LES EX JOUEURS OLYMPIENS

Les difficultés sochaliennes de Jordan Ayew 12/02/2014 à 11H42

Avec 0 but en 6 rencontres, Jordan Ayew ne semble pas se relancer du côté de Sochaux. Pour son entraîneur Hervé Renard, interrogé par footmercato.net, cela n'est pas étonnant du tout : "Vous venez de l'OM, ce n'est pas le même club, le même contexte. Il faut effectuer une démarche intelligente et donner de soi pour se sacrifier dans le collectif d'une équipe qui peine. Ce n'est pas facile de quitter Marseille, d'arriver à Sochaux."

Une analyse qui ne remet ne cause en rien le talent du Ghanéen en doute, bien au contraire : "Il veut trop bien faire de temps en temps, mais ça part d'un bon sentiment. Il a des choses à corriger. Si ce n'était pas le cas, il aurait été titulaire à chaque fois avec l'OM. Ça reste un jeune joueur, perfectible."

COLOMBIE
ModesteM’Bami
chez les Millonarios! Âgé de 31 ans,
l’ancien Olympien
et Parisien
rebondit en Colombie.
Modeste
M’Bami a en
effet été recruté
par les Millonarios
de Bogota,
club coaché par son ancien entraîneur
à Almeria, l’Espagnol
Juan Manuel Lillo.

Anigo :«Galtier, un des meilleurs»
Avant de se déplacer dimanche à Geoffroy-Guichard, l'entraîneur de l'OM, José Anigo, a flatté son homologue stéphanois, Christophe Galtier.

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Christophe Galtier va retrouver José Anigo dimanche. (L'Equipe)



Deux jours avant le choc Saint-Etienne - OM, dimanche à 21h00, José Anigo ne tarit pas d’éloges sur son homologue stéphanois Christophe Galtier. « Il fait partie des meilleurs entraîneurs de France aujourd'hui, je le dis avec beaucoup de sincérité, assure l’entraîneur de l'OM. Ce qui n'est pas mon cas, cela fait deux mois seulement que j'entraîne et mon seul objectif, même si je sais ce que je vaux, c'est de mener ma mission du mieux possible. » Les deux hommes se connaissent bien pour avoir joué ensemble à l’OM entre 1985 et 1987.

Galtier à l'OM ? «Pourquoi pas»
Selon Anigo, Christophe Galtier pourrait postuler comme entraîneur du club olympien la saison prochaine. « Pourquoi pas, a-t-il répondu. C'est un mec qui a joué ici, qui a beaucoup progressé et c'est aujourd'hui un entraîneur de grande qualité. Mais c'est au sommet du club que se prennent les décisions. » Dans ce cas, Vincent Labrune devrait négocier avec Jean-Pierre Bernes, son agent. Mais c'est vraiment une autre histoire...

Galtier si proche, si loin
L1 Le Marseillais fait les beaux jours des Verts qui défient l’OM, demain. Son profil séduit. Mais sa destinée semble ailleurs... En quelques saisons, l’ancien joueur des Caillols a redonné des couleurs à l’AS
Saint-Étienne. Au point d’être un concurrent direct pour l’OM.

"Dans les dix prochaines
années, il va rendre
le foot français meilleur"
JOËL CANTONA, AMI D’ENFANCE DE GALTIER

Saint-Étienne-OM, demain soir à
Geoffroy-Guichard, ne sera pas seulement
un choc teinté de nostalgie.
L’affiche constituera aussi un sommet de
l’autre championnat, le "vrai", celui que
se disputent Marseillais, Stéphanois, Lillois
et autres Lyonnais derrière les intouchables
PSG et Monaco.
Il sera aussi question, forcément, de
l’opposition entre deux sacrées personnalités.
Et deux vrais minots: José Anigo et
Christophe Galtier. Minot, l’entraîneur
olympien l’est à plus d’un titre. L’enfant
de Consolat s’est d’ailleurs remémoré
avec un plaisir certain cet épisode glorieux
de l’histoire olympienne hier, lors
de la conférence de presse hebdomadaire,
quand lui fut brandie une image Panini
géante de l’époque où il présentait fièrement
tignasse et moustache.
Cadet de cinq ans d’Anigo, Christophe
Galtier n’a découvert le haut niveau
qu’en 1986. Un peu trop tard pour être labellisé
"minot"; mais le Caillolais n’en
reste pas moins un pur produit estampillé
Marseille. "Je suis originaire de cette
ville, j’ai été formé dans ce club; forcément,
j’y porte toujours un regard attentif,
relevait hier Galtier. Et encore plus quand
on se trouve à la lutte avec cette équipe-
là !" "Il n’est pas question d’opposition
entre nous, tranchait de son côté Anigo.
Je connais bien Christophe, mais il fait
aujourd’hui partie des meilleurs entraîneurs
de France. Ce n’est pas mon cas.
J’arrive à peine, je n’entraîne que depuis
deux mois."
Élu meilleur entraîneur de Ligue1 en
2013 lors des trophées UNFP (ex-æquo
avec Carlo Ancelotti), Galtier a parcouru
bien du chemin depuis ses débuts sur le
banc aux côtés de Bernard Casoni, en décembre
1999. Un long apprentissage effectué
notamment sous l’aile protectrice
d’Alain Perrin, son mentor pendant
cinq ans et demi. Et, depuis décembre
2009, il a su poser son empreinte sur
l’AS Saint-Étienne, bâtissant une équipe
à son image. Imposant le respect au sein
du football français. Dans les deux cas,
c’était loin d’être gagné. "Dans les dix prochaines
années, il va rendre le foot français
meilleur", s’enthousiasme même
son ami, Joël Cantona.
Les deux hommes se sont rencontrés à
l’âge de 7 ans, sur le terrain poussiéreux
du stade Arsène-Manelli, aux Caillols.
"Onaunand’écart; du coup, il a joué une
saison avec moi, puis une autre avec mon
frère Éric, relève Joël Cantona. On s’est ensuite
suivi au centre de formation de
l’OM. Déjà, quand il avait 16, 17 ans, il
avait ce côté entraîneur en lui. Il était
d’ailleurs très proche de Gérard Gili, avec
qui il échangeait beaucoup. Et il se montrait
déjà passionné par le jeu et perfectionniste,
ce qui était surprenant car il
n’était pas un joueur très discipliné (rires
)."
Devenu entraîneur, "Galette" n’a jamais
rechigné à prendre conseil auprès
de ses aînés; Gérard Gili bien sûr, avec
qui il n’a jamais rompu les liens. Et Didier
Deschamps qu’il n’hésita pas à appeler
lors de sa première saison. "Il a toujours
su être à l’écoute et observer pour apprendre,
poursuit Joël Cantona. Désormais, il
a un vrai projet de jeu qu’il insuffle à
Saint-Étienne, avec un programme
d’évolution en dépit de peu de moyens. Et
quand tu vois jouer Saint-Étienne, tu
prends du plaisir. Il prône un foot attrayant.
Il a sans doute encore besoin
d’une ou deux saisons pour gagner en expérience,
notamment sur le plan européen,
mais il fait partie des trois meilleurs
entraîneurs français, avec Rudi Garcia et
Laurent Blanc pour ce qui est de produire
du jeu."
Capable de lancer des jeunes -Aubameyang,
Guilavogui et Zouma lui doivent
beaucoup- et d’incarner un projet, Galtier
évoque forcément le portrait-robot
dressé par l’OM pour le potentiel futur entraîneur.
"Et pourquoi pas ?, a répondu
hier Anigo. Il a joué ici, il a beaucoup progressé
pour devenir un entraîneur de grande
qualité. Après, il faut voir avec le président.
La décision finale lui appartient."
"C’est toujours flatteur d’être cité pour
être éventuellement un potentiel candidat
au poste d’entraîneur d’un club prestigieux
de notre championnat, a répondu
malicieusement Galtier. Mais il n’y a rien
entre l’OM et moi. Je suis l’entraîneur de
Saint-Étienne, l’OM va préparer son
match pour battre les Verts; nous, les
Verts, on va tout faire pour battre l’OM et
finir devant ces équipes-là."
L’éventualité ne semble en effet pas
être à l’ordre du jour. "Il est impossible
pour moi d’être à l’OM avec certaines personnes
au club, avait-il déclaré en juin
2012, quand Deschamps s’apprêtait à
quitter l’OM et que son nom était (déjà)
évoqué. Vu ce qu’a connu Didier à Marseille,
avec moi, les réactions auraient été
bien pires."
"Il aime profondément l’OM, il a vécu
des grandes choses ici, tempère Joël Cantona.
Mais sincèrement, je ne pense pas que
ce soit dans sa réflexion. Il s’éclate à
Saint-Étienne et se sait désiré à
l’étranger."
Demain soir, il ne sera question que
d’un duel sur fond de quête pour la troisième
place. Une place qui fait rêver décidément
beaucoup de Marseillais. Que ce
soit à l’OM ou Saint-Étienne.

"Ici, Brandao
n’a pas été ménagé.
Ce n’est peut-être pas
le Brésilien le plus
technique, mais
il complique la vie des
défenseurs. Il donne
tout, presse pour trois.
Mieux vaut l’avoir
avec soi que contre."
JOSÉ ANIGO

Valbuena : «Des altercations»
16/02 20h32 - Football, L1
Mathieu Valbuena est revenu pour le Canal Football Club sur les rumeurs de division dans le vestiaire marseillais. «Avec l’expérience, je n’ai plus envie de perdre de l’énergie par rapport à tout ça. Quand ça ne va pas, on essaie toujours de chercher la petite bête, savoir si les jeunes ne s’entendent pas avec les anciens… Non, je ne pense pas. Je ne fais pas de langue de bois, je trouve qu’il y a une bonne ambiance. Il y a forcément des personnalités différentes, il y a eu des altercations mais je pense que ça fait partie du métier», a confié l’ailier marseillais.

Valbuena : «José a su remettre beaucoup de discipline»
Le retour en forme de l'OM, les rumeurs de division du vestiaire, son avenir à Marseille et l'équipe de France, Mathieu Valbuena s'est exprimé sur tous ces sujets.

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Mathieu Valbuena a démenti les rumeurs de division du vestiaire marseillais. (L'Equipe)



«José Anigo a su remettre beaucoup de discipline. C’est important», a déclaré dimanche Mathieu Valbuena, le milieu de l’Olympique de Marseille, pour expliquer le regain de l’OM ces dernières semaines. «Quand on est dans un club comme l’OM où il y a une certaine exigence, il faut déjà être exigent envers soi-même. Aujourd’hui, je pense que parfois les jeunes ne prennent pas trop conscience de là où l’on se trouve, il faut être souvent derrière eux pour cette notion de travail, bosser, faire beaucoup plus», a poursuivi l’international français dans une interview diffusée lors du CFC sur Canal +.

Je ne fais pas de langue de bois, je trouve qu'il y a une bonne ambiance.» Il s’est également exprimé sur les rumeurs de division du vestiaire marseillais. «Je ne fais pas de langue de bois, je trouve qu’il y a une bonne ambiance. Il y a forcément des personnalités différentes, il y a eu des altercations mais je pense que ça fait partie du métier. (…) Quand ça ne va pas, on essaie toujours de chercher la petite bête, savoir si les jeunes ne s’entendent pas avec les anciens».

«Pourquoi pas gagner la Coupe du monde !»

Interrogé sur son avenir, Mathieu Valbuena a répondu qu’il n’avait «pas envie de parler de mon futur, et de ce qui va se passer l’année prochaine. Il est tôt. J’ai d’abord des objectifs à l’OM, puis il y a la Coupe du Monde». Un évènement qu’il aborde avec ambition. «On a vraiment hâte de faire quelque chose là-bas… Pourquoi pas la gagner !»

Et Brandao calma l'OM

Et Brandao surgit... Alors que l’OM pensait avoir réalisé le coup parfait, son ex-attaquant brésilien est venu placer une tête dans le temps additionnel qui a permis à l’ASSE de plutôt bien s’en sortir (1-1), dimanche soir à Geoffroy-Guichard, dans ce choc décevant de la 25e journée de Ligue 1. Au terme d’un match assez terne, ce résultat n’arrange aucune de ces deux équipes, qui laissent Lille prendre un peu d’avance dans la course à la troisième place qualificative pour la Ligue des champions.

ASSE-Brandao: "Un peu de chance pour marquer"

Buteur providentiel de l’AS Saint-Etienne, Brandao a offert le point du match nul au club stéphanois (1-1) en égalisant dans le temps additionnel face à Marseille, ce dimanche dans le cadre de la 25e journée de Ligue 1. "Tous les jours, je crois que je peux marquer, a assuré le Brésilien, ancien joueur de l’OM. Il faut continuer comme ça. C'est dur contre Marseille, il faut un peu de chance pour marquer."

Valbuena n'est plus l'as du plongeon !






Fort d'une réputation de "plongeur", Mathieu Valbuena assure avoir évolué à ce sujet. Au micro de Canal+, le Marseillais s'est lancé dans une véritable autocritique. "Quand je regardais les images, ça pouvait effectivement agacer. J'ai mis de l'eau dans mon vin pour moins en rajouter." Reste à savoir ce qu'en pensent les supporters.

Mais au moins lui tombe lorsque il est touché... Auparavant il en rajoutait peut-être (ce qu'il ne fait plus depuis longtemps en se relevant le plus vite possible), mais il y avait toujours faute sur lui... contrairement à beaucoup qui plongent sans être touchés, genre Hammouma hier, obtenant néanmoins les coups francs désirés surtout avec les arbitres Français qui confondent tout en trop se précipitant pour siffler des fautes vénielles ne sachant pas évaluer leur degré de gravité. C'est la grande différence avec les arbitres Anglais. Hier l'égalisation Stéphanoise arrive suite à un coup franc tout à fait inexistant accordé par M. Fautrel.

Buzz Mercato : Valbuena suivi par la Premier League




On le sait, Mathieu Valbuena a un bon de sortie pour la fin de saison. Du coup, de nombreux clubs sont à l'affut et notamment en Angleterre.
Selon le quotidien Métro britannique, le Marseillais est sur les tablettes de deux grosses écuries de Premier League. Arsenal et Liverpool pourraient faire une offre pour l'International tricolore.

Open 13 : Valbuena et Gignac suivent le match de Tsonga


Marseille / Publié le Mercredi 19/02/2014 à 17H10

• 
  Photo Frédéric Speich
  
• 
  Photo Frédéric Speich
  

Mathieu Valbuena et André-Pierre Gignac assistent cet après-midi au match du 2e tour de l'Open 13 entre Jo-Wilfried Tsonga et Nikolay Davydenko, dans les loges du Palais des Sports de l'Open 13. Les deux Olympiens sont des habitués du tournoi marseillais.

VALBUENA ET GIGNAC ONT SOUTENU TSONGA Les deux Olympiens sont
des habitués de l’Open 13
depuis quelques années.
Mathieu Valbuena et Andre-
Pierre Gignac ont
tous les deux assisté au
début du match de Tsonga,
hier, dans les loges du
Palais des sports.
Au rayon people, Laure
Manaudou est venue mardi
soir. Et hier, le nageur
Grégory Mallet et le rugbyman
du RC Toulon,
Maxime Mermoz, étaient
présents au bord du
court et dans les allées
du village VIP.

Boghossian sélectionneur de l’Arménie ? L’équipe nationale d’Arménie rencontrera la France en amical pendant
les éliminatoires de l’Euro 2016 où les Bleus ont été inclus hors
compétition au groupe I. L’Arménie n’a plus de sélectionneur national
depuis le départ de Vardan Minassian et se trouve actuellement
en discussion pour en enrôler un. Alain Boghossian est au premier
rang des techniciens approchés par la fédération

Alain Perrin, ex-entraîneur de l'OM, va devenir sélectionneur de la Chine
Marseille / Publié le Mercredi 26/02/2014 à 08H44


Le Français Alain Perrin, ancien entraîneur de l'OM, Sochaux mais aussi de Lyon et Saint-Etienne, a été nommé sélectionneur de l'équipe nationale chinoise de football, ont rapporté ce mercredi les médias chinois.

Chelsea-Mourinho: "Une équipe avec onze Azpilicueta gagnerait la Ligue des champions"

S'il n'est pas le plus connu des joueurs de Chelsea, César Azpilicueta, l'ancien latéral de l'Olympique de Marseille, a conquis José Mourinho. "Je pense qu'une équipe avec onze Azpilicueta pourrait gagner la Ligue des champions, a ainsi lâché le "Special One",selon la presse anglaise.Le football n'est pas qu'une question de talent. C'est aussi une question de personnalité et de caractère et Azpilicueta a ce mental de gagnant."

« Leo Matos - Leonardo de Matos Cruz -... » : « un ancien de l'OM qui n'a jamais eu sa... CHANCE
Leo Matos • Chornomorets Odesa
Joueurs Entraineurs Equipes Stades

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6.71 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 please wait... Connectez vous pour voter. Nom Complet: Taille: Jour de naissance Leonardo de Matos Cruz 182 1986-04-02 Equipe actuelle: Poids: Ville de naissance: Chornomorets Odesa 72 kilos Niteroi [RJ] Numero: Meilleur pied: 6 Droit Poste: Lateral droit Lien(s) : https://www.facebook.com/Léonardo-de-Matos-Cruz

Carrière

2010 -	Chornomorets Odesa
2008 - 2010	Vila Nova
2008	Figueirense
2007 - 2008	Paraná Clube
2006 - 2007	Olympique de Marseille
2005 - 2006	Flamengo
2004 - 2005	Olympique de Marseille
2003	Flamengo

Trophées par équipe

Championnat de l'Etat de Santa Catarina	2008
Coupe du Monde FIFA (- 17 ans)	2003

Valbuena a répondu à ma question ‪#‎TeamOM‬






Valbuena : "Je ne danserai pas le waka waka"
dailymotion.com
Regarder la vidéo «Valbuena : "Je ne danserai pas le waka waka"» envoyée par Olympique de Marseille sur Dailymotion.

bienvenou a écrit:

Je suis trop content !!

Valbuena : «Cela ne me fait pas plaisir»
Avant le Classique ce dimanche au Parc des Princes (21h00), Mathieu Valbuena reconnaît la supériorité parisienne. Le meneur de jeu de l'OM affiche pourtant une certaine confiance dans la capacité de son équipe à rivaliser sur un match avec le PSG.

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Mathieu Valbuena et l'OM s'étaient inclinés à l'aller au Vélodrome. (L'Equipe)



Paris, une vraie force collective
« Paris est favori. C'est logique qu'il le soit, quand on considère l'écart au classement. Mais heureusement, les favoris ne gagnent pas toujours. J'aimerais bien sûr que l'OM soit devant le PSG comme il y a quelques années et qu'il n'y ait pas 18 points d'écart entre nous. Mais depuis deux ans, Paris a changé de statut avec une puissance financière bien supérieure à la nôtre. Ce club attire de grands joueurs et a formé une équipe qui rayonne au-delà de la Ligue 1. En plus, cette année, il s'en dégage une vraie force collective. Je ne suis pas Marseillais de naissance mais cela ne me fait pas plaisir de voir le PSG prendre le pas sur l'OM. »





                            



                                                                    



« Je suis surpris que l'on découvre Ibrahimovic aujourd'hui parce qu'il joue à Paris. Il était déjà très fort dans ses clubs précédents, il marquait déjà des buts extraordinaires et, pour moi, il ne fait que confirmer toutes ses qualités. Ce gars est né pour marquer et il n'a pas de besoin de 20 occasions pour le faire. Mais en plus il fait briller ses partenaires. Il s'implique collectivement. »

Le match aller, une blessure non cicatrisée

« Cette défaite à 11 contre 10 (1-2) a laissé beaucoup de traces. Nous avions les moyens de gagner cette confrontation puisque nous avions ouvert le score dans la première demi-heure. Mais quand Paris a été réduit à 10, nous nous sommes recroquevillés sur nous-mêmes. Et on a perdu. Nous avons eu du mal à l'encaisser car cette victoire nous tendait les bras. »

Des chances minimes mais réelles
« Ils ne sont pas imbattables, nous avons pu le constater avec Montpellier récemment. Il faut savoir profiter de leurs faiblesses même s'il y en a peu. Nous ne devons pas nous attendre à avoir le ballon mais dans l'intention, nous serons ambitieux, car notre objectif, c'est bien de rester sur notre série victorieuse pour espérer la troisième place. Même si on s'attend à souffrir, sur un match, on peut rivaliser.»

PSG-OM : "On ne va pas en faire un flan !" (Valbuena)

Marseille / Publié le Vendredi 28/02/2014 à 13H06





Arrivé à l'OM à l'été 2006, Mathieu Valbuena est devenu un habitué des clasicos. "Paris est favori", admet sans fard l'Olympien. Avant de dédramatiser : "Personne ne sera mort à la fin du match, on ne va pas en faire un flan. On se prépare bien pour faire un gros coup."

Sochaux entretient l'espoir
En battant Bordeaux (2-0), à Bonal, Sochaux se permet de croire au maintien. Jordan Ayew a marqué son premier but avec les Lionceaux. 91

Charles Kaboré : "Je défendrai toujours l'OM"

Marseille / Publié le Mercredi 05/03/2014 à 06H02

Parti en Russie depuis un an, le Burkinabé affronte les Comores cet après-midi (17h) à Martigues
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Charles Kaboré sous les couleurs du Burkina Faso : vous pouvez le voir cet après-midi à Martigues.
Photo Guillaume Ruoppolo



Son sourire est toujours aussi brillant. Transféré il y a à peine plus d'un an au FC Kouban Krasnodar pour 1,5M€ (4 ans et demi de contrat, 1 ,5M€ de salaire annuel), Charles Kaboré (26 ans) est en goguette dans la région marseillaise depuis dimanche. Retenu avec la sélection des Étalons - aux côtés de Bakari Koné, Jonathan Pitroipa et Alain Traoré -, le Franco- Burkinabé affronte les Comores en amical, cet après-midi à Martigues, au stade Francis-Turcan (17h).
Hier matin, l'ancien Olympien (2007-2013) a pris le temps de recevoir La Provence, à quelques encablures de l'aéroport de Marignane, au sein de l'hôtel où résident les joueurs du Burkina Faso. L'occasion pour le natif de Bobo-Dioulasso d'évoquer sa nouvelle vie à Krasnodar, le poumon économique du sud de la Russie et, bien entendu, son passage à l'OM après avoir été découvert dans l'anonymat de Libourne.
Sans oublier de parler de la sélection dont il est le capitaine et qui a vécu "une année 2013 géniale" avec "un parcours exceptionnel", ponctué par une finale de CAN perdue. "Avec le soutien du public burkinabé, on peut prétendre à plus dans le futur", assure le "Guide", son surnom chez les Étalons.
Vous êtes de retour dans le sud de la France. Êtes-vous content ?
Charles Kaboré : Oui, bien sûr ! D'habitude, on joue en région parisienne. Mais c'est ma deuxième fois près de Marseille. La première, c'était fin 2006, pour ma première sélection avec les Étalons. C'était déjà dans cet hôtel, sauf qu'on avait joué à Aix, contre l'Algérie (victoire 2-1). L'hôtel, je le connais comme ma poche. C'est là aussi que j'ai dormi pour la première nuit en France, avant d'arriver à Libourne.
Comment se passe votre vie à Krasnodar ?
C.K. : Ça se passe bien, je suis avec les Russes ! C'était un peu difficile les premières semaines, notamment pour la langue, mais c'est la vie. Il fallait que je m'adapte à eux, ce n'était pas à eux de s'adapter à moi. J'ai un traducteur génial et les gens sont sympathiques. Au début, ils me regardaient sans savoir qui j'étais ; puis on a créé des liens. Je ne connaissais personne dans l'équipe. Mais je suis agréablement surpris par ce club, que je ne connaissais pas. Si on m'avait dit un jour que je jouerais en Russie, je ne l'aurais pas cru ! Mais on ne sait jamais où on peut atterrir dans la vie. Et encore moins en football.
Avez-vous été victime de racisme ? En 2008, à Saint-Pétersbourg contre le Zénith, Ronald Zubar, André Ayew et vous-même aviez été les cibles de jets de bananes et de cris de singe...
C.K. : C'était difficile, ce match au Zénith. Quand j'y suis retourné avec le Kouban, j'avais une appréhension. À l'échauffement, j'étais à côté de ceux qui m'avaient sifflé, alors qu'avec l'OM, on était loin de cette zone. Mais là, il ne s'est rien passé ! Rien du tout, pas d'insultes, ni de sifflets. En fait, quand vous jouez dans un club russe, vous êtes considéré comme quelqu'un de chez eux. Vous savez, il y a des gens en Russie qui n'ont jamais vu de personnes de couleur...
Sans transition, comment vous sentez-vous au FC Kouban ?
C.K. : On s'y habitue. Avoir un mois et demi de vacances pour un joueur, c'est énorme. Plus deux semaines en juin... (rires) On a fini huitièmes la saison dernière ; là, le championnat commence le 8 mars. On va couper de juin à juillet pour le Mondial, et on reprendra après.
Un mot sur votre président, Alexandre Tkatchev, qui est un personnage controversé en Russie.
C.K. : Je ne maîtrise pas le sujet... (sourire) Mon domaine, c'est le football !
Comment pourriez-vous donner envie aux Marseillais de venir vous voir ?
C.K. : (Il coupe) Oh, je pense que les Marseillais ne vont pas bouger de Marseille ! Il y a 1,7 million d'habitants. Il y a deux clubs, le FC Kouban Krasnodar, qui est un des plus anciens clubs russes, et le FK Krasnodar. Le derby est très chaud ! Il faut le voir. Le stade est ancien, ouvert et peut accueillir 35 000 personnes. Et la pelouse est magnifique. La Russie joue son match amical là-bas ce soir.
Dans quel état d'esprit êtes-vous par rapport à votre avenir ?
C.K. : Je me sens bien, le club est familial, les gens sont formidables...
Vous avez aussi un joli contrat...
C.K. : C'est pas mal, mais on peut mieux faire encore ! (rires) On cherche toujours mieux. Ça va vite, le football. Kouban est un tremplin, même si ça doit me prend deux, trois ou quatre ans. Il y a plus grand en Russie. Je suis ambitieux. Si une meilleure offre se présente, je la prendrai ; sinon, je resterai. Je m'y sens bien, cela ne pose pas de problème. Je ne veux pas quitter la Russie : j'ai trouvé un équilibre dans ma vie, je joue, je suis important...
Et vous parlez russe ?
C.K. : Ya tchout' tchout' * ! (énormes rires)
Avec le recul, comment jugez-vous votre départ de l'OM ?
C.K. : C'était le bon moment. Je ne le pensais pas à l'époque. Arriver à la CAN et apprendre qu'on est sur la liste des transferts, c'est dur à vivre. J'ai souvent été sur cette liste et, à un moment, tu comprends qu'on ne te désire pas. J'aimais Marseille et je prenais du plaisir avec mes coéquipiers et les salariés du club.
Vous auriez préféré être mis au courant avant ?
C.K. : J'aurais simplement aimé qu'on me dise, avant que je parte pour la CAN : "Charles, tu ne rentres plus dans les plans du coach, on va trouver une issue". Et c'était la moindre des choses. Avoir le parcours que j'ai eu et jouer plus de 200 matches avec l'OM, il fallait le faire. Je gagnais bien ma vie à Marseille. Je n'aurais jamais pensé toucher ne serait-ce que 10 000€ dans ma vie. Pour moi, le simple fait d'arriver à Libourne était déjà incroyable ! Imaginez la suite... Côtoyer des Cissé, des Nasri, des Niang, c'était exceptionnel.
Êtes-vous resté en contact avec des joueurs du club ?
C.K. : Oui, il y a Souley (Diawara), Mandanda, Mathieu (Valbuena), "Dédé" et Jordan Ayew. J'ai aussi José Anigo de temps en temps au téléphone. Il m'a beaucoup apporté et il m'a repéré. Il est dans mon coeur. Bon, c'est le coach actuel, donc il ne va pas me recruter ! (rires) Mais l'OM, c'est ma famille. Peu importe où j'irai, je reviendrai toujours à Marseille. Je n'ai rien contre le club, je ne dirai jamais de mal de l'équipe, même si je suis énervé. Grâce à l'OM, j'ai gagné des titres et mon CV est un peu rempli ! Et puis, on me reconnaît aussi dans la rue depuis mon passage au club. L'OM m'a donné bien plus que je ne lui ai donné.
Notamment avec les six trophées glanés, sous l'ère Didier Deschamps ?
C.K. : Oh oui ! Deschamps, il ne prône pas le jeu de Barcelone, mais il inspire la victoire et la gagne. Il a amené Lucho, Heinze, Mbia... Même Cyril Rool - ne l'oubliez pas car il a été important - et Fernando Morientes. Pour gagner un titre, il faut des joueurs expérimentés, des mecs qui tirent les jeunes vers le haut. Je me souviens de Heinze qui n'arrêtait pas de me crier dessus. "Tu es jeune, si je ne crie pas tu ne seras pas concentré", me disait-il.
La saison de l'OM est compliquée. Qu'en pensez-vous ?
C.K. : Non, l'OM reste l'OM. Ils sont à la cinquième place, les gens n'ont pas à se plaindre. Je vois que les supporters sont énervés...
Zéro pointé en Ligue des champions, éliminations en coupes, éviction de l'entraîneur : ce n'est pas non plus de tout repos...
C.K. : Je défendrai toujours l'OM. Les supporters, ce sont les supporters. Personne ne veut voir son équipe perdre. Seule la victoire compte, mais cinquième, c'est déjà pas mal...
Vous oubliez l'exigence marseillaise que vous avez vous-même connue...
C.K. : L'OM doit jouer les premiers rôles, c'est clair. Mais c'est une nouvelle saison, il y a une transition entre anciens et jeunes. C'est en train de monter. Pour moi, le club fait une très belle saison même s'il y a eu des hauts et des bas. L'OM peut terminer dans les trois premiers, il n'y a que ça qui compte.
Vous avez pu voir l'avancée des travaux du stade. Alors ?
C.K. : C'est beau ! Je suis venu contre Valenciennes, mais je me suis perdu en arrivant ! L'ancienne entrée était fermée, il fallait faire le tour par Ganay. Quand je suis arrivé, le match avait commencé depuis dix minutes. L'OM a battu VA, tout le monde était content. Je suis descendu dans le vestiaire, on a fait le cri de la victoire ensemble.
Vous imaginez-vous revenir un jour à l'OM ?
C.K. : Non. On dit qu'il ne faut jamais dire jamais, mais je ne pense pas. Il faut laisser la place, on a fait notre temps... Faire rêver les supporters pour rien, ça ne sert pas à grand-chose.
* "Oui, je parle un petit peu russe"