DIVERS OM ...........

LenouveauvisageduChaudron
Le stade Geoffroy-Guichard poursuit sa mutation
en vue de l’Euro 2016. Sa configuration "à l’anglaise", avec
un public proche de la pelouse, continue de créer une ambiance
bouillante. La caisse de résonance est énorme pour
les chants des supporters. Les fidèles de l’OM, regroupés
derrière une seule banderole ("Olympique de Marseille")
en ont d’ailleurs profité pour se faire entendre.
Si le chantier de rénovationa bien avancé, il n’est pas encore
terminé, puisque la tribune accueillant notamment les
loges et la presse est encore en travaux alors qu’un quart de
virage reste à construire. Tout sera terminé d’ici la fin
d’année 2014.

OM-Lorient : Amaury Delerue au sifflet
Marseille / Publié le Mardi 18/02/2014 à 10H52

C'est Amaury Delerue qui va arbitrer la rencontre de Ligue 1 entre Lorient et l'OM, le 22 février à partir de 17 heures au Vélodrome. Pour cette 26e journée, il sera assisté par Fredji Harchay et Julien Aube. Sylvain Palhies sera le quatrième arbitre.

Sous la direction de M.Delerue, les Marseillais - mauvais souvenir - avaient perdu contre Reims (2-3) au Vélodrome.

Marseille : Après Galtier, revoilà Favre !

Qui sera l'entraîneur de l'Olympique de Marseille la saison prochaine ? Pour l'heure, le mystère reste entier. Après la rumeur Christophe Galtier, démentie dans la foulée, José Anigo, le directeur sportif de l'OM, a livré une nouvelle piste hier lundi au micro de RMC.

"Il y a de grandes chances que le futur entraineur vienne de l’étranger et qu’il parle français. On a déjà des projets, des vues. Rien n’est fermé. Lucien Favre (le coach suisse de Mönchengladbach, ndlr) ? Ce n’est pas un mauvais exemple", a ainsi révélé Anigo, alors que le profil de l'ex-coach marseillais Eric Gerets correspond aussi au profil. A suivre de près.

OM-LORIENT
Écuele-Manga
forfait?
Touché lundi à
l’entraînement, Jérémie
Aliadière et
Lamine Gassama
retrouvent le groupe
lorientais cematin.
Absent contre
le TFC (1-3), à cause
d’une douleur à
un nerf situé derrière
le genou, le
défenseur Bruno
Écuele-Manga
pourrait manquer
le match contre
l’OM. Ce forfait
s’ajouterait à celui
d’Alain Traoré, qui
sera suspendu

L’AVIS DE CHRISTIAN GOURCUFF
"J’apprécie cette liberté ❚ Comment se présente le
match de samediàMarseille ?
Onreste sur une défaiteàdomicile
contre Toulouse (1-3), ce
n’est pas une semaine euphorique.
On est dans l’expectative.
On restait sur des matches intéressants
auparavant, même si
cela ne s’est pas traduit par des
points. On est dans un moment
de la saison où on peut basculer
: soit on accroche le bon wagon
pour des places intéressantes,
soit on lutte pour le maintien.
Notre calendrier n’est pas
simple, ça ne va pas être facile.
❚ Quel regard portez-vous sur
la saison de l’OM?
Je ne sais pas trop quoi dire. Il y
a eu beaucoup de changements,
dont l’entraîneur. On ne
peut pas tirer d’enseignements
définitifs car le comportement
de l’équipe a varié, comme
l’organisation. On est aussi
dans l’expectative, même si
l’effectif est de qualité.
❚ Selon vous, quel est le prétendant
le plus sérieux dans la
course au podium?
Lyon, s’il arriveàdigérer son calendrier
très costaud, avec la finale
de la coupe de la Ligue et
la Ligue Europa. Sur la dynamique
des deux derniers mois, ils
peuvent revenir. À la différence
de Lille qui marque le pas.
Saint-Étienne s’accroche, mais
j’y crois moins. Ça me semble
en retrait en termes de talent,
même par rapport à l’OM.
❚ Revenons au match. Vous allez
retrouver beaucoup de
joueurs qui sont passés sous vos
ordres. C’est particulier pour
vous d’affronter l’OM ?
Ça me fait plaisir. En général,
on garde des liens affectifs. Je
ne suis pas en contact avec eux.
C’est une bonne collaboration,
q u i e s t a u s s i d u e à
l’investissement des joueurs.
C’est leur mérite, mais aussi celui
du club de les promouvoir,
alors qu’ils n’étaient pas forcément
destinés à ça.
❚ Le départ de Mario Lemina a
été le symbole de la cassure entre
vous et votre président...
On n’était pas d’accord dans la
politiqueàmener, j’avais le sentiment
d’avoir été floué par rapport
à un fonctionnement qui
existait. Ça arrive sûrement
dans beaucoup de clubs et c’est
certainement le lot de beaucoup
d’entraîneurs, mais à Lorient,
je n’étais pas préparé à
ça. Je pensais, et je le pense toujours,
que c’est un très mauvais
deal pour le club. On avait besoin
de lui dans ce secteur et il
aurait pu prendre davantage de
valeur. Pour l’OM, ça n’avait
pas d’intérêt de le prendre à ce
moment-là; ça aurait pu en
avoir avec une année de plus,
pendant laquelle il aurait pu
s’affirmer. Et là, tout le monde
aurait été gagnant : les deux
clubs et le joueur.
❚ Vous êtes en fin de contrat
en juin prochain à Lorient. Où en
êtes-vous ?
Je ne me situe pas. J’apprécie
cette liberté que j’ai rarement
eue, je m’interroge sur pas mal
de choses. Ça fait du bien. Au
moins depuis 2003 et mon retour
à Lorient, j’étais complètement
investi dans le club et il
était hors de question que je
pense à un départ ou à autre
chose. Maintenant... Ce n’est
pas une situation que j’ai voulue,
mais elle me va bien et me
permet de m’interroger sur
mesmotivations.

CHRISTIAN GOURCUFF Né le 5 avril 1955
à Hanvec (Finistère).
Parcours d’entraîneur :
FC Lorient (1982-86)
Le Mans UC (1986-89)
US Pont-L’Abbé (1989-91)
FC Lorient (1991-01)
Stade Rennais (2001-02)
Al Gharafa Doha (2002-03)
FC Lorient (2003- ?).
Parcours de joueur :
Stade Rennais (1972-74)
US Berné (1974-78)
Guingamp (1978-80)
FC Rouen (1980-81)
La Chaux-de-Fonds (1981-82)
FC Lorient (1982-86)
Le Mans UC (1986-89)
Canada Supra Montréal (1989)
US Pont-L’Abbé (1989-91).

[quote="internet34"]CHRISTIAN GOURCUFF

25
Cela fait 25 ans (en trois
passages) que les Merlus sont
entraînés par Christian Gourcuff.
Bilan: trois accessions en L1
quote]

OM-Lorient : Ecuele Manga forfait
Marseille / Publié le Jeudi 20/02/2014 à 15H37

Alors que le FC Lorient comptait déjà deux absents pour le match de samedi prochain face à l'OM, le club va également devoir se passer de son capitaine Bruno Ecuele-Manga lors de ce déplacement à Marseille.

L'entraîneur lorientais Christian Gourcuff a annoncé ce jeudi que le défenseur gabonais est forfait pour cause de blessure. Il souffre d'un pincement d'un nerf derrière le genou, une gêne qui lui avait déjà fait manquer le dernier match de championnat. C'était face à Toulouse, Lorient s'était incliné 3 à 1 sur son propre terrain.

DANS LE VISEUR AVANT
L’AFFAIRE KERVIEL À sa sortie de l’école des Hautes Études
Commerciales (HEC), en 1997,
Loïc Féry a découvert l’Asie du
Sud-Est et plus précisement les salles
de marché de la Société Générale,
à HongKong. C’est d’ailleurs à
cette époque que son intérêt pour
les choses du football semble s’être
développé. Là, à près de 10000km
de l’Hexagone, selon lui, il aurait
joué dans un club de D2, qu’il aurait
également dirigé par la suite !
Quatre ans plus tard, il revient en
Europe, à Londres, au terme d’un
"transfert" chez Calyon, une filiale
d’investissement du Crédit Agricole,
où il crève l’écran. L’étoile montante
devient même, en 2006, responsable
mondial de l’activité crédit
et dirige 250 personnes. Il y
connaîtra pourtant un accroc marquant,
l’année suivante, en préambule
de la crise des subprimes :
après la perte de 194M¤ par un de
ses traders opérant aux États-Unis,
Loïc Féry est licencié. Bien avant
que l’affaire Kerviel n’éclate.
Dégoûté par le "cynisme" ambiant,
le jeune loup de la finance décide
alors de créer sa société, fin 2007.
Chenavari était née. Elle gère
aujourd’hui 4,5 milliards d’euros
d’actifs.

"Je ne gère pas le FCL
commeune danseuse 1Quelles sont vos recettes pour diriger
un club de football ?
Je n’ai pas de recettes particulières.
Juste de l’envie et de la passion, car
on n’entreprend pas dans le sport
sans passion, mais aussi un cadre de
gestion aussi rigoureux que possible,
ce qui n’empêche pas de vivredes moments
difficiles parfois. En bref, le
FCL essaie d’évoluer en Ligue1 en vivant
à la hauteur de ses moyens, et je
crois que nous nous débrouillons correctement
dans cet environnement
difficile, puisque nous avons bouclé
ces quatre dernières saisons avec des
résultats à l’équilibre. J’espère que
nous ferons la passe de cinq, même si cela risque d’être compliqué
cette année du fait des difficultés économiques qui touchent tous les
clubs.
2Vous dirigez le FCL entre Londres et Paris. Comment cela est-il
perçu à Lorient ?
Je vis et travaille à Londres. On peut donc dire que je préside le FC
Lorient depuis Londres, mais au quotidien, il est dirigé par mon représentant,
Arnaud Tanguy, qui vit à Lorient. Je pense que tout
l’écosystème lorientais est conscient des progrès majeurs réalisés
par le club depuis 2009, en termes de structuration, de notoriété,
d’infrastructures. Les chefs d’entreprises, les hommes politiques et
les supporters n’ont pas besoin de me voir tous les week-ends pour
savoir que je suis très attaché au club et impliqué dans le développement
du FCL.
3"Faut être con pour acheter un club de foot. Si un mec croit
qu’il va gagner des sous, il faut me le présenter", nous disait
dans son style, fin avril 2011, le Montpelliérain Loulou Nicollin.
Qu’en pensez-vous ?
Je pense effectivement qu’il est impossible de venir dans le football
pour y gagner de l’argent. Par contre, avoir l’ambition de ne pas en
perdre est une ambition légitime et respectable. Je ne gère pas le FCL
comme une "danseuse", mais comme une véritable participation
dans une entreprise que nous voulons développer.
4Comment voyez-vous l’avenir économique du footet les perspectives
pour la L1 ?
Nul doute que l’actualité économique du football est difficile, principalement
à cause du relatif échec du dernier appel d’offres des
droits de la Ligue 1 et des difficultés économiques qui touchent nos
partenaires et nos supporters. Par contre, il me semble que les perspectives
sont bonnes, avec la renégociation des droits en 2016 qui se
fera à la hausse (la Ligue devrait pouvoir atteindre le milliard
d’euros, en comptant les droits internationaux) et l’Euro 2016, qui
devrait être la fête du football en France.

"L'OM a tout essayé. On ne va pas
spéculer sur leur organisation. On va
surtout s'attacher à bien réaliser ce
que l'on a prévu de faire"
CHRISTIAN GOURCUFF

4
Le FC Lorient rejoue dans quatre
jours, mercredi prochain, son match
en retard à Bordeaux.

Gourcuff : «On a des limites»
Frustré après ce but encaissé «sur une erreur grossière» à Marseille en fin de match (1-0), Christian Gourcuff a reconnu que son équipe «a des limites, physiques notamment, qui font qu'on ne peut pas maîtriser complètement un match».

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Christian Gourcuff, entraîneur de Lorient: «On ne va pas parler des absents, mais on a évolué sans Ecuele-Manga et Traoré. L'équipe a été intéressante et appliquée pendant une heure. Il nous a manqué un peu de justesse offensive pour leur faire un peu plus mal. Très clairement, je suis très content de la qualité du jeu pratiqué. Mais on a des limites, physiques notamment, qui font qu'on ne peut pas maîtriser complètement un match. Mais dans la récupération et la construction du jeu, je n'ai pas beaucoup de reproches à faire à mon équipe. On a joué aussi sur une pelouse difficile. Notre synthétique est mieux. On perd sur une erreur grossière, mais à un moment où la pression marseillaise était forte. Ce sont les jambes qui nous ont manqué. Guerreiro fait ça parce qu'il est dans le rouge. Il y a quelque part une logique. Il faut être capable de faire pendant 90 minutes ce qu'on a fait pendant une heure.»

Christian GOURCUFF: "Le regret est de
ne pas avoir tenu. Nous avons fait une
heure très intéressante, dans le collectif,
la récupération. Nous les avons troublés,
même sans avoir beaucoup d’occasions
franches. Sur la dernière demi-heure, la
pression s’est accentuée et nous avons
commis une grossière erreur sur le but,
de la part d’un joueur qui, justement était
dans le rouge, signe de notre fatigue."

OM-Lorient : "Nous les avons troublés" (Gourcuff)

Marseille / Publié le Dimanche 23/02/2014 à 18H54

Après la victoire de l'OM face à Lorient (1-0) hier sur la pelouse du Vélodrome, l'entraîneur du FC Lorient, Christian Gourcuff, a tiré le bilan de la rencontre : "Le regret est de ne pas avoir tenu. Nous avons fait une heure très intéressante, dans le collectif, la récupération. Nous les avons troublés, même sans avoir beaucoup d’occasions franches. Sur la dernière demi-heure, la pression s’est accentuée et nous avons commis une grossière erreur sur le but, de la part d’un joueur qui, justement était dans le rouge, signe de notre fatigue."

PSG-OM : avec ou sans Cavani ?
Marseille / Publié le Lundi 24/02/2014 à 07H55


Blessé à une cuisse depuis fin janvier, le buteur uruguayen était encore absent hier à Toulouse, comme Christophe Jallet et Zoumana Camara.

Edinson Cavani reste incertain pour la réception de l’OM, dimanche, mais le staff médical parisien fait son possible pour que Laurent Blanc récupère son goleador parisien. Affaire à

Pape Diouf (SE).

Tenant à se démarquer

de ses concurrents

dont il dénonce

la surenchère,

le dernier candidat

en date se refuse

à dresser un

même inventaire

d e m e s u r e s ,

convaincu que la

plupart d’entre elles ne dépasseront pas le

stade des promesses électorales. Le porte-

drapeau du mouvement "Changer la donne"

s’en tient donc à trois mesures phares :

"la création d’un fonds d’investissement

métropolitain" pour aider au développement

des entreprises, "la mise en place

d’un contrat local de développement de

l’économie sociale et solidaire", et enfin

"l’organisation d’une conférence annuelle

de l’emploi et de la formation" présidée par

le maire de Marseille et réunissant tous les

responsables économiques du territoire

Buquet pour PSG-OM

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C'est Ruddy Buquet qui arbitrera le choc entre le PSG et l'OM, prévu dimanche à 21h00. Ce match comptera pour la 27e journée de Ligue 1. Lors du match aller, les Parisiens s'étaient imposés 2-1 au Vélodrome. Cette saison, il a déjà dirigé trois fois les Marseillais (contre Monaco, Sochaux, Lyon) et deux fois les joueurs du club de la capitale (face à Valenciennes et St-Etienne).

Pape DIOUF (SE)

Dans son programme,

l’ancien président de

l ’ O M a n n o n c e

d’emblée la couleur :

"L’école est au coeur

du contrat citoyen.

L’éducation, voilà le

défi central de notre

ville (...) Or, l’école

n’est pas du tout une priorité pour le maire sortant".

Ce constat tiré, Pape Diouf envisage de

convoquer "un conseil local pour l’école". Et ce,

afin d’appliquer "au mieux la réforme Peillon et

son expérimentation". Concernant

l’encadrement, le candidat estime que "les Atsem

doivent être formés et correctement rémunérés

(...) L’accueil doit progresser en encadrement

et atteindre 1 Atsem pour 25 enfants

contre 1 pour 60 actuellement". Autres propositions,

en vrac : "L’ouverture des écoles de 7h30

à 18h30, une lutte contre le décrochage scolaire

avec le développement d’un système de tutorat

par des étudiants pour le soutien de décrocheurs

et la gratuité des transports pour les scolaires."

Féru de sports, Diouf pointe, enfin, le

"scandale de 55% de petits marseillais scolarisés

en 6 ème qui ne savent pas nager". Il prône

l’embauche de "50 maîtres-nageurs

Le candidat divers gauche propose un programme autour de sept axes Pape Diouf n’était pas vraiment
emballé à l’idée
d’une grand messe. D’une
cérémonie d’intronisation médiatico-
militante où il lui fallait
décliner un programme. Le mot
lui-même est honni par le candidat
divers gauche qui le compare,
au mieux à "un catalogue de
promesses à servir circonstanciellement."
L’ancien président de
l’OM qui s’est plié bon gré, mal
gré, à l’exercice obligé hier, a
donc tenté un dribble court.
Pour assoir sur du concret une légitimité
jusque-là réduite à un
beau discours, il a choisi le
"contrat citoyen. Je n’ai pas la
science infuse là où certains prétendent
avoir la connaissance sur
tout, mais je suis en adéquation
avec les intérêts de la ville", indique-
il. Conscient que, pour
"changer la donne", il doit aussi
passer par des incontournables,
il a donc laissé à l’écologiste Sophie
Camard le soin de résumer
le "fruit d’une réflexion collective".
Qui mérite qu’on s’y arrête.
La méthode, d’abord. Novice
en politique, même si "avoir été
président de l’OM n’oblige pas à
simplement regarder rouler la
balle", Pape Diouf s’est entouré
d’experts, urbanistes, sociologues,
éducateurs, militants associatifs,
etc... Ils ont eu un mois,
pas plus, pour plancher. Et pouvaient
s’appuyer sur une multitude
de rapports récents, Insee,
OCDE, Région ou Groupes
d’action métropolitain, pour élaborer
leurs sept axes de campagne.
En tête de gondole, une fois
évacuée la question de la démocratie
locale, de la "fin du clientélisme"
passant par exemple par
du tirage au sort pour les logements
sociaux ou les places en
crèche, voici l’éducation. Dans
l e rayon, une enveloppe
d’urgence de 30 millions d’euros
et un premier conseil municipal
consacré à l’école. Suivront notamment
un échelonnement de
la réforme des rythmes scolaires
et un audit sur les cantines. Troisième
axe, l’emploi, où apparaiss
e n t l e s i d é e s de f o n d s
d’investissement métropolitain,
celle d’un guichet unique et du
micro-crédit pour les PME ou
d’une conférence annuelle. Le logement
qui passe par une "nouvelle
politique de réhabilitation",
les transports, où se mêlent
tarifs uniques et plan tramway,
précèdent un gros chapitre
sur le cadre de vie incluant la sécurité
et "la fin du fini-parti". Et
u n e o u v e r t u r e v e r s
l’environnement. Pas de grands
projets "pour faire joli", note Pape
Diouf, pas d’idée révolutionnaire
non plus, mais, au final, un
"contrat" dont il faut retenir une
réelle humilité, de fortes inspirations
à gauche et un ancrage
dans la future métropole.

SALVATORESIRIGU
Laforce tranquille Cadre du PSG, Sirigu
a appris le français
en moins de trois mois

Arrivé au PSG le 28 juillet 2011,
en provenance de Palerme dans
les bagages de Javier Pastore, Salvatore
Sirigu, 27 ans, a coûté
beaucoup moins cher que
l’Argentin. Et son rendement est
sans commune mesure. Une différence
tarifaire due au poste de
gardien qu’occupe l’Italien, mais
aussi aux manoeuvres deMaurizio
Zamparini, le président
palermitain, qui aurait réduit
son
prix
-tout en
se rattrapant
sur
celui, démentiel,
d e P a s t o r e
(42M¤)- pour ne
pas verser trop
d’indemnités de formation
au FC Venise.
Si son choix d’être
transféré dans la capitale
française a surpris
ses compatriotes
italiens, Salvatore Sirigu
a également étonné
ses néo-coéquipiers. En
moins de trois mois, le natif
de Nuoro, en Sardaigne,
parlait déjà français,
preuve d’une intégration
éclair. Sa petite amie française
ne serait pas étrangère
à cette acclimation express.
Aussi, le vestiaire
francilien, via Christophe
Jallet, l’a rapidement
affublé d’un sobriquet
peu flatteur :
Adamo, sorte de clin
d’oeil désuet au chanteur
de Tombe la neige,
avec lequel il partage lemême
prénom. Les t i f o s i
l’avaient surnommé, pour
leur part, "Walterino", en référence
à l’entraîneur qui l’a
lancé en Serie A, Walter Zenga.
En Italie, avant son départ
pour Paris, il était
d’ailleurs considéré comme le
portier le plus prometteur de sa
génération; plusieurs grands
clubs transalpins suivaient ainsi
ses performances et son évolution.
Mais, depuis qu’il est
passé de l’autre côté des
Alpes, il subit un traitement
médiatique particulier.
"Hostile, appuie Alessandro
Grandesso, correspondant de La
Gazzetta dello Sport à Paris. Il
souffre d’une concurrence "déloyale"
en étant en France car il a
moins de visibilité que les autres
gardiens italiens. Derrière "Gigi"
Buffon, qui est intouchable, il a
tout de même marqué des points,
notamment face à Marchetti, le
gardien de la Lazio."
Pour lui, peu importe. Vous ne
le verrez pas balancer de phrases
assassines ou semer la zizanie
dans un vestiaire. Discret et posé,
flegmatique, ce cadre influent
de l’effectif de Laurent
Blanc protège sa vie privée et déteste
se mettre en avant. Loin
des terrains, il n’en reste pas
moins un féru des visites au musée
et autres activités culturelles.
Il n’est pas rare, non plus, de le
croiser à la sortie de la messe à
Notre-Dame de Paris, dont
l’atmosphère le transporte, ou
de le voir faire ses courses tout
seul. Une occupation impensable
pour lui en Italie, où il est
épié et suivi sans cesse.
Au vrai, depuis le début de sa
dolce vita parisienne, il a défrayé
la chronique -contre son gré- à
une seule reprise: trois mois à
peine après avoir signé au PSG,
arrêté au feu rouge, il a fait remarquer
à un automobiliste parisien
qu’il posait un regard un
peu trop insistant sur sa compagne;
ce dernier est sorti de sa voiture
et lui a brisé les vitres. Sirigu,
lui, n’est pas sorti de ses
gonds. Dimanche soir, face à
l’OM, il ne sortira pas de sa cage.

LES 3 QUESTIONS A CABAYE
"À l’OM, je ne redoute personne en particulier
1Vous avez déjà affronté l’OM quand vous portiez le
maillot de Lille. Maintenant que vous êtes à Paris,
sentez-vous que le match de demain aune saveur particulière
?
C’est forcément différent ; on connaît tous la rivalité entre
les deux clubs. Pour les supporters, c’est un match
très particulier. J’en ai croisé quelques-uns ces jours-ci,
ils m’ont rappelé combien le match de ce week-end était
important. J’ai hâte de découvrir l’ambiance, le match et
les à-côtés aussi, savoir comment ça se déroule, ce qui se
passe exactement. En Angleterre, avec Newcastle, on
avait un derby très, très chaud contre Sunderland, même
s’il n’est pas super-médiatisé. En tout cas, j’aime ce genre
de match, je suis pressé d’y être.
2À quoi vous attendez-vous ?
J’espère que l’on va assister à un très bon match. Ce
sera important, mais il ne faut pas oublier une chose: il
n’y aura que trois points en jeu.
3Redoutez-vous quelqu’un à l’OM ?
Non, personne en particulier, plutôt leur équipe et
leur collectif. L’OM possède quelques joueurs intéressants.
Cela reste une très bonne équipe, qui n’a
peut-être pas les résultats espérés au début de saison.
Cet été, l’OM a recruté des jeunes joueurs pour assurer
son avenir. Mais non, je ne redoute personne en particulier.

OM-Nice : Palun absent

Marseille / Publié le Lundi 03/03/2014 à 17H10

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Après le PSG, il est temps de passer à la prochaine journée de championnat. Les Olympiens savent déjà que Lloyd Palun ne sera pas sur la pelouse du Vélodrome vendredi à 20h30.
Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il a reçu un carton rouge lors de la rencontre contre Toulouse. Pour rappel, le Gabonais n'a été titulaire qu'à cinq reprises depuis le début de la saison. On se console comme on peut !

Laurent Blanc ne comprend pas l'OM

Publié le Lundi 03/03/2014 à 12H45

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A la sortie de la victoire de son équipe face à l'OM (2-0), Laurent Blanc est resté assez surpris par les choix tactique de José Anigo. "Avec cinq joueurs à vocation offensive, on aurait pu penser qu'ils venaient nous presser haut. Ça n'a pas été le cas", analyse le champion du monde 1998.

OM-Nice : des attaquants niçois muets




Marseille / Publié le Mardi 04/03/2014 à 11H47






Souvent pointée du doigt, la défense de l'OM devrait se sentir un peu plus sereine à l'approche de la rencontre contre Nice. En effet, les Aiglons ont bien du mal ces derniers temps à trouver le chemin des filets.

Ainsi, les Niçois restent sur une série de quatre matches, toutes compétitions confondues, sans avoir réussi à inscrire un petit but. Le dernier buteur n'est autre que Neal Maupay lors le la 24e journée de championnat.