L"OM A LA TELE ... AFFLUENCE ASSUREE !!!!!!!

Le problème avec cet OM à la sauce
Bielsa, c’est qu’il a mal habitué ses
supporters. Pendant huit matches
d’affilée ponctués par autant de succès
où, souvent, les rivaux (et pas des moindres)
ont été surclassés, il a servi du caviar
à la louche: du jeu vers l’avant, des actions
léchées, un pressing intense, le tout
saupoudré par des festivals offensifs, rallumant
la flamme de la passion chez ses fidèles
et ressuscitant l’ambition à tous les
étages.
Alors, quand l’escouade olympienne
marque le pas et se met à gagner petit
bras, on se retrouve à faire la fine bouche,
àmégoter sur la qualité du spectacle proposé,
oubliant l’essentiel: la victoire.
Après deux revers consécutifs et une mise
au poing interne entre Gignac et Dja Djédjé,
l’OM s’est contenté du service minimum,
hier soir: les trois points et rien
d’autre, ou presque, face à de valeureux
Lensois (2-1).
Une tête surpuissante de Nkoulou et
une fulgurance (l’une des rares de la partie)
du trio Thauvin-Payet-Gignac
conclue par le premier ont suffi pour reprendre
leur marche en avant et chasser
les vilains nuages qui commençaient à
s’amonceller dans le ciel marseillais.
Moins tranchants, moins vifs, moins entreprenants:
Gignac et sa bande ont manquéàpeu
près de tout, rappelant que Bielsa
n’est pas un mage qui ensorcelle aussi
bien ses hommes que ses adversaires.
Les premiers ne peuvent pas galoper
comme des dératés d’un bout à l’autre de
la saison et martyriser leurs vis-à-vis.
Quant aux seconds, ils ne sont pas niais.
Eux aussi travaillent, décryptent les vidéos
des Olympiens, analysent leurs
points forts et, surtout, leurs points faibles.
Si bien qu’ils commencent à déchiffrer
la méthode de l’Argentin, la manière
àutiliser pour contrer son système et causer
des tracas à cette équipe. Portés par
une jeunesse décomplexée, les Sang et Or
ont fait planer jusqu’au bout la menace
d’une égalisation tardive. Cette fois, l’OM
n’a pas craqué dans les ultimes instants
comme cela avait été le cas àRennes. Grâce
à une parade décisive de Mandanda au
bout du temps additionnel, il a résisté.
Même s’il a joué à se faire peur et a fait
passer un désagréable frisson dans le dos
de ses amoureux qui ont dû se frotter les
yeux tant ils ne reconnaissaient pas leurs
chouchous. Pis, par moments, les hommes
en blanc ont fait preuve d’une suffisance
incroyable, d’oublis terribles des
fondamentaux, convoquant les fantômes
de la saison passée où rien ne leur souriait.
Si les revers à Lyon (1-0) et Rennes (2-1)
n’étaient pas mérités, cette victoire étriquée
ne l’est pas vraiment non plus.
L’équipe expérimentale alignée sur la fin
témoigne d’une fébrilité soudaine et inattendue.
À ce moment-là, Bielsa a joué les
apprentis sorciers, se lançant dans des expérimentations
surprenantes (lire notre
billet page 2). Mais le résultat final lui donne
raison. Dans six mois, cette triste soirée
de novembre aura été jetée aux
oubliettes de la L1 (et c’est tant mieux).
L’histoire retiendra uniquement la victoire
et ces trois unités qui pèseront
peut-être lourd dans le décompte final.
Car elles permettent de s’attaquer à la
montagne parisienne (loin d’être vertigineuse
par les temps qui courent), dimanche,
fort d’une confiance retrouvée et de
quatre longueurs d’avance.
Quoiqu’il arrive lors de ce clasico, l’OM
passera une semaine de plus sur le toit de
l’élite. C’est déjà ça. Mais il y a fort à parier
que cela ne suffise pas à l’exigeant
Bielsa. Et que les prochains jours du côté
de La Commanderie vont être intenses en
terme de travail. Les promesses ne peuvent
pas s’envoler du jour au lendemain.

DIMANCHE 9 NOVEMBRE
Ligue 1
13e journée
PSG - OM .......................21h, Canal +
DIMANCHE 23 NOVEMBRE
Ligue 1
14e journée
OM - Bordeaux ...............21h, Canal+
VENDREDI 28 NOVEMBRE
Ligue 1
15e journée
OM - Nantes ..........................20h30,
Canal + et beIN Sports 1

[size=30]Ligue 1: le clasico est déjà lancé[/size]
03/11/2014 15:01
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[url=javascript:void(0)]suivante[/url][url=javascript:void(0)]précédente[/url]
L'attaquant-vedette de Marseille, le Français André-Pierre Gignac entre sur le terrain pour le match de LIgue 1 entre l'OM et Toulouse, le 19 octobre 2014 au Vélodrome de Marseille - AFP/Archives
Le clasico entre les deux rivaux historiques de la L1, Marseille et le PSG, le 9 novembre au Parc des Princes (21h00), s'annonce explosif, le leader et son dauphin, pourtant malmenés, n'ayant rien lâché ce week-end.

. Marseille: Retour au calme mais des absences de poids
Après deux accrocs en l'espace de trois jours (défaite en championnat à Lyon, élimination en Coupe de la Ligue à Rennes), l'OM de Marcelo Bielsa a repris ses bonnes habitudes face à Lens (2-1) et préservé ses quatre points d'avance sur le double champion de France. Même si les promus ont donné jusqu'au bout du fil à retordre aux Olympiens, sauvés in extremis par un geste décisif de Steve Mandanda, l'essentiel était de renouer avec le succès et de mettre en sourdine les tiraillements apparus au sein du vestiaire. L'altercation entre André-Pierre Gignac et Brice Dja Djédjé jeudi à la Commanderie n'a pas fait exploser le groupe et "l'incident est clos", comme l'avait lui-même expliqué vendredi le meilleur buteur de L1 (à égalité avec Alexandre Lacazette). Gignac et Florian Thauvin ont eu des échanges assez vifs sur la pelouse mais cela n'a pas empêché le premier d'offrir à l'international Espoirs le but de la victoire.
Autre point positif: pendant que Paris va forcément laisser des forces en Ligue de champions contre l'Apoël Nicosie, mercredi au Parc des Princes, les Marseillais auront tout le loisir de se reposer en vue du grand choc de dimanche. De quoi également offrir à Bielsa un délai de réflexion pour gérer les absences problématiques à Paris de Jérémy Morel, d'André Ayew et de Alaixys Romao, tous trois suspendus. Un quatrième titulaire pourrait aussi faire défaut si la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) décidait jeudi de sanctionner lourdement Dja Djédjé après son exclusion pour son altercation avec le Rennais Paul-George Ntep en Coupe de la Ligue. Mais la dynamique de ce début de saison agit telle une carapace à l'OM où ces défections n'ont pas l'air d’inquiéter outre mesure. "Le groupe est pétri de talents donc j'espère qu'on aura les joueurs qu'il faut, j'en suis sûr", a ainsi déclaré Gignac.
. Paris: L'inconnue Ibra
Hormis la 2e place en Ligue 1 et le petit retard sur l'OM, tout est en train de rentrer dans l'ordre au PSG après un début de saison poussif. Le 4e succès d'affilée, toutes compétitions confondues, a été conquis dans la douleur à Lorient (2-1) et Laurent Blanc, qui a évoqué l'une des premières périodes "les plus faibles techniquement" dans sa carrière de technicien, a dû sortir de ses gonds à la pause pour réveiller ses troupes. Mais la machine parisienne tient enfin le coup après une litanie de matches nuls (6) grâce au sursaut d'Edinson Cavani, auteur de 3 buts sur ses 3 dernières sorties, au retour en forme de Thiago Silva et aux arabesques du prodige Lucas, éteint à Lorient mais devenu soudainement décisif après un an et demi en dents de scie à Paris. "On a 24 points en 12 matches, ça fait deux points par match, on recommence à retrouver notre véritable niveau par rapport à l'année dernière", s'est félicité "le Président", qui peut aussi valider dès mercredi le billet pour les 8e de finale de C1.
Tous les voyants sont donc presque au vert et l'infirmerie est quasiment vide. Sauf que son ultime pensionnaire n'est pas n'importe qui. Zlatan Ibrahimovic manque toujours à l'appel depuis le 21 septembre en raison d'une blessure au talon. Blanc s'est voulu rassurant vendredi en expliquant que la superstar suédoise allait "beaucoup mieux" mais il n'a pas fourni de date précise pour son retour. Peut-il revenir pour le clasico? Difficile à dire mais l'entraîneur parisien a savamment entretenu le flou et un peu d'intox n'est pas à exclure à ce sujet avant les retrouvailles entre les deux frères ennemis du football français.
Blanc va surtout devoir passer la semaine à remonter le moral de Yohan Cabaye. L'international français est censé pallier la suspension du métronome parisien Thiago Motta contre l'OM. Problème: il traverse une très mauvaise période et sa prestation catastrophique au Moustoir n'augure rien de bon pour le clasico.

Autour
du clasico◗ CANALPLUS
VOIT GRAND
Àmatch exceptionnel, dispositif
exceptionnel. Diffuseur
du clasico, dimanche, la chaîne
cryptée a décidé de mettre
les petits plats dans les
grands et de déployer le plus
important dispositif possible.
Ainsi, plus de 300 personnes
seront mobilisées
pour ce PSG-OM qui sera suivi
par 40 caméras, dont 23
au bord du terrain. Une toute
nouvelle caméra suspendue
à un ballon captif pour
des vues aériennes inédites
sera par exemple utilisée. Si
la météo le permet...

UN CLASICO
AUX QUATRE COINS
DE LA PLANÈTE
Où que vous soyez dans le
monde, il vous sera difficile
d’échapper au choc entre Paris
et l’OM. Celui-ci bénéficiera
d’une couverture internationale
extrêmement large.
42 diffuseurs le retransmettront
dans 160 territoires !
Tous les continents pourront
ainsi suivre cette rencontre.

C’EST L’EMBLÈME DE J+1
C+aaussi fondu pour la glacière"C’est la star de J+1 depuis la rentrée !" Mais qui est donc cette vedette de
l’émission de Canal+, diffusée chaque lundi soir et offrant un regard décalé sur
l’actualité de la Ligue 1? Stéphane Guy, son présentateur? Son acolyte, Romain
Del Bello? Frédéric Hantz, nouveau consultant depuis qu’il a quitté Bastia? Vous n’y
êtes pas du tout! La star en question est... la glacière chèreàMarcelo Bielsa.
Depuis plusieurs semaines, elle trône au beau milieu du plateau. Un hasard selon
Stéphane Guy. "Un jour, raconte le journaliste de la chaîne cryptée, je décide de faire
un édito sur Bielsa, en me mettant dans sa peau. Car ce personnage intrigue et fascine,
il a réveillé Marseille, il est à la fois sérieux et théâtral. Alors, un copain argentin
a traduit mon texte; on a galéré pour trouver un survêtement de l’OM. Enfin,
quelqu’un a ramené une glacière de chez lui. Par bonheur, elle était bleue et blanche,
comme celle où s’assied Bielsa."
La quatrième personne du plateau ne le quittera plus. À une différence près: la
marque Powerade, qui équipe l’OM, a envoyé l’un de ses modèles à J+1. "La semaine
suivante, on s’est dit qu’elle devait être là, reprend Stéphane Guy. Puis, on a décidé
de filmer son contenu. Contre Lens, dimanche, on a assisté à un échauffement avec
des scènes de vaudou autour de la glacière. On a encore une ou deux idées à décliner
sur le thème

Paris SG - Marseille : Un Classico savoureux et plein d'enjeux
Dimanche soir, pour le compte de la 13ème journée de Ligue 1, le Paris Saint-Germain reçoit Marseille (21h00). Pour un Classico toujours attendu, mais une vraie affiche entre cadors, aussi. Présentation.

Grosse semaine pour le PSG

Bousculé samedi dernier à Lorient, le Paris Saint-Germain en est néanmoins reparti avec les trois points. Dans la foulée, les hommes de Laurent Blanc ont validé leur billet pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions en disposant de l'APOEL Nicosie. Ce dimanche, dernière étape ô combien importante avant la trêve internationale : la réception de Marseille, actuel leader de Ligue 1. Et alors qu'il émarge à quatre longueurs de l'OM au classement, le PSG se devra d'assurer au Parc des Princes s'il veut revenir dans la course à la première place.

Quel visage pour l'OM ?

Après huit victoires consécutives entre fin août et mi-octobre, Marseille faisait figure d'épouvantail et on se demandait bien qui allait pouvoir contrarier ses plans. Dans la foulée, les hommes de Marcelo Bielsa ont chuté à deux reprises, à Lyon en championnat puis à Rennes en Coupe de la Ligue. Dimanche dernier, s'il a battu un promu lensois très amoindri mais héroïque, l'OM a souffert et aurait pu céder, une fois de plus. Dès lors, quel sera le comportement d'André-Pierre Gignac et ses coéquipiers au Parc ? Une chose est sûre, il s'agit d'un test grandeur nature, histoire de voir si cette équipe a bel et bien le standing d'un possible futur champion. Ca promet !

[size=36]om - metz le dimanche 7 décembre
OM en direct-Région en direct
Vendredi 07/11/2014 à 13H49 Marseille[/size]




La LFP a dévoilé les matches de la 17e journée de Ligue 1. L'OM recevra Metz le dimanche 7 décembre à 21h.
Le programme de la 17e journée de Ligue 1
Vendredi 5 décembre
Toulouse - Monaco (20h30)
Samedi 6 décembre
PSG - Nantes (17)
Bordeaux - Lorient (20h)
Caen - Nice (20h)
Rennes - Montpellier (20h)
Saint-Etienne - Bastia (20h)
Dimanche 7 décembre
Evian TG - Lyon (14h)
Lens - Lille (17h)
Reims - Guingamp (17h)
OM - Metz (21h)

[size=36]PSG-OM. Landreau : «Ah ! le petit lob de Pauleta»[/size]

Publié le 09/11/2014 à 03:47, Mis à jour le 09/11/2014 à 06:53

Football - Ligue 1. 13e journée. Clôture majuscule, ce soir (21h, Canal+), avec PSG-OM au Parc-des-Princes

Quatre mois. Mickaël Landreau a remisé ses gants le 4 juillet sur une élimination en quart de finale du Mondial brésilien. Après 618 matches en première division et à 35 ans, l'ancien goal emblématique de Nantes – qui termina au SC Bastia après le Paris-SG (2006-09) et Lille (2009-12) – a embrassé dans la foulée une 2e carrière : consultant à Canal+. «Cela me permet de continuer à vivre le foot au plus près, partager et véhiculer des idées. Bref : prendre la parole comme j'aimais le faire dans le vestiaire. Je n'ai pas changé en passant de l'autre côté de la barrière.» Entretien.
Mickaël, Marseille leader qui reçoit Paris dauphin : on ne pouvait rêver mieux comme casting, non ?
Tout à fait. C'est quelque chose de vraiment intéressant qui s'annonce sur le terrain.
Car, en dehors d'il y a 2 ans (OM-PSG 2-2 / 8eJ), il faut remonter aux années 90 pour trouver trace d'un Classique choc du Championnat…
Oh, vous oubliez 2009 où le cas était similaire. Moi, je m'en rappelle très bien puisque j'étais de la fête (15/03 au Parc : en cas de succès, les Parisiens ravissaient la 1re place à l'OL ; si les Marseil-lais gagnaient, ils devenaient 2es. L'OM sera le plus fort : 3-1).
Vous avez disputé 6 confrontations entre les 2 meilleurs ennemis de L1. à l'arrivée : 1 victoire, 2 nuls et 3 défaites. Pas terrible, quoi.
C'est vrai. Après, quand je jouais à Paris le club était aussi à un tournant. Les 2 premières saisons, on lutta pour ne pas descendre (15e puis 16e). C'est une autre expérience, riche et intense. émotionnellement, la peur, c'est du même niveau que l'euphorie quand tu gagnes un titre.
Une anecdote en particulier ?
Allez, je dirais le doublé de Guillaume Hoarau lors de ma seule victoire, donc (26/10/2008 : 4-2 au Vélodrome).
Votre cœur balance obligatoirement pour Paris !
Je suis consultant, donc j'ai un devoir de neutralité. Mais, c'est normal, il y a des liens affectifs.
Comment voyez-vous
le match ?
Plutôt ouvert. L'Olympique de Marseille produit du jeu, propose du spectacle. Marcelo Bielsa prend des risques. Sa troupe a enchaîné 8 succès d'affilée, ce n'est pas rien et il fallait bien qu'elle perde un jour. En tous les cas, ce que proposent les Marseillais est cohérent.
à vous entendre, l'OM peut gagner ?
Sur un match, tout est toujours possible, je ne vous apprends rien. N'empêche que ce serait un exploit. Paris-SG est ultra- favori de par son effectif.
Vous auriez dit la même chose avant le revers phocéen à Gerland (0-1, 11eJ)…
Oui. Je pense que ce sera dur-dur pour l'OM. Parce que le PSG reste le PSG.
Même si Paris déçoit depuis le début de saison…
Les résultats sont là puisque la formation de Blanc est encore invaincue, toutes compétitions confondues. Elle a fait «SON» match face au Barça. Maintenant, oui, on en attend plus.
Un mot sur le duel Sirigu-Mandanda.
Avec Enyeama et Ruffier, c'est le gratin de la L1. Salvatore Sirigu est impressionnant de régularité. Plus les journées passent, et plus il fait l'arrêt qu'il faut au moment où il faut. Des prestations haute-volée, Steve en réalise aus-si depuis un moment. En plus, il est capitaine, c'est un leader.
Au fait, on en profite : selon votre œil d'expert, quel est actuellement le meilleur gardien au niveau mondial ?
Même si je vois bien Manuel Neuer Ballon d'or, je vous donne un trio complété par Thibaut Courtois et Petr Cech.
Revenons aux PSG-OM : des joueurs vous ont-ils marqué ?
Ronaldinho et Pauleta. Le Brésilien avait été magique dans son jardin (26/10/2002 : 3-0) ; le Portugais avait mis un lob magnifique à Barthez, toujours au Parc (25/04/2004 : 2-1). C'est ce qu'on appelle, dans la corporation, prendre un top but.

DIMANCHE
23NOVEMBRE
Ligue 1 - 14e journée
OM - Bordeaux ................21h, Canal+
VENDREDI 28 NOVEMBRE
Ligue 1 - 15e journée
OM - Nantes ..........20h30, C+ et BIS 1
MARDI 2 DÉCEMBRE
Ligue 1 - 16e journée
Lorient - OM .......................19h, BIS 1
DIMANCHE 7 DÉCEMBRE
Ligue 1 - 17e journée
OM - Metz ........................21h, Canal+

VENDREDI 14 NOVEMBRE
Match amical
Espanyol - OM ...........................16h
DIMANCHE 23 NOVEMBRE
Ligue 1, 14e journée
OM - Bordeaux .............21h, Canal +
VENDREDI 28 NOVEMBRE
Ligue 1, 15e journée
OM - Nantes ........20h30, BIS 1 et C+
MARDI 2 DÉCEMBRE
Ligue 1, 16e journée
Lorient - OM .........19h, beIN Sport 1
DIMANCHE 7 DÉCEMBRE
Ligue 1, 17e journée
OM - Metz .....................21h, Canal +
DIMANCHE 14 DÉCEMBRE
Ligue 1, 18e journée
Monaco - OM ................21h, Canal +

DIMANCHE 23 NOVEMBRE
Ligue 1, 14e journée
OM - Bordeaux ...................21h, Canal +
VENDREDI 28 NOVEMBRE
Ligue 1, 15e journée
OM - Nantes ..............20h30, BIS 1 et C+
MARDI 2 DÉCEMBRE
Ligue 1, 16e journée
Lorient - OM ...............19h, beIN Sport 1
DIMANCHE 7 DÉCEMBRE
Ligue 1, 17e journée
OM - Metz ...........................21h, Canal +
DIMANCHE 14 DÉCEMBRE
Ligue 1, 18e journée
Monaco - OM ......................21h, Canal +

DIMANCHE 23 NOVEMBRE
Ligue 1, 14e journée: OM - Bordeaux......................................................21h, Canal +
VENDREDI 28 NOVEMBRE
Ligue 1, 15e journée: OM - Nantes ...............................................20h30, BIS 1 et C+
MARDI 2 DÉCEMBRE
Ligue 1, 16e journée: Lorient - OM .................................................19h, beIN Sport 1
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Ligue 1, 17e journée: OM - Metz..............................................................21h, Canal +
DIMANCHE 14 DÉCEMBRE
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VENDREDI 28 NOVEMBRE
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MARDI 2 DÉCEMBRE
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Ligue 1 : Bordeaux contribue au spectacle mais s'incline à Marseille
32 COMMENTAIRES
Publié le 24/11/2014 à 03h08 , modifié le 24/11/2014 à 09h20 par 
P.-Y.C.

Les Girondins n'ont pas démérité au Vélodrome, mais la puissance de feu de l'OM a fait la différence en fin de match (3-1). La partie a été jouée sur un très haut rythme

Nicolas Maurice-Belay, ici dominé par Baptiste Aloe, a pourtant réalisé une jolie partie. Mais l'OM voulait la victoire encore plus que les Bordelais© PHOTO 
AFP ANNE-CHRISTINE POUJOULAT

La synthèse

Au terme d'une partie souvent spectaculaire,[size=13] l'OM s'impose 3-1 face à des Girondins qui avaient pourtant ouvert le score mais qui ont été globalement dominés. À cinq minutes de la fin du match, Bordeaux tenait encore le point du match nul. Les Marseillais reprennent la place de leader de la Ligue 1, alors que les Girondins restent à la 4e place (à égalité avec Nantes).

Le résumé

Si la pause a été atteinte sur un score vierge, les deux gardiens y ont été pour beaucoup. C'est le portier de l'OM, Steve Mandanda qui s'est mis le premier en évidence en gagnant son duel face à Touré, qui était parvenu à frapper malgré la surveillance rapprochée de Fanni (5e). Puis c'était au tour de Cédric Carrasso de se chauffer sur une frappe trop écrasée de Payet (10e).
Après quelques tentatives infructueuses de part et d'autres, notamment celle de Touré, trouvé en profondeur par Mariano et dont l'enchaînement contrôle de la poitrine - reprise de volée aurait été superbe s'il avait été cadré, les gardiens ont continué leur sans-faute. Pêle-mêle, citons Mandanda face à Pallois, après un coup franc de Sertic (18e), Carrasso dans les pied de Gignac pour repousser une frappe à bout portant (34e), ou encore Mandanda au-devant de Khazri, trop excentré (44e).
Mais au jeu des occasions, force est de constater que c'est bien l'OM qui a toujours tenu la corde, notamment grâce aux passes aux petits oignons de Payet. La défense à trois des Girondins a souffert, mais les Marseillais ont pêché par maladresse, comme sur une tête de Barrada, pourtant esseulé dans la surface (35e).
Dès la reprise, l'OM est tout près de donner l'estocade. Sauf qu'il trouve encore... Carrasso pour contrarier les plans de Marcelo Bielsa. Ni Lemina, ni Imbula ne parviennent à tromper sa vigilance. Et lorsqu'il est battu, comme sur une tête d'Aloe, c'est la barre transversale qui vient au secours du portier bordelais (51e).
Prompts à lâcher les chevaux au moindre contre qui se présente, les Girondins ne vont pas laisser passer leur chance. Sertic récupère très haut le ballon et trouve Maurice-Belay sur la droite. L'ancien Sochalien fixe la défense marseillaise et sert idéalement Touré, complètement oublié à l'opposé. Seul face à Mandanda, le jeune attaquant bordelais ajuste sa frappe à ras de terre du pied droit, au ras du poteau droit (0-1, 55e).

Thomas Touré a su profiter des espaces dans la défense marseillaise© PHOTO AFP ANNE-CHRISTINE POUJOULAT

L'expression "contre le cours du jeu" a trouvé tout son sens. Parce que Bordeaux était en train de prendre l'eau de toute part. D'ailleurs, l'égalisation marseillaise ne tarde pas. Payet, le maître à jouer de l'OM adresse un centre parfait dans la course de Lemina, qui s'élève et place un coup de tête décroisé au ras du poteau droit, absolument imparable pour Carrasso (1-1, 60e).
Dommage qu'ils n'aient pas fait le dos rond un peu plus longtemps, parce queles Girondins réorganisés par les entrées de Sané et Traoré, semblent finir par prendre le dessus athlétiquement parlant. Et comme rien n'est logique dans le football, ce sont eux qui dominent la fin de la rencontre, mais c'est Marseille qui marque. Mariano concède un bête corner en dégageant n'importe comment. Payet le frappe idéalement sur la tête de Gignac, dont la tête décroisée bat Carrasso (2-1, 85e). Le portier bordelais ne mérite pas ça. Pas plus qu'il ne mérite d'être complètement abandonné par sa défensedans les minutes suivantes. Repoussant deux tentatives marseillaises, Carrasso finit par s'incliner sur la frappe de Batshuayi (3-1, 89e), la 26e frappe de l'OM sur l'ensemble du match !

Le jeu et les joueurs

On l'a dit, Carrasso s'est longtemps montré décisif durant cette partie jouée sur un rythme effréné. Mais côté Girondins, on retiendra également le très bon match du trio offensif Khazri - Touré - Maurice-Belay.

Wahbi Khazri échappe à Benjamin Mendy, mais la débauche d'énergie des Girondins n'aura pas suffi© PHOTO AFP ANNE-CHRISTINE POUJOULAT

Egal à lui-même, l'ancien Bastiais s'est posé en leader technique de son équipe, avant de devoir sortir en fin de match, victime de crampes. Auteur de son deuxième but de la saison, Thomas Touré était la flèche maîtresse des contres-attaques bordelaises. Ses appels incessants, sa vitesse et sa spontanéité en font une alternative plus qu'intéressante à Cheick Diabaté. Quant à Nicolas Maurice-Belay qui revenait de blessure, on l'a senti à son aise dans l'axe, juste derrière l'attaquant de pointe. C'est lui qui a offert le but à Touré et c'est par lui que sont souvent venues les offensives girondines.

Thomas Touré remercie Nicolas Maurice-Belay pour son "caviar" lors de l'ouverture du score© PHOTO AFP ANNE-CHRISTINE POUJOULAT
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Ligue 1 : Bordeaux contribue au spectacle mais s'incline à Marseille
32 COMMENTAIRES
Publié le 24/11/2014 à 03h08 , modifié le 24/11/2014 à 09h20 par 
P.-Y.C.

Les Girondins n'ont pas démérité au Vélodrome, mais la puissance de feu de l'OM a fait la différence en fin de match (3-1). La partie a été jouée sur un très haut rythme

Nicolas Maurice-Belay, ici dominé par Baptiste Aloe, a pourtant réalisé une jolie partie. Mais l'OM voulait la victoire encore plus que les Bordelais© PHOTO 
AFP ANNE-CHRISTINE POUJOULAT

La synthèse

Au terme d'une partie souvent spectaculaire,[size=13] l'OM s'impose 3-1 face à des Girondins qui avaient pourtant ouvert le score mais qui ont été globalement dominés. À cinq minutes de la fin du match, Bordeaux tenait encore le point du match nul. Les Marseillais reprennent la place de leader de la Ligue 1, alors que les Girondins restent à la 4e place (à égalité avec Nantes).

Le résumé

Si la pause a été atteinte sur un score vierge, les deux gardiens y ont été pour beaucoup. C'est le portier de l'OM, Steve Mandanda qui s'est mis le premier en évidence en gagnant son duel face à Touré, qui était parvenu à frapper malgré la surveillance rapprochée de Fanni (5e). Puis c'était au tour de Cédric Carrasso de se chauffer sur une frappe trop écrasée de Payet (10e).
Après quelques tentatives infructueuses de part et d'autres, notamment celle de Touré, trouvé en profondeur par Mariano et dont l'enchaînement contrôle de la poitrine - reprise de volée aurait été superbe s'il avait été cadré, les gardiens ont continué leur sans-faute. Pêle-mêle, citons Mandanda face à Pallois, après un coup franc de Sertic (18e), Carrasso dans les pied de Gignac pour repousser une frappe à bout portant (34e), ou encore Mandanda au-devant de Khazri, trop excentré (44e).
Mais au jeu des occasions, force est de constater que c'est bien l'OM qui a toujours tenu la corde, notamment grâce aux passes aux petits oignons de Payet. La défense à trois des Girondins a souffert, mais les Marseillais ont pêché par maladresse, comme sur une tête de Barrada, pourtant esseulé dans la surface (35e).
Dès la reprise, l'OM est tout près de donner l'estocade. Sauf qu'il trouve encore... Carrasso pour contrarier les plans de Marcelo Bielsa. Ni Lemina, ni Imbula ne parviennent à tromper sa vigilance. Et lorsqu'il est battu, comme sur une tête d'Aloe, c'est la barre transversale qui vient au secours du portier bordelais (51e).
Prompts à lâcher les chevaux au moindre contre qui se présente, les Girondins ne vont pas laisser passer leur chance. Sertic récupère très haut le ballon et trouve Maurice-Belay sur la droite. L'ancien Sochalien fixe la défense marseillaise et sert idéalement Touré, complètement oublié à l'opposé. Seul face à Mandanda, le jeune attaquant bordelais ajuste sa frappe à ras de terre du pied droit, au ras du poteau droit (0-1, 55e).

Thomas Touré a su profiter des espaces dans la défense marseillaise© PHOTO AFP ANNE-CHRISTINE POUJOULAT

L'expression "contre le cours du jeu" a trouvé tout son sens. Parce que Bordeaux était en train de prendre l'eau de toute part. D'ailleurs, l'égalisation marseillaise ne tarde pas. Payet, le maître à jouer de l'OM adresse un centre parfait dans la course de Lemina, qui s'élève et place un coup de tête décroisé au ras du poteau droit, absolument imparable pour Carrasso (1-1, 60e).
Dommage qu'ils n'aient pas fait le dos rond un peu plus longtemps, parce queles Girondins réorganisés par les entrées de Sané et Traoré, semblent finir par prendre le dessus athlétiquement parlant. Et comme rien n'est logique dans le football, ce sont eux qui dominent la fin de la rencontre, mais c'est Marseille qui marque. Mariano concède un bête corner en dégageant n'importe comment. Payet le frappe idéalement sur la tête de Gignac, dont la tête décroisée bat Carrasso (2-1, 85e). Le portier bordelais ne mérite pas ça. Pas plus qu'il ne mérite d'être complètement abandonné par sa défensedans les minutes suivantes. Repoussant deux tentatives marseillaises, Carrasso finit par s'incliner sur la frappe de Batshuayi (3-1, 89e), la 26e frappe de l'OM sur l'ensemble du match !

Le jeu et les joueurs

On l'a dit, Carrasso s'est longtemps montré décisif durant cette partie jouée sur un rythme effréné. Mais côté Girondins, on retiendra également le très bon match du trio offensif Khazri - Touré - Maurice-Belay.

Wahbi Khazri échappe à Benjamin Mendy, mais la débauche d'énergie des Girondins n'aura pas suffi© PHOTO AFP ANNE-CHRISTINE POUJOULAT

Egal à lui-même, l'ancien Bastiais s'est posé en leader technique de son équipe, avant de devoir sortir en fin de match, victime de crampes. Auteur de son deuxième but de la saison, Thomas Touré était la flèche maîtresse des contres-attaques bordelaises. Ses appels incessants, sa vitesse et sa spontanéité en font une alternative plus qu'intéressante à Cheick Diabaté. Quant à Nicolas Maurice-Belay qui revenait de blessure, on l'a senti à son aise dans l'axe, juste derrière l'attaquant de pointe. C'est lui qui a offert le but à Touré et c'est par lui que sont souvent venues les offensives girondines.

Thomas Touré remercie Nicolas Maurice-Belay pour son "caviar" lors de l'ouverture du score© PHOTO AFP ANNE-CHRISTINE POUJOULAT
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