lors de la première
étape.
3Maîtriser votre sommeil.
Aussi doué soit-on, impossible
d’espérer une performance
de premier ordre si on se présente
à l’examen avec une dette
de sommeil trop importante.
Quand on est en retard sur les
révisions, inutile de forcer la dose
en grignotant sur le temps de
repos. En agissant de la sorte,
on prend en effet le risque d’aggraver
la situation. Le sommeil
est en effet indispensable au
bon fonctionnement du cerveau.
Plus on est fatigué, moins
on arrive à ordonner ses idées
et à mémoriser ce qui doit
l’être. À l’âge du bac, difficile
d’être en pleine possession de
ses moyens à moins de huit heures
de sommeil par nuit. Un
rythme à respecter surtout la
dernière semaine.
4Préserver des plages de détente.
Même si on est en retard
sur le programme, il est
fondamental d’éviter l’abrutissement
par le travail, avec le risque
de tout oublier le jour J.
Pour s’en prémunir, il convient
de définir des plages de détente
dans son emploi du temps et de
s’y tenir. On peut ainsi écouter
de la musique, aller au cinéma,
se promener... ou mieux, faire
du sport une heure par jour.
Outre le bénéfice permanent
d’une bonne condition physique,
cela permet de bien se préparer
au sommeil.
5Adopter le bon rythme de
vie. Se lever et se coucher à
la même heure tous les jours,
week-end compris, manger léger
(pas trop de gras et de sucres,
pas d’alcool...), modérer
sa consommation d’excitants
(café, thé, chocolat, tabac...) et
remiser les médicaments psychotropes,
notamment les somnifères,
sont les meilleurs
atouts du futur bachelier.

LES FOUS SONT SOUVENT EN LIBERTE.............

LA RICHESSE EST INTERIEURE ... bienvenou mai 2010

ILS SONT COMPLETS
A LA VILLE A LA FERME SUR UN YACHT ILS SONT AUTANT A L"AISE
POLYVALENTS
MOI JE CONSEILLE A RAYMOND DE LES SELECTIONNER

PROGRESSIVEMEMNT VOUS TRAVAILLEREZ JUSQU"A LAGE LEGAL VERS LA MORT ... 80ANS

La retraite à 60 ans
c’est terminé !
L’âge légal du départ à la retraite sera revu à la hausse, confirme
le ministre Eric Woerth. Les syndicats se mobilisent demain
À l’appel de six syndicats
(CFDT, CGT, CFTC, FSU,
Solidaires et Unsa) une nouvelle
journée de grève et de manifestation
est organisée demain
sur le triple mot d’ordre : emploi,
salaires et retraites. Pour
les syndicats, les trois ne peuvent
être dissociés car "le plein
emploi permet de financer les retraites
et une revalorisation des
salaires permet de relancer la
consommation donc l’industrie
française".
Pour le seul département des
Bouches-du-Rhône plus de
200arrêts de travail dans le public
et le privé avaient été déposés,
hier. Une manifestation,
que les organisateurs espèrent
importante, se déploiera depuis
le Vieux-Port jusqu’à la place
Castellane. Le départ est prévu
pour 10h30. Plusieurs organisations
de jeunes (CGT, FSU,
FSE, Unef et UNL) appellent à
se mobiliser sur le thème "pour
mon avenir ; je lutte" et se joindront
au cortège. Le leader de
la CGT Bernard Thibault, de
passage à Marseille hier, n’hésitait
pas à parler de "grosse partie"
pour cette journée. "Les mesures
préconisées par le gouvernement
sont des sacrifices pour
les salariés" disait-il.
Et d’affirmer que ces derniers
doivent "intervenir immédiatement"
pour le faire reculer.
Donc demain...




Le gouvernement annonce
la fin de la retraite à 60ans
Le ministre du Travail Éric Woerth l’a confirmé hier. L’âge de départ pourrait passer à 62ans

Qui est concerné ?
Même ceux qui ont commencé à
travailler tôt sont visés par l’allongement
de l’âge légal du départ
à la retraite. Ils seraient environ
100000 chaque année, mais
il y en a de moins en moins. Car
l’âge de début de travail est devenu
plus tardif : 22,5 ans.
Y a-t-il des aménagements?
Les personnes ayant commencé
à travailler tôt continueraient à
bénéficier du "dispositif carrières
longues" de la réforme Fillon
de 2003 et pourront partir plus
tôt que les autres : vers 57 ans
par exemple si l’on a commencé
à travailler à 16 ans et si on a cotisé
au moins 168 trimestres. Les
échos révèlent aussi que les cheminots
et les régimes spéciaux
ne seront pas concernés dans
l'immédiat par le relèvement de
l'âge légal. C’est ce qu’affirme la
SNCF dans une note que s’est procuré
le journal.
Les professions à risques ou
pénibles ?
Policiers, douaniers, personnels
des hôpitaux... peuvent partir à
la retraite à 50 ou 55 ans. Sans
revenir totalement sur ce dispositif,
le gouvernement souhaite
préciser le concept de pénibilité

Dès 2020, la durée
de cotisation passera
à 41,5 ans.


Le gouvernement va "agir"
sur l'âge légal de départ à
la retraite en France, actuellement
de 60 ans, mais n'a
pas encore choisi le niveau
auquel il le porterait, dit le ministre
du Travail Éric Woerth.
Dans un entretien paru hier
sur le site internet de Paris
Match, Éric Woerth confirme
que jouer sur l'âge légal est une
"option logique pour le gouvernement"
et rappelle que l'augmentation
de la durée de cotisation
à 41,5 ans en 2020 est actée
par la réforme des retraites de
2003.
"Si on veut résoudre les difficultés
de nos régimes d'ici à cette
date et augmenter la durée d'activité
dans les prochaines années,
il faut donc agir également
sur l'âge légal de départ à la retraite,
explique-t-il. Mais
soyons clairs : aucune décision
n'a encore été prise sur le niveau
auquel il faudrait porter l'âge légal",
ajoute le ministre du Travail,
en charge de la réforme
des retraites.
La phase de concertation sur
les retraites est toujours en
cours. Le projet de réforme doit
être présenté à la mi-juin. Selon
plusieurs articles de presse parus
le week-end dernier, le gouvernement
envisage de repousser
progressivement l'âge légal
de départ à la retraite à 62 ou
63ans.
De son côté, l'UMP s'est également
prononcée officiellement,
hier, pour un relèvement
de l'âge légal de la retraite et un
allongement de la durée des cotisations,
sans toutefois faire
des propositions chiffrées sur
les deux points. Le parti présidentiel
propose aussi que les
hauts revenus et le capital
soient mis à contribution pour
le financement des retraites,
une piste déjà évoquée par le
gouvernement, et plaide pour
une généralisation des dispositifs
d'épargne retraite.
Xavier Bertrand, son secrétaire
général, a avancé ces propositions
devant une convention nationale
de l'UMP réunie à deux
jours d'une journée demobilisation
syndicale au niveau national
où la défense des retraites figurera
en bonne place (lire
ci-dessous). Xavier Bertrand
s’est toutefois bien gardé de
donner des objectifs chiffrés en
matière d’âge légal de départ.
Chargé du dossier des retraites
à l'UMP, le député de la Marne
Arnaud Robinet a évoqué dans
des interviews un "minimum"
de 62 ans pour l'âge légal, voire
même 65 ans "si on se place à
l'horizon 2030".

LE GOUVERNEMENT DIT CERTAINES CHOSES
LA REALITE ..SUR LE TERRAIN EST AUTRE.....

Mise a jour : 27/05/2010 19:01

Un "cachot" découvert dans les murs de l'Assemblée nationale
et cette decouverte insolite n'a semble t il pas encore de réponse affaire à suivre
Un "cachot", dont nul ne sait quand il a été construit ni à quoi il a pu réellement servir, a été découvert dans les murs de l'Assemblée nationale.

Fermée par des barreaux et une double porte en bois, la cellule d'environ 2 mètres sur 1,50 m avec un banc de pierre était emmurée depuis de longues années.

Ce réduit a été mis au jour quand un léger mur en plâtre a été abattu ces derniers jours à l'occasion de travaux effectués dans l'étroit escalier menant, à proximité de l'hémicycle, d'une salle de presse, la salle Fragonard, à une autre, la salle Passeron.

"J'en ignorais totalement l'existence", a indiqué l'historien de l'Assemblée nationale, Bruno Fuligni.

La divulgation de cette trouvaille a provoqué une réelle effervescence à l'Assemblée, avec un défilé sur les lieux de responsables et de membres du personnel du Palais-Bourbon. Le service de presse et la présidence de l'Assemblée ont été assaillis de questions et de demandes de visite par la presse, y compris étrangère.

Dans un communiqué, le service de presse a indiqué en fin de journée qu'"à ce stade, rien ne permet d’identifier l’usage dévolu à cet espace et notamment d’affirmer qu’il s’agirait d’un cachot. Le Palais-Bourbon est un bâtiment qui a fait, au cours des siècles, l’objet de nombreux et importants travaux et réaménagements, notamment la zone à proximité de la colonnade".

"Des recherches sont engagées par les services de l’Assemblée afin de retracer l’histoire et l’affectation de ce local. Le résultat de ces investigations sera rendu public", a-t-on ajouté.

Le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer, qui s'est lui aussi rendu sur place jeudi après-midi, a lancé, en plaisantant avec les quelques journalistes présents: "Ce n'est pas un cachot. Il faut arrêter le délire...".

Les grilles de la cellule semblent assez récentes et ses barreaux assez souples. Dans les couloirs de l'Assemblée, chacun y allait de son hypothèse sur l'utilisation du réduit.

Parmi les pistes plausibles, figure celle d'un usage interne des soldats allemands qui occupaient le Palais-Bourbon durant la Seconde guerre mondiale. Des graffiti nazis sont d'ailleurs toujours visibles dans les combles du bâtiment, d'où les soldats surveillaient la Place de la Concorde, de l'autre côté de la Seine.

Jusqu'à présent, la seule cellule connue, baptisée "cellule de dégrisement", était destinée aux députés. Mais ce "petit local", de deux pièces meublées, relativement confortable, n'avait plus servi depuis que Léon Gambetta, alors président de la Chambre des députés (1879-1881) y avait fait enfermer le comte Armand Léon de Baudry d'Asson, député royaliste de la Vendée (1876-1914).

La sanction avait en effet profité au comte, se transformant en énorme coup médiatique. Depuis lors, le local a été transformé en deux bureaux, affectés aujourd'hui à des députés UMP.

La dernière découverte insolite dans les locaux de l'Assemblée avait suscité une vive émotion chez les députés: celle, en 2005, d'ossements sous les locaux occupés par le groupe communiste. Il s'agissait en fait d'os de cheval...

le sourire en coin PLATOCHE a bien travaillé

pour l'euro 2016 le vainqueur c'est..............



ps certains disent fort comme un turc maintenant ils pourront dire fort comme un lorrain
nous on est pas des quiches

A CELUI QUI VA DEGAINER LE PLUS VITE.............
SOUHAITONS QUE LA VIOLENCE BAISSE SANS DRAMES ......

Ouf ! A posteriori, on se dit que le coup est
passé près. Ce n’est que par 7 voix contre 6
que la France a obtenu l’organisation de
l’Euro 2016, aux dépens de la Turquie, l’Italie
ayant été éliminée au premier tour de scrutin.
Mais dans six ans, et même bien avant, on aura
oublié le score. Ce qui compte, c’est de savoir
aujourd’hui que notre pays organisera sa quatrième
grande compétition de football en plus d’un
demi-siècle.






La référence, c’est la coupe du monde 1998, car
elle accueillait alors pour la première fois 32 nations,
comme l’Euro 2016 sera le premier qui se
jouera à 24. Lors des deux premiers championnats
d’Europe qui s’étaient tenus en France, l’organisation
était beaucoup plus légère.
En 1960, pour la toute première de l’histoire,
c’est au moment des demi-finales que le pays hôte
avait été choisi parmi les quatre dernières équipes
en lice. Le match de classement avait d’ailleurs eu
lieu àMarseille. Le système avait perduré jusqu’en
1976. Avec quatre matches seulement.
En 1984, il y avait huit équipes, avec de grands
absents (Italie, Pays-Bas, Angleterre...), suivant
la formule qui a été choisie entre 1980 et 1992.
L’Euro est ensuite passé à 16 et il passera à 24 en
France. On peut d’ailleurs le regretter car l’intérêt
sportif va se diluer. Mais cela nécessite une organisation
sans faille.
Les Turcs le prennent mal
Ce fut sans doute l’un des arguments en faveur
de la France qui avait démontré en 1998 tout son
savoir-faire. À l’inverse, les bégaiements de l’Ukraine,
qui co-organise l’Euro 2012 avec la Pologne,
ont dû pousser certains jurés à ne pas accorder
leur confiance à la Turquie, pays neuf dansce type
de manifestation qu’il n’a jamais accueillie. La
France, c’est un coup sûr, pas une aventure. Sinon,
qu’est-ce qui a pu faire pencher la balance ?
Pour le vice-président turc de l’UEFA, Senes Erzik,
qui ne pouvait pas voter (pas plus que Michel
Platini et son homologue italien), c’est par manque
de fair-play, parce que le président de l’UEFA
a présenté Nicolas Sarkozy aux membres du jury
et qu’il ne l’a pas fait avec le chef de l'État turc,
Abdullah Gül.
D’ailleurs, Michel Platini a précisé : "Si Nicolas
(Sarkozy) n'avait pas été là, la Turquie aurait certainement
gagné". Mais "cette élection est la preuve
que l'UEFA est démocratique, a ajouté Platini. Si le
président était un despote, le résultat aurait été
13-0-0."
On a du mal à limiter l’influence du chef de
l’État à de simples serrements de pognes. La présence
du président de la République est toujours
un signe fort : la preuve que l’État tout entier est
derrière le projet et qu’il ne risque pas de capoter
par manque de financements. Donc oui, présence
importante, mais pas forcément pour un coup tordu
comme veulent le faire croire les Turcs, déjà
battus en 2004 et 2008.
Il est cependant probable que le lobbying français
a dû être influent, mais là, c’est un jeu pratiqué
par tous les candidats et il faut simplement
être meilleur que les autres. Jamais la France n’a
échoué quand elle a été candidate à l’organisation
d’une compétition de football, contrairement aux
Jeux olympiques.
Un bond vers la modernité
Pourquoi une si grande joie ?De la part de sportifs
qui faisaient partie de la délégation française à
Genève, comme Karembeu et Djorkaeff, il y a évidemment
le côté mentalité de vainqueurs.
Pour les politiques comme pour le président le
FFF, Jean-Pierre Escalettes, ce sont les conséquences
qui se révéleront réjouissantes : la France sera
le centre de l’Europe en juin 2016, les stades seront
remis à neuf , avec plus de confort et des possibilités
de recettes bien supérieures à ce qu’elles
sont aujourd’hui. C’est un bond vers la modernité.
Et la France en avait bien besoin.
Et puis, quand la France organise, elle en profite
pour gagner aussi la compétition, ce qui n’est pas
mal non plus...

Yvonne KNIBIEHLER universitaire, auteure de nombreux ouvrage sur le rôle des parents
"C’est toute la société qui doit devenir plus maternelle, plus parentale"


FETE DES MERES
Comme elle le dit en souriant, son regard
bleu fixé sur vous, Yvonne Knibiehler
est "l’anti Elisabeth Badinter". Cette
spécialiste de l’histoire des femmes,
professeur émérite de l’université
d’Aix-en-Provence, martèle à 88 ans
avec une belle énergie que la maternité
est au coeur de l’identité féminine et
reste un "désir profond du corps et du
coeur". Elle souhaite une société qui réfléchisse
et agisse pour permettre à la
mère, mais aussi au père, de vivre
mieux son rôle, sans "sacraliser l’enfant"(
1).
❚ Comment l’image et le rôle de la
mère ont-ils évolué depuis les années
1970?
Le féminisme a posé clairement dans
ces années-là le refus d’un choix imposé.
Les femmes ne voulaient plus choisir
entre se marier et avoir des enfants ou
faire carrière et renoncer à la maternité.
L’éducation leur a permis de porter
ces revendications de société. Dès les années
1960, il y avait plus de bachelières
que de bacheliers.
Les femmes sont donc apparues massivement
dans le monde du travail - le terme
est réducteur car s’occuper de ses enfants
est aussi un travail - en découvrant la
"double journée". Il fallait tenir son poste
et "tenir sa maison". Avec souvent, et cela
persiste, la culpabilité d’être une mauvaise
mère et une mauvaise professionnelle. J’ai
reproché au féminisme de ne pas prendre
en compte cette souffrance, en s’engageant
essentiellement sur la lutte pour le
contrôle des naissances et le droit à disposer
de son corps.
❚ Mais il y a eu tout de même des progrès
qui ont libéré les femmes ?
En France, on a trouvé des réponses financières,
des allocations, les dispositifs
de protection maternelle et infantile,
mais pas vraiment de solutions "sur mesure"
pour les femmes qui veulent avoir des
enfants en travaillant. L’aide personnalisée
doit porter sur les deux versants de
leur vie. D’autant que les femmes n’ont
souvent plus autour d’elle l’entourage
proche, le clan familial qui pouvait les
aider.
❚ Mais le père devrait jouer tout son rôle
pour que la mère s’en sorte mieux !
Aucune mesure ne pourra le forcer à s’investir
dans les tâches ménagères. Souvent,
il croit faire beaucoup alors qu’il fait peu.
Allez vérifier si un homme s’occupe de ses
enfants lors de son congé parental ou s’il
joue aux boules ! Et s’il rate sa carrière parce
qu’il se consacre au repassage, est-ce
qu’on y gagne vraiment ? Dans le passé, les
pères étaient plus proches de leurs enfants
quand ils étaient artisans, paysans et qu’ils
les gardaient auprès d’eux. Aujourd’hui, ils
ont une pression forte de leurs employeurs,
une demande de disponibilité accrue.
C’est la production avant la reproduction.
❚ Faut-il alors repenser la société ?
Oui, nous devons aller vers une société
véritablement maternelle. Aujourd’hui,
je dirais qu’elle est marâtre. Elle malmène
les mères et les enfants. Les couples
parentaux doivent prendre la parole pour
qu’on les entende sur leur quotidien,
qu’on les soutienne par des prises en charge
adaptées, des gardes de deux heures
quand on a un souci, des compléments financiers.
Nous travaillons sur ce thème à
Aix pour créer un institut de la parentalité
méditerranéenne car nous avons des
spécificités. Le lien mère-enfant est plus
fort ici. Avec beaucoup de mamans immigrées
souvent perdues. Et pourtant les
dispositifs d’aide sont bien moins développés
que dans le Nord de l’Europe.
❚ Mais avec l’"enfant-roi", n’y a-t-il pas
trop de pression sur les parents ?
On ne peut jouer son rôle de mère, de
parent, toute sa vie. Or les parents sont
de plus en plus confrontés à des situations
dures, notamment avec les ados.
Avec la difficulté de trouver du travail, les
enfants restent de plus en plus tard au
foyer. II faut des dispositifs, du centre aéré
à l’internat, pour que l’enfant s’émancipe,
qu’il soit confronté à d’autres adultes,
ne soit pas "pourri" par des parents qui
lui apportent tout. Pour le reste, cessons
de culpabiliser. On est mère et parent
comme on peut. Je n’ai pas été parfaite
dans l’éducation de mes trois enfants. Ce
qui est essentiel pour eux, c’est qu’ils sachent
qu’on les aime et qu’on est auprès
d’eux pour leur bien.
Proposrecueillis par Philippe LARUE
(1) Elle est notamment l’auteur de "Histoire des
mères et la maternité en Occident" (Puf) et de "Qui
gardera les enfants ? Mémoires d’une féministe
iconoclaste (Calmann-Lévy)

LA FEMME EST L"AVENIR DE L" HOMME.........

MARSEILLE
Plus belle la course avec Ninon
L’actrice de "Plus belle la vie" est la marraine d’une course 100 % féminine



Les participantes de la "Marseillaise des femmes" se sont
retrouvées hier au stade Vélodrome pour un deuxième entraînement.
Pour cette première course pédestre exclusivement
féminine, qui aura lieu le dimanche 13 juin, Marseille
déroule le tapis rouge aux sportives. L’objectif, "féminiser
le sport," selon Bertrand Bossard, organisateur de la course.
Pour Maurice Di Nocera, conseiller municipal délégué
aux grands événements et aux grands équipements, "cette
course donne du dynamisme à la ville."
Plus de 500 femmes, déjà inscrites, prendront le départ
pour un parcours de 6 km: plages du Prado, stade Vélodrome,
etc. "C’est un circuit plat, accessible à toutes", explique
Michel Parra, président de l’association partenaire Massilia
Marathon. Mais pour Emmanuelle et Lidwine, deux soeurs,
c’est un véritable défi. "C’est une réunion conviviale entre
filles et l’occasion de montrer que les femmes sont aussi
capables de faire du sport." Les actrices de la série Plus
belle la vie seront les marraines de cette "course quimet en
avant les femmes", selon Aurélie Vanek, "Ninon" dans la
série (avec les lunettes sur la photo). "Je suis fière d’être la
présidente d’honneur de cette épreuve. On veut donner
une belle image de Marseille. C’est un événement fédérateur,
autour de la cause des femmes." Une partie du prix du
dossard (13 euros) sera ainsi reversée à Amnesty International
pour les libertés et les droits des femmes, et à la recherche
contre le cancer du sein. Mesdames, à vos baskets !
Inscriptions jusqu’au 11 juin ; plus d’informations sur le
site www.lamarseillaisedesfemmes.com

Y A BOIRE ET A MANGER DS CET INTERVIEW?...........
Miss Provence 2008, Laurie explique pourquoi elle se désolidarise de Geneviève de Fontenay
lundi 31 mai 2010 à 14H20
Laurie Imbert aimerait "organiser l'élection de Miss Martigues". Dans la guerre des miss, elle a choisi le camp Endemol.


Laurie Imbert, Miss Provence 2008.

Elle a choisi son camp sans aucune hésitation: Laurie Imbert, Miss Provence 2008, a rejoint Endemol. Non pas que la jolie Martégale ait des griefs envers Geneviève de Fontenay. Le différend est avant tout local. Elle s'en explique.

- Pourquoi avoir choisi de rejoindre Endemol?
Avec Josiane Valette, la déléguée du comité régional (qui soutient la dame au chapeau, Ndlr), il n'y avait que très peu d'élections locales. Et elle n'avait pas l'intention que cela change. Elle nous a, par exemple, empêchés d'organiser l'élection de Miss Martigues. C'est vraiment dommage qu'il y ait si peu d'élections en Provence, il faut au contraire donner leur chance aux filles de la région qui veulent se présenter. Plusieurs Miss Provence ont choisi comme moi de rejoindre Lydia Podossenoff, Miss Provence 2005 qui souhaite, elle, que ça bouge.


- Avec cette scission, comment vont se passer les prochaines élections?
Il existe depuis le début du mois, deux comités régionaux. Celui de Geneviève de Fontenay toujours tenu par Josiane Valette et le nôtre, repris par Lydia Podossenoff, qui dépend de la société Miss France dirigée par Sylvie Tellier. Il y aura donc deux élections de Miss Provence. L'une à Bandol (Geneviève de Fontenay) et l'autre à Sausset, normalement fin septembre (Endemol). Il y aura donc deux élections de Miss France, la première sur une chaîne câblée, l'autre sur TF1.


- N'avez-vous pas peur d'une confusion?
Nous avons beaucoup d'anciennes Miss Provence qui nous ont rejoints. Pareil pour les candidates. La Miss Côte bleue tout juste élue a même rendu son écharpe pour participer au "vrai" concours. C'est vrai que certaines sont influencées par le voyagequi sera aux Maldives cette année. Avec Geneviève de Fontenay, elles ne partiront pas très loin…...


- Ne pensez-vous pas avoir besoin de la notoriété de Geneviève de Fontenay?
C'est vrai que c'est dommage qu'elle ne soit plus là, c'est une figure du comité. Mais je pense qu'on n'a pas forcément besoin d'elle. Ce n'est pas elle qui fait l'élection, ce sont les candidates. Il n'y a rien de personnel avec Geneviève de Fontenay, mais cette polémique nationale a fait ressurgir des problèmes locaux qui dataient d'avant.


- Comment faites-vous pour convaincre les candidates de vous suivre?
C'est aux gens de choisir par eux-mêmes. Nous, ce que nous voulons, c'est organiser beaucoup d'élections, pour que toutes les filles de Provence qui veulent se présenter aient leur chance. Et surtout, nous voulons que l'ambiance soit bonne, ce qui n'était pas toujours le cas avant. Avec Lydia, c'est sûr, cela va rajeunir un peu tout ça! Mais ce n'est pas pour autant que l'élection de Miss France sera dénaturée. Endemol nous l'a promis, d'ailleurs: cela ne deviendra pas une émission de télé-réalité supplémentaire. Pas de défilé de filles à moitié nues, non plus.


- Qu'envisagez-vous pour cette année? On part avec peu de moyens et l'année est déjà bien avancée donc cela va être difficile d'organiser de nouvelles élections que celles déjà prévues. Il va en tout cas nous falloir trouver des partenaires, même si nous avons déjà un bon réseau. En tout cas, j'aimerais tant organiser l'élection de Miss Martigues. Si ce n'est pas possible cette année, on fera tout pour que cela se fasse l'an prochain.




dardevil

rien à cirer ,votre seul rêve c'est le pognon et le voyage sur le compte de nos impôts !!! Il y a des centaines de femme qui ont la beauté dans le coeur et se battent tous les jours pour des causes plus humanitaires et moins altruiste que des miss !


JUAN-LEWIS
Certaine parole de la chanson d'Elmut FRITZ 'miss france' ne sont pas loin de la vérité.
Une des dauphines du dernier concours de miss france n'habitait plus depuis fort longtemps la ville ou elle a été élue la premiere fois mais cela ne lui a pas empéché pouvoir continuer son petit bonhomme de chemin.
Que propose ce jeu? Une année de rêve, mais aussi énormement de contraintes, surtout celle de servir de 'potiche' ou autres tapisseries dans toutes sortes d'émissions et de manifestations plus ou moins barbantes..
Et aprés , retour à la réalité! Que reste il de tout cela?, Des souvenirs c'est tout et une couronne avec quelques photos et autres vidéos

lepoeteoccitan
Elle a une demi mèche ,un tee shirt en lapin et elle doit faire un choix entre endémol et le sosie de boy georges...dans les deux cas elle a faux...
elles veulent toutes passer à la télé et surtout le jackpot :une couverture avec le diadéme et les fesses à l'air...finalement on est bien loin d'un bon vieux défilé ringard...y a plus d'esprit sain

La beauté d’une femme, c’est l’harmonie du hasard de ses
formes et du bien fondé de ses intentions.
Simone Weil