MARCELO BIELSA COACH A POIGNES

[size=40]Courbis : «Bielsa, c'est Dieu»

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Courbis ne comprend pas pourquoi Bielsa a agi ainsi. (L'Equipe)

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Interrogé dans Le Parisien / Aujourd'hui en France, Rolland Courbis est revenu sur les attaques de son confrère Marcelo Bielsa envers les dirigeants de l'OM. «Je ne crois pas que ce soit dans l'intérêt de l'OM. (...) Le timing est loufoque. En plus, Bielsa à Marseille en ce moment, c'est Dieu. J'essaye de comprendre pourquoi il a pété un boulon. Il a dû voir PSG-ASSE (5-0) et s'est dit que cela allait être compliqué pour l'OM. Ça a dû l'affoler, avance le technicien de Montpellier. Mais quand on prend "Bielsa le fou", on se prépare à ça. Sinon, on prend "Dupond le Normand" et on est tranquille.»

Certains dirigeants français se mettent à la place de Vincent Labrune. «Sur la forme, c'est impossible à accepter, a déclaré le Lyonnais Jean-Michel Aulas. Traiter ses dirigeants de menteurs, c'est une faute lourde. Ça mérite une sanction grave, mais pas jusqu'au licenciement. Je déciderais d'une mise à pied.» Le président de Nantes, Waldemar Kita, se pose des questions : «Qu'a-t-il déjà réalisé dans sa vie pour donner de telles leçons ? C'est de la malhonneteté intellectuelle. S'il continue ainsi, Bielsa n'ira pas loin.»

[size=32]Clash à l'OM : "Bielsa a dû s'affoler" (Courbis)[/size]

MARSEILLE / PUBLIÉ LE MARDI 09/09/2014 À 10H37



La charge de Marcelo Bielsa à l'encontre de Vincent Labrune n'a pas fini de faire parler. Après l'avis d'anciens présidents olympiens :  Christophe Bouchet etBernard Tapie, celui de personnes extérieures au club, c'est au tour d'un ex-entraîneur de l'OM de livrer sa vision des choses. Pour Roland Courbis (1997-1999), "le timing est loufoque" explique-t-il dans Le Parisien de ce mardi. 
L'actuel entraîneur de Montpellier reconnaît ne pas comprendre cette sortie, d'autant que "Bielsa à Marseille en ce moment, c'est Dieu", mais il tente tout de même une explication : "Il a dû voir PSG-ASSE (5-0) et s'est dit que cela allait être compliqué pour l'OM. Ça a dû l'affoler".

Un rendez-vous vraiment fixé ?

Aujourd’hui, l’Olympique de Marseille

est dans une impasse. Vincent Labrune

ne peut se séparer de l’Argentin

(et de son staff). D’abord parce que cela

coûterait trop cher, ensuite parce que le

Sud-Américain jouit d’une cote de popularité

particulièrement élevée auprès du

public (voir notre vote ci-contre). Mais

peut-il même le sanctionner? Ce serait

prendre le risque de voir l’imprévisible

coach claquer la porte et laisser un

champ de ruines derrière lui.

La dernière solution consiste à annoncer

un rendez-vous, le lundi15 septembre,

au lendemain du match à Annecy

face à Évian TG. VLB a choisi cette option-

là. Mais cette réunion est-elle réellement

fixée? La question demeure. Difficile

en effet d’imaginer ces deux hommes

que tout oppose désormais assis face-

à-face dans un même bureau.

En temporisant, l’homme qui murmurait

à l’oreille des journalistes espère

voir le soufflé retomber. Quitte à laisser

pourrir la situation et symboliser, une

fois de plus (celle de trop ?), l’OM de la

discorde.

NORMAL
ON SE FOUT DE SA GUEULE

[size=32]OM : Bielsa aurait menacé de claquer la porte[/size]

MARSEILLE / PUBLIÉ LE MERCREDI 10/09/2014 À 15H40



On le sait, Marcelo Bielsa a le sang chaud. Comme il l'a indiqué en conférence de presse jeudi dernier, le coach olympien a appris le départ de Lucas Mendes le jour-même où il était en vol pour le Qatar. Le transfert de ce dernier, remplacé par le jeune Doria sans son avis selon ses dires, l'aurait plongé dans une colère noire. Selon France Football, "El Loco" aurait même menacé de quitter le club. 


LaProvence.com

allec6

Issue d'une formule mathématique top secrète, la réputation a pour objectif de vous permettre de distinguer rapidement les contributeurs actifs et pertinents.Issue d'une formule mathématique top secrète, la réputation a pour objectif de vous permettre de distinguer rapidement les contributeurs actifs et pertinents.Issue d'une formule mathématique top secrète, la réputation a pour objectif de vous permettre de distinguer rapidement les contributeurs actifs et pertinents.Issue d'une formule mathématique top secrète, la réputation a pour objectif de vous permettre de distinguer rapidement les contributeurs actifs et pertinents.Issue d'une formule mathématique top secrète, la réputation a pour objectif de vous permettre de distinguer rapidement les contributeurs actifs et pertinents.
Bielsa se moque du monde, Mendes est parti parce que Bielsa ne le faisait pas jouer et qu'il etait son 3è choix defense centrale. Moi je ne crois que ce que je vois: Sous bielsa Morel joue en defense centrale et Mendes a du partir pour trouver du temps de jeu. Pour garder un joueur il suffit de le faire jouer au lieu de faire des conference de presse.

RépondreRecommanderAlerter
10/09/2014 21:51

carlosbasile

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dur a comprendre la politique du club!!!!
curieux de voir qm se doria!!!!
on verra si labrune sest trompe ou pas!!!
mais je trouve qm que nous avons une belle petite equipe qui demande qua murrir avec peut etre encore 2 bons elements!! allez l"o

Qu'on dégage Labrune et que Bielsa devienne manager général comme en angleterre et qu'on nous foutes la paix avec tout ces cancans...
Et au pire au fout Foucault comme président pour bonne figure! "c'est votre dernier mot".

RépondreRecommanderAlerter
10/09/2014 19:23

cirio13

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non mais c est bon maintenant laissons le bosser,on connait le personnage et si il part cela ne changera rien a notre vie,moi le plus important c est mes impôts qui explose et le pouvoir d achat,eux ne connaissent pas cette galère.

<a href="/users/om-a-jamais" title="Voir le profil de l'utilisateur.">OM à jamais</a>
OM à jamais

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L'insistance et la persévérance de VLB pour engager Bielsa auraient dû le conduire à poursuivre sa logique en lui apportant le maximum de ce qu'il demandait...
Il l'a fait pour les infrastructures et les équipements à la Commanderie, mais il l'a négligé pour ce qui est du recrutement, faute d'un réseau suffisant et de moyens financiers permettant de le réaliser.
Il a quelque peu oeuvré en se prenant pour ce qu'il n'est pas, un connaisseur en terme de football, aveuglé par le fait d'être seul pour orienter les recherches, négocier et décider !
Or, il n'en a tout simplement pas la capacité par manque de culture foot, et a sans doute cru que ses potes du milieu pourraient être de bons conseils, en oubliant qu'ils sont aussi ses concurrents...
Alors certes, parmi les 12 noms de Bielsa, tous ne seraient pas venus, ce qui n'était d'ailleurs pas non plus le but, mais la cible prioritaire au regard de ce qu'était l'effectif existant résidait dans l'absolue nécessité de recruter au moins un défenseur axial, surtout que le projet de jeu de Bielsa l'impose.
Il ne fallait donc pas se séparer de Mendes, qui a toujours donné satisfaction, était jeune et encore perfectible, ne surtout pas mettre Fanni dans le loft, car il est polyvalent dans l'axe et sur le côté, et recruter un autre central, pourquoi pas Doria qui peut incarner l'avenir en matière de performance comme d'un point de vue financier.
Car si le système Bielsa est plaisant en matière de jeu vers l'avant et audacieux, il est aussi énergivore pour ce qui est des organismes des joueurs, d'où l'obligation d'avoir du monde

Lundi, pour son retour aux affaires
après quelques jours de vacances,
Vincent Labrune va devoir
s’atteler à un dossier qu’il
n’aurait pas imaginévoir surgir
aussi tôt: Marcelo Bielsa.
En misant sur l’idole de
Newell’s pour endosser son
projet sportif, le président
de l’OM savait pourtant
q u ’ i l s ’ e x p o s a it à
l’imprévisible. L’Argentin
ne l’a pas déçu, ruant
dans les brancards au
gré d’un mercato qu’il
n’a que moyennement
apprécié. Jusqu’à accuser
son employeur de
malhonnêteté intellectuelle...
Les relations entre les
deux hommes n’ont jamais
été au beau fixe. En
plein coeur de l’été, bien
avant les premières saillies médiatiques
d’El Loco, certaines voix laissaient
présager d’un avenir proche
chaotique. "Labrune et Bielsa ne se
parlent plus depuis trois semaines",
assurait un habitué de La Commanderie,
alors que l’idylle semblait battre
son plein. Désormais, le dialogue
va devoir être renoué. Et Labrune va
impérativement avoir besoin de ses
talents de communicant pour préserver
les apparences d’un côté, et la
confiance (bien entamée) de son
coach de l’autre. Un exercice
d’équilibriste indispensable à sa pérennité
à la tête du club.
Ne rien faire et laisser couler, comme
lui auraient suggéré certaines
voix, saperait définitivement son
autorité et son crédit de patron du
club. Mais sanctionner son entraîneur
pourrait s’avérer bien plus périlleux
et lourd de conséquences.
Depuis sa prise de fonctionà la tête
de l’OM, le 25 juin, Bielsa a déjà plusieurs
fois brandi en interne lamenace
d’une démission, pour des motifs
bien plus dérisoires. Aujourd’hui,
l ’ a nc i e n s é l e c t i onneur de
l’Albiceleste, dont l’arrivée a suscité
un vent d’enthousiasme chez les supporters,
se sait en position de force.
Et s’estime de surcroît dans son bon
droit. Quel impact aurait sur lui une
sanction, alors que son nom est érigé
en exemple aux quatre coins dumonde?
Un départ précipité s’avérerait catastrophique
pour l’OM. Au-delà de
laisser un secteur sportif en friche -
Bielsa est arrivé à Marseille avec une
armée d’adjoints -, il soulèverait un
vent de révolte dans les travées dustade
Vélodrome oùBielsa est considéré
comme le Messie. Une tempête que
Labrune aurait bien du mal à traverser

[size=32]OM : Bielsa voulait parler "à coups de poing" avec son traducteur[/size]

MARSEILLE / PUBLIÉ LE JEUDI 11/09/2014 À 13H40


Marcelo Bielsa se passe pour l'instant des services de son traducteur attitré...
PHOTO JÉRÔME REY


Fabrice Olszewski. Vous ne savez pas quelle tête mettre sur ce nom. Et pourtant, il aurait dû être connu par tous les supporters de l'OM. C'est tout simplement un membre du staff de Marcelo Bielsa, recruté pour être le traducteur officiel du coach argentin. Mais lors des conférences de presse, tout le monde a pu constater que Fabrice Olszewski était absent. Franck Passi, un jeune homme etmême une fois un directeur de supermarché ont assuré la traduction entre "El Loco" et la presse française.
Il y aurait une raion à ce turnover des traducteurs. Selon Le Point, Marcelo Bielsa ne s'entendrait plus vraiment avec Fabrice Olszewski. Pire, il l'aurait même menacé d'en venir aux mains. "On va parler à coups de poing" aurait, selon le site de l'hebdomadaire, proposé Bielsa à son traducteur. La querelle entre les deux hommes aurait commencé peu de temps avant le premier match de championnat à Bastia. "El Loco" aurait reproché la mauvaise traduction de ses consignes lors des entraînements.
Depuis, Marcelo Bielsa se passe des services de son traducteur qui erre, selon Le Point, dans les couloirs du centre Robert Louis-Dreyfus. 


LaProvence.com

[size=36]OM: Labrune ne veut pas sanctionner Bielsa[/size]


voir la photo






Encore en vacances en Sicile, Vincent Labrune ne fera pas de vagues lors de son retour à Marseille, notamment lors d'un entretien fixé lundi prochain avec Marcelo Bielsa. Le président de l'OM n'a pas prévu de sanctionner l'entraîneur, qui a grandement critiqué sa direction lors d'une conférence de presse il y a une semaine. Selon RMC, le bras droit de Margarita Louis-Dreyfus "veut la jouer cool, rencontrer d'abord tranquillement son entraîneur et dédramatiser la situation". D'autant qu'El Loco a menacé d'en venir aux mains avec son traducteur et se tient donc prêt à s'expliquer de manière violente avec son responsable hiérarchique au lendemain de la rencontre contre Evian TG, dimanche soir. Muet dans les médias depuis le début de la présaison, Labrune rappelle en privé que c'est "son choix" d'avoir confié les rênes de l'équipe à l'ancien de Bilbao et que cela a été fait "sans ignorer ses qualités, surtout, et ses excès, parfois". Toujours selon la radio, qui cite une personne de l'entourage, "surpris" mais pas "vexé", le président est "prêt à mettre de côté (s)on ego et (s)on amour propre... à partir du moment où l'OM est compétitif".

BIELSA EN FROID AVEC SON INTERPRÈTE?
Le site web du Point a fait état, hier matin, d’un conflit
entre Marcelo Bielsa et l’interprète qu’il a imposé dans
son staff, Fabrice Olszewski. D’après nos confrères, ElLoco,
mécontent du travail de son traducteur, l’aurait congédié
et écarté de toutes fonctions opérationnelles. Pis, il
l’aurait même menacé physiquement. "Nous allons parler,
mais à coups de poing", aurait lancé le technicien argentin
à Olszewski. Ambiance

[size=32]Bielsa : "Non je ne prévois pas de partir même s'il y a sanction"[/size]

MARSEILLE / PUBLIÉ LE VENDREDI 12/09/2014 À 19H17



Vincent Labrune et Marcelo Bielsa doivent se rencontrer dans la semaine pour évoquer la conférence de presse dans laquelle le coach argentin a vivement critiqué les décisions du Président Labrune. Il s'est voulu rassurant lors de la conférence de presse : "Non je ne prévois pas de partir même s'il y a sanction. Je ferai l'impossible pour réaliser ce que j'ai dit. En ce qui concerne cette sanction, je ne suis pas au courant donc je ne peux pas en parler."

[size=32]OM : "J'ai tout dit à la direction" (Bielsa)[/size]

MARSEILLE / PUBLIÉ LE VENDREDI 12/09/2014 À 16H27



Vincent Labrune et Marcelo Bielsa doivent se rencontrer dans la semaine pour évoquer la conférence de presse dans laquelle le coach argentin a vivement critiqué les décisions du Président Labrune. Il s'est voulu rassurant lors de la conférence de presse : "Non je ne prévois pas de partir même s'il y a sanction. Je ferai l'impossible pour réaliser ce que j'ai dit. En ce qui concerne cette sanction, je ne suis pas au courant donc je ne peux pas en parler."
El loco a ajouté ensuite : "Je n'utilise jamais la presse comme un instrument pour ce que j'ai à dire, sauf pour parler aux supporters" a expliqué Bielsa. Et quand on lui demande s'il a dit tout ce qu'il a déclaré en conférence de presse sur Vincent Labrune la semaine dernière, il a clairement dit "Oui, bien sur !"

OM: Bielsa
persiste et signe

Bielsa, fidèleàlui-même
LIGUE1 L’entraîneur de l’OMamaintenuses critiques enversVincent Labrune. Il assumeet va plus loin

[size=40]Bielsa, «le chèque de confiance»
En dépit d'un début de saison difficile et d'une communication déroutante, Marcelo Bielsa, accueilli à Marseille comme le Messie, bénéficie toujours d'une cote exceptionnelle. Explications avant le déplacement de l'OM à Evian, dimanche (21h00).

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Marcelo Bielsa salue les supporters lors de son arrivée à la Commanderie, le 24 juin dernier. (L'Equipe)

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Ils étaient une centaine de supporters, à l’initiative des South Winners, à avoir guetté ses premiers pas à la Commanderie, le 24 juin dernier. Banderoles, fumigènes, étendards: avant même d’avoir dirigé le moindre match de l’OM, Marcelo Bielsa a été accueilli comme le Messie, celui capable de ramener l’OM vers les sommets du classement, après une saison mouvementée conclue à la sixième place. Deux mois et demi plus tard ? Le début de saison a été laborieux, le mercato a révélé de la friture sur la ligne avec Vincent Labrune, mais la cote de popularité de l’Argentin, elle, est restée intacte : vous avez été 66% (parmi 44746 votants) à estimer qu’il ne devait pas être sanctionné à la suite de ses déclarations à charge à l’encontre de son président qui sont pourtant d'une violence inouie. Pourquoi tant d'indulgence?





«Il faut se souvenir dans quel marasme il est arrivé, souligne Michel Tonini le président des Yankees. Il y a eu le psychodrame avec le départ de Baup, l’arrivée d’Anigo. Il n’y avait plus aucun résultat sportif… Bielsa, il a quand même une renommée mondiale. A défaut de pouvoir se raccrocher au recrutement, on s’est reporté sur l’entraîneur. Le supporter a besoin de lumière. Le seul bling-bling réussi, c’est lui.» Ancien président de l’OM de 2009 à 2011, Jean-Claude Dassier abonde: «Ceux qui aiment le club lui ont fait un chèque de confiance. Les supporters avaient envie de voir une lueur d’espoir dans un ensemble qui n’était quand même pas très encourageant.» Quitte à ériger en "Zorro" un technicien dont ils étaient finalement très peu à connaître le management et le palmarès.

«A part quelques avertis, personne ne connaissait Bielsa à Marseille»

Respectivement partis à West Ham et au Betis Séville durant l’intersaison, Morgan Amalfitano et Foued Kadir ne cachent pas qu’ils ne savaient rien ou pas grand-chose de l'Argentin. «Seulement ce qu’on a lu dans les journaux», souligne Amalfitano. «J’en avais vaguement entendu parler lorsqu’il était à Bilbao…», complète Kadir. «A part quelques avertis, personne ne connaissait Bielsa à Marseille, estime pour sa part Tonini. Je savais qu’il avait été la tête du Chili, peut-être aussi sélectionneur de l’Argentine, mais je n’en étais même pas sûr…» Comment alors expliquer la ferveur suscitée par El Loco ? Il y avait l’espoir de jours meilleurs, bien sûr, mais aussi – et surtout? – une grosse opération de communication menée par Vincent Labrune.



[size]Les détracteurs du président de l'OM estiment que le dirigeant a leurré les supporters, avec la complicité de la presse, en faisant de Bielsa «un d’Artagnan» pour camoufler «une saison mortifère», conclue par une non qualification européenne, une première pour le club depuis 10 ans. «C’est clair que l’opération de communication a été réussie, approuve Dassier. Même si les résultats sont pour l’instant contrastés, je fais confiance à un type fondu de foot, qui ne consacre sa vie qu’à ça. Après, il sera jugé comme tout le monde.» Tonini précise d'ailleurs: «A ce jour, c’est Dieu sur terre. Mais peut-être que demain ça changera et qu’après-demain, il redeviendra le Messie. A Marseille, on aime bien brûler ce qu’on a adoré…» «Faisons lui confiance, conclut Dassier. En sachant que ça sera la dernière planche de salut du club… Si ça ne repart pas avec lui, ça sera compliqué
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Bielsa : «Trop peu pour juger»
Évidemment satisfait de la victoire de Marseille à Annecy, dimanche contre l'Évian-TG (3-1), Marcelo Bielsa a expliqué que «cela ne fait que cinq journées disputées, et c'est trop peu pour juger». «Il n'y a aucune équipe qui domine outrageusement le Championnat», a poursuivi l'entraîneur argentin.

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Marcelo Bielsa (entraîneur de Marseille) : «La victoire a été juste mais la différence de 3-0 était exagérée. Nous aurions dû établir une plus grande supériorité dans le jeu en première période. Nous avons eu du mal à jouer. Après la mi-temps, nous avons été plus prolifiques pour attaquer mais il me semble que la différence de trois buts aurait été beaucoup trop grande au regard du match. Cela ne fait que cinq journées disputées et c'est trop peu pour juger mais il n'y a aucune équipe qui domine outrageusement le Championnat.

Pour ce qui concerne Rod Fanni, il n'a pas commis d'erreur. Nous nous sommes vus vendredi soir avec Vincent Labrune. Je n'ai rien à dire sur cela. De mon point de vue, ce problème est clos. Je n'ai pas vu de conséquence de cela sur le groupe. Je n'ai pas non plus d'informations au sujet d'une éventuelle sanction à mon encontre. Cette réunion entre le président et moi était quelque chose de privé et cela restera privé. Il n'y avait pas de recrue au coup d'envoi ? Non, ce n'était pas un message. C'est un hasard. Je ne m'en étais pas aperçu mais je crois que c'était déjà le cas lors des deux matches précédents.»

André-Pierre Gignac (attaquant de Marseille) : «Je ne sais pas si mon but est le plus rapide du Championnat, mais il nous a mis sur de bons rails. Nous avons livré une première période un peu mitigée car nous n'avons pas su trouver les solutions au milieu. Nous avons beaucoup joué vers l'arrière. En seconde période, nous avons un peu mieux maîtrisé. Nous avons eu la chance de marquer très tôt un deuxième but, juste avant la mi-temps. Cela a facilité les choses. Nous n'en sommes qu'à cinq journées. Nous allons attendre un peu avant de livrer des commentaires sur le classement et la 2e place mais c'est toujours bien d'être en haut. Nous ne sommes pas affectés par les problèmes entre l'entraîneur et le président. Nous ne sentons pas le coach énervé par cette histoire dans le vestiaire ou par cette histoire. Tant que ça gagne ça va mais à Marseille, c'est très fragile.»
 
Jérémy Morel (défenseur de Marseille) : «Nous nous sommes rendus la tâche facile en marquant rapidement. On sait que Paris a concédé le nul ici. Ce n'est pas la 2e place qui est importante mais c'est surtout de venir gagner ici ou de gagner chez nous et de prendre de la confiance pour la suite. Il fallait que nous trouvions nos repères sur le terrain après l'arrivée d'un nouvel entraîneur, mais maintenant cela commence à le faire. Cela se voit sur le terrain.»

Bielsa a déjà vu Labrune
Marcelo Bielsa, qui avait critiqué son président, s'est expliqué avec Vincent Labrune dès vendredi alors qu'une entrevue était prévue ce lundi.

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Après la victoire de son équipe devant Evian-TG (3-1), Marcelo Bielsa a fait savoir qu'il avait rencontré son président Vincent Labrune dès vendredi. «Nous nous sommes vus vendredi soir. Je n'ai rien à dire sur ce sujet», a seulement déclaré l'entraîneur de l'OM en conférence de presse, assurant ne «rien avoir entendu au sujet d'une sanction» qui pourrait lui être infligée pour ses propos et qui était plus ou moins évoquée.

Vincent Labrune, présent au Parc des Sports, sans livrer de commentaire ni avant, ni après la rencontre, avait initialement donné rendez-vous lundi à Bielsa pour lui demander de s'expliquer après les critiques acerbes qu'il a formulées il y a une semaine concernant notamment le recrutement du club. «De mon point de vue, ce problème est terminé et nous n'avons pas prévu de nous revoir avec M. Labrune. Cette réunion, qui a eu lieu vendredi, était quelque chose de privé et cela restera privé. Je n'ai pas vu de conséquences pour le groupe», a-t-il poursuivi.

Au sujet de l'absence de recrues au coup d'envoi, comme sur les deux rencontres précédentes gagnées contre Guingamp (1-0) et Nice (4-0), Marcelo Bielsa a affirmé «que ce n'était pas un message». «Je ne m'en étais même pas rendu compte. C'est un hasard, mais je crois que pour les deux derniers matches, c'était déjà ainsi», a-t-il ajouté.

Ligue 1 : Marseille gagne à Évian, Bielsa conforté
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Publié le 14/09/2014 à 22h53 , modifié le 14/09/2014 à 23h15 par 
SudOuest.fr avec AFP

Troisième succès consécutif pour l'OM (3-1), qui prend la deuxième place et offre un peu plus de confort à son entraîneur avant la confrontation avec le président Labrune dimanche

André-Pierre Gignac a marqué le premier but du match au bout de...20 secondes !© PHOTO 
AFP JEAN-PIERRE CLATOT








M
arseille a enchaîné [size=13]une troisième victoire de rang à Annecy face à une équipe d'Evian (3-1) plus que jamais lanterne rouge. L'OM monte ainsi à la 2e place et devance à la différence de buts Bordeaux et Saint-Etienne.
Le suspense a été de courte durée : Gignac a ouvert la marque dès la 20e seconde (but le plus rapide de la saison), avant que Imbula (44e) et Thauvin (63e) ne lui emboîtent le pas. Avant de doubler la mise, l'OM a eu du mal à franchir les deux lignes de quatre très resserrées proposées par Pascal Dupraz, l'entraîneur haut-savoyard. Le deuxième but juste avant la mi-temps a plié la rencontre, qui s'est peu à peu endormie au fil du temps.
Evian, volontaire mais maladroit et limité, a fini par réduire l'écart en fin de match par Nsikulu (90e+1).
Le succès fait du bien au club question classement mais aussi en coulisses,après les déclarations polémiques du nouvel entraîneur, Marcelo Bielsa. "El Loco", avait parlé pendant la trêve internationale d'un "bilan négatif" du mercato et accusé son président Vincent Labrune d'avoir pris avec lui "des engagements qu'il savait qu'il n'allait pas tenir".
Une rencontre entre président et entraîneur était prévue lundi. Selon Canal+, elle aurait déjà eu lieu dès dimanche. Marcelo Bielsa, par ailleurs plébiscité par les supporters, qui ont scandé son nom en fin de match, est en tout cas en position de force.
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Marcelo Bielsa "Cette histoire est terminée"

❚ Quelle analyse faites-vous de cette victoire
?
La victoire est juste, mais l’écart au score
est exagéré au regard du match. On aurait
dû établir une supériorité plus grande
dans le jeu en première mi-temps, on a eu
du mal à jouer. En deuxième mi-temps,
on a été plus prolifiques pour attaquer.
❚ Avez-vous rencontré Vincent Labrune ?
Vous a-t-il sanctionné ?
La rencontre s’est faite vendredi soir. Je
n’ai rien à dire à ce sujet. La réunion était
privée, elle le restera. Je n’ai pas
d’information sur une sanction. De mon
point de vue, cette histoire est terminée. Il
n’est pas prévu que je revois le président.
Je n’ai pas vu de conséquence sur le groupe.
❚ Quel bilan tirez-vous après cinq journées?
Cinq journées, c’est peu pour juger. Mais
je trouve qu’il n’y a aucune équipe qui domine
outrageusement le championnat.

OM : "Bielsa doit avoir ses raisons" (Zidane)

Aix-en-Provence / Publié le Lundi 15/09/2014 à 17H16






Présent en milieu de journée au "Z5", le complexe sportif et le centre de remise en forme des Milles dont il est propriétaire avec sa famille, Zinedine Zidane a notamment accepté de s'exprimer sur l'OM, "un club qu'(il) continue de suivre en tant que supporter".
"L’'OM accomplit un bon début de championnat. On a envie que l’'équipe continue sur cette voie-là. En dehors des résultats, j’'ai également suivi les discussions en coulisse, a confié le Marseillais, entraîneur en chef de la réserve du Real Madrid. Il y a des remous entre le président et l’'entraîneur. Ce n’'est pas à moi de commenter ça."
Zinedine Zidane a cependant avoué comprendre l'attitude de Marcelo Bielsa au moment de ses propos à l'adresse de Vincent Labrune. "Au bout de deux mois à l'’OM, s'’il a décidé de parler de la sorte, c'’est qu'’il doit avoir ses raisons, remarque-t-il. Maintenant, je suis bien mal placé pour juger qui que ce soit, car je ne connais pas le fond du problème. Il (Bielsa) a dit lui-même qu'’on lui avait promis des choses. Est-ce que c’est la réalité ou pas ? A-t-il été écouté ou pas ?"
Si tant est que les arguments soient vrais - l'’OM n’'aurait pas recruté les joueurs sur lesquels Bielsa comptait -, Zidane aurait-il réagi comme le technicien argentin ? "Oui, a-t-il répondu de manière catégorique. Si vous avez défini des axes de travail et des grandes lignes avec votre président et qu'’au final, ça ne se passe pas comme prévu, forcément, vous êtes en droit d'’avoir des explications avec votre dirigeant. Ensuite, est-ce qu'’il faut faire passer des messages à travers la presse ou régler directement les problèmes avec le président ?"

◗ BIELSA 1 - LABRUNE 0
Vincent Labrune est sorti de sa réserve en publiant un communiqué
sur le site internet de l’OM, hier, au sujet des propos virulents
de son entraîneur, Marcelo Bielsa, le 4 septembre. En préambule,
le club olympien indique que la rencontre entre VLB et l’Argentin,
vendredi soir, a permis de "mettre un terme à l’épisode médiatique
regrettable (sic) qui a agité le club et son environnement ces
derniers jours". Une drôle de façon de voir les choses -ou de réécrire
l’histoire- puisque Bielsa s’est exprimé de son plein gré au
cours d’une conférence de presse qu’il a lui-même réclamée.
"L’incident est clos", précise toutefois le communiqué. Et c’est
bien là l’essentiel.
➔ Voici le communiqué de Vincent Labrune dans son intégralité :
"Nous avons eu une discussion franche, approfondie et respectueuse. Elle a permis de
lever certains malentendus et incompréhensions réciproques. Marcelo m’a tenu un
discours de vérité et j’ai compris qu’il n’avait pas cherché à polémiquer mais à faire part
de son ressenti aux supporters. Cette discussion aura permis d’identifier certains
problèmes de communication interne liés à notre nouvelle organisation, mais elle aura
surtout permis de retrouver une plus grande fluidité dans notre relation. Désormais,
l’incident est clos. Le projet continue. L’intérêt du club passe avant tout et nous sommes
tous ensemble, direction, staff, joueurs, salariés, tournés vers un seul objectif : la réussite
de notre saison sportiv