NÎMES OLYMPIQUE // LIGUE 2

Football / Ligue 2 : à Troyes, Nîmes a plié puis a rompu (2-0)
il y a 1 jour 0 De Troyes, ERIC DELANZY
Maoulida (à gauche) cherche toujours le chemin des filets à l’extérieur en championnat.
PQR / EST ECLAIR


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L es Gardois ont été battus 2-0 dans l'Aube ce lundi en clôture de la 17e journée. Inoffensifs à l'extérieur, ils ont logiquement cédé en seconde période. Quinzièmes, ils gardent cinq points d'avance sur le premier relégable.

Qu'on ne s'y trompe pas : le match de la semaine à gagner pour les Crocos, ce sera celui de vendredi contre Orléans. Ce lundi, ils n'auront tenu qu'une mi-temps face au nouveau dauphin de Dijon. Entre deux équipes pourtant présumées joueuses, le round d'observation dura en effet une bonne demi-heure.


Les Troyens faisaient le jeu, sans se créer d'occasions pour autant. Le duo d'attaque Jean-Gimbert était sevré de ballons. Ce qui semblait bon signe...

La fiche technique

TROYES - NÎMES................................................................................................. 2-0
Stade de l’Aube. Mi-temps : 0-0.
Temps pluvieux et froid. Terrain impeccable.
Spectateurs : 12 299.
Arbitre : M. Falcone.
Buts : Azamoum (48e), Ben Saada (69e).
Avertissements à Troyes : Azamoum (18e) ; à Nîmes : Koura (8e), Marin (39e).
TROYES : Petric - Martins Pereira, Rincon, Saunier, Carole - Azamoum (Cabot 79e), Nivet (cap), Ayasse, Darbion (Ben Saada 68e) - Gimbert, Jean (Pi 58e).
NÎMES : Michel - Cordoval, Marin, Barrillon, Harek - Briançon, Kovacevic (Azouni 53e) - Nouri, Bobichon (Dépres 53e) - Maoulida (cap), Koura.

Les Crocos sauvés par le gong... pas pour longtemps

Le premier arrêt de Michel n'intervenait d'ailleurs qu'à la 33e minute. L'angle était trop fermé pour Gimbert. C'était le début de l'interminable temps fort de l'Estac. Sans un incroyable sauvetage de Cordoval, le troisième de L2 aurait déjà dû ouvrir le score. Jean centrait en retrait pour Gimbert, seul aux 6 mètres. Le latéral formé à... Troyes déviait la reprise de l'avant-centre sur la transversale (43e). Dans la foulée, Nivet plaçait sa reprise de la tête au-dessus (44e) et Azamoum la sienne juste à côté (45e+1). Au bord de la rupture, Nîmes était sauvé par le gong de la mi-temps.
Et offensivement, nous direz-vous ? Une seule occasion pour les joueurs de Pasqualetti  : servi par Koura, Maoulida se jouait de la charnière centrale mais ne trouvait pas le cadre (34e).



Le quart d'heure de pause n'allait pas permettre aux Crocos de retrouver leurs esprits. La seconde période commençait comme avait fini la première : par le siège de la surface gardoise. Après la transversale, Gimbert trouvait le poteau sur sa trajectoire. Mais cette fois, le ballon revenait sur Azamoum qui ne ratait pas l'opportunité (1-0, 48e). Positionnée haut en début de rencontre, l'arrière-garde reculait trop. Et avait logiquement fini par craquer.

A sens unique

Comme d'habitude à l'extérieur, les Nîmois se retrouvaient menés. Et la mission s'annonçait très compliquée : les Troyens restaient sur quatre matches à domicile sans encaisser de but. Ça fait désormais cinq... Pour égaliser, il fallait déjà commencer par cadrer. La première frappe arrêtée difficilement par Petric était l'œuvre de... Dépres, apparu dix minutes plus tôt et qui s'était bien retourné (64e). Ce sera bien la seule. Car l'étreinte n'était pas desserrée pour autant. Un centre d'Ayasse à la sortie d'un joli une-deux était repoussé par Michel... sur Ben Saada. Aussi bien placé qu'Azamoum vingt minutes plus tôt, l'ancien Bastiais marquait 90 secondes après son entrée en jeu (2-0, 69e).
Il restait du temps, mais pas beaucoup d'espoirs, tant la partie était à sens unique. L'Estac était trop fort, et la défaite inéluctable.

[size=35]Football / Nîmes - Toifilou Maoulida : "Avec tout ce qui s’est passé..."[/size]
ENTRETIEN  il y a 3 heures  0 [size=14]Propos recueillis par ÉRIC DELANZY[/size]
 Toifilou Maoulida : "Mon souhait, c’est de jouer le plus tard possible. Je suis en pleine possession de mes moyens."
Photo NASSIRA BELMEKKI

[size=20][size=62]Alors que les Crocos, 15es de Ligue 2, accueillent Orléans, 16e, vendredi lors de la 18e journée, dans un match qui vaudra cher, son capitaine Toifilou Maoulida revient sur ses six premiers mois passés au club. Lesquels n'ont pas été de tout repos...[/size]

Nîmes est 15e après 17 journées. Êtes-vous venu ici, cet été, pour jouer la 15 e place ? Jouer le maintien en Ligue 2, c'est une situation que je découvre. J'ai fait trois saisons en L2 et je suis toujours monté à la fin. Quand j'ai signé ici, c'était pour participer à un projet ambitieux qui était de retrouver la L1 en deux ou trois ans. Mais beaucoup de choses se sont passées depuis et ont bouleversé tout ça. Je le prends comme une expérience supplémentaire et un nouveau challenge : celui de maintenir le club. L'équipe a montré ses limites lundi à Troyes (2-0) . Comment jugez-vous votre première moitié de saison ? Avec tout ce qui s'est passé,...

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Nîmes - Orléans : les groupes
Loriot fait son retour dans le groupe orléanais.


Tous deux battus à l'occasion de la dernière journée de Ligue 2, Nîmes et Orléans émargent respectivement à la quinzième et seizième place du championnat. Du coup, les points vont coûter cher ce vendredi soir aux Costières dans l'optique du maintien.


L'USO, qui sait prendre des points en déplacement, et avec Guillaume Loriot et Julien Delonglée, de retour dans le groupe, va-t-elle en profiter pour terminer l'année en beauté dans le Gard ?


Nîmes : Michel, Gallon - Barrillon, Cordoval, Elie, Harek, Marin, Sartre - Azouni, Bobichon, Hsissane, Lacourt, Parpeix, Robail - Dépres, Koura, Maoulida, Nouri.

Orléans : Renault, Balijon - Sidibé, Tomas, Abdoulaye, Ponroy, Brillault, Delonglée, Ligoule, Loriot, Puyo, Seidou, Glombard, Louisy-Daniel, Maah, Arnaud.

[size=36]ootball (L2) : L’US Orléans s’est imposée dans les dernières minutes hier à Nîmes [feuille de match][/size]
Lu 172 fois

Solidaires, combatifs et fidèles jusqu’au bout à leur plan de jeu, les Orléanais ont usé les Nîmois avant de porter l’estocade en fin de match grâce à un superbe but de Guillaume Loriot. Idéal avant la trêve.

L’US Orléans a remporté une victoire ô combien importante, hier soir, à Nîmes (0-1). Une victoire qui a mis longtemps à se dessiner dans un match de médiocre qualité, qui a plus ressemblé à un combat. Mais dans ce registre-là, les joueurs d’Olivier Frapollli sont souvent à leur avantage. Cela s’est encore confirmé hier soir dans le Gard.
Appliqués et concentrés, les Orléanais l’étaient assurément dès le coup d’envoi. Pour rien au monde, ils ne voulaient revivre le début cauchemardesque de la semaine dernière face à Angers. Bien en place, ils ne laissaient pas le moindre espace pour empêcher les Gardois de prendre le jeu à leur compte.
Mais une fois rassurés, ils ne s’en contentaient pas et ce sont eux qui se montraient les plus présents devant le but adverse avec notamment la bonne position de Loris Arnaud sur un centre d’Ousmane Sidibé (24e) ou cette frappe contrée de Loïc Puyo au point de penalty (27e).
Les Nîmois n’arrivaient à se sortir de ce faux rythme imposé par l’USO qu’en fin de première période. Mais Thomas Renault repoussait des deux poings un coup franc de Mathieu Robail (35e) et sa sortie était autoritaire sur un autre coup franc d’Antonin Bobichon (39e). Cela ne calmait pas pour autant les supporters nîmois qui sifflaient déjà leur équipe pour le retour aux vestiaires.
Le ciseau de Loriot
On attendait une réaction et une pression gardoise à la reprise. Mais ce sont les Orléanais qui s’enhardissaient avec un superbe mouvement collectif parti côté gauche et ponctué de la droite par un centre d’Ousmane Sidibé. À sa réception, Robert Maah qui ne pouvait appuyer sa frappe (48e).
Le public grondait devant les nombreuses maladresses gardoises et s’en amusait même sur certaines, il est vrai grossières. Mais les Orléanais restaient dans leur match. Loris Arnaud aurait pu obtenir un penalty (57e), la tête de Robert Maah passait au-dessus de la barre (72e), puis Loris Arnaud effectuait le contrôle de trop à l’entrée de la surface (73e).
On en venait même presque à regretter la trop grande prudence des Orléanais qui restaient fidèles à leur plan de jeu... pour finalement une issue gagnante?! Sur un corner tiré par Loïc Puyo, la reprise de volée de Robert Maah partait bien mais était contrée. Guillaume Loriot tentait sa chance à son tour avec plus de réussite puisque, d’un superbe ciseau, il envoyait le ballon sous la barre (86e).
Il ne restait plus qu’une poignée de minutes à tenir et ne pas encaisser de but, pour la première fois depuis douze matches. Ce qui fut fait proprement, sans trembler, Wilfried Louisy-Daniel étant même à deux doigts de doubler la mise (90e + 2). Qu’importe, cette courte victoire suffisait amplement au bonheur des Orléanais. Les crocodiles nîmois, eux, n’avaient plus que des larmes à verser...
Patrick Paumier
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LA FICHE : 

NÎMES OLYMPIQUE - US ORLEANS?0-1 (0-0).?Arbitre : M. Léonard. Spectateurs : 4.617
But.?Pour Orléans: Loriot (86e).
Avertissements.?A Orléans: Sidibé (12e), Loriot (90e).
Nîmes.?Michel - Cordoval, Marin, Sartre (Barillon 20e) - Bobichon (Koura 67e), Parpeix, Hsissane, Robail - Noury, Maoulida (Despres 79e).
US Orléans.?Renault - Sidibé, Ponroy, Brillault (Abdoulaye 77e), Tomas - Puyo, Ligoule, Loriot, Glombard (Louisy-Daniel 71e) - Arnaud (Delonglée 87e), Maah.

[size=36]Une victoire qui tombe à pic ![/size]
Lu 283 fois

Solidaires, combatifs et fidèles jusqu’au bout à leur plan de jeu, les Orléanais ont usé les Nîmois avant de porter l’estocade en fin de match grâce à un superbe but de Guillaume Loriot. Idéal avant la trêve.

Notre envoyé spécial
L'US Orléans a remporté une victoire ô combien importante, hier soir, à Nîmes (0-1). Une victoire qui a mis longtemps à se dessiner dans un match de médiocre qualité, qui a plus ressemblé à un combat. Mais dans ce registre-là, les joueurs d'Olivier Frapollli sont souvent à leur avantage. Cela s'est encore confirmé hier soir dans le Gard.

Appliqués et concentrés, les Orléanais l'étaient assurément dès le coup d'envoi. Pour rien au monde, ils ne voulaient revivre le début cauchemardesque de la semaine dernière face à Angers. Bien en place, ils ne laissaient pas le moindre espace pour empêcher les Gardois de prendre le jeu à leur compte.

Mais une fois rassurés, ils ne s'en contentaient pas et ce sont eux qui se montraient les plus présents devant le but adverse avec notamment la bonne position de Loris Arnaud sur un centre d'Ousmane Sidibé (24 e) ou cette frappe contrée de Loïc Puyo au point de penalty (27 e).

Les Nîmois n'arrivaient à se sortir de ce faux rythme imposé par l'USO qu'en fin de première période. Mais Thomas Renault repoussait des deux poings un coup franc de Mathieu Robail (35 e) et sa sortie était autoritaire sur un autre coup franc d'Antonin Bobichon (39 e). Cela ne calmait pas pour autant les supporters nîmois qui sifflaient déjà leur équipe pour le retour aux vestiaires.
Le ciseau de Loriot
On attendait une réaction et une pression gardoise à la reprise. Mais ce sont les Orléanais qui s'enhardissaient avec un superbe mouvement collectif parti côté gauche et ponctué de la droite par un centre d'Ousmane Sidibé. À sa réception, Robert Maah qui ne pouvait appuyer sa frappe (48 e).



Le public grondait devant les nombreuses maladresses gardoises et s'en amusait même sur certaines, il est vrai grossières. Mais les Orléanais restaient dans leur match. Loris Arnaud aurait pu obtenir un penalty (57 e), la tête de Robert Maah passait au-dessus de la barre (72 e), puis Loris Arnaud effectuait le contrôle de trop à l'entrée de la surface (73 e).

On en venait même presque à regretter la trop grande prudence des Orléanais qui restaient fidèles à leur plan de jeuæ pour finalement une issue gagnante ! Sur un corner tiré par Loïc Puyo, la reprise de volée de Robert Maah partait bien mais était contrée. Guillaume Loriot tentait sa chance à son tour avec plus de réussite puisque, d'un superbe ciseau, il envoyait le ballon sous la barre (86 e).

Il ne restait plus qu'une poignée de minutes à tenir et ne pas encaisser de but, pour la première fois depuis douze matches. Ce qui fut fait proprement, sans trembler, Wilfried Louisy-Daniel étant même à deux doigts de doubler la mise (90 e + 2). Qu'importe, cette courte victoire suffisait amplement au bonheur des Orléanais. Les crocodiles nîmois, eux, n'avaient plus que des larmes à verseræ

[size=35]Foot / Ligue 2 : Orléans refroidit Nîmes, battu 1-0 aux Costières[/size]
 il y a 5 heures  5 FREDERIC PRADES

[size=20][size=62]Pour le compte de la 18e journée de Ligue 2, la dernière de l'année, les Gardois se sont inclinés sur leur terrain face aux joueurs du Loiret (0-1). Ils n'ont plus que deux points d'avance sur le premier relégable.[/size]

Nîmes ne passera pas les fêtes au chaud. Ce vendredi, lors d'un match comptant pour la 18e journée, les Gardois, sur leur terrain, ont été battus par Orléans (0-1). C'est la deuxième défaite à domicile cette saison pour les Crocos qui n'ont plus gagné depuis quatre matches (trois revers, un nul).

Aucune occasion

Incapables de se procurer une occasion digne de ce nom, très limités techniquement, les hommes de José Pasqualetti ont plié à la 87e minute sur un corner qu'ils n'ont pas su renvoyer. C'est d'autant plus cruel qu'Orléans ne méritait pas plus la victoire. "Cette défaite fait mal, admet José Pasqualetti. On n'est pas efficace en ce moment, c'est vrai. On a pourtant essayé de faire du jeu sur une pelouse qui s'est dégradée au fil des minutes. C'était plus facile de défendre mais ce n'est pas une excuse. Je n'ai en revanche rien à reprocher quant à l'investissement et à la générosité de mes joueurs."

[size=20]La fiche

NÎMES 0 
ORLEANS 1
Stade des Costières. Mi-temps : 0-0.
Arbitre : M. Léonard. Spectateurs : 4617.
 
But : Loriot (87e).
 
Avertissement : Loriot (90e) à Orléans.
 
NÎMES : Michel - Cordoval, Sartre (Barrillon, 20e), Marin, Harek - Bobichon (Koura, 67e), Parpeix, Hissane, Robail -  Maoulida (Dépres, 79e), Nouri.
 
ORLEANS : Renault - Sidibe, Ponroy, Brillault (Abdoulaye, 77e), Tomas - Puyo, Ligoule, Loriot, Glombard (Louisy-Daniel, 71e)- Arnaud (Delonglee, 88e), Maah.

La colère de Parpeix envers l'arbitre

"On a joué à douze contre onze", peste Jonathan Parpeix, le milieu de terrain nîmois qui fait référence aux décisions arbitrales qu'il n'a guère goûtées et à ces nombreux coups-francs, estime-t-il, accordés à l'adversaire. "On se la fait m... tous les week-end. On a mis pourtant les les ingrédients mais on n'est pas récompensé", ajoute-t-il. 
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[size=30][size=30]"Le championnat n'est pas fini"[/size][/size]

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Les Gardois font la mauvaise opération de la soirée puisqu'ils pointent désormais à la 17e place avec 19 points. Ils sont désormais les premiers non relégables avec deux petits points d'avance sur Tours, le 18e, qui s'est imposé. "Le championnat n'est pas fini. On n'est pas relégué, lance l'entraîneur gardois. Ce ne sera pas facile mais je fais confiance à mes joueurs. On peut critiquer la façon de jouer mais ils ne baisseront pas les bras. On ne va pas fuit nos responsabilités"
Le prochain match des Gardois aura lieu le dimanche 4 janvier aux Costières. Il s'agira d'un match de prestige avec la venue de Monaco pour le compte des 32e de finale de la coupe de France. Le championnat, lui, reprendra le 9 janvier avec un déplacement à Ajaccio.[/size][/size]

[size=35]Football / Mercato : Nîmes lorgne sur Joris Sainati[/size]
 il y a 18 heures  2 MIDI LIBRE
 Joris Sainati (à droite) vient de résilier son contrat avec Heraklion (Grèce).
AFP / ANNE-CHRISTINE POUJOULAT

[size=20][size=62]Le défenseur polyvalent de 26 ans, libre, intéresserait José Pasqualetti, le coach croco qui l'a connu à Istres.[/size]

Selon nos informations, José Pasqualetti est intéressé par Joris Sainati, défenseur polyvalent de 26 ans. Celui qu'il a connu à Istres vient de résilier son contrat à Heraklion (Grèce).


Quant à Michel, révélation de la première partie de la saison nîmoise, il est en passe de prolonger son contrat, qui arrive à échéance en juin 2015.[/size]

[size=35]ootball / Ligue 2 : Nîmes, le doute est permis[/size]
 il y a 19 heures  2 THIERRY ALBENQUE
 Enferrés, Harek et Nîmes devront vite trouver les solutions pour s’en sortir.
WILLIAM TRUFFY


[size=10]TWITTER 
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[size=20][size=62]Battus par Orléans, vendredi aux Costières (0-1), les Gardois n'ont que deux points d'avance sur le premier relégable à la trêve. S'ils disent ne pas être inquiets, ils inquiètent pourtant. [/size]

 


Inquiets ? Malgré leur dix-septième place, leur plus mauvais classement depuis le début de championnat, non, les Crocos, désormais en vacances pour une semaine, ne sont pas spécialement inquiets. "On l'est toujours un peu quand on tourne avec seulement dix-neuf points", a bien dit José Pasqualetti mais c'était pour aussitôt lancer : "Si je ne me trompe pas, le championnat n'est pas fini et Nîmes n'est pas relégué, on est bien d'accord ?"

Pas de panique

Ne pas paniquer ni s'énerver. L'entraîneur croco a plusieurs fois employé l'expression, vendredi soir, en conférence de presse. "Chacun fait son boulot le plus professionnellement possible. On va continuer dans ce sens et faire en sorte d'aller vers des jours meilleurs. Sinon, si aujourd'hui on dit, et moi le premier, que Nîmes Olympique, c'est fini, et bien, Nîmes Olympique, ce sera fini !"
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[size=30]"On va revenir des vacances la tête vidée et remettre le bleu
de chauffe en janvier"[/size]

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Inquiet, le milieu Jonathan Parpeix ne l'est pas plus. "On connaît l'état d'esprit qui anime le groupe. C'est en le conservant et en restant soudé, en travaillant aussi qu'on s'en sortira. On n'est pas relégable et on ne peut que mieux faire. On va revenir des vacances la tête vidée et remettre le bleu de chauffe en janvier."
C'est évident, pour assurer le maintien, seul objectif qui vaille aujourd'hui, les Nîmois ne devront mentalement rien lâcher. Ça ne suffira pas, il faudra aussi assurer dans le jeu, qui s'est délité ces dernières semaines. Quatorzième attaque, seizième défense, aucun voyant n'est au vert et l'équipe croco est donc à sa place. Et ce n'est pas vraiment une surprise tant le recrutement de l'intersaison a été marqué du sceau de l'incohérence.

18 matches et 15 compositions d'équipe différentes

Sur les douze recrues, trois seulement sont des titulaires quasi indiscutables même si leur rendement n'est pas optimum : Barrillon, Maoulida et Harek. Pour le reste, Marin vient à peine de bousculer la hiérarchie, Élie et Lacourt ne se sont pas imposés et ont quelque peu disparu et on n'a jamais vu ou pratiquement pas Azouni, Tchoutou, Mendy, Renaut, Bationo et Kasparian.
Preuve que José Pasqualetti peine à trouver son équipe type, les équilibres entre les lignes, la bonne formule et les bonnes associations : il a formé quinze compositions différentes en dix-huit matches, testant le 4-2-3-1, le 4-3-3 et le 4-4-2. Huit défenses différentes ont été alignées, ainsi que treize combinaisons en milieu et dix en attaque. C'est beaucoup trop.

Quel mercato ?

À la reprise, que va pouvoir changer le coach nîmois, qui a eu le mérite de lancer Briançon, Valls, Bobichon et Depres, jeunes formés au club ? Pas grand-chose puisque le défenseur central et les deux milieux qu'il désire pour bonifier son groupe n'arriveront certainement pas. En tout cas, pas les trois ensemble.
Le PDG Christian Perdrier l'a, en effet, répété vendredi, pour le club croco, le mercato hivernal (4 janvier-2 février) s'annonce très calme. Sans départ, Nîmes, dont la masse salariale est encadrée, ne pourra pas recruter. Et pour attirer un joueur qui apporte vraiment un plus, donc forcément “cher”, si départ il y a, il devra concerner l'un des gros salaires, ceux de cinq joueurs de l'effectif représentant actuellement 45 % de cette masse salariale...
Le football connaissant aussi la crise, ceux qui ont des envies de départ ou ceux qu'on poussera vers la porte ne s'en iront pas sans un autre point de chute, que ceux qui ne jouent pas beaucoup auront du mal à trouver. Nîmes, qui avait fait de bonnes pioches en 2008 (Malm), en 2009 (Mandrichi et Ayité) et en 2013 (Nouri), se trouve ainsi quelque peu dans l'impasse. Faut-il s'en inquiéter ?[/size][/size]

Gard : chez les Pasqualetti, le foot reste une affaire de famille
il y a 13 heures 0 LAURENT GUTTING
Jean-Marie et José Pasqualetti ont pris, pour une fois, le temps de parler football autrement.
Photo ALEXIS BÉTHUNE


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J osé, le père, est entraîneur de Nîmes Olympique. Jean-Marie est le jeune manager de l'Olympique d'Alès en Cévennes. Portrait croisé.

Le rendez-vous n'a pas été simple à programmer. Il fallait que les emplois du temps de chacun le permettent. Sur le principe, José Pasqualetti et son fils Jean-Marie avaient tous deux accepté de s'asseoir à une même table pour parler d'eux et, surtout, de leur passion partagée pour le football que les pères transmettent aux enfants dans la famille. La rencontre a finalement eu lieu un peu avant les fêtes dans le bureau du plus jeune, au siège de l'Olympique d'Alès en Cévennes.


"Ton père entraîneur, ça t'oblige à être plus exigeant avec toi..."

Parcours

José
Né le 27 septembre 1956 à Bastia, José Pasqualetti a été pendant quinze ans footballeur professionnel. D’abord à Bastia, puis à Alès (1977-79), Montpellier (1979-82), Lyon (1982-84), Béziers (1984-86) et de nouveau à Alès (1986-90) dont il fut capitaine et où il entama sa carrière d’entraîneur ; au centre de formation du club, puis à la suite de Léonce Lavagne quand celui-ci émigra vers Nîmes en 1992. Il y resta jusqu’en 1996, avant de partir à Bastia (1998-2004) et Ajaccio (2004-06), entre autre comme adjoint de Roland Courbis. Après Sedan (2006-08), encore Ajaccio (2008-09) et Istres (2010-14), il dirige Nîmes depuis l’été dernier.
Jean-Marie
Né le 22 octobre 1974 à Bastia, Jean-Marie Pasqualetti n’aura connu que deux clubs : l’OAC, où il a été formé et a débuté en pro, et Nîmes (2003-06), avant de revenir à Alès dont il est manager général. 
D'entrée, une évidence, l'un et l'autre ne pouvaient échapper au ballon rond. "Je n'ai jamais imaginé faire autre chose que footballeur. Mon père Jean-Marie l'a été. Et, à Bastia, quand je descendais en ville, je dribblais les voitures, je faisais des grands ponts aux platanes et sur le trajet de l'école, je me voyais footballeur. Parce que l'école..." Le fiston, lui, a chopé le virus plus tardivement. "Au début, ce n'était qu'un jeu. Je ne me prenais pas la tête (José confirme : "Il se la coulait douce, il m'énervait !"). La décision d'en faire mon métier, je ne l'ai prise que vers 19 ans..."
Tous les deux se souviennent sans peine que José, alors entraîneur à l'OAC, a lancé Jean-Marie pour son premier match en professionnel. Une situation particulière qui aurait pu les éloigner. "Ce n'était pas évident, surtout pour lui, explique le paternel. Dans les vestiaires et ailleurs, il était le “fils de”. Mais si je le mettais dans l'équipe, c'est qu'il le méritait !" Jean-Marie ne se souvient pas de conflits nés au cours de cette période : "Si tu en veux à ton père pour ses décisions de coach, t'as rien compris ! Au contraire, ton père entraîneur, ça t'oblige à être plus exigeant avec toi-même, à montrer plus, ça sert pour la suite de ta carrière..."
Pas de compétition entre eux
Les Pasqualetti assurent qu'il n'y a jamais eu de compétition entre eux. "Que je fasse mieux que mon père ? !, s'étonne Jean-Marie de la question. Non, non..." "Je n'ai jamais obligé mes enfants. Tant Jean-Marie que Christophe et Sylvia (les jumeaux, plus jeunes), chacun a pu choisir..." Mieux, depuis que le fils est devenu entraîneur, ils échangent sur le métier. "Mais depuis deux ans, par superstition, je n'assiste plus à ses matches, sa maman (Joëlle) si, confie José. On s'appelle pour se donner les résultats, débriefer les matchs." "Je suis demandeur, enchaîne Jean-Marie. Je le questionne surtout sur les contenus d'entraînement, notamment. Pour savoir si, au haut niveau, ça se fait, si je suis dans le vrai ou si je suis complètement à l'ouest !" "On ne programme rien. On se parle aussi quand on se voit en famille, autour des petits-enfants", précise José.
"Ce que j'ai manqué avec les enfants, je ne veux pas le rater avec les petits-enfants !"
Ah, la famille... Rien de plus important chez les Pasqualetti, Corses amoureux de la tribu. Jean-Marie ne veut pas être sollicité par les journalistes quand il est au repos au milieu des siens. Son dimanche reste sacré. José, lui, conscient que le métier de footballeur et ses changements de domicile ont pesé sur son rôle de père, avoue "je n'ai pas vu grandir Léa", la plus grande des cinq petits-enfants, sœur aînée de Noémie et fille de Jean-Marie, cousine de Milann, Clara et Lou-Ann. "Alès, Lyon, Béziers, Alès... Pendant toutes ces années, je suis souvent parti. Et ce que j'ai manqué avec les enfants, je ne veux pas le rater avec les petits-enfants !, conclut, pudique, le grand-papa. C'est pour ça qu'après Ajaccio ou Sedan (où il a entraîné), j'ai voulu revenir dans la région." À Mons, où habitent les Pasqualetti.
Parce que le football peut vraiment parfois occuper trop de place, même dans la vie de ceux qu'il passionne, José ou Jean-Marie ont appris à décrocher. "Il y a des choses plus importantes dans la vie que le ballon", sourit José. "Il dit ça, mais le plus dingue de foot de nous deux, c'est lui !, surgit Jean-Marie. J'ai déjà du mal à regarder les matches à la télé jusqu'au bout. Et à son âge, je ne sais pas si j'aurais encore la force de faire ce qu'il fait encore. Il faut vraiment être mordu comme il l'est pour tenir de nos jours dans ce métier."
Une profession, une passion qui continuera pourtant d'unir les Pasqualetti père et fils. Avant que la nouvelle génération n'assure une autre succession. Ou pas...

Affaire Nîmes Olympique : des paris illicites sur le match contre Caen ?
il y a 52 minutes 3 MIDI LIBRE
C'est essentiellement le match entre Cane et Nîmes, qui s'est soldé par un match nul, qui intéresse les enquêteurs.
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S elon les journalistes de L'Equipe TV, Serge Kasparian, soupçonné par la justice d'avoir participé à une tentative de corruption afin de favoriser le maintien de Nîmes Olympique en Ligue 2 la saison dernière, aurait incité certains de ses proches à miser sur la rencontre Caen-Nîmes. 

L'Équipe TV a récemment diffusé un reportage sur l'affaire du Nîmes Olympique, baptisé “Nîmes, Magouilles et compagnie”. Il est désormais disponible sur le site internet de L'Équipe (voir aussi ci-dessous). Et si le reportage - de dix-huit minutes - n'est pas aussi sulfureux que le laisse entendre le titre, il révèle en toute fin de document un autre aspect de l'affaire qui pourrait plomber les protagonistes.


Selon le journaliste de L'Équipe, l'actionnaire actuellement en détention provisoire dans l'affaire du Cercle de jeu Cadet aurait incité certains de ses proches à miser sur un match nul avant la rencontre entre Caen et Nîmes. Leur demandant ensuite de ne pas parier de trop grosses sommes pour éviter d'alerter les autorités de régulation des paris sportifs.
Les deux formations avaient en effet besoin d'un point chacune, Caen pour monter en Ligue 1, Nîmes pour rester en Ligue 2. Les conversations téléphoniques entre les présidents des deux clubs, révélées par Le Canard Enchaîné, laissent entendre à un arrangement et le match s'était justement soldé par un score nul de 1-1. À suivre, car cela pourrait aussi peser sur l'enquête.
Le reportage de L'Equipe TV : 

Football : les Crocos ont repris l'entraînement
il y a 14 heures 1 Thierry Albenque
Reprise studieuse pour les Crocos, à quelques jours du match de coupe de France contre Monaco.
T. A.


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C e lundi, José Pasqualetti et ses hommes se sont retrouvés à La Bastide.

Après neuf jours de vacances, les Crocos ont repris l'entraînement ce lundi matin à La Bastide. Vingt-cinq joueurs ont participé à la séance, vingt minutes de musculation en salle puis travail athlétique de quarante minutes. Victime d'une gastro-entérite, Toifilou Maoulida s'est entraîné plus légèrement que ses partenaires. Souffrant de la même maladie, Jonathan Parpeix, lui, est resté chez lui. Ousmane Cissokho, pour sa part, est resté au chaud, à faire du vélo.


Nenad Kovacevic en retard
L'absence de Nenad Kovacevic, en revanche, n'était pas justifiée. Le retard du milieu de terrain nîmois, rentré chez lui en Serbie pour fêter Noël, serait dû à un problème d'avion.
Monaco en ligne de mire
Pendant une semaine, José Pasqualetti et ses hommes, qui seront au repos jeudi, vont préparer la venue de Monaco, dimanche 4 janvier à 14h15, en 32e de finale de la coupe de France (à lire aussi dans notre édition nîmoise du mardi 30 décembre).

Mercato, coupe de France... Les derniers échos du Nîmes Olympique
il y a 10 minutes 0 MIDI LIBRE
Le président a confirmé que le mercato hivernal serait très calme du côté des Costières.

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L es Nîmois préparent la venue de Monaco, dimanche en coupe de France. 

MERCATO Lundi, Christian Perdrier et José Pasqualetti se sont vus pour évoquer le mercato. "J'ai rappelé au coach que notre masse salariale était encadrée, que sans départ, il n'y aurait pas d'arrivée et je lui ai donc dit : Ne rêvez pas", résume à Midi Libre le PDG croco qui a confirmé que le retour de Bationo à Parme, qui le prêtait, était effectif depuis mercredi dernier. Nîmes veut pareillement mettre fin aux prêts de Mendy (Nice devrait finalement le prêter à Strasbourg) et Tchoutou (AS Roma). Sachant que pour Bationo et Tchoutou, il s'agit de prêt gratuit, les économies (peut-être) réalisées au final seront minimes.


PROGRAMME Ce mercredi, à partir de 9 h 30, les Crocos poursuivront leur travail de capacité aérobie (trois blocs de dix minutes) et travailleront leur organisation défensive. Au repos jeudi, ils se retrouveront vendredi à 10 heures et samedi à 9 h 30 pour peaufiner l'animation offensive.
CISSOKHO Victime en novembre d'une fracture du métatarse, Cissokho a fait du vélo lundi. "Il reprendra la course à la mi-janvier, annonce Pasqualetti. Il faudra le feu vert du staff médical mais pour l'instant, tout se passe comme prévu."
LOCATION Pour Monaco, qui viendra jouer dimanche à 14h15 aux Costières en coupe de France, pas loin de 4 000 billets ont déjà été vendus. La location se poursuit. Tarifs : 10 € et 8 € (8 € et 6 € pour les abonnés), 2 € en pesage.

Nîmes - Monaco : Difficile pour le NO
Le Nîmes Olympique accueille l’AS Monaco ce week-end dans le cadre des 32èmes de finale de Coupe de France (dimanche, 14h15). Présentation.


Formalité pour Monaco ?

Une qualification en Ligue des champions, une élimination en Coupe de la Ligue… Monaco réalise une saison en demi-teinte. Alors qu’ils avaient mal débuté en Championnat, les Monégasques se sont repris et pointent actuellement à la cinquième place du classement. Leur entrée dans cette compétition face à une équipe de Ligue 2 va leur permettre de confirmer leur supériorité et de poursuivre leur série de six succès toutes compétitions confondues.

Le NO peut surprendre ?


L’an dernier, le NO s’était incliné en septième tour de Coupe de France contre Dijon et a réussi cette fois-ci à atteindre les 32èmes.
Le 16 novembre, contre Auch Football, les hommes de José Pasqualetti avaient peiné à s’imposer et ont dû jouer les prolongations pour inscrire deux buts. Lors du huitième tour, c’est Marseille Endoume qui a mis les Crocodiles en difficulté avant que ces derniers ne l’emportent deux buts à un. Affronter une formation de Ligue 1 ne sera pas une mince affaire, d’autant plus qu’en Championnat, les Nîmois ont perdu leurs deux derniers matches.

Nîmes : Un autre match dans le viseur de la justice

L'affaire des matchs suspects autour du Nîmes Olympique vient de s'enrichir d'une nouvelle rencontre révèle ce matin le journal Le Parisien. C'est un septième match qui est désormais dans le collimateur de la justice. Un joueur istréen aurait ainsi fait l'objet d'une requête pour lever le pied contre un contrat l'année suivante à Nîmes. Cyril Jeunechamp avait refusé l'offre et en a fait part à ses dirigeants. Ces derniers ont décidé de confier leur témoignage à la justice lors de la révélation de l'affaire.

CA Bastia - Nîmes (0-0), Dijon - Nîmes (5-1), Nîmes - Brest (1-1), Nîmes - Laval (2-1), Caen - Nîmes (1-1), Créteil - Nîmes (1-1) sont les matchs surveillés par la justice.

Le 04/01/2015 à 17:24:00 | Mis à jour le 04/01/2015 à 21:40:43
FOOT
[size=40]COUPEMONACOJardim : «Une bonne attitude»
Les Monégasques étaient satisfaits de leur prestation après leur qualification pour les 16es de finale de la Coupe de France, ce dimanche à Nîmes (0-2). Ce qui leur permet de «continuer (leur) bonne série».

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Leonardo Jardim (Entraîneur de Monaco) : « C’est une septième victoire d’affilée, on continue la bonne série. C’était un match difficile vu l’intensité et la qualité de l’adversaire et vu le terrain qui n’était pas bon. En plus c’était la reprise et les joueurs n’étaient pas à 100%. On a été solidaires et collectifs avec une bonne attitude. On a évité le piège de la Coupe. On a peut-être cadré que quatre tirs mais on a marqué deux buts.»

Jérémy Toulalan (Milieu et capitaine de Monaco) : «Ça n’a pas été un grand match et il n’y a pas grand chose à en retenir. On est dans une bonne dynamique et on la poursuit. C’est bien pour la confiance même si on sait que ça va s’arrêter un jour. On reste ne course dans quatre compétitions et ce n’est pas un problème. Quand on sera fatigués et bien on sera fatigués, le pronciapl c’est de se qualifier. On n’a pas été extra mais on a été sérieux et on a respecté Nîmes.»

Layvin Kurzawa (Défenseur de Monaco) : « J’ai enfin rejoué mais j’étais KO à la fin du match. C’est bien la preuve que je ne suis pas à 100%, je n’ai repris que le 28 décembre. Quinze minutes et j’étais mort. Je ne savais pas si j’allais entrer ou pas mais je suis content. La passe décisive ? je sais que valère aime le ballon entre deux joueurs. Avec le terrain ce n’était pas un match facile. Ils ont frappé quelque fois mais notre gardien était là. »

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Foot - Coupe - 32es Monaco, Metz et Guingamp OK

Tiémoué Bakayoko (Milieu de Monaco) : « On a eu un peu de mal en début de match et puis après on a déroulé. On doit encore progresser dans la finition mais tout va bien en ce moment pour nous. On se sent bien. »



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«J'avais demandé de l'audace, du culot, du plaisir, mais c'est comme ça.» (José Pasqualetti)

[size]José Pasqualetti (Entraîneur de Nîmes) : «Il y a un peu de déception mais ils ont des joueurs de grand talent. Mettre plus de folie ? Il faut avoir le ballon pour mettre de la folie et ils n’ont pas pris de buts depuis 107 ans… J’avais demandé de l’audace, du culot, du plaisir, mais c’est comme ça, on a joué avec nos qualités et nos défauts, surtout nos. On n’a pas eu une tonne d’occasions, mais c’est dur de prendre le ballon dans les pieds de cette équipe. L’affaire des matches truqués ? On n’en parle pas entre nous. On se concentre sur le terrain et je n’ai jamais eu le moindre problème d’état d’esprit avec cette équipe. »







Anthony Briançon (Milieu de Nîmes) : «On a fait ce qu’on a pu avec nos moyens. Contre Monaco, ça va plus vite dans les trente derniers mètres. Et défensivement, c’est costaud. On y a cru jusqu’au bout, on a quelques occasions mais on est tombé sur un bon gardien. Contre un gardien plus petit ça aurait été possible, mais lui c’est une montagne. C’est normal qu’on ait baissé de rythme en seconde période. Ce match peut nous servir pour la suite. On a montré de bonnes choses.»

R. Te., à Nîmes
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Football / Nîmes : et maintenant, tout pour le maintien !

 il y a 19 heures  0 ÉRIC DELANZY


Football / Nîmes : et maintenant, tout pour le maintien ! 
 Mendy et les Nîmois n'ont plus que le championnat à jouer et un maintien à aller chercher.
NASSIRA BELMEKKI






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E
liminés de la coupe de France, dimanche par Monaco (0-2), les Gardois vont se consacrer exclusivement au championnat de Ligue 2 où ils restent sur quatre matches sans victoire. Prochain rendez-vous, vendredi à Ajaccio.


Ainsi va la Coupe de France. Aux tours précédents, les Nîmois avaient fait une haie d'honneur pour saluer leurs adversaires vaincus, Auch et Endoume. Cette fois, ce sont les Crocos qui sont sortis au milieu des Monégasques, logiquement victorieux aux Costières (0-2).







"Si on ne fait que des matches comme ça, on n'aura pas de problèmes pour se maintenir"

Et sous les applaudissements de leurs supporteurs, qui sont allés droit au cœur des joueurs. "On voulait leur rendre hommage, on y tenait, explique Marin, qui enchaîne les titularisations (désormais sept) sans décevoir. Comme nous l'a dit le président après le match, on peut se regarder devant une glace. Je crois que si on ne fait que des matches comme ça, on n'aura pas de problèmes pour se maintenir…"

C'est également ce que leur a dit leur capitaine, Maoulida : "On va garder beaucoup de bonnes choses de cette rencontre. On n'a pas été ridicule. Si en Ligue 2 on met tout le temps cet état d'esprit et cette gnaque, on ne gagnera pas tous les matches mais on n'en perdra pas beaucoup."






Des sanctions en toile de fond

Nous sommes début janvier et Nîmes Olympique n'a plus que le maintien à jouer. Avec en toile de fond l'instruction et la probable sanction de la commission de discipline de la LFP (Ligue de football professionnel) concernant les matches présumés arrangés. Elle tombera vraisemblablement au printemps. D'ici là, "on va faire notre job et on va aller chercher les points nécessaires. Dans la difficulté, je ne suis peut-être pas le meilleur mais je ne suis pas le plus mauvais", annonce José Pasqualetti.

Des choses positives

L'entraîneur compte bien s'appuyer sur les choses positives entrevues contre Monaco. "Ce match doit nous servir, non pas de base de travail parce qu'on n'a jamais arrêté de travailler, mais de prise de conscience dans la simplicité et la justesse qu'il faut mettre dans le jeu. Je ne vais pas dire que je suis rassuré mais disons que je suis un peu plus confiant pour la suite."

Par la défense, d'abord. On aurait pu s'attendre à ce qu'elle soit mise plus en difficulté par le 5e de L1. "Il y a du mieux dans l'assise, estime Marin. On est mieux coordonné derrière." Le trio de récupérateurs Briançon-Parpeix-Hsissane (les deux derniers avaient déjà surnagé contre Orléans) semble avoir donné satisfaction au coach. Tout comme son défenseur central : "C'est le stéréotype du joueur vaillant. J'aimerais que la majorité de mes gars dégage la même chose jusqu'à la fin de la saison", reconnaît Pasqualetti.

Mendy et Tchoutou : du retour de prêt au retour en grâce ?

Il a bien aimé aussi ses remplaçants Azouni, Mendy et Tchoutou : "Je suis content d'eux. Ils ont peut-être compris le message. Tout le monde doit s'impliquer et pas que les seize sur la feuille de match." L'entrée des deux derniers, quasiment pas utilisés depuis leur arrivée en prêt de Nice et de la Roma, aurait presque surpris, un retour dans leur club ayant même été évoqué ces dernières semaines.

Pour Mendy, en tout cas, ce n'est plus à l'ordre du jour. L'attaquant et le coach se sont parlés. Sollicité notamment par Strasbourg (National), Mendy reste à Nîmes. "Avec la rentrée des jeunes contre Monaco et les retours de Cissokho et Omrani, il y a matière à être un peu plus optimiste qu'il y a deux mois", conclut le technicien. Les Crocos n'ont jamais été relégables cette saison. À eux de faire en sorte de ne pas le devenir.

Source : AC Ajaccio - Nîmes : Le direct et les groupes

Tous deux éliminés de la Coupe de France le week-end dernier, l'AC Ajaccio et Nîmes, qui s'affrontent ce vendredi en Ligue 2, vont pouvoir pleinement se concentrer sur le championnat désormais. Et alors que les Crocos sont directement sous la menace de la zone rouge, les Corses, eux, naviguent un peu entre deux eaux et devront éviter tout relâchement.

Du côté des forces en présence, Sissoko (déchirure), Abergel (pied), Zubar (reprise), Leca, Deville, Remiti, Quintillà et Baradji (choix) manquent à l'appel côté ajaccien. Même chose pour Cissokho, Elie (soins), Kasparian, Renaut, Valls, Kovacevic, Bobichon, Omrani, Depres et Tchoutou (choix) côté gardois.

Un match à suivre à partir de 20h00.

AC Ajaccio : Babiloni, Begeorgi, Cavalli, Coulibaly, Diop, Fauvergue, Gonçalves, Kanté, Lesoimier, Madri, Marester, Oliech, Pedretti, Perozo, Scribe, Sollacaro.

Nîmes : Michel, Gallon - Sartre, Barrillon, Harek, Marin, Cordoval, Robail, Briançon, Azouni, Parpeix, Hsissane, Lacourt, Maoulida, Mendy, Koura, Nouri

[size=35]Football / Nîmes : la belle opération de Nîmes à Ajaccio (1-0)
 il y a 1 jour  1 MIDI LIBRE
 Marin et les Nîmois s'imposent enfin à l'extérieur !
PQR / NICE MATIN


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[size=20][size=62]Les Crocos, en manque de résultat à l'extérieur, se sont imposés ce vendredi soir à l'AC Ajaccio (1-0) sur un but de Nouri, lors de la 19e journée de Ligue 2. Trois points qui vont faire du bien sur le chemin du maintien ![/size]

Grâce à ce succès, le deuxième cette saison à l'extérieur, les Nîmois remontent provisoirement à la 14e place du championnat. Le but a été inscrit par Nouri peu après la reprise (48e).


Lors de la prochaine journée, les Nîmois recevront Valenciennes pour essayer de confirmer ce succès, le premier loin de leur base depuis mi octobre, à Tours (2-1).

[size=20]La fiche technique

AC AJACCIO - NÎMES.......................................................................... 0-1
Stade François Coty. Mi-temps : 0-0.
Temps : frais. Terrain : bon.
Spectateurs : 1 400.
Arbitre : Floris Aubin.
 But : Nouri (48e). 
Avertissements à l'AC Ajaccio : Fauvergue (54e), Cavalli (65e).
AC AJACCIO : Scribe - Marester, Coulibaly (Perozo 46), Kanté, Babiloni - Diop (Madri 56), Pedretti, Cavalli (cap.), Lesoimier - Oliech, Fauvergue.
NÎMES : Michel - Cordoval, Marin, Barrillon, Harek - Parpeix, Briançon, Hsissane, Robail (Koura 82) - Maoulida (cap.)(Mendy 86), Nouri.[/size][/size][/size]
[size=10]NÎMES NÎMES OLYMPIQUE FOOTBALL SPORT  il y a[/size]