MARCELO BIELSA COACH A POIGNES

Marcelo Bielsa"L’équipeaperdu ses caractéristiquesL’OM était méconnaissable. Est-ce de la
suffisance, de la fatigue ?
L’équipe a joué le début de chaque mi-temps
et, après, elle a perdu ses caractéristiques. Je
n’aime pas donner des excuses, mais après le
premier but, nous avons perdu de la mobilité.
On a aussi perdu le pressing constant sur
l’adversaire. Pareil après le deuxième but.
❚ Ne trouvez-vous pas qu’il y a eu un excès
de suffisance ?
Les excès auxquels vous vous référez sont
dus au manque de mobilité de l'équipe.
Quand celui qui a le ballon ne trouve pas
de partenaire à qui le donner, soit il dégage
loin, soit il tente des gestes risqués.
❚ Pourquoi avoir pris Andonian et Aloé?
L’explication est simple: j'ai eu à choisir
entre Sparagna et Aloé, j'ai choisi Aloé. Pareil
entre Doria et Andonian, et j’ai choisi
Andonian. En prenant en compte que je
peux me tromper ou avoir raison, je
prends toujours la décision en pensant
que j’ai choisi le joueur le plus en forme.
Recueilli par J.-C.L.

[size=36]om-lens : "on a perdu le pressing" (bielsa)
OM en direct-Région en direct
Lundi 03/11/2014 à 08H31 Marseille[/size]



Voici l'interview de Marcelo Bielsa après la victoire de l'OM sur Lens :

L'OM était méconnaissable. Est-ce de la suffisance, de la fatigue ?
Marcelo Bielsa : L'équipe a joué le début de chaque mi-temps et, après, elle a perdu ses caractéristiques. Je n'aime pas donner des excuses, mais après le premier but, nous avons perdu de la mobilité. On a aussi perdu le pressing constant sur l'adversaire. Pareil après le deuxième but.
Ne trouvez-vous pas qu'il y a eu un excès de suffisance ?
M.B. : Les excès auxquels vous vous référez sont dus au manque de mobilité de l'équipe. Quand celui qui a le ballon ne trouve pas de partenaire à qui le donner, soit il dégage loin, soit il tente des gestes risqués.
Pourquoi avoir pris Andonian et Aloé ?
M.B. : L'explication est simple : j'ai eu à choisir entre Sparagna et Aloé, j'ai choisi Aloé. Pareil entre Doria et Andonian, et j'ai choisi Andonian. En prenant en compte que je peux me tromper ou avoir raison, je prends toujours la décision en pensant que j'ai choisi le joueur le plus en forme.

[size=36]vidéo-om : bielsa et sa glacière sur un t-shirt
Sports en direct-OM en direct-Région en direct
Mercredi 05/11/2014 à 19H47 Aix-en-Provence[/size]
http://www.laprovence.com/actu/sports-en-direct/3116146/video-om-marcelo-bielsa-et-sa-glaciere-sur-un-t-shirt.html


Marcelo Bielsa, nouvelle star du textile. Triangles, une entreprise locale, surfe sur la notoriété de l'entraîneur de l'OM.
Elle a créé Un T-shirt à l'effigie d'El loco, assis sur sa célèbre glacière. Un pari audacieux dont le succès est au rendez-vous à quelques jours du Clasico

[size=36]vidéo-om : bielsa prête sa glacière à mendy
OM en direct-Région en direct
Mercredi 05/11/2014 à 15H17 Marseille[/size]

https://www.dailymotion.com/video/x29dgv4_quand-mendy-chipe-la-glaciere-de-bielsa_sport#from=embediframe

Depuis le début de saison, Marcelo Bielsa ne s'assoit pas sur le banc mais sur sa glacière pour suivre les matches. Cet objet qui a fait couler beaucoup d'encre, notamment après l'épisode du café chaud, est devenu un symbole lié à l'OM et à l'Argentin.
Ce matin, lors de l'entraînement, le site officiel du clubmontre dans une vidéo que Benjamin Mendy a eu le privilège de s'asseoir sur le "siège" d' El Loco.

-OM : pour Blanc, Marseille est avantagée
OM en direct - Région en direct
Jeudi 06/11/2014 à 11H00 Marseille





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Mercredi soir, après la victoire et la qualification pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions du PSG, Laurent Blanc est revenu sur le fait que l'OM avait un avantage de taille dans le clasico puisque les Olympiens ne jouent pas de coupe d'Europe cette saison :
"La préparation idéale pour préparer un clasico est-ce de jouer un mercredi soir ? Je n’en sais rien. On fait avec. Je pense de gagner, c’est beaucoup mieux que de faire un nul ou de perdre. Il faudra bien récupérer et bien se préparer. L’OM va venir avec des ambitions mais nous aussi on sera très ambitieux sur ce match-là. Depuis le début de la saison, on a dit qu’on a perdu des points et c’est la vérité."

"Je pense que d’avoir disputé la Ligue des Champions ne nous a pas permis de prendre autant de points que l’on méritait. L’OM n’a pas ce problème-là puisqu’ils n’ont qu’à penser au championnat. C’est quand même un avantage pour Marseille de ne préparer que le championnat en termes de récupération et de blessés, puisque plus vous jouez de matches, plus vous avez des chances d’avoir des joueurs blessés."
Le PSG a désormais les yeux rivés vers un nouvel objectif de taille, venir à bout d'un Marseille, emmené par un André-Pierre Gignac leader du classement des buteurs de Ligue 1 et dirigé par un Marcelo Bielsa, qui a révolutionné le jeu collectif de l'OM.

"Marcelo a prouvé que ses
choix étaient souvent
judicieux, donc il l’alignera
quand il le jugera prêt" POUR DORIA
VINCENT LABRUNE

[size=36]PSG-Blanc: "Bielsa ? Pas mon contraire"[/size]

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A 24 heures du Clasico face à l'Olympique de Marseille, match au sommet de la 13e journée de Ligue 1, Laurent Blanc se confie ce samedi dans les colonnes de L'Equipe Magazine. L'entraîneur parisien assure, en dépit des différences tactiques qui les opposent, que Marcelo Bielsa, l'homme fort du club marseillais, n'est pas son opposé. "Mais pourquoi mon contraire ? On n'est pas différent puisqu'on fait le même métier ! Dans sa recherche d'efficacité, chaque entraîneur choisit sa forme d'expression, explique l'ancien stoppeur. "Certains d'entre eux obtiennent des résultats diaboliques avec d'autres méthodes que les miennes, poursuit-il. Où est la vérité ? En tout cas, la dramatisation de ce PSG-OM, même à travers la personnalité des entraîneurs, je la laisse à d'autres. Ils vont très bien s'en charger."

Marcelo Bielsa "Perdre le clasico, ça fait mal"
Quelle est votre analyse ?
Le résultat me paraît justifié. Nous avons
fait la différence en première mi-temps et
l’avantage aurait dû être en notre faveur.
La deuxième période a été plus équilibrée.
Mais sans clarté de notre part pour attaquer,
on a perdu la capacitéàmieux jouer
que notre adversaire. Perdre le clasico, ça
fait mal.
❚ Cet échec vous fait-il penser à Lyon ?
C’est évident. On a perdu contre Lyon et
Paris. Il ne s’agit pas de penser, c’est un
fait. Le match contre l’OL fut meilleur que
celui d’aujourd’hui.
❚ Les trois premiers se tiennent en 3
points. Comment voyez-vous ce rapprochement?
Il manque encore six matches pour que la
première moitié du championnat soit terminée.
Il est nécessaire d’engrangerànouveau
des résultats positifs pour justifier la
position qui est la nôtre à l’heure actuelle.
La distance avec les autres s’est réduite

[size=40]Bielsa patient pour le mercato
Le mercato hivernal, Doria, l'entente Gignac-Batshuayi ont été au programme de la conférence de presse de l'entraîneur marseillais Marcelo Bielsa ce vendredi.

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Marcelo Bielsa n'a pas été satisfait de l'association Michy-Gignac dimanche contre le PSG. (L'Equipe)

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Le mercato hivernal : «attendre la position du club»

Selon le technicien argentin, il n'est pas encore temps de se pencher sur le sujet. En tout cas, pas temps pour lui : «On verra s'il y a des possibilités cet hiver pour le mercato. Mais il y a un ordre que je respecte. Je dois parler avec le président. Je ne peux pas parler de mes besoins tant que le club ne me dit pas s’il est prêt à augmenter l’effectif de l’équipe. Si c’est le cas, je donnerai mon opinion, mais il ne serait pas convenable qu’en ce moment je me manifeste en ce sens. L’ordre des choses est d’attendre la position du club sur ce dossier, et je dois le respecter. Il est naturel que le club ne se soit pas encore manifesté. Parce qu’on ne sait pas où va se jouer la CAN et combien de joueurs vont y participer. Une fois que ces données seront connues, le club évaluera l’effectif disponible et donnera sa position. C’est le cheminement naturel.»

Doria : «Il a le niveau»

Les semaines se suivent et se ressemblent quand arrive sur le tapis la sempiternelle question sur le cas Doria, le défenseur central brésilien qui évolue avec l'équipe-réserve. «Les opinions sur les joueurs, je ne les fais que quand c’est nécessaire, et là cela ne l’est pas. Il a le niveau pour espérer être titulaire, de la même manière que Fanni, Nkoulou et Morel, et Aloe, Andonian et Sparagna. Pour les postes de central gauche, j’ai choisi jusqu’à présent Morel et Nkoulou. Et pour le poste de central droit, j’ai choisi Fanni et Nkoulou. Et pour les remplaçants, j’ai choisi, Sparagna, Aloe, Doria et Andonian.»

L'entente Batshuayi - Gignac : «pas satisfaisante»

Le parti pris offensif de tenter l'association Batshuayi-Gignac contre Paris dimanche (0-2), à la 66e minute de jeu, n'a guère eu les effets attendus par l'entraîneur marseillais : «Gignac a joué à droite et Michy au centre, puis Gignac a joué derrière Michy, aucune des deux options n’a été satisfaisante, mais cela n’a rien à voir avec leur entente mais plus avec les circonstances du match. C’est mon travail de faire en sorte qu’ils trouvent l’harmonie

VU DE BARCELONE
"Il ne nous regardait
pas nonplus
dans les yeuxArrivé durant l’été 1998 à l’Espanyol Barcelone,
qui lui offrait sa première expérience sur le continent
européen, Marcelo Bielsa n’a pas marqué de
son empreinte le club catalan. Enfin si, mais à sa
manière. Juan Carlos Gracia, journaliste du quotidien
barcelonais "Sport", qualifie son passage "de
bizarre, unique même, qu’on ne peut comparer
avec rien d’autre dans l’histoire du club". La faute à
un départ précipité pour la sélection argentine.
Notre confrère se souvient d’un entraîneur "très
fort, notamment tactiquement. Avec lui, dès la préparation,
l’équipe avait évolué vers des préceptes
plus offensifs." Tomas Andreu, également journaliste,
rappelle même une victoire contre la Juventus
Turin en match amical "qui avait soulevé un
vent d’espoir chez les suiveurs de l’Espanyol".
Néanmoins, en compétition, le club blanquiazul
n’a pas tenu ses promesses. Et Marcelo Bielsa,
contacté par la sélection argentine, a été contraint
de quitter son poste. "Ça n’a pas été vécu comme
une trahison, ni un manque de respect. Ce n’était
pas n’importe quelle sélection, mais celle de son
pays", insiste Tomas Andreu. Les mauvais résultats
du début de saison n’avaient fait qu’accélérer
son départ acté pour la fin de l’année 1998.
"On ne peut pas le juger,
il aurait peut-être triomphé"
Du coup, le bilan de Bielsa à l’Espanyol est difficile
à établir. "On ne peut pas le juger sur une si
courte période. Il aurait peut-être triomphé. Parmi
les bonnes choses, on retient ses méthodes
d’entraînement révolutionnaires avec des ateliers
sur tous les terrains et des lignes tracées partout, raconte
Juan Carlos Gracia. En revanche, on peut critiquer
sa façon de considérer les jeunes. Il y avait de
très bons espoirs, mais il ne comptait pas sur eux.
L’exemple, c’est Raul Tamudo qui avait fini par
être prêté avant de devenir le meilleur buteur de
l’histoire du club!"
Si Bielsa n’a pas eu le temps d’être adulé commeàMarseille,
sa communication n’était pas encore
réduite à saplus simple expression. Ses conférences
ne se limitaient pas à des banalités, mais
surtout il entretenait une relation avec les journalistes
qui pouvaient lui parler en dehors des rendez-
vous organisés. Autre temps, autres moeurs...
"Mais Bielsa ne nous regardait pas dans les yeux
non plus", sourit Juan Carlos Gracia.

[size=36]kombouaré : "le patron à l'om, c'est bielsa"
Sports en direct-OM en direct-Région en direct
Jeudi 13/11/2014 à 16H24 Marseille[/size]





Invité de Luis Attaque sur RMC, l'entraîneur du RC Lens, Antoine Kombouaré, qui a déjà rencontré l'OM en Ligue 1 cette saison (victoire 2-1 des Olympiens), s'est exprimé sur Marcelo Bielsa :
"Bielsa, il est arrivé et s’est installé en patron à travers son attitude et son discours. Je n’ai jamais vu un entraîneur arriver, donner une interview et fracasser son président. Lui, il se positionne ! A partir de là, les joueurs voient qu’il est étranger et qu’il vient dans le club pour s’imposer en tant que patron. Il n’y a plus de relation entre les joueurs et le président, mais entre les joueurs et l’entraîneur qui est le boss, qui dirige tout."
"Les joueurs savent que s’ils n’écoutent pas l’entraîneur, ils ne joueront pas. Bien sûr, je crois que c’est possible pour un entraîneur français. Je crois que c’est ce que je fais un peu à Lens. Je fais en sorte que le seul patron sportif, ce soit moi. J’ai dit à Gervais Martel qu’il fallait éviter d’être proche des joueurs, sinon c’est un souci pour l’entraîneur que je suis. Mes joueurs savent que je les allume un peu mais je prends l’exemple de Gignac. Aujourd’hui, il fait 13km par match, ce qu’il n’avait jamais fait avant." 

[size=30]CVITANICH : "BIELSA? UN MEC PARTICULIER"[/size]
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(*) "Je ne peux pas donner mon opinion car j’ignore les procédés
judiciaires du pays. (...) Je n’ai pas d’intérêt à savoir ce qui s’est passé.
(...) Je ne suis jamais en contacts avec les agents. Je ne les qualifie pas,
ni eux ni leur utilité. Simplement, je n’utilise pas leurs services."