MONTPELLIER HERAULT // LIGUE 1

Buzz Mercato : Stambouli vers l'Angleterre... ou l'Italie

Publié le Mardi 12/08/2014 à 14H58

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Un temps sur les tablettes de l'OM, Benjamin Stambouli ne viendra pas à Marseille. Selon le quotidien Midi Libre, le joueur de Montpellier pourrait signer en faveur de Swansea. Rien n'est encore certain, car la Fiorentina aurait également fait une offre à Loulou Nicollin. En attendant, c'est une nouvelle piste qui s'envole pour les Marseillais.

Football / Montpellier : Barrios au MHSC, c'est officiel !
 Lucas Barrios est officiellement montpelliérain


 
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 ans un communiqué, le MHSC a officialisé l'arrivée de l'attaquant paraguayen Lucas Barrios (29 ans), prêté pour dix mois par le Spartak Moscou.

C'est fait, Roland Courbis et Montpellier tiennent leur première grosse recrue du mercato 2014. Lucas Barrios, sous contrat avec le club russe du Spartak Moscou, a été prêté au club héraultais pour une durée de dix mois.


L'international paraguayen (23 sélections, 6 buts) a passé une partie de sa visite médicale lundi 11 août, qu'il poursuivra mardi 12 dans la journée avant d'être présenté à la presse vers 16h et de participer à son premier entrainement avec le groupe montpelliérain vers 18h.
Passé par le Borussia Dortmund de 2009 à 2012 et évoluant dans le club moscovite depuis 2013, Lucas Barrios portera le numéro 10  et devrait faire sa première apparition sur les terrains de Ligue 1 dès ce dimanche, au Stade Vélodrome contre l'Olympique de Marseille à l'occasion de la 2e journée du championnat.

OM-MHSC SE
JOUERAÀ 17H
Il aura fallu que l’OM entreprenne
des démarches
auprès de la LFP et l’envoi
d’un délégué de l’instance à
Marseille pour mesurer les
températures pour constater
qu’il fait très chaud à
Marseille au mois d’août, à
14h! Hier après-midi, la
commission des compétitions
de la Ligue a répondu
positivement à la requête
émise par le club olympien
de repousser le coup
d’envoi de 14 h à 17 h.
Le tout avec la bénédiction
du diffuseur, beIN Sports,
qui devra partager son antenne
entre OM-Montpellier
et Saint-Étienne-Reims.

Lucas Barrios, nouveau pailladin

Publié le 13/08/2014 à 08:48

Football. Ligue 1. Il est prêté 1 an à Montpellier

Barrios avec son nouveau maillot/ AFP


C'est l'un des gros coups du mercato estival ! L'attaquant du Spartak Moscou, Lucas Barrios est prêté à Montpellier, avec option d'achat, jusqu'à la fin de la saison.

Le Paraguayen aux 23 sélections, âgé de 29 ans, pourrait débuter dès dimanche au stade Vélodrome face à l'OM, pour la deuxième journée de Ligue 1, sous ses nouvelles couleurs.
L'athlétique Lucas Barrios (1,87 m, 83 kg, s'est révélé durant trois ans à Dortmund de 2009 à 2012, avec lequel il a remporté deux Bundesliga (2011 et 2012). Barré en Allemagne par l'émergence de l'attaquant polonais Robert Lewandowski, il s'est exilé en Chine, à Guangzhou Evergrande, puis au Spartak Moscou où il est sous contrat jusqu'en 2016. C'est la quatrième recrue montpelliéraine après Gissi, Lasne et Bérigaud. Benjamin Stambouli pourrait, lui, quitter la Mosson cette semaine, le milieu de terrain est en contact avec la Fiorentina et Swansea.








 

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Ailleurs sur le web

• VIDEO. Un gardien anglais inscrit un but
  

Football / Montpellier : Barrios d’attaque avec le MHSC
il y a 16 heures 0 DOMINIQUE MERCADIER
Lucas Barrios lors de son premier entraînement avec le MHSC
ILLUSTRATION / R. DE HULLESSEN


Twitter


M ontpellier tient son attaquant. Mardi matin, Lucas Barrios, 29 ans, Paraguayen d'origine argentine, s'est engagé officiellement avec le MHSC. Un prêt de 10 mois et demi avec option d'achat consenti par son club, le Spartak Moscou, avec qui il est encore sous contrat jusqu'en 2016.
Chemise blanche, tatouages sur les biceps, sourire aux lèvres... le garçon s'est plié à toutes les formalités d'usage (visite médicale, signature du contrat, photo officielle avec Laurent Nicollin) avant d'être présenté à la presse. Un échange avec les journalistes au cours duquel, l'ancien avant-centre de Dortmund (2009-2012), double champion d'Allemagne, a expliqué les raisons de son choix.

"Ma première motivation était de revenir en Europe"

"Ma première motivation, a indiqué le joueur, c'était de revenir en Europe, dans un club bien organisé comme celui de Montpellier." L'intérêt du Flamengo et de quelques autres n'a pas eu raison de cette folle envie. "Ma motivation était plus grande... J'espère que cette nouvelle expérience sera un succès."
Et des expériences, il en a vécues pour une équipe entière : 10 clubs en 11 ans, avec un exil doré en Chine dans la force de l'âge, puis en Russie. Serait-il instable, incapable de mener à bien un défi jusqu'au bout ? Lucas Barrios s'en défend, avec force : "Le Spartak, c'est le seul endroit où je n'ai pas pu vraiment m'exprimer. Je me suis blessé d'entrée, mon remplaçant a été bon et a pris ma place. C'est le football. Je devais donc chercher un club pour m'exprimer à nouveau. Et la meilleure suite, c'était Montpellier." Voilà pour la première mise au point.

"C'est un très bon joueur qui a encore envie de jouer en Europe."

Sous les yeux de Rolland Courbis et Laurent Nicollin, il a aussi fait quelques promesses : "Je veux rendre la confiance que le coach et le président m'ont accordée en étant efficace... Aux supporteurs, je promets de faire beaucoup d'efforts, de beaucoup travailler."
Affûté, auteur d'un but lors de son dernier match avec le Spartak, le nouvel attaquant du MHSC, n°10 sur le dos, se dit prêt à jouer dès dimanche à Marseille. "C'est le Mister qui décidera. Moi je suis à la disposition de l'équipe."
Coach Courbis, lui, est déjà convaincu : "Lucas Barrios n'est pas seulement un bon joueur, c'est un très bon joueur qui a encore envie de jouer en Europe."

[size=32]M - Montpellier : un crack en attaque[/size]

MARSEILLE / PUBLIÉ LE MERCREDI 13/08/2014 À 20H36




Ce n'est pas forcément une bonne nouvelle pour l'OM : Montpellier vient de signer Lucas Barrios. Passé par le Borussia Dortmund et le Spartak Moscou, le buteur paraguayen a été prêté au club héraultais pour dix mois. D'ailleurs, le n°10 devrait être aligné par Rolland Courbis sur la pelouse du Vélodrome, dès dimanche, pour la 2e journée de championnat. Face à une défense marseillaise en pleine construction, la présence du buteur pourrait poser quelques problèmes

On qualifierait volontiers son fonctionnement de "à l’ancienne", au
moins avec les gens qu’il connaît et aime bien. Même si, sur le terrain, il
est toujours à la recherche de l’innovation, curieux de l’évolution de son
sport, sa passion, son football chéri.
C’est dans un hôtel du centre de Montpellier que Rolland Courbis nous a
reçu, fidèle là aussi à son mode de fonctionnement. Et jamais avare de remarques
pleines de bon sens, d’humour ou d’intox, à quatre jours de l’un des matches
qui lui tiennent le plus à coeur, 61 ans
après sa naissanceàMarseille.



Qu’est-ce que ça fait d’être l’entraîneur
de L1 le plus "expérimenté" ?
Ça fait plaisir. J’aimerais bien être à la
place de mon ami Willy Sagnol, mais je
lui souhaite, à 61 ans, d’être toujours à
la tête d’une équipe de L1 et d’avoir toujours
la même passion. Si l’âge a augmenté,
la passion n’a pas diminué.
Cet enthousiasme dépend du club où
je me trouve et avec quel président. À
Montpellier, avec Loulou, Laurent (Nicollin),
Michel Mézy que je connais depuis
plus de quarante ans, dans une région
qui est presque la mienne et avec
des installations qui n’ont rien à envier
à personne. Motiver les gens fait partie
de mon boulot -mais ça ne marche pas
que dans un sens -, les joueurs qui ont
envie de progresser et mon environnement
me motivent. Le matin, quand je
p a r s à Grammont ( l e c e n t r e
d’entraînement du MHSC, ndlr), j’ai envie
d’aller entraîner. Et on va essayer
d’être un trouble-fête du championnat.
❚ Les gens qui ne vous connaissent pas
vous collent une image grande gueule,
pagnolesque, meneur d’hommes. Mais
sait-onàquel point vous êtes un vrai dingue
de foot ?
C’est peut-être moi qui ai véhiculé cette
image sans m’en rendre compte. Et on
connaît moins le maniaque qui essaie
de voir dans le moindre détail ce
qu’on peut faire pour préparer
un match, ce qui me paraît
la moindre chose.
Celui qui pense
que je ne
suis qu’un
boute-entrain
se
trompe.
❚ Vous avez aujourd’hui un an de plus
que n’en avait Mario Zatelli quand il
vous a lancé en première division. Quels
étaient vos sentiments de jeune de
18 ans à l’égard d’un entraîneur de
60 ans en 1972?
Il ne me paraissait pas vieux du tout intellectuellement,
mais en avance de
20 ans, comme Kader Firoud ou Marcel
Leclerc. J’avais 18 ans, comme le petit
Ribelin que j’ai lancé samedi dernier.
Pour moi, tout est allé très vite. Skoblar
et Magnusson, je leur faisais signer des
autographes quand j’étais pupille ou
cadet et en junior, j’ai joué avec eux,
comme Albert Emon ou François Bracci.
D’autres auraient mérité de faire
une plus belle carrière, comme Chaumeton,
Piatti, Scotti, Maccagno. Zatelli
n’était pas seulement un entraîneur,
c’était le patron du foot. Jeme posais
une question, j’avais la
chance d’aller la lui poser.
Je le voyais évoluer avec
malice et psychologie.
Je le regardais comme
le Père Noël. Mais jamais
je ne me voyais
devenir un jour entraîneur;
pour moi, il fallait
être aussi intelligent
qu’idiot. Il faut
être taré pour gérer
un groupe, faire
des mécontents à
tous les matches,
passer des heures à
expliquer. Et à
l’époque, se débrouiller
pour que
Skoblar et Magnusson
ne soient pas
r i v a u x mais
amis, que
Roger
qui était fainéant ne soit pas stigmatisé
par ses partenaires lorsqu’il prétendait
avoir mal aux adducteurs le jour du footing,
mais que tout le monde l’aime.
❚ A-t-il été un modèle, une inspiration
?
J’ai piqué à Mario son idée de provoquer
des discussions à deux ou trois,
en dehors des causeries, de façon informelle,
par secteurs de jeu, avec des
joueurs qui étaient en relation directe
sur le terrain. Il réglait des problèmes
ainsi plus rapidement. Et j’aime bien
agir ainsiàmon tour.
J’ai appris la prudence à l’égard des
blessures avec Lucien Leduc, j’ai appris
avec tous et puis il y a eu aussi des
entraîneurs que je ne citerai pas dont
j’ai retenu ce qu’il ne fallait pas faire,
des désastres psychologiques.
❚ Avez-vous remarqué qu’il y avait
sept entraîneurs de Ligue 1 que vous
aviez eu sous vos ordres comme
joueurs (Blanc, Makelele, Gourvennec,
Casanova, Kombouaré, Dupraz, Galtier)
?
C’est vrai... J’espère pour eux et pour
moi que certains ont tiré quelque chose
de leur expérience
avec moi, mais
c’est à eux qu’il faut le demander. Moi,
j’ai piqué à droite et à gauche pour faire
ma synthèse et aujourd’hui, c’est à
moi de faire passer ce dont je suis sûr,
cette liste de petits détails qui ne garantissent
pas de gagner mais ce qu’il faut
éviter pour perdre à coup sûr.
❚ Parmi les nouveaux entraîneurs de
Ligue 1, il yaMarcelo Bielsa, qui est guère
plus jeune que vous...
Je me souviens d’un truc que m’a dit
Raymond Goethals et que je répéterais
volontiers à un jeune entraîneur : "Ne
joue jamais contre l’entraîneur d’en face."
Je joue donc contre l’équipe d’en
face, entraînée par M.XouY, qui a toute
ma sympathie et ma solidarité professionnelle.
Alors, Marcelo Bielsa, en tant que
doyen, je lui souhaite la bienvenue
dans le foot français et à Marseille qui
est maville de naissance. Quand on me
demande s’il va réussir, je ne me défile
pas: je ne vois pas pourquoi il échouerait.
Il va amener son expérience, sa
compétence. Il n’est pas arrivé à ladouzième
journée pour remplacer un entraîneur
viré, ilaeuune longue intersaison
pour réfléchir; il était même venu
voir l’OMàMontpellier et en sa présence,
l’OM avait gagné. Pour moi qui suis
superstitieux, je me dis que ça va être
encore plus compliqué.
Pourquoi échouerait-il? Il faut d’abord
se mettre d’accord sur l’objectif : la troisième
place serait un demi-échec pour
l’OM. La réussite, ce serait de finir
deuxième et d’éviter le tour préliminaire
de la Ligue des champions.
Il a un groupe de très bons joueurs, des
conditions d’entraînement améliorées,
il apporte un plus en termes de
discipline, il a les compétences,
l’expérience, il ne joue pas de coupe
d’Europe, pendant que les autres oui.
Vous ne voulez quand même pas qu’il
finisse quinzième? Il finira deuxième.
Si, à Paris, ils se claquent tous,
qu’ils ont la tronche à
l’envers, laissent des plumes
en Ligue des champions
et vont en finale,
gaffe quand même à
l’OM!... Mais si l’OM
avait pris Jean-Luc
Vasseur, je pourrais
faire le même
pronostic
avec cet effectif.
Mais lui, il
fait son apprentissage,
alors que Bielsa
l ’ a déjà
fait. Et puis,
j’ai toujours
d i t q u e
l’OM, où je
s u i s n é ,
c’était un
asile
sympathique.
Alors,
un
mec quiapour surnom "El Loco", pourquoi
ça ne marcherait pas? Plus on est
de fous, plus on rit! C’est le plus talentueux
des fous, il est chez lui. Je le regarde
avec beaucoup d’affection, sans le
connaître. Ça me fera plaisir de lui serrer
la main, avant et après le match.
❚ Il fait partie des entraîneurs qui remettent
la défense à trois en vigueur.
Qu’en pensez-vous?
Quand on joue àquatre, lorsqu’il y ena
un qui monte, il en reste trois. Ce qui
est beaucoup plus important à mes
yeux, c’est de voir au-dessus, ce qui se
passe, le profil de la ligne du dessus. Tu
peux aligner cinq numéros 6 ou jouer
très haut; si tu ne t’occupes que de
l’utilisation du ballon et que tu ne le récupères
pas, explique-moi comment
tu fais pour avoir le ballon !
Au Barça, il ne faut pas regarder uniquement
les passes entre Xavi, Iniesta,
Pedro et Messi, il faut voir le nombre
de ballons récupérés comme un essaim
d’abeilles où ils donnent
l’impression d’être quinze. Après, il y a
le talent, mais si tu as six joueurs offensifs
et que tu ne récupères pas le ballon,
ça peut faire des 3-3 ou des 4-4...
Mais bon, ne le répétez pas: si nous menons
4-0 à la mi-temps, nous ne perdrons
pas.
❚ Affronter l’OM, ça reste particulier ?
J’aurais préféré un autre contexte.
Après avoir bousillé notre premier joker
à domicile, c’est le match de la semaine
d’après, contre Metz qui est vraiment
capital pour nous.
On ne va pas alleràMarseille pour perdre
par forfait mais la première journée
laisse des regrets. Notamment celui
de ne pas avoir pu aligner Bérigaud
d’entrée.
❚ Le jeu offensif de la coupe du monde
peut inspirer la Ligue 1?
Je regarde toujours tous les matches de
coupe du monde. Pas tellement pour
recruter -nous n’avons pas les sous -
mais pour suivre l’évolution du foot. Et
je me mets à la place d’un entraîneur.
Mais quel que soit le culot d’un entraîneur,
une équipe doit être équilibrée,
avec un peu moins de solidité défensive
si son potentiel offensif le permet,
mais moi qui étais un cancre à l’école,
je sais qu’une pyramide n’a pas la pointe
en bas, mais en haut. Sinon, c’est
une toupie et quand elle a fini de tourner,
elle tombe. Une équipe doit avoir
une base.
Maintenant, dimanche, quand je vois
que l’OM a quatre ou cinq joueurs qui
peuvent marquer, je me dis que si nous
avons une chance de faire un résultat à
Marseille, ce sera en marquant au
moins deux buts. Au minimum, parce
que tu peux perdre 3-2 ; et encore
faut-il en être capable. Est-ce impossible
avec quatre ou cinq joueurs portés
vers l’offensive? Pas plus, excusez-moi,
j’attendrai encore quelques années
pour être plus audacieux. Moi, je te réponds
"non, ce n’est pas impossible"...

Courbis : «Montrer une autre image » 15/08 13h44 - Foot, L1
«On aura l'obligation de résultat face à Metz car nous avons déjà utilisé un joker important devant Bordeaux, a expliqué Rolland Courbis, en conférence de presse. Pour traîner cette défaite le moins longtemps possible, il faudra faire un bon match à Marseille, quel que soit le résultat, et battre Metz. On va essayer de poser des problèmes à l'OM pour avoir la satisfaction de montrer une autre image et une autre copie. Et nous voudrons nous servir de ce match pour faire devant Metz tout ce que nous n'avons pu faire devant Bordeaux.»

Football / Montpellier : Barrios sera présent à Marseille
  
Lucas Barrios découvrira la Ligue 1 dimanche à Marseille
 

R oland Courbis a dévoilé son groupe pour le déplacement du MHSC à Marseille. Lucas Barrios, arrivé en début de semaine à la Paillade, sera bien du voyage. 
A l'occasion de la deuxième journée de Ligue 1, Montpellier se déplace dimanche au Stade Vélodrome pour y affronter l'Olympique de Marseille. Lucas Barrios, la nouvelle recrue montpelliéraine, fera bel et bien ses premiers pas en championnat de France puisque le coach pailladin a décidé de le placer dans le groupe. A noter également les absences de Djamel Bakar, Karim Aït-Fana et Joris Marveaux, tous trois blessés. 

 
Le groupe du MHSC contre l'OM
Jourdren, Pionnier - Congré, Hilton, Tiéné, Gissi, El Kaoutari, Deplagne - Martin, Lasne, Sanson, Stambouli, Saihi - Mounier, Bérigaud, Barrios, Montano, Camara, Ribelin

MONTPELLIER AVEC BARRIOS
Rolland Courbis a communiqué un groupe de 19 joueurs pour effectuer
le déplacement au stade Vélodrome, demain. Arrivé mardi
dans l’Hérault, le Paraguayen Lucas Barrios en fait partie.
➔ Gardiens : Jourdren, Pionnier.
Défenseurs: Congré, Hilton, Tiéné, Giss, El Kaoutari, Deplagne.
Milieux: J.Martin, Lasne, Sanson, Stambouli, Saihi.
Attaquants: Mounier, Bérigaud, Barrios, Montaño, So.Camara, Ribelin.

OM-Montpellier
Morgan Sanson : «A moi de m’imposer»







par Sébastien Pietri
photos © Yannick Parienti / OM.net

Il a une seule année de Ligue 1 pour expérience. Mais le jeune milieu de terrain montpelliérain sait où il veut aller. Le départ de Remi Cabella lui ouvre de nouvelles perspectives dans le jeu.
A l’heure où Franck Ribéry annonce annonce sa retraite internationale, Morgan Sanson a un point commun avec l’attaquant bavarois : il a été découvert et lancé par le même homme, Jean Fernandez.
L’ancien entraineur montpelliérain avait même été surpris de son intégration aussi rapide : «Je le considérais comme une solution à moyen terme, mais il avait les qualités, une bonne hygiène de vie, une bonne mentalité et il travaillait bien à l’entrainement », dit Jeannot.
Son ascension est fulgurante. Morgan fait ses classes au Mans sous les ordres de l’ancien entraîneur de la réserve olympienne Régis Beunardeau : «Il était beaucoup plus frêle et on se posait des questions sur son aptitude à aller au duel, raconte Beunardeau. En l'espace de six mois, quand il est monté en CFA, il a pris de la masse musculaire et c'est devenu une belle bête.»
La saison dernière, Sanson découvre la Ligue 1. Il s’impose comme un titulaire indiscutable avec 36 matchs à son actif. Roland Courbis remplace Jean Fernandez sur le banc, mais les éloges à son égard restent les mêmes : «C’est un joueur très intéressant, avec une marge de progression importante. S’imposer en L1 à même pas 20 ans, ce n’est pas évident. Compte-tenu de ses qualités, de son envie de réussir, de son sérieux, je ne vois pas une seule raison, sauf blessure, qui l’empêcherait de devenir un très bon, voire un très, très bon joueur.»
Un autre élément peut accélérer la progression de Morgan Sanson : le départ de Rémi Cabella pour Newcastle. Il est aujourd’hui le dépositaire du jeu de Montpellier . Sa vivacité, sa technique et sa qualité de passe ne tarderont pas à faire de lui la belle confirmation de ce championnat de Ligue 1.
A bientôt 20 ans, il les aura au lendemain du match OM-Montpellier, le joueur veut s’inscrire sur la durée : «Je suis bien à Montpellier, j’y resterai. J’ai un contrat jusqu’en 2017.»
A moins de changer d’avis face à l’intérêt croissant de nombreux club étrangers. Rien de plus surprenant pour celui dont le modèle est un certain Iniesta.

Face à l’OM, Montpellier arrive en mode trouble-fête




Au vu du scénario du match à Bastia samedi dernier, on peut dire que l’OM a perdu deux points. Les hommes de Marcelo Bielsa menaient en effet 3-1 avant de reculer et de permettre au Sporting de revenir au score. Autant dire que la victoire sera déjà importante face à Montpellier afin de ne pas déjà se laisser distancer au classement. Mais la pression la plus lourde viendra certainement des tribunes du nouveau Vélodrome puisque les supporters marseillais, impatients de découvrir l’OM version Bielsa, voudront absolument fêter l’inauguration de leur enceinte rénovée. Mais de son côté, le MHSC, battu à domicile par Bordeaux le week-end dernier, n’a pas l’intention de participer à la fête en tant que victime et ne se privera pas pour tout gâcher.
« On sait qu’à Marseille c’est toujours une atmosphère spéciale. Je pense que pour eux aussi, ça sera leur premier match à domicile, dans leur nouveau stade, avec de nouveaux joueurs et un nouvel entraîneur. Je pense que leurs supporters attendent beaucoup d’eux cette année. A nous d’en profiter pour gâcher la fête », a déclaré le milieu héraultais Anthony Mounier en conférence de presse, lui qui pourrait être aligné avec la recrue phare Lucas Barrios sur la ligne d’attaque montpelliéraine.

[size=40]Courbis : «On ne nous a pas pris»
La victoire de Montpellier sur Marseille (2-0) a ravi son entraîneur Rolland Courbis qui estimait pourtant ses joueurs «peut-être bons à prendre» au Vélodrome. «Mais on ne nous a pas pris.»

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Rolland Courbis (entraîneur de Montpellier) : «Je suis aussi content ce (dimanche) soir que j'étais mécontent il y a une semaine (après la défaite inaugurale à domicile contre Bordeaux, 0-1). Je suis satisfait du résultat, ce soir on a vu 90% de ce qu'on avait préparé. Contre Bordeaux, on avait vu 10%. On a vu Barrios qui n'a joué que 60 minutes, Berigaud, je n'ai pas pris le risque qu'il reprenne un coup là où il s'était blessé. On va se servir de ce match et du non-match contre Bordeaux pour battre Metz le week-end prochain.



[size]Peut-être que l'OM a affronté Montpellier au bon moment, aujourd'hui on était peut-être bons à prendre mais on ne nous a pas pris. On était venu à Marseille pour jouer notre chance à fond. J'espérais qu'on pourrait marquer mais je ne pensais pas qu'on ne prendrait pas de buts. On s'en contentera, car on marqué sur de belles actions qui se ressemblent, attirer l'adversaire d'un côté et jouer de l'autre. Sur la 1re journée, on a vu beaucoup d'équipes qui ont du mal à s'imposer à la maison... Le match ce soir il était plus compliqué pour l'OM que pour nous, ils avaient l'obligation de gagner.»



Anthony Mounier, attaquant de Montpellier: «On s'est vu cette semaine tous ensemble. On s'est dit les choses en face. On s'est dit que si on jouait de la même manière que face à Bordeaux on allait en prendre huit ou neuf face à l'OM. C'est peut-être mon meilleur match depuis un moment et depuis que je suis à Montpellier. Je sens la confiance du staff. Je n'ai pas de pépins physiques. Maintenant, je dois continuer sur cette série.»
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[size=40]Montpellier refroidit Marseille
Dans son nouveau Stade Vélodrome, l'Olympique de Marseille s'est incliné face à Montpellier (0-2). Les débuts de Marcelo Bielsa sont très compliqués, avec un seul point en deux matches et le chantier de la défense s'annonce immense.

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La joie des Montpelliérains sur l'ouverture du score de Mounier. (Laurent Argueyrolles) (L'Equipe)

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Le match

Le nouveau Vélodrome a donc été inauguré par une défaite face à Montpellier (0-2). Un résultat loin d’être illogique tant la défense marseillaise a flotté et l’attaque manqué d’efficacité, surtout en fin de match, après le deuxième but des visiteurs. Les coéquipiers de Benjamin Stambouli ont eu le mérite de très bien exploiter les (grosses) failles dans la défense à trois phocéenne. Après une belle occasion pour le capitaine héraultais (10e), Mounier a ouvert le score d’un beau lob en angle fermé (0-1, 19e). Sur une passe en profondeur venue de très loin, Nkoulou a couvert et Dja Djédjé n’était pas au marquage.

Idem sur le deuxième but avec des acteurs différents, sauf Anthony Mounier, devenu passeur pour Sanson (0-2, 68e). Cette fois, c’est Morel qui couvrait et Romao, passé arrière droit, qui a laissé filer l’homme du match dans son dos. Les Marseillais ont tenté de revenir mais Payet (71e), Alessandrini (71e), Mendy (74e) et Gignac (76e) n’ont pas réussi à tromper un très bon Jourdren. Au coup de sifflet final, le public a copieusement sifflé son équipe. Pas idéal pour lancer une saison espérée comme celle du renouveau.



Les drôles de choix de Bielsa

Difficile de faire émerger un joueur en particulier dans ce match même si Mounier, auteur d’un but et d’une passe décisive, aurait mérité les honneurs. S’il y a plutôt un homme à mettre en avant dans cette rencontre, c’est Marcelo Bielsa… et ses choix. Si son 3-6-1 ou 3-3-3-1 au coup d’envoi n’est plus surprenant, l’Argentin a innové en deuxième période. Son équipe est d’abord revenue des vestiaires en 4-4-2 : Romao a quitté l’axe de la défense, où sont resté Nkoulou… et Morel, pour aider Imbula à la récupération. Quinze minutes plus tard, Batshuayi remplaçait Dja Djédjé et les Marseillais sont passés en 4-1-3-2, avec… Romao en arrière droit. Difficile de s’y retrouver pour les joueurs, surtout après le but de Sanson à vingt minutes de la fin.



Le fait du match : Ayew n'a plus de maillot et sort !

Le début de la deuxième période a été marqué par une drôle de séquence sur le banc de touche marseillais. Touché à la tête depuis la 24e minute de jeu, André Ayew a encore saigné au retour des vestiaires et devait donc changer de maillot pour revenir sur le terrain. Mais il avait déjà changé de tunique après le choc en première période. Impossible sur le banc de retrouver un maillot avec le numéro 10 du Ghanéen ou non floqué. Après cinq minutes de bricolage, Bielsa, furieux, a finalement dû remplacer Ayew par Payet… Tout est allé de travers dans ce match pour les Marseillais

OM - Montpellier : le onze de départ du MHSC avec Barrios

Publié le Dimanche 17/08/2014 à 16H03

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Voici le onze de départ choisi par Rolland Courbis, l'entraîneur de Montpellier, pour affronter l'OM à 17h. 
Gardien : Jourdren
Défenseurs : Deplagne, Hilton (cap), El Kaoutari, Tiéné
Milieux : Martin, Lasne, Sanson, Stambouli, Mounier
Attaquant : Barrios
Remplacants : Pionnier (g), Congré, Saihi, Montano, Camara, Berigaud, Ribelin

Transfert de Stambouli : Montpellier s’impatiente
 
 
 
La volonté manifestée par Benjamin Stambouli de quitter Montpellier (il suscite l’intérêt de la Fiorentina et de Swansea) «va finir par gonfler» le président du club, Louis Nicollin, a prevenu dimanche Rolland Courbis, qui n’exclut pas «un refus de partir». Le milieu de terrain (23 ans, sous contrat jusqu’en 2015), qui bénéficie d’un bon de sortie, a disputé les deux premières rencontres de Championnat, contre Bordeaux (défaite 1-0) et à Marseille, ce dimanche (victoire 2-0). «Il va me faire un 3e match contre Metz (le week-end prochain, 3e journée, Ndlr), et après on verra un petit peu où on en est», a dit l’entraîneur du MHSC.

Montpellier ne se sentait pas obligé de gagner contre l’OM




Rolland Courbis (après la victoire contre l’OM au Vélodrome) : « Je suis aussi content de cette victoire que j’étais mécontent il y a une semaine (…) Peut-être que l’OM a affronté Montpellier au bon moment, aujourd’hui on était peut-être bons à prendre, mais on ne nous a pas pris. On était venu à Marseille pour jouer notre chance à fond. J’espérais qu’on pourrait marquer, mais je ne pensais pas qu’on ne prendrait pas de buts. On s’en contentera, car on marqué sur de belles actions qui se ressemblent, attirer l’adversaire d’un côté et jouer de l’autre. Sur la première journée, on a vu beaucoup d’équipes qui ont du mal à s’imposer à la maison. Le match était plus compliqué pour l’OM que pour nous, ils avaient l’obligation de gagner. »

Loulou aurait préféré battre Bordeaux plutôt que l’OM




Loulou Nicollin n’est plus vraiment un habitué des déplacements en Ligue 1, et ce depuis quelques années. Mais pour voir son équipe inaugurer le nouveau Vélodrome, le truculent patron de Montpellier avait fait le déplacement ce dimanche, et ce n’était pas pour rien. Il a vu son équipe s’imposer presque facilement 0-2 dans l’antre de l’OM et n’a pas boudé son plaisir à chaque but, tout en ne masquant pas non plus sa surprise de voir son équipe prendre les trois points. Sur le site officiel du club provençal, « Loulou » a avoué qu’il ne s’attendait pas à une victoire de sa formation face à l’OM de Bielsa, impressionnant en préparation. Le patron du club héraultais aurait même une pointe de regret d’avoir gâché la fête. 
« Je ne pensais pas prendre trois points ici… A choisir, j’aurais préféré que mon équipe batte Bordeaux plutôt que l’OM. Je suis du sud, j’aime bien le président Labrune. Ça me fait chier d’avoir gagné à Marseille… Je vois l’OM finir dans les cinq premiers, 4e ou 5e », a lancé Louis Nicollin, qui demeure optimiste, mais ne fait pas partie de ceux qui annonçaient l’OM comme un candidat au podium, voire mieux.

Football / Montpellier : Stambouli plutôt vers l'Italie
il y a 14 heures 2 MIDI LIBRE
Le club italien de la Fiorentina serait prêt à débourser les 5 millions d'euros pour s'attacher les services du milieu de terrain héraultais.
PHOTO / FRANCK VALENTIN


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L a Fiorentina serait prêt d'obtenir l'accord du milieu de terrain du MHSC.
Le départ de Benjamin Stambouli du Montpellier Hérault est plus que jamais d'actualité. Selon nos informations, le club italien de la Fiorentina serait prêt à débourser les 5 millions d'euros réclamés par Louis Nicollin pour s'attacher les services du milieu de terrain héraultais. En effet, une délégation de la "Viola" pourrait même être présente à Montpellier dès mercredi pour trouver un accord avec Laurent Nicollin, le président-délégué du club languedocien.

Des lors, pour ne pas risquer de mettre en péril le transfert éventuel de son joueur vedette, mais aussi pour rester en phase avec son groupe, Rolland Courbis, l'entraîneur héraultais, aurait décidé de ne pas retenir Benjamin Stambouli dans la liste des 18 joueurs appelés à recevoir le FC. Metz, samedi soir (20 h) pour le compte de la 3e journée de Ligue 1.

Football / Nicollin : "Le Vélodrome ? Si on en avait un comme ça à Montpellier..."
il y a 1 jour 10 MIDI LIBRE
Louis Nicollin dimanche dans les couloirs du Vélodrome après la victoire de Montpellier contre Marseille 2-0
Capture d'écran le Phocéen


Twitter


D ans une interview accordée à la fin du match Marseille - Montpellier comptant pour la 2e journée de Ligue 1, Louis Nicollin, le président du MHSC, a donné ses impressions sur la victoire 2-0 de son équipe au stade Vélodrome.
Le président Nicollin, interrogé par le Phocéen, a donné son avis sur la belle prestation des siens, sur le début de crise à l'OM, sur Marcelo Bielsa et sur le Stade Vélodrome flambant neuf. 

"Je ne pensais pas prendre trois points ici"

"Honnêtement et sincèrement, je ne pensais pas prendre trois points ici, a déclaré "Loulou". Au deuxième but je me suis senti un peu mieux, mais je pensais à Lorient l'année dernière où on menait 4-1 et on a fini à 4-4. Maintenant, on a gagné, et ce n'est pas pour ça qu'on finira devant Marseille, a lancé le président héraultais, dans des propos rapportés par Le Phocéen. Nos deux clubs ne sont pas au même niveau. Quand on voit ce stade, si on en avait un comme ça à Montpellier…Pfff… Je me taperais trois sègues !"

"Bielsa, Il te met un souk terrible !"

"Je pense qu'honnêtement ce n'est pas n'importe qui, a fait remarquer Nicollin. Je les plains la semaine prochaine à l'entraînement. Il paraît qu'ils couchent à la Commanderie !  Il te met un souk terrible ! Moi je trouve ça terrible !".