QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

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Créé le 16/10/2013 - 20:58
OL: Lacombe s'en prend aux jeunes

Interrogé par Le Progrès, ce mercredi, Bernard Lacombe s’est payé les jeunes joueurs de l’OL, dont il juge l’investissement insuffisant. "C'est un problème de mentalité générale. Quand je les vois derniers dans les footings, je ne comprends pas. Ils doivent montrer au coach qu'ils ont envie d'être dans l'équipe première. Je leur en veux dans l'attitude, pas du tout pour l'argent qu'ils gagnent. L’autre jour, j’ai dit à Benzia: « Tu viens d’en prendre 4 à Villefranche, tu en as pris 4 contre Moulins, ayez un peu de fierté, d’orgueil. » Champion du monde des moins 20, c’est quoi ? C’est bien. Mais ce n’est pas une finalité et une carrière passe très vite", lance le conseiller du président Aulas. Pour lui, les jeunes doivent désormais se prendre en main, pour aider le club à sortir de sa mauvaise passe. "Pour l'instant, certains jeunes n'ont pas beaucoup démontré qu'ils avaient le niveau. Je n'ai pas l'impression que tous les jeunes soient obnubilés par la victoire. Pour eux, perdre n'est pas grave", conclut-il.

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Créé le 16/10/2013 - 20:54
LdC (D): L’OL régale Gerland

Victorieuses 4-0 à l’aller, aux Pays-Bas, les joueuses de l’OL ont confirmé cette performance mercredi soir face à Twente lors des 16e de finale retour de la Ligue des champions féminine. Les joueuses de Patrice Lair ont même fait mieux en s’imposant 6-0 au stade de Gerland grâce à des buts de Tonazzi (13e), Necib, d’une frappe « juninhesque » (25e), Bussaglia (60e), Le Sommer (73e), Schelin (81e) et Rapinoe (84e). Les Lyonnaises, finalistes des quatre dernières éditions (pour deux victoires en 2011 et 2012) affronteront en 8e de finale les Allemandes de Potsdam, leurs adversaires des finales 2010 et 2011.

/ Foot

Arsenal pour prendre les commandes Le Borussia Dortmund à la relance

Marseille / Publié le samedi 19 octobre 2013 à 06H59



Wenger pourrait faire souffler Özil.
Photo cyril sollier



Deux semaines après sa première défaite et la perte du rang de leader, Dortmund doit absolument renouer avec la victoire, aujourd'hui contre Hanovre (5e), pour rester au contact du Bayern Munich, appelé à poursuivre son invincibilité face à Mayence (11e), et du nouveau leader Leverkusen, vainqueur d'Hoffenheim (1-2), hier. "On veut vraiment gagner à nouveau et ce sera un gros défi", a déclaré le coach Jürgen Klopp en référence au casse-tête posé par les blessures qui ont accompagné le premier faux pas à Mönchengladbach (2-0).
"Mais la situation est moins grave qu'attendu", a rassuré "Kloppo" qui, après la trêve internationale, devrait récupérer Nuri Sahin et Marco Reus pour composer le quatuor de milieux derrière le buteur Robert Lewandowski. Derrière, si Marcel Schmelzer sera encore absent, le Grec Sokratis paraît apte pour pallier la suspension de Mats Hummels.
La victoire, de préférence sans nouveaux bobos, est d'autant plus importante que le Borussia se déplacera trois jours plus tard à Arsenal pour défendre ses chances sur la scène européenne.
Borussia Dortmund-Hanovre à 15h30 sur Sport+
Co-leaders avec Liverpool, Arsenal aimerait retrouver seuls les sommets. La réception de Norwich (17) semble un obstacle raisonnable pour les Gunners. Du coup, alors qu'il retrouve Cazorla et Sagna, Arsène Wenger se demande même si avant de recevoir Dortmund mercredi, il ne va pas préserver son meneur Özil. Prudence quand même car, après dix victoires d'affilée, le nul à West Bromwich Albion, le deuxième après celui en Coupe, reste un coup d'arrêt. "Fin novembre, on en saura plus sur le potentiel de chacun et je pense que fin mai, j'ai confiance, nous serons contents", a confié l'Alsacien, optimiste comme rarement devant les actionnaires d'Arsenal.
Arsenal-Norwich à 16 heures, en direct sur Canal+ Sport

LIGUE DES CHAMPIONS
Arsenal vers les huitièmes

Publié le Mardi 22/10/2013 à 05H10





Arsenal peut entrevoir ce soir les huitièmes de finale de la C1 en cas de succès contre Dortmund et comptera pour cela sur son meneur allemand Mezut Özil, formé à Schalke 04, rival du Borussia, et qui n'en finit pas de monter en puissance.
Arsenal : Szczesny - Sagna, Mertesacker, Koscielny, Gibbs - Ramsey, Arteta - Rosicky, Özil, Wilshere - Giroud. Borussia Dortmund : Weidenfeller - Grosskreutz, Subotic, Hummels, Schmelzer - Sahin, S. Bender - Blaszczykowski (ou Aubameyang), Mkhitaryan, Reus - Lewandowski.

Sans Jallet et Pastore contre Anderlecht







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Christophe Jallet et Javier Pastore n'ont pas été retenus dans le groupe parisien pour le déplacement du PSG, mercredi (20h45) en Ligue des champions face à Anderlecht. Tandis que le latéral droit s'est blessé samedi face à Bastia (4-0), son coéquipier argentin est  toujours convalescent. Avec Thiago Silva, qui finit de se soigner, ils seront les seuls absents à Bruxelles. Car un temps incertain, Zlatan Ibrahimovic, qui souffre toujours d'un genou, a lui bien été convoqué par son entraîneur Laurent Blanc.

Le groupe parisien :
Douchez, Maignan, Sirigu - Alex, Camara, Digne, Marquinhos, Maxwell, Van der Wiel - Lucas, Matuidi, Ménez, Motta, Ongenda, Rabiot, Verratti - Lavezzi, Ibrahimovic, Cavani, Coman

/ Foot

LIGUE DES CHAMPIONS
Paris veut enfoncer le clou

Publié le Mercredi 23/10/2013 à 06H10

En cas de succès, la qualification pour les 8es serait proche




Irrésistible depuis le début de saison, le Paris SG affronte ce soir Anderlecht, une équipe aux abois qui ne semble pas en mesure de l'empêcher d'avancer encore un peu plus vers la qualification pour les 8es de finale.
Invaincu depuis le début de saison, le club parisien reste sur une impressionnante série de neuf victoires et un nul. Samedi, il a détruit Bastia (4-0) avec deux chefs-d'oeuvre signés Ibrahimovic et Cavani et une équipe largement remaniée, où cinq titulaires avaient 21 ans ou moins. Le spectacle n'a pas dû être très rassurant pour les joueurs d'Anderlecht, qui ont peiné vendredi à battre Mons (2-0), la lanterne rouge de la Jupiler League.
Si Paris joue à son niveau, il sera très compliqué pour les Belges de s'en sortir lors d'un match qui inquiète les autorités, du fait des risques de violences entre hooligans des deux camps. Après avoir fait tourner son effectif samedi, par obligation surtout avec les suspensions de Verratti et Motta et les retours tardifs de sélection des Sud-Américains, Laurent Blanc va aligner son équipe-type, à l'exception de Thiago Silva, blessé.
"On est dans une bonne phase, une bonne série et la philosophie de jeu est toujours la même, a déclaré Laurent Blanc, hier. Pour le moment, ça nous réussit et je pense que l'on peut encore progresser. On peut encore s'améliorer, notamment au niveau de l'efficacité face au but."
Ce qui peut être de nature à provoquer des sueurs froides aux Belges. Car les deux premières journées de Ligue des champions ont montré à quel point le PSG, dont les vraies ambitions européennes se situent désormais au mois de mai, était supérieur à l'Olympiakos (4-1) et à Benfica (3-0). Or, ces deux équipes ont battu Anderlecht sans grande difficulté, Benfica s'imposant 2-0 à Lisbonne et l'Olympiakos venant gagner 3-0 à Bruxelles.
Anderlecht, club le plus titré du royaume, vit une période de transition. Après le départ de nombreux cadres au mercato, comme Biglia (Lazio), Mbokani (Dynamo Kiev) ou Jovanovic (arrêt), l'équipe a été considérablement rajeunie. Ainsi, le milieu défensif Tielemans n'a que 16 ans, alors que le meneur de jeu Praet, le défenseur Mbemba ou le buteur serbe Mitrovic, récemment désigné meilleur joueur de l'Euro des moins de 19 ans, n'ont pas 20 ans.

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À 20h45, stade Constant Vanden Stock.
Arbitre : David Borbalan (ESP).
Anderlecht : Kaminski - Mbemba, Nuytinck, Kouyaté, N'Sakala - Gillet, Kljestan, Tielemans, Praet, M. Suarez - Mitrovic.
Entraîneur : John van den Brom.
Paris SG : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Marquinhos, Maxwell - Verratti, Thiago Motta, Matuidi - Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi.
Entraîneur : Laurent Blanc.

Paris veut enfoncer le clou
LIGUE DES CHAMPIONS En cas de succès, la qualification pour les 8es serait procheÀ 20h45, stade Constant Vanden Stock.
Arbitre : David Borbalan (ESP).
Anderlecht : Kaminski - Mbemba, Nuytinck,
Kouyaté, N'Sakala - Gillet, Kljestan,
Tielemans, Praet, M. Suarez - Mitrovic.
Entraîneur : John van den Brom.
Paris SG: Sirigu - Van der Wiel, Alex, Marquinhos,
Maxwell - Verratti, Thiago Motta,
Matuidi - Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi.
Entraîneur : Laurent Blanc.

Thiago Motta, Lavezzi, Maxwell et Matuidi seront titulaires
ce soir face à Anderlecht.

Anderlecht: Le gardien demande la clémence de "Zlatan"
Publié le 23 octobre 2013 à 16h12




Journée particulière pour Thomas Kaminski. Le portier d'Anderlecht va affronter le Paris Saint-Germain, mercredi soir, pour le compte de la 3e journée de Ligue des champions, le jour de son anniversaire. Le jeune joueur belge espère d'ailleurs que Zlatan Ibrahimovic ne va pas lui gâcher la fête et lui a adressé un message personnel dans la presse. "Mais imaginez si nous perdons 0-5 face au PSG. Cela gâcherait sérieusement mon anniversaire. C'est pourquoi je lance un appel: «Ibrahimovic s'il te plaît, épargne-moi d'un but de classe mondiale». Arrêter un penalty de Zlatan et prendre des points face au PSG serait un cadeau parfait pour moi", a-t-il déclaré dans les colonnes de Het Nieuwsblad.

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Ibracadabra !
Publié le Jeudi 24/10/2013 à 06H10
Auteur d'un quadruplé à Anderlecht, le Suédois régale le PSG


À l'heure où l'OM éprouve les pires difficultés à marquer un but, Zlatan Ibrahimovic s'est offert un festival hier soir, sur la pelouse du stade Constant Vanden Stock. À Bruxelles, il n'aura finalement manqué qu'un but de la tête au géant suédois pour compléter son tableau de chasse de la soirée, où tout le panel du buteur y est passé. D'un positionnement juste pour l'ouverture du score, sur un caviar de Van der Wiel, à la conduite de balle adroite et la conclusion efficace pour le 5e du PSG (et son 4e personnel). En passant par deux chefs-d'oeuvre : une talonnade inspirée digne de Rabah Madjer et une frappe surpersonique de 20 mètres dans la lucarne du malheureux Kaminski, qui a fait se lever une grande partie des supporters d'Anderlecht, médusés.

Déjà phénoménal samedi contre Bastia, Zlatan Ibrahimovic a encore tutoyé les sommets hier, sous les projecteurs de la Ligue des champions, au sein d'un collectif parisien en pleine démonstration. La soirée fut bien longue pour la jeune équipe belge, baladée une grande partie de la rencontre et qui doit déjà craindre son prochain déplacement au Parc, le mardi 5 novembre. De son côté, Paris a déjà un pied en huitièmes de finale. Et un magicien dans ses rangs : Ibracadabra...

Le PSG a bénéficié des exploits d'Ibrahimovic

Publié le 24/10/2013 à 03:49, Mis à jour le 24/10/2013 à 07:45 | 1

ligue des champions. 3e journée. Les Parisiens ont bénéficié des exploits de leur capitaine en Belgique (5-0).

Le coup de canon de Zlatan Ibrahimovic, son 3e but, en pleine puissance./ Photo AFP



On aimerait bien savoir ce qu’a voulu signifier Zlatan Ibrahimovic, que l’on a vu souffler, après son 3e but. Etait-il seulement surpris d’avoir réussi cette merveilleuse reprise des 35 mètres, en puissance, au sortir d’un mauvais dégagement de Kouyaté ? Le geste est venu spontanément et fut d’une force incroyable. Le pauvre Kaminski n’a même pas esquissé un geste dans ses cages. Ou alors, le Suédois a-t-il voulu dire : «C’est trop facile» ?
Quoi qu’il en soit, le capitaine parisien a une fois de plus soulevé l’enthousiasme, en marquant ces trois buts en première période.
On vous a parlé du 3e. Le précédent n’était pas mal dans son genre, à partir d’une ouverture bien dosée de Matuidi pour Van der Wiel, dont le centre impeccable fut repris à la «Rabah Madjer» par le n° 10 du PSG, au nez et à la barbe de Kayouté. Une talonnade qui avait fait se dresser l’ensemble des spectateurs, lesquels n’avaient pas encore tout vu…
Une victoire facile
Le grand «Ibra» avait marqué son but le plus simple cinq minutes plus tôt, déjà sur un centre de Van der Wiel décalé par Cavani à droite. Son centre trouva facilement l’attaquant délaissé par le malheureux Kouyaté.
Le PSG ne risquait plus rien du tout, évidemment. Il avait bien laissé venir les Belges, qui avaient réussi un bon début de match.
Mais cela ne suffit pas contre l’équipe parisienne. Sirigu avait été suffisamment vigilant sur les centres venus de la gauche, ou sur un tir lointain de Suarez (9e).
C’était avant le début du show Ibrahimovic.
Zlatan n’en avait pas pour autant terminé avec le «planchot».
Comme tout lui réussissait, il arma sans hésitation son pied droit se présentant devant Kamiski après avoir amené le ballon de la tête, dans la zone droite de la surface. Le tir croisé, au ras du gazon, était hors de portée du gardien belge.
Ibrahimovic super star ! Pour reléguer au rang d’anecdote la marque de Cavani bénéficiant d’un service de Matuidi après une glissade de Mbemba.
Il ne restait plus qu’à attendre que «Ibra» inscrive son 5e but, pour rejoindre Messi, le seul à avoir réussi cette performance en Ligue des champions. Il se contentera d’être le dixième joueur à avoir réussi un quadruplé. Pas mal quand même...
anderlecht0 - Paris SG 5
Constant Vanden Stock Stadium de Bruxelles. MT: 0-3; 22000 spectateurs; arbitre: David Borbalan (Espagne)
Pour le PSG: Ibrahimovic (17, 22, 36, 62), Cavani (52)
Anderlecht: Kaminski - Mbemba, Kouyaté, Nuytinck, N’Sakala - Gillet, Kljestan, Tielemans, Praet (Milivojevic, 72), M. Suarez (Acheampong, 46) - Mitrovic (Cyriak, 72)
Paris SG: Sirigu - Van der Wiel, Alex (Camara, 56), Marquinhos, Maxwell - Verratti, Thiago Motta, Matuidi (Rabiot, 63) - Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi (Lucas, 71)
Avertissements: N’Sakala (53)

Bordeaux, la victoire ou la porte
Après avoir privilégié le Championnat, les Girondins, derniers du groupe F, comptent sur une victoire en Ligue Europa contre l'Apoel Nicosie jeudi (21h05) pour continuer à espérer.

Cédric Carrasso et les Bordelais n'ont plus droit à l'erreur. (L'Equipe)











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En Ligue Europa, les Girondins savent où ils en sont. «Dos au mur» confirme Cédric Carrasso. À la veille de rencontrer l'Apoel Nicosie jeudi, le portier bordelais n'a pas tourné autour du pot. Difficile de toute façon de faire autrement. Son équipe reste sur deux défaites en deux matches, à Francfort (0-3) et à Chaban-Delmas contre le Maccabi Tel-Aviv (1-2). Une victoire face à Nicosie dans ce dernier affrontement de la phase aller ne présumera pas d'une possible qualification mais dans le cas contraire, c'est la porte assurée. «On a la pression du résultat car on a grillé tous nos jokers, poursuit-il. Notre parcours européen va se jouer sur un match, celui-là.»

«Les deux équipes du groupe les plus mal loties»
Ce match entre «les deux équipes du groupe les plus mal loties» selon Francis Gillot est un match couperet. Pour le technicien girondin, les choix faits à l'époque, faire tourner et donner priorité au Championnat, sont justifiés. Il fallait gérer «cinq matches en quinze jours» en position de relégable. Manifestement, ce n'est plus entièrement d'actualité. «Aujourd'hui, nous n'avons plus le même calendrier. Nous ne sommes plus du tout dans la même configuration. Il y a trois matches dans la semaine mais après Montpellier dimanche, il y a une semaine de coupure. Certains joueurs peuvent jouer trois fois dans la même semaine, ils sont professionnels.»

Poko, Mariano, Jussiê, Planus, Nguemo et Maurice-Belay sont forfait

Au-delà du calendrier, on peut penser aussi que les commentaires présidentiels comme ceux du propriétaire Nicolas de Tavernost sur l'importance de la coupe d'Europe pour le club ont eu un certain poids. S'il est sorti de la zone rouge, Bordeaux reste quinzième. Mais pour Jean-Louis Triaud, «Il faut absolument gagner, quels que soient les joueurs». Poko, Mariano, Jussiê, Planus, Nguemo et Maurice-Belay sont forfait. Pour le reste, de nombreux joueurs alignés à Lyon (1-1) devraient rechausser les crampons. Mercredi, Francis Gillot répétait encore que pour lui,  «il n'y a pas de titulaires ou de remplaçants». Certes, mais sur le terrain, certains seront titulaires, d’autres non.

Ligue Europa 3e j. Lyon doit gagner, enfin
Les Lyonnais n'ont remporté qu'un seul de leurs douze derniers matches et aucun en Coupe d'Europe. Il leur faudra coûte que coûte une victoire devant les Croates de Rijeka (19h00), ce jeudi à Gerland, lors de la 3e journée du groupe I.

Clément Grenier, Rémi Garde et les Lyonnais veulent mettre fin à leur spirale négative, jeudi, lors de la venue de Rijeka. (L'Equipe)











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Une victoire et uniquement ça, c'est ce que visent Rémi Garde et ses joueurs à l'occasion de la venue de Rijeka, pour la 3e journée de la phase de groupes de la Ligue Europa. L'équipe croate a beau être classée troisième de son championnat et se trouver «dans une bonne spirale», comme l'estime l'entraîneur de Lyon, elle ne représente qu'un modeste adversaire. Qui a tenu le Betis Séville en échec (1-1) avant de s'incliner lourdement à Guimaraes (4-0). Mais les Lyonnais n'ont pas fait beaucoup mieux avec deux nuls à Séville (0-0) et surtout à Gerland devant Vitoria (1-1).

«On n'a pas le choix» En l'état actuel des choses, les Lyonnais peuvent redouter n'importe qui. «On n'est pas non plus à la ramasse avec deux points, rétorque Clément Grenier. Gagner serait une bonne chose pour la suite de la compétition mais c'est avant tout pour la confiance qu'on a envie de remporter ce match.» Le meneur de l'OL veut «retrouver le goût de la victoire» pour enfin «démarrer une série positive». «Une victoire va nous soulager, lui emboîte le pas Milan Bisevac. Il faut gagner contre Rijeka, on n'a pas le choix.»

Le nul contre Bordeaux a «généré quelque chose de positif»

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Retour sur Lyon - Guimaraes


 
Le groupe I




Malgré les difficultés en Championnat, qui fait figure forcément de priorité, il n'est pas question pour Lyon de brader la Coupe d'Europe : une victoire serait trop précieuse pour se remettre d'aplomb avant de se rendre dimanche à Monaco. «Cette Ligue Europa nous convient bien (élimination l'an dernier en 16es de finale), ce serait mal venu de choisir nos matches», indique Garde. L'entraîneur de l'OL récupère Miguel Lopes et Maxime Gonalons, qu'il pourrait faire jouer en défense centrale. «Revenir au score à 10 contre 11 face à Bordeaux (1-1), poursuit-il, a généré quelque chose de positif dans l'esprit des joueurs». Qui seraient bien inspirés, pour renouer avec la victoire, de mener au score. Les Lyonnais n'ont plus ouvert la marque depuis, tenez-vous bien, treize matches, série en cours

Créé le 24/10/2013 - 18:20
Lyon: Gomis sur le banc face à Rijeka
Après avoir enregistré deux matches nuls lors de ses deux premières sorties, Lyon reçoit Rijeka, à partir de 19h00, pour sa troisième rencontre dans le groupe I de la Ligue Europa. Une rencontre où Bafétimbi Gomis prendra place sur le banc, Rémi Garde lui préférant numériquement le jeune Jordan Ferri, alors qu’Alexandre Lacazette débutera au poste d’avant-centre. Pas encore totalement remis de sa blessure aux ischio-jambiers, Miguel Lopes ne figure lui pas dans le groupe. Le onze lyonnais: Lopes – Zeffane, Bisevac, Gonalons, Dabo – Malbranque, Fofana, Grenier – Briand, Lacazette, Ferri.

Gillot: «Mieux vaut tard que jamais»Sans nier les difficultés de son équipe, Francis Gillot, l'entraîneur de Bordeaux, voulait surtout retenir l'importance de cette victoire (2-1) sur l'APOEL Nicosie qui la maintient en course pour les seizièmes de finale de la Ligue Europa.Francis Gillot est heureux du succès des Girondins face à l'APOEL (2-1). (L'Equipe)
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RSS «Francis Gillot, la victoire a été longue à se dessiner, avec un but venu très tard dans le match...
Mieux vaut tard que jamais, comme on dit. On doit faire le break en première mi-temps et pourtant on prend ce but, c'est le grand regret que l'on peut avoir sur cette période. On a su se révolter ensuite, on a des occasions de marquer et c'est un peu quand on y croit le moins qu'on marque ! Alors, même si elle est arrivée un peu tard, c'est une victoire méritée, on a fait ce qu'il fallait.
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Foot - C3 - Gr. F Bordeaux s'est arraché !Ce scenario gâche-t-il un peu la joie de la victoire ?
Non. Quand on gagne... On est toujours dans la douleur, il y a toujours des choses à rectifier mais on apprécie cette victoire qui nous relance. Il faut positiver, il y a eu des choses intéressantes, comme ces trois ou quatre joueurs qui jouent moins et qui m'ont bien plu. Alors, les choses qui ne vont pas, on va les corriger au fur et à mesure du temps.

Pensez-vous que ce premier succès en Ligue Europa va vous permettre d'enclencher sur quelque chose de positif pour le groupe ?
C'est évident. Il vaut mieux marquer à la dernière minute que prendre un but. On reste sur cinq matches sans défaite, on se replace dans le groupe en coupe d'Europe puisqu'on est seulement à un point de Tel Aviv. Le prochain match à Nicosie sera déterminant. C'est évident que ne plus perdre peut redonner confiance. Même si je constate aussi que nos matches nuls et nos victoires sont toujours tirés par les cheveux. Ça m'embête qu'on n'ait jamais rien dans l'aisance depuis le début de saison. On a vu qu'on était capable de rien lâcher et je crois que toute la saison, on sera dans la difficulté.»

L'OL se rassure, un peu
L'Olympique Lyonnais a remporté jeudi contre le HNK Rijeka son premier match de la saison en Ligue Europa (1-0). Un succès qui a été long à se dessiner...

Clément Grenier s'est longtemps fait du mouron avant de marquer de la tête contre Rijeka. (L'Equipe)










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L’Olympique Lyonnais peut souffler. Alors qu’il n’avait remporté qu’un seul de ses douze derniers matches et n’en avait encore gagné aucun en Ligue Europa, restant sur deux nuls contre le Betis Séville (0-0) et le Vitoria Guimaraes (1-1), il a ouvert son compteur victoire contre le HNK Rijeka jeudi (1-0). Un succès qui a été long à se dessiner contre l’équipe la plus faible du groupe I.


Expulsé contre Bordeaux dimanche dernier (1-1), Alexandre Lacazette a débuté sa soirée en se prenant un jaune dès la 9e minute. Il a été averti pour simulation, après avoir poussé trop loin son ballon et s’être jeté dans les bras de Vargic qui l’avait récupéré. L’attaquant lyonnais avait décidément du mal avec ses duels face au gardien croate, puisqu’il lui a tiré directement dessus en deuxième période (56e). Il a également tenté une frappe dans un angle impossible, sortie en touche (39e), a allumé Vargic (47e), et a réussi un joli centre à la 38e, qui ni Briand, ni Grenier n’ont réussi à pousser dans le but. Placé sur le côté gauche, le meneur de jeu a mis en difficulté Vargic sur des frappes enroulées (11e) et des coups francs (45e), mais c’est de la tête qu’il a ouvert le score. Il a propulsé dans le but un centre parfait de Steed Malbranque qui avait pris sa place sur le côté gauche (66e).

Les Croates ont été très dangereux

Les Croates, troisièmes de leur Championnat, ont été des adversaires coriaces. Benko a failli ouvrir le score à la 47e, profitant d’un mauvais alignement de la défense lyonnaise pour placer une tête plongeante qui a frôlée le poteau.  Heureusement pour Lopes, qui était largement battu. Le gardien rhodanien a également poussé un ouf de soulagement dix minutes plus tard, lorsque la demi-volée du droit d’Alispahic a flirté avec son poteau droit. Il était également soulagé lorsque Krstanovic, libre de tout marquage sur un corner, n’a pas cadré sa tête (82e). C’était la dernière occasion dangereuse des Croates qui sont derniers du groupe I. Les Lyonnais, eux, partagent la première place avec le Betis Séville qui s’est imposé dans le même temps contre le Vitoria Guimaraes (1-0, but de Vadillo à la 50e).

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Créé le 25/10/2013 - 07:48
Lyon-Malbranque: "Bien positionnés pour sortir de la poule"

L'Olympique Lyonnais a décroché un précieux succès face à Rijeka (1-0), jeudi, à Gerland, dans le cadre de la troisième journée de la phase de poules de la Ligue Europa. Une victoire minimaliste, acquise grâce à un but de Clément Grenier lors du second acte, qui permet à Steed Malbranque et consorts d'enjoliver leur capital confiance, eux qui n'avaient glané qu'un seul succès depuis le mois d’août, face à Nantes le 22 septembre (3-1). "On est contents d’avoir gagné, souligne le milieu de terrain des Gones sur le site officiel de son club. On savait que ce serait difficile. On n’a rien lâché et on a été récompensés. On a cinq points. On est bien positionnés pour sortir de la poule…".

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Créé le 25/10/2013 - 07:46
Lyon-Garde: "Les joueurs sont récompensés"

Après cinq matches consécutifs sans victoire, l'Olympique Lyonnais a renoué avec le succès jeudi à l'occasion de la réception de Rijeka en Ligue Europa (1-0). "Je suis très content pour les joueurs quoi ont fait beaucoup d’efforts et qui ont été récompensés, s'est félicité Rémi Garde, l'entraîneur de l'OL, cité par le site rhodanien. Il y a eu beaucoup de bonnes choses ce soir. Le résultat est logique. On aurait pu être plus efficace. Le réalisme offensif et défensif était insuffisant ce soir, mais on a bousculé notre adversaire." De quoi retenter l'expérience du milieu en losange expérimenté contre les Croates ? "Je suis satisfait puisque j’ai vu ce que l’on avait travaillé durant l’entraînement. C’est une animation qui peut convenir certaines fois, selon les formes du moment, a répondu Garde. On a monopolisé le ballon dans le camp de l’adversaire. Globalement, c’était une belle victoire."

Bordeaux-Gillot: "Il fallait absolument gagner"

Les Girondins de Bordeaux ont disposé de l'Apoel Nicosie (2-1) jeudi soir, dans le cadre de la 3e journée de Ligue Europa (groupe F), et se relancent ainsi dans la course à la qualification pour les 16e de finale après deux revers de rang dans la compétition. "L’essentiel est fait, il fallait absolument gagner, mais on se met en difficulté tout seul. On est bien parti, mais on prend un but évitable, a déclaré Francis Gillot sur BeIN Sport après le coup de sifflet final. On s’est révolté en deuxième, la victoire est méritée mais acquise dans la douleur, on voit que rien n’est acquis et facile. On est toujours sur le fil du rasoir. J’espère que l’on ne va pas s’arrêter en si bon chemin. La qualification ? On y croit tout est possible".

Stade de Gerland. Mi-temps: 0-0.
Spectateurs: 30 461.
Arbitre : A. Soares Dias (Portugal).
But: Grenier (66).
Avertissements - Lyon: Lacazette (9).
Rijeka : Mujanovic (24), Bertosa (54).
Lyon: Lopes - Zeffane, Bisevac, Gonalons
(cap), Dabo (Tolisso, 69) - Malbranque
(Mvuemba, 85), G. Fofana, Ferri - Briand,
Lacazette (Benzia, 76), Grenier.
Entraîneur : Rémi Garde.
Rijeka : Vargic - Mujanovic, Maric, Knezevic
(cap), Bertosa - Mocinic, Males, Pokrivac
(Sharbini, 74) - Kvrzic (Brezovec, 65),
Benko, Alispahic (Krstanovic, 82).
Entraîneur : Matjaz Kek.

Stade Jacques Chaban-Delmas.
Mi-temps: 1 - 1. Spectateurs : 15 000.
Arbitre : M. Strömbergsson (Suè).
Buts - Bordeaux : L. Sané (24), Henrique
(90). APOEL Nicosie : Gonçalves (45).
Avertissement - Bordeaux: L. Sané (73).
Bordeaux: Carrasso (cap) - Chalmé, Henrique,
Bréchet, Poundje - Obraniak (Sacko,
71), L. Sané, Sertic (Diabaté, 46),
Ab. Traoré - Saivet (Faubert, 71), Rolan.
Entraîneur: Francis Gillot.
APOEL Nicosie : Urko - Mario Sergio, Guilherme,
Oliveira, Alexandrou (Manduca, 61)
- da Silva Fiel, Nuno Morais, Vinicius - Charalambides
(cap), Gonçalves (Boudimir,
71), Aloneftis (T. F. Gomes, 79).
Entraîneur: Paulo Sergio

Garde prône des matches le lundi
81a+ a- imprimer RSS Trois jours après sa victoire devant Rijeka en Ligue Europa (1-0), l'OL se rendra dimanche à Monaco. «Et cette fois-ci, nous avons l'immense chance de jouer à 17 heures et non pas à 14 heures, lâche avec ironie Rémi Garde. Cela fera toujours trois heures de plus de récupération». Et l'entraîneur de l'OL de s'interroger sur la possibilité d'organiser «des matches de Championnat le lundi pour les clubs qui ont joué le jeudi en Coupe d'Europe». «Comme ça, on serait tous sur un même pied d'égalité, dit-il, et on ne pourrait pas dire que les clubs français ne jouent pas cette compétition à fond. Pour protéger le football français, je pense que ce serait une décision intelligente. Les Anglais, qui ne sont pas plus idiots que nous, l'ont adoptée depuis longtemps.»

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LIGUE 1

Le PSG à l'assaut du Chaudron
Publié le Dimanche 27/10/2013 à 05H10
Le leader, sûr de sa force et avec un Ibrahimovic au sommet, affronte Saint-Étienne ce soir


Le Paris SG, emmené par un Zlatan Ibrahimovic au sommet de son art, va tenter de maintenir sa domination sur la Ligue 1 contre Saint-Étienne, sa bête noire la saison dernière, en clôture de la 11 journée, ce soir.

Après les deux démonstrations réussies en l'espace d'une semaine face à Bastia (4-0 en championnat) et à Anderlecht (5-0 en Ligue des champions), le club de la capitale a plus que jamais des allures de rouleau compresseur. De fait, les Verts, qui n'ont remporté qu'un de leurs cinq derniers matches, ont de quoi trembler.

"En ce moment, au niveau du groupe, on a de bonnes sensations car on a l'impression que les joueurs prennent plaisir à évoluer ensemble. On a des certitudes sur le jeu, sur les qualités individuelles. On commence à avoir quelques garanties et surtout beaucoup de connaissance de ce groupe", a déclaré Laurent Blanc, le coach parisien.

Le "Président" pouvait difficilement imaginer des débuts aussi éclatants à la tête d'un PSG sûr de sa force et de son collectif. Premier en L1 avec un point d'avance sur Lille, leader du groupe C en Ligue des champions et une invincibilité qui dure depuis le 2 mars, toutes compétitions confondues : l'ancien sélectionneur de l'équipe de France - choix par défaut des dirigeants qataris après le départ de Carlo Ancelotti au Real Madrid - réussit jusqu'ici un sans-faute. À quoi il faut ajouter des individualités au maximum de leur rendement, comme en témoignent les chefs-d'oeuvre successifs d'Ibrahimovic, auteur de neuf des treize buts de son équipe lors des quatre dernières rencontres. L'attaquant suédois n'en finit pas de collectionner les buts venus d'ailleurs et joue à plein son rôle de "locomotive", selon les termes de Blanc. Ce qui éclipse d'ailleurs l'efficacité d'Edinson Cavani, qui devance pourtant Ibra au classement des buteurs sur la scène nationale (6 réalisations contre 5). Avec un tel duo en face, les défenseurs stéphanois ne vont pas vraiment savoir où donner de la tête. "Le PSG n'est pas Zlatan. Il a fait une grosse saison avec de bons joueurs. Il fait un très bon début de saison avec encore plus de bons joueurs", a ainsi averti Christophe Galtier, refusant de se focaliser uniquement sur l'ancien Milanais.

Thiago Motta et Verratti de retour

L'entraîneur des Verts a bien raison d'appeler ses troupes à la vigilance car, au-delà des deux phénomènes Ibrahimovic et Cavani, Paris sera encore plus dur à manoeuvrer avec les retours de suspension des deux milieux internationaux italiens Thiago Motta et Marco Verratti, comme l'a cruellement appris Anderlecht, mercredi. Petit espoir auquel les Stéphanois peuvent se raccrocher : leur statut de bête noire du PSG version qatarie.

En effet, la saison dernière, Galtier et les siens étaient allés s'imposer au Parc des Princes (2-1), avant deux belles résistances dans leur chaudron de Geoffroy-Guichard : une qualification aux tirs au but pour les demi-finales de la coupe de la Ligue et un nul décroché en L1 (2-2).

D'où le message mobilisateur asséné par l'entraîneur des Verts : "Si on perd contre le PSG, nous serons comme beaucoup d'autres dans le championnat. Si nous obtenons un nul, ce sera un bon résultat et si nous gagnons, ce sera un exploit. Faisons en sorte de réaliser l'exploit".


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À 21h, stade Geoffroy-Guichard.

Arbitre : Ruddy Buquet.

Saint-Étienne : Ruffier - Clerc, Bayal, Perrin, Ghoulam - Lemoine, Clément ou Diomandé - Hamouma, Corgnet, Tabanou - Brandao.

Entraîneur : Christophe Galtier.

Paris SG : Sirigu - Van der Wiel, Alex, Marquinhos, Maxwell - Motta, Matuidi, Verratti - Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi.

Entraîneur : Laurent Blanc.

Paris s'en sort toujours...

Publié le Lundi 28/10/2013 à 06H10

Ballotté dans le Chaudron, le PSG, mené 2-0, arrache le nul sur le gong




La série allait-elle s'arrêter à 29 ? Invaincu toutes compétitions confondues depuis le 2 mars dernier, et une surprenante défaite à Reims (1-0) - qui occasionna une toute aussi déroutante sortie médiatique de Leonardo -, le PSG n'a jamais semblé aussi proche de la défaite hier soir, à Saint-Étienne. Des Stéphanois qui plaçaient la défense parisienne sous pression dès le coup d'envoi et profitaient d'une première énorme bourde de Marquinhos pour ouvrir le score grâce à Corgnet.
Une deuxième gaffe du défenseur brésilien, qui relançait sur les talons de Thiago Motta à la réception d'une sortie ratée de Sirigu, permettait à Hamouma de réaliser le break. Paris avait la tête sous l'eau mais profitait de l'expulsion sévère de Fabien Lemoine pour se relancer.
Et quand la machine parisienne se met en route, c'est bien difficile de lui résister ; Cavani réduisait d'abord l'écart de près sur un service de Maxwell. Et, dans les ultimes secondes, l'Uruguayen gênait Ruffier sur un long centre en profondeur de Matuidi, qui rentrait directement dans le but.
Les Verts ont frôlé l'exploit. Paris s'en sort à bon compte. Et reprend la tête du classement occupée quelques heures par Monaco, à la différence de buts.

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LIGUE 1
Paris trace sa route...

Publié le Samedi 02/11/2013 à 06H11

Malgré quelques changements, le PSG a étrillé (4-0) Lorient, hier




Oui, Laurent Blanc avait décidé de faire tourner son effectif pour la réception de Lorient. Mais non, cela ne s'est pas vu.
Hier, le PSG, s'est baladé dans son jardin du Parc des Princes, une pelouse où les Merlus se sont souvent illustrés par le passé. Mais ça, c'était avant... Hier, ils ont littéralement pris l'eau (4-0) !
En l'absence d'Ibrahimovic, Edinson Cavani, aligné dans l'axe, s'est offert un doublé, prenant au passage la tête du classement des buteurs avec neuf réalisations, alors que les remplaçants Lucas et Ménez ont inscrit leur premier but.L'équipe parisienne, invaincue depuis 31 rencontres officielles et un revers à Reims le 2 mars dernier (1-0), conforte ainsi sa place de leader, même si elle reste à portée de points de Monaco qui ira défier le 3e, Lille, demain.
Après le nul laborieux ramené de Saint-Étienne le week-end passé (2-2), le PSG se devait de réagir et ne pas céder au "relâchement" tant redouté par Laurent Blanc. Pour cela, l'entraîneur parisien n'a pas hésité à solliciter les remplaçants Jallet, Digne, Rabiot, Ménez et Lucas, qui lui ont montré qu'il pouvait compter sur eux.
Sérieux et appliqué, le PSG a connu une entame idéale, avec l'ouverture du score dès sa première incursion dans le camp lorientais à la 3e minute. Sollicité par Verratti, Lucas a été à l'origine et à la conclusion d'une belle action collective qui a impliqué Cavani, Rabiot et Digne, passeur décisif (1-0).
Sans forcer son talent, mais en récitant ses gammes, Paris a ensuite plié le match en deux minutes juste avant la pause par Ménez et Cavani. En fin de partie, "El Matador" a parachevé la démonstration parisienne.
Le PSG continue de tracer sa route

Football Ligue 1 12e journée Paris SG-Lorient-4-0   A Paris, les coiffeurs sont stylés
samedi 2 novembre 2013
Jérôme Touboul

Dès la troisième minute, le Brésilien Lucas, servi par Digne, ouvre le score pour le PSG devant des Lorientais impuissants (Barthelmé, Guerreiro et Ecuele Manga). (Photo Bernard Papon/L'Équipe)










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Face à Lorient, Laurent Blanc a titularisé cinq remplaçants habituels. Résultat : victoire 4-0. En L 1, le banc parisien pourrait grandement participer à la domination attendue du PSG.

SI C'EST ÇA, une bête noire (*), le PSG cochera sans doute avec gourmandise la date du prochain passage des Merlus dans la capitale. Pour Paris, ce FC Lorient en grande souffrance aura été le client idéal pour garder la main sur le leadership du Championnat