STEPHANE M'BIA

deçu à la can deçu à montpellier

M BIA SI FORT A RENNES A ETE INEXISTANT.........

A MON AVIS ...ERDING A ETE ASSEZ MALCHANCEUX..AUSSI

Mbia précise : "Je suis à la disposition du groupe"

Après son passage en conférence de presse ce lundi, l’international camerounais Stéphane MBia tient à préciser : "Je suis à l'entière disposition du coach et au service de l'équipe même si je ne joue pas régulièrement a mon poste de prédilection. Je jouerai là ou on me dira de jouer et je donnerai toujours mon maximum pour permettre au club d'atteindre ses objectifs."

EN CLAIR ... AU MILIEU IL Y A PROFUSION ABRIEL CHEYROU CISSE
ALORS QU" EN DEFENSE CENTRALE
DD ..CONSIDERE QUE JE SUIS LE REMPLACANT NATUREL D" HEINZE ...HILTON N" ETANT QUE LE 4 EME CHOIX

article du 15 mars

Contre Lens, Stéphane Mbia a reçu un carton rouge en seconde période. Le défenseur camerounais sera donc automatiquement suspendu pour le prochain match, à savoir, OM-Sochaux, mercredi 7 avril au stade Vélodrome.

Stéphane Mbia et Mathieu Valbuena rateront un match contre Sochaux. Expulsé de façon inujuste contre Lens, le premier manquera automatiquement la réception des Sochaliens, mercredi soir au Vélodrome. Averti par l'arbitre alors qu'il était en danger, le "Petit" devrait être suspendu pour le déplacement de l'OM dans le Doubs, le 14 avril prochain. Son cas sera étudié ce jeudi par la LFP.

MAIS JE ME DIS QUE SOCHAUX EST UN MATCH REPORTE..DONC MBIA NE DEVRAIT PAS ETRE SUSPENDU

MAIS AUSSI ROUGE DIRECT ...ENTRAINE L" AUTOMATIC

Stéphane Mbia a écopé d’un carton
rouge qui le privera automatiquement
du match contre Sochaux.




MBIA
Il a encore tenu la baraque au côté de Diawara.
Certes, Lens ne s’est pas montré très incisif, mais
le Camerounais, modèle de placement lui aussi, a
fait le nécessaire pour passer une fin d’après-midi
sereine. Auteur d’une faute à l’encontre de Jemaa
- qui l’avait taclé précédemment -, il a été expulsé

LA QUESTION DE LA CHARNIERE SE POSE DEMAIN..

AVEC LES RETOURS DE M"BIA CHEYROU NIANG
LES PLACES SERONT CHERES DANS LE GROUPE CONTRE NICE

ADIOS MORIENTES M"BOW ....

FEU VERT POUR MBIA

La commission de discipline de
la Ligue n’a infligé qu’un match
de suspension à Stéphane
Mbia, sévèrement expulsé dimanche
dernier contre Lens
lors d’un choc face à Jemaa.
Automatiquement suspendu
contre Sochaux, mercredi dernier,
le défenseur camerounais
a donc déjà purgé sa peine et
pourra être aligné par Deschamps
contre Nice. À noter
que cette sanction n’est pas assortie
d’un match avec sursis.

Mbia en dépit des apparences
RENCONTRE Irréprochable sur le terrain, le Camerounais a une image controversée qu’il tend à corriger. Enfin presque...


"Ma mère mettait de
l’argent de côté pour
acheter des chaussures
de foot en cachette



Sous ses airs nonchalants, Stéphane Mbia se révèle un Lion plus
indomptable que jamais sur le terrain.

Qui est Stéphane Mbia
Etoundi ? Ce prometteur
milieu de terrain, recruté à
coups de millions d’euros (douze)
l’été dernier à Rennes, mais
qui rêve de Manchester United
depuis longtemps? Cet intraitable
défenseur central, dont la
montée en puissance est à l’origine
du renouveau de l’OM en
2010, mais qui assure ne pas apprécier
le poste? Cet international
camerounais, très déçu de
la précoce élimination en
quarts de finale de la Coupe
d’Afrique des nations, mais qui
nourrit d’immenses ambitions
pour la coupe du monde? Ce
personnage discret et généreux
mais qui se heurte à une image
bling-bling, parfois hautaine,
entretenue au détour d’une
communication malhabile?
À bientôt 24 ans (il les fêtera
le 20 mai prochain), ce garçon
est une énigme. Jeudi, à l’issue
de l’entraînement, nous l’avons
retrouvé sur le Vieux-Port, où
il achetait du parfum pour sa
mère, afin de tenter de percer le
mystère. En famille, sirotant un
diabolo fraise à la terrasse du
Quai des délices, Mbia est zen.
Polo rouge, assorti à ses
Converse, bermuda clair, il suit
le va-et-vient incessant derrière
ses grosses lunettes de soleil. À
l’abri des sollicitations, il goûte
à la première place de l’OM.
Rayonnant. Prêt à se livrer.
"Oh la la, qui je suis ? Disons
que je suis le troisième enfant
d’une fratrie de huit, explique le
numéro 17 à l’OM. Abomo
Etoundi Jean-Marie, mon père,
était directeur commercial chez
Camair, la compagnie aérienne
du pays; Adele Antoinette Yenga
Belinga, ma mère, était employée
à la Société Générale de
Banque au Cameroun. Ils sont à
la retraite." Fiers, évidemment,
de la réussite de Stéphane dans
le foot, même si rien n’était
écrit. Ou plutôt si. Mais pas sur
les terrains ; plus sur les bancs
de fac. "Mon père voulait que je
fasse des études, il me menait la
vie dure mais c’était pour mon
bien, juge-t-il. Ma mère mettait
de l’argent de côté pour que
j’aille acheter des chaussures de
foot en cachette. Elle savait que
je voulais jouer..."
Utaka, le grand frère
Une passion née au quartier.
Un ballon, des gamins à tous
les coins de rue, pas de licence,
ni de club, juste une tranche
de plaisir à Fogassa. "Ce sont les
papas qui ont donné ce nom,
mais je ne sais même pas ce que
ça signifie", s’amuse Mbia.
Mais au fait, d’où vient le sien,
lui qui est né Etoundi? "C’est un
oncle qui a élevé mon père
quand il était petit, à la mort de
mon grand-père. Il lui a donné
son nom, rappelle-t-il, ému. À
Rennes, j’avais demandé à mon
manager général Pierre Dréossi
d’inscrire les deux noms sur
mon maillot, mais il m’avait dit
que ça ne servait à rien..." Mbia,
en tout cas, n’oublie pas. Et au
moment d’évoquer l’Afrique, il
n’a pas la mémoire qui flanche.
Au contraire.
"Là-bas, les gens sont fous de
foot, c’est la même ambiance
que lorsqu’on a gagné la coupe
de la Ligue à Marseille. On doit
leur faire plaisir et répondre aux
attentes, avoue-t-il. On va aller
le plus loin possible cet été." Pas
avare d’efforts sur une pelouse,
il ne se ménage pas non plus en
dehors. Depuis quatre ans, il a
créé une fondation à Yaoundé
- sa ville natale - pour enfants
défavorisés ou malades, fournit
du matériel à l’hôpital. "On a
beau bien gagner notre vie, il y a
plein de gens dans le besoin.
Alors c’est un minimum à leur
apporter, confie-t-il, pudique.
C’est Eto’o qui m’a donné cette
inspiration."
Une école de foot est aussi
dans les cartons, mais attendra.
"Le foot est un rêve, alors je m’en
sers pour ceux qui veulent un
jour être à ma place." Le sien
s’est concrétisé à Rennes, où il
est passé professionnel après sa
formation débutée à l’Academy
Kadji Sport, à Douala.
En Ligue 1, il grandit sous
l’aile protectrice de John Utaka
pendant deux saisons. "Quand
j’étais petit, je regardais tous ses
matches à Lens dans les bars et
je me disais que je voulais être
comme lui ! Une fois en France,
je remercie le Seigneur de l’avoir
rencontré. Lui et sa femme
m’ont montré ce qu’était la vie ;
ça m’a donné un mental très
dur. Aujourd’hui, peu importe
ce qui m’arrive. Je ne baisse pas
les bras. Jamais! Regarde, j’étais
blessé en début de saison et, là,
tout va bien..."
Oui, l’OM a pris la tête de la
Ligue 1 ; oui, le Camerounais en
est l’un des maillons forts. Mais
rien ne coulait de source dans
la première moitié de saison.
Suspendu, malade, blessé, ses
débuts sous le maillot blanc
sont sans cesse repoussés. À
Madrid ou à Lyon, il réalise un
sans-faute mais tout ça est vite
effacé par l’irrégularité de son
équipe. De lui, on ne garde en
souvenir que des prestations
inabouties, loin du roc entrevu
en Bretagne. Et c’est finalement
en défense centrale que Mbia
explose. Malgré lui...
Devenu indispensable à côté
de Souleymane Diawara, il est
de retour aujourd’hui, après
son expulsion injustifiée.
"Au départ, j’avais un jeu un
peu rude mais ça s’est adouci en
dialoguant avec les arbitres et
avec l’expérience. Face à Lens,
M. Malige m’a dit que j’avais
payé pour tout le monde, que
c’était les circonstances..." dit-il
sans énervement. On l’aurait
pourtant imaginé volontiers en
vouloir à toute la Terre, se ruer
vers Jemâa, K.-O. à la suite du
choc,ouse rouler au sol comme
il aime le faire après un contact
quitte à en rajouter. Eh bien
non, ce Lion-là serait, paraît-il,
domptable.
Lui qui n’a pas sa langue
dans sa poche, pour amuser ses
partenaires... ou provoquer ses
adversaires. Contre Bordeaux,
au Stade de France, on l’a vu
souffler à l’oreille de Chamakh,
qu’il venait de balayer près de
la ligne de touche. Qu’a-t-il dit
à l’attaquant marocain ? "Tu
l’as déjà gagnée, toi, cette coupe
de la Ligue, alors laisse-nous la !
Tu n’as pas le droit, tu sais que
les Marseillais l’attendent..."Un
coup de bluff, suivi d’un coup
de maître (3-1). En attendant
peut-être le titre...
"J’ai pardonné à Baros"
Pas de quoi, donc, regretter
d’être venu à Marseille alors
que les sirènes (... et les livres
sterling) anglaises lui faisaient
les yeux doux il y a un an. "Des
grands frères comme Samuel
Eto’o, Geremi, Rigobert Song,
m’ont dit qu’il n’y avait pas que
l’argent dans la vie, que j’allais
en gagner... J’ai choisi Marseille
pour l’aspect sportif." Un aveu
bienvenu, quoique tardif, après
des déclarations maladroites à
son arrivée... et répétées au fil
des mois.
D’où cette image brouillée.
"Les journalistes, c’est un peu
mon kiff ! balance Mbia, plus
surprenant que jamais. J’aime
bien passer des messages, après
il y a le contexte... Là, on est en
centre-ville, on parle de ma
vie... Je suis blagueur ! Mais je
m’améliore. Le coach m’amène
à mieux m’exprimer. Et de toute
façon, il sait tout ce que je fais, il
doit avoir des espions !"
À moins qu’il sache juste lire
puisque sur la carrosserie des
voitures du joueur, à l’arrière,
on devine les lettres SMBIA. Pas
très discret, non ? "C’est mon
fournisseur aux États-Unis qui
fait ça, sans doute à cause de la
douane ? s’interroge-t-il,
conscient. J’ai pris une Twingo
pour passer inaperçu!"
Le 18 avril 2007, il aurait bien
aimé rester dans l’ombre. Mais
le Lyonnais Milan Baros, d’un
geste (pincement du nez) à
connotation raciste, l’a placé
sous le feu des projecteurs. "Je
lui ai pardonné même si ça ne
se fait pas... Le foot, ça devrait
juste être du plaisir." Comme
un apéro sur le Vieux-Port, où
les préjugés tombent et la cote
de Stéphane Mbia s’élève.


"Je suis à l’OM car Eto’o,
Geremi, Song m’ont dit
qu’il n’y avait pas que
l’argent dans la vie."


"Le discours du coach, j’avais du mal à l’assimiler"
1❚ Quelle ambiance dans le vestiaire ?
"Avec Taiwo, on ne se connaissait pas. Il
est adorable, c’est un personnage un peu
hors normes, il sort pas, il boit pas, il fume
pas, il nous fait rigoler tout le temps; dès
fois, il s’habille bien et après il dit ’merci
Taiwo’ et se félicite lui-même. On travaille
nos plongeons à l'entraînement ; on a aussi
des projets au Cameroun et au Nigeria.
Aujourd’hui, on vit bien tous ensemble alors
qu’en début de saison, il y avait un peu des
clans. Les cadres savent quoi dire aux
autres. Morientes, je l’adore ; il trouve les
mots justes et s’adapte à sa situation."
2❚ Milieu de terrain ou défenseur central ?
"Ce n’est pas un jeu entre le coach et
moi. Je maintiendrai toute ma vie que je
n’aime pas ce poste de défenseur central.
Jeréponds aux attentes du collectif qui me
demande de jouer là pour qu’on soit plus
fort et plus solide. J’ai été formé aumilieu et
je veux être un grand joueur à ce poste.
Le coach m’a dit : ’Si tu joues en défense, tuseras
plus à l’aise quand tu reviendras aumilieu.’
Je fais le maximum. Au milieu ou libero,
je joue simple; comme je suis très sûr
de moi, je sais déjà ce que je vais faire, je tente
parfois des gestes spectaculaires."
3❚ La polyvalence a-t-elle des avantages ?
"Je n’ai pas de souci à me faire : j’ai la
chance d’avoir une aisance technique qui
me permet de jouer à tous les postes. On
nesait jamais, si ça se trouve, Barcelone va
arriver et me dire : ’On te veut milieu couloir
gauche’. En sélection, je joue arrière droit ;
àMarseille, au milieu de terrain et parfois défenseur
central... Manchester peut dire : ’On
te veut en 6’ ; et six mois après, un joueur se
blesse et on peut te dire : ’Tu joues libero’ !
C’est ce discours-là que le coach me fait
comprendre. J’avais du mal à l’assimiler."

"Ma mère mettait de
l’argent de côté pour
acheter des chaussures
de foot en cachette."
Une famille (très) nombreuse. Un frère, Messende Serge Benoît qui vit à Toulon,
et une soeur, Ovah Christelle qui réside à Paris, plus âgés ; Franck est footballeur
à Neuchâtel ; le reste de la famille est au Cameroun (Yenga Arlette, Willy, Loïska et
la petite dernière qui vient de naître... et dont Stéphane a oublié le prénom). Deux
autres soeurs, d’origine antillaise, sont installées à Marseille

AVEC SA TETE RAGEUSELE CAMEROUNAIS ...IL A DONNE L"EXEMPLE A SON COMPERE SENEGALAIS DIAWARA


L AFRIQUE ILS ONT DE LA TETE

PLUS IL RECULE ET PLUS IL MARQUE ..



C'est sur un but de Mbia en toute fin du match que l'OM a arraché la victoire.

Interrogé hier, sur ses chorégraphies avec
Taye Taiwo pour célébrer leurs buts, Stéphane
Mbia a assuré qu’ils en avaient préparée une,
inédite, pour la venue de Saint-Étienne. "Vous
allez voir, je vais marquer. Regardez bien le
match dimanche, à 21 heures !, s’est amusé
l’international camerounais. Je devais mettre
un but à Boulogne, finalement c’était Taye.
Mais, moi, je marque plus à l’entraînement."
Mbia, pour qui "Fabrice Abriel est le meilleur
danseur du groupe", a également révélé que
"Souley" Diawara avait remonté les bretelles
du Nigérian à son entrée en jeu dans le Nord,
en lui demandant "s’il avait pris son petit-déjeuner"
face à son manque de percussion.
Enfin, l’ex-Rennais n’a pas suivi Bayern-Lyon.
"Je vais au concert de Rihanna. Apparemment,
elle s’est remise avec Chris Brown..."

Stéphane Mbia l'a annoncé : il va marquer dimanche au stade Vélodrome contre Saint-Etienne ! Le milieu de terrain olympien qui évolue désormais en défense centrale avait déjà délivré l'OM la semaine dernière à Sochaux. Ce week-end, il compte recommencer, mais aussi célébrer son but avec son ami Taye Taiwo, avec qui l'ancien Rennais a préparé une nouvelle danse pour l'occasion...


http://www.laprovence.com/video/OM-Saint-Etienne+%3A+Mbia+promet+de+marquer...+et+de+danser+%21/iLyROoafvS7E

OM-Saint-Etienne : Mbia promet de marquer... et de danser ! VIDEO