QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

Un onze historique







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Pour la réception de l'Olympique Lyonnais ce dimanche (4-0), Laurent Blanc a aligné un onze de départ dans lequel ne figurait aucun joueur français. Le PSG rentre ainsi dans l'histoire, puisque personne ne l'avait déjà fait en Ligue 1. Cette exception n'a duré que 45 minutes, Blaise Matuidi étant entré à la place de Thiago Motta au retour des vestiaires.

Foot

LIGUE 1
Paris en mode international

Publié le Mardi 03/12/2013 à 06H10

Pour la première fois en France, le PSG a aligné un onze 100 % étranger




Une première dans l'histoire du football hexagonal. Dimanche, au coup d'envoi du match qui l'opposait à Lyon (4-0), le Paris Saint-Germain n'alignait aucun joueur français. Laurent Blanc avait en effet imaginé un onze composé à 100 % de joueurs étrangers : quatre Brésiliens (Thiago Silva, Alex, Maxwell, Lucas), trois Italiens (Sirigu, Thiago Motta, Verratti), un Argentin (Pastore), un Hollandais (van der Wiel), un Uruguayen (Cavani) et un Suédois (Ibrahimovic) étaient titulaires.
Un fait unique en France ? À l'été 2003, l'OM avait déjà démarré un match de Ligue 1 sans aucun joueur français (lire ci-dessous). Aligner aucun joueur national, cela s'est déjà produit à plusieurs reprises cette saison dans les autres grands championnats européens : trois fois en Italie (à l'Inter Milan à chaque fois) et huit en Angleterre (5 pour Newcastle, 2 pour Manchester City, 1 pour West Bromwich).
Au PSG, avoir un onze 100 % étranger était presque inéluctable depuis l'arrivée au pouvoir de Qatar Sport Investments. Avec le départ de Mamadou Sakho à Liverpool cet été, il n'y a plus que Blaise Matuidi qui peut espérer briguer une place de titulaire à Paris. Diminué la semaine dernière, le milieu de terrain n'est entré en jeu qu'en seconde période face à Lyon. Et cette dynamique n'est certainement pas près de s'inverser...
Cela était, en tout cas, totalement impossible avant 1995, date de la création de l'arrêt Bosman (1995), ou encore depuis l'accord de Cotonou (2000) et l'arrêt Malaja (2002). Cette libéralisation permet donc au PSG de pouvoir recruter parmi les meilleurs joueurs mondiaux, mais elle souligne plusieurs problèmes : perte d'identité nationale et d'identification, formation de joueurs français galvaudée...

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8 août 2003 : l'OM reçoit l'AJ Auxerre pour le compte de la 2e journée de Ligue 1. Une victoire 1-0 grâce à un coup de tête de l'Égyptien Mido. Ce jour-là, l'entraîneur Alain Perrin n'avait pas aligné un seul joueur français au coup d'envoi. Toutefois, certains possédaient la double nationalité : Habib Beye, Brahim Hemdani, Sylvain N'Diaye, Abdoulaye Meïté et Didier Drogba.
D'autres étaient potentiellement sélectionnables en équipe de France. Ainsi, Brahim Hemdani, né à Colombes, n'a opté pour la sélection algérienne qu'en 2008, alors qu'Abdoulaye Meïté a connu sa première sélection, avec la Côte d'Ivoire, en novembre 2003.
L'OM contre Auxerre : Runje (Croatie) - Beye (Sénégal), Van Buyten (Belgique), Méité (Côte d'Ivoire), Hemdani (Algérie) - Sytchev (Russie), S. N'Diaye (Sénégal), Celestini (Suisse), Vachousek (R. Tchèque) - Mido (Égypte), Drogba (Côte d'Ivoire).

Lyon a-t-il encore la force de rugir ?

Publié le 03/12/2013 à 03:52, Mis à jour le 03/12/2013 à 08:35 | 2

ligue 1. 16e journée. Pas le temps de savourer son succès sur Sochaux (5-1) pour le TFC qui, jeudi, visite un OL broyé lui au PSG (0-4).

Avant-hier, il n'y eut pas que le capitaine des Gones Maxime Gonalons à trébucher devant le roi Zlatan Ibrahimovic - auteur de 2 buts./ Photo AFP



Balayé dimanche soir au Parc, le champion des années 2000 voudra se refaire la cerise après-demain, à Gerland, face à Toulouse. Mais l’Olympique Lyonnais en a-t-il les moyens…
A rrêté sur coups de pied. Restant sur 5 matches sans revers, Lyon est tombé à Paris suite à 2 corners et 2 penalties. «C’est quand même un peu dur de s’incliner de la sorte, commentera son entraîneur. Peut-être, aussi, que la réussite nous a fuis…» ajouta Rémi Garde en citant la transversale de Lacazette alors que le tableau d’affichage attendait d’être défloré (27e). Dès hier après-midi, la troupe de Garde en rangs clairsemés a repris le collier sur les terrains de Tola-Vologe. Objectif Téfécé.
Radioscopie.
l Le poids de l’histoire.- Les stats ont la vie dure… En 32 confrontations L1, dans le repaire des Gones, le TFC a été défait à 19 reprises pour 5 petits succès (plus 8 nuls, donc). Pis : la dernière victoire violette remonte au 18 mai 1966. Quasi un demi-siècle ! Une éternité en foot ou ailleurs, qui en dit assez long sur l’ampleur de la tâche de la part des protégés d’Alain Casanova. Pour les nostalgiques, Toulouse avait gagné 1-0 grâce à un but d’Édouard Wojciak devant… 3.200 spectateurs. Un autre temps, qu’on vous dit !
l Une réaction d’orgueil.- Vexés, les Lyonnais le sont - nous assurait hier un suiveur de la formation de l’OL. Giflés sur le score de 1-5 à Montpellier début octobre, les Rhodaniens avaient, dans la foulée, su rectifier le tir devant les Girondins (1-1) puis Rijeka en C3 (1-0). Les Téfécistes peuvent s’attendre à souffrir au coup d’envoi.
l Le retour de Gomis.- Couché sur la feuille vs le Paris-SG (avec le brassard de capitaine dû à un… malencontreux saut de ligne) puis enlevé au dernier moment (hanche finalement trop douloureuse), Bafé Gomis courait comme un lapin hier. Le Tef, il adore : 7 réalisations en 15 rencontres pour l’international A. Soit sa «victime» préférée : comprendre qu’il n’y a pas d’autre équipe contre laquelle le grand ami de Gignac a inscrit plus de buts…
l Se servir de Lille.- Et ne pas oublier Saint-étienne comme Reims. Deux terrains «hostiles»
où le Téfécé a su s’imposer cette année sur le même résultat de 2-1. Mais au fil de 2 scenarii diamétralement opposés : bougé et mené chez les Verts, menant et dominant en Champagne. Bref, les Haut-Garonnais semblent rodés à tout type de déroulé. Y compris Fort-Alamo qu’ils ont vécu dans le Nord, là avec issue négative (0-1).
l Ouvrir le score.- On le sait : 7 fois sur 10, celui qui marque en premier récolte les 3 points. Aux Violets de s’en inspirer, sachant que leur adversaire n’affiche pas un caractère ne serait-ce que du même niveau qu’il y a tout juste quelques mois. Lisandro et sa grinta albiceleste, Reveillère et ses 400 matches en élite, Lovren coriace Croate sont partis cet été.
l Surfer sur la vague WBY.- Triplé à la clé, Wissam Ben Yed-der marche sur l’eau. S’il pouvait emmener ses camarades dans son sillage…

Brèves

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  Créé le 03/12/2013 - 10:20
  PSG-Thiago Silva: "Sûr qu'on peut aller au bout"
  
  Le PSG champion d'Europe dès 2013 ? Thiago Silva, le capitaine et défenseur brésilien du club de la capitale, lui y croit fermement, selon ses propos ce mardi dans les colonnes de L'Equipe. "Nous, on rêve de la Ligue des champions. Un joueur comme Ibra ne l’a jamais gagnée, il y pense beaucoup. Quand tu joues en Ligue des champions, tu sens la motivation arriver. Tu es plus concentré", explique ainsi le capitaine auriverde qui vient de balayer Lyon 4-0 avec le champion de France 2013 en clôture de la 15e journée de Ligue 1. "J’en suis convaincu, c’est notre objectif numéro 1, insiste-t-il, avant de conclure : "J’ai confiance en ce groupe. A la différence de l’année dernière, nous avons un groupe de 23 joueurs qui ont tous d’énormes qualités. Un match tu peux mettre Lavezzi et Lucas, le match d’après tu mets Cavani et Ménez, par exemple. Tu changes les joueurs mais tu gardes les mêmes qualités. Cette année, je suis sûr qu’on peut aller au bout."
  
  

16e j. Le PSG est tombé contre l'Evian-TG
Alors qu'il était invaincu depuis 36 matches, le PSG a vu sa série prendre fin mercredi soir sur la pelouse d'Evian (0-2). Le club de la capitale ne compte plus qu'un point d'avance sur son premier poursuivant, Lille. Monaco est à deux longueurs.

Le PSG de Zlatan Ibrahimovic a perdu son premier match de la saison. (L'Equipe)










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Le PSG n’est pas invincible. Alors qu’il avait l’occasion d’égaler son record de matches sans défaite (37) vieux de vingt ans, le club parisien est tombé ce mercredi contre l’Evian-TG (0-2) lors de la 16e journée de Ligue 1. Dans la froideur du Parc des Sports d’Annecy, les Parisiens ont montré deux visages différents. Dominateurs en première période, ils ont été davantage dans le dur dans la deuxième. Des difficultés qui peuvent s’expliquer par le choix de Laurent Blanc de ménager ses joueurs d'expérience, les Alex, Maxwell, Lavezzi et surtout de Thiago Motta, absent lors des six dernières défaites du PSG, et de les remplacer par des jeunes, Marquinhos, Rabiot et Digne, ainsi que Jérémy Ménez.

Ménez a raté l'immanquable
Si les trois premiers ont livré des prestations relativement solides - Marquinhos s’est toutefois pris un petit pont sur le premier but de l’ETG inscrit par N’Sikulu-, on ne peut pas en dire autant de l’attaquant français. Il a eu tendance à ralentir le jeu en portant trop le ballon et a multiplié les mauvais choix, tentant un dribble quand il fallait donner le ballon ou ratant ses passes, comme ce fut le cas à la 32e quand il en a envoyé une dans le talon d’Edinson Cavani qui filait vers le but. Ménez aurait pu permettre au PSG d’ouvrir le score en première période, mais il a raté l’immanquable sur un centre de Zlatan Ibrahimovic en voulant faire une tête (35e). Le ballon a finalement touché son torse… Il a ensuite envoyé une reprise du plat du pied dans le virage (40e) alors qu’il était seul devant le but de Jesper Hansen.

Pastore, deux pertes de balle qui font mal

Son remplaçant, Javier Pastore, n’a guère fait mieux. Il a été fautif sur les deux buts encaissés. C’est lui qui a perdu le ballon sur le premier but… Et il n’a pas assez appuyé sa tête sur une offrande de Zlatan Ibrahimovic (87e). Sur le contre, Sougou a hérité du ballon pour doubler la mise (87e). «C’est merveilleux pour tout un peuple, tout un public, toute une région», a déclaré Pascal Dupraz  t. «Il faut féliciter ces joueurs, mais ils m’emmerdent, a-t-il poursuivi. Il faut toujours qu’ils soient dans la difficulté pour se sublimer. S’ils pouvaient jouer comme ça plus souvent, je me ferais beaucoup moins de cheveux blancs.» Laurent Blanc doit aussi s’en faire. Le PSG est désormais sous la menace de Lille, qui le talonne à un point, et Monaco, troisième à deux points.

LIGUE 1
Le PSG avec ses cadres

Publié le Samedi 07/12/2013 à 06H53

C'est avec leur équipe type que les Parisiens accueillent Sochaux


Face à Sochaux, Verratti et ses partenaires veulent faire oublier leur défaite enregistrée à Evian.
Photo AFP



Le milieu italien Thiago Motta, absent mercredi lors de la première défaite de la saison du Paris SG à Evian/Thonon (2-0), fera son retour aujourd'hui lors de la réception de Sochaux pour la 17e journée de L1 au Parc des Princes.
"Thiago a fait un travail physique, il en avait besoin, avait expliqué Laurent Blanc en début d'après-midi hier avant la divulgation du groupe parisien. Il n'avait pas un problème de blessure (...) il est apte."
En revanche, le défenseur Lucas Digne et le milieu Adrien Rabiot, titulaires mercredi, ont déclaré forfait sur blessure. "Adrien Rabiot a reçu un gros coup à un genou, et Lucas Digne a lui reçu un coup à une cheville", avait expliqué l'entraîneur parisien sans donner plus de détails.
Info ou intox, une chose est sûre, le PSG ne peut se permettre de perdre une seconde fois d'affilée. Mercredi sur la pelouse d'Annecy, la défense parisienne ne comptait que le seul Thiago Silva parmi les titulaires. Ce soir c'est avec leur défense type que les joueurs de Laurent Blanc se présenteront et l'apport de Thiago Motta devrait permettre d'éviter une nouvelle mauvaise surprise aux Parisiens.

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17h , Parc des Princes. Arbitre : Saïd Ennjimi.
Paris SG : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Thiago Silva, Maxwell - Motta, Verratti, Matuidi - Cavani, Ibrahimovic, Lucas.
Entraîneur : Laurent Blanc.
Sochaux : Cros - Corchia, Peybernes (ou Zouma), Carlao, Faussurier - Contout, Nogueira, Lopy, Dias, A. Camara - Mayuka.
Entraîneur : Hervé Renard.

Le 09/12/2013 à 08:37:00 | Mis à jour le 09/12/2013 08:45:57
Foot Ligue des Champions PSG Ca va tourner







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Très sollicité depuis le début de saison, l'attaquant du PSG Zlatan Ibrahimovic va souffler un peu et ne participera pas mardi au match de Ligue des champions à Lisbonne contre le Benfica (20h45), son équipe étant déjà assurée de terminer à la première place de la poule C. Laurent Blanc pourrait aussi choisir de ménager Alex et Thiago Silva pour ce déplacement, ce qui induirait la titularisation de Zoumana Camara aux côtés de Marquinhos en défense centrale.

Le PSG y va sans stress






Publié à 06h00
Lavezzi est l'un des Parisiens relancés pour ce match sans enjeu. (AFP)
C'est un luxe de plus que peut s'offrir le PSG cette saison que de pouvoir aborder l'esprit léger un match de C1, sans en passer par un match-couperet lors de la dernière journée. Après l'accident contre Anderlecht (1-1) où ils avaient manqué d'obtenir leur accessit dès la 4e journée, les Parisiens ont ensuite rectifié le tir face à l'Olympiakos, certes dans la douleur (2-1, à dix contre onze). Tant est si bien qu'assuré de recevoir au retour en 8e de finale après une première phase convaincante, Paris a confirmé qu'il était un prétendant crédible à la victoire finale.
En attendant de défendre ce nouveau statut au printemps, les Parisiens se déplacent à Lisbonne dans la peau d'un leader invaincu au rôle d'arbitre dans le duel à distance pour la 2e place qualficative que se livrent Benfica (3e) et l'Olympiakos (2e) qui reçoit Anderlecht. Dans ce contexte, Laurent Blanc a choisi de ménager certains cadres qui ont beaucoup donné ces dernières semaines, à commencer par Ibrahimovic. Le Suédois en est à 21 buts, 7 passes décisives en 22 matches toutes compétitions confondues. Sa dernière démontstration en championnat date de samedi contre Sochaux (2 buts, 2 passes, 5-0). l

Manchester - Donetsk, Real Sociedad - Leverkusen, Galatasaray - JUventus Turin, Olympiakos - Anderlecht, Benfica - PSG, Plzen - CSKA Moscou, Bayern Munich - Manchester City.
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Les remplaçants vont devoir en montrer plus
Le PSG est assuré de terminer premier. Laurent Blanc va donc faire souffler ses cadres à Lisbonne.


Lucas Digne occupera le côté gauche de la défense. (photo afp)

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C’est un luxe de plus que peut s’offrir le PSG cette saison que de pouvoir aborder l’esprit léger un match de C1, sans en passer par un match-couperet lors de la dernière journée. Après l’accident contre Anderlecht (1-1) où ils avaient manqué d’obtenir leur accessit dès la 4e journée, les Parisiens ont ensuite rectifié le tir face à l’Olympiakos, certes dans la douleur (2-1, à dix contre onze).
En attendant de défendre ce nouveau statut de candidat au titre au printemps, les Parisiens se déplacent à Lisbonne dans la peau d’un leader invaincu au rôle d’arbitre dans le duel à distance pour la 2e place qualificative que se livrent Benfica (3e) et l’Olympiakos (2e) qui reçoit Anderlecht.


Dans ce contexte, Laurent Blanc a choisi de ménager certains cadres qui ont beaucoup donné ces dernières semaines, à commencer par Ibrahimovic. Le Suédois, irrésistible, en est à 21 buts, 7 passes décisives en 22 matches toutes compétitions confondues. Sa dernière démonstration en championnat samedi contre Sochaux (2 buts, 2 passes, 5-0) a largement contribué à remettre sur de bons rails le PSG qui venait de concéder sa première défaite de la saison à Evian/Thonon (2-0).
Même si la raison l’a finalement emporté, nul doute que Laurent Blanc a dû batailler pour convaincre sa star insatiable de faire l’impasse sur Lisbonne, surtout que cela aurait pu être l’occasion pour Zlatan d’améliorer son total de 8 buts en phase de groupes de C1, un record qu’il partage cette saison avec Cristiano Ronaldo, et dans l’histoire avec Ruud van Nistelrooy (saison 2004-2005), Filippo Inzaghi et Hernán Crespo (saison 2002-2003, tous deux).
Blanc « déçu »
Comme « Ibra », la charnière centrale Thiago Silva et Alex, a été mise au repos, tandis que Verratti et Van der Wiel doivent purger un match de suspension. Contre Evian la semaine passée, Blanc avait décidé de faire tourner, s’adaptant selon les exigences d’un calendrier resserré et fort de garanties que lui avaient données ses remplaçants depuis le début de saison. La défaite, la première en 37 matches toutes compétitions confondues, fut d’autant plus pénible que « certains joueurs » l’ont « déçu ».
Parmi ceux-ci, Jérémy Ménez et Javier Pastore apparaissent en première ligne et auront gros à jouer… si jamais ils jouent. Le Français n’a pas la garantie de débuter en attaque aux côtés de Cavani et Lucas, car l’entraîneur parisien pourrait avoir envie de relancer Lavezzi, qui a laissé entrevoir du mieux contre Sochaux (1 but) dans son actuelle période sans. Pastore, dont Blanc affectionne les qualités, devrait, lui, avoir une nouvelle chance de les démontrer, à moins que Rabiot lui soit préféré pour suppléer Verratti.
Marquinhos, impliqué sur les deux buts d’Evian, tentera, lui, de se rassurer aux côtés de Zoumana Camara en défense centrale, tandis que Jallet devra faire à droite aussi bien que le jeune Digne à gauche lorsqu’il remplace Maxwell.

Pas de pression? Extraordinaire»Assuré de terminer premier de son groupe, le PSG peut jouer sur le terrain du Benfica Lisbonne sans pression. «C'est une chance extraordinaire» pour Laurent Blanc. Mais Christophe Jallet aimerait «conserver la dynamique de victoires».378a+
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RSS Se passer d’Ibrahimovic, Thiago Silva ou encore d’Alex pour un match de Ligue des champions est un luxe que le PSG peut s’octroyer grâce à son excellent début de saison dans la compétition (quatre victoires, un nul). «Jouer pour du beurre, ça ne m’est jamais arrivé. Surtout en C1. C’est extraordinaire», a souri Laurent Blanc. Ainsi, la rencontre face au Benfica Lisbonne s’annonce atypique, notamment car le PSG fera tourner son effectif et donnera leur chance aux jeunes. «C’est un match fabuleux à jouer pour eux, dans un tel stade, dans cet endroit chargé d’histoire, s’est enthousiasmé le technicien parisien. Il n’y aura pas de pression. C’est idéal pour débuter dans cette compétition.»
Malgré le turn-over, Blanc espère que «le niveau sera la même que ces derniers temps» et que son club sera «le premier club français à gagner à Lisbonne». Néanmoins, l’entraîneur du PSG espère que «le niveau sera la même que ces derniers temps» et que son club sera «le premier club français à gagner à Lisbonne» face au Benfica. Christophe Jallet, qui devrait être capitaine mardi soir, estime aussi que cette rencontre possède de nombreux intérêts : «Les jeunes vont pouvoir s’imprégner de l’atmosphère de ces grands rendez-vous. C’est une chance.» Pour les joueurs en manque de temps de jeu, comme lui, l’occasion est trop belle pour la gâcher. «Il y a des objectifs personnels à faire valoir… Et puis, le meilleur moyen de briller en Ligue des champions, de revenir à la Luz pour disputer la finale, c’est de ne négliger aucun match», poursuit le latéral droit. Si Paris a été impressionnant lors de l’aller face aux Portugais (3-0), cela n’avait «pas été le cas il y a trois ans», rappelle Jallet. Le PSG s’était alors incliné en Ligue Europa (1-2).

Football Ligue des Champions (Phase de groupes, 6e et dernière journée)   Quatre monuments en danger
mardi 10 décembre 2013
Lionel Dangoumau

La Juventus de Paul Pogba sera qualifiée pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions si elle ne perd pas sur le terrain de Galatasaray ce mardi. (Photo PresseSports)










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Tous anciens vainqueurs, la Juventus Turin, l'AC Milan, le FC Porto et le Borussia Dortmund sont menacés, à des degrés divers, d'une élimination.

QUOI QU'IL ARRIVE ce soir et demain, il ne manquera pas beaucoup de favoris au rendez-vous : le Bayern Munich, le FC Barcelone et le Real Madrid, les deux clubs de Manchester, Chelsea, le Paris-SG sont déjà assurés de retrouver la Ligue des champions en février, pour les huitièmes de finale....

PSG: Thiago Silva, Alex et Ibra absents contre Benfica
Assurés de terminer premier de sa poule avant la dernière journée de la Ligue des champions contre Benfica, le PSG va en profiter pour faire reposer certains de ses cadres. Laurent Blanc a décidé de laisser au repos Ibrahimovic, Thiago Silva et Alex. L’entraîneur de l’équipe parisienne sera privé par ailleurs de Verratti et Van der Wiel, suspendus, pour le déplacement au stade de la Luz mardi soir. Le groupe parisien: Sirigu, Douchez - Diaw, Camara, Digne, Jallet, Marquinhos, Maxwell – Matuidi, Thiago Motta, Pastore, Rabiot, Ménez, Lucas, Coman - Cavani, Lavezzi, Ongenda, Traoré.

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Mercredi 11 décembre 2013
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Football Ligue des champions : les PSG s'incline face à Benfica (2-1)
Midilibre.fr
10/12/2013, 22 h 41 | Mis à jour le 10/12/2013, 22 h 46



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Le PSG a été battu 2 à 1 par Benfica. (AFP FRANCISCO LEONG)
Le PSG s'est incliné sur le terrain de Benfica mardi (2-1). Cette défaite met fin à une série de 13 matches sans défaite en C1
Déjà qualifié et assuré de terminer premier de sa poule, le PSG s'est incliné sur le terrain de Benfica mardi (2-1). Cette défaite met fin à une série de 13 matches sans défaite en C1

Sans neuf titulaires à Guimaraes, mais avec A. Lopes







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Rémi Garde a convoqué un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Guimaraes, jeudi en Ligue Europa (21h05). Mais neuf titulaires vont rester à Tola-Vologe. Il s'agit de Vercoutre, M. Lopes, Umtiti, Bedimo, Gonalons, Fofana, Malbranque, Grenier et Lacazette. Dabo, Bahlouli, Ghezzal et Briand sont, eux, soit à l'infirmerie soit en phase de reprise.

Gorgelin devrait être aligné dans le but, alors qu'Anthony Lopes, qui était blessé depuis le match contre Guingamp (2-0) le 2 novembre dernier, effectue son retour.

Le groupe lyonnais
B. Koné - S. Koné - Benzia - Bisevac - Danic - Gomis - A. Lopes - Gorgelin - Gourcuff - Fekir - Sarr - Njie - Plea - Tolisso - Ferri - Labidi - Zeffane - Mvuemba.

Paris n'est pas le même...


Pastore n'a pas brillé...

Par Axel Capron
Publié le 10 décembre 2013 à 22h43
Mis à jour le 10 décembre 2013 à 23h01

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• 12 réactions
  

Sans Ibrahimovic, Alex, Thiago Silva et Verratti, le PSG s'est incliné mardi soir à Lisbonne face à Benfica (2-1), une fin de série en Ligue des champions sans conséquences car l'équipe de la capitale jouera les huitièmes de finale. Pas Benfica...
La série en Championnat s’est arrêtée mercredi dernier sur une défaite à Annecy face à Evian (2-0), celle en Ligue des champions a pris fin ce mardi soir à Lisbonne pour le PSG qui a subi en terre portugaise sa première défaite dans la compétition européenne depuis treize matches et un revers le 3 octobre 2012 à… Porto (1-0). Le Portugal ne réussit pas ces derniers temps à Paris, le stade de la Luz non plus, où aucun club tricolore ne s’est imposé en C1, mais cette défaite restera finalement anecdotique pour une équipe de la capitale qui, même si elle ne le dit pas ouvertement, aspire à de nouveau fouler la pelouse lisboète cette saison en Ligue des champions…
Ce ne serait pas contre Benfica, puisque la victoire d’Olympiakos face à Anderlecht (2-1) dans le même temps qualifie la formation grecque pour les huitièmes de finale aux dépens de sa rivale portugaise, qui se contentera de la Ligue Europa (dont elle a été finaliste malheureuse la saison dernière face à Chelsea), ce serait en finale, le 24 mai 2014, date cochée par certains supporters parisiens dans leur agenda. Sans doute pas encore par Laurent Blanc qui sait que, à partir de février, ses protégés vont réellement entrer dans le vif du sujet de cette C1. Car la phase de poules aura finalement été une petite promenade de santé que le coach parisien aurait cependant bien conclue par une cinquième victoire (pour un nul).

Une envie évaporée à la pause
Il aurait fallu pour cela qu’il aligne une toute autre équipe que celle vue à Lisbonne. En laissant Thiago Silva, Alex et Ibrahimovic à la mauison, le «Président», privé en outre de Verratti et van der Wiel, suspendus, mais également de Jallet, blessé de dernière minute, savait que les chances de revenir du Portugal avec les trois points étaient moindres, il espérait cependant que les joueurs titularisés, dont Marquinhos, Camara, Pastore, Ménez ou l’invité de la dernière heure, le jeune Traoré, aligné à droite de la défense, sauraient saisir leurs chances. Ils ne l’ont pas fait, à des degrés divers. Pourtant, la première période, malgré quelques alertes sur le but d’un Sirigu vigilant, a été plutôt sérieuse dans un 4-3-3 avec Pastore au milieu, Paris donnant l’impression d’être supérieur en maîtrise, ce qui se concrétisera d’ailleurs par l’ouverture de score de Cavani, servi par Ménez après une bonne passe de Pastore (1-0, 37e).
Mais le PSG ne parviendra pas à conserver cet avantage à la pause, par la faute d’une erreur un peu naïve de Traoré, auteur d’un involontaire «coup de boule» sur Silvio dans la surface parisienne, Lima se chargeant de convertir le penalty avant les citrons (1-1, 45e). Le problème pour le PSG, c’est que la seconde période va être particulièrement insipide avec aussi peu d’envie que de mouvements offensifs, Lavezzi, entré en jeu, ratant les deux seules occasions de son équipe. Et une erreur défensive collective sur le but de la victoire adverse, partagée entre Digne, Ménez, Pastore et le pauvre Camara, qui remettra le centre tendu de Maxi Pereira sur Gaitan, permettra à ce dernier de faire mouche (2-1, 58e).
Pas de révolte derrière et des attitudes résignées qui ne feront pas beaucoup pour la cote de popularité des Ménez, Pastore voire Lavezzi auprès de Laurent Blanc. Ce dernier s’était ouvertement déclaré "déçu" de l’attitude de certains après la défaite face à Evian (2-0), sa déception est sans doute montée d’un cran au soir de ce second revers de la saison qui, même s’il ne compte pas, sera finalement riche en enseignements en vue du prochain mercato. Certains peuvent sans doute préparer leurs valises et ne seront pas au rendez-vous des huitièmes de finale de la C1 en février…

Des Anglais à éviter
Le club ne voudra sans doute pas croiser les clubs huppés en 8es de finale.


L’an passé, « Ibra » et ses équipiers avaient été épargnés par le tirage. Qu’en sera-t-il cette année ? Réponse le 16 décembre. (afp)

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Arsenal, Manchester City, voire l’AC Milan. Voilà autant de clubs que le Paris Saint-Germain aimerait éviter d’avoir sur son chemin pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions (tirage au sort le 16 décembre). Le club de la capitale, tête de série en tant que premier, avait déjà obtenu un tirage clément la saison dernière à ce stade, contre Valence. Il avait ensuite raté de peu le dernier carré en se faisant sortir sans perdre par le FC Barcelone (2-2, 1-1).
Attention danger




la Juve rend les armes. La Juventus Turin a été éliminée, en concédant sous la neige une défaite 1 à 0 face à Galatasaray, qualifié pour les 8es de finale. Après une première demi-heure de jeu interrompue mardi soir pour cause de tempête de neige, c’est le Néerlandais Sneijder qui a éliminé la Juve (85e).
Dortmund de justesse. C’est cruel pour l’OM, mais ç’aurait pu être pire encore pour Dortmund. Grosskreutz (87e) a sauvé les vice-champions d’Europe qu’un nul éliminait.
L’AC Milan sans briller. Au bout du suspense, le Milan a conservé sa 2e place avec ce nul vierge face à l’Ajax. Les Rossoneri ont eu le mérite de tenir le nul alors qu’ils ont longtemps joué à dix après l’exclusion du capitaine Montolivo (22e).
naples y a cru jusqu’au bout. Le Napoli fut qualifié pendant un quart d’heure, entre le but de Higuain (73e) et celui de Grosskreutz pour Dortmund (87e). Les Italiens sont éliminés (2-0) et reversés en C3.
le carton du barça. Un point suffisait pour finir en tête du groupe, mais le Barça, déjà qualifié, voulait surmonter ses deux défaites de rang en C1 et Liga. Avec 6 buts inscrits face au Celtic Glasgow, la mission est remplie, grâce à un triplé de Neymar.
Et cette année, trois clubs seront de redoutables adversaires à négocier. À l’image de Manchester City qui a fait plier (3-2) chez lui le Bayern champion d’Europe après avoir été mené 2-0, une performance marquante. Les champions d’Angleterre 2012 possèdent un effectif très fourni dans le secteur offensif, et une défense articulée autour de Kompany.
De son côté, Arsenal domine la Premier League (leader avec cinq points d’avance sur Liverpool et Chelsea) et a trouvé son équilibre, porté notamment par un Ramsey qui a pris une autre dimension et un Özil qui s’est parfaitement intégré.
Enfin, même si l’AC Milan est en plein ventre mou en Série A (9e, à 22 points du leader, la Juventus), ses joueurs possèdent l’expérience des joutes européennes et quelques joueurs de classe mondiale (Kaka, Balotelli, Robinho).
Un bon coup à jouer
D’autres équipes qualifiées seront néanmoins plus abordables pour le PSG. À commencer par Leverkusen. L’équipe de la Ruhr n’a rien d’un foudre de guerre en C1, dont elle n’a atteint que deux fois les 8e de finale en dix ans. Mais c’est aussi la seule équipe allemande qui s’accroche, à 4 points du leader, au rythme imposé par le Bayern en championnat.
De son côté, Galatasaray, qualifié en profitant des errements de la Juventus, présente de sérieux atouts offensifs mais aussi de sérieuses lacunes défensives.
Schalke 04, enfin, demi-finaliste de 2011, éliminé en Coupe d’Allemagne et largué en Bundesliga (6e à 17 longueurs du Bayern), ne présente guère de joueurs reconnus, et Huntelaar, son buteur n° 1, est indisponible jusqu’à fin février.

Ligue Europa : Les Girondins devront s’inspirer des opérations Panionios et Maccabi Haïfa
En 2007 et 2009, les Girondins de Bordeaux avaient remporté des matches sans enjeu, avec des équipes « B »


La photo twittée par D’Alméida, Touré, Pellenard et Barbet. (ph. dr)

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En arrivant à l’aéroport Ben Gourion sur les coups de 21 heures mardi soir, David Bellion a dû servir de grand frère aux quatre jeunes de l’équipe de CFA, retenus pour jouer le match d’Europa League contre le Maccabi Tel Aviv jeudi. Il est en effet le seul survivant de l’expédition du 8 décembre 2009 quand les Girondins, vainqueurs de tous leurs matches de Ligue des Champions, avaient affronté le Maccabi Haïfa dans une partie sans enjeu.
Francis Gillot a débarqué en Israël avec seize hommes, là où Laurent Blanc en avait à peine retenu quinze. C’était une équipe « B » qui comprenait tout de même certains de ses titulaires habituels, comme Ramé, Fernando et Wendel à côté de Traoré, Sertic et Glombard, petits jeunes lancés à la découverte d’un autre monde. Ce onze-là avait réussi sa mission, en s’imposant 1-0 sur un but de Jussiê à la 13e minute.


Trémoulinas se révèle
Il ne reste plus aucun joueur en revanche de l’« opération Panionios » en 2007. Laurent Blanc, déjà qualifié pour les 16es de finale de la Coupe UEFA, avait choisi des jeunes pour se mesurer aux Grecs le 19 décembre à Athènes, avec quelques valeurs sûres, comme Cavenaghi et, déjà, Jussiê.
Cette formation qui s’était trouvée menée 2-0, avait prouvé la qualité de ses espoirs, en arrachant la victoire 3-2, avec un but de Cavenaghi, une égalisation de Trémoulinas et un coup de tonnerre de Moïmbé. Pour Trémoulinas, ce match avait été un révélateur. Qu’en sera-t-il pour Sessi D’Alméida, Thomas Touré, Théo Pellenard et Yoann Barbet demain soir ?
L’équipe probable : Olimpa ; Chalmé, Savic, Planus, Bréchet, Orban ; Rolan, D’Alméida, Ben Khalfallah ; Sacko, Bellion.

Sans la Juventus, Naples et Porto

Publié le 12/12/2013 à 03:51

Ligue des champions. Tirage au sort ce lundi des 8e de finale.

Neymar et le FC Barcelone, qui ont cartonné hier soir (un triplé du Brésilien) se sont rappelés hier soir au bon souvenir de l'Europe du football./ Photo AFP



Il manquait déjà l’Inter, coupable de n’avoir terminé que 9e de la dernière Série A, à sept points de la dernière place qualificative pour la consolante de l’Europe.
Depuis hier après-midi, il manque la Juventus, 29 championnats et 6 coupes d’Europe, dont 2 Ligue des champions, plus de 400 matches sur les scènes européennes, quart de finaliste la saison dernière contre le Bayern.
Mais le champion d’Italie a manqué sa phase de groupes, une seule victoire à domicile contre le FC Copenhague, trois nuls et deux défaites contre les qualifiés du groupe B, le Real Madrid et Galatasaray, qui s’étaient déjà croisés en quarts la saison dernière.
Hier soir enfin, Naples a cru au miracle. Mais, en ne gagnant «que» 2-0, le Napoli de Rafa Benitez (ex-Liverpool) n’a fait que contrarier l’Arsenal de Wenger, puisque la victoire du Borussia Dortmund permet au dernier finaliste de la Ligue des champions de souffler la première place du groupe au club londonien, au bénéfice du plus grand nombre de buts marqués à l’extérieur dans leurs deux affrontements !
Carton plein des clubs anglais et allemands
La Berezina du football italien s’arrête là, avec un nul à domicile de l’AC Milan, qui permet au club lombard (1 carton rouge et quatre cartons jaunes) de devancer d’un maigre souffle l’Ajax Amsterdam dans le groupe des champions d’Europe.
Un seul club italien qualifié en huitième de finale, un de moins que la saison passée, deux de moins qu’il y a deux et trois ans, on est loin de la finale 100 % italienne de 2002-2003…
Mais on se rapproche peut-être d’une finale saxonne : quatre clubs anglais (Chelsea, Manchester United, Arsenal et Manchester City) et quatre clubs allemands (Bayern, Borussia, Bayer Leverkusen et Schalke 04) sont qualifiés !
Un impressionnant carton plein, que conteste le football ibérique, qui place ses trois monstres sacrés dans la course au titre. Par rapport à la saison dernière, qui voit les confirmations du PSG et de Galatasaray, quarts de finaliste du dernier exercice, on relève l’absence des clubs hollandais et portugais, puisque le FC Porto et le Benfica sont reversés en Ligue Europe, et le retour d’outsiders comme Olympiakos, déjà là en 2008 et 2010, et du Zenit Saint Petersbourg, qualifié il y a deux saisons.
Lundi, le tirage au sort accueillera le Top 6 européen, et quelques appétits grandissants (PSG, Atletico Madrid) qui relèvent encore le niveau de la compétition : le printemps de l’Europe du football sera chaud, très chaud.

12/12/2013 à 03:51

Ligue des champions. Tirage au sort ce lundi des 8e de finale.

4 clubs anglais Chelsea, Manchester United, Arsenal et Manchester City
4 clubs allemands Bayern, Borussia, Bayer Leverkusen et Schalke 04
3 Espagnols Barca Real Madrid Atletico Madrid
AC Milan, PSG , Galatasaray, Olympiakos, Zenit Saint Petersbourg,
Lundi, le tirage au sort accueillera le Top 6 européen, et
quelques appétits grandissants (PSG, Atletico Madrid) qui relèvent encore le niveau de la compétition :
le printemps de l’Europe du football sera chaud, très chaud.

Bordeaux jouera pour l'indice

Publié le 12/12/2013 à 03:48

. Ligue Europe. Dernière journée de poules.

Abdou Traoré sur la liste des Bordelais ce soir en Israël./ AFP



Lyon, déjà qualifié, visera à Guimaraes la première place de son groupe alors que Bordeaux, déjà éliminé, ne jouera à Tel-Aviv face au Maccabi que pour l’honneur et pour l’indice UEFA aujourd’hui lors de la sixième et dernière journée de la phase de poules de la Ligue Europe. Rémi Garde a décidé de laisser à Lyon de nombreux cadres et titulaires potentiels (Vercoutre, M. Lopes, Umtiti, Bedimo, Gonalons, Fofana, Malbranque, Grenier, Lacazette, Dabo, Briand…). Les présents auront sans doute à cœur de finir cette phase de poules invaincus. Pour Bordeaux en revanche, l’aventure européenne est déjà terminée, depuis une défaite à domicile contre Francfort lors de la précédente journée. Derniers de leur groupe avec seulement trois points, les Girondins peuvent tout de même compliquer la vie de leur adversaire du soir, le Maccabi Tel-Aviv, qui n’a besoin que d’un point pour passer. Et une victoire permettrait d’apporter un écot à l’indice UEFA de la France… Parmi les grands noms encore en lice, le PSV Eindhoven et le Dynamo Kiev semblent bien placés puisqu’un nul leur suffit. Les huit formations ayant terminé à la 3e place des groupes de la Ligue des champions seront reversées dans ces 16e de finale de C3 (tirage au sort lundi prochain). Les premiers des groupes de C3 et les quatre meilleurs 3e de C1 seront tête de série et recevront au retour des 16e de finale.
- Maccabi Tel-Aviv-Bordeaux à 19 heures sur beIN Sport 1 ; Vitoria Guimaraes-Lyon à 21 h 05 sur beIN Sport 1 et W9.