STEVE MANDANDA LA PANTHERE

OUI SURTOUT QUE CA PERD 3 POINTS /...

L’expulsion de Mandanda,
obligeant l’OM à jouer à 10 contre 11 pendant plus d’une heure,
a provoqué la défaite olympienne à Lille

Ce week-end, de nombreux joueurs faisant partie de la liste des 30 appelés
par Domenech étaient encore sur le pont.
Steve Mandanda (Marseille) : Suspendu contre Grenoble (2-0), Mandanda n'a pas joué mais a fêté le titre marseillais avec toute la ville.

si retenu ds les 23 sujet déplacé

A peine arrivé à Tignes au stage préparatoire de l'équipe de France pour la Coupe du monde, Steve Mandanda a rejoint William Gallas, sur place depuis samedi, pour un footing ce mardi après-midi. Les deux joueurs étaient précédés de Robert Duverne, préparateur physique des Bleus, et Michel Brohan, un des kinés de l'équipe de France, tous deux à vélo

Mandanda plus fort que Boghossian...
lundi 24 mai 2010 à 16H39


En attendant le Mondial sud-africain, le stage de l'équipe de France de football se poursuit à Tignes. En ce lundi de Pentecôte, certains partenaires de William Gallas ont eu droit à un atelier spécifique sous la houlette de Robert Duverne, le préparateur physique. Il s'agit de l'Arlésien Djibril Cissé, du Martégal André-Pierre Gignac et de Nicolas Anelka.

Par ailleurs, les trois gardiens ont effectué un tennis-ballon contre une partie du staff tricolore. Et, dans cet exercice, force est de constater que Steve Mandanda et consorts s'en sont mieux sortis. La triplette Boghossian-Martini-Grange n'a rien pu faire... Une dernière séance est programmée cet après-midi



matt13 24/05/2010 à 18h32
Même un mancho-unijambiste aurait gagné contre le trio annoncé

France - Costa Rica : Mandanda titulaire !
mercredi 26 mai 2010 à 20H01


Raymond Domenech vient de dévoiler le onze de départ de l'équipe de France qui affronte le Costa Rica, ce mercredi soir en match amical, à Lens. Contre toute-attente, Steve Mandanda est titulaire dans le but, en lieu et place de Hugo Lloris. Patrice Evra est capitaine de l'équipe, tandis que Thierry Henry prend place sur le banc, tout comme Mathieu Valbuena.

Le onze de départ de l'équipe de France :
Gardien : Mandanda ;
Défenseurs : Sagna, Gallas, Abidal, Evra (cap.) ;
Milieux : Gourcuff, Toulalan, Malouda ;
Attaquants : Govou, Anelka, Ribéry.

MEME PAS PEUR DE CES LEOPARDS
NOUS ON AVAIT UNE PANTHERE DANS LES CAGES

il n'y a plus photo finish en LLORIS ET MANDANDA c'est une evidence

pas vraiment rassurant il en est à une bourde chacun avec hugo

. Hugo Lloris a retrouvé sa place de titulaire contre la Tunisie et la Chine, sa doublure Steve Mandanda ayant joué (plutôt mal) le premier volet du tryptique contre le Costa Rica le 26 mai à Lens (2-1). Le portier lyonnais a concédé deux buts, le premier au Tunisien Jemaa dimanche dernier à Radès (1-1), le second au Chinois Zhuoxiang vendredi à la Réunion (0-1). Le Marseillais s'est pour sa part incliné à une reprise, devant le Costaricain Hernandez. Au total, les Bleus ont concédé trois buts

on peut dire sans se tromper qu'ils encaissent toujours

SACRE REBELLE CE STEVE ...PLUTOT MUET

RAMPART29/06/2010 à 06h27

IL JOUE BIEN AU BALLLON
ET EN PLUS IL A UNE BONNE MENTALITÉ....

UNE MERVEILLE CE JEUNE AZPI ...UN EXEMPLE POUR NOS CITES....
RESTE A TROUVER UN GARDIEN ET UN AILLER DROIT, ET VALBUENA ET MANDANA...DEHORS....
PAS DE REBELLE DU BUS A L'OM...

PAS MAL LE MAILLOT STEVE..

À la veille du match amical,
un seul entraînement collectif
a été programmé hier
après-midi, devant une foule
dépassant aisément les
600 personnes. En matinée,
seuls Taiwo, André
Ayew, Mandanda et Valbuena
ont eu droit à une mise à
jour physique avec du gainage,
des sauts, de la proprioception.
Ils ont participé
tous les quatre à l’opposition
de fin de journée
avec un rythme chaque
jour un peu plus relevé

Non, Mandanda n'a pas changé
747 contributions Publié le vendredi 23 juillet 2010 à 07H15


S'il n'a rejoint le groupe que dimanche, Steve Mandanda a vite retrouvé ses repères.

Photos de notre envoyé spécial Franck Pennant


"La Provence" est allée à la rencontre de Steve Mandanda. Sans extravagance, le gardien olympien est revenu fidèle à lui-même. S'il n'a rejoint le groupe que dimanche, le gardien de but a vite retrouvé ses repères après de courtes vacances. "La période a été assez courte par rapport aux autres et je tenais à en profiter au maximum", avoue-t-il.

"Des vacances où il a surtout recherché le repos, la paix morale, loin de l'agitation médiatique née d'un fiasco retentissant en Afrique du Sud auquel nul ne lui reprochera d'avoir participé sportivement. "Même si les vacances ont été courtes, il n'y a pas matière à s'inquiéter. En trois semaines, on ne perd pas énormément et on met moins de temps à rattraper le retard sur ceux qui sont plus avancés dans la préparation."

Au quotidien, Steve Mandanda retrouvera Nicolas Dehon, qu'il a côtoyé au Havre. "Nous avons travaillé pendant trois années ensemble et il existe un lien fort entre nous. Il me connaît mieux que je me connais moi-même !"

Mandanda a fait la différence


Le gardien olympien est apparu très sûr dans ses prises de balle.

MANDANDA
Très sûr dans ses prises de balle, il
a réussi une sortie remarquable dans
les pieds de Nenê. C’est aux tirs au
but qu’il a fait la différence

à mon avis il a suivi les autres car il est relativemnt timide


Interrogé sur la déroute des Bleus lors de la Coupe du monde en Afrique du Sud, Steve Mandanda , ne s'est pas montré très bavard.


«Que s'est-il passé ? Je ne me rappelle plus !
», a ainsi rétorqué avec humour

Avant de dévoiler le fond de sa pensée. «Je n'ai rien à dire de spécial là-dessus. On a fait une connerie, derrière il faut assumer et respecter la sanction (aucun des 23 dans la première liste de Laurent Blanc, Ndlr), insiste Mandanda sur le site officiel de l'OM. (...) J'ai lu un article où Mamadou Niang résumait bien la chose : "Il ne faut pas faire subir aux joueurs de Ligue 1 ce qui s'est passé en Afrique du Sud !"»

ÉQUIPE DE FRANCE Le gardien de l’OM est revenu sur la grève des Bleus en Afrique du Sud
Mandanda: "On a fait une connerie, il faut assumer"

Après le fiasco des Bleus, Mandanda est
heureux de retrouver Nicolas Dehon.




Steve Mandanda regardera sans doute
d’un oeil distrait la première liste dévoilée
par Laurent Blanc, vendredi, pour le déplacement
amical en Norvège. Et pour cause ; à
l’instar de ses 22 coéquipiers présents à la
Coupe du monde sud-africaine - ceux qui
ont pris part à la fameuse grève du car de
Knysna -, il est suspendu par le nouveau sélectionneur
pour cette rencontre.
Une sanction que certains estiment légère,
ne concernant "qu’un" match amical. Ce
qui n’est pas de l’avis du gardien olympien.
"C’est quand même un match de l’équipe de
France, souligne-t-il. Je suis forcément déçu
de ne pas avoir l’occasion d’y prendre part.
On a fait une connerie et il faut assumer les
conséquences; je respecte la sanction."
S’il avoue ne pas avoir gardé de stigmates
du fiasco tricolore lors du Mondial - sa
décontraction et son large sourire en faisant
foi -, Mandanda affirme en avoir tiré
les leçons. "Ce genre d’événements, ça fait
progresser. On apprend toujours de ses erreurs."
Depuis son retour à l’OM - lors des
45 minutes initiales face à Catane -, l’ancien
Havrais semble très affûté. Un retour en forme
qui coïncide avec les retrouvailles avec
Nicolas Dehon, qui l’avait formé au sein du
club normand. "Évidemment, ça me fait plaisir
de travailler avec lui, explique-t-il. Le
staff olympien m’avait sondé pour savoir si
je connaissais quelqu’un pour ce poste d’entraîneur
des gardiens et oui, je connaissais
quelqu’un (rires). Mais bon, si l’OM a décidé de
le prendre, ce n’est pas qu’en se fiant à mes
propos, les dirigeants se sont également renseignés
de leur côté !"
Les bons tuyaux de Nicolas Dehon
"Nicolas, il me connaît mieux que moi-même.
Après, la différence avec Laurent Spinosi,
elle n’est pas si importante que ça...
"Le plus important, pour un gardien, c’est
d’être bien dans sa tête. Si c’est le cas, le reste
suit. Et pour l’instant, je suis très bien dans ma
tête". L’apport de celui que l’on peut qualifier
de mentor a en tout cas déjà porté ses fruits
lors du Trophée des champions, face au
PSG... l’ancien club de Dehon. "C’est clair que
je suis parti avec un avantage lors de la série
des tirs au but ; Nicolas m’avait donné les côtés
des tireurs parisiens !", avoue le gardien international,
qui avait stoppé le tir de Ludovic
Giuly à Radès.
Bien dans sa tête, bien dans son corps, Steve
Mandanda piaffe d’impatience à l’idée de renouer
avec la compétition ce week-end. En l’absence
de Souleymane Diawara, sa prestance sera
importante pour rassurer une défense forcément
expérimentale. "Souley, on connaît son
importance aussi bien sur le terrain qu’en dehors.
Il est costaud, il stabilise l’arrière-garde.
Il va beaucoup nous manquer. Mais on a également
des éléments de valeur pour pallier son
absence, je ne me fais aucun souci sur ce
plan-là."
Inoxydable optimiste, Steve ne manque pas
d’ambition pour cette nouvelle saison : "Faire
aussi bien que l’an dernier, ce serait déjà pas
mal, glisse-t-il, l’oeil rieur. On sait qu’on sera
encore plus attendu que d’ordinaire, mais on
est mentalement prêt pour faire quelque chose
de bien." Et ce sera cette fois sans le fameux
Jabulani, si décrié lors de la Coupe du monde,
mais avec un Puma, ballon officiel de la Ligue1.
"Celui-là, il est bon", reconnaît Mandanda.
La marque aux trois bandes, sponsor officiel
de l’OM et équipementier du gardien olympien,
appréciera !

extrememment mauvais sur les 2 buts caennais
papacoco143 08/08/2010 à 12h09 Merci afterman
Mamad avait la balle du 2-1 et le match aurait été plie mais il a manque son face a face et ensuite Mandanda ne sort pas de sa ligne, ou carrément, rentre dans ses cages pour arrêter la tête a bout portant !!!
Moi qui croyait qu'il en avait finit avec ses sorties hasardeuses ou invisibles !!!

Vivement un nouveau gardien (ruffier) et drogba !!!!
Vivement ruffier et drogba !!!

LE GARDIEN OLYMPIEN RECONNAÎT SA FAUTE SUR LE PREMIER BUT CAENNAIS ET APPEL À LA REMOBILISATION
Steve Mandanda assume son erreur


"Il faut s’inquiéter dès à présent. Mais la saison démarre à peine





Il aurait pu s’éclipser par la porte de derrière
ou bien traverser la zone médias, téléphone portable
collé à l’oreille en faisant mine d’être en ligne
avec un interlocuteur comme beaucoup de
ses semblables font en ces lieux pour être sûrs de
ne pas être sollicités. Mais Steve Mandanda ne se
défile pas, ne se cache pas. Il affronte.
Samedi soir, le gardien olympien a préféré
jouer franc jeu, n’esquivant aucune question, même
les plus embarrassantes. Sans doute se sentait-
il suffisamment impliqué dans la contre-performance
survenue deux heures plus tôt pour ne
pas s’évaporer sans donner sa version des faits.
Les faits, parlons-en, justement. L’OM, ou du
moins l’ombre du champion de France en titre,
venait tout simplement d’être dominé au Vélodrome
par un promu qui n’avait rien d’effrayant
(1-2). Sur le coup, ce dernier avait été
grandement aidé par Mandanda. Carrément fautif
sur l’ouverture du score signée Seube, l’international
n’avait pas été impérial sur l’autre réalisation
normande. De tout ça, l’intéressé en est
conscient. "Sur le premier but, jeme fais surprendre
par le rebond, reconnaît-il. Concernant le
deuxième, c’est un centre au second poteau ; l’attaquant
adverse est tout seul et il met la tête. Il n’y a
rien de particulier."
En fait, c’est surtout le but de Seube qui contrarie
au plus haut point Mandanda. "Ensuite, il a
fallu cravacher et courir après le score, regrette-
t-il. Onest quand même arrivés à égaliser, mais
on s’est fait à nouveau surprendre un peu plus
tard."
L’ancien Havrais (2005-2007), élu meilleur gardien
de Ligue 1 en 2008, s’exprime posément, sur
un ton tout sauf fuyant. Il vient de rater son
match dans les grandes largeurs. Il assume. Avec
sang-froid. Il y a peu encore, confronté à une situation
pareille, on l’aurait certainement vu accuser
le coup, se refermer brutalement et refuser
toute exposition publique.
"Il va falloir tirer la sonnette d’alarme"
"C’est seulement la 1rejournée. Certes, je dois rapidement
rectifier le tir, mais il ne faut pas commencer
à plonger dans le doute, juge-t-il. À mon
poste, les fautes, ça arrive. Avant ce match, j’en
avais déjà commis. Dans ma carrière, j’en referai
d’autres, hélas. C’est comme ça. Je ne vais pas me
prendre la tête à n’en plus finir avec ça. J’ai fait
une erreur, point. Je vais tourner la page et bosser
encore plus." Au-delà de la seule responsabilité
de Mandanda, ces gros flottements peuvent être
liés aux remaniements opérés dans une défense
olympienne où Mbia était associé à N’diaye, suppléant
Diawara blessé. Le portier olympien réfute
en bloc : "Il n’y a aucun problème. Ce n’était
pas la première fois que l’on évoluait ensemble;
on l’avait déjà fait contre Valence (1-0 lors du Trophée
Robert-Louis-Dreyfus)."
Pour Mandanda, le revers de samedi n’est pas
à mettre sur le compte d’un individu - même s’il
est directement en cause sur au moins un but -
ou d’un secteur de jeu. Si l’OM a échoué, il ne
peut s’en prendre qu’à son collectif.
"Cela ne pouvait pas plus mal commencer, appuie-
t-il. On part avec un peu de retard, mais la
saison est tout juste entamée. Ceci étant, il va
quand même falloir tirer la sonnette d’alarme, car
dans ce match, on n’a pas montré grand-chose.
On n’a pas été bons. On doit se remettre en cause."
L’ambiance générale, alimentée par les souhaits
de départ des uns et des autres forcément
déstabilisants, a également pu avoir des répercussions
sur le rendement d’ensemble. Mandanda
ne le nie pas. "On sent que tout ça est pesant, admet-
il. C’est pour ça que je dis qu’il faut s’inquiéter
dès à présent, car dans le jeu, il y a eu beaucoup
de déchets et d’erreurs. Il est donc impératif
de vite régler les problèmes. En même temps, cela
ne sert à rien de dramatiser outre mesure. Oui, il y
a des données à corriger. Oui, il faut se poser des
questions. Mais bon, la saison démarre à peine.
On est déçus. On aurait dû faire mieux; on aurait
pu faire mieux. On ne l’a pas fait. Ok.

Passons maintenant à autre chose parce qu’un match nous attend dès le week-end prochain."
À Valenciennes, là où l’OM s’était incliné l’an passé (3-2).
ET UNE DEUXIEME DEFAITE POUR LE CHAMPION
QUI SERAIT LANTERNE ROUGE
FERAIT SACREMENT DESORDRE
DU COTE DE .? LA CANEBIERE

LE BRASSARD
Steve Mandandanommécapitaine

Le départ de Mamadou Niang a reposé la
question du capitanat de l’équipe olympienne.
La solution naturelle consistait à la promotion
de Benoît Cheyrou, vice-capitaine.
Or, Benoît n’est plus titulaire depuis sa blessure
contre Benfica, la saison dernière, et a
débuté le présent exercice sur le banc.
Didier Deschamps a donc soumis le choix
aux votes de ses joueurs. Les noms de Cheyrou
et Mandanda sont sortis de l’urne :
"J’ai souhaité responsabiliser mes joueurs,
qu’ils en parlent et qu’ils fassent un choix,
explique l’entraîneur olympien. Par la suite,
je l’ai validé et ça me paraissait être un
bon choix."
Le choix s’est donc porté sur Steve Mandanda,
garçon posé et discret : "Par rapport
à ce qu’il représente, il est là depuis un
moment. Et même s’il est gardien, il a la
bonne attitude, c’est un professionnel respecté
par tout le monde et titulaire, poursuit
Deschamps. Ça lui fait plaisir et
d’autres sont aussi des leaders pour l’aider
dans l’autogestion indispensable au vestiaire."

Le retour du meilleur Mandanda
ARRÊTS Le gardien olympien a gagné trois face-à-face décisifs avec Gameiro, retrouvant son niveau de 2007-08

Le doute n’avait jamais été permis.
Le talent de Steve Mandanda
a toujours été évident. Si cela
n’avait pas été le cas, il n’aurait jamais
accompli une saison aussi pleine
que sa première à Marseille, au
point de finir en équipe de France,
quelques mois seulement après ses
débuts en Ligue 1.
Mais à cette ascension fulgurante
ont succédé les difficultés à maintenir
un niveau aussi élevé, notamment
après avoir été titularisé chez
les Bleus, déclenchant un lobby
pro-Lloris, qui peut se justifier par la
classe du Lyonnais, mais, qui, à
l’époque, avait surtout déstabilisé
Mandanda.
Déjà décisif à Radès, lors de la
séance de tirs au but, il a, hier soir,
effacé les énormes cagades
d’OM-Caen, voire VA-OM.
Par trois fois, on a retrouvé le Steve
qui rapetisse les buts et paraît immense
devant un ataquant. Gameiro
en a fait les frais. Deux fois, il
s’est présenté seul devant lui ; la première,
Mandanda a dévié son tir du
pied, la deuxième, il l’a arrêté. Enfin,
il a superbement bloqué un tir enroulé,
comme il l’a souvent fait sur
des centres. Le brassard est
peut-être stimulant...
◗ HILTON-HEINZE : DE L’INÉDIT ?
Tout à fait. La charnière formée
hier soir par le Brésilien et l’Argentin,
au-delà du côté "Copa America",
était une nouveauté.
La saison dernière, Heinze avait
été associé à Diawara, Hilton à
Diawara ou à Mbia. Les deux
n’avaient joué côte à côte que l’espace
de 25 minutes, les dernières du
match retour de coupe de l’UEFA
contre le FC Copenhague, le 26 février
à Marseille.
La saison d’avant, Hilton n’avait
jamais été aussi bon qu’aux côtés de
Civelli. Les Argentins, ça doit le motiver...
◗ BRANDAO TITULAIRE : DEPUIS
QUAND ?
Le Brésilien avait raté l’avant-dernier
match de la saison dernière, à
Lille, à cause d’une blessure, puis le
dernier, contre Grenoble, pour cause
de suspension, après trois cartons
jaunes.
Cette saison, il a manqué les trois
premiers (trophée des champions
et deux journées de championnat),
pour purger là aussi une suspension,
consécutive au visionnage par
la commission de discipline d’un
coup de coude le 30 avril à Auxerre,
sur Hengbart.
Il fallait donc remonter au 5 mai
et au match du titre, gagné contre
Rennes, pour retrouver trace de
Brandao, qui avait été remplacé par
Ben Arfa à la 66e minute.
Évidemment, il avait joué depuis
lors les matches amicaux et notamm
e n t l e t r o p h é e R o b e r t
Louis-Dreyfus contre Valence où il
avait été particulièrement maladroit.
Hier soir, on l’a trouvé beaucoup
plus en jambes.
Effet de la future concurrence,
sans doute.
◗ LE CARTON D’ANDRÉ AYEW
VA-T-IL COMPTER ?
Oui. Le Ghanéen a pris ainsi son
troisième avertissement en quatre
matches, après ceux récoltés à Radès
contre PSG et à Valenciennes. Il
sera donc suspendu le 11 septembre,
à l’occasion de la réception de
Monaco.
C’est sans doute un domaine
dans lequel il va devoir progresser,
pour éviter des suspensions.
Même si, hier soir, le jaune est
beaucoup plus dû à l’aspect spectaculaire
de la blessure de Sosa, qui
saignait abondamment, qu’à la nature
du geste d’André Ayew, avec
son bras.

l'Olympien du match, c'est Mandanda !
lundi 30 août 2010 à 19H42


Auteur d'une prestation de premier plan, hier soir à Bordeaux, Steve Mandanda est actuellement le joueur de l'OM le mieux noté . Il obtient en effet une moyenne de 7,73/10. "Il Fénoméno" a également été salué par les journalistes de La Provence, qui lui ont donné un 7,5/10.

Le capitaine olympien devance pour le moment André Ayew, crédité d'un 7,56/10.
Avec une note de 7,43/10, Lucho complète le podium. En revanche, Edouard Cissé est l'Olympien le moins bien noté. Expulsé à la demi-heure de jeu, le Burkinabé décroche seulement 3,93/10

Steve Mandanda: "Cette victoire nous fait beaucoup de
bien même si elle n’a pas été facile. Nous avons eu pas mal
de situations compliquées contre nous. Nous avons rencontré
beaucoup de réussite, mais nous sommes allés la chercher.
Il faut se servir de ce match pour la suite, nous avons
été solidaires et costauds. À cause de notre mauvais début
de saison, nous avons des points en retard, à nous d’en engranger
un maximum, nous avons commencé ce soir. On doit
enchaîner des séries car elles sont importantes."
Édouard Cissé : "Marquer trois buts à l’extérieur, ça fait
toujours du bien, et gagner un derby, ça fait plaisir. Nous
avions également à coeur de ne pas prendre de but car on en
a encaissé trop ces derniers temps, notamment des buts
"casquette". Cette victoire ramène le capital confiance."
André Ayew: "Quel que soit le poste où l’on m’aligne, j’essaie
de donner le meilleur de moi-même et de progresser.
Nous devons continuer à nous battre pour prendre trois
points contre Sochaux. Mon doublé ? L’important, c’est le collectif..."
Fabien Laurenti : "Même si dans le contenu, ça a été
mieux qu’à Paris, au niveau comptable, le résultat est encore
là, il y a encore zéro point. On est extrêmement déçus parce
qu’on perçoit que sur la physionomie du match, même si on
n’a pas eu la main mise, on s’est créé des occasions franches.
Ils sauvent trois fois sur la ligne, ce n’est pas rien..."
F.L.et L.R.